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Meydan | la Place, 1 / Anthologie d’auteurs turcs contemporains

Bouquet liseuse 4

Ce premier volume de « MEYDAN | la place », l’anthologie d’auteurs contemporains turcs, est proposé aux lecteurs et lectrices francophones sous le signe de la #découverte : celle de nouvelles voix, de thèmes inattendus, de perspectives sur le monde et la condition humaine, par des auteurs jeunes et moins jeunes, certains de renommée internationale, d’autres non, sur des thèmes parfois traitant de la Turquie, parfois pas du tout, à travers des extraits de romans et des nouvelles, qui explorent les possibilités et les limites de la langue, des mots, de l’invention.

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Les sirènes on ne les voit pas un couvercle est posé dessus | Christine Jeanney

Blog culte, le principe des Todolistes quotidiennes de Christine Jeanney est assez simple, à partir d’une photo envoyée par un tiers (suite à un appel à participation), écrire une liste de quatre points ou occurrences ou choses à faire, à dire ou à penser, en réaction, en réponse, en écho à cette photo. Chaque matin Christine Jeanney en choisit une, « plutôt à l’instinct, dit-elle, sans idée préconçue. » Il fallait les rassembler, et ce faisant, l’objet devient tout autre : une énigmatique collection de photographies du monde, une fiction appliquée aux signes du quotidien, et un labyrinthe de lecture.

Quand les passants font marche arrière ça rembobine | Christine Jeanney

Voici le deuxième tome des Todolistes de Christine Jeanney. Rappelez-vous, le premier s’appelait « Les sirènes on ne les voit pas un couvercle est posé dessus ». Les Todolistes, c’est écrire sur les photos des autres. Et cette demande des photos des autres, c’était une façon d’élargir la vue, et les interactions, les possibles pour l’auteur. Pour explorer ces possibles, le linéaire comme l’aléatoire est possible, et l’on peut même y faire marche arrière.

Inlands | Louise Imagine & Jean-Yves Fick (Poésie + livre avec photos)

Elle a su voir et capter la profondeur bleue que les glaces donnent à l’Islande, et même l’été, la fraîcheur de ses verts, la densité de ses marrons ; elle a fixé la lumière et pourtant celle-ci semble encore vibrer et se jouer des paysages qu’elle éclaire ; ce sont des ciels, des lacs, des chemins, ce sont des montagnes, des déserts de roches, des chutes d’eau, des souffles de brume, c’est la nature multiple et nue ; et Louise Imagine révèle dans ses photographies que la nature a seulement besoin d’exister pour être belle.

Faits divers – 1210 nouvelles en 3 lignes I Félix Fénéon

Les voici enfin en version numérique, les légendaires nouvelles en trois lignes de Félix Fénéon. Mille fois citées, mille fois recopiées : lorsqu’on les assemble en un seul bloc, telles que chronologiquement publiées par le journal Le Matin en 1905 et 1906, le regard bascule. À les prendre massivement, les 1210 histoires ensemble, c’est cela qui stupéfie : un portrait de monde.Voici l’automobile, voici le téléphone, les cuirassés et les sous-marins devant les ports, les soldats dans leurs casernes. ..

Les villes fantômes I Jean Rouaud

La ville est un concept omniprésent : elle nous entoure, c’est aussi bien nos circulations, nos modes d’accès à la culture ou la consommation, mais d’abord la relation aux autres. C’est à cela que Jean Rouaud s’affronte, à cette figure complexe, qu’il démêle en 10 incises successives. On commence avec une déclaration de François Mitterrand, pour ensuite s’en aller voir en cours de routes les villes nouvelles. Et de là on arrivera à cette nouvelle idée de la ville qu’est Internet. Mais c’est aussi le destin des villes de province. Et ce qu’on a tenté de reconstruire après guerre, comment cela conditionne en partie le destin présent.

Inoculation du parfait bonheur I Albert Robida

Dans « Inoculation du parfait bonheur », l’auteur nous raconte l’invention de la « féliciologie », autrement dit la science du bonheur ! Car la science ne peut avoir qu’un but : le bonheur de l’espèce humaine. Mais peut-être n’est-ce qu’un rêve que peut seulement nous apporter la fantaisie d’Albert Robida…

Les classiques connectés | Olivier Ertzscheid

Et si Baudelaire avait écrit un hymne aux algorithmes au lieu de son hymne à la beauté ? Et si Jean de La Fontaine avait connu Google, Facebook et Amazon, quelle fable aurait-il choisie pour raconter notre rapport à ces acteurs ? Et quelle morale en aurait-il tiré ? Et si Aragon avait été davantage fasciné par les « données » plutôt que par les Yeux d’Elsa ? Si, plutôt qu’un renard, c’est Google qui avait appris au Petit Prince le sens du mot apprivoiser ? Anthologie critique réalisée en l’an 4097 pour nous aider à appréhender dès aujourd’hui l’évolution de notre rapport au monde… connecté. 

La Vie verticale | Lou Sarabadzic

À huit ans, on a cru que j’avais un problème de surdité. Je faisais trop répéter les gens. À dix ans, on a cru que j’avais un problème de vessie. J’allais toujours aux toilettes avant de partir. Même si je venais d’y aller trois minutes avant. Si quelqu’un disait : « on y va », je devais y aller. À douze ans, on a pensé que j’aimais bien emmerder le monde. À quatorze ans, on a cru que je faisais des insomnies. À seize ans, on a cru que j’avais un organisme capable de ne jamais grossir, même en mangeant des pizzas froides ou des tranches de pain à chaque repas que je me préparais seule.


La Détente I Lætitia Gendre

S’il est facile de se procurer des armes, le taux d’agressivité dans l’air s’en trouve sensiblement modifié. Ce que l’histoire ne dit pas, c’est si, au club de tir, on sait que celle qu’on accueille est une artiste plasticienne, et que c’est le crayon son arme. Le texte est dur, violent, critique, et les dessins au crayon tirent pleine cible. Un lieu, un chapitre. C’est une enquête. Et on en sortirait indemne ? 

La fin des livres | Albert Robida

Une anticipation parmi d’autres. Mais lorsque Robida et Uzanne, dans cette réunion de savants et d’inventeurs chacun aux prises avec ce qui s’annonce de la mutation de leur métier, développent leur système en prenant en compte le point de vie de l’auteur, les schémas économiques, la modification des usages privés du lecteur, ils nous donnent des clés vertigineuses pour nous repérer dans la mutation numérique d’aujourd’hui. Un bon électro-choc. Pour ne plus avoir peur. 

L’allée du bout du monde I Marie Cosnay

Dans ce texte, les lois du rêve contraignent l’errance dans les villes, et le réel. On a échangé ses noms, on a enterré des souvenirs, on porte des amours impossibles, on croise des enterreurs de morts. C’est donc un fou qui voit, qui parle ? Ou bien ces narrateurs, la prison et la violence, l’exil, les ont-ils condamnés à cette vision décalée, parce qu’eux voient juste, mais qu’ils ne comprennent pas ce qu’a fait d’eux le monde ? 

Door County I Dominique Falkner

« Door County, c’est un endroit qui a énormément compté dans ma vie, c’est un peu la charnière du livre, si on peut dire. Le sous -titre : fragments arrachés à la route est aussi celui que j’utilisais au fil de l’écriture quand j’en j’envoyais des extraits à lire à des potes en France. C’est d’ailleurs vraiment un livre de la route que j’ai écrit sur la route avec un magnéto de poche et aussi un carnet que j’avais scotché au volant, où je pouvais repiquer sur le magnéto pour écrire dans les grandes lignes droites de l’Ouest où tu ne croises quasiment personne en dehors des agglomérations… 

Nouvelles de l’avenir I Joseph Méry

Joseph Méry utilise l’anticipation avec une visée satirique et humoristique. Comme Pierre Véron et d’autres, Joseph Méry imagine un centre du monde qui a basculé hors d’Europe, dans lequel les transports et les communications se sont grandement améliorés. L’Afrique et l’Asie ont connu une progression les faisant égales de l’Europe et des États-Unis.

Le saviez-vous ? I Jean-François Paillard

Prendre la forme courante du livre pratique, du vieil almanach, du répertoire de curiosités, saupoudrer d’un peu de délire et de perversité, d’une bonne dose de politique aussi – en appeler à tous les animaux de l’arche de Noé, et voilà Le saviez-vous de Jean-François Paillard. Et l’auteur marseillais nous embarque dans un fameux voyage, avec illustrations de son cru. On n’en sort pas indemne. La science-fiction, c’est la fiction sous toutes ses déformations. 

Retour Pôle Emploi | Anne-Sophie Barreau

C’est un itinéraire qui commence au Pôle Emploi et s’y termine, aller-retour. Un retour à la case départ ? Sûrement pas : les expériences transforment, parfois — souvent — contre son gré la narratrice de ce parcours qu’on pourrait dire initiatique. Plus qu’à la recherche d’un travail, on est ici à la recherche de soi, de ses limites, de ses désirs, et l’oeil acéré d’Anne-Sophie Barreau ne lâche rien. Avec lucidité, elle met à jour les ressorts du travail précaire : l’entretien et ce qui s’y joue en transparence, l’arrière-cour d’un fast-food, d’un magasin de vêtements, l’inquiétude des couloirs de bureau, la servilité, les tensions, les modifications, et les autres, les collègues, ceux qui subissent, ceux qui en réchappent, s’en accommodent ou changent de trajectoire. 

Locked-in-Syndrome | G@rp

Jeux vidéos, consoles, illusions de monde. On passe des niveaux. On recommence à zéro. Il y a des reset. On tue, on est tué, on a d’autres vies. Voilà un écrit dangereux. Un écrit pour nos écrans d’aujourd’hui, et la relation complexe que nous y entretenons. Cela s’appelle science-fiction, cela s’appelle anticipation. Cela s’appelle inquiétude du monde. Et c’est bigrement écrit. 

Martin le Bouillant | Régine Detambel

Martin bouillonne de vitalité. Ce qui est, selon sa mère, « la seule chose utile envers les gens qu’on aime, et même ceux qu’on n’aime pas ». Martin a douze ans. Son ami Seb vend des frelons, cité Mimosa, dans un appartement où on frappe les orangers pour qu’ils fleurissent. 

En l’an 1950 Pierre Ferréol

1950, c’était il y a plus d’un demi-siècle. Pour les hommes et femmes de la fin XIX e siècle, l’écart temporel était le même et ils rêvèrent de ce temps à venir comme la promesse d’un autre monde. De nombreux écrivains, humoristes et vulgarisateurs scientifiques se sont emparés du thème « 1950 » s’appuyant sur les avancées scientifiques pour produire des anticipations. Albert Robida écrivit et dessina « 1950 » et les années suivantes dans Un potache en 1950, En 1965, Le Vingtième siècle… Son empreinte est manifeste sur certains des textes rassemblés ici.


L’appel de Londres | Philippe Castelneau

Ferroviaires - Sereine Berlottier

L’appel de Londres est à la fois géographique et musical : au prétexte d’une visite de quelques jours, Philippe Castelneau élabore un journal de ses déambulations londoniennes. Mais les villes que l’on arpente sont, comme souvent, nappées de souvenirs, et l’écriture se mélange aux récits de l’enfance, de l’adolescence, au saut dans le vide de l’âge adulte

Le réel contemporain, celui des hyper-métropoles, est foisonnant et complexe. Pourtant, c’est lui qui recèle les traces du destin de la communauté, ce que nous inscrivons, dans le présent, de notre éventuel devenir. Le réel ne cache rien : la misère, les conforts, le doute comme la crasse ou le rire, et les fenêtres.

Toi, tu ne vieillis plus, tu regardes la montagne | Hélène Sanguinetti

Voix intermédiaires - Collectif

Toi, tu ne vieillis plus, tu regardes la montagne, se présente presque comme un journal dont les jours disent la traversée de la dimension d’éternité que l’instant du poème perçoit, à l’aigu. Le San Pedrone, en Corse, cette montagne donne prétexte cézannien à une méditation qui fait rentrer dans l’actualité du regard les abeilles de Virgile, les dieux du paysage, la surface du temps et son ombre… et ce sont autant de haïkus faits sur l’arête des mots !

Anthologie choisie et composée par ses lecteurs sur une proposition de François Rannou. De nombreux livres de poésie d’auteurs vivants sont proposés à la lecture et tous les courants poétiques actuels sont représentés. Les auteurs présents dans cette anthologie : Olivier Apert, Hervé Bougel, Lionel Bourg, Jean-Patrice Courtois, Samuel Dudouit, Sylvie Durbec, Mohammed El Amraoui, Antoine Emaz, Sylvie Fabre G., …

L’honneur des Kéita | Moussa Konaté

Le commissaire Habib, après avoir longtemps officié à la Série Noire, a déménagé chez Fayard Noir : il fallait bien qu’on le retrouve sur les chemins numériques ! Ce qui ne change pas : le Mali, l’odeur et le bruit de l’Afrique, mais aussi la grande vibration populaire de la langue, toutes les facettes du rire et de l’humour, et ce grand tremblement permanent d’humanité. Mais ici, le commissaire Habib et son cher inspecteur Sosso auraient bien préféré leur départ en vacances, que ce cadavre qui leur tombe dans les bras. 

Le crime de Sainte-Adresse | Didier Daeninckx

Le crime de Sainte-adresse est une course poursuite dans les rues du Havre. Ce polar mélange intrigue et documents, petite et grande histoire, un patchwork qui colle à notre triste réalité comme sait si bien les fabriquer Didier Daeninckx qui n’a pas oublié que le Havre fut un temps capitale de la Belgique. 

Nazis dans le métro | Didier Daeninckx

Quand le célèbre enquêteur-détective auto-proclamé Gabriel Lecouvreur, dit le Poulpe, s’acoquine avec Didier Daeninckx, on est sûr que toutes les lois du polar, de l’enquête, les interrogatoires, les recoins invisibles du monde, le finale en beauté, tout va être honoré. 

Terminus plage de Boisvinet - Jean-Luc Manet

Un jour de grève, deux postiers heureux de la liberté retrouvée décident de se barrer à la mer. Sur une aire d’autoroute, ils vont croiser une dénommée Hélène qui leur demandera d’abord du feu et ensuite de la prendre en stop. Auraient-ils pu refuser ?

Comment va le monde avec toi - Laure Morali

C’est d’abord un chant de retour. Une femme revient sur une île de Bretagne, dans le paysage de mer où elle a grandi. Elle habite sous un phare, et la nuit ravive les fantômes. Entre le pays et soi, désormais, un décalage, par toutes ces années d’Amérique collées sur la peau. Alors lancer des mots à la mer, par petits éclats, comme les messages des sémaphores. Une adresse à un aïeul, un capitaine qui est allé se perdre à l’ouest aussi, longtemps avant. Et le reflux des souvenirs, premières amours, cassures et dérives, pour s’éclairer où il y a eu partage des eaux, entre rester et s’en aller. 

A l'est de minuit - Philippe Poree-Kurrer

Floride. Un paquebot un peu démodé largue les amarres pour une traversée de l’Atlantique. Sitôt au large, les sens des passagers commencent à s’atrophier. La nourriture perd sa saveur, les sons deviennent plats, les instruments s’affolent, les couleurs et les odeurs disparaissent. Des passagers aussi… Quel lien entre la journaliste mexicaine venue porter la révolution, le second qui prête à la science le pouvoir de tout résoudre, la mennonite qui s’imagine que c’est tous les jours dimanche, le financier intégriste qui exige le monde à son image, le romancier cynique au cœur tendre qui s’est trompé d’époque, l’éleveur de cochons qui a toujours faim et le commandant du Sud profond hanté par un terrible souvenir d’adolescence ? Le paquebot arrivera-t-il quelque part ? Reste-t-il seulement un quelque part ?


La désindexée - Olivier Le Deuff

Alors voilà : circulent parmi nous, sans que nous le sachions peut-être, des êtres pour lesquels ont été gommées toutes traces virtuelles. Pas seulement le blog ou les commentaires Facebooks, là on en aurait fini en trois pages. Non, toutes les traces. Désindexation. 

Locus Solus - Raymond Roussel

L’auteur nous laisse, parmi une suite de monstres littéraires qui en mettent toutes les valeurs à bas, au moins une oeuvre en apparence raisonnable : la description du parc, dans la demeure d’un étrange inventeur, Martial Cantarel, et quelques rencontres qu’on y fait. « Locus Solus », paru en 1914, au bord de la catastrophe du monde, est un livre des plus immenses, vaguement inquiétant, toujours acide, un défi à notre relation ordinaire au monde. 

Poètes grecs du 21eme siècle - Michel Volkovitch

Il sera difficile de les aimer tous, et plus difficile encore de n’en aimer aucun. 

Motel, et autres légendes urbaines - g@rp

g@rp est l’homme des chutes calculées, des mots qui rattrapent et des détails qui tuent. Ses histoires évoquent une Amérique intensément fictionnelle, peuplée de dingues durs, d’acteurs à la dérive, de crotales et de harpies. Les paysages, les acteurs, l’intrigue, y sont expédiés à l’ancienne : plaqués contre un mur, un flingue sur la tempe, sommés de lire leur texte sans cesser de sourire. C’est un royaume qui fleure bon la poussière et le sang chaud, un décor de portes branlantes et d’âmes déglinguées. Les enseignes y clignotent comme dans un film de Lynch : Good news for people who love bad news. Les mots ? Des balles à tête chercheuse, mais c’est vous qu’ils trouveront. L’Amérique des fictions, vous dis-je. La seule et la vraie. Accoudé au comptoir, aussi énigmatique et tristement bienveillant qu’une figure de Hopper, g@rp désigne un rideau dans la salle du fond. Écarlate, le rideau. Évidemment, il ne tient qu’à vous d’aller jeter un œil. Mais n’oubliez surtout pas le guide. Préface de Fabrice Colin 

Journal de la crise de 2006, 2007, 2008, d'avant et d'apres -- Volume 1 _ 2006 - Laurent Grisel

Avec ce premier tome d’un journal tenu au jour le jour depuis le 5 janvier 2006, Laurent Grisel explore ces années noires de crise planétaire. Se confrontant aux sources les plus diverses, presse internationale, agences financières, fils d’information des associations de solidarité, blogues, publications de chercheurs indépendants, il trie et décrypte le flot continu des nouvelles désorientantes.

Les villes fantomes - Jean Rouaud

La ville est un concept omniprésent : elle nous entoure, c’est aussi bien nos circulations, nos modes d’accès à la culture ou la consommation, mais d’abord la relation aux autres. C’est à cela que Jean Rouaud s’affronte, à cette figure complexe, qu’il démêle en 10 incises successives. On commence avec une déclaration de François Mitterrand, pour ensuite s’en aller voir en cours de routes les villes nouvelles. Et de là on arrivera à cette nouvelle idée de la ville qu’est Internet. Mais c’est aussi le destin des villes de province. Et ce qu’on a tenté de reconstruire après guerre, comment cela conditionne en partie le destin présent.


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