Projet de dipl么me Formation Designer dipl么m茅e ES Visual Merchandiser Briones Ma茂a
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Sommaire * * *
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Déscritpion p. 5 Le projet p. 6 Analyse du marché p. 7 Situation actuelle p. 8 Problématiques Accessibilité Dépendances des personnes âgées Concurrents Migros Caritas Diagnostic S.W.O.T p. 18 Le consommateur responsable p. 19 Conclusion p. 20 Démarche marketing p. 23 Segmentation p. 24 Consommateurs p. 25 Article : Démographie Suisse p. 30 Marketing Mix p. 31 Portefeuille d’activités Pop Up Store 1 Pop Up Store 2 Les produits Laitiers et viande Fruits et légumes Conclusion p. 39 Construction de la marque p. 40 Contenu de la marque Mission Valeurs Expression de la marque logo p. 43 Dress Code p. 44 Packaging p. 45 Tendances Packaging lait Packaging viande Communication publicitaire p. 50 Internet Iphone Affiches publicitaires Les espaces p. 57 Tendances Marcel Célestine Plan Conclusion p. 76 Bibliographie p. 77 Curriculum Vitae p. 78 Remerciement p. 79
p. 10 p. 14 p. 16 p. 17
p. 32 p. 34 p. 36 p. 37
p. 41 p. 42
p. 46 p. 48 p. 49 p. 51 p. 52 p. 53 p. 58 p. 60 p. 64 p. 68
Description
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Le projet de diplôme propose deux espaces de services différents aux habitants des villages. Premier espace: Vente itinérante, de fruits, légumes, viandes, produits laitiers, pain et produits de première nécessité, dans les campagnes et villages de montagne. Réalisation de tournées journalières passant dans deux villages différents chaque jour, pour commercialiser auprès de personnes isolées, en situation de mobilité réduite, des produits de consommation courante. Le service offre la possibilité de passer des commandes pour des produits spécifiques tels que : médicaments, ciseaux, ampoules, piles, d’une semaine à l’autre. Deuxième espace : Différents services, tels que : coiffeur, pédicure, manucure et aide administrative rendus accessibles dans les villages grâce à un espace itinérant. Les services varient de semaine en semaine. Concrètement: Les espaces sont modulables. Ils se déplacent grâce à un véhicule qui les remorque. L’écologie est une des principales valeurs défendue par mon projet. Les aliments sont de la région et nécessitent un minimum d’embalage et de déplacement, puisqu’un seul véhicule les convoie vers le village et inverse le mouvement des villageois qui vont faire leurs courses en ville. Dans chaque village, la place centrale est le lieu de commercialisation. Les heures de présence du camion sont définies et affichées.
Le projet
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Le projet de diplôme que je propose, répond aux besoins des villageois. Le but est d’amener les services des villes dans les villages, tout en gardant la sensation d’être << Chez-soi >> qu’ils retranscrivent. Y maintenir des commerces permet de conserver une vie sociale, un lieu d’animation, afin d’éviter le repli sur soi-même qui est un fait souvent observé chez les personnes âgées. Ceci permet aussi à une population de garder son autonomie grâce à des produits de base. Le village se retrouve ainsi indépendant, tout en créant quelques emplois. Créer deux Pop Up stores qui permettent aux habitants d’avoir accès à de l’alimentation et des services. Le premier passe deux fois par semaine et propose des denrées alimentaires de base provenant dans la mesure du possible des produits de la région. Un service de commande annexe permet aux villageois de préparer leur liste de courses et de venir les chercher au Pop Up store. La présentation des produits se fait avec le minimum de packaging. Le Pop Up Store alimentaire passe tout les matins chez les différents agriculteurs de la région afin de collecter les produits nécessaires à la vente Le deuxième met à disposition des services tels que : coiffure, pédicure, manucure et aide administrative. Un tournus mensuel est établi dans les différents villages de la région. Le Pop Up store de service passe deux fois par mois et est sur place en même temps que le premier qui lui passe plus régulièrement. Le projet: Deux espaces sont déplaçables et modulables. Ils amènent produits et services dans les villages. Ainsi, pour les personnes à mobilité réduite, l’accessibilité aux différents services est améliorée, leur évitant la solitude, la dépendance et le changement de résidence. L’empreinte écologique et économique est atténuée en réduisant les vas-et-viens entre villes et villages et en employant quelques personnes au fonctionnement de ces espaces. Situation financière : Proposer aux communes de participer en offrant une aide financière aux commerçants prenant en charge un Pop Up store, en échange des services amenés aux citoyens. Ecologie : Tout nouveau projet qui se construit se doit d’y intégrer une donne écologique. Il est aujourd’hui important d’élaborer des idées adaptées au monde actuel dans lequel le développement durable tient une place très importante. Apporter un service dans les villages en essayant de laisser une empreinte écologique minime. Le consommateur doit se sentir impliqué dans la construction d’un tel projet.
Analyse du marché
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Situation actuelle Problématique Concurrents Etude de marché Diagnostic S.W.O.T Conclusion
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Situation
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La Suisse compte 2596 communes au 1er janvier 2010. Le village se conçoit comme un espace de vie où le lien social est omniprésent : tous les villageois font partie de la communauté. Les lieux de services sont des lieux de convivialité où se créent et se renforcent les liens sociaux, piliers de la vie locale. Les habitants des villages ont fait le choix d’y vivre mais travaillent en ville, profitant aisément des services proposés par ces dernières. L’important vieillissement de la population amène à s’interroger sur l’évolution de la prise en charge des personnes dépendantes, dont le nombre ne cessera d’augmenter dans les années à venir. Il est indispensable, face à une population vieillissante à mobilité réduite, de maintenir ces commerces qui font vivre les coeurs de nos villages.
Problématique
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L’accessibilité Aujourd’hui, un village sur deux n’a plus de commerce et ne dispose d’aucun service. Les habitants doivent donc se rendre en ville afin d’y avoir accès. Cela pose un réel problème aux personnes à mobilité réduite. Les petits villages ruraux sont des lieux désertés où les lieux de vies et de rencontres sont quasi inexistants. De 1995 à 2005, le nombre de magasins alimentaires a reculé de 15.6%. Ce recul s’explique en plus grande partie par la fermeture des petits commerces ( surface de vente de moins de 400m2). Les petits magasins de villages tendent à disparaître au profit de centres commerciaux construits sur des sites ayant fonction de centre. L’accessibilité d’une région est un élément important de la compétitivité d’un site. L’analyse se concentre sur l’accessibilité d’un centre depuis la métropole la plus proche. La situation topographique et la faible densité d’habitation dans les vallées alpines et dans l’arc jurassien se traduisent par des durées de déplacement plus longues et/ou par une offre de transports publics moins étoffée. L’impact écologique et pratique créé par les habitants se déplaçant, en voiture, vers les villes est énorme. Le fait de devoir se rendre en ville pour pouvoir bénéficier de certains services est une raison de s’abstenir de ces derniers, parfois au détriment de la santé.
Problématique
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Durée de déplacement en transport public Jusqu’au centre de la prochaine région métropolitaine la plus proche en 2005
Durée de déplacement en transport individuel motorisé Jusqu’au centre de la prochaine région métropolitaine en 2005
L’examen des cartes révèle que les déplacements jusqu’à la région métropolitaine la plus proche durent moins longtemps avec le trafic motorisé individuel qu’avec les transports publics. Le trafic individuel permet une accessibilité distribuée plus uniformément.
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AccessibilitĂŠ aux magasins alimentaires
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La dépendance des personnes âgées
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Le vieillissement de la population s’accélère et se poursuivra au cours des 30 ans à venir La Suisse passera de 7,4 millions de résidants permanents début 2005 à 8,2 millions en 2036 selon le nouveau scénario de référence réalisé par l’Office fédéral de la statistique (OFS). La population âgée de 65 ans ou plus augmentera de plus de 90% au cours de cette période, alors que la population de 20 à 64 ans baissera légèrement de 4% et que la population de 0 à 19 ans diminuera de 15%. La dépendance est plus prononcée en milieu rural : 32% se déclarent autonomes contre 51,5% en zone urbaine. Parmi les personnes s’estimant dépendantes, 41% jugent ce phénomène léger, 19% le considèrent modéré (aide pour les activités domestiques, les courses ou la gestion du budget) et 8% estiment souffrir d’une perte d’autonomie sévère avec le recours à une assistance pour les gestes de tous les jours, comme l’habillement ou la toilette. Hors situation de dépendance déclarée, 45% des sondés bénéficient de l’aide de leur entourage pour les tâches et les difficultés du quotidien. Dans ce cas, le conjoint est sollicité près de six fois sur dix.
Veille concurrentielle
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Camion Migros : Des camions qui transportent aussi un bout d’histoire. Depuis 1933, les fameux porte-drapeaux de la coopérative s’en allaient chaque semaine dans le fond des vallées, pour ravitailler les villageois en aliments frais, conserves ou produits ménagers. Adieu veau, vache, cochon, couvée… Ce commerce ambulant se développa jusqu’en 1983. Cette année-là, il y avait douze camions et un chiffre d’affaires qui approchait les 20 millions de francs, mais à partir de 1990, leurs jours étaient comptés. Ce service devenait de plus en plus coûteux, de la taxe poids lourd à la licence du camion-vente. Au moment de décider d’investir ou non dans le renouvellement de son parc camions, Migros a donc préféré, à contre-cœur jeter l’éponge plutôt que de continuer à travailler à perte. S’ils continuaient à les prendre en charge, c’était d’abord parce qu’il y avait encore une clientèle, des personnes âgées surtout qui n’avaient pas la possibilité de se déplacer pour se ravitailler. Un lieu de rendez-vous Ces camions, en Valais, qui transportaient aussi un morceau d’histoire. C’est à travers eux, que la coopérative a commencé à se faire connaître avant d’emporter les grosses parts de marché qu’on lui connaît aujourd’hui. Ce qui, à l’époque, aurait provoqué quelques batailles épiques avec les commerçants du cru. En fait, selon Roland Duchoud, ces magasins roulants représentent beaucoup plus qu’un point de vente: «c’est un lieu de rencontres, avec les autres personnes du village, et d’amitié avec les chauffeurs et vendeuses qui depuis des années assurent ce rendezvous hebdomadaire.» A croire le directeur de Migros-Valais, ce qui se passe autour des camions-magasins ferait certainement un bon sujet de recherche pour des étudiants en mal de sociologie. Il a sans doute raison. Comme lorsqu’il dit que le camion, «ça remplace aussi le bistrot pendant une petite demi-heure»! Conclusion : - Le renouvellement des camions Migros était trop cher. - Lieu visuellement peu attractif. - Un service à la clientèle minime, puisque c’est le conducteur qui fait office de caissier. - La marchandise est la même que celle dans tout les magasins d’alimentation. + Lieu de vie et d’histoire + Offre un accès aisé à de la marchandise
Veille concurrentielle
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Caritas : Désormais, les épiceries Caritas vont se déplacer: depuis la fin 2009, une région de Thurgovie sert de cadre à un projet-pilote. Un camion de vente se rend deux fois par semaine dans la partie sud du canton. Cela permet, par exemple à la commune de Sirnach, d’avoir accès à l’assortiment des épiceries Caritas. Des régions ont ainsi accès à une épicerie qu’il serait impossible d’exploiter avec un lieu de vente fixe. Les personnes disposant d’une carte de légitimation peuvent se procurer des produits alimentaires et des articles de consommation courante à des prix très réduits, ce qui soulage grandement leur budget souvent très serré. Une bonne partie de l’assortiment des épiceries Caritas provient de la surproduction, des problèmes de livraisons, des fins de série et des liquidations de quelque 300 fournisseurs, parmi lesquels on compte des entreprises comme Migros, Coop, Denner ou Nestlé. Conclusion : - Projet a l’état pilote - L’accès est reservé aux personnes disposant d’une carte de légitimation. - Produits que l’on trouve dans tous les magasins d’alimentation ( fin de séries ).
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SWOT Opportunités et menaces : anticiper ce qui va influencer l’activité. Opportunités
: Peu de commerces et services dans les villages. * Economique : Marché très peu développé ou en péril. * Démographique (besoins des consommateurs) : Il y a un réel besoin dans les villages. * Marché Produits : Frais et de la région. Contrôle de qualité. * Menaces : Les services existants où le consommateur a déjà ses habitudes. * Concurrence Distribution : Plus de choix dans les villes. * Forces et faiblesses : comment l’entreprise peut tirer parti des opportunités et se préserver des menaces. Forces sur le marché: quasi inexploitée, développer l’ittinérance plutôt que le * fiPosition xe. de la distribution : la rendre plus attractive . * Maîtrise Innovation, maîtrise technologique : présentation novatrice . * Image de marque : proximité avec le consommateur dans le but de lui * montrer qu’on lui offre « un mieux » rerprésentant de nombreux avantages du
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point de vue de l’écologie et de son confort : de grandes économies en déplacements et « packaging » . Relation entre les agriculteurs et les consommateurs qui peut-être se connaissent.
Faiblesses en grande quantité. * Développer Trouver tous les partenaires. * Offre stricte
Marché
Entreprise
Forces
Marché inexploité Distribution attractive Innovations Image de marque
Faiblesses Développer en grande quantité. Trouver tous les partenaires.
Opportunités
Menaces
Economiques Démographiques Besoins du consommateur
Habitudes du consommateur Choix de produits
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Le consommateur responsable Résurgence des valeurs morales ? Vers une communication éthique des entreprises…
Avec l’émergence de la conscience environnementale et la sensibilité grandissante aux problématiques de développement durable, le consommateur semble avoir pris conscience des limites de son modèle de consommation classique. 69 % des personnes interrogées pensent qu’il faut « remettre de l’ordre ». C’est une prise de conscience générale. Les mentalités évoluent et le consommateur sait qu’il va devoir renoncer à un certain type de consommation. Mais s’il aspire au changement quelque soit sa génération, il ne souhaite pas renier son confort de vie : un retour aux fondamentaux mais pas un retour en arrière ! Le consommateur plébiscite certaines valeurs, il devient moraliste. Cette évolution transparaît à travers une volonté de contrôle plus importante. L’entreprise est désormais interpellée par les consommateurs sur son fonctionnement. Les délocalisations, la pression sociale, le mal être et la souffrance morale des employés. On assiste à une revalorisation de l’éthique dans la communication des entreprises et des marques. L’émergence des tendances responsables et des valeurs morales des marques. Les gestes durables, la consommation bio ou de produits issus du commerce éthique reçoivent un écho plus que favorable de la part des consommateurs. Parmi les personnes interrogées sur la fréquence de certains gestes durables, 70 % d’entre elles affirment ne jamais jeter leurs piles dans les poubelles ; 30 % des 35-49 ans consomment au moins une fois par mois des produits bios, et 22 %, des produits issus du commerce équitable. Consommer raisonnable et responsable devient une demande de plus en plus pressante des consommateurs. Pour les marques et les entreprises, cet élan vers plus de responsabilité et d’éthique devient une valeur marchande. Les facteurs d’une communication morale de marque, qui passent par l’acceptabilité sociale, son bien fondé, parfois un référentiel aux valeurs patriarcales et aux tendances émergentes et enfin une caution morale, ne sont pas seulement un retour aux valeurs traditionnelles. Les marques sont confrontées à deux grands groupes de consommateurs. On trouve, d’une part, les « Eco-responsables » représentés par des femmes et des seniors (59 % ont plus de 45 ans). Ils sont préoccupés par l’avenir de la planète et très actifs au quotidien. Critiques envers les marques, ils ont une sensibilité alter-marquée et un fort besoin de nature. D’autre part, les « Eco-idéalistes », plus jeunes (60 % ont moins de 35 ans), sont, eux aussi, préoccupés par l’avenir de la planète mais sont peu actifs. Ils expriment une certaine inquiétude et anxiété mais aiment la mode et la consommation.
Conclusion
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Fermeture des petits magasins Une des principales causes de la fermeture des magasins de proximité dans les villages est due à l’émergence des surfaces commerciales citadines vendant des produits semblables, moins chers et de moins bonne qualité. La population se déplace donc jusque dans les villes, pour du moins cher, au détriment des petits commerces.
La nécessité de garder des commerces Plusieurs raisons de maintenir ce type de commerce: La première est économique: On peut créer quelques emplois dans des villages qui n’ont quasiment pas d’entreprises et permettre, par la présence de toutes les denrées de base, à une population d’un certain âge d’être encore autonomes et aux éleveurs et agriculteurs d’avoir du travail et de la clientèle. La deuxième raison est sociale: Maintenir des commerces dans nos villages permet de le faire vivre socialement. En effet, cela créé des lieux de rencontres voir même d’animations dans des territoires où les structures de loisirs et la présence des services publics font défauts. Ainsi, on évite le replis sur soi-même qui est un fait très observé, notamment chez les personnes âgées, dans les villages isolés qui ne disposent plus de lieux comme ceux-ci.
Marcel et Célestine arrive sur un marché inexploité ou délaissé. Des projets on été mis en place sans succès face à l’ampleur que prennent les grands magasins. Aujourd’hui le consommateur prend conscience de la donne écologique concernant sa consommation alimentaire. Il se pose les bonnes questions mais les grandes enseignes n’y répondent pas correctement. Migros et Coop commencent à proposer des produis du terroir preuve qu’il y a une réelle demande. Malheureusement les produits de «chez-nous» se retrouvent voisins en étalages de mangues, ananas et autres produits à l’empreinte écologique importante. Le but est de créer deux espaces qui ne seraient pas que des lieux de consommation mais aussi des espaces de vie social et respectueux de notre planète.
Communication
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Démarche marketing * * * *
Segmentation Consommateurs Marketing Mix Portefeuille d’activités
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Segmentation
Diviser le marché en groupes de consommateurs ayant des besoins, des caractéristiques, des comportements différents et qui nécessitent différents produits ou différents marketing mix. Consommateurs Consommateurs des villes
Consommateurs des villages De tous sexe et âges confondus
Grands magasins
Epiceries spécialisées
Discounters
Se rendent dans les villes
Achats directs aux producteurs
Epiceries de village
de 16 à 20 ans : Lorsque le déplacement en ville indépendant n’est pas possible. de 20 à 70 ans : Pour avoir accès à des produits de la régions sans devoir se déplacer jusqu’en ville ou de passer de maraîcher en maraîcher. Pour se dépanner lorsqu’il manque quelque chose de 70 à 110 ans : Afin de pouvoir faire ses courses sans devoir être dépendant.
Qui est le consommateur
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Les consommateurs touchés par le projet sont les habitants des communes et villages n’ayant pas accès, depuis leur lieu de résidence, à un magasin alimentaire et à différents services. La Suisse compte 2596 communes au 1er janvier 2010. Population résidante permanente selon les régions urbaines, les régions rurales et les grandes agglomérations, de 1981 à 2008
Conclusion : Lors de l’étude des cartes nous pouvons remarquer qu’il y a eu une forte augmentation de l’accroissement de la population en régions rurales dans les années 1991. C’est dans ces régions que l’accroissement était le plus fort. Ensuite l’accroissement à fortement baissé dans toutes la Suisse. De 1997 à aujourd’hui les régions rurales subissent le taux d’accroissement le plus bas derrière les régions urbaines.
Les consommateurs
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Les consommateurs
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Article
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Démographie Suisse : augmentation et vieillissement de la population, les défis qui s’imposent Dans vingt ans, la population suisse connaîtra un vieillissement accéléré. Combiné à l’immigration, ce phénomène induira de profonds bouleversements sociaux, Une curieuse coïncidence veut que dans vingt ans, en 2030, la génération la plus nombreuse jamais observée en Suisse prenne sa retraite. Les 131’000 baby-boomers de 1964 fêteront leurs 65 ans. A partir de cette date, l’Office fédéral de la statistique (OFS) table sur un vieillissement accéléré et inéluctable de la population suisse. Dans tous les cantons, le pourcentage de personnes de plus de 65 ans s’élèvera à plus de 20% et la croissance de la proportion des grands seniors sera massive (80% de 80 ans en plus d’ici à 2030). Les régions alpines et rurales seront particulièrement touchées par le phénomène. Les cantons urbains comme Genève, Vaud ou Zurich bénéficieront de flux migratoires assez important pour permettre de rééquilibrer leur pyramide des âges. Avec un rapport entre actifs et retraités, qui passera de 2 à 1 (contre 4 à 1 actuellement), les conséquences socio-économiques seront multiples. «La société n’aura pas d’autre choix que de s’adapter à son vieillissement», explique Philippe Wanner, professeur de démographie à l’Université de Genève. Les adaptations seront d’abord d’ordre économique, avec la baisse des rentes et une inévitable prolongation du temps de travail. «Les entreprises devront valoriser l’expérience des anciens et aménager un environnement de travail qui leur convienne», estime René Knüsel, professeur de politique sociale à l’Université de Lausanne. Les bouleversements seront encore plus profonds au niveau social. «Nous assisterons certainement à une renégociation des rapports intergénérationnels. Actuellement déjà, les aînés sont sur-représentés dans les lieux de décisions politiques et possèdent une proportion énorme de capitaux. Le phénomène va s’accentuer et créer des générations «sandwich», qui devront travailler pour soutenir leurs parents et leurs grands-parents, mais aussi leurs enfants pour lesquels l’entrée dans la vie professionnelle se trouve sans cesse retardée.» C’est justement des centres urbains que viendra le salut, pour Jean-Bernard Racine, spécialiste en géographie urbaine à l’Université de Lausanne. «Le mode de vie urbain deviendra incontournable pour les Suisses du futur. Lieu de service, de mixité sociale et de mobilité performante, la ville permet de répondre aux besoins des seniors, tout comme à ceux des migrants et des familles.» Pour le professeur, les principaux enjeux consistent à donner à l’espace urbain des formes et un aménagement satisfaisant sur le plan esthétique, écologique et social. Il faudra investir massivement dans des transports publics performants et densifier les centres pour stopper le mitage des campagnes. Par Geneviève Ruiz
Le marketing mix
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Les 4 P
* Produit
: Deux Pop Up stores, du design, un lieu social, des services. Des produits alimentaires de base, de la région et frais.
* Prix
: Par exemple carte de fidélité pour le coiffeur, offres et promotion sur certains produits.
* Place
: Points de vente dans les villages. Présence du Pop up store alimentaire 2 jours par semaine dans chaque village en fonction de la demande
* Promotion
: Journaux locaux, affichage sur les véhicules, affichage dans les villages, flyers.
Pop Up store 1: services
Portefeuille d’activités Analyse : Pop Up Store services.
Podologue : Soins de premier recours des pieds, la podologie prend en compte les problèmes, les douleurs, les manifestations locales et systémiques liées à cette partie du corps.
Services :
Coiffeur : En Europe, 114 millions de femmes vont chez le coiffeur, en moyenne une fois par mois
Aide administrative : Lorsque l’habitant n’a pas d’ordinateur ou d’imprimante. Pour tous les papiers trop compliqués Manucure : s’occupe de la remise en état ou de la mise en beauté des mains. Soin des mains, crevasses, allergies, coupures ou simple soin esthétique.
fréquence : Lorsque un problème survient
fréquence : Tous les 1-2 mois
fréquence: Une fois par mois
fréquence: Une fois par mois
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Pop Up store 2 : alimentation
Le portefeuille d’activités
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Analyse : Pop Up Store 2.
légumes fruits
produits laitier
Produits de la région
Alimentaire :
Alimentation base
maraîcher
fromage beurre yaourt Lait
Fromager
pain
Boulanger
viande
Boucher
riz pâtes farine
Produits issus du commerce équitable et bio
de
Produits de base
Non-alimentaire :
de saison
Céréales Café
ciseaux piles ampoules médicaments ...
Les produits
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Laitiers : Consommation de lait et de produits laitiers par habitant En 2008, la consommation par habitant de yogourt, de beurre, de crème, de fromage et de boissons lactées a légèrement augmenté, comme l’indiquent les premiers chiffres de la statistique laitière 2008. Chaque personne a consommé en moyenne 394 kilogrammes de lait. En comparaison européenne, avec près de 400 kilos par an, les Suisses comptent toujours parmi les plus importants consommateurs de lait. Le lait est vendu grâce à un distributeur. Marcel et Céléstine passe chercher le lait à la ferme tous les matins. Les restes de lait invendus sont retournés le soir à la ferme pour nourrir les veaux. Fromage et beurre: Les Suisses sont de grands amateurs de fromage. Ils n’en mangent pas moins de 20 kilos chacun par année. Marcel et Céléstine proposent quelques sortes de fromages tel que : du fromage frais, à pâte dure et une nouvelle sorte de fromage spéciale à chaque mois. Problématique : Marcel et Céléstine passe tous les matins au stockage des produits afin d’optimiser son parcours
Viande Avec 25,2 Kg chaque année par habitant, le porc reste la viande la plus appréciée des Suisse, suivi du boeuf, avec 10,2 Kg. Les volailles ont également davantage été prisées 10,1kg. La consommation d’agneau reste faible, 1,47 Kg par habitant. Les viandes de cheval, de chèvre, le gibier et le lapin représentent moins de 1Kg de la consommation par an et par habitant. Où achète-t-on de la viande? La Suisse compte près de 1700 boucheries, avec une part de marché de 25%. Les grands distributeur Migros et Coop écoulent à eux deux environ 70% de la viande. Les 30% restants se vendent chez divers détaillants et distributeurs directs.
Les produits
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Fruits et légumes Nouveau record: 113 kg de légumes consommés par chaque Suisse par année! Les Suissesses et les Suisses font toujours plus appel pour leur alimentation à des légumes frais. En 2008, la consommation par habitant a augmenté de 4,6% pour atteindre le niveau record de 113 kg par personne/année. La tendance à l’augmentation s’est ainsi poursuivie l’année dernière et montre que les consommatrices et consommateurs de notre pays prennent davantage conscience de leur santé sur le plan de la nutrition. Avec raison, car les légumes contiennent beaucoup de vitamines, de sels minéraux, de fibres alimentaires et pratiquement pas de graisse. Une grande partie des légumes provient à cette époque de l’année de la production suisse. Les légumes les plus appréciés sont les carottes, tomates, salades, oignons, poireaux, courgettes et concombres. En achetant directement à la ferme, ou dans une épicerie attenante à la terre d’un producteur qui s’initie à la vente directe. Les gens recherchent cette authenticité. C’est une manière de revenir à une relation producteur- consommateur plus saine.
Tableau des fruits et lĂŠgumes de saison
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Conclusion
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Fiche technique : Pop Up store 1
: propose plusieurs services tels que : coiffeur, manucure, pédicure, impression et aide administrative. Il passe 3 fois par mois en proposant un service différent à chaque fois. Il se retrouve sur place en même temps que le Pop Up store alimentaire.
Fiche technique : Pop Up store 2
: propose de l’alimentaire, des produits frais de la région. Il passe 2 fois par semaine dans chaque village.
Lorsque le Pop Up store de service fait sa tournée il est présent dans le village le même jours que celui alimentaire. On peut à ce moment accoler les deux éléments qui ne forment plus qu’un. La place du village devient alors un lieu de vie animé où il fait bon passer un moment même si l’on n’a besoin de rien, juste pour le plaisir de sortir dans son village. Le projet arrive sur un marché inexploité, offrant des produits de qualité sans passer par de l’importation étrangère. Le but n’est plus uniquement de consommer et même de sur-consommer mais de le faire correctement en respectant nos ressources. Pour la construction de la marque il faut donc créer une identité attractive, de proximité et ainsi miser sur le lien social entre tous les acteurs : agriculteurs, maraîchers, vendeurs et consommateurs.
Construction de la marque *
Contenu de la marque
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Expression de la marque
* Mission * Valeurs * Identité esthétique * Choix * Logo Code * Dress * Packaging publicitaire * Communication * Architecture * Plans
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Définition de la mission
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Objectifs d’ensemble La mission : Le but de l’entreprise, est de redynamiser l’économie de la région et d’apporter au habitants des services et de l’alimentaire qui sont aujourd’hui quasi inexistants. Sous forme de Pop Up store afin de créer du dynamisme. L’écologie est une valeur que défendent aux maximum les Pop Up stores. La conviction qui guide l’entreprise est de répondre à un besoin commercial et social. L’entreprise est guidée par la différentiation, le choix et le besoin. Le marché visé est celui des villages les consommateurs sont de tous âges et sexes confondus
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Valeurs *
Proximité
: maintenir et moderniser les petits commerces de proximité. Rendre les produits plus accessibles .
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Plaisir
: créer des places de travail qui permettent aux employés de s’inverstir avec plaisir. Offrir des services et des produits qui créent du plaisir chez la clientèle.
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Accueil
: un service personnalisé, une aide aux personnes âgées, des conseils sur les produits.
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Petit service VS grand magasin : moins de choix mais plus de qualité et de produits du terroirs.
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Engagement local
: être un lieu de rencontre et d’échange. Permettre aux personnes à mobilité réduite de pourvoir faire leurs courses indépendamment des autres. Soutenir le développement des «paysans » en ayant des produits de la région et en favorisant le Bio local.
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Engagement écologique
: remplir et vider le camion dans l’itinérance. Passer prendre la marchandise chez les paysans, ce qui réduit les intermédiaires et les déplacements
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Identité Le nom de la marque - Marcel et Célestine.
La clientèle touchée est celle des villages, une marque portant un prénom permet de créer une proximité avec le consommateur. Marcel et Célestine, des prénoms du terroir et convivial, pour chaque Pop Up store.
Le logo
R : 116 V : 92 B : 36
Le brun, couleur de la terre, du sol et du feuillage d’automne
R : 186 V : 199 B : 51
Le vert, couleur de la nature, il est doué d’un pouvoir de régénération, car il capte l’énergie solaire et la transforme en énergie vitale.
Dress Code
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Un dress code à la mode pour ne pas tomber dans les clichés fermiers. Les codes couleurs de la marque sont conservés.
Packaging
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L’emballage du lait « Marcel et Célestine » est en verre réutilisable. Ainsi lors d’achat de lait une bouteille est préalablement achetée et reutillisée lors de chaque achat. Pour le transport de plusieurs bouteilles de lait, Marcel et Célestine a créer un porte bouteille en carton reutilisable et solide La viande est emballée dans du papier Kraft recyclé résistant à la graisse, de qualité alimentaire, répondant aux normes d’hygiène suisse. Les produits sont emballés chez le boucher et arrivent chez Marcel et Célestine prêts à la vente. Les emballages pour les produits laitiers sont les mêmes que pour la viande : papier Kraft recyclé résistant à la graisse, de qualité alimentaire et répondant aux normes d’hygiène suisse.
Tendances Packaging produits laitiers
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Tendances Packaging viande
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Packaging Packaging produits laitiers
LAIT MILCH LATTE LAIT MILCH LATTE LAIT
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Packaging Packaging viande
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Publicité
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La publicité selon Marcel et Célestine est basée sur 2 axes : Une première est axée sur les personnes n’ayant pas accès à internet ou n’ayant pas de smartphone. La publicité va être donc exprimée sur des affiches publicitaires, des flyers, et du courrier. Le deuxième propose de la publicité grâce aux nouvelles technologies comme internet et applications pour smartphones. Ainsi un public large est touché. Les personnes âgées, les seniors sont touchés par de la publicité qu’ils comprennent. Les hommes d’affaires, les papas, les mamans, les jeunes sont au courant des nouvelles de Marcel et Célestine grâce à des technologie qui les accompagnent tout les jours.
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Page internet
Le site internet est simple à utiliser et donne toutes les informations possibles sur la marque et ses acteurs. www.marceletcelestine.ch
Marcel et Célestine
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Marcel et Célestine
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Application iphone L’application iphone permet de savoir en tous temps où sont Marcel et Célestine.
MC
MC
Marcel et Célestine e
Marcel et Célestine
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M
En ce moment
Marcel services Célestine alimentation
PublicitĂŠ Marcel
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PublicitĂŠ Marcel
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Publicité Célestine
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Publicité Célestine
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Les espaces
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Marcel et Célestine en image : Il faut créer des espaces modulables qui se ferment afin de passer dans les villages et sur les routes étroites. Qui s’ouvrent pour créer du passage entre les différents présentoirs et mobiliers. Les Pop Up stores doivent aussi s’ouvrir vers l’extérieur afin d’offrir de la convivialité. Pour le clientèle les présentoirs doivent permettre une accessibilité aisé à la marchandise.
Tendances Tendances extĂŠrieures
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Tendances Tendances intĂŠrieures
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Espace Marcel Vue extérieur Chaque espace est tracté par un véhicule aux couleurs de la marque.
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Espace Marcel
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Vue intérieur Le mobilier mobile est stocké dans les armoires lors des déplacements. Des parois en verre sablé permettent d’apporter de la lumière naturelle à l’intérieur et ainsi de créer un lien vers l’extérieur tout en gardant une discrétion pour les utilisateurs.
Espace Marcel
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Vue intérieur, espace bureau avec accès internet, imprimante et aide administatif. L’habitant a la possibilité de venir seul et de travailler sur un ordinateur ou il peut demander de l’aide et des conseils au responsable présent sur place.
Espace Marcel
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Vue intérieur, espace coiffure, manucure, pédicure. L’espace est modulable selon le service du moment. Ainsi coiffeur, pédicure et manucure se partagent le même lieu de travail, des jours différents.
Espace Célestine Vue extérieur
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Espace Célestine Vue intérieur, zone de caisse.
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Espace Célestine
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Vue extérieur. L’espace est ouvert sur l’extérieur afin de diminuer l’aspect commercial au profit du social.
Marcel et CĂŠlestine Marcel et CĂŠlestine
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Plan espace Marcel SchĂŠma : ouverture de lâ&#x20AC;&#x2122;espace
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Plan espace Marcel
1100
2500 mm
1400
ElĂŠvation
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Plan espace Marcel Plan
4000 mm
1000
500
4000 mm
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300
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1100
1000
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Plan espace Marcel Flux
entrĂŠe et sortie
Zone administration et ordinateur
Zone coiffure pĂŠdicure manucure
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Plan espace Célestine Schéma : ouverture de l’espace
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Plan espace CĂŠlestine
1100 mm
200
200
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Elevation
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Plan espace CĂŠlestine Plan
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4000 mm
200
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390
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210
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Plan espace Célestine Flux
entrée Zone fruits et légumes distributeur de lat
Zone produits autres
Zone produits laitiers
Zone viande
Zone pain Zone caisse
sortie
Conclusion
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Afin de répondre à un problème actuel, présent dans mon village, j’ai décidé de créer ce projet : Ici les personnes âgées déménagent, car elles n’arrivent plus à remonter, à pied, faute de moyens de transports, leurs courses chez elles. Déménager, pour se rapprocher des centres urbains est devenue une nécessité, à laquelle j’ai eu envie de répondre par une autre solution. Devoir se rendre en ville pour, ne serait-ce qu’acheter du souper, demande à tous de l’autonomie et du temps. Sachant qu’un magasin fixe n’est pas rentable, ni viable dans chaque petit village, je me suis donc basée sur le modèle des vendeurs ambulants amenant leurs produits auprès des habitants, Actuellement ces marchands, se retrouvent sur les marchés hebdomadaires, qui ont lieu, à nouveau, dans les villes. Mon envie était de créer une marque, totalement transparente sur ses produits, qui tente de répondre, aux besoins généraux des habitants vivant dans ces villages. De nos jours, il est important d’être attentif à l’écologie, que ce soit au niveau des transports, dans le tris des déchets, mais aussi dans notre assiette. J’ai souhaité amélioré l’accessibilité aux produits locaux, des maraîchers et agriculteurs, en les réunissant dans un même lieu. J’ai eu un réel plaisir à développer ce projet, en m’intégrant et me référant à des lieux existants. Quant au marketing, une grande partie de mes recherches s’est effectuée, sur le terrain. J’ai réalisé une base solide, avant de poursuivre par la partie créative. Ce projet est donc réalisable et prêt en vue d’un développement technique. Ce travail de diplôme est la concrétisation de ces deux années de formation, de cours de marketing, desing, 3D, informatique, de la psychologie du consommateur, du merchandising,... et surtout de la créativité. Je termine cette formation, enrichissante professionnellement, grâce aux différents partenariats et à un enseignement qui m’ont permis de me confronter à des marques, qui ont toutes des attentes et des problématiques différentes. Merci Maïa
Bibliographie Internet : http://www.google.com http://www.youtube.com http://www.dailymotion.com http://www.deviantart.com http://www.flickr.com http://www.largeur.com/?p=2891 http://www.bfs.admin.ch/ http://www.swissinfo.ch/ http://www.viandesuisse.ch http://www.swissmilk.ch http://www.geopopulation.com/ http://www.lemarchedesseniors.com/ http://www.oecd.org/ http://www.thetrendygirl.net/ http://www.conseil-economique-et-social.fr http://annecom.numeriblog.fr/ http://accompagnerlavie.net/ http://www.lematin.ch/ http://www.unccas.org/ http://www.terrenature.ch/ http://www.hls-dhs-dss.ch/ http://www.biomasseenergie.ch/ http://www.commentcamarche.net/ http://www.thetrendygirl.net/ Journaux Le Matin Le Nouvelliste Le Temps 20 Minutes L’illustré Télévision TF1 ARTE France 2 TSR 1
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Curriculum Vitae Briones Maïa
Rue St-Ours 36 Date de naissance 1926 Fully Nationalité 079/711 94 69 Etat-civil 027/723 20 54 brionesmaia@gmail.com http://maia-visualmerchandising.blogspot.com/
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03.06.1988 Suisse célibataire
Formations 2008-2010 2005-2008 2004-2005
Diplôme de Designer Visual Merchandiser Ecole supérieure de Visual Merchandising Design, Vevey CFC décoratrice, maturité professionnelle artistique et diplôme de l’école Ecole d’arts appliqués, Vevey Classe préparatoire section décoration Ecole des arts appliqués, Vevey
Expériences professionnelles Janvier - mars 2010 Décembre - mars 2010 Décembre - janvier 2010 Septembre - octobre 2009 Juin 2009 Janvier- mai 2008
Partenariat musée Sèvres Partenariat Breguet Partenariat TAG Heuer Partenariat Swissclinical Organisation journée du Visual Merchandising Partenariat Huguenin-Sandoz
Connaissances linguistiques Français Espagnol Allemand Anglais
Langue maternelle Connaissance de base B2 B1
Informatique Bonne maîtrise
MAC, Photoshop, Illustrator, Indesign, Word, Internet, Power point
Connaissances
Blender 3D
Intérêts Ski, vélo, lecture, créations manuelles, design, cuisine, architecture
Références
Viera Felipe Conception graphique 079/578 63 97 Rita Regamey responsable école supérieure de Visual Merchandising Design
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Remerciements
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Je tiens a remercier : M. Pérodeau et M. Clément pour leurs suivi et soutien comme mentors. Mme. Regamey et Mme. Beeler pour leur enseignement durant ces deux années d’étude. M. Vurlod pour sa patience et son aide avec Blender. M. Délis pour son avis objectif et ses conseils. M. Viera pour son aide sur Illustrator, Photoshop et Indesign. Myriam et Thibaud, pour leur soutien tout au long du diplôme. Laure pour les corrections d’orthographe et de syntaxes. Tous les élèves de l’ESVM10, une classe où l’ambiance et le partage étaient les maîtres mots.