1
Diplômé d’un master en architecture depuis Juin 2013, je souhaite trouver un poste en agence pour valoriser mon diplôme et approfondir mes connaissances en architecture. Depuis mon diplôme, j’ai pu travailler dans des domaines liés à l’architecture. Ces différentes expériences m’ont permis d’acquérir de nouvelles compétences que je mettrai en œuvre dans mon futur travail. Pendant 1 an, je suis parti en République Tchèque, à Brno, plus précisément où j’étais chargé de communication pour une alliance française. Au-delà du côté professionnel, j’ai pu découvrir une nouvelle culture, un nouveau pays. Je suis curieux et je sais m’adapter à chaque situation. A l’obtention de mon diplôme, j’ai monté mon studio créatif, où je conseille des particuliers à propos de leur projet en décoration et aménagement d’intérieur. Le respect, l’écoute du client est primordiale pour moi. J’ai pu apprendre à être professionnel, et à répondre aux problématiques et aux attentes de mes clients. Ces différentes expériences m’ont enrichi. Je souhaite aujourd’hui me confronter aux projets d’architecture dans sa globalité. Curieux, passionné, créatif et exigeant sont des termes qui me caractérisent.
2
3
4
SOMMAIRE PROJETS ACADEMIQUES
HABITER LA VERTICALITE Logements collectifs
BARCELONE
2011
p.8
LE LABYRINTHE Experimentation
EX-SITU
p.16
2011
La Maison du Paysage Equipement public
GRAND MONCHAU
UN toit pour habiter Maison individuelle
2012
p.26
Séminaire sous la direction de l’architecte Aires Mateus
LISBONNE
2013
p.42
REGENERATION URbaine Concours urbanisme
LIEGE 2013
p.50
PROJETS PERSONNELS
UN GARAGE, UN STUDIO Transformation
LYS-LEZ-LANNOY
2014
p.60
UN NID PERCHe Surélevation
CALAIS 2015
p.64
5
6
PROJETS ACADEMIQUES
7
HABITER LA VERTICALITE BARCELONE
Année d’étude : BAC 3 Type de projet : Logements collectifs Projet individuel
Coincée entre une barre montagneuse et la mer Méditerranée, la ville de Barcelone ne peut plus s’ étendre que par la verticale. Cette question est assez récurrente dans les villes où la démographie ne cesse d’ augmenter et les logements deviennent une denrée rare. Le site du projet de logements collectifs est situé en plein cœur du plan Cerda. Le but du projet est de réinterpréter cet îlot en questionnant la densité urbaine. La qualité de vie, l’apport en lumière et le vivre-ensemble sont des questions récurrentes dans les projets de logements collectifs. Ce questionnement est devenu l’un des moteurs de celui-ci. En gardant la même base qu’un îlot Cerda, 110m par 110m, l’îlot se veut être un bloc qu’ on casse en 3 morceaux distincts afin de laisser pénétrer un nouveau flux, un nouveau passage, un passage vert. Cette respiration verte permet aux Barcelonais de sortir de ce plan très strict et de créer un nouvel espace de rencontre. Espace vert, salle commune, restaurant, commerce de proximité animeront le quotidien de l’îlot. Des lieux de rencontre parfois sportif (terrain de sport, de pétanque..) d’autre fois culturel (galerie, atelier d’artiste...) seront là pour des rencontres intergénérationnelles. L’îlot est conçu pour que chaque appartement ait un apport en lumière important. Pour la plupart, les appartements sont traversants avec un espace extérieur individuel important.
8
0 5 10
20
50
L’ ensemble résidentiel est ouvert au public et aux non-résidents des immeubles afin de créer comme un ‘‘court-circuit’’ dans le plan Cerda. En périphérie extérieur des immeubles, le rez-de-chaussée est occupé par des magasins de proximité. Cela permettra de redynamiser les rues, en les rendant plus attractive. Le collectif et les rencontres se feront essentiellement à l’intérieur de l’ilot, grâce à de grands espaces verts et de lieux de rencontre comme une salle polyvalente, des ateliers qui sont réservés aux habitants des logements. Des jardins partagés seront installés pour favoriser les échanges et la transmission intergénérationnelle. Le croisement des chemins intérieurs mènent au centre de l’ilot à l’endroit où est installée la salle polyvalente /la bibliothèque, élément central des logements collectifs.
9
0
10
5
10
15
25
PLAN MASSE 1/500ième PLAN DE SOL 1/200ième
ELEVATION / RUE DE1/500ième PROVENCA COUPE TRANSVERSALE
1/500ième
ELEVATION / RUE D’ARIBAU 1/500ième COUPE LONGITUDINALE 1/500ième
PLAN MASSE 1/500ième L’ expression de la façade donne l’impression d’un bloc creusé dans la masse avec des ouvertures régulières. La continuité de la façade de l’extérieur vers l’intérieur de l’îlot est conçue pour donner cette impression d’un prolongement de la rue à l’intérieur de celui-ci et donc créer une confusion entre intérieur et extérieur.
ELEVATION / RUE DE PROVENCA
ELEVATION / RUE D’ARIBAU PLAN DE SOL 1/200ième
1/500ième
1/500ième
COUPE TRANSVERSALE 1/500ième
0
11
5
10
15
25
L’ ensemble des logements se présentent de la même façon. Les pièces de jour sont bordées par des blocs contenant les pièces de mille. De plus, l’ entrée dans le logement se fait par un bloc et donc permet une certaine distance avec les pièces de jour. Cette di journée. Les deux espaces extérieurs offrent un endroit particulier pour les locataires, car c’est un lieu entre l’intime et le public , l’ en jardin d’hiver, l’autre un balcon classique donnant sur la rue. Ces deux balcons permettent aux pièces de jour d’être en retrait
12
0
1
5
2
10
nuit et techniques - salles de bains et cuisine. Celles-ci sont donc au centre du logement, le lieu de rencontre idéal pour la faistance crée un sas de décompression. Les logements sont traversant et donc l’ apport en lumière est continu tout au long de la ’intérieur et l’extérieur. Les deux balcons offrent des options différentes. L’un est une loggia qui peut se fermer et se transformer de la rue et de la lumière. Ce retrait est une solution au climat dans la ville de Barcelone.
13
14
15
LE LABYRINTHE EX-SITU
Année d’étude : Master 1 Type de projet : Expérimentation Projet de groupe (6 personnes) Atelier Blanckaert -Verschueren / Professeur invité : Hervé Brunon Intitulé : ‘‘Aujourd’hui, de quoi et comment le labyrinthe est-il la métaphore d’aujourd’hui ?
Le labyrinthe est un dispositif architectural ancestral. L’homme a toujours eu un rapport particulier avec ce dispositif. Il a parcouru l’Histoire sous différentes formes et il est toujours sujet à des fantasmes. Le labyrinthe est un tracé sinueux muni d’impasses et de fausses pistes. Il est principalement destiné à perdre ou à ralentir celui qui cherche à s’y déplacer. Le projet veut mettre en exergue le labyrinthe comme l’archétype de la connaissance. L’homme, l’initié doit affronter ce tracé sinueux. Son parcours est un chemin d’épreuves dont l’initié doit faire face. L’homme qui au gré de ses expériences, se trompe. Avec ses multiples erreurs, l’initié a pu acquérir de la connaissance. Cette connaissance, il peut la mettre à son service pour ne pas répéter les mêmes fautes. Il sait ce qu’il doit faire pour avancer. Le projet, le labyrinthe est composé d’une multitude de pièce connectée les unes aux autres par des ouvertures, des portes. L’initié doit ainsi faire des choix pour arriver à un but. Dans la conscience humaine, il existe toujours une sorte de fascination quant au but, à la finalité d’un labyrinthe. La finalité de celui-ci est un écrin de verdure coupé du reste du monde. L’initié peut l’apercevoir avant même son entrée dans le dispositif par une faille. Le jardin l’accompagnera tout au long de son parcours. L’initié découvrira cet écrin de différents points de vue.
16
17
0
18
1
2
5
10
0
19
1
2
5
10
Le processus d’ élaboration du cheminement du labyrinthe débute par un plan simple fusionné avec un chemin symbolique reprenant le même tracé que le labyrinthe qu’ on retrouve dans la cathédrale d’Amiens.
20
Mais pour que le dispositif soit plus fiable, un système d’ ouverture permet de différencier les différents cheminements selon le type d’ouverture : porte de service, porte et ouverture. Ces différentes ouvertures desservent différentes pièces dont la taille est variable. Ce système permet à l’initié d’avoir la connaissance nécessaire pour qu’il accède à l’ écrin de verdure.
21
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
Le dispositif, le labyrinthe peut se définir à différentes échelles : l’ échelle de la résidance privée, de la ville ou du territoir sance que nous pouvons trouver notre chemin.
22
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
re. Cette extrapolation fait comprendre que nous sommes dans un perpetuel labyrinthe et il n’y a qu’avec la connais-
Boucher - Bousquet -Heugues - Hoedts - Quargnul - Remondino REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
23
24
25
LA MAISON DU PAYSAGE GRAND MONCHAU
Année d’étude : Master 1 Type de projet : Equipement public Projet individuel Atelier Blanckaert -Verschueren
Le hameau du Grand Monchau se situe en Belgique et plus précisément au cœur du parc naturel appelé Pays des collines. Ce parc englobe une dizaine de commune. Le pays des collines est un territoire imprégné d’une forte identité. Le hameau du Grand Monchau regroupe une quarantaine d’habitation parsemée à travers le paysage très dense. Le projet consiste à créer un équipement public, la maison du paysage. Le seul autre édifice du hameau est l’église Saint Antoine de Padoue, situé dans la partie basse du hameau. L’église est surdimensionnée par rapport à la taille du hameau. La maison du paysage se veut être une réponse par rapport à cet édifice, un rapport entre le profane et le sacré s’installe. Celle-ci sera située dans la partie haute du hameau afin de déterminer un trait d’union entre les deux édifices, entre les deux parties du hameau. L’édifice essaye de rassembler les différentes pièces de paysages qui constituent le hameau en les révélant, les identifiant. Entre les deux édifices s’installent un chemin, enfin deux chemins, l’un plus cartésien qui suit la voirie actuelle, se situant sur l’épine dorsale de la colline sur laquelle le hameau se situe. L’autre chemin est plus sensorielle. Il traverse les différentes pièces de paysage afin que les visiteurs puissent comprendre le Paysage.
26
0
27
20
50
100
200
La topologie Le hameau du Grand Monchau est situé sur une topologie assez dense. La route principale qui relie les deux édifices se trouve sur l’arrête, l’épine dorsale de la colline. Le hameau se retrouve de par la topologie en deux parties, une partie basse, une partie haute.
28
2 1
5
4 3 5 pièces constituant le Paysage Le hameau du Grand Monchau peut diviser son paysage en 5 pièces de paysage. 1- La partie haute du village / 2- La forêt du flanc nord / 3- La forêt flanc sud / 4- la plaine / 5- La partie basse du village.
10
29
50
Un édifice haut, un édifice bas
Deux promenades, une cartésienne, une sensorielle
De part et d’autre de la crête
Tendre une ligne entre deux édifices
30
0
31
10
20
50
La masse L’ édifice est conçu comme une masse, un volume qu’ on vient implanter, ancrer dans le sol.
Le cheminement Un escalier tel un cheminement desserre tous les étages. Sinueux, il représente la promenade sensorielle créée entre les deux édifices.
Les vues Chaque étage offre une vue sur une pièce de paysage du hameau du Grand Monchau. Chaque étage donne alors un nouveau point de vue sur le Paysage.
32
33
34
0
1
2
3
35
36
0
37
5
10
20
Faire d’un village, une maison de paysage
38
39
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
BOUCHER Mathis REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
40
41
UN TOIT POUR HABITER GUINCHO
Année d’étude : Master 2 Type de projet : Résidence privée - 5 espaces de vies aux fonctions variables Projet collectif (groupe de 3) Séminaire sous la direction de l’architecte Aires Mateus
Le projet se situe sur les côtes portugaises dans la commune de Guincho. Le site est désertique, accidenté et très rocailleux. Les falaises sont très abruptes laissant place par la suite à une plage. La seule présence de l’homme sur le site est le Fort de Velas. Ce dernier a été édifié en 1642. Ces murs épais ont servi à la défense de l’Atlantique lors de la deuxième guerre mondiale. Le projet doit reprendre 5 espaces définis par des actions : séjourner, dormir, cuisiner, travailler et se laver. Pour répondre au seul témoignage de l’homme sur le site, le Fort de Velas, et avec cette nature hostile à l’homme, le projet est défini par la pose d’une ligne horizontale pure, le toit, contrastant avec l’horizontalité accidentée du site. Cette confrontation donne naissance à l’habitation. Poser un toit à un endroit représente le sens le plus primaire de la notion habiter. Sous ce toit, les pièces sont creusées, façonnées pour correspondre aux attentes de chaque pièce. Ces dernières ont chacune un rapport à la roche, au paysage et à la lumière, unique. Les pièces les plus intimes ont un rapport à la roche très proche à contrario des pièces de vie, où les ouvertures sont plus grandes, plus importantes. Les visiteurs doivent avant d’atteindre la résidence, parcourir un chemin à travers le paysage, pour s’ enfoncer dans la roche. Ils auront un rapport particulier à cette dernière. Les visiteurs pourront redécouvrir le paysage à travers chaque pièce.
42
0
43
5
10
20
L’ escalier central joue le rôle de colonne vertébrale de l’habitation en déservant toutes les pièces. 44
0
45
1
2
5
46
0
47
1
2
5
10
SĂŠjourner
Travailler
48
Dormir
Cuisiner
49
REGENERATION URBAINE DU PAYS NOIR AU PAYS VERT Liège Année d’étude : Master 2 Type de projet : Concours d’urbanisme organisé par Projet collectif (groupe de 5)
Le site qui nous a été proposé se situe en milieu périurbain de Liège. Il est marqué par les fractures de l’autoroute et du train réduisant les liens physiques et sociaux entre Ans et Saint Nicolas à quelques points, et enclavant toute une frange de territoire située entre ces deux infrastructures. Ces constats nous ont mené à la critique de la société actuelle : densification des centres et périphéries des villes existantes jusqu’à, à terme, presque disparition des espaces ouverts en ville, mobilité favorisant les grands trajets et la grande vitesse car éloignement, centralisation et sectorisation des fonctions (travail et loisirs) par rapport au logement. Ces trois phénomènes liés contribuent à l’éclatement des réseaux sociaux. Ils favorisent les liens familiaux et professionnels au détriment de certains autres liens (marginalisation et exclusion des personnes âgées, méconnaissance du voisinage…). En travaillant loin, la personne active prend du temps pour son trajet quotidien logement/travail et ne profite plus de son logement, n’a plus le sentiment d’appartenance ni à son quartier ni à sa ville, car il n’a simplement plus le temps de s’y investir. Ainsi les réseaux de connaissances ne s’entremêlent plus et restreignent l’interaction entre les individus. La société idéale est retissée de réseaux sociaux plus solides et entremêlés, du logement au quartier, du quartier à la ville, de la ville au territoire, favorisant la mixité sociale, culturelle et professionnelle ainsi que les liens intergénérationnels. La recherche d’une certaine isotropie sur le territoire permettrait de retisser ces liens sociaux. L’isotropie, « décrit une situation physique dans laquelle on n’a pas de direction privilégiée ». La trame, le maillage a donc été pour nous l’outil qui semblait le plus approprié pour répondre à cette notion d’isotropie. Cela nous a paru intéressant alors de tenter de superposer des trames sur les 3 thèmes qui posaient question à la base sur le site : la pérennisation des espaces ouverts (a fortiori la question de la densification), la mobilité, et la répartition spatiale des fonctions. Ces 3 trames pouvant être déclinées par mise en abîme, de la plus locale des échelles (l’architecture) à la plus globale(le territoire). 50
51
52
53
54
55
56
57
58
PROJETS PERSONNELS
59
UN GARAGE, UN STUDIO LYS-LEZ-LANNOY
Type de projet : Transformation - Résidence privée Dimension : 35m² Budget : 15000 euros
Situé dans une rue calme de Lys-lez-Lannoy, le projet consiste à la transformation d’un garage d’environ 35m² en une habitation éphémère, destinée à la location temporaire, vacances ou voyage d’affaire. Les modifications ont été nombreuses pour faire d’un garage, une habitation saine, isolée et toute équipée. Les ouvertures existantes ont été toutes modifiées, des allèges ont été supprimées ou rajoutées afin d’apporter un maximum de luminosité et d’optimiser l’ espace. Avec environ 35m², le but de l’aménagement a été d’ouvrir un maximum l’espace, tout en identifiant les différents espaces. Les espaces techniques - cuisine/salle de bains - sont situés côté rue pour former une épaisseur pour préserver un peu d’intimité. Les pièces de vie sont tournées vers l’ espace de verdure. Le studio est conçu pour les séjours de courtes durées. L’impression de volume et d’espace était primordiale. Tous les espaces sont ouverts - à part la salle de bains - pour garder visuellement un maximum d’espace. Mais pour différencier les espaces, une différence de niveau a permis de définir l’espace nuit. Pour un peu plus d’intimité et de chaleur, le coin nuit peut se fermer par un rideau entourant la pièce. Cette différence de niveau a été permise grâce à l’importante hauteur sous plafond. L’ espace est optimisé à son maximum, avec des solutions pour apporter le peu de meuble possible et offrant un espace maximum.
60
61
0
62
1
2
0
63
1
2
UN NID PERCHE CALAIS
Type de projet : Surélévation - Résidence privée Dimension : 30m² Budget : NC
Le projet se situe dans un contexte résidentiel assez hétéroclite, les pavillons des années 80 se mélangent aux maisons de ville des années 30. Ce dernier consiste à réaliser une surélévation d’une dépendance - ici, un garage - afin de créer un logement indépendant au logement principal. La surélévation est conçue comme un volume posé sur l’existant. La lecture de l’ensemble permet de comprendre que le volume est un logement indépendant à la résidence principale. Avec sa porte d’entrée donnant sur la rue, le locataire pourra se sentir chez lui et non chez son propriétaire. Le projet est une construction entièrement en bois. Avec ses propriétés, la construction bois semblait être une option intéressante, car il permet d’avoir une structure légère. Le bois choisi est le mélèze noir. Cette matérialité donnera au volume une identité forte à ce projet. Installé verticalement, les lames de mélèze auront continuité entre les murs et les pans de toiture. Les ouvertures permettent de suivre la course du soleil tout au long de la journée. Mais pour préserver l’intimité des différentes parties, aucune ouverture n’est orientée vers l’habitation principale. L’aménagement intérieur de la surélévation définit différents espaces. Grâce à une hauteur suffisamment importante, l’espace nuit est situé au-dessus de la salle de bain, en hauteur pour permettre plus d’intimité. Il sera comme un nid perché. L’ escalier et la plateforme sont réalisés en bois, essence bouleau. Cette réalisation permet de renforcer cette idée de cabane en hauteur.
64
65
0
66
1
REZ-DE-CHAUSSEE 3
0
67
1
1ier ETAGE 3
0
68
1
3
0
69
1
3
70
71
72
CONTACT boucher.mathis@gmail.com 06.67.77.58.84 / 07.86.63.58.00 73
74