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PAR SAMANTHA MCRAE, DIGITAL MEDIA MARKETING ASSISTANT

Alexy Leger est un étudiant passionné qui travaille avec Labos Créatifs en tant que mentor STIMA depuis 2020. Alexy s'est engagé dans le domaine de la technologie dès un jeune âge et a passé l'été dernier à organiser des camps sur la cybersécurité, la programmation, la biofabrication et bien plus encore ! Il étudie présentement à l'Université de Moncton avec une concentration en informatique et espère poursuivre une carrière dans le domaine de la technologie.

Comment êtes-vous entré en contact avec Labos Créatifs ?

Nous avons eu un atelier de cybersécurité à notre école secondaire et nous avons fait une démonstration avec les b.Boards. J'ai eu la chance d'apprendre à coder en me connectant au nuage Labos Créatifs et j'ai expérimenté avec des lumières DEL contrôlées par la météo. Tout cela était très cool ! Quelques mois plus tard, la pandémie a frappé et en juin, j'ai reçu un appel de mon enseignant de technologie m'informant que Labos Créatifs recrutait et qu'il pensait que je serais un bon candidat. C'est ainsi que j'ai obtenu le poste. J'ai discuté avec Jeff et quelques semaines plus tard, je suis devenu un mentor STIMA.

Avez-vous toujours été intéressé par l'informatique ?

Oui ! Je m'intéresse à l'informatique depuis longtemps. Quand j'étais jeune, j'avais l'habitude d'appeler mon oncle parce que mes parents avaient souvent des virus sur leur ordinateur. Il travaillait pour Microsoft et m'a appris à réinstaller Windows chaque fois que nous avions un virus. C'est ainsi que j'ai commencé à m'intéresser à la technologie et je l'ai toujours admiré.

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Nous avons eu un atelier de cybersécurité à notre école secondaire et nous avons fait une démonstration avec les b.Boards. J'ai eu la chance d'apprendre à coder en me connectant au nuage Labos Créatifs et j'ai expérimenté avec des lumières DEL contrôlées par la météo. Tout cela était très cool !

Quel était votre rôle en tant que mentor STEAM ?

Nous organisions des camps dans le sud-est du NouveauBrunswick sur Scratch, TinkerCad, la biofabrication et la cybersécurité. Nous organisions des ateliers où les enfants pouvaient créer des jeux ou des conceptions 3D. Beaucoup d'entre eux aimaient créer des jouets. Un de nos campeurs a construit des pièces de rechange pour ses

legos. C'était une expérience vraiment agréable.

Pouvez-vous partager un moment où vous ou vos campeurs ont été engagés d'une manière qui vous a influencé ?

Lorsque j'ai fait équipe avec Evan et Greyson pour organiser le camp d'été virtuel sur la cybersécurité. J'ai vraiment apprécié ce camp et j'ai eu l'occasion d'en apprendre beaucoup sur le terminal linux et la programmation. C'était une barrière importante pour moi, je n'avais jamais programmé auparavant et je n'avais jamais utilisé de commandes. Labos Créatifs m'a donné l'occasion de briser cette barrière et de voir que ce n'est pas si compliqué et que j'aimerais faire cela à l'avenir. Cela a vraiment confirmé pour moi que je voulais continuer avec l'informatique dans mes études postsecondaires. Dans ce cas, mon inspiration et mon engagement peuvent être attribués au fait de travailler avec une équipe formidable et aux opportunités qui m'ont été présentées par Labos Créatifs.

Pourquoi pensez-vous que les laboratoires créatifs sont importants dans les écoles ?

Nous n'avions pas de laboratoire créatif dans mon école, mais je pense qu'il est important d'y avoir accès ou de faire appel à l'équipe des Labos Créatifs, car il s'agit d'une installation essentielle pour développer des idées. Je m'intéresse beaucoup à la robotique et si j'avais eu la chance d'accéder à l'un de ces espaces, j'aurais pu utiliser cette pratique pour apprendre à construire un robot. J'aime beaucoup apprendre par la pratique, et lorsque je suis en mesure de construire mon propre robot, j'apprends aussi bien le côté mécanique que le côté programmation. Lorsque j'ai participé à des compétitions de robotique, j'ai eu l'occasion de vraiment développer mes compétences. Il est important pour les élèves qui apprennent kinétiquement d'avoir un espace où ils peuvent fabriquer. J'ai vraiment apprécié ce camp et j'ai eu l'occasion d'en apprendre beaucoup sur le 2 2 terminal linux et la programmation. C'était une barrière importante pour moi, je n'avais jamais programmé auparavant et je n'avais jamais utilisé de commandes. Labos Créatifs m'a donné l'occasion de briser cette barrière et de voir que ce n'est pas si compliqué et que j'aimerais faire cela à l'avenir.

Il est important pour les élèves qui apprennent kinétiquement d'avoir un espace où ils peuvent fabriquer.

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Que fabriquez-vous ?

Je construis des robots ! En fait, je viens de me joindre à l'équipe de robotique de l'Université de Moncton, alors c'est quelque chose que j’aime beaucoup faire. Je viens d'être accepté dans l'équipe aujourd'hui, alors j'ai hâte d'en apprendre davantage.

Quels conseils donneriezvous à d'autres étudiants qui s'intéressent à la technologie et qui cherchent un moyen d'éveiller leur intérêt ?

La programmation est généralement le point de départ de l'apprentissage des logiciels. En matière de programmation, la meilleure façon d'apprendre à programmer est souvent d'expérimenter ! Jouez avec, voyez comment certains blocs de code se comportent et poussez le code à ses limites. J'aime casser mon propre code, car cela me permet de voir les limites de mon robot ou du code luimême.

ALexy et Nos mentors d'été de Moncton ont été invités à rencontrer l'honorable Ginette Petitpas Taylor, ministre des Langues officielles et ministre responsable de l'Agence de promotion économique du Canada atlantique.

Quelle est la prochaine étape pour vous ?

J'aimerais me diriger vers le développement de logiciels. J'étudie actuellement l'informatique à l'Université de Moncton. Je ne sais pas exactement où je vais aller, mais je suis très inspiré par mon oncle, comme je l'ai mentionné. Il travaille chez Amazon et il m'a dit qu'il m'aiderait à obtenir un stage. Je sais avec certitude que là

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Jouez avec, voyez comment certains blocs de code se comportent et poussez le code à ses limites. J'aime casser mon propre code, car cela me permet de voir les limites de mon robot ou du code lui-même.

5 5 Je sais avec certitude que là où j'aimerais finir, c'est dans le domaine de la technologie, peut-être même de la cybersécurité. Je suis ouvert à différentes opportunités.