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Vivre son design pour un projecteur : un exemple
En résumé.
Le projecteur a besoin de lâcher prise. Il ne doit pas chercher à tout contrôler. L’aura du projecteur fait le travail. Le projecteur obtient ce qui lui convient grâce à l’application de la stratégie et au respect de l’autorité intérieure. Le projecteur n'a rien d’autre à faire, que d’être lui-même et faire ce qu’il aime.
Sa vie ne nécessite aucune intervention. Il doit attendre et laisser la vie s'exprimer. Le projecteur doit cesser de chercher la reconnaissance extérieure en attirant l'attention, en prenant l'initiative de la conversation, en donnant des avis non sollicités ou en lançant lui-même des invitations. L'invitation vient lorsque le projecteur garde le silence. Il a besoin d’apprendre à rester tranquille et il ne doit pas chercher à attirer l'attention. L’aura du projecteur est puissante, elle attire l’attention et la reconnaissance des autres.
Cependant, pour que ça marche le projecteur doit rester tranquille. Pour que le projecteur dispose de l’énergie nécessaire à la manifestation, il doit avoir été reconnu et invité au préalable. Lorsqu’il a été reconnu et invité, le projecteur n’a pas besoin d’attendre une nouvelle invitation sur le même sujet. Le projecteur n’a pas besoin de prendre des arrangements ou faire des compromis. Lorsque le projecteur a le sentiment de ne pas être reconnu, c’est peut-être parce qu’il perturbe son aura en tentant d’attirer l’attention ou parce que le temps est mal choisi ou encore parce qu’il est en présence de gens qui ne lui conviennent pas. À lui de découvrir laquelle de ces situations s'applique. Lorsque le projecteur a été formellement invité, l'énergie nécessaire à la manifestation circule en lui, car il est un intermédiaire, un conducteur de l'énergie. L’énergie n'est pas la sienne, toutefois, il peut en faire usage aussi longtemps qu'il y est invité. Le projecteur qui doute, peut vérifier par lui-même ce qui se produit, lorsqu’il invite les autres plutôt que d’attendre d’être invité. En étudiant son schéma corporel, le projecteur peut identifier ce pour quoi il devrait être reconnu et l’examen du schéma corporel des personnes de l’entourage, lui indique ce qui est complémentaire. Le projecteur bénéficie d’une analyse approfondie, car elle lui permet d’identifier ce pour quoi il devrait être reconnu et orienter son étude du design humain. Le projecteur devrait faire l’expérience d’attendre d’être invité à aller au cinéma ou invité à dîner par un ami. Lors de cette expérience, il ne devrait pas prendre l’initiative de la conversation, mais plutôt attendre qu’on lui adresse la parole. Lorsque l’énergie ou l’intérêt pour une invitation diminue, il est possible que l'invitation « ait été retirée » ou le travail complété sans que le projecteur le sache. Dans ce cas, le projecteur peut alors avoir l’impression que quelque chose ne fonctionne pas. L’argent, l'intérêt, le support, le temps, etc. peuvent avoir disparu. Lorsque cela se produit, le projecteur se doit de discuter de la situation avec celui qui a lancé l’invitation. Lorsqu’il a répondu à l'invitation, le travail du projecteur est fait. Si le travail n’est pas reconnu, le non-soi conditionné par l’ouverture du projecteur peut en être responsable. Le projecteur peut s'être accroché (le centre splénique ouvert), il n’a peut-être pas su quand s’arrêter (le centre du sacral ouvert), ou peut-être
qu’il a voulu prouver sa valeur (le centre du coeur/ego ouvert). L'invitation était peut-être incorrecte ou encore la peur a pu en être la cause, etc. Le projecteur a besoin d’apprendre à faire confiance à ce qu’il est, à son schéma corporel et à son aura. Il est entre bonnes mains, on prendra bien soin de lui.
Le succès est la signature et l’objectif du projecteur.
La thématique du non-soi du projecteur est l’amertume. Le projecteur existe pour reconnaître le caractère unique et le potentiel de l’autre, il est apte à lui servir de guide en lui posant les bonnes questions, tout en n’ayant aucune attente préalable. La bonne question peut conduire au satori (éveil spirituel) ou à l’éclatement, elle peut transformer l’autre ou l’éveiller à sa propre vérité. Le projecteur ne peut pas se permettre d’être avec les mauvaises personnes, car il n'a aucun moyen de se protéger. En attendant l'invitation dans le respect de son autorité intérieure, le projecteur acquiert la capacité de sélectionner les bonnes personnes et il peut les guider correctement par la suite. Grâce à sa capacité de poser les bonnes questions, le projecteur peut goûter à la douceur du succès. Le projecteur peut réussir et avoir du succès, même s’il est un type non énergétique.
Quelques projecteurs célèbres.
Nelson Mandela, J.F. Kennedy, la Reine Elizabeth II, Fidel Castro, Joseph Staline, Karl Marx, Baghwan Shree Rajneesh, Mick Jagger, Barbara Streisand, Marilyn Monroe, Woody Allen, Steven Spielberg, la Princesse Diana, Thomas Gottschalk, Berthold Brecht, Ralph Nader, kd Lang, Kirstie Ally, Whoopi Goldberg, George Clooney, Jon Bon Jovi, Demi Moore, Denzel Washington, Goldie Hawn, Ron Howard, Melissa Etheridge, Katharine Hepburn, Josh Groban, Diane Keaton, Ringo Starr et Candice Bergen.
Si la vie était une partie de foot.
La position du projecteur est celle du milieu de terrain. Il se déplace entre les attaquants (les manifesteurs) et les défenseurs (les générateurs). Il contrôle le jeu et favorise le travail en équipe. Il envoie la balle aux attaquants et facilite le travail des défenseurs. Le projecteur est doué pour coordonner le travail des joueurs, il voit où l'énergie peut être utilisée efficacement. Les connaisseurs disent qu’un match se perd ou se gagne au milieu du terrain.
Vivre son design pour un projecteur : un exemple.
Le schéma corporel de ce projecteur présente une définition double. Le centre splénique est relié au centre de la gorge et le centre du cœur/ego est relié au centre G. L'autorité intérieure de ce projecteur est splénique, ce qui signifie qu’il est guidé par son intuition. La définition du centre du cœur/ego indique qu’il s’agit d’un projecteur énergétique. Il a besoin d’être reconnu et il doit attendre une invitation avant d'entreprendre quelque chose de nouveau. Ce projecteur a cinq centres ouverts, ce sont les centres de la tête, de l'Ajna, le centre du sacral, le plexus solaire et le centre de la racine. Il est important, pour ce projecteur, de comprendre le fonctionnement de sa définition double. C’est seulement de cette manière, qu’il peut savoir, qu’on le reconnait correctement. Les deux canaux définis dans ce schéma corporel sont « l’idée de génie, le design de la conscience profonde » et « l’initiation, le design du besoin d’être le premier ».
Ce projecteur a été conditionné pour agir en manifesteur et pour prendre spontanément des initiatives plutôt que d’attendre d’être reconnu et invité formellement. La définition du centre du cœur/ego incite ce projecteur à prendre des initiatives et à vouloir être le premier. La résistance est le seul résultat. Ce projecteur est très intuitif et il pressent ce qui va se produire. Cependant, il ne peut pas transmettre cette information à moins d’y être invité. Ce projecteur ne s’est jamais senti apprécié à sa juste valeur. Lorsque sa grande capacité à percevoir le potentiel de l’autre n’est pas reconnue, il se sent rejeté et il devient amer. Tout cela, parce qu’il ne sait pas attendre l’invitation. Avec le centre du sacral ouvert, ce projecteur ne sait pas quand s’arrêter ou lâcher prise, il continue de prendre des initiatives. Les portes pouvant relier ses définitions sont : les portes de l'armée (la porte 7), du créateur (la porte 1) et de la marche, de la pondération (la porte 10.) Ces trois ouvertures l’ont conditionné à se comporter en exemple modèle (la ligne 6 de la porte 10) et en administrateur (la ligne 6 de la porte 7) objectif (la ligne 6 de la porte 1). Ces conditionnements ont incité ce projecteur à prendre des initiatives et ont provoqué beaucoup de résistance.
Avec l’ouverture des centres de la racine et de la tête, ce projecteur subit d’importantes pressions qui le poussent à agir rapidement (le centre de la racine) et à aider les autres en leur faisant part de ses certitudes (le centre de la tête). Ces comportements du non-