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Œuvres critiques

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SEPULVEDA Luis, Le vieux qui lisait des romans d’amour, Éd. Métailié, 2004. BU salle de lettres : 860(8)"19" SEP 7 Vie=40

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Antonio José Bolivar Proaño est le seul à pouvoir chasser le félin tueur d’hommes. Il connaît la forêt amazonienne, il respecte les animaux qui la peuplent. Mais Antonio José Bolivar a une passion pour les romans qui parlent d’amour. Partagé entre la chasse et sa passion pour les romans, le vieux nous entraîne dans ce livre plein de charme dont le souvenir ne nous quitte plus.

TOURGUENIEV Ivan Sergueïevitch, Mon chien Pégase ; suivi de Le chien ; et Les nôtres, la Part commune, 2018. BU salle de lettres : 882"18" TUR 3 Mon=40

Grand amateur de chasse et de nature, Tourgueniev livre dans la nouvelle Mon chien Pégase une confidence émue sur les liens de profonde affection qui unissent le chien et son maître ; alors que dans Le chien, il aborde le genre fantastique et surnaturel.

VERCORS, Les animaux dénaturés, Librairie générale française, 1997. BU salle de lettres : 840"19" VERC 7 Ani

Dans ce roman, Vercors livre un des thèmes centraux de sa réflexion : en quoi l’homme est enfin homme et en quoi il est encore animal; comment l’instinct se dégrade ou se conserve à mesure que progresse l’espèce humaine.

Œuvres critiques

ALAMICHEL Marie-Françoise et BIDARD Josseline, Des animaux et des hommes, Presses de l’Université de Paris-Sorbonne, 1998. BU salle de lettres : 820.09"05/14" Des

L’objectif de ce recueil est de mieux faire connaître des œuvres écrites en vieil anglais et en moyen anglais, et de souligner l’importance des animaux dans la mentalité et la littérature médiévales anglaises.

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ARISTEI Maria Teresa, Le bestiaire dans l’œuvre théâtrale d’Armand Gatti, 2004. BU magasin : T 04 PA10-142 (2)

Thèse de doctorat : Ce travail de thèse est l’issue d’une rencontre avec un univers fantastique, celui des animaux et de leur place dans la dramaturgie d’Armand Gatti qui avoue un amour total et inconditionnel pour le règne animal.

ARMENGAUD Françoise, « Enfants et animaux dans la littérature jeunesse » L’école des parents, Sup. au 623, no 5, 2017, p. 187-208, [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne

ARMENGAUD Françoise, Apprendre à lire l’éternité dans l’œil des chats ou De l’émerveillement causé par les bêtes, les Belles lettres, 2016. BU salle de lettres : 82.09 ARM

La philosophe rassemble et commente des extraits littéraires, principalement poétiques, ajoutant sa propre réflexion aux textes choisis et rendant ainsi hommage aux émerveillements suscités par les bêtes.

ARMENGAUD Françoise, Requiem pour les bêtes meurtries: essai sur la poésie animalière engagée, Éd. Kimé, 2015. BU salle de lettres : 82.09-1 ARM

Une étude sur la poésie animalière engagée contre la maltraitance envers les animaux : corrida, chasse, cruauté, abattage, etc. La philosophe analyse les œuvres de poètes comme Aristophane, Aimé Césaire, Jacques Prévert, Victor Hugo ou encore Federico Garcia Lorca.

BARATAY Eric, « Belles captives: une histoire des zoos du côté des bêtes » in Beauté animale, Réunion des musées nationaux, p.196-209, 2012, [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne

BERNEZ Marie-Odile, « Les animaux de compagnie miroir de l’intime dans la Grande-Bretagne de la seconde moitié du dix-huitième siècle » , Centre Interlangue, 2012, non paginé, [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne

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La Grande-Bretagne du dix-huitième siècle connaît un grand développement des animaux de compagnie. Ceux-ci sont souvent utilisés dans les tableaux et la littérature pour symboliser leurs maîtres ou maîtresses. Ils signalent leur opulence, leur confort domestique, leur bonté d’âme, et révèlent donc comment les classes moyennes montantes mettent en avant leurs valeurs fondées sur la famille et la bonté.

CENTRE DE RECHERCHES SUR L’IMAGE LE SYMBOLE ET LE MYTHE, Le bestiaire: des animaux et des mots, Editions universitaires de Dijon, 2001. BU salle de lettres : 82.09 Bes

Que l’animal soit le tout autre ou le frère-pareil, c’est bien, dans les deux cas, en tant qu’objet de nature qu’il est posé. Or, à rebours de ces deux positions, qui se reflètent en miroir, il existe une tradition, selon laquelle l’animal n’a pas de réalité propre mais constitue un prolongement de la conscience et un reflet du désir. Détenteur d’un secret, l’animal du Bestiaire n’est donc pas ce qui s’oppose à l’humain mais ce qui permet, peut-être, d’en approcher l’énigme. CERQUIGLINI Blanche, Métamorphoses : d’Actéon au posthumanisme, les Belles lettres, 2018. BU salle de lettres : 870(082) Met

Actéon le chasseur transformé en cerf, Daphné en laurier, Zeus en taureau… les métamorphoses sont partout dans la littérature grecque et latine. Ces très anciens récits nous plongent dans les origines de nos grands questionnements sur la séparation entre l’homme et l’animal, sur la question des genres masculin et féminin, et sur le dépassement des frontières entre humain et machine. La centaine de textes réunis ici trace un pont entre les métamorphoses grecques et latines et le XXIe siècle du posthumanisme.

CHAN Tina, « Cœur d’animal : l’emploi des animaux pour établir le portrait de l’animalité chez les humains dans les œuvres littéraires et picturales à travers les âges » Voix Plurielles, vol. 14, no 1, 2017, [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne : Malgré le fait que, depuis les débuts de la civilisation, l’animal est considéré un être inférieur par l’être humain tandis que l’humain, posant un jugement sur la qualité de cet être, est son dominateur, les animaux sont souvent illustrés dans la littérature et dans les beaux-arts de façon positive. De ce fait, cet

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article propose de les voir d’une nouvelle perspective : l’animal n’est pas inférieur — il joue un rôle important. Cet article vise à démontrer que les animaux sont souvent employés en contrepoint des humains, qui sont inférieurs et qui sont, peut-être, aussi animalesques que les bêtes autour d’eux.

CHARDIN Philippe, « Jalousie des animaux et animalité de la jalousie » Roman 20-50, vol 52, no 2, 2011, p. 123-132, [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne

COLLINET Jean-Pierre, « La cigale et la fourmi » et ses images: interprétations et représentations, Éditions universitaires de Dijon, 2015. BU salle de lettres : 840"16" LAFO 8 Cig

« La cigale ayant chanté / Tout l’été, / Se trouva fort dépourvue / Quand la bise fut venue. [...] » , La cigale et la fourmi continue de hanter la mémoire collective au point que cette fable est devenue un véritable mythe littéraire. Or, malgré son apparente transparence, le récit a suscité des interprétations multiples, selon que l’on se sent plutôt fourmi ou plutôt cigale. DETAMBEL Régine, Colette: comme une flore, comme un zoo un répertoire des images du corps, Stock, 1997. BU magasin : XDF17882

L'œuvre de Colette fascine par un regard qui tisse entre les choses un réseau serré de correspondances au terme desquelles existe un univers cohérent et neuf. C'est à la recherche de cet univers qu'est allée l'auteur qui, en tant qu'oulipienne, ne pouvait qu'être attirée par l'extrême précision de son langage.

DONNEAU Olivier, « Les « bêtes à Bon-Dieu », un bestiaire au croisement des imaginaires hagiographique et carnavalesque », in Bêtes, saints, divinités, Masques et animaux dans la tradition européenne, Musée international du Carnaval et du Masque, 2004, p.24-33, [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne

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DUPUIS Danielle, « Des animaux et des hommes dans « La Comédie humaine » » L’Année balzacienne, vol 19, no 1, 2018, p. 267-296, [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne

De l’avis des sociologues, le comportement de l’homme vis-à-vis de l’animal domestique est révélateur de l’histoire et du mode de pensée d’une civilisation. On ne s’étonnera donc pas que le bestiaire de Balzac, historien des mœurs soit conséquent. ENGELIBERT Jean-Paul, CAMPOS Lucie et COQUIO Catherine, La question animale : entre science, littérature et philosophie, Presses universitaires de Rennes, 2011. BU salle de lettres : 82.09 ENG

Une « question animale » se pose avec insistance aujourd’hui : découvertes majeures en éthologie, mettant en évidence des cultures animales ; prolifération de discours philosophiques, d’essais littéraires consacrés aux bêtes qui questionnent les rapports entre raison et sensible ; développement d’une « éthique animale » et « environnementale ». Car cet intérêt se dessine sur fond d’extinction des espèces. L’idée surgit d’un « contrat » moral entre humains et animaux que l’époque moderne aurait rompu. Faut-il construire un tel contrat pour notre présent, et avec quels instruments ? Ou faut-il repenser de fond en comble nos rapports avec le monde animal ? FÜG-PIERREVILLE Corinne, LACHET Claude et LAVOREL Guy, Dictionnaire des animaux de la littérature française: hôtes des airs et des eaux, H. Champion, 2015. BU salle de lettres : 840(03) Dic

Une anthologie de textes littéraires qui évoquent les animaux volants ou aquatiques, en renvoyant à la Bible, à des œuvres de l'Antiquité jusqu'à l'époque contemporaine, en passant par les bestiaires médiévaux, Buffon, Michelet ou Flaubert.

GENOT-BISMUTH Jacqueline, Le grand chien lionsinge : bestiaire et symbolisme animal dans un texte du XIVe siècle le « Bisbidis », Université Paris X-Nanterre, 1975. BU magasin : XEP 42(6)

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HENANE René, Césaire et Lautréamont: bestiaire et métamorphose, l’Harmattan, 2006. BU magasin : XDF24033

Tout apparemment sépare Césaire et Lautréamont : le temps, l'espace, la culture et l'histoire. L'auteur étudie pourquoi Aimé Césaire se reconnaît en Lautréamont et pourquoi l'Antillais proclame sa filiation avec le Montévidéen. Ils s'expriment tous les deux dans les champs du bestiaire et de la métamorphose et leur vision tragique s'explique par l'expérience d'une profonde souffrance.

LA FONTAINE Jean de et CAMPION Pierre, Se rafraîchir à La Fontaine : l’animalité de l’homme dans les Fables, Ennoïa, 2004. BU magasin : XDF13996

Les Fables de La Fontaine rafraîchissent notre rapport aux animaux tout autant que l'animalité qui est en nous. Lectures de vingt de ces fables.

LAPLANTE Josée, « Des humains et des animaux dans L’œil américain et Le Moineau domestique » Voix Plurielles, vol. 5, no 2, 2008, [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne

LE NAN Frédérique et TRIVISANI-MOREAU Isabelle, Bestiaires: mélanges en l’honneur d’Arlette Bouloumié, Presses universitaires d’Angers, 2014. BU salle de lettres : 82.09 LEN

Une étude littéraire des idées et des croyances inscrites dans l’imaginaire des bestiaires d’écrivains. Du bestiaire de Pierre de Beauvais à celui de Jean Giono.

LEZAMA Nigel, PAPILLON Joëlle et PENATE Rocky, « Des animaux dans la littérature : du proche et du lointain » Voix Plurielles, vol. 12, no 2, 2015, p. 5358, [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne

LOUBES Jean-Paul, Notre dernière innocence : la condition animale, la littérature et nous, éditions fédérop, 2017. BU salle de lettres : 82.09 LOU

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Dans cet ouvrage, l’auteur après sa rencontre avec un chat - Tom le chat , est conduit à interroger les amitiés d’écrivains célèbres avec les animaux « notre dernière innocence ».

MAILLARD-CHARY Claude, Le bestiaire des surréalistes, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 1994. BU magasin : XD 13805

"La faune et la flore du surréalisme sont inavouables", déclare André Breton dans le Manifeste du surréalisme. Mais pas inavoués, si le discours est bien, comme l'espérait son premier et principal théoricien, libéré de toute entrave de la raison, de l'esthétique ou de la morale.

MEOT Valérie et BARRE Aurélie, Du temps que les bestes parloient: Mélanges offerts au professeur Roger Bellon, Classiques Garnier, 2018. BU salle de lettres : 82.09"05/14" BEL

Recueil de contributions de linguistique romane et d’études consacrées au monde animal dans la littérature médiévale, notamment dans les fables et les bestiaires.

MORANA-CORBEL Cécile, Le Bestiaire d’Aristophane, sn, 2002. BU magasin : T 02 PA10-155

Thèse de doctorat : Notre étude, centrée sur le « bestiaire » d’Aristophane, et non sur la faune présente dans son théâtre, s’est moins intéressée aux animaux en tant que tels qu’à ce que ces créatures révèlent de l’imaginaire et de la poétique du Comique lui-même, mais aussi du genre de la Comédie ancienne. Quelle est la part, dans la construction de ce bestiaire, des caractéristiques et des contraintes d’un genre traditionnel? Que doit-elle au génie et au projet poétique personnel d’Aristophane? MORILLO John D., The rise of animals and descent of man, 1660-1800: toward posthumanism in British literature between Descartes and Darwin, University of Delaware Press, 2018. BU salle de lettres : 820.09"17/18" MOR

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MORSE Deborah Denenholz et DANAHAY Martin A., Victorian animal dreams: representations of animals in Victorian literature and culture, Ashgate, 2007. BU salle de lettres : 820.09"18" Vic

La période victorienne a vu le début d’un débat sur le statut des animaux qui se poursuit aujourd’hui. Ce volume reconnaît explicitement la manière dont les délibérations du XXIe siècle sur les droits des animaux et le fait de l’extinction passée et future des animaux hantent la discussion sur l’obsession des Victoriens pour les animaux. Combinant une attention particulière aux détails historiques et un cadre analytique sophistiqué, les contributeurs examinent les différentes formes de domination humaine sur les animaux, y compris la possession imaginative d’animaux dans les domaines de la fiction, de la performance et des arts visuels, ainsi que le contrôle physique chasse, mise à mort, vivisection et enfermement.

NUEL Jean-Jacques, « Animaux » Moebius : écritures / littérature, no 144, 2015, p. 119-122, [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne

PAYNE Mark, The animal part: human and other animals in the poetic imagination, The University of Chicago Press, 2010. BU salle de lettres : 82.091 PAY

Imagining animals The abject animal The beast in pain: abjection and aggression in Archilochus and William Carlos Williams Destruction and creation: the work of men and animals in Gustave Flaubert, Gerald Manley Hopkins, and Ezra Pound Becoming something else Beyond the pale: joining the society of animals in Aristophanes, Herman Melville and Louis-Ferdinand Céline Changing bodies: being and becoming an animal in Semonides, Ovid, and H. P. Lovecraft

PENJON Jacqueline, L’animal dans le monde lusophone: du réel à l’imaginaire, Presses Sorbonne nouvelle, 2015. BU salle de lettres : 869.0.09 PEN

La place, le rôle et l’imaginaire de l’animal dans le monde lusophone à travers quatre thématiques : la relation de l’homme et de l’animal, le bestiaire et les métaphores animales en littérature, le regard des explorateurs face à la découverte d’une faune inconnue et la symbolique de l’animal au Brésil.

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ROBLES Mario Ortiz, Literature and animal studies, Routledge, 2016. BU salle de lettres : 82.09 ORT

Why do animals talk in literature? In this provocative book, Mario Ortiz Robles tracks the presence of animals across an expansive literary archive to argue that literature cannot be understood as a human endeavor apart from its capacity to represent animals. Focusing on the literary representation of familiar animals, including horses, dogs, cats, and songbirds, Ortiz Robles examines the various tropes literature has historically employed to give meaning to our fraught relations with other animals. Beyond allowing us to imagine the lives of non-humans, literature can make a lasting contribution to Animal Studies, an emerging discipline within the humanities, by showing us that there is something fictional about our relation to animals. Literature and Animal Studies combines a broad mapping of literary animals with detailed readings of key animal texts to offer a new way of organizing literary history that emphasizes genera over genres and a new way of classifying animals that is premised on tropes rather than taxa. The book makes us see animals and our relation to them with fresh eyes and, in doing so, prompts us to review the role of literature in a culture that considers it an endangered art form.

ROMESTAING Alain, Mondes ruraux, mondes animaux : le lien des hommes avec les bêtes dans les romans rustiques et animaliers de langue française (XXe-XXIe siècles), Éd. universitaires de Dijon, 2014. BU salle de lettres : 840.09-3"19/20"ROM

Le regain actuel d’intérêt pour les animaux résulte de profonds changements socioculturels, de préoccupations environnementales et des progrès considérables de la recherche scientifique. Dans le domaine littéraire, cet intérêt se manifeste également. Que ce soit dans des œuvres du début du XXe siècle ou dans des œuvres postérieures et même contemporaines, le monde rural favorise les “communautés hybrides” (Lestel) et ouvre à des “mondes animaux” (Uexküll), ce qui permet de poser d’autant mieux la question cruciale des liens entre hommes, bêtes et écriture.

ROUMETTE Julien, SCHAFFNER Alain et SIMON Anne, Romain Gary, une voix dans le siècle, Honoré Champion éditeur, 2018. BU salle de lettres : 840"19" GARY 8 Rom

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Des études explorent l’œuvre variée de cet auteur aux univers multiples afin de cerner ce qui en fait l’unité : une fidélité aux idéaux de la France libre, une attention au vivant et à l’animalité, une oralité teintée d’humour et une inventivité verbale exceptionnelle.

ROUSSET Dominique « L’animal est l’avenir de l’homme (1/5) : Humanité, animalité : où sont les frontières ? » Matière à penser, France Culture, 4 février 2019, [consulté le 25 février 2019], émission à podcaster

De la connaissance scientifique sur l’animal à la préservation de la biodiversité, en passant par de brûlantes questions éthiques et judiciaires, « Matières à penser » s’intéresse cette semaine aux animaux. Ce soir, avec Yves Christen, biologiste, éthologue et journaliste scientifique.

- « L’animal est l’avenir de l’homme (2/5) : Répondre à l’appel des animaux » Matière à penser, France Culture, 5 février 2019, [consulté le 25 février 2019], émission à podcaster

Ce soir, avec Corine Pelluchon, philosophe et professeure à l’Université de Marne-la-Vallée

- « L’animal est l’avenir de l’homme (3/5) : Aimer la biodiversité ou partir avec elle » Matière à penser, France Culture, 6 févier 2019, [consulté le 25 février 2019], émission à podcaster

Ce soir, avec Gilles Boeuf, biologiste, professeur à l’Université Paris I Sorbonne.

- « L’animal est l’avenir de l’homme (4/5) : Contre l’animal, la guerre sans nom » Matière à penser, France Culture, 7 février 2019, [consulté le 25 février 2019], émission à podcaster

Ce soir, avec Vincent Message, écrivain et maître de conférences à l’Université Paris 8

- « L’animal est l’avenir de l’homme (5/5) : L’animal saisi par le droit » Matière à penser, France Culture, 8 février 2019, [consulté le 25 février 2019], émission à podcaster

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Ce soir, avec Claire Vial, directrice de l’Institut de Droit Européen des Droits de l’Homme.

SERVAIS Véronique, « Entre enfants et animaux, une communication subtile –V4 » , in L’enfant, l’animal, une relation pleine de ressources, Eres, 2017, p. 77-87 [consulté le 25 février 2019], consultable en ligne

SIBONA Bruno, Homo porosus: l’homme poreux et ses animaux intérieurs, Éd. universitaires de Dijon, 2014. BU salle de lettres : 82.09 SIB

Ces cinq études – Abeille ; Héron ; Cheval ; Serpent ; Phoque – traitant d’auteurs aussi divers que Virgile, Michelet, Byron, Hugo, Sartre ou Novarina, couvrent une recherche approfondie sur l’animalité humaine. Elles analysent cette position centrale que l’animal occupe dans l’imaginaire artistique des créateurs, comme support et illustration de l’inspiration poétique elle-même.

SIMON Anne, « Les études littéraires françaises et la question de l’animalité (XXe-XXIe siècles) : bilan et perspectives en zoopoétique » Épistémocritique, vol 13, 2014, [consulté le 27 février 2019], consultable en ligne

SIMON Anne, Animalité / humanité : politique et littérature, Séminaire de L’EHESS, 2015, [consulté le 25 février 2019], vidéo consultable en ligne :

TALAN Max, Nomenclature et symbolique du Bestiaire dans les œuvres de Georges Bernanos, sn, 1994. BU magasin : T 94 PA10-015 (4)

Thèse de doctorat : Cet ouvrage est une classification par ordre alphabétique des images animales dans les œuvres de Georges Bernanos, plus précisément dans les écrits romanesques et les écrits de combat. Elle est suivie d’un essai d’interprétation du symbolisme animal dans l’univers bernanosien.

WEBER Julien, Donner sa langue aux bêtes : poétique et animalité de Baudelaire à Valéry, Classiques Garnier, 2018. BU salle de lettres : 840.09-1"18/19" WEB

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