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prolongements
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CD pressés du premier album des René Binamé baptisé Vocations. Un chiffre à prendre avec des pincettes quand on connait les méthodes du groupe, plus occupé à jouer qu’à compter. Avec un trou d’archives au milieu des années 1990, il pourrait y avoir eu un autre pressage, ou pas. Eux-mêmes l’ignorent.
IN CD NUMERoS 2732
le nombre de concerts auxquels Marcor a assisté, dans les valises des Slugs ou des Binamé pour la plupart. Comme tout bon compteur compulsif qui se respecte, ce Louis de Funès des temps modernes a répertorié les détails de sa boulimie musicale sur le site du label Aredje. La liste commence en 1978 et continue d’être mise à jour aujourd’hui.
concerts
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13 formations à géométrie variable depuis ses forma- débuts, les René tions Binamé ont vu se succéder de nombreux « porteurs d’instruments », comme se définit Smerf lui-même. Huit guitaristes, trois bassistes, un claviériste et un batteur : au total, pas moins de treize musiciens jalonnent l’histoire du groupe. la scène alternative belge se rassemble pour soutenir Jacques de Pierpont (alias Ponpon). Nom de code de l’évènement : Viva Rock à Gogo, d’après la bien nommée émission radiophonique menacée de disparaître des ondes de Radio 21. 2 000 personnes se rassemblent dans les Halles de Schaerbeek, 500 attendent à l’extérieur, faute de place. Des groupes jouent dans les trois salles. Parmi eux, les René Binamé.
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LA JOURNALISTE RACONTE « À chaque fois, on m’offre une bière, on m’invite à trainer, rester manger. Ça change des interviews éclairs : trente minutes chrono dans un café bondé. Impersonnelles et trop formelles. » Pour lire l’intégralité du making-of de Camille Loiseau, rendez-vous sur notre site (http://www.24h01.be/?p=2160) ou ici :
3 PLUS ++ Un livre : Please Kill Me, L’Histoire non censurée du Punk racontée par ses acteurs. En couchant sur papier l’histoire d’un des mouvements les plus contestataires qui ait jamais existé, Legs McNeil & Gillian McCain ont pris le risque de faire se retourner dans leurs tombes Siddy Vicious et autres icones du genre, pas prêtes à se laisser domestiquer sous la plume de quelques scribouillards. C’est pourquoi ici ce ne sont pas les journalistes qui parlent, mais les acteurs. L’œuvre propulse le lecteur au cœur du cyclone punkrock, dans le New York des années 70. Un travail titanesque de recollection d’interviews – du musicien au manager en passant par la groupie – qui fait de Please Kill Me le digne pendant américain du England’s Dreaming de Jon Savage. ++ Une émission : Kaléidoscope, produite par ARTE France et dédiée à la Baraque. Initialement projet d’étudiants créé à Louvain-la-Neuve en 1974, la Baraque est devenue au fil des années un quartier autonome et communautaire fondé sur les prin-
cipes de l’autoconstruction, l’autogestion et l’autourbanisme. Là, 130 âmes vivent dans des roulottes, serres et dômes géodésiques et organisent leur vie autour de trois sousquartiers et de réunions régulières. L’émission revient sur l’histoire de la Baraque et promène sa caméra d’habitation en habitation, rencontrant au long des allées ceux qui se surnomment eux-mêmes les « barakis ». ++ Un documentaire : There Is No Authority But Yourself retrace l’histoire du groupe anarchopunk anglais Crass au travers de ses deux membres fondateurs, Penny Rimbaud et Steve Ignorant. L’un batteur, l’autre chanteur, l’un issu de la classe moyenne, l’autre pur produit ouvrier, l’un hippie philosophe, l’autre footeux exalté. Alors que tout semble les opposer, la caméra d’Alexander Oey dévoile les deux faces d’une même médaille. Un portrait croisé intimiste et rétrospectif du DIY des années 80 et de ses plus fervents acteurs.
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