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On met les accents sur les capitales
En typographie française, depuis le XIVe siècles, on met les accents sur le bas de casses et sur les capitales pour traduire les subtilités de la prononciation et éviter les contresens. Il arrivait cependant que certaines polices soit crées sans accents pour des problèmes de haut mais le bon typographe les rajoutait manuellement. À la fin du siècle dernier, on a pris l’habitu les nouvelles machines fondant les lignes de caractères étant de conception anglo-saxone ne
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Les titres et intertitres Quand la typographie marque elle même la rupture de la phrase, c’est à dire le découpage des lignes elle permet d’en comprendre le sens, on ne met pas de point, de virgule ou de point virgule.
Les césures En règles générale, on divise les mots par syllabes. Pour les mots composés avec un préfixe, on fait son possible pour tenir compte de l’étymologie (anti / rouille). Pour les mots composés, la coupure se fait après le trait d’union. On ne divise pas un mot avant ou après une apostrophe. On ne divise pas : les noms propres et prénoms composés après le trait d’union; On ne divise pas les nombres exprimés en chiffres.
teur de ligne de plomb, ude de ne pas accentuer les capitales. comprenant pas de capitales accentuées.
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NAISSANCE D’UNE LETTRE
Au commencement était le taureau. La lettre A, première lettre de l’alphabet protosinaîtique : LE ALEPH qui signifie dans les langues sémitiques LE TAUREAU. Au commencement, donc, apparait le taureau ! Le taureau est le signe premier, car il représente LA FORCE, l’energie utile à la vie, l’agriculture, au transport ; énergie primordiale qui met l’être en mouvement, qui fait passer de l’être à l’existance. Toutes les lettres suivent la même évolution; pour passer de l’image graphique à la lettre on procède par réduction : une petite partie représente le tout. Le dessin du taureau ou du boeuf existe déjà dans le hiéroglyphe égyptien. Alphabet protosinaiîtique : alphabet découvert lors des fouilles de Serabit-el-Khadem dans le désert du Sinaî. Langues sémitiques : groupe de langues d’Asie occidentale et du nord de l’Afrique. Texte tiré des “Mysteres de l’alphabet “ de marc alain ouakin.
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er, r u ple ier, s i e fa fais cr La m ui me q e ur, i r o u è l q , co olère e l'am , e r olè ère, c i bris mme r u l Co re qu une fe bado ' u lè ir, Co our d un tro me. r f f sou rrir, l'am me d' r infâ s i u e fa s mou fem bado m u ui e fai q tro e lèr qui m o c re, olère t tuer è l Co ère c i peu ux x e l Co ère qu mour eureu h l Co des a 'être r tue éché d le p st un
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ures d e n i m u l n . s grand e e l u l s c i e p t d r a l a e et avec e nous respi , vestig u début d'un b e a n i h r t p l t a e u a La l e notre omme l'air q r vice e place d s s i e u r q t t e ises c taille les le u s q r notre s dans l'ar t c u à a o j t s e n s r a e t l r t es le tous lution nsidé c o s o v e n c é d o ' s s e d e i l l ti un us e, Nous u t insoucianc pas que chac lent process et n ee aisanc us ne réaliso at d'un long o ult rons. N 'ui est le rés Mur tie c m . C h . d aujour e l'écriture. D d ancien
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La couleur L’appréciation que l’on a des couleurs est naturellement subjective: “des goûts et des couleurs” mais elle est aussi culturelle. A surface égale, toutes les couleurs n’on pas la même force. Les couleurs éclatantes effacent les couleurs les plus discrètes. D’une manière générale, la lisibilité d’une forme est liée à l’intensité de la couleur, à son contraste avec le fond, à sa masse.
Rouge sang
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