POR TFO LIO
ClĂŠmence Maillard
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CLEMENCE MAILLARD Architecte HMNOP - 26 ans Adresse
63 Boulevard Voltaire 75011 Paris
Contact
maillard-clemence@bbox.fr + 33 6 59 06 63 19
Expériences Professionnelles
18 Mois
Août 2015 - Janvier 2017 MU Architecture CDD
04
Mars - Juin 2014 MU Architecture Stage
01
Juillet 2012 Quadra Architectes Stage
15
Avril 2011 Ets Gros Oeuvre Stage Chantier
Mois
Mois
Jours
15 Jours
Février 2010 Hybris Architecture Stage
Education
2016
Habilitation à la maîtrise d’oeuvre en nom propre ENSAV
2015
Dîplome d’Architecte d’Etat ENSAV Directeurs PFE : Djamel Klouche & Ido Avissar
2013
Licence en Architecture ENSAV
2009
Classe Préparatoire Beaux-Arts Saint-Brieuc
Compétences Autocad Rhinocéros Sketchup Adobe Photoshop Adobe Illustrator Adobe Indesign Excel Revit
Intérêts
Ruche Habitée
Projet EnsaV - 2012 /// Aubervilliers Enseignant : Anouk Legendre
S’intégrant dans un urbanisme de réseau, où la nature occupe une place prépondérante, ce projet s’appuie sur la notion d’espaces intermédiaires et l’idée de “pièce en plus”, dans la conception de nouveaux logements sociaux. Cette idée d’espace supplémentaire prend forme par un réseau de modules alévolaires proliférants, qui se développe en façade et donne l’identité au projet. Ce réseau d’espaces tampons, mixant espaces privés et partagés à l’ensemble des habitants, favorise les échanges entre ces derniers et suggère une nouvelle façon de vivre dans un ensemble de logements collectifs ainsi que de proposer des espaces plus agréables, plus grands. La surélévation des bâtiments donne une légèreté au projet et ouvre la perspective au sol.
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Nouvelle Fabrique Ubraine
Projet EnsaV - 2013 - avec Marion Gomez /// Rio De Janeiro Enseignants : Djamel Klouche & Cédric Libert
Le projet s’inscrit dans la zone nord de Barra da Tijuca, à Jacarepagua. Cet espace n’est pas considéré dans le plan établit par Lucio Costa. La ville s’est développée de manière aléatoire. La démarche de projet a pour objectif de restructurer l’existant par des interventions ponctuelles générant une nouvelle stabilité à ce tissu instable, fragmenté. Quatres zones d’intervention - Z1 Unité, Z2 Intériorité, Z3 Lien, Z4 Insularité - ont été remarquées du fait qu’elles soient des prémices d’organisation urbaine ; le but n’étant pas créer des ruptures trop brutales avec l’exsitant mais de e repenser, de ré-organiser le tissu, de lui apporter une certaine cohésion. L’absences de vides dans cette partie de la ville amène vers une réflexion de l’espace public. Ce dernier devient alors l’élément commun et structurant des quatres zones nouvellement établies.
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ERG Ville-Désert
Projet EnsaV - 2014 - avec Marie de Miscault Quelque part entre Houn et Waddan Enseignants : Ido Avissar & Suzanne Statcher
Le désert est un territoire aride, pauvre, hostile à l’homme. Espace symbolique, empreint de nombreuses croyances, il incarne le maudit et le sacré à la fois. Dans l’imaginaire collectif, le désert est synonyme d’uniformité : c’est un territoire indifférencié. Pourtant il est ponctué par de nombreuses singularités qui induisent un rythme et permettent de mesurer cet espace. Les dunes, les murs de sables, les palmeraies - anciens points de repères des touaregs - sont autant d’éléments à prendre en considération pour établir la ville-désert. Les contours de la ville ne sont plus stricts mais poreux. Le paysage pénètre le tissu et se déploie à travers l’urbain. La priorité n’est plus au plan d’ensemble mais aux objets qui le composent. Ainsi notre ville-désert oppose une vision globale et occidentale de la ville à une vision flexible, locale, s’adaptant aux évènements inattendus du paysage et des habitants. La communauté devient l’unité de base de la ville. Tout est improvisé et génère une structure viaire labyrinthique - d’entrelacements de places, d’escaliers, de passages couverts - laissant voir les respirations de la ville. Les communautés s’organisent autour de noyaux durs structurant la ville et rassemblant les activités majeures (souks, commerces, mosquée, écoles, hopitaux, etc). Cette organisation génère la création de polarité distinctes et autonomes. L’habitant du désert parcours la ville comme le territoire ; d’une insularité à une autre, d’un repère à l’autre.
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LA VILLE DESERT : UNE MESURE DU TERRITOIRE
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Epaisseur Métropolitaine
PFE- 2015 - avec Marie de Miscault // Paris Directeurs de PFE : Djamel Klouche & Ido Avissar
Notre vision de la ville est celle de la surface d’un réseau fonctionnel qui la compose. Néanmoins, tous les éléments invisibles constituent une fascinante et essentielle partie du contexte urbain qui nous entoure. La ville invisible, comme la ville visible sont constituées par des réseaux techniques et fonctinnels importants qui génèrent des flux de déplacements, à l’origine de zones d’intensité urbaines dans Paris. Dépendantes l’une de l’autre, les réseaux souterrains stimulent l’urbanité de surface, et inversement. Une réciprocité servant/servi s’installe. Le métro consitue le lien invisible entre villes de surface et souterraine. D’abord perçu comme une aventure, il est aujourd’hui un instrument de transport efficace, il permet de se déplacer d’un point à un autre sans aucunes perceptions de l’espace qui nous entoure en surface. Pratiqué en moyenne 1h30 par jour par 4 millions d’usagers ; c’est un catalyseur de développement. Il assure le bon fonctionnement de la machine “ville”. Pourtant ces deux villes parallèles s’ignorent et le sol constitue la limite opaque entre ces deux mondes. Il s’agit alors de générer de nouvelles interactions entre surface et sous-face, en intégrant le souterrain come élément constitutif de la ville. Comment rendre visible l’invisible, en reconsidérant le monde complexe de l’entre-deux ? La mise en place d’interfaces à es points d’intensité urbaine particuliers permettent de saisir la dissociation entre sursol et sous-sol. Ces troisièmes espaces, intermédiaires entre les deux mondes, permettent la pénétration de l’un dans l’autre. Le sol prend de l’épaisseur et ainsi l’espace urbain se déplace en profondeur ; le niveau de référence de la ville est brouillé. Ces liens, points de bascule à la fois architecturaux et infrastructurels, stimulent la ville et induisent de nouvelles pratiques en dynamisant les programmes existants. Le voyageur est plongé dans un monde mystérieux, perçoit la complexité du sol de la ville. Entre surface et sous-face, visible et invisible, public et privé, entre métro, catacombes et canaux, ses repères sont flouttés. - 14 -
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PlantHouse - In Vivo, “Réinventer Paris” - Paris XIII Projet lauréat. MU Architecture MOA : BPD Marignan, SNI MOE : Xtu Architectes, MU Architecture Programme : logements (accession et intermédiaires), Tiers Lieux, Agriculture urbaine, Biofaçade.
Concours - APS - DPC “Au centre de la parcelle, la PlantHouse joue le rôle de pivot entre les différents niveaux de références et les différents programmes (logements, résidence étudiante, BiohackerHouse, etc). Le projet de la PlantHouse cherche à affirmer le message d’un dialogue harmonieux entre fertilité de la vie collective et fertilité du paysage, d’un loisir, d’un lien social. A travers la production de légumes, le projet cré un sentiment de bien-être et de confort, chez soi et avec les autres.”
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#Parimien, “Réinventer Paris” - Paris IV Projet Classé second. MU Architecture MOA : Novaxia, SNI (Adoma, Aurore, Osica) MOE : SCAU, MU Architecture, Shigeru Ban et Jean de Gastines Programme : logements (accession et intermédiaires), logements d’urgence, crèche, hôtellerie, salle de spectacle, coworking, conciergerie, etc...
Concours “L’objectif est de faire un lieu d’animation et de destination qui réveille le quartier endormi. Dans cet immeuble qui regroupe toutes les fonctions d’une ville, “Parimien” se veut l’emblème d’un défi d’envergure internationale : l’économie circulaire. Ce système d’échange et de production à tous les stades du cycle de vie des produits (biens et services) vise à augmenter l’éfficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer l’impact sur l’environnement, tout en participant au bien-être et à la solidarité des individus.”
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COUPE LONGITUDINALE
COUPE TRANSVERSALE
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B4.5 Jeux d'eauChange 6m²
B4.1 Eveil 36m²
B4.3 Change 8m²
C2.1 L. ent 3m²
B4.4 Activité 38m²
B4.2 Repos 23m² B4.1 Eveil 34m² B4.2 Repos 23m²
Crèche Justice - Paris XX MU Architecture MOA : Ville de Paris MOE : MU Architecture Programme : Crèche multi accueil (90 berceaux) et crèche familiale
Concours “Au coeur du XXème arrondissement, dans un quartier à l’atmosphère contrastée, la crèche se développe délicatement et accompagne les mouvements urbains. Le volume pivote à chaque étage, et permet ainsi de dégager des jardins suspendus pour les enfants. A l’intérieur de la crèche, les salles d’éveil se développent entre rue et jardin. L’allégorie au plumage de la façade se compose de tuiles en céramiques teintées dans la masse. Le projet se déploit tel un cocon réconfortant, dont le parcours est initié en douceur depuis la rue.”
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Logements Rue de Reuilly - Paris XII MU Architecture
Restaurant scolaire - Ermont MU Architecture
PĂ´le Culturel - SablĂŠ sur Sarthe MU Architecture
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ClĂŠmence Maillard maillard-clĂŠmence@bbox.fr 06.59.06.63.19