13 Rue Galpin Thiou 37000 Tours tél. : 02 47 64 58 22 E-mail : acc.nathalie@orange.fr acc.christine@orange.fr site : www.cinemasducentre.asso.fr
La salle Patrice Leconte, Ciné Off et l’Association des Cinémas du Centre vous invitent à une journée de prévisionnement Jeudi 13 octobre 2016 – Salle Patrice Leconte 10 rue du Château – 37 800 Ste Maure de Touraine
Déroulement de la journée 09h00 Accueil 09h15 Une Semaine et un jour de Asaph Polonsky 1h38 – Sophie Dulac, 14/12 11h0 Le Disciple de Kirill Serebrennikov 1h58 – Arp, 23/11 13h00 Déjeuner 14h30 Dernières nouvelles du cosmos de Julie Bertuccelli 1h25 – Pyramide, 06/11 16h00 Fais de beaux rêves de Marco Bellocchio 2h11 – Ad Vitam, 14/12
INSCRIPTION IMPERATIVE POUR LE 10 OCTOBRE AUPRES DE L’ACC.
ACC – 13 Rue Galpin Thiou – 37 000 Tours - Tél 02 47 64 58 22 – acc.nathalie@orange.fr – acc.christine@orange.fr – www.cinemasducentre.asso.fr L’ACC est une association régionale financée par la Région Centre, la DRAC Centre et le CNC
Une Semaine et un jour de Asaph Polonsky Israel – 1h38 – Sophie Dulac – 14/12 Avec Shai Avivi, Evgenia Dodina, Tomer Kapon http://www.cinemasducentre.asso.fr/index.php?module=actions-fichefilm&id=773
À la fin du Shiv’ah - les 7 jours de deuil dans la tradition juive l’existence doit reprendre son cours. Tandis que Vicky, sa femme, se réfugie dans les obligations du quotidien, Eyal, lui, décide de lâcher prise… Avec un ami de son fils défunt, il partage un moment de liberté salvateur et poétique, pour mieux renouer avec les vivants... « Si la comédie, on le sait, peut-être un remède face aux douleurs du monde, ce film en est la preuve vivante. Il renoue avec les vertus apaisantes d'un rire généreux, d'un rire qui ne se fait jamais au détriment des personnages mais se partage avec eux, d'un rire mélancolique, noir, incorrect et qui est porté par une interprétation remarquable. » La Fondation Gan pour le Cinéma
Le Disciple de Kirill Serebrennikov Russie – 1h58 – Arp – 23/11 Avec Viktoriya Isakova, Yuliya Aug, Petr Skvrtsov http://www.cinemasducentre.asso.fr/index.php?module=actions-fichefilm&id=770
Veniamin, un adolescent pris d’une crise mystique, bouleverse sa mère, ses camarades et son lycée tout entier, par ses questions. Les filles peuvent-elles aller en bikini au cours de natation ? Les cours d’éducation sexuelle ont-ils leur place dans un établissement scolaire ? La théorie de l’évolution doit-elle être enseignée dans les cours de sciences naturelles ? Les adultes sont vite dépassés par les certitudes d’un jeune homme qui ne jure que par les Écritures. Seule Elena, son professeur de biologie, tentera de le provoquer sur son propre terrain. « Les disciples de la lumière n’ont jamais inventé que des ténèbres » Robert Desnos « L’art consiste à poser des questions. La religion impose des réponses. Le film montre qu'elle peut être une forme de manipulation, utilisée par un jeune homme pour se jouer de ceux qui l’entourent », explique le cinéaste. Kirill Serebrennikov est né en 1969 à Rostov-sur-le-Don. Il est cinéaste, metteur en scène de théâtre et réalisateur. Il dirige le Centre d’art théâtral moderne de Moscou depuis 1912.
Dernières nouvelles du cosmos de Julie Bertuccelli France – 1h25 – Pyramide – 06/11 http://www.cinemasducentre.asso.fr/index.php?module=actions-fichefilm&id=772
À bientôt 30 ans, Hélène a toujours l’air d’une adolescente. Elle est l'auteure de textes puissants et physiques, à l’humour corrosif. Elle fait partie comme elle dit d’un « lot mal calibré, ne rentrant nulle part ». Visionnaire, sa poésie télépathe pense loin et profond, elle nous parle de son monde et du nôtre. Elle accompagne un metteur en scène qui adapte son œuvre, dialogue avec un mathématicien... Pourtant Hélène ne peut pas parler ou tenir un stylo et n’a jamais appris à lire ni à écrire. C’est à ses 20 ans que sa mère découvre qu'elle peut communiquer en agençant des lettres plastifiées sur une feuille de papier. Un des nombreux mystères de celle qui se surnomme Babouillec… Mot de Babouillec écrit en cours de tournage : « Quelle aventure éblouissante le pari utopique d’appartenir à un système vivant. Le film usé de nos scénarios sociaux sature les envies énigmatiques. L’œil goguenard de ta caméra film tout bas le haut de nos êtres. »
Fais de beaux rêves de Marco Bellochio Italie/France – 2h11– Ad Vitam – 14/12 Avec Barbara Ronchi, Bérénice Béjo, Dario Dal Pero http://www.cinemasducentre.asso.fr/index.php?module=actionsfiche-film&id=771 Turin, 1969. Massimo, un jeune garçon de neuf ans, perd sa mère dans des circonstances mystérieuses. Quelques jours après, son père le conduit auprès d’un prêtre qui lui explique qu’elle est désormais au Paradis. Massimo refuse d’accepter cette disparition brutale. Année 1990. Massimo est devenu un journaliste accompli, mais son passé le hante. Alors qu’il doit vendre l’appartement de ses parents, les blessures de son enfance tournent à l’obsession… « Cette histoire m’a beaucoup frappé, ému car elle évoque de nombreux thèmes déjà abordés dans mes précédents films… La famille, la maman (détruite y compris au sens propre du terme, assassinée littéralement), le papa, l’appartement où se déroule la moitié du film, à différentes époques, trente ans au moins durant lesquels l’Italie change radicalement, y compris par-delà les fenêtres… Et enfin, Rome, Sarajevo, Turin, l’Italie vue et vécue par celui qui exerce le métier de journaliste. » Marco Bellocchio