Communiqué N° 2016 | 01

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L'ACOR est une association interrégionale implantée dans six régions de l'Ouest de la France – Bretagne, Centre, Haute-Normandie et Basse-Normandie, Pays de la Loire et PoitouCharentes. Elle regroupe des structures tournées vers la défense de l'art et essai et de la recherche dans le cinéma.

COMMUNIQUÉ Association des cinémas de l'ouest pour la recherche

N°1 1er février 2016 p.1 p.2 p.3 p.4 p.5 p.6

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Soutien GNCR, soutien GNCR/ACID Soutien ACID Soutiens ACID et AFCAE Actions/Promotion Soutiens AFCAE Actions/Promotion Soutiens AFCAE Actions/Promotion et Jeune Public Infos distributeur

Directeur de publication : Yannick Reix, président de l'ACOR • rédaction : Catherine Bailhache et Morgan Pokée • contact@lacor.info • www.lacor.info Avec le soutien du CNC et des DRAC des régions Centre, Pays-de-la-Loire, Poitou-Charentes, Bretagne, Haute-Normandie, Basse-Normandie

SOUTIEN GNCR SUITE ARMORICAINE de Pascale Breton

France • 2015 • 2H28 | Meteore Films • 02 mars 2016 Festival de Locarno 2015

Édition d'un document d'accompagnement GNCR Une année universitaire à Rennes vécue par deux personnages dont les destins s’entrelacent : Françoise, enseignante en histoire de l’art, et Ion, étudiant en géographie. Trop occupés à fuir leurs fantômes, ils ignorent qu’ils ont un passé en commun.

Se voir sans se regarder. Hébétude ou indifférence. Deux impressions qui cohabitent lorsqu'on observe cette image de Suite armoricaine de Pascale Breton. Vaste film choral construit autour d'une enseignante d'histoire de l'art, oeuvre polyphonique où les thèmes de l'amour, de la mort, de l'art et du temps circulent et se ramifient selon les points de vue exprimés. Vague épiphanie qui semble obéir à des rituels secrets enfouis dans les mémoires. On pense à Jacques Rivette, un peu à Jean Eustache, de très loin à Robert Bresson. Références inutiles, tant le cinéma de Pascale Breton parvient à s'en passer et à exister indépendamment de toute influence extérieure. Pascal Gavillet – Tribune de Genève – ici

SOUTIENS GNCR / ACID VOLTA A TERRA de Joao Pedro Placido Portugal • 2015 • 1H47

UFO Distribution • 30 mars 2016 | ACID 2015

Édition d'un document d'accompagnement ACID Plus d'infos sur le site du distributeur ici A Uz, hameau montagnard du nord du Portugal vidé par l’immigration, subsistent quelques dizaines de paysans. Alors que la communauté se rassemble autour des traditionnelles fêtes d’août, le jeune berger Daniel rêve d’amour. Mais l’immuable cycle des 4 saisons et les travaux des champs reprennent vite le dessus…


A côté de la majestueuse fresque des 1001 Nuits présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, un autre film portugais méritait également toutes les attentions durant ce Festival de Cannes. Présenté à l’ACID, Volta a Terra pourrait d’ailleurs trouver une place de choix à côté de Ce cher mois d’août pour son esprit tournant autour d’un documentaire poétique sur le Portugal rural. Si Miguel Gomes coupait son film en deux et y injectait, comme par magie, une savante dose de fiction, João Pedro Plácido tient brillamment la barre de l’observation et se révèle un cinéaste à suivre de près. À Uz, hameau montagnard du nord du Portugal vidé par l’immigration, subsistent quelques dizaines de paysans. Alors que la communauté se rassemble autour des traditionnelles fêtes d’août, le jeune berger Daniel, autour duquel Volta a Terra virevolte, rêve d’amour. Plácido le suivra tout au long de son film dans son quotidien laborieux, entre différents travaux agricoles et tentatives de conquêtes féminines, au milieu des habitants de son village, filmés comme les dernières reliques d’un monde dont la disparition semble à chaque instant imminente. Il faut dire tout de suite la force de ce récit, dans une démarche qui n’est pas sans évoquer les profils-paysans de Raymond Depardon, récit mené contre les vents et le temps qui coule, pareil à une matière insaisissable mais qui pourtant se fait sentir chaque jour au quotidien lorsqu’on travaille la terre. L’immuable cycle des quatre saisons et les travaux des champs reprennent vite le dessus sur les aspirations de Daniel à un ailleurs. Entre la jachère hivernale et l’arrivée des fils prodigues au mois d’août, Volta a Terra est aussi l’histoire d’une résignation tue et douloureuse, et en même temps, l’histoire de son versant positif : la puissance de la transmission, du lien avec les parents qui lèguent souvent plus qu’une terre ou quelques vaches. C’est tout un savoir que le film tente de préserver avec une bienveillance et un amour du regard de l’autre saisi grâce à la douce lumière des montagnes de la région. S’y jouent ainsi des tentatives insoupçonnées de connexions entre les hommes, les animaux et la nature : Volta a Terra est parfois, littéralement, un film fantastique. Morgan Pokée – Critikat - ici

SOUTIEN ACID PURSUIT OF LONELINESS de Laurence Thrush États-Unis • 2012 • 1H35 | Ed Distribution • 09 mars 2016

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Édition d'un document d'accompagnement

A Los Angeles, une femme âgée meurt anonymement dans un hôpital du comté. Durant les prochaines 24 heures, quatre personnages centraux – une infirmière, une assistante sociale, la personne à contacter en cas d’urgence indiquée sur le formulaire d’admission et un enquêteur des services publics – partent à la recherche de la famille de la défunte.

Entretien avec Laurence Thrush (Dossier de presse – ici)

Pourquoi vouliez-vous réaliser un film sur ce sujet ? Je vis à Los Angeles depuis plusieurs années déjà, et j'ai toujours été fasciné par le nombre de personnes qui viennent s'installer dans cette ville sans y avoir de liens familiaux, ni de racines particulières,et par le sentiment d'isolement et de solitude qu'elles éprouvent souvent. Plus je faisais des recherches sur les cas de personnes mourant seules à Los Angeles, sans aucun proche, aucun parent, plus je découvrais une nouvelle facette de cette ville, rarement décrite dans les films ou à la télévision. Sur quels témoignages vous êtes-vous basé ? Le film est assez procédurier dans le sens où il suit le protocole du personnel soignant et des agents de l'administration confrontés à ce problème. J'ai longuement collaboré avec le département des coroners de Los Angeles, en allant sur le terrain avec les officiers de police. J'ai aussi passé beaucoup de temps auprès du bureau du curateur, chargé de gérer les biens des défunts. C'est au contact de ces employés que j'ai pu définir la structure du film. Pourquoi avoir choisi de mêler réalité et fiction ? Je voulais que le film renvoie de l'authenticité, que les personnages et les situations soient crédibles. Je voulais que le spectateur se sente immergédans un véritable hôpital, au cœur de ces conversations privées, et qu'il soit captivé par l'histoire de cette vieille dame. Je ne me suis jamais vraiment posé la question de la distinction entre fiction et documentaire, je voulais juste que le spectateur croie ce qu'il voit et qu'il s'identifie à ce que vit ou a pu vivre le personnage anonyme central.


DANS MA TÊTE UN ROND-POINT d'Hassen Ferhani Algérie • 2015 • 1H40

Les Films de l'Atalante • 24 février 2016

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Édition d'un document d'accompagnement

Dans le plus grand abattoir d’Alger, des hommes vivent et travaillent à huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tâches et de leurs rêves. L’espoir, l’amertume, l’amour, le paradis et l’enfer, le football se racontent comme des mélodies de Chaabi et de Raï qui cadencent leur vie et leur monde.

Faire le portrait d’une communauté tout en racontant singulièrement ceux qui la constituent, tel est aussi ce que met en branle Dans ma tête un rond-point. Il faut dire tout de suite la force à la fois douce et puissante du long métrage d’Hassen Ferhani, légitimement reparti avec le Grand Prix de la Compétition Française et la Mention Spéciale du jury du GNCR lors du dernier FIDMarseille. Le cinéaste se démarque habilement de sa matrice initiale – soit, a priori, un état des lieux d’un abattoir algérien – pour proposer, avec une subtilité rare, des rencontres avec ceux qui habitent cet écrin rouge sang et y travaillent la sueur au front. Le mot « rencontres » peut paraître d’une simplicité désarmante mais il dit bien la justesse de l’approche du jeune cinéaste qui aurait pu abîmer son film dans une vaine recherche plastique qu’un tel lieu appelle presque de ses vœux. Ici, ce sont plutôt, encore une fois, des rencontres singulières que Ferhani provoque avec son dispositif discret mais qui n’oublie pas pour autant de nourrir généreusement son spectateur avec des séquences proprement miraculeuses, tel cette souris qui s’échappe de l’entrebâillement de deux pierres après le passage d’un chat ou, encore, ce but marqué à l’instant même où un groupe d’hommes réussit à faire entrer un bovin dans l’abattoir. Ces séquences résument aussi le rapport de Ferhani à son cinéma : croire en la force de son regard et laisser venir à lui autant que faire émerger ou surgir, parfois littéralement, du réel les fictions que le hasard crée, non sans humour. Dès lors, un film, comme celui de Ferhani, qui préfère aux carcasses de viandes informes un regard sur les traits même burinés d’un visage ne peut que recevoir au minimum notre estime. Quand, en plus, ce film le fait dans un geste de cinéma profondément sincère et sensible (son montage est d’une discrète virtuosité), on lui en est reconnaissant. Gageons, et surtout espérons, que Dans ma tête un rond-point trouve rapidement le chemin des salles françaises et s’offre aux plus de spectateurs possible. Morgan Pokée – Accreds.fr – ici

SOUTIENS AFCAE ACTIONS / PROMOTION THE ASSASSIN de Hou Hsiao-Hsien Taiwan • 2015 • 1H45

Ad Vitam • 09 mars 2016

Édition d'un document d'accompagnement AFCAE Plus d'infos sur le site du distributeur ici Chine, IX siècle. Nie Yinniang revient dans sa famille après de longues années d’exil. Son éducation a été confiée à une nonne qui l’a initiée dans le plus grand secret aux arts martiaux. Véritable justicière, sa mission est d'éliminer les tyrans. A son retour, sa mère lui remet un morceau de jade, symbole du maintien de la paix entre la cour impériale et la province de Weibo, mais aussi de son mariage avorté avec son cousin Tian Ji’an. Fragilisé par les rebellions, l'Empereur a tenté de reprendre le contrôle en s'organisant en régions militaires, mais les gouverneurs essayent désormais de les soustraire à son autorité. Devenu gouverneur de la province de Weibo, Tian Ji'an décide de le défier ouvertement. Alors que Nie Yinniang a pour mission de tuer son cousin, elle lui révèle son identité en lui abandonnant le morceau jade. Elle va devoir choisir : sacrifier l'homme qu’elle aime ou rompre pour toujours avec "l'ordre des Assassins".

Hou Hsiao-hsien a déjà derrière lui deux décennies de chefs-d’œuvre courant de ses débuts autobiographiques (Les Garçons de Fengkuei)aux évocations de la jeunesse contemporaine taïwanaise en déshérence (Millenium Mambo) sans oublier ses fresques historiques follement ambitieuses (La Cité des douleurs, Le Maître des marionnettes…). Le voir aujourd’hui extirper des gravats d’une production chaotique - qui s’est déroulée sur plusieurs années, cumulant, semble-t-il, quelque quinze mois de tournages hachés entre studios à Taipei et extérieurs chinois (Mongolie intérieure, province rurale du Hubei) - un tel bloc de beauté sereine paraît proprement incroyable et vaguement inhumain. Car ce que l’on connaît de son cinéma, façonné depuis toujours par une inimitable distance et innocence du regard que le cinéaste dit avoir apprise des longues heures solitaires qu’il passait enfant juché sur des arbres à écouter et contempler la vie, ainsi transformé en oiseau vigilant, est ici encore modifié et rendu plus impressionnant par les exigences de rapidité guerrière des scènes d’arts martiaux et les actions à poignards tirées de son héroïne principale, Nie Yinniang (fabuleuse Shu Qi). Didier Péron – Libération - ici


LES OGRES

de Léa Fehner

France • 2015 • 2H25 | Pyramide• 16 mars 2016

Édition d'un document d'accompagnement AFCAE Plus d'infos sur le site du distributeur ici

Ils vont de ville en ville, un chapiteau sur le dos, leur spectacle en bandoulière. Dans nos vies ils apportent le rêve et le désordre. Ce sont des ogres, des géants, ils en ont mangé du théâtre et des kilomètres. Mais l’arrivée imminente d’un bébé et le retour d’une ancienne amante vont raviver des blessures que l’on croyait oubliées. Alors que la fête commence ! Entretien avec Léa Fehner (Dossier de presse – ici) D’où vous est venu le désir de réaliser ce film ? J’ai grandi dans le milieu dont parle mon film, le milieu du théâtre itinérant. Dans les années 90, mes parents se sont embarqués dans cette aventure avec une dizaine de caravanes, un chapiteau, une troupe bigarrée et fantasque et ils ont sillonné la France pour faire du théâtre. Étrangement, quand j’ai décidé à mon tour de raconter des histoires, je crois que j’ai quitté ce milieu pour celui du cinéma parce que j’avais la trouille. La trouille des rues vides où l’on parade mal réchauffés. La trouille de la truculence d’une vie où pour parler au spectateur tu lui postillonnes dessus, où les enfants sont au courant de la moindre histoire de fesse, où tu grandis au milieu des cris, du théâtre et des ivrognes. Et c’est sans parler de l’ingérence de tous dans la vie de chacun, du manque de tunes viscéral dont on clame que cela n’a aucune importance, des frustrations qu’on ressent face à ceux qui réussissent mieux... Mais récemment, tout s’est inversé. Là où je voyais des galères, je me suis mise à voir du courage, cette proximité avec le spectateur m’a fait envie. Les débordements se sont mis à s’inscrire pour moi dans la fête, dans la vie.

NO LAND'S SONG de Hayat Najafi

France/Allemagne • 2014 • 1H30

Jour2Fête • 16 mars 2016

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France et l’Iran.

En Iran, depuis la révolution de 1979, les chanteuses ne sont plus autorisées à se produire en solo, tout au moins devant des hommes... Voulant rendre hommage à la chanteuse Qamar qui, dans les années 20, permit l’éclosion d’une scène musicale féminine en Iran, Sara Najafi est déterminée à faire revivre la voix des femmes à Téhéran. Défiant la censure, elle veut organiser un concert pour des chanteuses solistes, et rouvrir un pont culturel entre la

Si en France, on peut entendre la voix des femmes, il n’en est pas de même en Iran où, depuis la révolution islamique de 1979, les femmes n’ont plus le droit de chanter en public, tout au moins en solo et devant des hommes. Pour Sara Najafi, la sœur du cinéaste, jeune compositrice, c’est intolérable et elle décide d’organiser à Téhéran un concert pour des chanteuses solistes .Créant un pont avec la France et la Tunisie, elle invite Elise Caron, Jeanne Cherhal et Emel Mathlouthi à rejoindre Parvin Namazi et Sayeh Sodeyfi. Un défi que personne n’a tenté depuis 35 ans. C’est tout le processus de cette aventure, démarrée en 2011, que va suivre durant deux ans et demi, Ayat Najafi. Tantôt à Téhéran où Sara multiplie les démarches pour avoir les autorisations, part sur les traces des chanteuses d’avant la révolution, ce qui nous permet de découvrir Delkash ou Qamar-ol-Moluk Vaziri, la première femme en Iran à chanter en 1924, tête nue devant des hommes. Tantôt à Paris où musiciens et chanteuses répètent des morceaux iraniens, où l’on se décourage aussi parfois quand les visas sont refusés. Car les négociations avec les autorités sont fastidieuses ; elles n’ont pu être filmées mais le son, sur écran noir, accentue le ridicule des arguments invoqués par le ministère de la culture et de la guidance islamique. Certaines séquences sont très drôles ; quand Sara, toute vêtue de noir, qui est allée consulter un érudit religieux s’entend dire qu’une femme ne peut être soliste car sa voix exciterait le désir des hommes ou quand un vendeur de rue, la prenant pour une « indic », affirme d’abord qu’il n’a pas de CD de Googoosh (grande star de la pop et de la variété, interdite ). Annie Gava – Journal Zibeline – ici


L'AVENIR de Mia Hansen-Løve France• 2016 • Durée indéterminé

Les Films du Losange • 06 avril 2016

Édition d'un document d'accompagnement AFCAE Plus d'infos sur le site du distributeur ici Nathalie est professeur de philosophie dans un lycée parisien. Passionnée par son travail, elle aime par-dessus tout transmettre son goût de la pensée. Mariée, deux enfants, elle partage sa vie entre sa famille, ses anciens élèves et sa mère, très possessive. Un jour, son mari lui annonce qu’il part vivre avec une autre femme. Confrontée à une liberté nouvelle, elle va réinventer sa vie.

Entretien avec Mia Hansen-Love (Les Inrocks – ici) Votre héroïne est une enseignante en philosophie de 57 ans qui voit son mari et ses enfants quitter le foyer, qu’est-ce qui vous intéresse dans ce personnage? C’est surtout le portrait d’une femme qui est mise face à une série de malheurs. Elle va devoir tenir bon, confrontée à la solitude, à la difficulté de se réinventer à cet âge. Le film pose la question du bonheur, de la recherche de liberté et de la quête de sens. Il y a aussi la question de la vocation qui traversera le film. Après plusieurs œuvres sur la jeunesse, vous passez donc à une toute autre tranche d’âge, qu’est-ce que cela change dans votre manière d’aborder le projet? J’aborde cette histoire de manière plus frontale et intime puisque c’est une période de ma vie qui m’attend et qui peut représenter pour moi comme pour beaucoup de femmes, une angoisse. Ce sentiment finalement assez universel m’intéresse. Et puis la jeunesse ne sera pas complètement absente, ne serait-ce qu’à travers le thème de la transmission.

SOUTIENS AFCAE JEUNE PUBLIC MUTATIONS EN COURS Programme de 5 courts métrages A partir de 13 ans • 2011-2014 • 56mn

Agence du court métrage • 06 avril 2016

Plus d'infos sur le site du distributeur ici MUTE de Job Roggeven (Pays -Bas - 2013 – 4min22) Dans un monde peuplé de gens sans bouche, un sanglant accident domestique conduit à une découverte entraînant une réaction en chaîne enthousiaste parmi la population. THE CENTRIFUGE BRAIN PROJECT de Till Nowak (Allemagne - 2011 – 6min35) Le projet de Centrifugeuse Cérébrale est une expérience scientifique initiée dans les années 70. Il s'agit d'un parc d'attractions pour augmenter les capacités cérébrales des gens. Le docteur Laslowicz explique le projet. TARIM LE BRAVE CONTRE LES MILLE ET UN EFFET de Guillaume Rieu (France - 2014 – 18min16) Alors qu'il part sauver une princesse emprisonnée dans le donjon d'un sorcier maléfique, Tarim comprend qu'il est le personnage principal d'un film, et décide de se battre contre les effets spéciaux. JOHNNY EXPRESS de Woo Kyungmin (Corée du Sud - 2014 – 5min20) En 2150, Johnny, un facteur de l'espace plutôt paresseux, traverse le cosmos pour livrer ses colis. Son vaisseau se pose bientôt sur une très petite planète... JUNIOR de Julia Ducourrnau (France - 2011 – 21min30) Justine, dite Junior, 13 ans, des boutons et un sens de l'humour bien à elle, est un garçon manqué un brin misogyne. Alors qu'on lui a diagnostiqué une gastro-entérite fulgurante, le corps de Junior devient le théâtre d'une métamorphose étrange...


INFOS DISTRIBUTEUR NO HOME MOVIE de Chantal Akerman France • 2015 • 1H52

Zeugma Films • 24 février 2016

Plus d'infos sur le site du distributeur ici Parce que ce film est avant tout un film sur ma mère, ma mère qui n'est plus. Sur cette femme arrivée en Belgique en 1938 fuyant la Pologne, les pogroms et les exactions. Cette femme qu'on ne voit que dans son appartement. Un appartement à Bruxelles. Un film sur le monde qui bouge et que ma mère ne voit pas.


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