02.01 au 29.01 2019

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n°5

janvier 2019

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Festival des Inédits 2018.

Une semaine consacrée aux grands (films) oubliés… du 16 au 22 janvier Spectacle.

Jonglerie Astrale de et avec Vincent de Lavenère dimanche 6 janvier • 16 h Équinoxe

« Amènes-tu un miracle ou est-ce un miracle qui t’amène ? » « Les ports étaient ouverts. Nous nous embarquâmes, toutes voiles dehors, rêve par-dessus bord, de l’acier aux genoux et un rire aux cheveux, car nos rames pénétraient la mer. » Ingeborg baChmann

© Philippe Cibille

Paul Celan


2 spectacle Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années Bonnes années

Pendant vos vacances…

Jonglerie astrale C

e spectacle est né d’un laboratoire de recherche où David Elbaz, Laurent Maza et Vincent de Lavenère ont su conjuguer leurs talents. Qu’advient-il de la rencontre de trois hommes aux parcours apparemment si différents ? Entre le chercheur scientifique et les chercheurs de sens que sont les artistes, la démarche reste la même : apprivoiser l’inconnu… Au cœur de cette danse sphérique fusent les interrogations : quelle est la place de l’homme et de l’improvisation dans cet univers en mouvement ? Qui est le jongleur et qu’adviendrait-il s’il venait à faire tomber la balle ? Déjà accueilli à Châteauroux avec Bach en Balles en compagnie du luthiste Éric Bellocq, Paï Saï, Jonglerie Champêtre, Vincent de Lavenère a créé à Équinoxe en septembre 2017 son Quatuor de jongleurs (repris à Noirlac cet automne). À partir de février sa conférence-spectacle Jonglerie et mathématiques sera à l’honneur dans plusieurs évènements Arts et Science. Dimanche 6 janvier • 16 h • Équinoxe • Durée 1 h • Coproduction Équinoxe • Création 2019

art de la piste

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musique des sphères

Cie chant de balles • Avec David Elbaz (astrophysicien au CEA) et Vincent de Lavenère (artiste jongleur) • Création sonore et régie générale Laurent Maza • création lumière Pascal Guinet

© Philippe Cibille

Des hommes en devenir Ils vivent parmi vous. Sans le savoir, vous les avez peut-être déjà croisés. Sur une aire d’autoroute, un parking de motel, au volant sur un périphérique la nuit. L’espace d’un instant, vos regards et vos vies se sont croisés. Vous ne vous rappelez ni de leurs voix, ni de leurs visages, mais vous les avez déjà rencontrés. Ils vivent au milieu de nous. Ils s’appellent Tom, Dean, Ray, Sean, Vincent… Ils sont aide-soignant, vendeur, démarcheur, coursier… Ils partagent la même douleur : être hanté par un enfant, un ami, un amour disparu. Tom ne parle plus à son fils depuis longtemps. Dean n’a plus touché une femme depuis douze ans, depuis son accident. La femme de Vincent vient de perdre leur bébé. Sean a soixante ans maintenant et recherche la fille qu’il a aimée enfant. Tous ont éprouvé la perte irrémédiable. Tous ressentent le manque comme une famine. Aujourd’hui, ils vont interrompre le mouvement continu pour regarder leur vie en face. Aujourd’hui, leurs destinées vont se croiser et leurs vies changer à jamais. Six témoignages qui ont la dimension de leur colère, de leur douleur et de leur courage, pour nous aider à vivre avec nos morts, nos absents, nos disparus. Six hommes qui n’ont pas peur de garder un peu de tendresse au fond de leurs poitrines pour venir l’exposer au grand jour. Un spectacle à la distribution exceptionnelle comme une vague de chaleur et d’humanité.

© Loewen photographie

Jeudi 17 janvier • 20 h 30 • Équinoxe • Durée 1 h 30

« Un moment d’une grande intensité émotionnelle (…) Un travail très puissant, audacieux. »

théâtre

D’après le roman de Bruce Machart / Traduction François Happe / Editions Gallmeister Mise en scène, adaptation Emmanuel Meirieu / collaboration artistique, co-adaptation Loïc Varraut Avec Stéphane Balmino, Jérome Derre, Xavier Gallais, Jérome Kircher, Loïc Varraut

RENCONTRE EN SALLE AVEC L'ÉQUIPE ARTISTIQUE À L'ISSUE DE LA REPRÉSENTATION

Action culturelle STAGE « STAND-UP TRAGIQUE » AVEC LOÏC VARRAUT AUPRÈS DES LYCÉENS DE L’OPTION THÉÂTRE DE BALZAC D’ALEMBERT (ISSOUDUN). Le spectacle Des hommes en devenir d’Emmanuel Meirieu, rappelle The Moth, véritable phénomène de société aux Etats-Unis. Sous l'impulsion du poète et romancier américain George Dawes Green, dès 1997, des centaines d'anonymes se regroupent dans les théâtres pour des prises de paroles individuelles dont le principe est simple : « Tout le monde à une histoire, venez raconter la vôtre ». Sans texte écrit, dix minutes montre en main, vous devez être le protagoniste principal de l'histoire - extraordinaire, originale, émouvante - que vous venez partager, au micro. Loïc Varraut, comédien qui a collaboré à la création de ce spectacle à couper le souffle, proposera aux lycéens d'explorer cette forme à mi-chemin entre le documentaire et le théâtre lors d’une matinée d’initiation au stand-up tragique...

« Une époustouflante analyse de la condition humaine. »

« Un uppercut théâtral dans tous les sens du terme qui dépasse tous les codes de la mise en scène, du témoignage et du jeu. Absolument indispensable. »

Traviata Vous méritez un avenir meilleur D’après La Traviata de Giuseppe Verdi Les spectateurs sont invités dans l’intimité de Violetta à voir de tout près le feu qui la consume, parmi les convives de cette fête musicale et fantasmagorique où se mêlent théâtre et opéra, voix parlées et voix chantées, où la distinction entre instrumentistes et chanteurs se brouille, où chantent et meurent les fantômes de ce Paris en plein essor dont nous vivons à présent l’avenir. Une leçon magistrale ! Un enchantement. Florent Hubert avait déjà signé la direction musicale du spectacle Orfeo, je suis morte en Arcadie, accueilli en janvier 2018 à Équinoxe. Mercredi 9 janvier • 20 h • Équinoxe • Durée 2 h

© Pascal Gély

théâtre musical

• Créé aux Bouffes du Nord à Paris

Conception Benjamin Lazar, Florent Hubert et Judith Chemla • Mise en scène Benjamin Lazar Avec Florent Baffi, Safir Behloul, Jérôme Billy, Renaud Charles, Élise Chauvin, Axelle Ciofolo de Peretti, Myrtille Hetzel, Bruno Le Bris, Gabriel Levasseur, Sébastien Llado, Benjamin Locher, Marie Salvat, Juliette Séjourné.


spectacle 3 EN PREMIÈRE PARTIE

Puppengesicht Fruit de la rencontre de la chorégraphe Cécilia S avec le photographe berlinois Torsten Solin, Puppengesicht a d’abord pris la forme d’une performance. La danseuse est une et plusieurs. Femme-objet, fatale, sophistiquée, un peu comme les regards veulent la voir et l’effeuiller… Au bout de la performance, elle tombe le masque, naturelle, en robe couleur terre. Dimanche 13 janvier à 15 h 30 • Équinoxe • Durée : 1 h Tarif unique 7 € danse Cie Bessoucouna • Chorégraphie, scénographie et interprétation Cécilia S www.bessoucouna.com © Aglae Bory

aSH Une pièce d'Aurélien Bory pour Shantala Shivalingappa aSH est la rencontre de deux univers, celui d’Aurélien Bory qui signe ici son troisième portrait de danseuse et celui de Shantala Shivalingappa spécialiste du Kuchipudi (un style traditionnel indien) mais également interprète chez Pina Bausch. aSH s’ouvre sur le rythme continu des percussions de Loïc Schild et de la gestuelle précise de Shantala. Le décor s’anime par l’effet de tension, tandis que la danse se met en transe…Retrouvez deux artistes souvent accueilli.e.s par Équinoxe et qui bouleversèrent les spectateurs du dernier « Festival Montpellier Danse ».. Six rencontres avec l’univers pluriel d’Aurélien Bory ont marqué le public d’Équinoxe : Plan B, Plus ou moins l’infini, Les Sept Planches de la ruse, Taoub, Sans objet et Espaece. Shantala Shivalingappa, elle, fut accueillie avec bonheur dans son Namasya ; puis dans un récital de Kuchipudi. « Le spectateur gardera longtemps ancré en lui le choc splendide de ce à quoi il vient d'assister.»

« La progression même de ce solo est proprement fascinante. On ne sait, jusqu’à la fin, qui gagnera de la danseuse ou de la machinerie qui lui sert de cadre. Aurélien Bory pousse Shantala Shivalingappa dans ses derniers retranchements à l’image de cette

Dimanche 13 janvier • 17 h • Équinoxe • Durée : 1 h

chorégraphie qui démultiplie les bras, de ses pas redoublés sur la scène. Et lorsque Shantala vient enfin saluer, mains jointes, la force de cette création, entre humain et divin, nous submerge. » Philippe Noisette

danse

Avec Shantala Shivalingappa et Loïc Schild (percussions) • Conception, scénographie et mise en scène Aurélien Bory • Chorégraphie Shantala Shivalingappa

Salon de lecture

© D.R.

Paul Celan – Ingeborg Bachmann Soirée incandescente – lecture en duo Paul Celan et sa célébration de la poésie était au cœur de Méridien, joué la saison dernière salle Gaston Couté par Nicolas Bouchaud… Sa correspondance avec Gisèle Lestrange, ou Ilana Shmueli, est bouleversante ; de par la qualité de ses interlocutrices… De même celle avec Ingeborg Bachmann, luminescente et charnelle, dont nous vous recommandons l’exceptionnel recueil de poésie : Toute personne qui tombe a des ailes (Gallimard)…

Maud Fouassier Comédienne et metteure en scène, elle travaille pour diverses compagnies entre théâtre de salle et de rue. Elle ne cesse d’explorer son métier dans un désir de troupe, et de transversalité entre les arts : danse, théâtre, poésie, clown, performance. Originaire de l’Indre, elle est interprète pendant plusieurs années au Théâtre du Lamparo (théâtre itinérant), lectrice aux Mille lectures d’hiver en région Centre. Depuis 2016, elle danse pour la compagnie La Tarbasse dirigée par Mélodie Joinville,

travaille en performance avec la Troupe Erratum fondée par la plasticienne Emmanuelle Rosso (Lauréate du salon Montrouge 2017) et intègre la Compagnie Aour à Paris. En partenariat avec Équinoxe, elle intervient au lycée d’Issoudun pour les élèves inscrits en option théâtre. Thomas Nucci Il fait ses premiers pas à la Comédie-Française sous la direction de Jean-Louis Benoît. L’année d’après, on le retrouve au Théâtre de l’Aquarium dans une mise en scène de

Mélissa Laveaux Avec Radyo Siwèl (son troisième album), Mélissa Laveaux plonge dans ses racines, et revisite le riche répertoire des chansons populaires haïtiennes des années 1914-1935 dénonçant la période de l'occupation américaine (avant la deuxième guerre mondiale). Le voile singulier de sa voix, son jeu de guitare et son énergie rock réveillent ces chants de résistance recréés à partir de bribes, de phrases, d’airs anciens, d’hymnes vaudous, assemblés comme un patchwork identitaire au gré de son imaginaire. Mélissa Laveaux mêle folk, rock, calypso, pop pimentée, et pour la première fois chante tout le répertoire en créole. Évoluant dans les traces de Martha Jean-Claude (artiste qui, exilée à Cuba dans les années 1950, chantait l’Haïti chérie qu’elle avait dû fuir) elle se nourrit aussi d’influences qui vont de Joni Mitchell à Erykah Badu, Lhasa, ou encore Nina Simone. Jeudi 24 janvier à 20h30 • Équinoxe

afro

/ pop

« Un dialogue à trois bandes entre l’Amérique, l’Europe et les Caraïbes africaines, entre les trois identités d’une chanteuse trentenaire au feeling dingue, qui se réinvente encore, toujours plus singulière, toujours plus irrésistible. » « Soul pop haute couture. » « C’est beau, relevé, sentimental ou euphorique, exotique sans cliché, bref réussi. » « Un bijou de folk chaloupé et lumineux. »

© Romain Staros Staropoli

Didier Bezace, La femme changée en renard de David Garnett ; chroniqueur sur France Inter dans l’émission de Frédéric Lopez, On va tous y passer, en tant que Monsieur Préviously puis dans l’émission Folie Passagère sur France 2. En 2017, il crée la compagnie Aour. Sa première mise en scène Bienvenue à Colomeri !, d’Hécate Vergopoulos, est finaliste du concours Théâtre 13/Jeunes metteurs en scène. Aujourd’hui comédien, auteur, et metteur en scène, il participe à des créations théâtrales et cinématographiques.


4 cinéma

DU 9 AU 15 JANVIER

DU 2 AU 8 JANVIER

Au cinéma l’Apollo L’Homme fidèle

Louis Garrel France • 2018 • 1 h 15 • avec Laetitia Casta, Louis Garrel, Lily-Rose Depp

Dans son deuxième film en tant que réalisateur, Louis Garrel montre des intérêts similaires à ceux de son père Philippe Garrel, avec toutefois une sensibilité complètement différente. Le film reprend le format des contes romantiques, mais se départit de l'angoisse existentielle pour injecter dans l'intrigue un humour tout en légèreté, posant l'acteurréalisateur, ni plus ni moins, en Woody Allen français.

Une affaire de famille A Bread Factory Palme d’or, Festival de Cannes 2018 Hirokazu Kore-eda Japon • 2018 • 2 h 01 • v.o sous-titré avec Lily Franky, Sakura Andô

Une famille est-elle vraiment une famille, juste parce que l’on choisit de la nommer et de la vivre ainsi, ou n’est-elle légitime que lorsqu’elle s’inscrit quelque part, entre registres d’état civil et ADN ? À mesure que Kore-eda détricote les apparences qu’il nous a d’abord fait admettre et aimer, c’est le plus poignant de son cinéma qui gagne la surface, achevant de faire de cette œuvre bouleversante le plus beau film de l’année.

Part 1• 2 h 02/Part 2 • 2h Patrick Wang Etats-Unis • 2018 • v.o sous-titrée

Il y a quarante ans, dans la petite ville de Checkford, Dorothea et Greta ont transformé une usine à pain désaffectée en un espace dédié aux arts : La Bread Factory. Mais un couple célèbre d’artistes-performeurs chinois est arrivé et menace de récupérer les subventions culturelles permettant de faire vivre ce lieu. Soirée exceptionnelle, en présence du réalisateur Patrick Wang, le lundi 7 janvier. (voir page 6)

DU 2 AU 29 JANVIER

Miraï ma petite sœur

Mamoru Hosoda Sélection Quinzaine des réalisateurs festival de Cannes 2018 Mirai no Mirai • Japon • 2018 • 1 h 38 animation, en version française et en version originale sous-titrée à partir de 8 ans

Kun est un petit garçon à l’enfance heureuse jusqu’à l’arrivée de sa petite sœur. Jaloux, il se replie sur lui-même. Dans son jardin, se trouve un arbre généalo-magique. Kun est alors propulsé dans un monde fantastique où vont se mêler passé et futur. Il rencontrera ses proches à divers âges de leur vie… À l’affiche jusqu’au 20 janvier

Arthur et la magie de Noël

Un programme de deux courts métrages d’animation tarif unique : 3,20 € • à partir de 3 ans

Charlie le Bonhomme de neige

de Petr Vodicka République tchèque • 2017 • 12 min.

Cette année, c’est Papa qui a décoré le sapin ! Après douze mois passés dans les cartons, c’est l’heure des retrouvailles pour toutes les décorations de Noël ! Toutes, sauf Evie. La fiancée de Charlie le Bonhomme de neige manque à l’appel. À quelle branche Papa a-t-il bien pu l’accrocher ?

Arthur et les aurores boréales de Takeshi Yashiro Japon • 2016 • 26 min.

Wildlife – Une saison ardente

Paul Dano Etats-Unis • 2018 • 1 h 45 • v.o sous-titrée • avec Carey Mulligan, Jake Gyllenhaal

Leto

Kirill Serebrennikov Russie • 2018 • 2 h 06 • v.o sous-titrée • avec Roman Bilyk, Irina Starshenbaum

DU 16 AU 22 JANVIER

Leningrad. Un été du début des années 80. En amont de la Perestroïka, les disques de Lou Reed et de David Bowie s’échangent en contrebande, et une scène rock émerge. Mike et sa femme la belle Natacha rencontrent le jeune Viktor Tsoï. Entourés d’une nouvelle génération de musiciens, ils vont changer le cours du rock’n’roll en Union Soviétique.

« Wildlife c’est l’histoire d’un enfant qui voit ses parents changer et leur mariage se détériorer. Mais, tout en étant le témoin de leurs échecs, il doit apprendre à grandir. C’est l’histoire d’un passage à l’âge adulte pour les trois membres de cette famille : la mère, le père, le fils. Bien qu’il parle d’affrontement, de chagrin et de désillusion, le film est porté par l’amour. « J’ai grandi dans une famille où il y avait autant d’amour que de turbulences. Alors, lorsque j’ai découvert Une saison ardente de Richard Ford, j’ai été sidéré par la façon dont ce roman examine cette dualité. Je souhaitais faire un film sobre et honnête, que la réalisation soit guidée par l’image et les plans. Je voulais ne bouger la caméra que lorsque c’était absolument nécessaire. Je tenais à rester fidèle au sujet et à moi-même. » Paul Dano

Il y a longtemps, Arthur le Bonhomme de neige a promis à un petit garçon que, lorsqu’il serait grand, ils découvriraient ensemble la magie des aurores boréales. Depuis, le petit garçon a bien grandi et il est temps pour Arthur de tenir sa promesse. À la tombée des premiers flocons, le bonhomme de neige et le petit garçon partent pour le Grand Nord…

Toujours à l’affiche : Miraï ma petite sœur, L’Homme fidèle et Une Affaire de famille

Les Lumières de la ville

ME COMPLET M A R G O R P LE

EN PAGE 7

Charles Chaplin City Lights • État-Unis • 1931 • 1 h 23 • noir et blanc, muet avec Charles Chaplin, Virginia Cherrill • à partir de 7 ans

Charlot le vagabond rencontre une jeune fleuriste aveugle. La détresse et le charme de la jeune fille l’émeuvent. Il lui vient en aide et suite à un quiproquo involontaire se fait passer pour un homme riche. (voir page 5)

Toujours à l’affiche : Miraï ma petite sœur


DU 23 AU 29 JANVIER

cinéma 5

Border

Prix Un Certain Regard Festival de Cannes 2018 Ali Abbasi Danemark • 2018 • 1 h 41 v.o sous-titrée avec Eva Melander, Eero Milonoff

Tina, douanière à l’efficacité redoutable, est connue pour son odorat extraordinaire. C’est presque comme si elle pouvait flairer la culpabilité d’un individu. Mais quand Vore, un homme d’apparence suspecte, passe devant elle, ses capacités sont mises à l’épreuve pour la première fois.

Monsieur

Prix du Public, Festival de Cabourg 2018 Rohena Gera Inde • 2018 • 1 h 39 • v.o sous-titrée avec Tillotama Shome, Vivek Gomber

Ratna est domestique chez Ashwin, le fils d’une riche famille de Mumbai. En apparence la vie du jeune homme semble parfaite, pourtant il est perdu. Ratna sent qu’il a renoncé à ses rêves. Elle, elle n’a rien, mais ses espoirs et sa détermination la guident obstinément. Deux mondes que tout oppose vont cohabiter, se découvrir, s’effleurer…

Cassandro the Exotico

Marie Losier France • 2018 • 1 h 13 • v.o sous-titrée avec Cassandro

Dans le monde flamboyant de la Lucha Libre, Cassandro est une star incontournable. Il est le roi des Exóticos, ces catcheurs mexicains travestis. Malgré ses mises en plis et ses paupières maquillées, Cassandro est un homme de combat extrême, maintes fois Champion du Monde, qui pousse son corps aux limites du possible. Après 26 ans de vols planés sur le ring, Cassandro est en miettes, le corps pulvérisé et le moral laminé par un passé traumatique. Il ne veut cependant pas s’arrêter ni s’éloigner du feu des projecteurs…

Les Garçons sauvages

Bertrand Mandico France • 2018 • 1 h 50 avec Vimala Pons, Anaël Snoek, Pauline Lorillard

Début du vingtième siècle, cinq adolescents de bonne famille épris de liberté commettent un crime sauvage. Ils sont repris en main par le Capitaine, le temps d’une croisière répressive sur un voilier. Les garçons se mutinent. Ils échouent sur une île sauvage où se mêlent plaisir et végétation luxuriante. La métamorphose peut commencer… Séance unique le samedi 26 janvier à 14 h dans le cadre du Cycle Cinéma et psychanalyse. (voir ci-dessous)

Balto chien-loup, héros des neiges

Simon Wells États-Unis • 1995 • 1 h 14 • animation à partir de 6/7 ans

En 1925, dans le village de Nome, en Alaska, vit Balto, moitié loup - moitié husky, rejeté par les autres chiens et souffrant terriblement de sa condition. Un jour, une grave épidémie s’abat sur le village. Toutes les routes sont bloquées par un violent blizzard. Le seul moyen de faire venir des médicaments jusque-là est d’envoyer des chiens braver la tempête. Balto va enfin pouvoir faire la preuve de son courage, de son adversité et de sa loyauté. Mercredi 23 janvier à 15 h : projection suivie d’un petit jeu sur les chiens au cinéma… À l’affiche jusqu’au 3 février

Cycle re(VOIR) ET ÇA VOUS FAIT RIRE ? #2

Cycle CINÉMA ET PSYCHANALYSE

Les Lumières de la ville

Enfants violents

Charles Chaplin City Lights, État-Unis • 1931 1 h 23 • noir et blanc, muet • avec Charles Chaplin, Virginia Cherrill

Séduire une femme qui ne voit pas, émouvoir un public qui n’entend pas. Non sans ironie, c’est avec une histoire de cécité que Chaplin reconquiert en 1931 un public lassé de ne pas entendre. On rit encore de bon cœur, de même qu’on est souvent touché (et même à la fin, bouleversé) par l’extrême pudeur de cette histoire d’amants qui ne se voient pas et se touchent à peine. Les Lumières de la ville procède par petites touches, pleines d’une humilité inhérente à la concision du muet. Inutile de voir ou d’entendre : l’imagination fait le reste, comme dans ce champ-contrechamp final où pour tout baiser, Chaplin se contente de tenir une main. La nôtre, sûrement. Théo Ribeton, , octobre 2012 Vendredi 18 janvier • 18 h 30 Film présenté par Emmanuelle Marcelot, chargée de la programmation répertoire.

Prochainement 3 films – 2 jours – 1 cinéaste re(VOIR) Wim Wenders les 2 et 3 février 2019 Un week-end animé par Nicolas Giuliani, réalisateur, scénariste et auteur pour la revue Critikat.

À travers quatre films, ce cycle vous invite à entendre ce que la psychanalyse a à dire de l’émergence de la violence chez l’enfant et l’adolescent. Troisième rendez-vous, le samedi 26 janvier à 14 h, avec le film Les Garçons sauvages de Bertrand Mandico, en présence de Benoît Delerue, psychanalyste à Rennes, membre de l’Ecole de la Cause freudienne. « Cinq mauvais garçons dans la jungle du masculin. Une bande de cinq garçons, dans la fureur de l’adolescence, déchaîne une violence pulsionnelle sur leur professeure… En guise de correction, ils sont remis aux mains d’un capitaine qui les embarque sur son navire pour une éprouvante traversée ».

Samedi 26 janvier • 14 h

Prochain et dernier rendez-vous : samedi 23 mars à 14h

Le Gamin au vélo

Jean-Pierre et Luc Dardenne avec Valeria Sommer-Dupont


6 Cinéma

A Bread Factory, Part 1&2 soirée exceptionnelle en présence du cinéaste Américain Patrick Wang • 18 h • A Bread Factory, Part 1 – Ce qui nous unit • 21 h • A Bread Factory, Part 2 – Un petit coin de paradis Entre les deux films, apportez votre encas, on vous offre le vin ! Avec ce troisième long métrage Patrick Wang confirme qu’il est un des cinéastes les plus originaux – et vitaux – apparus cette décennie aux États-Unis. À la fois cohérente et protéiforme, obsédée par quelques motifs mais en mouvement constant, son œuvre s’augmente là d’une nouvelle pièce maîtresse.

Patrick Wang, cinéaste indépendant américain, propose un film fleuve de quatre heures, à la fois comédie de manières, œuvre militante et assemblage d’expériences esthétiques. A Bread Factory est divisé en deux parties ; les deux premières heures (A Bread Factory, Part 1 : Ce qui nous unit) et les heures suivantes (A Bread Factory, Part 2 – Un petit coin de paradis). Au long de ce grand spectacle aussi ambitieux (dans son propos) que modeste (par

ses moyens), on assistera à la lutte à mort entre la culture qui unit les citoyens et l’art qui divise les classes, aux manigances qui font le quotidien d’un conseil municipal, aux débuts dans la presse d’un adolescent qui se laisse distraire par sa première passion amoureuse. Entre manifeste et sitcom, Patrick Wang s’est ménagé un espace dans lequel on s’installe avec délice.

Lundi 7 janvier • 18 h • Tarifs habituels ou 10 € pour les deux séances Une soirée en partenariat avec l'ACID. L'ACID soutien le cinéma indépendant dans sa diffusion, l'occasion de découvrir de nouvelles pépites du cinéma indépendant.

Yomeddine

Tout public à partir de 12 ans A.B. Shawky Égypte • 2018 • 1 h 37 v.o sous-titrée • avec Rady Gamal, Ahmed Abdelhafiz

Une semaine consacrée aux grands (films) oubliés de 2018 Du 16 au 22 janvier devait se tenir le traditionnel Festival Télérama. Cette année, le cinéma l’Apollo propose, sur cette même période, un rendez-vous inédit qui donnera l’occasion aux cinéphiles de voir sept films qui n’ont pas été programmés à Châteauroux durant l’année 2018.

Sophia Antipolis Virgil Vernier France • 2018 • 1 h 38 avec Dewi Kunetz, Hugues Njiba-Mukuna

Ce qu’il y a de formidable dans « Yomeddine », c’est cette envie de montrer une Égypte inédite, loin des clichés cairotes ou touristiques (la seule pyramide qu’on voit, authentique, est inconnue et abandonnée de tous), de transmettre des valeurs fondamentales (comme, bien sûr, le droit à la différence), avec une farouche volonté de divertir.

Ses films [Virgil Vernier] sont toujours un inextricable écheveau de fantasmes, de mythologies, de réalités plus ou moins construites et d’accidents de tournage, qui perforent les catégories toutes faites de fiction et de documentaire. Et ce caractère indécidable, cette capacité à troubler l’évidence, marque de fabrique de Virgil Vernier, touchent ici un point culminant dans son œuvre.

Mes provinciales

Aga

Libre

Michel Toesca France • 2018 • 1 h 40

Portrait simple et chaleureux de Cédric Herrou, le visage ouvert et barbu d’un combat pacifique mais opiniâtre, le film chronique aussi l’histoire de ceux que ce simple citoyen n’a cessé d’accueillir, de nourrir et d’exfiltrer, en dépit de toutes les pressions.

Toutes les séances au tarif unique de 4 €

Capharnaüm

Prix du Jury Festival de Cannes 2018 Nadine Labaki Liban • 2018 • 2 h 03 • v.o sous-titrée • avec Zain Alrafeea, Yordanos Shifera

Capharnaüm est d’une tendresse bouleversante. Chaque geste est mû par la survie. Chaque petite victoire — voler un biberon, faire dormir le bébé dans un coin sûr — devient d’autant plus lumineuse. Nadine Labaki n’invente rien. C’est dans les rues de Beyrouth qu’elle a repéré ce gamin qui n’avait que 7 ans lorsque sa famille a fui le sud de la Syrie pour trouver refuge au Liban. Aujourd’hui, grâce au film, le gamin et sa famille s’apprêtent à s’installer en Norvège, et il va pouvoir aller à l’école. Cet enfant au jeu si puissant a gagné son procès contre l’injustice du monde.

Jean-Paul Civeyrac France • 2018 • 2 h 17 avec Andranic Manet, Gonzague Van Bervesselès

Civeyrac assume son anachronisme, comme le faisaient Bresson, Rohmer ou Eustache : en serrant le présent dans les mots, en le tordant par des pensées anciennes, en le sublimant dans des intrigues intemporelles. C’est un geste fort ambitieux mais exécuté avec une très délicate simplicité, une limpidité noire et blanche qui laisse s’épanouir la parole et les visages.

Grand Prix Festival de Cabourg 2018 Milko Lazarov Bulgarie • 2018 • 1 h 37 v.o sous-titrée avec Mikhail Aprosimov, Feodosia Ivanova

La mise en scène poétique de Milko Lazarov utilise avec intelligence les symboles et les rimes visuelles. Le cinéaste bulgare recourt à la puissance des rêves et des mythes pour transformer sa chronique du quotidien iakoute en un conte universel sur les liens indissolubles entre parents et enfants. Avec une utilisation inattendue et bouleversante de la 5e Symphonie de Mahler…

The House that Jack Built

Lars von Trier Danemark • 2018 • 2 h 35 v.o sous-titrée • avec Matt Dillon, Bruno Ganz, Uma Thurman

Après sa trilogie « féminine », le cinéaste continue de s’affirmer comme un alchimiste médiéval, un artiste scrutant les abymes d’un monde originaire pour y retrouver l’élan pulsionnel, la formule secrète, entre kitsch et sublime, entre humour et romantisme noir, qui donnerait la clé tout à la fois d’une explication de l’Univers et de ses lois mystérieuses, ainsi que de la possibilité de sa transposition symbolique.


Vie de la maison 7

Distinctions

Festival Impatience 2018 Pour sa dixième édition et présidé par Charles Berling, sous l’égide de Télérama et du 104, la SACD (Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques) décerne son prix à Anne Sibran pour Je suis la bête dans la mise en scène et l’interprétation de Julie Delille, notre artiste associée, qui créa ce spectacle à Équinoxe l’hiver dernier.

Festival international du film d'éducation Du 4 au 8 décembre, a eu lieu le festival international du film d’éducation d’Évreux. 69 films provenant de 34 pays ont été projetés. Le film Les Lucioles coproduit par Équinoxe et réalisé par Bérangère Jannelle, (metteuse en scène et artiste associée à la Scène nationale entre 2012 et 2015) a reçu le Grand Prix du film d’éducation ! Elle a filmé les élèves de CM1/CM2 de l'école Arago de Châteauroux et leur enseignante, entre 2015 et 2016 : à l'occasion du Printemps des poètes, les enfants se lancent avec leur enseignante Sophie Renaud dans le projet fou d'une « insurrection poétique ». Depuis leur école où ils préparent « l'opération » pendant tout un printemps ; cette aventure les mène sur la route de Tours, dans le centre E. Leclerc. Là dans un assaut poétique, ils se livrent à une expérience de partage unique portée par leur audace et leur détermination. Une ode à l'imaginaire et à la puissance des mots pour cette école de tous les possibles qui entend joyeusement « briser les murs à coups de mots ». « Armés » de rossignols de leur fabrication, ils distillent à l'oreille de vrais gens la poésie de Desnos, Prévert ou Aragon. Émerveillement…

Action culturelle

Le projet Archipel 2018-2019 a commencé ! Plus d’une centaine d'élèves vont ainsi pouvoir découvrir la danse, telle que Yoann Bourgeois l'a revisitée depuis plusieurs années, à travers une série d’ateliers de pratique artistique organisés dans plusieurs établissements scolaires du département de l’Indre (écoles élémentaires de Levroux, collèges d’Argenton, de La Châtre, de Montrésor et de Vatan, et lycée Jean Giraudoux de Châteauroux). Le chorégraphe, acrobate, jongleur et co-directeur du Centre chorégraphique national de Grenoble aux côtés de Rachid Ouramdane mène en effet un travail original croisant la danse et les arts de la piste, autour du mouvement, de la chute et du déséquilibre, du combat de l’humain contre la gravité et de la recherche du point de suspension. Plusieurs de ses spectacles ont d’ailleurs été accueillis par la Scène nationale de Châteauroux, dont « Celui qui tombe », le dernier, en février 2017. C’est ce travail et la proposition pédagogique auprès des élèves qu’il est venu présenter aux enseignants participants d’Archipel, lors d’une journée de formation en décembre dernier. Ce projet d’éducation artistique et culturelle trouvera son point d’orgue le 24 avril 2019 en réunissant tous les élèves et enseignants participants à Equinoxe pour une master-class finale avec Yoann Bourgeois, qui se finira par la présentation d’un programme de pièces courtes intitulé Tentatives d’approche d’un point de suspension. Bonne nouvelle : une représentation publique de ce programme est prévue le soir à 20h30.

À tire d'elles Babeth Lory, directrice du service des publics, programmatrice jeune public, attachée de presse, et, Roselyne Morvan, chef comptable, vont, en cette fin d’année, passer le relais, et découvrir une autre vie… Leur particularité (entre autres) : être présentes depuis le lancement du paquebot ; et quand on évoque son premier souvenir, Roselyne raconte : « À l’ouverture de la première saison, nous étions toutes nouvelles. Marie-Annick, en charge de la billetterie, me montre son tiroir débordant d’argent et d’abonnements ! C’était la joie et la panique ! A cette époque, le placement était libre en salle et nous ne disposions pas d’informatique afin de gérer l’attribution des sièges, ce qui n’était pas une mince affaire ! Nous nous sommes même retrouvées sans le vouloir à vendre un peu plus de billets que de places disponibles en salle (concert de Yves Duteil), avec au final des heureux-ses sur les marches. » Quant à Babeth, elle se souvient de « la livraison du bâtiment sans ascenseur dans un premier temps. Imaginez que nous avons monté l’ensemble du mobilier de bureau avec nos petits bras : dur, dur !!!

Je me rappelle également du nombre de paires de chaussures usées sur les marches en béton que nous arpentions sans cesse afin de faire visiter le chantier de notre futur théâtre. » Au moment d’évoquer leurs avenirs, Babeth indique : « La transition va être compliquée pour moi. Les gens, le contact humain vont me manquer. Je me laisse le temps de cogiter. » Spontanément, elle aimerait revenir à Équinoxe pour donner des coups de mains ; « bénévole dans des associations, auprès de publics empêchés par exemple, ou des enfants, sera certainement une de mes occupations » ajoutet-elle. Elle n’en oubliera pas ses deux passions : la musique et la peinture. Roselyne, quant à elle, pense surtout à « Ne rien faire ! Sauf profiter de mes loisirs ». Quant à savoir ce qui lui manquera le plus : « je le saurai dans deux mois ». Ne vous y trompez pas, Roselyne déborde toujours d’énergie et vous la croiserez sûrement sur un parquet accueillant de bal de musique Trad revisitée ou en Brenne, voire en pleine forêt ! Toute l’équipe les remercie avec chaleur pour leur sacerdoce, leur souhaite bons vents, et le meilleur, pour cette nouvelle Aventure.


8

CINÉMA

www . sce n e n a ti o n a l e- c h a tea u ro u x . co m DU 2 AU 8 JANVIER

mercredi 2

jeudi 3

20 h 30

14 h 20 h 30

L'Homme fidèle • 1 h 15

Une Affaire de famille • 2 h 01

18 h

vendredi 4

samedi 5

dimanche 6

14 h

21 h

11 h 17 h

10 h 18 h 15

13 h 45 18 h 45

20 h 30

lundi 7

mardi 8

16 h

12 h 16 h 30 20 h 30 14 h

A bread factory part 1 • 2 h 02

18 h

A bread factory part 2 • 2 h

21 h

Mirai ma petite sœur V.F • 1 h 38

14 h

18 h 30

Mirai ma petite sœur V.O • 1 h 38 Arthur et la magie de noël • 0 h 38

17 h

14 h

18 h 30

16 h

10 h 16 h

16 h

16 h

15 h 45

mercredi 9

jeudi 10

vendredi 11

samedi 12

dimanche 13

lundi 14

mardi 15

Leto • 02 h 09

20 h 30

18 h

20 h 30

20 h 30

17 h

18 h

20 h 30

Wildlife - Une saison ardente • 1h44

18 h 30

20 h 30

20 h 30

16 h

L'Homme fidèle • 01 h 15

20 h 30

16 h 15

18 h 30

10 h

14 h

12 h

DU 9 AU 15 JANVIER

14 h

16 h 30

16 h 30

14 h

Une Affaire de famille • 02 h 01

10 h

14 h

16 h

Mirai ma petite sœur V.F • 1 h 38

14 h

Yomeddine • 1 h 37

mercredi 16

jeudi 17

16 h

Sophia Antipolis • 1 h 38

18 h 30

Capharnaüm • 2 h 03

20 h 30

Libre • 1 h 40

Cassandro the Exotico • 1 h 13

lundi 21

18 h 15

15 h 30 18 h

7,50 e

Abonnés Équinoxe

6e

famille nombreuse

6e

plus de 60 ans

demandeurs d’emploi, RSA, AAH

4e

carte solidarité

3e

6e

films pour enfants d’une durée de moins de 1h

3,20 e

mercredi, lundi

6e

scolaires/centres de loisirs

2,50 e

moins de 18 ans et étudiants

4e

cartes 10 places

séance jeune public du matin

4e

55 e

Pour davantage de fluidité, les anciens chéquiers seront remplacés par une carte magnétique. Demander votre Pass Cinéma lors de votre passage en caisse.

mardi 22

18 h 30

Les horaires indiqués sont ceux du début des séances. Les films commencent au plus tard 15 minutes après (exemple : séance à 20 h 30, projection du film au plus tard à 20 h 45).

20 h 30

14 h

12 h 20 h 30

20 h 30

15 h 45

14 h

20 h 30 14 h

18 h 18 h 30 mercredi 23

jeudi 24

vendredi 25

20 h 30

18 h 30

20 h 30

18 h 30

20 h 30

15 h 30

16 h 45

14 h 18 h 45

Les Garçons sauvages • 1 h 50 Balto chien-loup, héros des neiges • 1 h 14

dimanche 20

16 h

14 h

Les lumières de la ville • 1 h 23

Monsieur • 1 h 39

samedi 19

20 h 30

Mirai ma petite sœur V.O • 1 h 38

Border • 1 h 41

vendredi 18

20 h 30

The House that Jack Built • 2 h 35

DU 23 AU 29 JANVIER

16 h

16 h

16 h

Mes provinciales • 2 h 17 Mirai ma petite sœur V.F • 1 h 38

18 h 30

14 h

Aga • 1 h 37

tarif plein

14 h

Mirai ma petite sœur V.O • 1 h 38 DU 16 AU 22 JANVIER

17 h 45

LES TARIFS DE L’APOLLO CHANGENT Vous pouvez d’ores et déjà régler votre place de cinéma avec votre carte de paiement (sans minimum d’achat et sans contact).

14 h

20 h 30

CINÉMA L’APOLLO – MAISON DE L’IMAGE 4 rue Albert 1er – 36000 Châteauroux Tél. programme : 02 54 60 18 75 – Tél. administration : 02 54 60 18 34

17 h

14 h

samedi 26 dimanche 27 18 h 30

lundi 28

mardi 29

13 h 30 20 h 30

18 h 30

20 h 30

17 h

16 h 20 h 30

12 h 16 h 30

14 h

18 h 30

20 h 30 14 h

15 h

17 h

A Bread Factory Lundi 7 janvier

15 h 30

Jonglerie Astrale

dimanche 6 janvier

16 h

Équinoxe

arts de la piste

Traviata Vous méritez un avenir meilleur

mercredi 9 janvier

20 h

Équinoxe

théâtre musical

dimanche 13 janvier

15 h 30

Chapelle des Rédemptoristes

danse

dimanche 13 janvier

17 h

Équinoxe

arts du mouvement

jeudi 17 janvier

20 h 30

Équinoxe

théâtre

mardi 22 janvier

19 h 30

Café Équinoxe

lecture

Puppengesicht aSH Des hommes en devenir Lecture autour de Paul Celan et Ingeborg Bachmann Mélissa Laveaux

jeudi 24 janvier

20 h 30

Équinoxe

dimanche 3 février

16 h

Salle Gaston Couté (MLC Belle-Isle)

clown

jeudi 7 février

20 h

Équinoxe

arts de la piste

La vie est un songe

mardi 26 février

20 h

Équinoxe

théâtre

Imagine-toi

dimanche 3 mars

17 h

Équinoxe

clown

mardi 5 mars

20 h 30

Salle Gaston Couté (MLC Belle-Isle)

Rien à dire Le Gros Sabordage

Dévaste-moi Centaures, quand nous étions enfants Les Bacchantes Je ne suis pas un spectacle Noé

afro

chansigne

- pop

- musique

vendredi 8 mars

19 h

Équinoxe

jeune public

mardi 12 mars

20 h 30

Équinoxe

théâtre musical

vendredi 15 mars

20 h 30

Théâtre Maurice Sand La Châtre

arts de la piste

mardi 19 mars

20 h 30

Équinoxe

danse

clown

ÉQUINOXE avenue Charles de Gaulle – 36000 Châteauroux Tél. accueil billetterie : 02 54 08 34 34 billetterie@equinoxe-lagrandescene.com Horaires d’ouverture de l’accueil-billetterie

ATTENTION NOUVEAUX HORAIRES ! le mardi et le jeudi de 14 h à 18 h le mercredi et le vendredi de 13 h à 18 h le samedi de 10 h à 13 h

LES FORMULES D’ABONNEMENT Passeport permanent

10 e la place

Abonnés 4 spectacles et plus

15 e la place

Abonnés 11-30 ans 4 spectacles et plus

8,50 e la place

Abonnement premiers pas (réservé aux enfants de 10 ans et moins) à partir de 3 spectacles

6e

LES TARIFS D’ÉQUINOXE Plein tarif

25 e

Tarif réduit

20 e

11-30 ans

10 t

10 ans et moins

7t

Intermittents et demandeurs d’emploi

6e

Tarif solidarité

3e

ÉQUINOXE ACCEPTE LES RÈGLEMENTS EN LIGNIÈRE. Qu’est-ce que La Lignière ? C’est une monnaie locale diffusée dans les départements du Cher et de l’Indre, promu par l’association MLCC du Berry.

La Lignière a été créée pour soutenir les commerces de proximité, producteurs locaux, artisans prestataires de service et associations signataires de la Charte.

Equinoxe et l’Apollo sont subventionnés par la Ville de Châteauroux et reçoivent des aides du CNC de la DRAC Centre-Val de Loire, de la région Centre-Val de Loire et du département de l’Indre.

L’Apollo est soutenu par :

Création www.invenit.fr

SPECTACLES

Les cases colorées signalent des séances avec animation précisées dans les pages cinéma.


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