Ciné-concerts ADRC

Page 1

L’Agence pour le Développement Régional du Cinéma L’Agence pour le développement régional du cinéma (ADRC), C), présidée par le cinéaste Lucas

LES CINE-CONCERTS Mise M isse à jour jour : 5 octobre jo oc octob tobre tob re 2011 2011

epuis epuis epu is se septtem sep mbre mb r 2 20 004 0 le dé 04, dépar pa tem pa par ement e en nt

Belvaux, est forte de plus de 1000 000

Répert Rép ertoir ert r oir oire re de de l’AD AD ADR DR RC per pe p ermet et au e a x sa allllles es

adhérents représentant l’ensemble

( niccipa (mu ipales le , asso les sociativ cia cia ativves ou u privée privée pri v ess))

des secteurs impliqués dans la

d rg d’o rga ga anis niser i er des des de es sé éanc ance ess de de cin ciné-c é-conc é-c onc ncert n ertss ‘clé é en

diffusion du film : réalisateurs, pro-

ma mai ain’ à des con co dit dition ionss sp pé péc écial alem a eme me m en ntt amé aménag na agéess.

ducteurs, exploitants, distributeurs

C’e C ’est

et programmateurs, mais aussi

l’occa l’o ccasio sion n

pou ou our

le es

prrog prog og grammat ram mmat ma m a eu eurrs

d’organis d’or d’o d’ rg ga anis niser e des sé er séanc ancces es é évé vén nem em me ent ntts, s, e en n fa ffai a san sant

les collectivités territoriales. Créée

déccouv d ou uvrir le less rich richess esses es du es u ci cin cin néma ém ma m muet e e ett de e

par le Ministère de la Culture,

la a m mu mus usiqu u ique e à l’l’ens en emb emble l de e leu e r public, ub ubl blic, bl c ou o p pllus

elle remplit en lien étroit avec le

sspé pé éccia i lem ia ment ntt au Je Jeune une ep pu ublic. c.

Centre national du cinéma et de l’image animée deux missions

Le L Les es ci cinéné-con co cer con certs ts A AD ADR DR D RC son so ont nt n p prropo oposés oposés és à des es

complémentaires pour le maintien

con on ndit dittion di o s amén é agées agé éess a aux au uxx sa u salllle lles de ciné n ma : né

et la vitalité d’une diversité des cinémas et des films en France :

Mise à disp po osi s tio t on n du du film m à de des co des ond ndi d tio tions n ns

Le conseil et l’assistance pour la

écon écon éc éco no o om miqu iques es amé aménag nagées ées es : abs bssenc enc en n e de m mini i mum in um m

création ou la modernisation des

gar ga gara arantti,, par ar partag age e des e rec ece ett tttes ave avvec ve ec le dist ssttrib ri ute rib te eu urr à

cinémas sur les territoires ;

hau h ha a aute teu eur de 50 50 %.

L’amélioration de l’accès des

Acccè A cès è à des es ttarififfs né nég égo égo gocié ciés ci iés aupr ié auprè uprès upr ès de de plu plu l -

cinémas à une pluralité effective

sie si ieu urs in nter e prè prètes t et tes e co compo mpo posit osit siteur eurs. s Un s. U la lar arrge cho a ho oix ix

des films par le financement de

d’’iinsstrum d rum rument ument entati en at ons (ccla ati asssiq a s que, ue ja azzz, z él élect élect ectro ctro roaco cou ous-

circulations supplémentaires

tiq tiq que ue…) est st p prropo pro p é. pos é D De e l’i l’im mprro mpr ovvi ovi v sat sation sa on n au p pian an ano no o

de ces films, aux côtés de leurs

aux au uxx en e ensem nsemble se embless é élec lec ectro ec tro ro oaco coust u iqu ust qu ues, e e en n pa assa ssssa ant nt par ar

distributeurs.

d’autr d’a utttrress fo u formu for mul u es es plu luss souples ou oup uples ess et acces accces cessib s bles lle ess. e

Depuis plus de dix ans, les inter-

Prrise P e en en ch charg rrg ge de ess fra frais de dép fr dép pllac la acceme ac eme e men ntt de des d es es

ventions de l’ADRC pour l’accès

mussici m ciiens sur sur prés présen entati ent a on des jus ati justi stiificcati atif at ati tiifs, fs fs

aux films incluent le patrimoine cinématographique. Aujourd’hui,

Mise à disp spos posi ositio t n d’un tio d’un d do occum ument um me de desti ssttiné é aux ux

ce sont plus de 860 cinémas qui

sspe pecta t teu eurs eurs rs sur su ur ce certa rta ain ins n titre ttiitre tres. s.

ont bénéficié grâce à l’ADRC de copies neuves. Mais ses actions dans ce domaine concernent également l’édition de documents pour les publics et les salles, le déplacement d’intervenants pour des débats, la diffusion de cinéconcerts, des animations pour le jeune public et une fonction de centre ressource au bénéfice des professionnels.

© You’re Darn tootin’ (GFC)

PROGRAMMATION Rodolphe Lerambert, chargé du patrimoine Anne Rioche, assistante 58 rue Pierre Charron 75008 Paris

Tél : 01 56 89 20 36 Fax : 01 56 89 20 40

e-mail : patrimoine@adrc-asso.org site : http://www.adrc-asso.org/


CONDITIONS DE CIRCULATION LOCATION DES COPIES Les projections donnent lieu à une déclaration des recettes selon la procédure commerciale habituelle (billetterie CNC). Ce programme ne fait pas l’objet de minimum garanti (partage des recettes à hauteur de 50 %). La circulation des copies est effectuée par l’ADRC en accord avec les distributeurs. Le transport de ces copies est à la charge des salles. Conditions de circulation des copies ADRC OBLIGATION La salle s’engage à faire figurer sur ses programmes ou supports de communication la participation de l’ADRC sous la forme suivante : «Avec le soutien de l’ADRC (Agence pour le Développement Régional du Cinéma)». DISTRIBUTEURS - STOCKS Arkéïon Films 24 rue du Docteur Bauer, 93400 Saint-Ouen 01 49 48 15 03 arkeion.films@wanadoo.fr Stock : Filmor, Neuilly

REMUNERATION DES MUSICIENS L’Agence a négocié auprès des structures culturelles les conditions suivantes (valables uniquement sur les copies ADRC) : SOLO 450 € TTC pour une séance unique 420 € TTC par séance à partir de 5 séances DUO 700 € TTC pour une séance unique 640 € TTC par séance à partir de 5 séances TRIO 900 € TTC pour une séance unique QUARTET 1100 TTC pour une séance unique Un tarif dégressif supplémentaire pourra en outre être accordé dans l’éventualité d’une programmation sur plusieurs jours consécutifs. Exemple : mercredi (lieu n°1), jeudi (lieu n°2), vendredi (lieu n°3) … FRAIS DE DEPLACEMENT L’ADRC pourra prendre en charge les frais de déplacement du ou des musiciens sur présentation des justificatifs (sur la base d’un aller-retour SNCF deuxième classe).

Carlotta Films 9 passage de la Boule Blanche, 75012 Paris 01 42 24 10 86 / 01 42 24 16 78 info@carlottafilms.com Stock : Distribution Service, Sarcelles Gaumont 30 avenue Charles de Gaulle, 92200 Neuilly-sur-Seine 01 46 43 20 20 / F. 01 46 43 20 33 ocolbeau@gaumont.fr Stock : Films Distribution Service, Les Ulis Les Grands Films Classiques 49 avenue Théophile Gautier, 75016 Paris 01 45 24 43 24 / 01 45 25 49 73 grands.films.classiques@wanadoo.fr Stock : Les Grands Films Classiques Madadayo 87 bis rue de Paris, 93100 Montreuil 01 48 10 21 23 madadayo@laposte.net Stock : Madadayo Mk2 55 rue Traversière, 75012 Paris 01 44 67 30 81 yamina.bouabdelli@mk2.com Stock : Filmor, Neuilly Solaris Distribution 6 rue Lincoln, 75008 Paris 01 42 23 12 56 / F. 01 42 23 01 35 solaris@solaris-distribution.com Stock : Distribution Services, Sarcelles Tamasa Distribution 63 rue de Ponthieu, 75008 Paris 01 43 59 01 01 / F. 01 43 59 01 10 c-ducinema@wanadoo.fr Stock : Paridis Théâtre du Temple 4 rue Lanneau, 75005 Paris 01 43 26 70 40 / F. 01.43.26.79.02 theatredutemplevincent@hotmail.fr Stock : Paridis

Philarmonique de la Roquette MODALITES DE REMUNERATION

DECLARATION SACEM

Il ne peut y avoir de location de matériel ou d’instruments sans accord préalable. Le musicien intervenant doit être rattaché à une structure culturelle (le plus souvent une association). La structure culturelle titulaire d’une licence professionnelle adresse aux salles le contrat précisant la nature des prestations fournies et des moyens mis à disposition et établit la facturation.

Il appartient à la salle d’effectuer les déclarations du «Programme des œuvres diffusées» auprès de la SACEM.

Si le/les musicien(s) n’est pas/ne sont pas rattatché(s) à une structure culturelle et si l’employeur est considéré comme organisateur non professionnel de spectacle vivant, il peut procéder à la rémunération du/des musicien(s) par le biais du guichet unique du spectacle (GUSO) qui est un service de simplification administrative gratuit. L’employeur verse au salarié le montant net de la prestation et le règlement des cotisations sociales auprès du GUSO.

PROJECTIONS Merci de respecter le format image d’origine (1.33 ou 1.37) Tous les films sont cadencés à 24 images/seconde SAUF LA PASSION DE JEANNE D’ARC (20 images/seconde) SO THIS IS PARIS (18 images/seconde)


ACTUALITE METROPOLIS VERSION INTEGRALE L’industriel Joh Fredersen règne sur Metropolis. Son fils Freder s’éprend de Maria, une jeune femme qui défend les enfants d’ouvriers. Parti à sa recherche, freder est témoin d’une explosion dans la grande salle des machiones de la ville. Il se rend qompte que le luxe de la haute société repose sur l’exploitation du prolétariat. Dans les catacombes situées sous la ville ouvrière, feder retrouve enfin Maria. joh Fredersen, qui a entendu parler de l’influence de Maria sur ces ouvriers, découvre les expériences de l’inventeur Rotwang qui a crée une femmemachine. Il ordonne à Rotwang de donner le visage de Maria au robot afin de l’envoyer dans la ville souterraine et de semar la discorde chez les ouvriers. Ceux-ci, entrent en révolte et provoquent l’inondation de la ville ouvrière...

LA RESTAURATION La restauration du film a été conduite par la fondation Friedrich-Wilhelm Murnau en coopération avec la ZDF, Arte, La Cinémathèque de Berlin et le musée du Cinéma Pablo C. Ducros Hicken de Buenos Aires. Cette version est singulièrement différente des autres versions connues. La célèbre intrigue n’est pas bouleversée en elle-même, mais la structure du récit change considérablement. Elle devient plus harmonieuse et compréhensible. Certains personnages sont plus développés (Georgy, le grand échalas) et l’on en apprend davantage sur la raison de la rivalité entre l’inventeur Rotwang et Joh Fredersen, le maître de Metropolis et pourquoi le robot a l’apparence d’une femme. Metropolis est le premier film inscrit au registre «Mémoire du Monde» de l’Unesco. MATERIEL DE COMMUNICATION DOCUMENT ADRC. Affiches disponibles auprès de Mk2.

Dessin Erich Kettelhut © Deutsche Kinemathek Un chef -d’oeuvre dans sa version d’origine Metropolis est présenté le 10 janvier 1927 à l’UFA Théâtre de Berlin dans sa version originelle. Si le film rencontre un échec auprès du public et de nombreux critiques, il est défendu par l’avant-garde, Luis Buñuel et la presse intellectuelle française en tête. Une version courte est montrée en France. Distribué aux États-Unis par la Paramount, le film est remonté et massacré dans ce pays par le romancier Channing Pollock, qui confiera son plus grand mépris pour l’oeuvre de Lang. Metropolis a subi le même sort que le Napoléon d’Abel Gance (1927), autre film fleuve plein de trouvailles visuelles et techniques, ou Les Rapaces d’Erich von Stroheim (1925) : oeuvres phares et monstrueuses, impitoyablement amputées par les producteurs et financiers de l’époque. Metropolis de Fritz Lang a été soigneusement restauré à plusieurs reprises durant les années 1980 et 1990 par Enno Patalas, grand spécialiste du cinéma allemand. Mais il manquait toujours des scènes importantes, disparues lors des remontages opérés à l’époque pour raccourcir le film. En 2008, un miracle se produit : une version du film dans son métrage d’origine est découverte au Museo del Cine de Buenos Aires. Quasiment tous les plans manquants de Metropolis ont été retrouvés désormais, et le film de Lang restauré par La Deustche Kinemathek en collaboration avec la Friedrich- Wilhelm- Murnau-Stiftung a retrouvé presque tout son sens originel. Laurent Mannoni Directeur scientifique du patrimoine de La Cinémathèque française.

MUSICIENS Solo. J. Cambra (piano) C. Bjürstrom (piano, flûtes, électronique) M. Regnault (clavier) Martial Romanko (piano, voix, accordéon) Raphaël Howson (piano) Duo. C. Bjürstrom (piano, flûtes, électronique), Daniel Palomo Vinuesa (saxophone, électronique) Radiomentale (cinémix)

Trio. L. Bernard (piano, claviers), M. Gattegno (contrebasse, basse, voix) et J. Kamoun (scie musicale, batterie)

METROPOLIS de Fritz Lang Allemagne - 1927 - 2h30 muet sonorisé : composition de Gottfried Huppertz NB - 35 mm/DCP - 24 i.s. - 1.37 - visa n° 31207

MK2 Diffusion


LES FILMS L’AURORE SUNRISE

LES DEUX ORPHELINES ORPHANS OF THE STORM

L’EVENTAIL DE LADY WINDERMERE LADY WINDERMERE’S FAN

Séduit par une vamp venue de la ville, un fermier tente de noyer sa femme mais change d’avis au dernier moment. De peur, celle-ci s’enfuie en ville, mais il la suit afin de lui prouver son amour. Après avoir résisté, la jeune femme accepte de lui pardonner alors qu’ils assistent à un mariage. Tandis que le couple rentre heureux dans leur village, une tempête s’abat sur leur bateau...

A Paris, peu avant la Révolution française. Deux orphelines sont séparées par le destin. L’une, aveugle, est exploitée par une horrible mégère qui la fait mendier dans les rues. L’autre devient la proie d’un marquis débauché, qui veut la séduire de force…

La jeune Lady Windermere vit dans l’insouciance, entre un mari amoureux, un soupirant, Lord Darlington, qu’elle repousse coquettement et les réceptions mondaines qu’elle doit organiser. La belle et mûrissante Mme Erlynne, au passé scandaleux, convoque un jour Lord Windermere et lui apprend qu’elle est la mère, jadis enfuie, de sa femme. Mme Erlynne demande à son gendre de l’aider financièrement en échange de son silence.

Sunrise est le film le plus puissant, le plus évolué de Murnau. S’y manifestent de façon éblouissante son sens souverain des plans et des mouvements de caméra, des éclairages et des valeurs de ton, sa maîtrise de la composition et du rythme des images et son don de susciter une atmosphère aussi bien que de révéler toutes les facettes de l’âme.

C’est juste après La Rue des rêves, admirable drame réaliste, que Griffith tourne Les Deux orphelines qui est tout à la fois l’adaptation de la pièce d’Ennery et Cormon – c’est la première partie du film – et une fulgurante vision de l’époque de la Révolution française. Comme dans Naissance d’une nation et Intolérance, deux de ses chefs-d’oeuvre, Griffith passe du drame intimiste à la fresque historique. Dénonçant en même temps la dépravation d’une partie de l’aristocratie, symbolisée par cette fête au cours de laquelle des jeunes filles se baignent dans des fontaines de vin, et les crimes commis par le tribunal révolutionnaire, il oppose la figure de Danton, qualifié ici d’«Abraham Lincoln français», à celle de Robespierre, considéré comme un «bolchevique». Toute la fin du film illustre avec génie le style du montage parallèle cher à Griffith et on admirera le soin apporté aux décors et la qualité d’une réalisation constamment inspirée. André Moreau, Télérama.

L’Eventail de Lady Windermere constitue l’apogée de l’art muet de Lubitsch. Le petit jeu des équivalences visuelles avec la prose révérée d’Oscar Wilde amusa en son temps les commentateurs. Il paraît vain aujourd’hui : ce film n’est pas un chef-d’oeuvre d’adaptation, mais un chef-d’oeuvre tout court. Contrairement à ceux pour qui l’honnêteté cinématographique consiste à tout montrer, Lubitsch prodigue ses révélations en occultant, pour mieux désigner. L’absence parle, autant que la présence ment. Et les objets trahissent, tandis que ceux qui les manient dissimulent. Une bague de cigare, un chéquier, une sonnette de porte racontent une histoire que le jeu social, guidé par les apparences, s’acharne à taire. En outre, ces objets ne sont porteurs de vérité que pour le spectateur, qui seul en perçoit la vraie signification ; pour les personnages, ils sont source de quiproquos, de mauvais jugements et d’interprétations hâtives. Quant aux visages de ses acteurs, Lubitsch en joue un peu comme de merveilleux accessoires, dont le véritable sens se dérobe derrière la mobilité d’un faciès. N.T. Binh et Christian Viviani

Ce chant de l’homme et de la femme est de partout et de nulle part : vous pourriez l’entendre n’importe où, n’importe quand. Car en quelque lieu que le soleil se lève et se couche dans l’agitation de la ville ou sous le ciel de la ferme, la vie est toujours la même : parfois amère, parfois douce, larmes et rires, péché et pardon. Lotte Eisner MUSICIENS Solo. J. Cambra (piano) C. Paboeuf (hautbois, flûtes à bec basse et alto, vibraphone midi) M. Coceano (piano, accordéon) L. Bernard (piano)

Duo. L. Marode (piano) et K. Gherbi (contrebasse) L. Bernard (piano) et J. Kamoun (batterie) Radiomentale (cinémix) Trio. L. Bernard (piano, claviers), M. Gattegno (contrebasse, basse, voix) et J. Kamoun (scie musicale, batterie) L. Marode (piano), K. Gherbi (contrebasse) et A. Gherbi (batterie)

MUSICIENS Solo. J. Cambra (piano) C. Bjürstrom (piano) Martial Romanko (piano et accordéon) Duo. L. Marode (piano), K. Gherbi (contrebasse) Radiomentale (cinémix) Trio. L. Marode (piano), K. Gherbi (contrebasse) et A. Gherbi (batterie)

Quatuor. Prima Vista.

MUSICIENS Solo. J. Cambra (piano) M. Coceano (piano et objets sonores) A. Tafial (batterie) Trio. Stupizza : M. Coceano (piano, accordéon, objets sonores), S. Amiard (piano, musique électronique et objets sonores), A. Pichon (clarinette, clarinette basse et objets sonores)

MATERIEL DE COMMUNICATION

MATERIEL DE COMMUNICATION DOCUMENT ADRC Affiches disponibles auprès des Grands Films Classiques.

MATERIEL DE COMMUNICATION DOCUMENT ADRC Affiches disponibles auprès de Madadayo Films.

Document et photos disponibles auprès des Grands Films Classiques.

L'AURORE de Friedrich Wilhelm Murnau Etats-Unis - 1927 - 1h37 35 mm - muet sonorisé 1.37 - 24 i.s. - visa n° 91990 Les Grands Films Classiques

LES DEUX ORPHELINES de David Wark Griffith Etats-Unis - 1921 - 2h05 35 mm muet sonorisé 1.37 - 24 i.s. - visa n° 115589 Madadayo

L’EVENTAIL DE LADY WINDERMERE de Ernst Lubitsch Etats-Unis - 1925 - 1h25 35 mm - muet sonorisé 1.37 - 24 i.s. - visa n° 117190 Les Grands Films Classiques


LES FILMS GOSSES DE TOKYO UMARETEWA MITA KEREDO

L’HOMME A LA CAMERA CELOVEK KINOAPPARATOM

LA MAISON DE LA RUE TROUBNAIA DOM NA TROUBNOÏ

Gosses de Tokyo est le vingt-quatrième film d’Ozu et son dernier film muet dont il tourna un remake en 1959, intitulé Bonjour (Oyaho). C’est une comédie à l’humour amer qui met en scène les relations conflictuelles entre un père et ses deux fils. Ryoichi (dix ans) et Keiji (huit ans) font l’école buissonnière et se lient avec Taro, le fils du patron de leur père. Lorsqu’ils découvrent dans un film amateur que leur père, pour complaire à son patron, ne cesse de faire le pitre devant la caméra.

Le public s’installe dans une salle de cinéma pour regarder un film, qui n’est autre que L’Homme à la caméra. Le film se déroule et se fabrique sous nos yeux, au rythme d’une journée de citoyen soviétique. Parmi ces loisirs, il y a le cinéma. L’homme à la caméra filme les gens et la ville, qui se réveille et s’anime comme un être vivant. Une monteuse rassemble et organise les images obtenues. C’est le film ainsi produit qui est projeté dans la salle où les citoyens soviétiques se retrouvent après leur journée.

Dans un immeuble de la rue Troubnaïa à Moscou cohabitent ouvriers, employés et nepmen. L’escalier central en est le point de rencontre. Le coiffeur Golikov et sa femme cherchent à employer une bonne non syndiquée. Leur choix s’arrête sur Parania…

« Ozu, encore fortement marqué par le burlesque et le slapstick américains, a joyeusement utilisé le couple des deux gamins, flanqués d’une bande « d’affreux jojos » particulièrement réjouissants. Du strict point de vue de l’efficacité comique, les grimaces et attitudes des deux frères sont irrésistibles, et loin de n’être qu’un cabotinage supérieur, sont l’expression même d’une authenticité saisie « sans en avoir l’air », d’une réalité retournée, comme justement chez Jean Vigo. » Revue du cinéma

L’Homme à la caméra est un film singulier et crucial dans l’histoire du cinéma. Expérience démesurée du cinéaste et théoricien Dziga Vertov, le film vise à créer un langage cinématographique nouveau. Mais plus encore que d’audace théorique, il fait preuve d’une effervescence visuelle remarquable, alliant tout le spectre des effets spéciaux connus à l’époque avec des images documentaires obtenues par de véritables mises en danger de l’opérateur. Ce film tourbillonnant et plein d’humour cherche à renverser la vision quotidienne du spectateur afin de faire émerger une nouvelle manière de voir, à la fois idéologique et sensuelle. Eugénie Zvonkine. Extrait du dossier pédagogique « Lycéens et apprentis au cinéma », CNC.

MUSICIENS Solo. C. Paboeuf (hautbois, flûtes à bec basse et alto, vibraphone midi) M. Coceano (piano, accordéon) C. Bjürstrom (piano) L. Bernard (piano) C. Leroy (piano, synthétiseur)

Duo. L. Marode (piano) et K. Gherbi (contrebasse) C. Bjürstrom (piano) et P. Stefan (violon) C. Paboeuf (hautbois, flûtes à bec basse et alto, vibraphone midi) et R. Boulard (batterie) L. Bernard (piano) et M. Gattegno (basse) L. Bernard (piano) et J. Kamoun (batterie) M. Gattegno (basse) et J. Kamoun (batterie) Trio. L. Bernard (piano, claviers), M. Gattegno (contrebasse, basse, voix) et J. Kamoun (scie musicale, batterie) L. Marode (piano), K. Gherbi (contrebasse) et A. Gherbi (batterie)

MUSICIENS Solo. P. Badaroux-Bessalel (contrebasse, ordinateur). Extrait Duo. G. Saurel (violoncelle) et N. Chatenoud (basse, guitares)

Radiomentale (cinémix) Trio. P. Badaroux-Bessalel (contrebasse), J.C. Richard (saxophone soprano et baryton) et T. Balasse (traitement sonore) L. Bernard (piano, claviers), M. Gattegno (contrebasse, basse, voix) et J. Kamoun (scie musicale, batterie)

Dès ses premiers films, Barnet fait preuve d’un réel sens de l’humour. Influencé certainement par Buster Keaton et Harold Lloyd, il manie le burlesque avec une grande finesse. Les personnages de ses films, par leur côté grotesque et absurde, font penser à ceux des textes de Nikolaï Gogol. Le cinéma de Barnet emprunte à la tradition du cirque russe des éléments d’équilibrisme et de jonglage, tout en esquissant des instantanés poétiques saisissants. Le montage virtuose de l’image, au tempo vertigineux, impose au spectateur de respirer dans son rythme. Le film devait servir de propagande en faveur des élections au Soviet de la ville de Moscou. Il est aujourd’hui aussi difficile de s’en rendre compte qu’en 1928 : les autorités de l’époque en conçurent un fort mécontentement et décrètent que le film était peu réussi. Aujourd’hui, La Maison de la rue Troubnaïa est reconnu comme l’un des chefs d’œuvre de Boris Barnet, considéré lui-même comme un des plus grands cinéastes russes. Quatre-vingts ans après sa réalisation, le film n’a rien perdu de son charme, de sa légèreté et de son humour. MUSICIENS Duo. V. Sher (piano) et D. Artemenko (violon) H. Vouhé (clarinette) et A. Banfic (claviers)

MATERIEL DE COMMUNICATION Texte et photos disponibles auprès de Carlotta Document «Ecole et cinéma» disponible auprès des Enfants de cinéma (01 40 29 09 99)

MATERIEL DE COMMUNICATION

MATERIEL DE COMMUNICATION

Texte et photos disponibles auprès de Arkeïon Films.

Texte et photos disponibles auprès de Arkeïon Films.

GOSSES DE TOKYO de Yasujiro Ozu Japon - 1932 - 1h34 35 mm - muet non sonorisé 1.37 - 24 i.s. - visa n° 53475 Carlotta Films

L’HOMME A LA CAMERA de Dziga Vertov URSS - 1929 - 1h07 35 mm - muet sonorisé 1.37 - 24 i.s. - Visa n° 35479 Arkéïon Films

LA MAISON DE LA RUE TROUBNAIA de Boris Barnet URSS - 1928 - 1h05 35 mm - muet non sonorisé 1.37 - 24 i.s. - visa n° 1978798119 Arkéïon Films


LES FILMS LE MAITRE DU LOGIS DU SKAL AERE DIN HUSTRU

LA PASSION DE JEANNE D’ARC

Marie Allmen est, depuis son mariage, une esclave soumise. Son époux tyrannise toute sa famille, jusqu’à son canari. Marie, qui effectue un labeur harassant tombe malade et part se reposer à la campagne. Nanou, la vieille nourrice, va s’installer en maîtresse dans leur appartement. Le «maître du logis» va peu à peu comprendre tout le mal qu’il faisait à sa femme et va progressivement s’humaniser.

Le procès de Jeanne d’Arc en 1431 à Rouen. Elle oppose toute son intelligence et son humilité aux juges. Devant la torture elle cède pourtant, signe son abjuration puis se rétracte. Relapse. Elle est condamnée à être brulée. Devant son supplice son peuple se révolte, convaincu qu’on a brûlé une sainte. Mais les anglais dispersent la foule.

NANOUK L’ESQUIMAU NANOOK OF THE NORTH

Dans le Grand Nord canadien, la vie quotidienne d’une famille d’Esquimaux avec, au fil des saisons, la lutte contre le froid et la perpétuelle recherche de nourriture. Dans ce paysage de neige et de glace, cette vie quotidienne devient épopée...

Carl Theodor Dreyer, le plus grand cinéaste danois de l’histoire, commença sa carrière en 1918 avec Le Président que suivit Pages arrachées au livre de Satan, deux films qui lui permirent de devenir rapidement un des plus prolifiques cinéastes européens du muet. Le Maître du logis réalisé au Danemark en 1925 est la parfaite démonstration par Dreyer de sa maîtrise du langage du cinéma muet. Adaptant une comédie à la mode, Dreyer la transforme en une tragédie familiale où un mari se trouve confronté à sa nourrice venue tenir la maison après que sa femme, ne supportant plus sa tyrannie domestique, a quitté le foyer. Dreyer prend à nouveau la défense des femmes dans ce film qui témoigne de sa capacité à épurer un sujet banal pour le transfigurer par un réalisme méticuleux et une mise en scène exemplaire.

MUSICIENS Solo. M. Coceano (piano) J. Cambra (piano) C. Bjürstrom (piano) MATERIEL DE COMMUNICATION DOCUMENT ADRC

LE MAITRE DU LOGIS de Carl Theodor Dreyer Danemark - 1928 - 1h30 35 mm - muet sonorisé 1.37 - 24 i.s. - visa n° 68114 Les Grands Films Classiques

Si, après plus d’un demi siècle, La Passion de Jeanne d’Arc reste un film d’une beauté indépassable, c’est à cette rencontre qu’il le doit, à l’accord parfait qui tout de suite s’est instauré entre le cinéaste et son interprète. Falconetti, curieusement, ne soupçonna jamais que Dreyer allait la sauver de l’oubli des générations futures grâce au seul grand film qu’elle eût tourné et auquel son nom reste lié pour toujours. Femme de passions et de contradictions, incapable de gérer son immense talent, elle n’est devenue ni une Réjane, ni une Sarah Bernhardt. Mais grâce à ce seul et unique film, elle demeure dans la mémoire de tous. Et inversement. Sans Falconetti, La Passion n’aurait pu être ce qu’elle est : une pièce unique dans l’histoire du cinéma, d’autant plus fulgurante qu’elle explore un visage inconnu auparavant et définitivement évanoui depuis. Maurice Drouzy Les Cahiers du cinéma

MUSICIENS Solo. M. Coceano (piano) C. Paboeuf (hautbois, flûtes à bec basse et alto, vibraphone midi)

C. Bjürstrom (piano et électronique) Duo. M. Coceano (piano) et S. Amiard (piano, musique électronique et objets sonores) C. Jauniaux (voix) et G. Mevel (piano) C. Leroy (piano, synthétiseur) et P. Saucez (clarinette)

MATERIEL DE COMMUNICATION DOCUMENT ADRC

LA PASSION DE JEANNE D’ARC de Carl Theodor Dreyer France - 1928 - 1h30 35 mm - muet non sonorisé 1.33 - 20 i.s. - visa n° 13431 Gaumont

«Par mes films je m’efforce de faire connaître un pays et les gens qui y vivent sous leur aspect le plus authentique. Je me sers des personnages réels, des gens qui vivent dans les endroits où je tourne, parce qu’en fin de compte ils sont les meilleurs acteurs. [...] Aujourd’hui plus que jamais, le monde a besoin de promouvoir la compréhension mutuelle des peuples. Le besoin que je ressentis de faire Nanouk vient de mon admiration pour ce peuple. Je désirais communiquer cela aux autres. C’était ma seule raison de faire le film.» Robert Flaherty. Nanouk ! L’homme du Pôle magnétise les enfants. Que cette famille ne les laisse pas indifférents nous éclaire sur leurs désirs. Pourquoi se soudent-ils autour de celle de Nanouk ? Elle vit une vie surprise à son origine, filmée sous une lumière directe ; le soleil source de la vie (et de toute philosophie). Le moindre de ses actes apparaît indispensable à son existence. Pas un geste superflu n’embrouille ses rapports au monde. Gestes quotidiens et cependant fondamentaux. Gestes exemplaires. Ils magnifient le génie de ce petit groupe humain. Une famille peut-elle devenir épique ? Cet univers de l’extrême nécessité les sidère. Nanouk est au monde. Tout simplement. Il s’accorde à la place qui lui a été faite. Il l’accepte. Il accomplit ce pourquoi il a été fait. Sans tricher, sans mensonge. L’affectivité de chacun s’harmonise avec un geste authentique, rien moins que vital. Pas de désirs inutiles, pas de chantage affectif, rien qui poisse psychologiquement, ni culpabilise. Et puis que voient-ils aussi ? Un père qui prend le temps de jouer avec ses enfants ! A peine vient-il de finir la construction de leur maison. Pierre Gabaston, Cahier de notes sur… Les Enfants de cinéma MUSICIENS Solo. C. Leroy (piano, synthétiseur) Duo. Bocage MATERIEL DE COMMUNICATION Document et photos disponibles auprès des Grands Films Classiques. NANOUK L’ESQUIMAU de Robert J. Flaherty Etats-Unis - 1922 - 1h10 35 mm - 24 i.s. - 1.37 - visa n° 9404 muet sonorisé : composition de C. Leroy (2002)

Les Grands Films Classiques


LES FILMS SO THIS IS PARIS LES SURPRISES DE LA TSF

THE LODGER A STORY OF THE LONDON FOG Dans le fog nocturne de Londres, un assassin traque les jeunes femmes blondes. Le quartier est en émoi. Sur le qui-vive. Dans la pension de Mme Jackson, ces meurtres sont justement le sujet de conversation de la soirée. The Lodger est proposé dans le cadre d’un cycle ADRC : « Hitchcock so british ! » en collaboration avec Serge Chauvin.

Raphaël Howson

Marivaudage, mari volage et vaudeville. À Paris, Maurice et Georgette Lallé répètent un sketch style « Mille et une Nuits ». De l’autre côté de la rue, Suzanne Giraud est tout émoustillée par la violence du « Cheikh » qu’elle a aperçu par la fenêtre. Paul Giraud, son médecin de mari, traverse la rue pour aller donner une leçon au « barbare » et tombant sur Georgette, reconnaît en elle une de ses ex-maîtresses. Commence alors une ébouriffante valse de mensonges, de quiproquos et d’épreuves pour les deux couples… C’est le film le plus drôle de toute la période américaine muette de Lubitsch. Le goût du quiproquo y est poussé jusqu’à l’hystérie, culminant dans l’éblouissante séquence du bal, avec son charme endiablé et l’accélération du montage qui traduit la griserie du héros. Tout le film est du même acabit : un doux délire qu’on aimerait voir durer éternellement. N. T. Binh, Christian Viviani. MUSICIENS Solo J. Cambra (piano) R. Howson (piano) M. Coceano (clavier) M. Regnault (clavier) Duo. M. Coceano (piano, mélodica, citharre, objets sonores), O. Lagodzki (trombone, voix, électro, objets sonores) S. Orins (piano) et E.Navet (percussions, vibraphone) Radiomentale (cinémix)

MATERIEL DE COMMUNICATION

Avec The Lodger, Hitchcock trouve son style et son sujet. Tous les motifs sont déjà en place : le crime lié au désir mortifère ; la figure du vraifaux coupable, hanté et attirant ; l’identification alternée à la victime et au « méchant » ; l’érotisme sado-masochiste ; et l’obsession du regard, donc du voyeurisme. Cette « histoire du fog londonien » concilie héritage victorien et célébration moderniste de la métropole, avec une invention formelle constante. La mise en scène savamment géométrique littéralise les perceptions subjectives, joue avec le horschamp. Et son souci d’immédiateté visuelle pousse à ses limites le pouvoir expressif du cinéma muet afin de rendre le son par l’image, marquant la naissance d’un cinéaste musicien. Serge Chauvin

MUSICIENS Solo. R. Howson (piano) J. Cambra (piano) C. Bjurström (piano) M. Coceano (clavier, objets sonores) N. Chalopin (clavier) C. Paboeuf (hautbois, flûtes à bec basse et alto, vibraphone midi)

Duo. Radiomentale (cinémix) C. Bjurström (piano) et N. Pointard (batterie) H. Vouhé (clarinette) et A. Banfic (claviers) Trio. A. Vesterman (violoncelle), C.Bjurström (piano) et N. Pointard (batterie) MATERIEL DE COMMUNICATION

Affichette, affiche disponibles auprès de Théâtre du Temple.

DOCUMENT ADRC Affichette disponible auprès de Carlotta Films

SO THIS IS PARIS de Ernst Lubitsch Etats-Unis - 1926 - 1h20 35 mm - muet (intertitres STFR) 1.33 - 18 i.s. - visa n° 18216 Théâtre du Temple

THE LODGER d’Alfred Hitchcock Royaume-Uni - 1927 - 1h13 35 mm - muet, NB, 1.33 - 24 i.s. - Visa : 128020 Carlotta Films

.

Pierre Badaroux

.

Christofer Bjurström


LES BURLESQUES LE CAMERAMAN THE CAMERAMAN

CHARLEY CHASE FOLLIES 4 COURTS-METRAGES DE LEO MCCAREY

LAUREL ET HARDY «THE BEST» 4 COURTS-METRAGES

A New York, les débuts de Shannon comme reporter d’une compagnie d’actualités cinématographiques sont désastreux. Encouragé par Sally, la secrétaire de la compagnie, il s’impose en filmant une émeute dans le quartier chinois.

A visage découvert (Mighty like a moose) Etats-Unis/1926 - 22 minutes Monsieur et Madame Moose souffrent de leurs difformités physiques : elle a un très grand nez et lui des dents en avant...

Keaton tourne, avec Le Cameraman, son avant-dernier chef-d’œuvre. Sa conception du cinéma, absolument, uniquement visuelle ne put se plier aux dialogues. Le parlant lui fut fatal. C’est peut-être ce qui ajoute à sa grandeur. Car le génie comique de ce très grand cinéaste vient aussi du fait qu’il prenait à son compte – et en jouait avec maestria – l’espace temporel. Le dialogue eut entravé son rythme. Chacun des univers parallèles qu’il dispose dans sa mise en scène a son temps propre. Celui de Buster, sous ses airs d’impassibilité, est celui de l’impatience et de la rapidité. Cela donne ces fantastiques exploits sportifs. Rien n’est plus parfaitement beau, par exemple, que cette descente, montée, descente ultra rapide de l’escalier vue en coupe et filmée en continuité. Un vrai, un grand bonheur de cinéma. Jean Douchet

Métier de chien (Dog shy) Etats-Unis/1926 - 23 minutes Pourchassé par un chien, Charley se réfugie dans une cabine téléphonique…

Ton cor est à toi (You’re Darn Tootin’) de Edgar L. Kennedy Etats-Unis/1928 - 20 minutes Renvoyés d’un orchestre pour avoir perturbé un concert dans un kiosque, Laurel et Hardy sont contraints à jouer de leur instrument (cor et flûte) dans les rues pour gagner leur vie.

MUSICIENS Solo. J. Cambra (piano) L. Bernard (piano) M. Coceano (piano, accordéon) Martial Romanko (piano, voix, accordéon, clavier, guitare, percussions)

Duo. L. Bernard (piano) et M. Gattegno (basse) L. Bernard (piano) et J. Kamoun (batterie) M. Gattegno (basse) et J. Kamoun (batterie) Stefan Orins (piano), Eric Navet (percussions, vibraphone)

Trio. L. Bernard (piano, claviers), M. Gattegno (contrebasse, basse, voix) et J. Kamoun (scie musicale, batterie)

Ark Trio Quartet. Ensemble Prisme MATERIEL DE COMMUNICATION

Charley rate son mariage (His wooden wedding) Etats-Unis/1925 - 24 minutes Charley, riche playboy, se marie un vendredi 13… Une soirée de folie (What price goofy ?) Etats-Unis/1925 - 24 minutes Charley est marié à une femme très jalouse qui décide de quitter la maison pour mieux revenir quelques heures plus tard.

C’est ma femme (That’s my wife) de Lloyd French Etats-Unis/1929 - 20 minutes Laurel abuse de l’hospitalité de Hardy, ce qui fait fuir la femme de ce dernier. Mais un oncle doit venir juger du couple de Hardy pour le désigner comme héritier. Harry hérite de son oncle (Early to Bed) d’Emmet Flynn Etats-Unis/1928 - 20 minutes Hardy fait un héritage et veut en profiter. Il engage Laurel comme maitre d’hôtel. Laurel et Hardy constructeurs (The Finishing Touch) de Clyde Bruckman Etats-Unis/1928 - 20 minutes Stan et Oliver terminent en hâte la construction d’une maison en bois pour un client impatient.

MUSICIENS Solo. J. Cambra (piano) M. Coceano (piano, accordéon) L. Bernard (piano) Duo. L. Marode (piano) et K. Gherbi (contrebasse) J. Cambra (piano) et P. Manganaro (percussions)

L. Bernard (piano) et M. Gattegno (basse) L. Bernard (piano) et J. Kamoun (batterie) M. Gattegno (basse) et J. Kamoun (batterie) Trio. L. Bernard (piano, claviers), M. Gattegno (contrebasse, basse, voix) et J. Kamoun (scie musicale, batterie) L. Marode (piano), K. Gherbi (contrebasse) et A. Gherbi (batterie)

Textes, photos et affichettes disponibles auprès des Grands Films Classiques.

MATERIEL DE COMMUNICATION DOCUMENT ADRC Une affichette et une affiche sont disponibles auprès des Grands Films Classiques.

LE CAMERAMAN de Edward Sedgwick et Buster Keaton Etats-Unis -1928 - 1h06 35 mm - NB - muet sonorisé 1.37 - 24 i.s .- visa n° 29139 Les Grands Films Classiques

CHARLEY CHASE FOLLIES de Leo McCarey Etats-Unis - 1925/1926 - 1h30 35 mm - NB - muet sonorisé 1.37 - 24 i.s. - visa n° 110447 Les Grands Films Classiques

Le tandem le plus célèbre de l’histoire du cinéma burlesque américain. Ils ont inventé un burlesque particulier, un goût pour les gags «à combustion lente», une subtile chorégraphie arithmétique. Serge Toubiana Ouverture du cycle à la Cinemathèque française (2010) MUSICIENS Solo. C. Paboeuf (hautbois, flûtes à bec basse et alto, vibraphone midi)

Trio. L. Marode (piano), K. Gherbi (contrebasse) et A. Gherbi (batterie) MATERIEL DE COMMUNICATION Une affichette et une affiche sont disponibles auprès des Grands Films Classiques. LAUREL ET HARDY «THE BEST» Etats-Unis - 1928 / 1929 - 1h20 35 mm - NB - muet sonorisé 1.37 - 24 i.s. - visa n° 36834 Les Grands Films Classiques


LES BURLESQUES - Harold Lloyd

Troisième grand comique du cinéma muet américain avec Chaplin et Keaton, Harold Lloyd est « l’homme aux lunettes d’écaille » HAROLD LLOYD LES TROIS (MÉS)AVENTURES

MONTE LA-DESSUS SAFETY LAST

EN VITESSE SPEEDY

Programme de 3 courts-métrages : Oh ! La belle voiture (Get out and get under) de Hal Roach Etats-unis/1920 - 25 min Harold se réveille en retard pour la représentation de la pièce dans laquelle il joue... Viré à l’Ouest ! (An eastern Westerner) de Hal Roach Etats-unis/1920 - 23 min Harold est un fils à papa envoyé dans l’Ouest américain... Voyage au paradis (Never Weaken) de Fred Newmeyer et Sam Taylor Etats-unis/1921 - 29 min Harold simule dans la rue des guérisons miraculeuses avec la complicité d’un acrobate...

Afin d’épouser sa bien aimée, Harold décide d’aller faire fortune à la ville. À sa fiancée survenue à l’improviste, il fait croire qu’il occupe un poste directorial et décide de gravir les échelons hiérarchiques.

Harold Swift, surnommé Speedy, vit de petits boulots à New York. Il tombe amoureux de la fille du propriétaire de la ligne de tramway. Un jour, le tramway est détourné et Harold se lance à sa poursuite...

Monte là-dessus est aux années 20 ce que les films de Capra sont aux années 30 ou 40 : une illustration magnifique de l’Amérique telle qu’elle est, à travers un instantané juste et précis de sa classe moyenne auquel s’ajoutent ici, notamment lors de la scène de l’horloge, des vues architecturales ayant valeur de témoignage officiel ! Cette comédie follement joyeuse illustre bien cette insouciance d’avant la crise économique et sociale de 1929.

La course contre la montre qui termine le film est un morceau de bravoure. C’est aussi un fabuleux passage qui témoigne de l’opposition entre la culture d’hier et celle de demain, la vision d’un omnibus tiré par un cheval s’opposant aux premiers signes d’urbanisation et de modernité des faubourgs new-yorkais.

MONTE LA-DESSUS de Sam Taylor et Fred Newmeyer Etats-Unis - 1923 -1h10 35 mm - muet sonorisé 1.33 - 24 i.s. - visa n° 113881 Carlotta Films

EN VITESSE de Ted Wilde Etats-Unis - 1927 - 1h26 35 mm - muet sonorisé 1.33 - 24 i.s. - visa n° 50791 Carlotta Films

EN VITESSE/FAUT PAS S’EN FAIRE/ MONTE LA-DESSUS /VIVE LE SPORT MUSICIENS Solo. J. Cambra (piano) C. Bjürstrom (piano) C. Paboeuf (hautbois, flûtes à bec basse et alto, vibraphone midi)

u ea

is ad

r

pa

ag

y Vo

Lloyd tourne de nombreux courts-métrages avant de se lancer dans une inoubliable série de longs-métrages dont le plus connu reste Monte là-dessus ! (Safety Last !) où Harold escalade un gratte-ciel et se trouve suspendu à une horloge géante. MUSICIENS Solo. C. Bjürstrom (piano) C. Paboeuf (hautbois, flûtes à bec basse et alto, vibraphone midi) M. Coceano (piano et objets sonores) N. Chalopin (piano) Martial Romanko (piano, voix, accordéon, clavier, guitare, percussions)

Duo. L. Marode (piano) et K. Gherbi (contrebasse) H. Vouhé (clarinette) et A. Banfic (claviers) Trio. L. Bernard (piano, claviers), M. Gattegno (contrebasse, basse, voix) et J. Kamoun (scie musicale, batterie) L. Marode (piano), K. Gherbi (contrebasse) et A. Gherbi (batterie)

LES TROIS (MES)AVENTURES de Hal Roach, Fred Newmeyer Etats-Unis - 1920/1921 - 1h31 35 mm - muet sonorisé 1.37 - 24 i.s. - visa n° 122785 Carlotta Films .

Duo. M. Coceano (piano accordéon) et O. Lagodzki (trombone, percussions) L. Marode (piano) et K. Gherbi (contrebasse) C. Bjürstrom (piano) et N. Pointard (batterie) L. Bernard (piano) et M. Gattegno (basse)

L. Bernard (piano) et J. Kamoun (batterie) M. Gattegno (basse) et J. Kamoun (batterie) Trio. L. Bernard (piano, claviers), M. Gattegno (contrebasse, basse, voix) et J. Kamoun (scie musicale, batterie) L. Marode (piano), K. Gherbi (contrebasse) et A. Gherbi (batterie)

MATERIEL DE COMMUNICATION Dossier pédagogique, affichette, affiche et document d’accompagnement disponibles auprès de Carlotta Films.

Vive le sport

FAUT PAS S’EN FAIRE WHY WORRY

VIVE LE SPORT THE FRESHMAN

Harold von Pelham, riche américain hypocondriaque, débarque à Paradisio pour s’y reposer. Mais en fait Paradisio est en plein coup d’Etat.

Harold Lloyd est un jeune étudiant qui attaque sa première année à l’université en collectionnant les catastrophes. Ce qui ne l’empêche pas de rejoindre la prestigieuse équipe de rugby de la faculté.

La séquence d’anthologie intervient dans la première moitié du film : il s’agit de l’arrivée du héros dans ce petit village au large de l’Amérique du Sud, où va ensuite se situer tout le reste de l’action.

La partie du film consacrée au match de rugby est un véritable morceau d’anthologie du gag lloydien.

FAUT PAS S’EN FAIRE de Sam Taylor et Fred Newmeyer Etats-Unis - 1923 -1h00 35 mm - muet sonorisé 1.33 - 24 i.s. - visa n° 50788 Carlotta Films

VIVE LE SPORT de Sam Taylor et Fred Newmeyer Etats-Unis - 1924 - 1h16 35 mm - muet sonorisé 1.33- 24 i.s. - visa n° 50786 Carlotta Films


LES FILMS D’ANIMATION AUTOUR DES PIONNIERS DE L’ANIMATION DU PRAXINOSCOPE AU CELLULO

LES AVENTURES DU PRINCE AHMED DIE ABENTEUER DES PRINZEN ACHMED

LES FABLES DE STAREWITCH D’APRES LA FONTAINE

Les Aventures du Prince Ahmed illustre Les Aventures d’Aladin ou la lampe merveilleuse et Le cheval volant des Mille et une Nuits.

Ce programme d’une durée d’une heure, spécialement composé pour un public de tout âge et une diffusion en ciné-concert, a été conçu par l’ADRC, les Archives françaises du film du CNC et le musicien Jacques Cambra. La restauration a été effectuée par les Archives du film du CNC en accord avec les ayants-droit et la Cinémathèque française. La distribution est assurée par Gaumont et la circulation des copies par le département Répertoire de l’ADRC. La projection peut être accompagnée d’un atelier d’initiation aux techniques de l’animation. Autour de Will Day, Wilfrid Day, 1929 Paris-Cinéma, Pierre Chenal, 1929 Bécassotte à la mer, Marius O’Galop, 1920 Les Locataires d’à côté, Emile Cohl, 1909 Quelques croquis de gosses, Hy Mayer, 1923 Sculpteur moderne, Segundo de Chomón, 1908 Affaires de cœur, Emile Cohl, 1909 La Tuberculose menace tout le monde, Robert Lortac, Jean Comandon, 1918 Les Déboires d’un piéton, Robert Lortac, 1922 Gulliver chez les Lilliputiens, Albert Mourlan, 1923

MUSICIENS

Solo. J. Cambra (piano) C. Paboeuf (hautbois, flûtes à bec basse et alto, vibraphone midi)

C. Bjürstrom (piano) M. Coceano (piano, accordéon) Duo. L. Marode (piano) et K. Gherbi (contrebasse) H. Vouhé (clarinette basse, flûte, sampler et effets sonores) et S. Douin (guitare, percussions, objets sonores, sampler et voix) H. Vouhé (clarinette) et A. Banfic (claviers) C. Bjurström (piano) et C. Le Flochmoan (voix et objets sonores)

Trio. L. Marode (piano), K. Gherbi (contrebasse) et A. Gherbi (batterie) MATERIEL DE COMMUNICATION DOCUMENT-AFFICHETTE ADRC, en partenariat avec les Archives françaises du film Egalement : Atelier Jeune public ADRC AUTOUR DES PIONNIERS DE L’ANIMATION Collectif France - 1908/1929 - 1h00 35 mm - muet non sonorisé 1.33 - 24 i.s. - visa n° 123052 Gaumont

Onze ans avant que Walt Disney n'impose l'idée qu'il avait réalisé, avec Blanche Neige, le premier long-métrage d'animation, Lotte Reiniger terminait en Allemagne un film d'une heure et sept minutes réalisé en papier découpé. Inspiré des contes des Mille et une Nuits, Les Aventures du Prince Ahmed est le premier longmétrage d'animation européen, et le deuxième de toute l'histoire du cinéma. Le film se déploie comme un théâtre d'ombres chinoises raffinées foisonnant de détails, de robes en dentelle, de moucharabiehs, de dragons qui propulsent le spectateur dans un ailleurs merveilleux où les climats visuels varient de l'abstraction géométrique à l'expressionnisme. Isabelle Regnier, Le Monde MUSICIENS Solo. C. Bjürstrom (piano) C. Paboeuf (hautbois, flûtes à bec basse et alto, vibraphone midi) M. Coceano (piano et objets sonores)

Duo. P. Badaroux-Bessalel (contrebasse, ordinateur), C. Delaunay (clarinette, saxophone) Extrait C. Bjürstrom (piano/flûtes), F. Malet (percussions)

M. Coceano (piano, accordéon, objets sonores), O. Lagodzki (trombone, percussions, objets sonores) S. Bertrand et A. Pennec (accordéon diatonique)

F. Giuliani (sampler), E.Gilot (création sonore) H. Vouhé (clarinette basse, flûte, sampler) S. Douin (guitare, percussions, objets sonores, voix) Radiomentale (cinémix) Trio. C. Bjürstrom (piano/flûtes), F. Malet (percussions), C. Le Flochmoan (conteuse) L. Marode (piano), K. Gherbi (contrebasse) et A. Gherbi (batterie) Ark Trio MATERIEL DE COMMUNICATION Dossier de presse, affichette et affiche disponibles auprès de Carlotta Films. LES AVENTURES DU PRINCE AHMED de Lotte Reiniger, Carl Koch Allemagne - 1923/1926 - 1h05 35 mm - muet sonorisé 1.37 - 24 i.s. - visa n° 119142 Carlotta Films

Préservés et restaurés, ces cinq films se présentent de trois façons différentes. Le Lion et le moucheron, réalisé en 1932 en noir et blanc, bénéficie d’une bande son originale, musique et paroles, qui accompagne les images. Pour Le Rat des villes et le rat des champs (1926), Les Grenouilles qui demandent un roi (1922) et La Cigale et la fourmi (1927), muet et couleur, le choix a été fait de conserver la forme originale mêlant les images de Starewitch et les intertitres contenant les textes originaux de La Fontaine d’où un respect absolu du rythme et du montage des films originaux. La lecture des intertitres en voix off s’inscrit dans la narration des images et de la musique recréant les conditions de projection des années 1920. Quant au dernier, Le Lion devenu vieux (1932, noir et blanc, sonore), l’absence de texte et de parole laisse pleinement la place à la puissance évocatrice de l’art cinématographique de Starewitch. MUSICIENS Solo J. Cambra (piano) R. Howson (piano) M. Coceano (clavier) N. Chalopin (clavier) G. Mevel (violoncelle) Duo M. Coceano (clavier) et C. Lavandier (chant et conte)

Y. Donet (musique électronique), L. Lefort (violoncelle chant et conte) C. Bjürstrom (clavier) et C. Le Flochmoan (chant et conte) S. Orins (piano) et J.P. Fourment (contrebasse et conte) N. Chalopin (clavier) , Daisy Bolter (voix)

MATERIEL DE COMMUNICATION Affichette et affiche disponibles auprès de Tamasa Distribution. LES FABLES DE STAREWITCH d’après La Fontaine France - 1932 - 1h10 - 1.37 - 24 i.s. Couleur / NB- 35 mm - visa n° 2010003155 muet sonorisé : composition de J. Cambra (2010)

Les Acacias


CINEMIX / ELECTRO / PERFORMANCES

Réinterprétation de films parlants - Il est recommandé également de programmer les films dans leur version sonorisée originale

VAMPYR L’ETRANGE AVENTURE DE DAVID GRAY

LA FIANCEE DE FRANKENSTEIN THE BRIDE OF FRANKENSTEIN

Un jeune homme arrive un soir dans une auberge située dans le village isolé. La nuit, un vieillard pénètre dans sa chambre pour implorer son aide et disparait aussi mystérieusement qu’il est entré en laissant un livre expliquant les méfaits de créatures appelées vampires...

Le monstre créé de toutes pièces par le savant Henry Frankenstein n’est pas mort à la fin du premier épisode. Il continue à semer la terreur dans la campagne et dans les bois. Il va concevoir une nouvelle créature : une femme, cette fois…

Vampyr, tourné en France en 1930, est un des plus étonnants films de vampires jamais réalisés. Dreyer y adapte librement les textes de l’écrivain irlandais Sheridan Le Fanu à l’érotisme discrètement saphique : le vampire est une vieille femme maléfique qui terrorise un petit village pour pouvoir soumettre à ses volontés les deux filles du châtelain. Le film propose au spectateur d’entrer dans un monde irréel où les ombres abandonnent les corps, où les décors les plus réalistes sont transfigurés par une atmosphère fantasmatique, où le héros venu combattre la vampire pénètre dans un univers incertain où rêve et réalité se confondent totalement. Extrait du document ADRC

“Si vous avez le coeur fragile et que vous ne pouvez supporter des émotions trop intenses ou effroyables, nous vous recommandons de ne PAS voir ce film.” Texte d’accompagnement des publicités lors de la sortie de Frankenstein en 1931

« Premier des films parlants de Dreyer, Vampyr est en même temps le dernier de ses films muets. Il est donc largement tourné vers le passé, et résonne encore de tous les échos du cinéma d’art, des grands échanges et des grandes confrontations qui ponctuent les années vingt. Jeanne d’Arc avait apporté, dans un cinéma français souvent mièvre, un peu de dureté venant du Nord et de l’Est. Vampyr à l’inverse importerait de l’ « impressionnisme » dans un souvenir du démoniaque allemand. » Jacques Aumont

MUSICIENS Solo. L. Laquerrière (guitare, synthé, samples) Trio. Collectif RAS MATERIEL DE COMMUNICATION DOCUMENT ADRC

VAMPYR de Carl Th. Dreyer France/Allemagne, - 1932 - 1h15 35 mm - 1.37 – NB - visa : 29154 film sonore - musique W. Zeller Les Grands Films Classiques

Lionnel Laquerrière

Brillante idée qu’eut James Whale, en 1935, de ressusciter son monstre désespérément solitaire pour lui offrir une dulcinée. La suite de Frankenstein : un chef-d’oeuvre bouleversant, bourré d’humour, à ne rater sous aucun prétexte. Pierre Murat Le film assouvit le désir de la créature de Shelley qui priait Frankenstein de lui donner une compagne “aussi hideuse” que lui-même. Whale élit en réalité l’étrange beauté d’Elsa Lanchester qui interprète la Mary Shelley du prologue et la fameuse fiancée du monstre. Une création unique qui fait de cette Néfertiti électrique, au cours d’un final anthologique, l’une des pièces majeures de l’histoire du cinéma. Par ailleurs, le personnage du Dr. Pretorius, version perverse de Frankenstein, participe au succès d’un film dédié à un nouveau monde de dieux et de monstres. Fabien Gaffez, document ADRC

Mauro Coceano

La Fiancée de Frankenstein est proposée dans le cadre d’un cycle cinéma fantastique (James Whale) en collaboration avec Fabien Gaffez. Les autres films disponibles sont Frankenstein, et L’Homme invisible. MUSICIENS Duo. Mauro Coceano et Gino Valet (improvisation pour deux claviers)

MATERIEL DE COMMUNICATION DOCUMENT ADRC Affiche et affichette disponibles auprès de Carlotta Films LA FIANCEE DE FRANKENSTEIN de James Whale USA - 1935 - 1h15 35 mm - 1.37 - Mono - NB visa : 3097 Carlotta Fims

Radiomentale


CINE-CONCERT SOLO Pierre Badaroux-Bessalel (contrebasse, ordinateur)

Laurent Bernard (clavier)

Christofer Bjürstrom (piano)

La compagnie (Mic)zzaj développe de nombreux projets musicaux en lien avec l’image : cinéma, composition pour l’image, actions pédagogiques... Pierre Badaroux est contrebassiste, compositeur et directeur artistique de la compagnie. Comme un clin d’oeil à Vertov (L’Homme à la caméra) dont la théorie du ciné-oeil tend à présenter son travail comme improvisé (sans scénario, sans acteurs, presque monté sur le vif), Pierre Badaroux-Bessalel crée une atmosphère musicale fidèle, mais jamais figée, qui se construit dans le même temps que Vertov semble assembler les images qui défilent sous nos yeux.

Laurent Bernard est membre du Philharmonique de la Roquette. Cette compagnie de musiciens spécialisée dans la composition de musique originale et l’accompagnement en direct d’autres formes d’expression artistique : films muets, pièces de théâtre, danse, projections, lectures, etc. Né à Arles dans le quartier de la Roquette en 1995, le Philharmonique propose des cinéconcerts depuis plus de dix ans. Musicien professionnel depuis 1993, Laurent Bernard fait partie du Philharmonique de la Roquette dont vous trouverez, dans la rubrique trio, une présentation détaillée. Il improvise au clavier sur l’Aurore de Murnau.

Pianiste et compositeur suédois, Christofer Bjürstrom s’est nourri de musiques européennes, classiques et contemporaines, de musiques traditionnelles mais surtout de Jazz. Son univers musical révèle son goût pour la mélodie, la texture des sonorités et la transgression rythmique et harmonique. Passionné depuis toujours par les liens de la musique avec le cinéma et le théâtre, il compose pour le théâtre et, depuis 1989, pour le cinéma muet des formations variées allant du solo au sextet. Il a ainsi un répertoire d’une vingtaine de films, dont Metropolis, et présente également des spectacles autour du cinéma muet en direction du Jeune public.

MICZZAJ Pierre Badaroux- Bessalel 06 13 03 13 15 pierrebadaroux@free.fr http://www.miczzaj.com

Le Philharmonique de La Roquette Julien Kamoun 06 15 09 72 03 phildelarok@free.fr http://phildelarok.free.fr

Marmouzic Bénédicte Abélard 02 98 43 02 06 marmouzic@wanadoo.fr http://www.marmouzic.org

Jacques Cambra (piano)

Nicolas Chalopin (piano)

Pianiste improvisateur et compositeur de formation classique, Jacques Cambra se consacre au ciné-concert depuis 1997 et batît depuis cette date un répertoire de plusieurs centaines de films muets. Remarqué par l’esprit contemporain et vivant de ses cinéconcerts, il est depuis 2005 le pianiste attitré du Festival International du Film de La Rochelle. Régulièrement invité à la Cinémathèque française ou au Musée d’Orsay, il se produit également (en solo ou petite formation) dans de nombreux festivals français ou internationaux. Il collabore parallèlement, à la tête de sa structure Fos’Note, à plusieurs projets autour du ciné-concert dont Metropolis notamment. Association Fos’Note Jacques Cambra 06 70 11 82 73 jacques.cambra@gmail.com http://www.jacquescambra.com

Après des études musicales, où il suit entre autre l’enseignement de Bernard Maury Nicolas Chalopin s’est produit régulièrement avec son quartet et en tant que sideman aux cotés de jeunes musiciens de la scène jazz actuelle. Plus récemment ses expériences l’amènent à collaborer à de nombreux projets musicaux liés à l’image. En 2008, il débute une serie de ciné-concerts autour des trois (més)aventures d’Harold Lloyd. On le retrouve également en piano solo pour l’accompagnement du film The Lodger avec un repertoire composé d’oeuvres originales et d’improvisations.Parallèlement à ses activités de musicien il enseigne le piano et anime des ateliers de jeu en groupe à l’EDIM.

Christian Paboeuf

Nemo Nicolas Chalopin 06 29 65 35 60 n.chalopin@laposte.net extraits sur http://www.myspace.com/nicolaschalopin

Mauro Coceano (piano, accordéon, percussions)

Raphaël Howson (piano)

Lionel Laquerrière (guitare, synthé, samples)

Mauro Coceano étudie le piano et la flûte en Italie. En 1982, il arrive à Paris ou il débute une carrière de compositeur et d’interprète pour le théâtre. Il y pratiquera également l’improvisation et le Jazz. En parallèle, il continue à étudier le piano avec la pianiste argentine Olga Galperin et l’orchestration avec Angel Gatti. En 1992, il entreprend l’étude de l’accordéon chromatique. A partir de 1996, où il réalise son premier ciné-concert sur Metropolis de Fritz Lang, il développe une approche personnelle du rapport musique / action dramatique / image. En solo ou en formation allant jusqu’à 20 musiciens, il compose et réalise la musique de près de 50 ciné-concerts avec Unicum Swack. Association Fos’Note Mauro Coceano 06 75 56 06 48 mauro.coceano@wanadoo.fr

De formation classique, Raphaël Howson fait des ciné-concerts en collaboration avec la Cinémathèque de Toulouse depuis 2005, où il a accompagné plus de 60 films, en solo, duo ou quintette. Il a pu ainsi participer à des spectacles du Théâtre National de Toulouse, et jouer dans divers festivals de cinéma (Zoom Arrière). Son interprétation de The Lodger navigue entre improvisation, citations, dans un souci de fidélité à l’esprit du film et à son rythme. Sur So this is Paris, Raphaël improvise au piano, entre romantisme, musique moderne et musiques populaires et chansons du début du 20e siècle des deux côtés de l’Atlantique, pour traduire au mieux et le plus finement possible. Il travaille également sur Metropolis.

Musicien touche-à-tout, Lionel Laquerrière est compositeur au sein de son groupe Nestorisbianca, il officie aussi avec Rubin Steiner, David Delabrosse et Yann Tiersen. Sous le pseudonyme i0logic, il explore les musiques électroniques minimales et improvisées. Sa composition sur Vampyr inclue à la fois une guitare électrique atmosphérique et des nappes synthétiques vaporeuses qui côtoient l’ambiance onirique et envoutée du ce film de Carl Th. Dreyer(1932). Vampyr, une commande musicale du Festival du Film de Vendôme et du Festival International du Film d’Arras.

extraits sur http://www.myspace.com/maurocoeano

Raphaël Howson 06 30 64 22 01 raphael.howson@neuf.fr

Lionel Laquerrière 06 09 04 62 27 lionellaquerriere@gmail.com extraits sur http://www.myspace.com/i0logic


CINE-CONCERT SOLO Christian Paboeuf (hautbois, flûte à bec basse et alto, vibraphone midi, musique électronique)

Martial Romanko (piano, voix, accordéon, clavier, guitare, percussions)

Christian Leroy (piano, synthétiseur)

De formation Jazz, Christian Paboeuf a formé en 1994 avec son frère Daniel (saxophoniste) la formation Il Monstro avec laquelle ils accompagnent en quartet plusieurs courtsmétrages de Chaplin dont le fameux Easy street (1917) composition enregistrée en 2006 pour Radio France et Harmonia Mundi. D’abord en duo puis en quintet, deux CD sont venus ponctuer les créations très personnelles de ce groupe dont l’imaginaire traque le sensible où il se cache. Il intervient notamment sur les films suivants : L’Aurore, Gosses de Tokyo, Autour des pionniers de l’animation, The Lodger...

Chanteur multi-instrumentiste, Martial Romanko est d’origine Ukrainienne. Né en France il réside dans le sud de la France. Dès 1993 il se consacre aux musiques et chants slaves. Parallèlement à ses spectacles slaves il est auteur compositeur et interprète de ses chansons françaises. En dehors de ses spectacles double culture il accompagne depuis 2003, entre autre, les chefsd’œuvres du cinéma muet : L’Aurore (piano, percussions, accordéon), Monte là-dessus (piano, accordéon, percussions, clavier) Les Deux Orphelines (clavier, piano, accordéon, guitare, percussions), Le Caméraman et Les Trois mésaventures d’Harold Lloyd, Metropolis. Nanouchka de Creisquer 06 09 75 42 72 / 04 66 77 71 84 martial.romanko@gmail.com http://martial.romanko.free.fr

Le pianiste Christian Leroy s’est imposé depuis 30 ans comme l’un des compositeurs les plus créatifs de Belgique. Fondateur de l’ensemble Musique Vivante puis du prestigieux Métarythmes de l’air, il a participé aux expériences les plus fascinantes des scènes belges et internationales. Il s’est particulièrement illustré depuis 1994 en créant des musiques originales pour le cinéma muet. En 1997, il compose la musique du film Nanouk l’Esquimau. Fait rare, le distributeur (Les Grands Films Classiques) rééditera le film avec sa composition musicale. En 2006, il redonne vie au film Gosses de Tokyo. On lui doit également avec Philippe Saucez une composition (piano et clarinette) pour La Passion de Jeanne d’Arc (voir rubrique duo) Christian Leroy christianleroyfr@yahoo.fr http://leroy.dommel.be/christianleroy.html

Il Monstro Christian Paboeuf 06 86 87 39 21 / 05 53 46 60 11. christian.paboeuf@neuf.fr http://www.ilmonstro-christianpaboeuf.com Mathieu Regnault (piano, clavier) Composer et improviser de la musique pour un film c’est à chaque fois une nouvelle rencontre, une histoire d’amour merveilleuse, c’est aussi réussir à trouver une alchimie subtile, le sublimer sans l’étouffer, c’est également mettre un peu de sa sensibilité de musicien au service d’une histoire. Pianiste de formation, je collabore régulièrement avec la Cinémathèque de Toulouse lors de cinéconcerts où j’ai dernièrement eu le plaisir et l’immense honneur d’accompagner So this is Paris d’Ernst Lubitsch. Composer et improviser, c’est aimer tout simplement ! Mathieu Regnault a composé sur Metropolis également. Mathieu Regnault 09 65 03 55 29 06 87 27 27 54 mathieuregnault@yahoo.fr extraits sur www.myspace.com/mathieuregnault

Gaël Mevel (violoncelle, percussions, voix) Le travail au violoncelle m’apporte une très grande diversité de possibles : archet, pizzicato, bien sûr, mais aussi toutes mes recherches sur l’utilisation de baguettes chinoises, de mailloches etc..Tout cela ainsi que mon expérience à la fois des musiques classiques, jazz et contemporaines mais aussi du théâtre en tant qu’acteur, me permettent d’aborder la diversité des climats, mais surtout la richesse de la poésie des Fables de Ladislas Starewitch, de créer un univers sonore où conte et musique se mêlent étroitement.

Gaël Mevel 01 64 95 64 68 / 06 30 36 91 45 gael@gaelmevel.com http://www.gaelmevel.com

Collectif RAS - L’Homme à la caméra


CINE-CONCERT DUO Catherine Jauniaux (voix) Gaël Mevel (piano acoustique ou violoncelle)

COLLECTIF RAS Yannick Donet (guitare, musique électronique) Lisa Lefort (violoncelle et chant)

Vadim Sher (piano) Dimitri Artmenko (violon)

La Passion de Jeanne d’Arc est une merveille de lumière, de mouvements et de rythmes. Dreyer filme en gros plans, et par ce resserrement, de l’expression fait naître le mouvement, jouant du noir et du blanc, et de la lumière qui naît de l’un vers l’autre. Catherine Jauniaux et Gaël Mevel ont voulu jouer avec cette lumière, son intimité et parler de ce qu’elle a provoqué en eux. Il ne s’agit pas d’illustrer le film mais de partager un regard, avec des mots qu’ils ont écrits, d’autres mots, des sons, des mélodies, et ce silence qui est sans doute primordial dans l’oeuvre de Carl Dreyer.

Yannick Donet choisit ici d’intégrer des instruments à la maîtrise musicale de l’informatique. Accompagné de Lisa Lefort, cette collaboration instaure un dialogue entre fictions électroniques et sonorités acoustiques: mélodies de guitare, cordes, récit fredonné et bruitages en direct accompagnent les films de Starewitch. Lorgnant vers des esthétiques proches de bandes originales de films (Burton, Aronofsky), et de l’électro (Aphex Twin, Autechre), la proposition musicale s’applique à sublimer la poésie intemporelle des Fables de Ladislas Starewitch.

Après leurs études de musique classique à Tallinn et à Saint-Pétersbourg, ils se retrouvent à Paris en 1993 et commencent à donner des concerts dans lesquels la musique de chambre se mêle à un large éventail de musiques folkloriques des pays de l’Est. Fascinés par La Maison de la rue Troubnaïa, ils décident d’écrire une partition pour l’accompagner musicalement. Ils fondent leur musique sur la vision contemporaine du paysage musical de l’époque de la création du film : influences de l’avant-garde russe, de la musique traditionnelle.

Collectif RAS Stéphanie Leigniel 03 80 30 15 81 diff.com@collectif-ras.org http://www.collectif-ras.org

Cie DARD’ART Laure Favret : 06 23 83 01 02 laure@dardart.org http://www.dardart.org/eq-v.sher.html

Gaël Mevel 01 64 95 64 68 / 06 30 36 91 45 gael@gaelmevel.com http://www.gaelmevel.com Stefan Orins (piano) Eric Navet (percussions, vibraphone) La musique au service du film, telle est la démarche de Stefan Orins et Eric Navet dans leur travail sur Le Cameraman. L’ensemble vibraphone-percussions-piano offre - pour So this is Paris - de nombreuses possibilités mélodiques et rythmiques. Il permet de souligner toutes les expressions et situations: du regard fiévreux et enchanteur à l’action la plus rocambolesque. Après avoir accompagné plusieurs films muets de Lubitsch Eric Navet et Stefan Orins poursuivent dans l’univers si particulier de ce cinéaste de génie.

Stefan Orins 06 74 47 27 56 stefan.orins@wanadoo.fr http://www.circum-music.com

Nicolas Chalopin (piano) Daisy Bolter (voix) Après des études musicales, où il suit entre autre l’enseignement de Bernard Maury Nicolas Chalopin s’est produit régulièrement avec son quartet et en tant que sideman aux cotés de jeunes musiciens de la scène jazz actuelle. Plus récemment ses expériences l’amènent à collaborer à de nombreux projets musicaux liés à l’image. En 2008, il débute une serie de ciné-concerts autour des Trois (més)aventures d’Harold Lloyd. On le retrouve également en duo pour l’accompagnement du film Metropolis avec un repertoire composé d’oeuvres originales et d’improvisations. Parallèlement à ses activités de musicien il enseigne le piano et anime des ateliers de jeu en groupe à l’EDIM. Nemo Nicolas Chalopin 06 29 65 35 60 n.chalopin@laposte.net

CINEMIX PAR RADIOMENTALE Jean-Yves Leloup et Eric Pajot (sample) La vogue du Cinémix, dont ce duo figure parmi les pionniers, a connu depuis 2000 un véritable engouement, grâce à de nombreux musiciens et DJs, invités à donner une nouvelle interprétation sonore de films muets. Ils interviennent sur Les Deux Orphelines, The Lodger, Metropolis et ont par ailleurs développé un autre type de performances, dans lesquelles ils s’approprient et réinterprètent des films parlants.

RADIOMENTALE Jean-Yves Leloup - 06 71 57 14 27 jyleloup2@orange.fr http://www.radiomentale.wordpress.com

extraits sur http://www.myspace.com/nicolaschalopin

Pascal Ducourtioux (percussions) Alexandre Gosse (piano)

Hélène Vouhé (clarinette basse, flûte, sampler, et effets sonores) Alexandre Banfic (claviers et effets sonores)

Le duo a déjà une longue histoire musicale. Ils ont également monté plusieurs ciné-concerts (L’Homme à la caméra). Sur Le Cameraman de Buster Keaton, ils donnent une relecture de ce film où la sensualité se mêle à l’humour. Le travail musical est minutieusement découpé mais la partition laisse place à une perpétuelle improvisation qui fait que chaque séance est une nouvelle aventure. Parfois le silence abrite un moment tendre et donne ainsi la réplique à ces passages plus mouvementés comme la guerre des Tong ou la course en bateau.

Ce duo, où l’entente humaine se passe de mots au profit de la musique improvisée servant les films, l’amène à creuser cette passion du son concret. Alexandre Banfic est claviériste et responsable d’une formation musicale du nom de WIP. C’est sous la forme d’improvisations au piano que sa musique a été employée plusieurs fois dans des courtsmétrages, documentaires et dorénavant autour de The Lodger d’Alfred Hitchcock, Autour des pionniers de l’animation, La Maison de la Rue Troubnaïa.

Pascal Ducourtioux 06 14 22 16 61 ducourtiouxp@free.fr http://ducourtiouxp.chez.com/

Trilles et godillots - Duo N(Y)EW Hélène Vouhé 06 30 70 59 63 trillesetgodillots@yahoo.fr

Hélène Vouhé (clarinette basse, flûte, sampler et effets sonores) Simon Drouin (guitare, percussions, objets sonores, sampler et voix) Après une formation en clarinette basse, Hélène Vouhé approfondit l’improvisation instrumentale et les créations sonores. Parallèlement à son activité au CRD de Romainville où elle enseigne depuis 2003, elle poursuit son travail avec le guitariste poly-instrumentiste et chanteur-auteur Simon Drouin en composant pour le cinéma muet. Depuis 2006, ce duo a accompagné notamment Les Aventures du Prince Ahmed de Lotte Reiner, Autour des pionniers, Les Trois (Més)aventures d’Harold Lloyd. Trilles et godillots Hélène Vouhé 06 30 70 59 63 trillesetgodillots@yahoo.fr


CINE-CONCERT DUO Sébastien Bertrand, Alain Pennec (accordéon diatonique) Le duo d’accordéonistes nous entraîne à la (re)découverte de ce chef-d’oeuvre de l’histoire du cinéma : L’Aurore, film muet de Murnau (1927), que François Truffaut qualifiait de «plus beau film du monde». Cinéphile, mélomane, curieux, chacun appréciera cette rencontre artistique. Leur musique s’illustre en images, les images dansent sur leur ronde poétique et sensible. Murnau conviait le spectateur à contempler une histoire magnifique, hors du temps. Le duo Pennec et Bertrand lui offre du relief, une dimension et une émotion nouvelle. Ils travaillent sur Les Aventures du Prince Ahmed. Samuel Pasquier. Elips. 02 40 34 36 92 / 06 32 10 66 59. samuel@elips.org http://www.elips.org

Christian Paboeuf (hautbois, vibraphone midi et flûtes) Régis Boulard (batterie) Gosses de Tokyo est le deuxième cinéconcert que Christian Paboeuf propose. Après L’Aurore de Murnau présenté en solo, il a décidé de travailler cette fois-ci avec le batteur Régis Boulard avec qui il a déjà créé un ciné-concert autour de 3 courts-métrages de Chaplin au sein du groupe Il Monstro. Après l’émotion poétique et introspective qui était son propos dans le Murnau, l’enjeu est maintenant de mêler le hautbois, le vibraphone midi et les flûtes à bec avec la batterie afin de «colorer» le film noir et blanc de Ozu en gardant toute la magie de cette époque du Japon et de l’enfance. Il Monstro Christian Paboeuf 06 86 87 39 21 / 05 53 46 60 11 christian.paboeuf@neuf.fr http://www.ilmonstro-christianpaboeuf.com

Guillaume Saurel (violoncelle) Nicolas Chatenoud (basse, guitares) Après avoir fait ses premiers pas dans la musique progressive, Nicolas Chatenoud est le fondateur du groupe de Rock HdB. De formation classique, mais dérivant volontiers, Guillaume Saurel a créé le groupe Rien. Pour L’Homme à la caméra, sur la base d’une dominante cordes électriques (guitare, basse, violoncelle), ils n’excluent pas l’apport d’autres instruments au travers de samples créés et pilotés en direct. L’absence de scénario et d’intertitres permet par ailleurs d’intégrer une dimension scénographique à cette création grâce à des éclairages discrets sur différents points de jeux, offrant au public la possibilité de voir l’accompagnement effectué en direct. Nicolas Chatenoud 06 61 80 77 02 n.chatenoud@free.fr http://www.myspace.com/archipass

Pierre Badaroux-Bessalel (contrebasse, ordinateur) Catherine Delaunay (clarinette, saxophone)

Stefan Orins (piano) Jean-Pierre Fourment (contrebasse et conte)

Pierre Badaroux et Catherine Delaunay ont travaillé ensemble à la mise en musique du film Les Aventures du Prince Ahmed. Cette composition partagée reflète leur complicité. Ce projet, défini par la richesse de leurs univers musicaux et des timbres, propose une instrumentation riche au service des images, faite de clarinettes, flûtes, percussions, steel drums, voix (Catherine) et de contrebasse et d’un ordinateur (Pierre). La musique proposée s’inscrit dans une dimension onirique et mélodique. Une expérience originale, pour des musiciens non moins originaux.

Faire de la projection des Fables de Starewitch un pur moment de ravissement, en respectant l’identité de chaque fable, c’est dans cet esprit que Stefan Orins et Jean-Pierre Fourment sont en mesure de donner une nouvelle force à ce chef-d’œuvre. L’image est teintée d’un Jazz de chambre empli de légèreté, de grâce et de délicatesse. Les musiciens alliant précision et douceur, font parler les images, soulignent chaque détail, chaque geste, dans une ambiance tantôt mélancolique, tantôt aérienne, toujours très poétique.

MICZZAJ Pierre Badaroux- Bessalel 06 13 03 13 15 pierrebadaroux@free.fr http://www.miczzaj.com BOCAGE Claire Weidmann (voix, sampler, mélodica) Timothée Demoury (guitare électrique, rhodes basse, harmonica)

Jacques Cambra Laurent Bernard (piano), Julien Kamoun (batterie) Laurent Bernard (piano), Maryse Gattegno (basse) Maryse Gattegno (basse batterie), julien Kamoun (batterie)

Bocage livre une musique aux frontières des styles, une Pop globale, personnelle et inspirée ; des compositions délicates et poétiques, entre part d’ombre et morceaux de lumière. Pour accompagner Nanouk l’Esquimau, Bocage reste fidèle à son univers, mais va aussi plus loin. Il crée une musique originale non loin de la musique instrumentale contemporaine et le post-rock acoustique. Bocage Claire Weidmann 06 86 46 59 16 contact@ilovebocage.com http://www.ilovebocage.com

Ces trois combinaisons en duo sont proposées par le Philharmonique de la Roquette sur les films suivant : L’Aurore de Murnau, Le Cameraman avec Buster Keaton, Charley Chase, Gosses de Tokyo, et les oeuvres d’Harold Lloyd (En vitesse, Faut pas s’en faire, Monte là-dessus et Vive le sport).

Le Philharmonique de La Roquette Julien Kamoun. 06 15 09 72 03 phildelarok@free.fr http://phildelarok.free.fr

Stefan Orins 06 74 47 27 56 stefan.orins@wanadoo.fr http://www.circum-music.com Christian Leroy (piano, synthétiseur) Philippe Saucez (clarinette)

Clarinettiste classique de formation, Philippe Saucez est un improvisateur averti à la clarinette basse et pratique également la basse électrique dans le monde du Rock. Il pratique avec un égal bonheur la musique classique et la musique contemporaine au sein de divers ensembles de musique de chambre, mais il est aussi le complice de Christian Leroy (voir page) dont il partage depuis plus de trente ans les multiples aventures musicales. En 2008, les deux musiciens commencent la composition de La Passion de Jeanne d’Arc de Carl Dreyer. Christian Leroy christianleroyfr@yahoo.fr http://leroy.dommel.be/christianleroy.html


CINE-CONCERT DUO Christofer Bjürstrom (piano) Nicolas Pointard (batterie)

Christofer Bjürstrom (piano, flûtes) François Malet (percussions)

Christofer Bjürstrom (piano) Pierre Stephan (violon)

Sur une musique de Christofer Bjürstrom, Christofer Bjürstrom (piano) et Nicolas Pointard (batterie, percussions) proposent un dialogue musical sensible, malicieux et dynamique avec la fraîcheur inventive et bondissante de Harold Lloyd. La musique proposée pour Monte là-dessus vise à retrouver la fraîcheur, la naïveté, l’enthousiasme et le sens du rythme dont Harold Lloyd fait preuve pour s’amuser avec les spectateurs de ce film bondissant.

Ces deux musiciens proposent un accompagnement autour du chef-d’oeuvre de Lotte Reiniger : Les Aventures du Prince Ahmed. Ce voyage dans l’univers des Mille et une Nuits associe Christofer Bjürstrom à la composition, au piano et aux flûtes à son complice de longue date sur de projets musicaux ou en ciné-concert, François Malet, percussionniste inventif et dynamique.

Marmouzic Bénédicte Abélard 02 98 43 02 06 marmouzic@wanadoo.fr http://www.marmouzic.org

Marmouzic Bénédicte Abélard 02 98 43 02 06 marmouzic@wanadoo.fr http://www.marmouzic.org

Pierre Stephan est issu de la musique traditionnelle bretonne. Au sein d’Hastañ (groupe de fest-noz), il s’est produit au Festival Interceltique de Lorient, à l’Élysée Montmartre ou encore aux Vieilles Charrues de Carhaix. Son parcours est baigné, nourri développé dans l’oralité de la musique traditionnelle et dans le plaisir du jeu sur scène. Il recherche aussi les rencontres avec d’autres formes artistiques comme la danse, le théâtre ou le cinéma muet. Sur une musique de Christopher Bjurström, les deux musiciens dialoguent autour de la malice de la tendresse des Gosses de Tokyo. Marmouzic Bénédicte Abélard 02 98 43 02 06 marmouzic@wanadoo.fr http://www.marmouzic.org

Christofer Bjürstrom (piano ou clavier, flûtes)) Daniel Palomo Vinuesa (saxophone et électronique)

Mauro Coceano (piano, accordéon, objets sonores) Olivier Lagodzki (trombone, percussions, objets sonores)

Mauro Coceano (clavier) Gino Valet (clavier)

Pour Metropolis, il nous a paru intéressant de mêler au son des instruments acoustiques classiques un écho souterrain de traitement électronique, à partir des sons des instruments, renvoyant parfois une tension ou une image déformée de ceux-ci ou menant parfois une vie propore, à l’image de l’oppposition entre ces deux mondes dans le film.

Olivier Lagodzki, jazzman et compositeur pour la scène, et Mauro Coceano se sont rencontrés sur la création de Et moi!, spectacle de cirque contemporain, et ont collaboré ensuite à l’élaboration de plusieurs cinéconcerts, mêlant écriture et improvisation dans l’utilisation d’instruments conventionnels et d’objets sonores inhabituels. La rencontre de l’univers ludique et créatif de leur musique avec la frénésie poétique d’Harold Lloyd crée des épaisseurs inattendues. Le duo propose également Les Aventures du Prince Ahmed.

Mauro et Gino ont décidé de mettre en commun leur talent au service d’un monument du cinéma fantastique : La Fiancée de Frankeinstein avec en vedette l’incroyable Boris Karloff. Le film est parlant. Il s’agit donc d’une réinterprétation. Ils ont opté pour l’improvisation. Tout le travail est donc basé sur l’écoute de l’autre. Les musiciens élaborent un discours tour à tour impressioniste, drôle, mélodramatique ou minimaliste. Les ambiances sonores vont des sons purement acoustiques (clavecin, piano) aux couleurs plus abstraites de l’électroacoustique. Association Fos’Note Mauro Coceano 06 75 56 06 48 mauro.coceano@wanadoo.fr

Marmouzic Bénédicte Abélard 02 98 43 02 06 marmouzic@wanadoo.fr http://www.marmouzic.org Mauro Coceano (piano, accordéon, objets sonores) Sophie Amiard (piano, musique électronique et objets sonores) Sophie Amiard est pianiste et électroacousticienne. Elle compose de la musique pour le théâtre et la danse en collaboration avec plusieurs chorégraphes ainsi que des metteurs en scènes et compagnies théâtrales. Depuis 2004, elle réalise des ciné-concerts en collaboration avec le compositeur Mauro Coceano ainsi qu’au sein du trio Stupizza (Le Bonheur, Le Vent , L’Homme à la caméra, L’Eventail de Lady Windermare). Pour La Passion de Jeanne d’Arc de Dreyer, elle accompagne le film au piano. Association Fos’Note Mauro Coceano 06 75 56 06 48 mauro.coceano@wanadoo.fr extraits sur http://www.myspace.com/maurocoeano

Association Fos’Note Mauro Coceano 06 75 56 06 48 mauro.coceano@wanadoo.fr extraits sur http://www.myspace.com/maurocoeano

extraits sur http://www.myspace.com/maurocoeano

Mauro Coceano (piano, mélodica, citharre, objets sonores) Claire Lavandier (chant)

Laurent Marode (piano) Karim Gherbi (contrebasse)

Claire Lavandier est une jeune soprano qui a débuté la musique par des études de piano. Après avoir participé à différents projets artistiques (spectacles, concerts, enregistrements), elle se produit aujourd’hui au sein du Choeur Opus 21, dans le spectacle “l’Opéra d’quatr’filles” ainsi qu’avec Mauro Coceano au sein de l’ensemble Unicum Zwack. Elle intervient avec lui également sur Les Fables de Starewitch.

Ce duo Jazz a débuté les ciné-concerts sur plusieurs courts-métrages de Buster Keaton en association avec Cinessone et ne cesse de renouveler les expériences cinématographiques. Laurent Marode est aujourd’hui à la tête d’un sextet comprenant des musiciens de renom comme David Sausey, Gerry Edwards. Ancien designer, Karim Gherbi se consacre depuis plus de 10 ans exclusivement à la musique. En 2003, il crée son propre quintet avec lequel il remporte les Trophées du Sunside.

Association Fos’Note Mauro Coceano 06 75 56 06 48 mauro.coceano@wanadoo.fr

Laurent Marode et Karim Gherbi 06 20 62 02 86 karimgherbi@wanadoo.fr http://www.laurentmarode.com http://www.karimgherbi.com

extraits sur http://www.myspace.com/maurocoeano


CINE-CONCERT TRIO Pierre Badaroux-Bessalel (contrebasse) Jean-Charles Richard (saxophone baryton et soprano) Thierry Balasse (réalisation sonore)

Christofer Bjürstrom (piano, flûtes) François Malet (percussions) Catherine Le Flochmoan (conte et chant)

Pierre Badaroux- Bessalel 06 13 03 13 15 pierrebadaroux@free.fr http://www.miczzaj.com/

Marmouzic Bénédicte Abélard 02 98 43 02 06 marmouzic@wanadoo.fr http://www.marmouzic.org

Laurent Marode (piano) Karim Gherbi (contrebasse) Abdesslem Gherbi (batterie) Compositeurs et interprètes, ils sont réunis autour d’une même idée : inviter un film du Répertoire et lui donner une nouvelle vie. Cinq années de collaboration ont permis de mettre au point une musique originale sur dix films allant du drame (L’Aurore, Les Deux Orphelines) au burlesque (Charley Chase, Harold Lloyd) en passant par les chefs-d’œuvre du cinéma d’animation (Les Aventures du Prince, Ahmed, Autour des pionniers …) Tous les films proposés font l’objet d’une analyse et d’un découpage minutieux. Laurent Marode, Karim et Abdes Gherbi 06 20 62 02 86 karimgherbi@wanadoo.fr http://www.laurentmarode.com http://www.karimgherbi.com

Jean-Charles Richard, Pierre BadarouxBessalel, et Thierry Balasse improvisent leur musique pour l’image. Ils créent pour L’Homme à la Caméra une atmosphère musicale fidèle, mais jamais figée, qui se construit dans le même temps que Vertov semble assembler les images qui défilent sous nos yeux. Le caractère syncopé, le statut quasi documentaire du film et les effets visuels font de ce film une oeuvre résolument moderne à laquelle répond une musique tout à la fois mélodique, contemporaine, ludique…

Les Aventures du Prince Ahmed dans une version discrètement contée par Catherine Le Flochmoan, qui étoffe de sa voix le voyage musical de Christofer Bjürstrom et François Malet. Sans être commentaire, une narration qui épouse le rythme du film et s’immerge dans la musique.

COLLECTIF RAS / ABSENT Yannick Donet (guitare, musique électronique) Frédéric Bailly (basse, musique électronique) Antoine Lenoble (guitare) Absent saisit dans L’Homme à la Caméra un prolongement visuel de son identité musicale. La narration est abandonnée, laissant place à une expérience sonore et visuelle. Elle commence lorsque le groupe manipule en direct le son des spectateurs qui rentrent dans la salle... Absent adopte ici une musique instinctive, amplement majestueuse, entre oppression et contemplation, suivant avec justesse la musicalité du montage : il s’en dégage un univers nuancé, de rythmes répétitifs et de mélodies complexes. Collectif RAS / ABSENT Stéphanie Leigniel 03 80 30 15 81 diff.com@collectif-ras.org http://www.collectif-ras.org

COLLECTIF RAS / UNTEL Antoine Lenoble (guitare, musique électronique) Baptiste Chatel (basse, musique électronique) Lucas Dorier (batterie, guitare, musique électronique) Untel est une formation rock-électro instrumentale qui a développé un univers sonore intimiste et narratif s’associant aux arts visuels dans le cadre de ciné-concerts. La formation dijonnaise privilégie pour Vampyr des séquences rythmiques discontinues, préférant renforcer, appuyer musicalement cette étrange incertitude qui parcourt l’oeuvre de Dreyer. Entre séquences douces-amères, envolées rythmiques et guitares saturées, les musiciens tentent de réactualiser ce film aux effets stupéfiants pour l’époque. Collectif RAS Stéphanie Leigniel 03 80 30 15 81 diff.com@collectif-ras.org http://www.collectif-ras.org

LE PHILHARMONIQUE DE LA ROQUETTE Laurent Bernard (clavier, programmation) Julien Kamoun (batterie, scie musicale) Maryse Gattegno (contrebasse, basse) Le Philharmonique de la Roquette est une compagnie spécialisée en ciné concerts depuis sa création en 1995. Fervents cinéphiles, les 3 musiciens se servent des images comme véritable partition, afin de donner une nouvelle lecture, de servir un propos artistique et émotionnel dont le fer de lance est le visuel. La musique, tantôt décalée, tantôt collant à l’image, permet aux spectateurs de rentrer dans un univers inattendu et de redécouvrir des œuvres qui portent en elles leur intemporalité.: L’Aurore, Gosses de Tokyo, L’Homme à la Caméra, Le Caméraman, Safety Last, Les trois mésaventures d’Harold Lloyd et Charley Chases Follies, Metropolis. Le Philharmonique de la Roquette Julien Kamoun 06 15 09 72 03 julienkamoun@free.fr http://phildelarok.free.fr

STUPIZZA Mauro Coceano (piano, accordéon, objets sonores) Sophie Amiard (piano, musique électronique) Aurélie Pichon (clarinette, clarinette basse)

LE TRIO ARK Pierre Boespflug (orgue) François Guell (saxophone alto) Christian Mariotto (batterie)

JAZZ ET CINEMA PAR LE TRIO INVITE Laurent Marode (piano) Karim Gherbi (contrebasse) Abdesslem Gherbi (batterie) et leur Invité Karim Gherbi, Laurent Marode et Abdesslem Gherbi sont trois musiciens de la scène jazz française et européenne. Après plusieurs années de collaboration intense avec des musiciens parmi les plus reconnus (Ronald Baker, David Sauzey, Fabien Mary...), ce trio propose un nouveau concept : “le TrioInvite”. Un concert-Conférence « Jazz au cinéma » autour de trois films disponibles auprès de l’ADRC : Let’s get lost de Bruce Weber (Chet Baker), Ascenseur pour l’échafaud de Louis Malle (Miles Davis) et prochainement Bird de Clint Eastwood (Charlie Parker).

Les trois musiciens de Stupizza se sont rencontrés à l’occasion de la création musicale du Bonheur d’A. Medvedkine, commande faite par Arte à M. Coceano. Ils collaborent depuis à plusieurs réalisations mêlant musique et image. (L’Homme à la Caméra de D. Vertov, L’Eventail de Lady Windermere de Lubitsch. L’accompagnement musical du trio est un subtil dosage de parties écrites et d’improvisations structurées. Mauro Coceano Association Fos’Note 06 75 56 06 48 mauro.coceano@wanadoo.fr extraits sur http://www.myspace.com/maurocoeano

Le groupe Ark est un trio collectif dont les membres sont tous compositeurs. Influencé par le son des « seventies » dont il recycle de façon décalée certains ingrédients musicaux, mais aussi par le Jazz dont les membres sont issus, Ark est résolument engagé dans l’aventure de l’improvisation actuelle. Les musiciens savent délivrer une musique vibrante et généreuse alliant tensions extrêmes et paysages sonores délicats et variés. Le ciné-concert Les Aventures du Prince Ahmed est une commande de la scène nationale de Vandoeuvre-Lès-Nancy (2004). Pierre Boespflug 03 83 96 34 37 06 68 42 48 65 pierre.boespflug@neuf.fr http://www.pierreboespflug.com

Karim Gherbi 06 20 62 02 86 karimgherbi@yahoo.fr


CINE-CONCERT QUARTET QUATUOR PRIMA VISTA Elzbieta Gladys (violon 1) Carine Le Calvez (violon 2) Baudime Jam (alto) Gwendeline Lumaret (violoncelle) Le Quatuor Prima Vista est actuellement le seul quatuor à cordes à avoir inscrit des ciné-concerts à son répertoire. Dans la grande tradition des partitions orchestrales de l’époque du muet, Baudime Jam a composé des accompagnements musicaux qui ont été salués pour leur respect de l’esthétique des films et la qualité de leur adéquation avec l’image. Invité dans de nombreux festivals en France, en Europe et Outre-Mer, le Quatuor Prima Vista a déjà créé cinq ciné-concerts dont Les Deux Orphelines (2008). Quatuor Prima Vista 06 63 84 70 58 primavista@free.fr http://quatuorprimavista.online.fr

Quatuor Prima Vista © Dominique Amatulli ENSEMBLE PRISME Isabelle Hureau (flûte traversière) Remy Chatton (Contrebasse et guitare) Anthony Girod-David (percussion) Christophe Boissière (violoncelle) Christophe Boissière a créé en 1995 l’ensemble Cinédram’ avec Alain Moget, pianiste et compositeur avec lequel il a accompagné plusieurs grands classiques du cinéma muet : Gosses de Tokyo, La Passion de Jeanne d’Arc, L’Aurore... Il a fondé en 2006 l’ensemble Prisme et accompagne depuis plusieurs chanteurs dont il signe les arrangements pour la scène ou pour le disque. Il a par ailleurs écrit une musique pour Le Cameraman de Buster Keaton. Christophe Boissiere 06 70 07 92 94 c.boissiere@yahoo.fr http://www.myspace.com/ensembleprisme

Ensemble Prisme Christian Leroy et Philippe Saucez

Mathieu Regnault © David Becus


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.