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du 14 au 20 novembre
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LE CAPITAL
>>>La résistible ascension d’un valet de banque dans le monde féroce du Capital. Il pense comme ses collègues que la société ne peut pas se passer d’eux, telle qu’elle est organisée. Ils se sentent légitimes et nécessaires.
LIKE SOMEONE IN LOVE
>>> Un vieil homme et une jeune femme se rencontrent à Tokyo. Elle ne sait rien de lui, lui croit la connaître. Il lui ouvre sa maison, elle lui propose son corps. Mais rien de ce qui se tisse entre eux en l’espace de vingt-quatre heures ne tient aux circonstances de leur rencontre. « l’un des plus beaux film de Kiarostami » Les Inrockuptibles
LES ENFANTS LOUPS >>> Hana et ses deux enfants, Ame et Yuki, vivent discrètement dans un coin tranquille de la ville. Leur vie est simple et joyeuse, mais ils cachent un secret : leur père est un homme-loup. Quand celui-ci disparaît brutalement, Hana décide de quitter la ville pour élever ses enfants à l’abri des regards. Ils emménagent dans un village proche d’une forêt luxuriante…« Les Enfants-Loups est une épopée intime (…) [Le film] prend une dimension lyrique inattendue. (…) La peinture (au sens original du terme) de la vie du Japon rural porte ce film [à la] conclusion épique. » Le Monde
* dernière séance
LE CAPITAL de Costa-Gavras (France – 2012 – 1 h 53) Avec Gad Elmaleh, Gabriel Byrne, Natacha Régnier… La résistible ascension d’un valet de banque dans le monde féroce du Capital. Il pense comme ses collègues que la société ne peut pas se passer d’eux, telle qu’elle est organisée. Ils se sentent légitimes et nécessaires.
LIKE SOMEONE IN LOVE de Abbas Kiarostami (Divers – 2012 – 1 h 49) Avec Rin Takanashi, Tadashi Okuno, Ryo Kase… Un vieil homme et une jeune femme se rencontrent à Tokyo. Elle ne sait rien de lui, lui croit la connaître. Il lui ouvre sa maison, elle lui propose son corps. Mais rien de ce qui se tisse entre eux en l’espace de vingtquatre heures ne tient aux circonstances de leur rencontre. « l’un des plus beaux film de Kiarostami » Les Inrockuptibles « De fait, Like Someone in Love peut paraître n’être que pur exercice formel et plastique, magistral, autour d’un argument dont la ténuité n’a d’égale que la trivialité. » Libération « Les puissances du faux, depuis toujours à l’oeuvre chez Kiarostami, n’ont pas pour but d’être dénoncées. Ce sont elles, au contraire, qui permettent à son cinéma de s’approcher au plus près de la complexité du réel. (…) Kiarostami ne nous délivre aucune morale car il sait trop bien que l’envers de l’envers n’est pas l’endroit. » Cahiers du Cinéma
LES ENFANTS LOUPS de Mamoru Hosoda (Japonais – 2012 – 1 h 57) À partir de 6 ans Hana et ses deux enfants, Ame et Yuki, vivent discrètement dans un coin tranquille de la ville. Leur vie est simple et joyeuse, mais ils cachent un secret : leur père est un homme-loup. Quand celui-ci disparaît brutalement, Hana décide de quitter la ville pour élever ses enfants à l’abri des regards. Ils emménagent dans un village proche d’une forêt luxuriante… « Les Enfants-Loups est une épopée intime (…) [Le film] prend une dimension lyrique inattendue. (…) La peinture (au sens original du terme) de la vie du Japon rural porte ce film [à la] conclusion épique. » Le Monde