Janvier 2016

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photo du film Béliers

salle Jacques Tati

programme du 6 janvier au 2 février 2016 salle Jacques Tati – 33, bd Victor Hugo – Saint-Nazaire

www.letheatre-saintnazaire.fr – 02 40 53 69 63


calendrier semaine du 6 au 12 janvier

mer 6

Béliers (VO)

jeu 7

17h, 20h45

15h30, 19h

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Je lutte donc je suis (VO) -

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semaine du 13 au 19 janvier

mer 13

El Club (VO)

18h30

15h30, 20h

18h

Joe Hill (VO)

14h15

-

20h

Béliers (VO)

16h30

semaine du 20 au 26 janvier mer 20 Back home (VO)

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La loi du marché

20h30

Life (VO)

14h15

Fatima

Mia Madre (VO)

-

18h30

dim 10

16h30

17h15, 20h45 18h30

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20h30 + débat 18h15

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L’étreinte du serpent (VO) 20h30

sam 9

jeu 14

17h30

-

jeu 21

ven 15

sam 16

dim 17

20h30

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18h30

19h

17h

-

sam 23

dim 24

18h45

14h30

-

20h30 + débat

14h30

18h30

-

18h30

lun 25

mar 26

16h

14h15

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14h30

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-

18h

19h

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16h45

-

20h

-

-

14h30

16h30

-

ven 22

14h15, 20h15 20h45

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-

16h30

20h30

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18h

Phantom boy

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16h30

10h45 + goûter salé

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mer 27

-

jeu 28

14h30

ven 29

18h30

14h30

17h

Au-delà des montagnes (VO)

16h

20h15

Les messagers (VO)

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20h30 + débat

Capelito, le champignon 15h magique + goûter

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20h30

sam 30

-

20h15

16h30

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Le conformiste (VO)

mar 19

16h45

20h30

Toto et ses sœurs (VO)

20h30 + débat

16h15

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semaine du 27 janv. au 2 fév.

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15h30

-

16h30

16h

15h

Much loved (VO) Phoenix (VO)

mar 12

15h ciné-café 14h30, 19h 18h45 20h30

15h15, 19h 17h15, 20h45 17h

L’humour à mort

Blade runner (VO)

Festival Télérama

ven 8

dim 31

14h30

18h30

-

mar 2

18h45

20h30

14h30

14h15, 20h30

18h

16h

18h

20h30

16h

16h30, 20h30

-

14h30

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-

11h + goûter salé

11h + goûter salé

16h30

19h

18h30


Béliers

coup r de cœu

drame de Grímur Hákonarson • Islande • 9 décembre 2015 • couleur • 1h33 • VOSTF avec Sigurður Sigurjónsson, Theodór Júlíusson, Charlotte Bøving… • Grand Prix – Un Certain Regard Cannes 2015

des deux frères ennemis est presque palpable. Comme leur tendresse, qu’ils n’expriment qu’en bichonnant leurs bêtes… La vacherie de la vie d’un côté et, de l’autre, un sentiment d’humanité qui persiste, voilà l’attelage idéal pour une comédie qui souffle habilement le chaud et le froid. Et prend parfois des airs de conte de Noël ». Frédéric Strauss – Télérama

Dans une vallée isolée d’Islande, deux frères qui ne se parlent plus depuis quarante ans vont devoir s’unir pour sauver ce qu’ils ont de plus précieux : leurs béliers.

« Béliers est, dans un certain sens, un film typiquement scandinave : un mélange subtil de drame et d’humour noir. Mais même si Béliers peut être perçu comme une comédie amère, je voulais raconter une histoire universelle, liée à la nature humaine ».

« Comme ses personnages, ce film a de la gueule. Tout en jouant la chronique villageoise et les querelles de clocher à l’ancienne, le jeune réalisateur, islandais de souche, déploie une mise en scène actuelle et stylée. Les vastes paysages de son pays semblent lui avoir donné un sens inné de l’espace. Sa parfaite connaissance des hommes du terroir porte ses fruits : le tempérament rugueux

«Dans les sublimes paysages de l’île de feu et de glace, le réalisateur nous offre une chronique familiale rude et froide, à l’image de ces grandes étendues enneigées qui entourent les bergeries. Touchant et sensible, Béliers est un joli conte nordique, une histoire épineuse d’amour fraternel traitée comme une histoire d’amour tout court. Sous leur

dégaine de gros barbus vikings, les personnages débordent d’affection et ne cherchent qu’à soigner leurs blessures intérieures. En refusant la contemplation passive des décors pour se focaliser sur l’essentiel, le réalisateur parvient à fluidifier et renforcer la dramaturgie de son récit. Et aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est un vaste sentiment de chaleur qui s’empare de nous à la sortie de la salle… » Christophe Brangé – Abus de ciné.com

Grímur Hákonarson

du 6 au 12 janvier du 13 au 19 janvier


Blade runner

ssic ciné-cla

film de science-fiction de Ridley Scott • USA • 1982 • ressortie octobre 2015 version définitive « final cut » restaurée • couleur • 1h57 • VOSTF • Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs avec Harrison Ford, Rutger Hauer, Sean Young… Dans les dernières années du 20e siècle, des milliers d’hommes et de femmes partent à la conquête de l’espace, fuyant les mégalopoles devenues insalubres. Sur les colonies, une nouvelle race d’esclaves voit le jour : les répliquants, des androïdes que rien ne peut distinguer de l’être humain. Los Angeles, 2019. Après avoir massacré un équipage et pris le contrôle d’un vaisseau, les répliquants de type Nexus 6, le modèle le plus perfectionné, sont désormais déclarés «hors la loi ». Quatre d’entre eux parviennent cependant à s’échapper et à s’introduire dans Los Angeles. Un agent d’une unité spéciale, un blade-runner, est chargé de les éliminer… Revoir Blade runner aujourd’hui en

version restaurée sur copie numérique permet de mesurer à quel point le film est plus que jamais moderne, toujours avant-gardiste 32 ans après sa sortie. D’une beauté esthétique rarement égalée, Blade runner est une bouleversante rêverie poétique sur la condition humaine. Un choc. « Inspiré à la fois par le film noir et les dessins futuristes de Moebius et d’Enki Bilal, Ridley Scott s’attache à décrire un avenir crédible : population mondiale concentrée dans des mégalopoles toujours plus tentaculaires, pollution galopante ayant détruit les animaux et androïdes qui remplacent les humains pour les travaux pénibles. Quelque part entre Metropolis (1927) et Soleil vert (1973), le film étonne sans cesse par son refus de l’action pure et sa volonté de poétiser chaque séquence. Si Blade runner bouleverse autant notre âme, il ne cesse d’épater nos sens. Esthétisant jusqu’à l’excès, chaque plan recèle d’infinies subtilités : de la lumière totalement fascinante de Jordan Cronenweth aux décors époustouflants en passant par la somptueuse musique de Vangelis, tout est mis en oeuvre pour faire de ce spectacle un festin des sens ».

Je lutte donc je suis

cinédébat

documentaire de Yannis Youlountas • sept. 2015 • 1h30 • VF-VOSTF avec Éric Toussaint, Stathis Kouvélakis, Juan Gordillo

Virgil Dumez – aVoir-aLire.com

De Grèce et d’Espagne, un vent du sud contre la résignation souffle sur l’Europe. Dans les villes et les campagnes, dans les îles et les montagnes, au cœur des luttes et des alternatives en actes, des femmes, des hommes, mais aussi des enfants refusent de baisser les bras. Une même devise résume leur courage de résister, leur joie de créer et leur persévérance à toute épreuve : « Je lutte donc je suis ». Quelques mots pour vivre debout, parce que rester assis, c’est se mettre à genoux. Une brise marine, souriante et solidaire, de Barcelone à Athènes et d’Andalousie en Crète, qui repousse les nuages du pessimisme. Un voyage palpitant en musique, d’un bout à l’autre de la Méditerranée, en terres de luttes et d’utopie.

Le film sera présenté et analysé par Version Originale, dans le cadre de sa soirée film du patrimoine mensuelle, vendredi 8 janvier à 20h30.

Soirée-débat, mardi 12 janvier à 20h30, en partenariat avec le Lycée expérimental, en présence du réalisateur, Yannis Youlountas.

du 8 au 10 janvier

mardi 12 janvier (projection unique)


L’humour à mort documentaire de Daniel et Emmanuel Leconte • France • 16 décembre 2014 • couleur • 1h30 avec Elisabeth Badinter, Gérard Biard, Marika Bret, Cabu, Charb, Coco, Antonio Fischetti, François Hollande, Richard Malka, Éric Portheault, Riss, Tignous, Philippe Val,, Soufiane Zitouni… Le 7 janvier 2015, l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo est victime d’une attaque terroriste qui coûte la vie à douze personnes dont les plus grands dessinateurs de presse français, Cabu, Wolinski, Charb, Tignous et Honoré. Le lendemain, une policière est tuée dans la rue. Le 9 janvier, une nouvelle attaque vise des juifs de France. Quatre otages sont assassinés. Ce film est un hommage à toutes ces victimes.

Entretien avec les réalisateurs

L’émotion et le sentiment de révolte sont encore palpables aujourd’hui et

l’étaient plus encore au moment où vous avez tourné les images du film. Comment ce projet « à chaud » s’est-il monté ? Daniel Leconte : Il s’est monté en deux temps. Il est d’abord né du désir d’Emmanuel qui, sidéré par les événements de janvier, est venu me voir en me disant «Il faut faire un film sur Charlie». Quand je lui ai répondu qu’il existait déjà, avec C’est dur d’être aimé par des cons, il m’a expliqué qu’à partir des rushes inédits de 2008, il y avait de quoi faire un autre film. On a compris que c’était une manière de redonner vie à nos amis assassinés, de leur redonner la parole. Un peu comme si les victimes répondaient elles-mêmes aux tueurs en leur disant : «Vous avez hurlé que vous aviez tué Charlie, la preuve que non. On est toujours vivants ». Emmanuel Leconte : Le matin du 7 janvier, je me souviens que j’étais dans mon bureau quand on m’a appris l’attaque : j’ai tout de suite été pris à la gorge par la violence de la nouvelle, par la rage et le sentiment d’impuissance qu’elle provoquait en moi. Puis très vite, j’ai été dépassé comme tout le monde par l’ampleur médiatique d’un phéno-

mène international. Mais si je devais trouver le mot le plus approprié pour dire ce que j’ai ressenti, c’est en effet celui de « sidération »: ces terribles moments où la fiction rencontre la réalité, ou inversement. Je me suis alors rappelé le documentaire que Daniel avait fait quelques années auparavant. J’avais suivi de près le procès, j’étais dans les coulisses de tournage et j’avais pu rencontrer Charb, Cabu, Tignous et les autres… En regardant ces images, j’avais l’impression de redécouvrir un trésor perdu, d’avoir accès à ces gens dont on nous avait tout à coup privé. Se replonger dans ces images, c’était non seulement trouver un refuge mais aussi avoir la sensation d’entendre des paroles de résistants : car oui, c’étaient des gens qui résistaient. Je me suis dit « il faut absolument les entendre de nouveau. C’est inadmissible qu’on leur cloue le bec ». Il faut dire aussi que Daniel avait tissé des liens très forts avec eux et je le sentais totalement détruit. Je l’ai donc un peu poussé à faire le film. Dans les 48 heures qui ont suivi, je me suis replongé dans les images et on s’est dit « on va faire un film et c’est eux qui remettront les points sur les i, c’est eux qui reprendront la parole ».

du 6 au 12 janvier


Joe Hill

L’étreinte du serpent

El abrazo de la serpiente film d’aventures de Ciro Guerra • Colombie / Vénézuela / Argentine • sortie 23 décembre 2015 • noir et blanc • 2h05 • VOSTF avec Jan Bijvoet, Brionne Davis, Nilbio Torres…

• Quinzaine des réalisateurs – Cannes 2015 - Prix Art et Cinéma

Karamakate, un chaman amazonien puissant, dernier survivant de son peuple, vit isolé dans les profondeurs de la jungle. Des dizaines d’années de solitude ont fait de lui un chullachaqui, un humain qui a tout d’une coquille vide, dépourvu de souvenirs et d’émotions. Sa vie est bouleversée par l’arrivée d’Evans, un ethnobotaniste américain à la recherche de la yakruna, une plante sacrée très puissante, possédant la vertu d’apprendre à rêver. Ils entreprennent ensemble un voyage jusqu’au cœur de l’Amazonie au cours duquel passé, présent et futur se confondent, et qui permettra à Karamakate de retrouver peu à peu ses souvenirs perdus.

« El abrazo de la serpiente, (L’étreinte du serpent), est l’un de ces films dont l’empreinte vous poursuit pendant les heures qui en suivent la projection. Un film magnifique en noir et blanc qui mêle deux récits de voyages initiatiques en Amazonie. Plusieurs acteurs non professionnels indios illuminent ce film dont la réflexion porte sur la place de l’homme sur la planète et sa responsabilité quant à son avenir ». Jean-Francois Lixon FranceTV Info – CultureBox

« À l’oreille, outre l’envoûtante cacophonie d’un bestiaire invisible, le film est aussi une rhapsodie linguistique : on y parle cubeo, huitoto, wanano, ticuna, espagnol, portugais, allemand, catalan et latin. Les images splendides signées du directeur photo David Gallego rendent la troublante expérience de cette immersion amazonienne particulièrement mémorable. » Didier Péron – Libération

reprise

drame de Bo Widerberg • USA/Suède • 1970 • ressortie copie restaurée 18 novembre 2015 • couleur • 1h50 • VOSTF avec Thommy Berggren, Anja Schmidt, Kelvin Malave, Cathy Smith, Hasse Persson…

• Sélection officielle Cannes Classics 2015 / Prix spécial du Jury à Cannes en 1971 (invisible depuis), un film qui reste totalement mythique pour ceux qui avaient eu la chance de le voir lors de sa sortie.

En 1902, deux immigrants suédois, Joel et Paul Hillstrom, arrivent aux États-Unis. Ils doivent faire face aux amères réalités, une langue nouvelle et l’effroyable pauvreté qui règne dans les quartiers de l’East Side à New York. Paul quitte la ville, Joel y reste, amoureux d’une jeune Italienne. Mais l’aventure est de courte durée. Rien ne le retenant à New York, Joel, devenu Joe Hill, se met en route vers l’Ouest pour retrouver son frère… « Le film est passionnant car il est à la fois une chronique sur le parcours d’un immigré suédois, bouillant de vie, débarqué à New York en 1902 et la description sans concession d’un pays au capitalisme triomphant qui fera tout pour briser cet élan vital. Joe Hill est un anti héros américain, il rejoint vite la cause des Industrial Workers of the World, syndicat d’extrême gauche, qui essaye malgré des combats difficiles de défendre la cause des sans-grades. Ce bouleversant portrait d’un vrai anarchiste est aussi un procès terrible contre la peine de mort. » Emmanuel Papillon (Le Louxor – Paris)

du 13 au 19 janvier

du 13 au 17 janvier


Festival Télérama AFCAE

El Club drame de Pablo Larraín • Chili • novembre 2015 • couleur • 1h37 • VOSTF avec Alfredo Castro, Roberto Farias, Antonia Zegers, Jaime Vadell, Alejandro Goic, Alejandro Sieveking, Marcelo Alonso, José Soza, Francisco Reyes…

• Ours d’argent – Festival de Berlin 2015 / Représentant du Chili aux Oscars 2016 Dans une ville côtière du Chili, des prêtres marginalisés par l’Église vivent ensemble dans une maison. L’arrivée d’un nouveau pensionnaire va perturber le semblant d’équilibre qui y règne. « À l'instar de la lumière sourde et crépusculaire, couleur d'algues, de béton et de pluie, qui baigne chaque image, tous les antihéros de ce conte implacable sont gris, ignobles et poignants, pathétiques et infiniment seuls, si dérisoires qu'ils en sont parfois comiques ».

« Scandé par la musique glaçante du compositeur estonien Arvo Pärt, le récit préfère, au procès sans appel des prêtres pédophiles, l’ambiguïté distillée dans toute son opacité ». Clémentine Gallot – Libération

« Comme toujours chez Larrain, de la tenue dans le malaise, une atmosphère nimbée d'étrangeté, de la misère percluse d'humanité, une descente aveuglante dans la ouate affective de ceux qui se sont rendus coupables des pires forfaitures ». Jacques Mandelbaum – Le Monde

« Dur, austère et vénéneux, El Club est un remarquable réquisitoire ». Simon Riaux – Écran Large

« S’il y a un cinéaste aux antipodes des genres, c’est bien Pablo Larraín, qui ne magnifie jamais l’horreur, au contraire. Il préfère insister sur la perversité humaine, qu’il traque comme une bête immonde ». Vincent Ostria – Les Inrockuptibles

Cécile Mury – Télérama

du 13 au 19 janvier

Du 20 au 26 janvier, la salle Jacques Tati participe au 19e Festival de cinéma initié au plan national par Télérama et l’AFCAE (Association française des cinémas d’art et d’essai) : l’occasion pour tous de voir ou revoir une sélection des meilleurs films de l’année 2015. Parmi les 16 films savamment choisis par la rédaction de Télérama, nous avons choisi de vous présenter les huit films suivants : • Mia Madre de Nanni Moretti (VO) • Life d’Anton Corbijn (VO) • Much loved de Nabil Ayouch (VO) • Phoenix de Christian Petzold (VO) • Fatima de Philippe Faucon • Back home de Joachim Trier (VO) • La loi du marché de Stéphane Brizé • Phantom boy d’Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli Le tarif est de 3,50 € la place, sur présentation remise du Pass Télérama, complété du nom et de l’adresse de son porteur, qui figurera dans le magazine du 13 et du 20 janvier. Une carte, valable pour 2 personnes durant toute la manifestation, sera remise en échange du Pass.


Back home

cinédébat

drame de Joachim Trier • Norvège / France / Danemark • 9 décembre 2015 • couleur • 1h49 • VOSTF avec Isabelle Huppert, Gabriel Byrne, Jesse Eisenberg… Alors que se prépare une exposition consacrée à la célèbre photographe Isabelle Reed, trois ans après sa mort accidentelle, son mari et ses deux fils sont amenés à se réunir dans la maison familiale et évoquer ensemble les fantômes du passé… « Joachim Trier, célébré par la critique pour son film précédent Oslo, 31 août, livre une fois de plus un film à la mise en scène impeccable ». La rédaction – Direct Matin

« Back home est une œuvre soyeuse qu’on laisse s’installer, comme une petite sonate entêtante : et puis, peu à peu, la poésie des regards, les couleurs de la vie, la mélodie de la mémoire triomphent ».

en avant-programme de Back home, lors de la projection du jeudi 21 janvier

La ville bleue court-métrage d’Armel Hostiou • France • 2015 • couleur • 12’21 avec Sigrid Bouaziz, Damien Bonnard, Marius Nicolleau Une station-service à la nuit tombée, un homme entend son nom hélé. C’est une femme qui se dirige vers lui, trop heureuse de le retrouver enfin après tant d’années. Mais est-ce vraiment lui ?

Ciné-débat, jeudi 21 janvier à 20h30, proposé par l’association Version Originale et animé par Hendy Bicaise, critique de cinéma pour Première et Études, coauteur d’un ouvrage consacré à M. Night Shyamalan, Contes de l’au-delà, paru en février 2015.

François Forestier – Le Nouvel Observateur

La loi du marché drame de Stéphane Brizé • France • mai 2015 • couleur • 1h33 avec Vincent Lindon, Yves Ory, Karine De Mirbeck… • Prix d’interprétation masculine – Festival de Cannes 2015

À 51 ans, après 20 mois de chômage, Thierry commence un nouveau travail qui le met bientôt face à un dilemme moral. Pour garder son emploi, peut-il tout accepter ? « Stéphane Brizé a réalisé un film à nul autre pareil, moderne, puissant, engagé (…). Pour dire la vie telle qu’elle est, il n’y a que le cinéma, ce cinéma-là plus encore que les autres, quand un Brizé, un Lindon, des inconnus inoubliables s’en emparent ». Pascal Mérigeau – Le Nouvel Observateur

« Lindon est exceptionnel dans ce film coup de poing, au budget dérisoire (1,2 M€) tourné façon cinéma vérité, avec des interprètes non professionnels ». Hubert Lizé – Le Parisien

« Féru de littérature, Joachim Trier signe un nouveau film où l’écriture apparaît comme un acte libérateur. Une œuvre subtile et imaginative servie cette fois par un casting prestigieux ».

« Bientôt l’émotion gagne. Bientôt, la dureté du bitume fait mal. Derrière l’écran, la rage. (…) Un film social et fort avec un Vincent Lindon extraordinaire ».

Alexandre Jourdain – aVoir-aLire.com

Éric Libiot – L’Express

du 21 au 25 janvier Festival Télérama

du 20 au 24 janvier Festival Télérama


Life biopic d’Anton Corbijn • USA / Grande-Bretagne / Canada / Allemagne / Australie • septembre 2015 • couleur • 1h52 • VOSTF avec Robert Pattinson, Dane DeHaan, Ben Kingsley…

Fatima

coup r de cœu

drame de Philippe Faucon • France • 7 octobre 2015 • couleur • 1h19 avec Soria Zeroual, Zita Hanrot, Kenza Noah Aïche, Chawki Amari… Fatima vit seule avec ses deux filles : Souad, 15 ans, adolescente en révolte, et Nesrine, 18 ans, qui commence des études de médecine. Fatima maîtrise mal le français et le vit comme une frustration dans ses rapports quotidiens avec ses filles. Toutes deux sont son moteur, sa fierté, son inquiétude aussi. Afin de leur offrir le meilleur avenir possible, Fatima travaille comme femme de ménage avec des horaires décalés. Un jour, elle chute dans un escalier. En arrêt de travail, Fatima se met à écrire en arabe ce qu’il ne lui a pas été possible de dire jusque-là en français à ses filles. Librement inspiré des ouvrages de Fatima Elayoubi Prière à la lune et Enfin, je peux marcher seule.

« Le film conte une histoire simple et très émouvante, qui pose les questions de la transmission et des origines, et de la possibilité de s’extraire d’une sorte de déterminisme communautaire et socioculturel grâce au système républicain de l’éducation nationale. Le cinéaste parvient à transcender les qualités sociologiques de son film en procédant par de subtils effets de distanciation et d’humour qui mènent à la grâce. Cinéaste humaniste mais sans illusions, sensuel mais sans insistance, Philippe Faucon est peut-être le plus crédible héritier de Maurice Pialat, en plus doux, et de Jean Renoir, en plus inquiet ». Olivier Père – Arte

Un jeune photographe qui cherche à se faire un nom croise un acteur débutant et décide de lui consacrer un reportage. Cette série de photos iconiques rendit célèbre le photographe Dennis Stock et immortalisa celui qui allait devenir une star : James Dean. « L’intelligence de Corbjin, au-delà des questions de ressemblance, consiste à avoir interverti la distribution attendue, confiant le rôle du photographe méconnu à la star Robert Pattinson, et le rôle de l’icône à l’acteur pas encore aussi célèbre Dane DeHaan ». Serge Kaganski – les Inrockuptibles

« C’est le film lui-même, sa mise en scène et ses partis pris dramatiques, qui taillent des croupières aux biopics cherchant une raison d’être dans l’excès de romanesque, le délice de la rédemption et le happy end dégoulinant. Life est un grand film parce qu’il chuchote des mots et des images essentielles ». Éric Libiot – L’Express

« Nostalgique, historique et passionnant ». Alain Grasset – Le Parisien

du 21 au 26 janvier Festival Télérama

du 20 au 24 janvier Festival Télérama


Mia Madre

coup r de cœu

comédie dramatique de Nanni Moretti • Italie / France • décembre 2015 • couleur • 1h47 • VOSTF avec Margherita Buy, John Turturro, Giulia Lazzarini, Nanni Moretti… • Compétition Officielle Festival de Cannes 2015

Margherita est une réalisatrice en plein tournage d’un film dont le rôle principal est tenu par un célèbre acteur américain. À ses questionnements d’artiste engagée, se mêlent des angoisses d’ordre privé : sa mère est à l’hôpital, sa fille en pleine crise d’adolescence. Et son frère, quant à lui, se montre comme toujours irréprochable… Margherita parviendra-t-elle à se sentir à la hauteur, dans son travail comme dans sa famille ? « Derrière sa mise en abyme du 7e art, Mia Madre, œuvre universelle, parle au fond de cet endroit exact où les êtres peuvent s’atteindre, démunis, désarmés mais si vivants». Arnaud Schwartz – La Croix «Avec Mia Madre, Nanni Moretti se remet en scène, littéralement et via un alter-ego féminin. Un film très personnel, pudique, et avec un John Turturro souvent irrésistible ». Jacques Morice – Télérama « Intense et très émouvant, Mia Madre évoque avec douceur et tendresse la mort d’une mère. Voilà le film somme d’un auteur populaire qui, dans la grande tradition italienne, marie l’émotion, l’humour et le social. Moretti a tout compris du cinéma ».

Much loved

Phoenix

drame de Nabil Ayouch • Maroc / France • septembre 2015 • couleur • 1h44 • VOSTF • Interdit aux moins de 12 ans avec Loubna Abidar, Asmaa Lazrak, Halima Karaouane…

drame de Christian Petzold • Allemagne • 28 janvier 2015 • couleur • 1h38 • VOSTF avec Nina Hoss, Ronald Zehrfeld, Nina Kunzendorf…

Marrakech, aujourd’hui. Noha, Randa, Soukaina et Hlima vivent d’amours tarifées. Ce sont des prostituées, des objets de désir. Vivantes et complices, dignes et émancipées, elles surmontent au quotidien la violence d’une société qui les utilise tout en les condamnant. « Le réalisateur marocain Nabil Ayouch scrute son pays, ses violences et ses inégalités avec une acuité quasi documentaire. Il nous immerge dans le quotidien tragi-cocasse de ses héroïnes, interprétées par un inoubliable et volcanique quatuor de comédiennes ». Cécile Mury – Télérama

«Un monde dur et solidaire qui, au-delà de tout moralisme, offre un concentré d’humanité vibrante. Difficile de rester indifférent ». Vincent Ostria – L’Humanité

« En fait, Much loved n’est pas un film sur la prostitution, mais un grand film politique. L’accueil outré qu’il a reçu au Maroc en est la preuve. Loin d’être un brûlot, son humour et son humanité mettent la violence à distance pour nous offrir un très beau portrait de battantes ». Vincent Thabourey – Positif

« Un mélodrame puissant, poignant, dérangeant, où il est question d’amour fou, d’identité perdue, de trahison, mais aussi quelque part d’espoir ». Alain Grasset – Le Parisien

«Petzold reforme le couple de Barbara pour un « Vertigo » après Auschwitz en donnant le rôle moteur au personnage féminin. Brillant et mieux encore ». Claude Rieffel – aVoir-aLire.com

« Au-delà de toute vraisemblance, il impressionne par la force et la singularité de son suspense, servi par des acteurs et une mise en scène au cordeau ». Alexis Campion – Le Journal du Dimanche

Christophe Chadefaud – L’Express

du 20 au 26 janvier Festival Télérama

Juin 1945. Grièvement défigurée, la chanteuse Nelly Lenz, seule survivante d’une famille déportée à Auschwitz, retourne dans un Berlin sous les décombres. Elle est accompagnée de sa fidèle amie, Lene, employée de l’Agence Juive.Tout juste remise d’une opération de reconstruction faciale, Nelly part à la recherche de son mari, Johnny, malgré les mises en garde suspicieuses de Lene. Johnny est convaincu que sa femme est portée disparue. Quand Nelly retrouve sa trace, il ne voit qu’une troublante ressemblance et ne peut croire qu’il s’agit bien d’elle. Dans le but de récupérer son patrimoine familial, Johnny lui propose de prendre l’identité de sa défunte épouse…

du 22 au 26 janvier Festival Télérama

du 20 au 26 janvier Festival Télérama


Les messagers

cinédébat

documentaire d’Hélène Crouzillat et Laetitia Tura • France • avril 2015 • couleur • 1h10 • VOSTF

Au-delà des montagnes drame / romance de Jia Zhang-ke • Chine / France / Japon • 23 décembre 2015 • couleur • 2h06 • VOSTF avec Zhao Tao, Sylvia Chang, Dong Zijian… • Compétition officielle Cannes 2015

Chine, fin 1999. Tao, une jeune fille de Fenyang est courtisée par ses deux amis d’enfance, Zang et Lianzi. Zang, propriétaire d’une station-service, se destine à un avenir prometteur tandis que Liang travaille dans une mine de charbon. Le cœur entre les deux hommes, Tao va devoir faire un choix qui scellera le reste de sa vie et de celle de son futur fils, Dollar. Sur un quart de siècle, entre une Chine en profonde mutation et l’Australie comme promesse d’une vie meilleure, les espoirs, les amours et les désillusions de ces personnages face à leur destin.

ne sont présentes qu’en arrière-plan, à peine perceptibles, tandis que je mets en évidence, au premier plan, ces instants difficiles mais incontournables que tout individu est amené à vivre, quelle que soit l’époque dans laquelle il vit. » Jia Zhang-ke

« Au-delà des montagnes est un superbe mélodrame sur deux générations, et un magnifique portrait de femme à trois âges de la vie. Jamais le cinéaste n’avait ausculté avec autant de finesse les sentiments humains. Beau et triste à pleurer, magnifiquement interprété par Zhao Tao la muse de Jia, Au-delà des montagnes est un chef-d’œuvre, une fresque intimiste qui parvient à mêler émotion pure et regard critique ». Olivier Père – Arte TV

Du Sahara à Melilla, des témoins racontent la façon dont ils ont frôlé la mort, qui a emporté leurs compagnons de route, migrants littéralement et symboliquement engloutis dans la frontière. « Ils sont où tous les gens partis et jamais arrivés ? ». Les messagers se poste sur la frêle limite qui sépare les migrants vivants des migrants morts. Cette focalisation sur les morts sans sépulture interroge la part fantôme de l’Europe. « C’est une parole rare que nous fait entendre Les messagers, sans fioritures : celle d’immigrés clandestins qui ont tenté le voyage vers la frontière espagnole depuis l’Afrique ». Jacques Mandelbaum – Le Monde

« Face à ce film terrible, d’une sobriété absolue, le spectateur reste interdit ». Gaël Reyre – Les Fiches du Cinéma

« Les messagers nous oblige à ne pas fermer les yeux, à ne pas nous boucher les oreilles. Face à la barbarie, il dresse des flots de paroles accusatrices qui nous accompagnent longtemps après la projection ». François Bonini – aVoir-aLire.com

Ciné-débat avec l’UCIJ (Unis contre une immigration jetable), mercredi 27 janvier à 20h30.

« C’est la première fois que je mets en présence dans un même film passé, présent et futur. Les réalités sociales

du 27 janvier au 2 février

mercredi 27 janvier (projection unique)


Le conformiste

Toto et ses sœurs

coup r de cœu

documentaire d’Alexander Nanau • Roumanie • 6 janvier 2015 • couleur • 1h34 • VOSTF • Grand Prix – Festival Premiers Plans d’Angers 2015 / Grand Prix – Festival International du Film des Droits de l’Homme de Paris

Petit garçon rom et analphabète de 9 ans, Totonel vit dans le ghetto de Bucarest avec ses deux grandes et courageuses sœurs, Andrea, 14 ans, et Ana, 17 ans, ainsi que ses oncles. Quand il avait 5 ans, les forces spéciales ont débarqué et ont emmené sa mère Siminica pour trafic de drogue. Pendant que leur mère purge une peine de sept ans de prison et que ses sœurs essaient de maintenir la famille à flot, Toto tente de s’instruire. Il apprend passionnément à lire, écrire et danser. Surtout danser et gagner le grand concours de hip hop…

héros, Toto, toujours plein de rire et d’amour pour ses sœurs, et Andrea, la cadette prête à tout bien qu’analphabète pour sauver sa fratrie de la misère et de la toxicomanie. Au-delà de la force de ses personnages, le film d’Alexander Nanau brille aussi par ses audaces de mise en scène, notamment par ses changements de dispositifs filmiques : dans des moments d’intimité qui excluent la présence d’un regard extérieur, la caméra a été confiée à Andrea pour atteindre encore plus d’authenticité ; une autre fois, le réalisateur intègre des archives de la police montrant la perquisition que subit la famille… Impressionnant dans sa manière d’appréhender le réel pour en faire une construction narrative palpitante, Toto et ses sœurs a bien mérité la moisson de prix récoltés dans de nombreux festivals en Europe ». La gazette Utopia

« Alors que le contexte aurait pu tirer le film vers un misérabilisme plombant, Toto et ses sœurs est un film lumineux et plein d’espoir, une véritable ode à la vie même quand elle semble vaciller, grâce à l’énergie de ses deux jeunes

cinéclassic

drame / thriller de Bernardo Bertolucci • Italie / France / Allemagne • 1970 • ressortie copie restaurée par la Cinémathèque de Bologne, novembre 2015 • couleur • 1h51 avec Jean-Louis Trintignant, Dominique Sanda, Stefania Sandrelli, Pierre Clémenti… Depuis son enfance, Marcello est hanté par le meurtre d’un homosexuel qu’il croit avoir commis. En quête obsessionnelle de rachat, il s’efforce de rentrer dans le rang. Il épouse Giulia, une jeune bourgeoise naïve. Fasciste par conformisme, il est envoyé par les services secrets de Mussolini en mission en France pour approcher et supprimer son ancien professeur de philosophie en exil qui lutte au sein d’un groupe de résistance antifasciste. À Paris, Marcello rencontre le professeur en compagnie de sa séduisante femme Anna, du même âge que Giulia. « Refusant délibérément de recréer de façon réaliste une époque qu’il n’a pas connue, Bertolucci en offre une vision stylisée, onirique et baroque. Ballet de tractions-corbillards et de gentlemen à Borsalino, cette fresque Arts déco à la beauté funèbre se déroule dans des sanctuaires aux lignes droites géométriques à la Chirico, multiplie les profondeurs de champ fantastiques, cultive les éclairages expressionnistes et claustrophobes, les décors en trompel’œil. (…) Le film est tout entier habité par un charme envoûtant ». Nigel Miller – Télérama

du 27 janvier au 2 février

du 28 janvier au 2 février


à voir en famille

cinémômes

L’arbre coupé

En vadrouille dans la forêt, Capelito croise un vieil arbre dont il se sert de l’écorce pour ne pas avoir trop froid. Le printemps venu, il retourne à l’endroit précis où se tenait l’arbre, mais il a disparu !

L’œuf surprise

Phantom boy film d’animation d’Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli • France / Belgique • 14 octobre 2015 • couleur • 1h24 • tout public à partir de 6 ans avec les voix d’Edouard Baer, Jean-Pierre Marielle, Audrey Tautou… Léo, un petit garçon de 11 ans, vit à New York et doit se rendre à l’hôpital pour connaître l’évolution de sa maladie. Il s’y découvre un don : celui de sortir de son corps et de voler à travers la ville. De son côté, Alex, un inspecteur de police, subit la fureur de son supérieur, lassé de ses erreurs. Par hasard, il croise la route d’un gangster à la gueule cassée, qui a décidé de mettre la ville sous sa coupe. Blessé, le policier rencontre Léo à l’hôpital. Bloqué par une jambe dans le plâtre, c’est Mary, une journaliste intrépide aidé à son insu par Léo, qui va tenter de mettre hors d’état de nuire le bandit mégalomane… À eux deux, ils ont 24 heures pour sauver la ville… Par les réalisateurs d’Une Vie de chat. « À des partis pris plutôt audacieux répond un scénario inventif, référencé et décalé, qui tout en travaillant quelques figures imposées du polar, du fantastique ou du mélo, laisse éclater la sensibilité et l’humour d’Alain Gagnol ». Thierry Méranger – Les Cahiers du Cinéma

le 23 et 24 janvier Festival Télérama

Capelito et le champignon magique programme de 8 courts-métrages d’animation de Rodolfo Pastor • Espagne • 2010 • couleur • 42’ • à partir de 2/3 ans Capelito est un petit champignon magique qui parvient toujours à se sortir des situations les plus étranges grâce à son nez. En effet, le petit champignon a un appendice qui, dès qu’on appuie dessus, peut changer la forme de son chapeau.

Les chapeaux fous

Le nez de Capelito a une particularité : il transforme tous les chapeaux si on lui appuie dessus ! Deux petits champignons viennent voir Capelito pour qu’il transforme leur chapeau.

Le potier

Une jarre brisée pousse Capelito à se mettre à la poterie pour la remplacer. Mais ce n’est pas si simple lorsqu’on n’a pas de quoi se payer un tour à poterie digne de ce nom.

Capelito prépare un œuf en chocolat géant, se tenant au bord sur une échelle il s’apprête à en fermer le couvercle… quand il tombe dedans ! L’oeuf roule et dévale la pente jusqu’à se planter dans un panneau, là où une petite famille d’autruche le recueille. Mais l’autruche se met à couver l’oeuf qui finit par fondre et d’où sort enfin Capelito.

Les voleurs de pastèques

Le champ de pastèques de Capelito fait des envieux, surtout chez les lutins. Ces derniers le piègent et lui dérobent toutes ses pastèques.

La partie de pêche

Capelina laisse la garde de son petit à Capelito, mais ce dernier avait prévu d’aller à la pêche ce jour-là. Avec son acolyte, il emmène finalement le petit au ruisseau pour pêcher avec eux (le petit ayant avalé le nez de Capelito), et ce n’est pas celui qu’on pense qui fera la meilleure prise.

Les trois poux

Les poux sont en ville ! Trois d’entre eux visent le chapeau de Capelito comme terrain de jeu, et ce dernier va devoir tout mettre en oeuvre pour s’en débarrasser

La chorale des moutons

Un troupeau de moutons mélomanes s’intéresse à Capelito qui s’entraîne sur son piano. Celui-ci entreprend donc de les produire en spectacle devant tout le monde. Il se donne alors bien du mal pour un résultat… surprenant.

séances tout public proposées dans le cadre du dispositif École et cinéma

du 27 au 31 janvier


Todos

!

al cine !

semaine de cinéma espagnol

du 24 février au 1er mars salle Jacques Tati à l’affiche

• Paco de Lucía, légende du Flamenco

de Curro Sánchez Varela

• La Tierra y la Sombra (La terre et l’ombre)

de Cesar Augusto Acevedo

• El cochecito (La petite voiture)

de Marco Ferreri

• Chala, une enfance cubaine

d’Ernesto Daranas (avant-première)

• Infancia clandestina (Enfance clandestine)

de Benjamín Avila

• Anina

de Alfredo Soderguit

En partenariat avec le Lycée Aristide Briand et Version Originale (pour le ciné-débat du vendredi 26 février) Réservations scolaires : cinema.scolaire@ letheatre-saintnazaire.fr Tél : 02 40 53 69 63


à voir en février • Todos al cine ! semaine du cinéma espagnol !

• Grands froids semaine du cinéma scandinave • Les innocents de Jack Clayton (Ciné-classic) • The Rose de Mark Rydell (Ciné-classic) • Contre-pouvoirs de Malek Bensmail

• Allende mon grand-père de Marcia Tambutti Allende

Cinémômes

• Anina d’Alfredo Soderguit • Les voyages de Gulliver de Dave Fleischer •••

photo du film : Chala, une enfance cubaine ( Todos al cine !)

!

informations pratiques cinéma La programmation cinéma de la scène nationale c’est :

salle Jacques Tati, 33, bd Victor Hugo à Saint-Nazaire programmation du mardi au dimanche salle classée Art et Essai, labellisée Patrimoine, Recherche et Découverte et Jeune public

lle e la saationale d e p i u ’éq e n année Toute les Tati, scèn belle e u n q Jac ouhaite u ue 2016 ! vous s atographiq ciném

tarifs : • plein 6,50 € • réduit* 5,50 € • carte 6 entrées 27 € • cinémômes** 3,50 € • 12-14 ans 4 € *abonné le théâtre, jeune de - 25 ans, demandeur d’emploi, adhérent CCP, La Couronnée, Version Originale, abonné des cinémas Pax au Pouliguen et Atlantic à La Turballe, bénéficiaire de la Charte Culture et Solidarité **par enfant et par accompagnateur

attention, la séance commence par le film ! l’accueil cinéma est ouvert 1/2 heure avant les séances

téléphone, répondeur programme et séances scolaires :

02 40 53 69 63

www.letheatre-saintnazaire.fr


… n e i r e ch â l e n on

DANSE

Alonzo King LINES Ballet chorégraphie Alonzo King

• mar 26 janv 20h30 • mer 27 janv 19h30

renseignements – réservations 02 40 22 91 36

www.letheatre-saintnazaire.fr


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