13 Rue Galpin Thiou 37000 Tours tél. : 02 47 64 58 22 E-mail : acc.nathalie@orange.fr acc.christine@orange.fr site : www.cinemasducentre.asso.fr
L’Association des Cinémas du Centre et Ciclic vous invitent à une journée de prévisionnement dans le cadre du Festival de Vendôme Jeudi 12 décembre 2013 – Le Minotaure – 41 100 Vendôme Déroulement de la journée 09h45 Accueil 10h00 Les Grandes Ondes de Lionel Baier – séance exploitants 1h30 – Happiness, 12/02
12h00 Déjeuner sur place 14h00 A ciel ouvert de Mariana Otero – séance publique 1h50 – Happiness, 08/01
16h00 Le Belle vie de Jean Denizot – séance publique 1h37 – Chrysalis, 04/04
En présence du réalisateur
Et pour prolonger la journée 18h15 L’Eclat du jour de Tizza Colvi et Rainer Frimmel – séance publique 1h31 – Zootrope, 12/02
21h00 Tonnerre de Guillaume Brac – séance publique 1h40 – Wild Bunch, 29/01
En présence du réalisateur
INSCRIPTION – PROJECTIONS ET REPAS - EN LIGNE VIA LE FORMULAIRE D’ACCREDITATION DU FESTIVAL AVANT LE JEUDI 05/12 :
http://www.vendome-filmfest.com/?page_id=984
Les Grandes ondes de Lionel Baier Suisse/Portugal/France – 1h30 – Happiness – 12 février Avec Valérie Donzelli, Michel Vuillermoz, Patrick Lapp http://www.cinemasducentre.asso.fr/index.php?module=actions-fiche-film&id=419
Avril 1974, deux journalistes de la Radio Suisse Romande sont envoyés au Portugal. Accompagnés de Bob, un technicien proche de la retraite, et de sa fidèle VW, les voilà partis pour réaliser un reportage sur les soutiens économiques suisses au Portugal. Mais sur place, rien ne se passe comme prévu et la tension est à son comble entre Julie, la féministe, et Cauvin, le reporter de guerre roublard. Pourtant décidés à rentrer, le vent de l’Histoire pousse le Combi VW en plein cœur de la Révolution des Œillets…et quand la démocratie passe à côté de soi, il faut être prêt à la saisir ! Né à Lausanne en 1975 dans une famille suisse d’origine polonaise, Lionel Baier programme et cogère le Cinéma Rex à Aubonne dès 1992, avant d’étudier à la Faculté des Lettres de l’Université de Lausanne (1995-1999). Après deux documentaires, Celui au pasteur et La Parade (notre histoire), il signe en 2004 son 1er long métrage de fiction, Garçon stupide. Suivront Comme des voleurs (à l’est) – 1er volet d’une tétralogie qu’il poursuit avec Les Grandes Ondes (à l’ouest) – puis Un Autre Homme ou encore Toulouse, dans une filmographie où s’alternent fictions et documentaires. Responsable du Département cinéma de l’Ecole cantonale d’art de Lausanne depuis 2002, il a fondé Bande à part Films en 2009 avec Ursula Meier, Frédéric Mermoud et Jean-Stéphane Bron.
A ciel ouvert de Mariana Otero France/Belgique – 1h50 – Happiness – 08 janvier http://www.cinemasducentre.asso.fr/index.php?module=actions-fiche-film&id=518
Alysson observe son corps avec méfiance. Evanne s’étourdit jusqu’à la chute. Amina ne parvient pas à faire sortir les mots de sa bouche. À la frontière franco-belge, existe un lieu hors du commun qui prend en charge ces enfants psychiquement et socialement en difficulté. Jour après jour, les adultes essaient de comprendre l’énigme que représente chacun d’eux et inventent, au cas par cas, sans jamais rien leur imposer, des solutions qui les aideront à vivre apaisés. Au fil de leurs histoires, A ciel ouvert nous ouvre à leur vision singulière du monde. Née en 1963, Mariana Otero, après des études de cinéma à l’IDHEC, se passionne pour le documentaire. Elle réalise plusieurs films pour Arte dont La loi du collège qui deviendra le premier feuilleton documentaire de la chaîne. Entre 1995 et 2000, elle vit au Portugal où elle réalise un film dévoilant le fonctionnement de la plus grande télévision commerciale du pays, la SIC. Elle revient en France et se tourne vers le cinéma avec notamment Histoire d’un secret : une enquête sur un secret de famille qui révèle un tabou politique et social. Il sera primé dans de nombreux festivals internationaux. En 2010, Mariana Otero réalise Entre nos mains, qui raconte comment des salariées découvrent une nouvelle liberté en essayant de transformer leur entreprise en coopérative.
La belle vie de Jean Denizot France – 1h37 - Chrysalis – 4 avril Avec Zacharie Chasseriaud, Jules Pelissier, Solène Rigot Label Europa Cinéma, Venise 2013 Film soutenu à la production par Ciclic-Région Centre http://www.cinemasducentre.asso.fr/index.php?module=actions-fiche-film&id=519
Dix années que Sylvain et Pierre se cachent avec leur père sur les routes de France, après le divorce parental et les décisions judiciaires qui ont poussé Yves à la clandestinité. Mais les enfants ont grandi, et la cavale, sans fin, les prive des rêves et des joies de leur âge. Quand le filet se resserre et qu'il faut fuir à nouveau, Pierre, l'aîné, disparaît. Seul avec son père sur une île de la Loire, Sylvain rencontre Gilda : première fille, premiers regards tendres et première étape sur le chemin de la belle vie, la sienne. Jean Denizot naît à Sancerre dans le Cher. Il étudie le cinéma à Nantes, puis à l’Université de Paris 8, à Saint-Denis. Editeur de revues telles La Voix du regard et Tête-à-Tête, il enseigne également le cinéma (principalement à l’Université de Paris 8). Il a réalisé deux courts métrages : Mouche (2006) et Je me souviens (2008). La belle vie est son premier long métrage. Il a été tourné en partie dans le Sancerrois, à Couargues, Saint-Bouize, Ménétréol-sur-Sauldre, Herry, Briare.
Rencontre avec le réalisateur à l’issue de la projection.
L’Eclat du jour de Tizza Colvi et Rainer Frimmel Italie/Autriche – 1h31 – Zootrope – 12 février Avec Philipp Hochmair, Walter Saabel, Vitali Leonti Meilleur acteur, Locarno 2013 http://www.zootropefilms.fr/v2/catalogue/?IdFilm=%C9clat%20du%20jour
Jeune acteur à succès, Philipp joue dans les plus grands théâtres de Vienne et de Hambourg. Il passe son temps à apprendre de nouveaux textes, et perd peu à peu le contact avec le quotidien. Mais la rencontre avec son oncle Walter, ex-artiste de cirque débonnaire et vagabond avec qui il noue une amitié ambiguë, va lui rappeler que la vie ne se résume pas à la scène. Née à Bolzano en 1971, Tizza Covi a vécu à Paris et Berlin avant d'étudier la photographie à Vienne. Elle s'est ensuite installée à Rome où elle est photographe. Rainer Fremmel, né à Vienne en 1971, a également étudié la photographie. En 2002, ils ont fondé ensemble la société de production indépendante Vento Films. Leurs documentaires ont remporté de nombreux prix. La Pivellina était leur premier long métrage de fiction.
Tonnerre de Guillaume Brac France – 1h40 – Wild Bunch – 29 janvier Avec Vincent Macaigne, Solène Rigot, Bernard Ménez Orchidée d’or, Festival de la Réunion http://www.wildbunch-distribution.com/fichefilm.php?id=173
Un rockeur trop sentimental, une jeune femme indécise, un vieux père fantasque. Dans la petite ville de Tonnerre, les joies de l’amour ne durent qu’un temps. Une disparition aussi soudaine qu’inexpliquée et voici que la passion cède place à l’obsession… Diplômé de la Femis en production, Guillaume Brac réalise trois courts-métrages durant sa formation. A sa sortie de l’école, il travaille comme assistant réalisateur, notamment sur les films Parc de Arnaud des Pallières et Un baiser s’il vous plaît de Emmanuel Mouret. En 2008 il co-fonde la société Année Zéro avec laquelle il réalise et produit Le Naufragé en 2009, puis Un monde sans femmes en 2011. En 2012, ces deux films, réunis en un seul programme, sortent en salles en France, en Belgique et au Japon, après avoir été primés dans de nombreux festivals en France et à l’étranger.
Rencontre avec le réalisateur à l’issue de la projection.