Colson Le Borgne 2013

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CLB COLSON LE BORGNE ARCHITECTURE



UNE ESQUISSE DE NOS FONDAMENTAUX

UNE ARCHITECTURE DU SCéNARIO Au sein de chaque projet, nous proposons l’élaboration d’un scénario qui fait de l’Homme le personnage principal. Penser un bâtiment comme une situation construite, une scénographie, c’est offrir à l’usager une expérience à vivre : il devient l'acteur d’une scène tantôt contemplative et onirique, tantôt ludique et stimulante. L’architecture vaut pour ce qu’elle permet de vivre.

RéSOUDRE DES éQUATIONS COMPLEXES Nous produisons une architecture dont la forme n’est pas donnée a priori. Elle se conquiert au fil de l’analyse approfondie des enjeux liés à chaque projet. Comment apporter une plus-value à des logements, dans un budget contraint ? Comment insérer un programme dans un site inadapté ? Comment concilier des intérêts divergents au sein d’un même projet ? Notre méthode consiste à proposer une réponse directe et efficace qui redéfinit les liens habituels entre les contraintes. Ainsi, émergent des typologies innovantes parfaitement adaptées aux enjeux du projet.

ACCOMPAGNER VERS LE RéEL Question de méthode… De la conception à la réalisation, notre pratique professionnelle est résolument tournée vers le client. Notre mode de conception analytique et pragmatique génère une architecture qui, à chaque projet, se réinvente pour satisfaire aux mieux les attentes. Se porter garant de la réalisation, en accompagnant et en écoutant, c’est pouvoir donner une réalité à l’extraordinaire.

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CITé DE LA PRéVENTION DES RISQUES SAINT-QUENTIN 9 000 M² DE MODULARITÉ

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statut concours 2013 DÉVELOPPEMENT DURABLE surface 9 000 m² coût 25 000 000 € architecte Colson Le Borgne Architecture & Manuelle Gautrand Architecture, architectes associés

Un programme multifonctionnel Pédagogique et ludique, la Cité de la prévention des risques s’adresse à la fois au grand public et aux acteurs du secours. Cet équipement multifonctionnel regroupe des espaces d’expositions, des espaces immersifs (projections interactives) plongeant les visiteurs au cœur de situations à risques, mais aussi un centre de ressources, un centre de formation, un espace de congrès et un restaurant.

Un concept multi-modulaire… Nous imaginons la Cité de la prévention des risques comme une grande halle de 9 000 m² (surface comparable à la nef de la Grande Halle de La Villette à Paris). Notre premier acte d’architecture : quadriller le site d’une trame carrée de 16 mètres, structurelle et scénographique. Unitaire et fragmentée à la fois, la forme de l’édifice résulte d’une juxtaposition de volumes simples et réguliers, basés sur une trame structurelle de portée constante (16x16m). De taille généreuse le long du parvis nord (jusqu’à 32x32m), ces volumes se fragmentent progressivement vers le sud, à la manière d’un fractal, en des éléments plus petits (8x8m), avoisinant la taille d’une maison. Les contours du projet deviennent alors plus irréguliers, laissant des patios apparaître et des espaces boisés s’infiltrer. Même si notre grande halle configure un espace totalement fonctionnel et adaptable à une échelle quasi-industrielle, nous souhaitons anticiper la mutation du quartier (du péri-urbain à l’urbain) et initier un dialogue harmonieux avec les logements pavillonnaires voisins.

… doté d’un potentiel scénographique illimité Épousant la trame fonctionnelle et structurelle, un grill technique est suspendu aux poutres en acier. Support d’une scénographie modulaire en perpétuelle évolution, ce grill permet l’accrochage des vidéoprojecteurs, des caméras de tracking des espaces immersifs, des luminaires, et de tous supports nécessaires aux espaces d’expositions. En outre, il offre l’opportunité d’un traitement des espaces et d’un cloisonnement entièrement modulable sur l’ensemble du projet. Ainsi, on peut redéfinir au gré des besoins… • le nombre de galeries et de thématiques (initialement fixé à 5 : risques majeurs, risques des transports, risques de la vie courante, risques de la santé et exposition temporaire), • la répartition des différents programmes : accueil, restaurant, boutique, animations, congrès, formation, administration.

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MAISON DES ARTS CONTEMPORAINS AGADIR DE L'ENJEU LOCAL AU RAYONNEMENT INTERNATIONAL

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statut concours 2013 surface 6 800 m² coût 15 000 000 € architecte Colson Le Borgne Architecture

DÉVELOPPEMENT DURABLE

Un double enjeu : local et global Destination touristique prisée pour son bord de mer, Agadir rayonne par son effervescence culturelle. Dans ce contexte privilégié, la nouvelle Maison des arts contemporains devra relever un double défi : À une échelle locale, elle s’inscrira comme un pôle interdisciplinaire ouvert et vivant, associant diffusion et production artistique. Elle abritera ainsi espaces de répétition, de représentation et d’exposition. À une échelle globale, elle deviendra le porte-voix des artistes, un avant-poste culturel offrant un tremplin vers un rayonnement international.

Un programme en 2 entités superposées… 1 Un centre des arts de la scène, dédié à la musique, à la danse et au théâtre. Afin de conserver un environnement arboré, le centre des arts de la scène est concentré en un socle monolithique. Les différentes pièces consacrées à la production artistique ou à l’accueil du public s’y côtoient selon un plan « à la Mondrian ». En déambulant à travers ces espaces hétéroclites collés les uns aux autres, artistes et visiteurs bénéficieront d’une sensation d’intensité des plus stimulante. 2 Des galeries d’exposition, consacrées aux arts plastiques, au graphisme et à la photographie. En surélévation de ce socle monolithique, les neuf galeries d’exposition se croisent en un « mikado géant ». Cette disposition retranscrit formellement le télescopage entre les différents champs de création. Si toutes les galeries adoptent une configuration similaire, leurs combinaisons génèrent des espaces intérieurs variés. Des galeries parallèles peuvent être mutualisées pour obtenir des espaces plus larges sous 2 ou 3 voûtes en berceau successives. Des galeries perpendiculaires forment à leur intersection des « salles de rencontre », sous croisées d’ogives, propices à l’exposition des plus grandes œuvres.

… et dans l’interstice, des « Jardins de Babylone » Les espaces extérieurs du programme (terrasse de la cafétéria, amphithéâtres à l’air libre, terrasse événementielle) viennent s’insérer sur le toit du socle monolithique, tels des « Jardins de Babylone » à l’ombre d’un parasol monumental formé par les galeries d’expositions. Entre culture et détente, ce belvédère sur la ville s’affirmera à la fois comme un lieu de rencontre des Gadiris et comme une étape touristique incontournable.

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HALLES MUNICIPALES MULTIFONCTIONNELLES OPTIMISER LES COÛTS GRÂCE À UN ÉQUIPEMENT PUBLIC MUTUALISÉ

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statut prospective 2012 surface 8 000 m² coût 13 500 000 € architecte Colson Le Borgne Architecture

DÉVELOPPEMENT DURABLE

Quand le contexte économique met l’architecte au défi Salle des fêtes, gymnases, centre culturel… Ils ont fleuri généreusement durant les 30 Glorieuses, ils sont aujourd’hui vétustes. Pour les communes qui en ont hérité, la question de leur renouvellement est devenue sensible, dans un contexte économique synonyme d’optimisation budgétaire. Faut-il persévérer à reconstruire indépendamment chaque équipement ? Ne serait-il pas pertinent d’imaginer un équipement multifonctionnel condensant les différents usages en un lieu unique perpétuellement vivant ?

Un pôle de convergence et d’attractivité Nous expérimentons avec ce projet un nouveau type de bâtiment d’utilité publique qui réunit en une solution « tout en un »: deux halles polyvalentes (espaces de manifestation), des ateliers d’artistes et des plateaux de type tertiaire à destination des associations et des porteurs de projets (espaces d’hébergement). Pôle de convergence et d’attractivité au cœur de la ville, le projet adopte un plan circulaire. Pas de façades secondaires ici, mais une façade principale, unique et continue, ouverte sur la ville.

À l’intérieur, la condensation des usages Au sein de cette forme unitaire, les différents programmes sont disposés en bandes parallèles, suivant une alternance entre espaces de manifestation et espaces d’hébergement. Cette étroite imbrication offre aux artistes ainsi qu’aux porteurs de projet, l’opportunité de profiter des deux halles polyvalentes pour présenter directement leur travail au public. Disposant d’une scène fixe et de loges, la halle 1 répondra aux besoins d’une salle des fêtes. Directement accessible depuis des vestiaires, la halle 2 pourra accueillir des rencontres sportives. Enfin, notre condensation programmatique dégage une dernière plus-value de taille : la possibilité de mutualiser les deux halles pour accueillir des manifestations d’envergure comme des salons, des congrès ou de grandes expositions.

Une salle des fêtes + une salle de sport = un palais des congrès Un 3 en 1, une équation qui, au-delà du renouvellement des équipements publics, permet aux communes d’envisager un repositionnement stratégique sur leur territoire par un projet d’envergure, attractif et budgétairement maîtrisé.

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TRANSFORMATION D’UN ATELIER EN 3 PIèCES PARIS BUTTES-CHAUMONT VIVRE À 3 DANS 38 m²

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+ +

ES PACE ENFAN T

ESPACE PARE NTS C H A M B R E E N FA N T

C H A M B R E PA R E N T

DRESSING

SDB

NIVEAU HAUT

BUREAU

ATELI E R EX I STA NT

SALON

ENTREE

WC SALLE A MANGER

NIVEAU BAS

statut réalisation 2010 surface 45 m² coût 25 000 € architecte Colson Le Borgne Architecture

Pousser les murs Un couple avec un enfant acquiert un atelier d’artiste de 38 m² à proximité du parc des Buttes-Chaumont. Au niveau bas, un petit salon de 16m². Au niveau haut, une mezzanine de 13 m² qui dessert une salle de bain. Comment vivre à 3 dans un espace aussi petit, en conservant l’intimité nécessaire à chacun ?

Deux « meubles géants » Nous souhaitions avant tout conserver et mettre en valeur la qualité de l’atelier existant : un espace double-hauteur entièrement ouvert, bénéficiant d’une vue généreuse sur un jardin collectif. Pour déjouer le piège d’un cloisonnement de l’espace, nous avons conçu deux « meubles géants » : • un meuble en « U », disposé en pont dans la double hauteur du salon, pour recevoir la chambre des parents, • un meuble en « L », posé sur la mezzanine existante, pour délimiter la chambre de l’enfant.

Le « pont » des parents Le « meuble » des parents forme un pont, reposant d’un côté sur la mezzanine existante et scellé de l’autre côté directement dans le mur. Il enjambe l’espace salon en lui offrant un plafond en chêne massif. Des solives alternent entre deux dimensions, rythmant l’espace comme des touches de pianos, tandis qu’un parquet posé à l’envers vient parfaire l’unité de matière. À l’étage, la chambre des parents vient se lover au creux de ce meuble en « U ».

Le « petit théâtre » de l’enfant Le « meuble » de l’enfant est matérialisé par une cloison épaisse constituée d’une bibliothèque et de rangements. Une fenêtre est percée au milieu des livres de la bibliothèque, en vis-à-vis de l’espace des parents. Aménagée dans le creux de ce meuble en « L », la chambre d’enfant prend des allures de petit théâtre. L’espace se fait ludique, à la fois ouvert et propice aux jeux de cache-cache.

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1 70 LOGEMENTS ZAC CARTOUCHERIE TOULOUSE

PROJET LAURÉAT

CONJUGER DENSITÉ ET QUALITÉ DE VIE

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statut concours 2012 surface 13 000 m² client Pragma & Crédit Agricole Immobilier architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

DÉVELOPPEMENT DURABLE

Déjouer les pièges d'une masse programmatique imposante Sur un vaste terrain militaire libéré en plein cœur de Toulouse, les urbanistes ont soulevé l’opportunité d’initier un nouveau quartier conciliant forte densité et qualité de vie. Au sein de ce quartier émergeant, il s’agissait de concevoir un îlot totalisant 170 logements. La commande… un projet fragmenté, en dépit d’une densité comparable à celle d’une « barre ». Notre réponse… la transposition directe d’un diagramme programmatique.

Des « maisons de villes » qui prennent de la hauteur Répartis sur la périphérie de l’îlot, 21 petits plots ont émergé de l’empilement de plans-types rigoureusement identiques. Ainsi, nous avons obtenu le plot des T2, le plot des T3, le plot des T4… chacun ayant une hauteur correspondant au nombre de logements requis par le programme, comme dans un « diagramme en colonnes ». Outre l’efficacité induite par ce raccourci conceptuel (optimisation immédiate des surfaces, ajustements programmatiques aisés), ce processus nous a permis d’interroger le lien entre densité et individualité. Plutôt que de suivre le modèle traditionnel des immeubles collectifs, nous proposons de grandes « maisons de villes » au sein desquelles chaque habitant peut facilement identifier son logement. La répartition de nos « maisons de ville » s’adapte également au contexte urbain. Au nord, les maisons sont accolées pour former une façade urbaine le long de l’avenue de Grande-Bretagne. Puis, les maisons s’espacent progressivement vers le sud, ménageant des venelles qui sont autant de percées visuelles vers le cœur d’îlot paysager, jusqu’à devenir, le long de la rue des Halles Ouest, de véritables maisons entourées de verdure.

Et l’opportunité de se mettre au vert Les interstices ménagés entre les maisons permettent de dessiner les halls d’entrée et les paliers. À l’air libre, éclairés naturellement, ils sont support de végétation et érigent des colonnes vertes entre les volumes bâtis. Le souci de la qualité de vie offerte aux résidents commence dès la conception de ces espaces communs paysagés, et se prolonge à l’intérieur des logements qui disposent tous d’une généreuse terrasse avec vue sur un vaste jardin. Laissé en pleine terre pour permettre l’absorption naturelle des eaux de pluies, le cœur d’îlot a quant à lui fait l’objet d’un traitement paysagé soigné. Une strate arbustive borde les cheminements en prolongement des venelles, s’épaississant pour créer des poches d’intimité au droit de jardins privatifs. Au sein d’un parc central commun, un paysage vertical d’arbres élancés fait écho à la silhouette découpée et longiligne du projet.

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MERO BEACH RESORT DOMINIQUE SCÉNARIOS AQUATIQUES LUDIQUES POUR VILLAS DE LUXE

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statut concours 2010 surface 25 000 m² client Mero Beach Resort Development architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

Articuler habitat et loisirs Le long d’une belle plage de l’île de la Dominique, il nous a été demandé de concevoir un complexe de loisirs réunissant 20 villas de luxe autour d’équipements communs, dont un centre aquatique ludique. Pour y répondre, nous avons commencé par engager une relecture critique du programme. Notre suggestion visait à supprimer le centre aquatique commun, inadapté au standing du projet, pour concevoir chaque villa individuelle autour d’un scénario aquatique ludique.

Cascade, Rivière, Belvédère, Parasol et Pont… 5 spécimens de villa aquatique 1 Appuyée sur le flanc de la falaise, la villa « Cascade » (cf. image en haut à gauche) dispose en toiture d’un toboggan aquatique qui permet de s’élancer depuis la terrasse supérieure jusque dans la piscine située deux étages en contrebas. Telles des tribunes vitrées, les différentes pièces de la villa ouvrent des perspectives sur ce parcours aquatique spectaculaire. 2 La villa « Rivière » s’articule autour de deux corps de bâtiment entrelacés comme un Nœud de Möbius et parcourus par un couloir de nage circulaire. Depuis la piscine et la terrasse extérieure, ce parcours aquatique pénètre à l’intérieur de la villa. Une sensation de fraîcheur se mêle alors à l’agrément procuré par la traversée à la nage les différentes pièces de vie. 3 La villa « Belvédère » (cf. image en bas à gauche) est érigée à la façon d’une petite tour qui protège en son sommet une piscine avec vue panoramique sur 360°. Les espaces extérieurs des principales pièces sont excavés dans ce volume monolithique et offrent des «postes d’observation» disposés en quinconce. 4 Le volume horizontal surélevé de la villa « Parasol » abrite des espaces de vie extérieurs, en bordure de plage. Simple autant qu’efficace, le scénario s’intitule: « Vivre à l’ombre de sa villa ». A l’intérieur de ce volume surélevé, les pièces sont articulées autour d’un patio qui surplombe la piscine. Ainsi, chacun peut, en ouvrant sa baie vitrée, plonger depuis sa chambre pour se rafraîchir instantanément. 5 Située au dessus d’une ravine, la villa « Pont » s’élance d’une falaise à l’autre. En son centre, une piscine vertigineuse, munie d’une paroi latérale vitrée, donne la sensation de nager dans le vide.

Revivre à domicile l’expérience d’un parc aquatique Gardons-nous de considérer nos 5 villas comme autant d’exercices stylistiques, relevant d’une architecture sémiotique. Ce qui se joue ici, c’est la matérialisation spatiale de 5 scénarios, comme autant de situations ludiques offertes aux habitants. L’architecture ne vaut pas pour sa forme mais pour ce qu’elle permet de vivre.

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SCÉNOGRAPHIE EXPOSITION PAVILLON DE L’ARSENAL PARIS statut réalisation 2009 surface 500 m² coût 500 000 € client Pavillon de l’Arsenal architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

RÉHABILITATION ET EXTENSION CRÉATION DE 260 LOGEMENTS BORDEAUX statut concours 2012 surface 20 000 m² client Nouvelles Fonctions Urbaines architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

IMMEUBLES DE LOGEMENTS 80 LOGEMENTS EN BORD DE SAôNE LYON CONFLUENCE statut concours 2004 surface 10 000 m² coût 9 000 000 € client ING Real Estate architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

îLOT DE LOGEMENTS éCOLOGIQUES BLAGNAC ZAC ANDROMèDE statut concours 2005 surface 9 000 m² client Cogedim architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Gaëlle Le Borgne

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PRINCIPALES COLLABORATIONS

ÉQUIPEMENTS PUBLICS PALAIS DES FêTES SAINT-LOUIS statut concours lauréat 2010 - études en cours surface 6 000 m² coût 10 000 000 € client Ville de Saint-Louis architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

MAISON DU NOMBRE LUXEMBOURG statut concours 2008 surface 20 000 m² coût 35 000 000 € client Le Fonds Belval architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

MUSéE MUNCH OSLO statut concours 2009 surface 27 000 m² coût 60 000 000 € client Ville d’Oslo architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

CONSERVATOIRE DE MUSIQUE BESANçON statut concours 2007 surface 11 000 m² coût 26 000 000 € client Le Grand Besançon architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

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BÂTIMENTS COMMERCIAUX COMPLEXE HôTELS / LOGEMENTS MONTPELLIER ZAC ST-ROCH statut concours lauréat 2011 - études en cours surface 10 000 m² coût 15 000 000 € client Cirmad architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

HôTEL 3 éTOILES 180 CHAMBRES PARIS BOULEVARD D’INDOCHINE statut commande 2009 - études en cours surface 6 500 m² coût 8 000 000 € client BNP Parisbas Immobilier architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

EUROPA CITY GONESSE statut concours 2011 surface 600 000 m² coût 1 700 000 000 € client Immochan architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

ATOLL ANGERS statut réalisation 2012 surface 92 000 m² client Compagnie de Phalsbourg architecte Antonio Virga Architecte collaboratrice Gaëlle Le Borgne

COMPLEXE “VIE EN VILLE” PARIS statut concours 2010 surface 35 000 m² coût 100 000 000 € client Unibail - Rodamco architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

MAISON LOUIS VUITTON SéOUL statut concours 2011 surface 4 000 m² client Louis Vuitton architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

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IMMEUBLES DE BUREAUX IMMEUBLE DE BUREAUX LYON ZAC THIERS statut concours 2006 surface 12 500 m² coût 17 000 000 € client Altarea Cogedim architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

BUREAUX ET LOGEMENTS REIMS statut concours 2007 surface 90 000 m² coût 200 000 000 € client ING Real Estate & Atemi architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

BUREAUX ET COMMERCES PARIS, ZAC CHAROLAIS statut concours 2009 surface 12 000 m² coût 27 000 000 € client Société Nationale des Espaces ferroviaires architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

TOURS TOUR PHARE LA DéFENSE statut concours 2006 surface 145 000 m² coût 500 000 000 € client Unibail - Rodamco architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

TOUR D2 LA DEFENSE statut concours 2007 surface 55 000 m² coût 125 000 000 € client Bouygues Immobilier & Sogeprom architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

TENA RESORT OUAGADOUGOU statut concours 2010 surface 110 000 m² client Tena Real Estate architecte Manuelle Gautrand Architecture chef de projet Bertrand Colson

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EXPÉRIENCES PARALLÈLES ET REGARDS CROISÉS

Bertrand Colson est né en 1976. Il étudie l’architecture à l’Ecole d’Architecture de Paris Val-de-Seine et obtient son diplôme DPLG en 2003, après avoir collaboré avec l’agence Périphériques. En 2004, il intègre l’agence Manuelle Gautrand. En tant que chef de projet, il y aborde de nombreuses typologies de programme. Logements sociaux, villas de luxe, complexes hôteliers et de bureaux, salles de spectacles, musées, espaces commerciaux de grande échelle et tours à La Défense... 30 projets au total, qui lui permettent d’acquérir une expérience à la fois polyvalente et pluridisciplinaire. En 2013, il co-fonde l’agence Colson Le Borgne au sein de laquelle il définit les principales orientations conceptuelles.

Gaëlle Le Borgne est née en 1978. Elle étudie l’architecture à l’Ecole d’Architecture de Rennes et obtient son diplôme DPLG en 2003, après avoir été lauréate du concours « La Métamorphose du Mobilier », pour son projet « Don’t Disturb ». Dès 2004, elle collabore au sein de plusieurs agences parisiennes dont Edouard François, Manuelle Gautrand et X-TU. Elle y suit les études et la réalisation de projets emblématiques, dont deux musées en France et en Corée. En 2013, elle co-fonde l’agence Colson Le Borgne au sein de laquelle elle apporte son expérience technique et son regard de directrice artistique. Bertrand Colson et Gaëlle Le Borgne collaborent ponctuellement depuis 2007 et de façon permanente depuis la création de la SARL d’architecture Colson Le Borgne, en 2013.

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2 ASSOCIÉS QUI FONT CLB

CLB Colson Le Borgne Architecture est une SARL au capital 5 000 € Inscrite à l’Ordre des Architectes sous le n° S15824 SIRET 791 426 307 00017 RCS PARIS N°TVA FR 39 791426307

site internet

colsonleborgne.com

mail

contact@colsonleborgne.com

tel

06 63 70 91 04

CRÉDITS

Crédits textes : © Colson le borgne architecture, Dix doigts dans la prise (Anne-Cécile Chavois). Crédits images et dessins: © Colson le borgne architecture, Luxigon, Artefactory, Platform.

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COLSONLEB OR GN E.C OM contact@colsonleborgne.com


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