bureaux principaux du Maroc ont procédé à cette ‘’griffe de surcharge’’, à savoir

Griffe encadrée « AR » classique de cette époque au Maroc.

A défaut d’une étiquette de recommandation, la poste militaire a utilisé la griffe encadrée d’avis de réception « AR », échoppée du « A » ou apposée à cheval sur un papier pour cacher le « A ». L’empreinte « R » encadrée sur 3 cotés à été refermée sur le 4ème coté (à gauche) par une ligne verticale à la plume / encre de chine noire et indication du numéro 199

Vérifiez dans vos collections s’il n’y en a pas d’autres !!!

De manière analogue au Congo Français

Fin 1902, apparaissaient en effet des lettres recommandées sur lesquelles l’habituelle griffe encadrée « R » de recommandation fut remplacée par la griffe « AR » échoppée de la lettre « A », laissant un vide où le postier y inscrit à la plume le numéro de recommandation. Cette pratique permettait manifestement d’avoir les « deux en un » et se rapprochait un peu de l’avantage manifeste des étiquettes de recommandation déjà en vigueur dans certains pays européens.

Cela me semble une initiative locale, n’ayant pas trouvé de texte officiel décrivant cette pratique et n’ayant aussi rencontré cette griffe « AR » échoppée que sur 5 lettres recommandées et dans 2 bureaux seulement entre le 19 novembre 1902 et le 13 mars 1903 : • BRAZZAVILLE : de 19 novembre 1902 au 13 mars 1903 – 4 lettres connues de l’auteur • OUESSO le 9 décembre 1902 – 1 seule lettre connue de l’auteur