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Juin 2018 - N° 17
Le journal interne de la SODIL
Editorial Terre de parole, terre de partage
Sommaire = Le mot du Directeur Général = Portrait de
Ariane HNANGAN
= Clin d’oeil :
Oasis de Kiamu - Ne Drehu Un partenariat gagnant
= Actualités :
La musique aux îles Loyauté
= Info RH :
Le congé coutumier
= Focus :
La nouvelle gamme de savons Iaai
= Il était une fois :
IENEIC, l’affrètement par “Yalap Belep”
= L’écho local :
Développement et nouveautés EKO’nomiques
= INFO D’ZIL Société de Développement et d’Investissement des îles Loyauté 15 rue de Verneilh immeuble le Fonbonne Quartier Latin BP 2217 Nouméa cedex Tél. (687) 27 66 63 Fax. (687) 27 67 09 Site : www.sodil.nc journalinterne@sodil.nc
William IHAGE Directeur Général
Les paroles de chaque jour sont-elles importantes ? Certainement puisque nous en avons besoin pour communiquer. Mais au-delà de leur fonction d’échange, ne sont-elles pas porteuses d’autre chose de tout aussi important, mais que nous ne savons pas ou plus percevoir ? D’un savoir-être, d’un savoir-vivre, de sensations que réveille cette communication ? Lorsqu’on essaie d’exprimer ce que l’on ressent par la parole ou l’écriture, se rapprochet-on de cette dimension là qui intègre la considération de l’autre ? Du coup, plus aucune parole, ni écrit n’est banal, ni n’est dépourvu de sens. On s’arrête et on se pose la question de savoir si ce que l’on dit ou écrit représente véritablement quelque chose, s’il est utile à l’autre, pourquoi il a été transmis et quel intérêt mutuel en retirons nous ensemble ? Et l’on se rend compte que ce que l’on dit ou écrit représente beaucoup plus ou va plus loin que ce que l’on imaginait. En effet, une parole ou écrit peut rassurer ou encourager son interlocuteur ou lecteur comme il peut le décevoir ou le décourager. Une personne sensée est à même de se poser naturellement des questions sur la portée de son message oral et écrit. Et si ce que l’on exprime maintenant n’a plus la même valeur que ce que l’on aurait pu exprimer il y a quelques années ? Et si ce que l’on exprime a perdu toute notion de respect des différences et de recherche du consensus ? Et si tout simplement nous arrêtions de penser en intérêt corporatiste plutôt qu’en intérêt général ? Ce n’est peut-être pas notre apprentissage de la langue française qui fait défaut, mais certainement notre perception de la vie en communauté qui se déforme. Pourquoi alors est-ce que la résolution d’un différend est passée d’une situation de guerre à l’époque de nos arrières grands parents à une situation de palabre à l’époque de nos parents et grands parents ? La raison est peut être simplement qu’à l’époque la culture du gain n’existait pas ou que la franchise et l’honnêteté étaient les bases naturelles de la vie en société. D’autres diront que parce que la situation bicéphale du pouvoir traditionnel (maître de la terre et maître des hommes) s’était toujours auto maîtrisée à l’inverse de la personnification du système de pouvoir actuel. Quand on parle et quand on écrit, on se rend vite compte que l’essentiel n’est pas dans la longueur ou la beauté des mots assemblés pour arriver au résultat recherché, mais dans la relation que l’on cherche à établir. Ainsi, si le bien ou la compréhension sont recherchés dans le contact, la cohésion des deux interlocuteurs ne peut être que facilitée. Par contre, si la négation ou le malaise sont recherchés (anonymement de surcroît) la relation, si tenté qu’il y en ait une, ne peut être que fourberie et lâcheté. Tout cela pour dire qu’à l’heure où nos espaces d’échange s’ouvrent que ce soit dans le domaine social, économique, politique ou religieux, la transparence n’apporterait que du bien. Alors, osons parler de nos différences et reconnaître nos erreurs, osons participer à la confrontation d’idées, osons distinguer sans discriminer, et souvent, osons aller au compromis sans craindre de tomber dans la compromission ! Ce nouveau numéro va une nouvelle fois mettre en valeur des compétences ou confirmer des expériences au-delà de l’information qu’elle ambitionne de véhiculer au sein du groupe en particulier et de la communauté de lecteurs en général. Bonne lecture. Directeur de publication : William Ihage Comité de rédaction : Grâce Agathe Cedare-Aouta, Abel Adjou, Ariane Hnangan Réalisation : Adanis - Impression : Multipress
portrait Ariane HNANGAN : En charge du bon développement EKO’nomique... Ariane HNANGAN, mariée et mère de 3 enfants, est originaire de l’île de MARE. Elle occupe actuellement le poste d’assistante administrative et comptable au sein de la Société des Hôtels des Iles (SHIL). Après l’obtention de son BTS Assistant Manager, ces débuts elle les exercera dans un établissement public, en qualité d’agent de développement économique. Puis elle intégrera dans un 1er temps le groupe Sodil en 2014 dans l’une de ses filiales, la SOPARIL, en qualité de gestionnaire de porteurs de projet. Son portefeuille était essentiellement constitué des promoteurs en phase de création d’entreprise. Son expérience dans ce domaine n’étant pas la première, et bien que ce fut intéressant, elle a souhaité voir d’autres horizons. Ce qui l’a conduite à s’orienter en 2015 vers la SHIL, jusqu’à ce jour. Elle est en charge essentiellement au niveau : - Administratif : du suivi administratif des hôtels (agréments, règlements des cotisations sociales et fiscales,..) - Social : du suivi des dossiers salariés (RH, SMIT,...) - Commercial : du suivi des commandes faites à l’étranger et sur le territoire, intermédiaire avec les transitaires, suivi des dossiers défiscs,… - Relation constante avec les directeurs d’hôtels. Ces tâches ne sont pas exhaustives, elles sont diverses et peuvent diverger d’un établissement à l’autre. En parallèle, elle occupe le poste de trésorière adjointe au sein de l’amicale Sodil. Pour elle, la SHIL exerce les fonctions d’une holding et elle souhaiterait qu’elle se développe davantage. Son désir est d’acquérir plus de connaissances et de compétences et ainsi améliorer les services rendus pour chacune des tâches précitées mais également auprès de ses différents interlocuteurs (salariés, directeurs,...).
clin d’oeil Oasis de Kiamu – Ne Drehu : un partenariat gagnant/gagnant La SARL Oasis de Kiamu basée à la tribu de Hnaeu à Lifou a pris l’engagement de sponsoriser le club sportif section football de NE DREHU. La performance de cette équipe dans le championnat calédonien n’est plus à démontrer. Le partenariat entre le “SPORTING CLUB NE DREHU & L’OASIS DE KIAMU” a été signé en janvier dernier à l’hôtel entre Stéphane FORREST, président du Club et Billy WAHEO. Pour soutenir ce club de football qui évolue depuis 2013 en Super Ligue, l’établissement sponsorise l’équipement : maillots, shorts et bas des joueurs. Ce partenariat arrive dans la continuité d’un précédent signé en 2015. Il illustre l’importance pour l’Oasis de Kiamu de marquer sa proximité et soutenir des jeunes voulant mettre en avant leur île à l’extérieur de LIFOU dans le bel esprit sportif, et, pour le club d’afficher une belle image du sport et d’encourager la jeunesse dans la pratique sportive. Nous leur souhaitons de belles victoires et beaucoup de réussite pour cette nouvelle saison. 2 - EKO D’ZIL
actualités Culture et tradition : La musique aux îles Loyauté ! Est-ce un art ? Oui, certainement : talon inné pour certains, mais accessible à tous ! Comme toute musique, elle est à la fois : - un rythme, une musicalité qui nous permet de voyager, un son,… - un outil : de bien-être, de partage, et nous permet d’exprimer nos émotions !
Histoire et origine Vous avez peut-être entendu parler de Moïse WADRA originaire de Maré, musiciens et chanteurs du Groupe Solitaire. Il fut parmi les fondateurs du “KANEKA” dans les années 76-77. Aujourd’hui il accompagne le groupe CELENODE. Nos ancêtres ont toujours pratiqué l’art de la musique, puis, à l’arrivée des missionnaires le “DO” s’est développé (composition + chant). Aujourd’hui plus de personnes le chante que ne le compose. Eh oui ! On ne s’invente pas “compositeur de DO” du jour au lendemain. Mais notre réalité est telle que le nombre de personnes disposant de cette compétence diminue… On dit que : “les habitants des Loyautés sont des chanteurs”… Ils ne le sont pas tous ! D’une manière générale, les hommes ont appris à faire : la basse, le ténor et les femmes : le soprano, l’alto mais aussi le ténor… la musique est omniprésente dans la société KANAK. Une éducation qui permet à ses hommes et ses femmes aujourd’hui de chanter dans plusieurs langues vernaculaires… On parle d’une musique transcendante !
Une musique en constante évolution GUREJELE, NODEAK, MEXEM, BLUE HAU, TOKA ERA (lauréat de DOM‐TOM Folies en 2010), BETHELA,… Autant de groupes qui ont su modeler culture et style sur des airs variés et mélodieux. Edouard WAMEJO dit “Gulaan”, un artiste que l’on ne présente plus. Sa musique l’a transporté depuis sa tribu de WAKUARORI (à MARE) sur le plateau de l’émission “the VOICE” en France... C’est juste impressionnant !
EKO D’ZIL - 3
info RH Le congé coutumier : Entrée en vigueur de la loi de pays en juillet Les cérémonies de mariages, de décès, d’intronisation d’une autorité coutumière, ou encore la récolte de l’igname nouvelle sont autant d’événements coutumiers qui rythment le calendrier de la société kanak. Un projet de loi de pays prévoyait d’octroyer aux chefs de clans, salariés dans une entreprise de plus de 11 employés, le droit de bénéficier d’un congé “coutumier”. Le texte a déjà été adopté, il y a un an en janvier 2017, par le Sénat coutumier. Depuis, il a été présenté puis retiré à deux reprises au Congrès. Il y est revenu pour une troisième fois et a été finalement adopté le 23 janvier 2018. Il validait le principe d’un droit à six jours de congés supplémentaires par an pour obligations coutumières, sous réserve que les congés pris ne perturbent pas le fonctionnement de l’entreprise. Le but de cette loi du pays est de prendre en compte le fait coutumier et l’identité kanak dans le droit du travail. Elle reconnaît aux responsables coutumiers le droit de prendre six jours de congés par an au titre de leurs responsabilités : présence lors des mariages, des deuils, de l’intronisation d’autorité coutumière, de la célébration de l’igname nouvelle. Concrètement, cette loi ne concerne pas grand monde. Les grands chefs et les petits chefs sont hors champ puisqu’ils touchent déjà une indemnité. En pratique, le dispositif n’intéresse que les chefs de clans au nombre de 2.322 mais seulement 715 d’entre eux exercent une activité salariée et sont donc accessibles à ces six jours de congés supplémentaires par an. L’indemnité étant fixée à 5.000 Francs CFP par jour, cela représente un budget maximal de 21,5 millions CFP par an. Le souci aujourd’hui est de savoir à qui il incombe de payer l’indemnité. Est-ce du ressort des employeurs ou du gouvernement ? La question est renvoyée devant les partenaires sociaux et les élus, dans 18 mois, afin de faire le point sur l’effectivité de la mise en œuvre du dispositif. Le jeudi 3 mai 2018, deux lois du pays concernant l’identité kanak et le droit coutumier ont été votées, en seconde lecture, en séance publique au Congrès. La première loi institue un congé pour responsabilité coutumière, et la seconde est relative aux successions de biens appartenant aux personnes de statut civil coutumier kanak. Après une navette parlementaire avec le sénat coutumier, leur adoption est aujourd’hui définitive.
Les mariages sont des cérémonies auxquelles les responsables coutumiers se doivent de participer.
Voici pour rappel des termes de la loi : “Bénéficient de congé pour responsabilités coutumières d’une durée totale de 6 jours par an, les chefs de clan, chefs de tribu ou grands chefs et présidents du conseil des chefs de clan, salariés ayant au moins trois mois effectifs d’ancienneté chez le même employeur. L’entrée en vigueur du dispositif est fixée au 1er juillet 2018 pour l’ensemble des entreprises. Restent aux partenaires sociaux à définir les modalités de paiement de ces jours de congés”. 4 - EKO D’ZIL
focus ISI : La nouvelle gamme de savons d’Iaai Dans le cadre de la feuille de route de la SODIL mais aussi pour répondre aux attentes de ses clients, ISI a lancé courant juin une nouvelle gamme de produits. Soucieux de l’environnement mais aussi de sa qualité, la savonnerie a décidé de reprendre la formulation de son savon de toilette 125 gr pour ne laisser que les ingrédients indispensables. Avec près de la moitié d’huile de coprah, l’objectif est de valoriser l’image d’un produit naturel et authentique ! L’huile de coprah vient compléter l’offre. Commercialisée aujourd’hui exclusivement à la boutique de l’usine à Ouvéa, elle ravie les touristes et autres consommateurs locaux. Sa vente, en constante croissance, nous a poussés à la développer sur la grande terre. Elle sera conditionnée en flacon 125 ml. Ces deux produits seront déclinés en notes boisées, fruitées, fleuries : vanille, santal, Ylang Ylang, fruits exotiques, parfum du paradis et naturellement coco. A nouveau produit, nouvel emballage ! Nous avons repris le packaging de manière à l’harmoniser mais également à le repositionner sur le marché. Cela permettra à moyen terme de l’intégrer dans de nouveaux points de vente et de cibler une nouvelle clientèle. Mâte, feutré, avec un effet “glacé”, il se veut haut de gamme tout en respectant les traditions et valeurs de l’île d’Ouvéa. Cette nouvelle gamme sera disponible dans tous les points de ventes de Nouméa et de son agglomération, et sur l’ensemble des îles Loyauté.
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il était une fois... IENEIC : L’affrètement par “Yalap Belep” La société Yalap Belep a affrété le IENEIC durant la période du 5 au 25 mai. Pour la 4ème édition l’équipage de cette société est descendu à Lifou pour récupérer le IENEIC. Cinq membres d’équipage ont appareillé le navire de Lifou à destination de Nouméa. Le cheminement du navire a continué jusqu’à Koumac pour desservir l’île de Belep pendant 3 semaines. Au retour de Koumac, nous nous sommes donnés rendez-vous à Nouméa (Nouville Plaisance). La restitution du navire s’est déroulée dans de bonnes conditions. La population de Tiga attendait cette opportunité pour l’envoi du fret au départ de Nouméa, affaires personnels, immobilier, alimentation, plantes etc. Le 25 mai vers 16h, le IENEIC a quitté Nouméa en direction de Lifou et a repris de nouveau le service. La prochaine échéance est prévue pour le carénage qui aura lieu à Nouméa du 21 juin au 23 juillet. Le renouvellement annuel du permis de navigation nécessite plusieurs interventions technique, mécanique et électrotechnique à bord. Quelques travaux de remise aux normes sont indispensables. L’objectif 2018 pour la SAS MELITA sera la remise aux normes du navire pour le transport des PMR (personnes à mobilité réduite) recommandé par les affaires maritimes et l’étude avec un expert pour le transport funéraire maritime.
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l’écho local Développement et nouveautés EKO’nomiques Un nouvel hypermarché L’enseigne Géant-Casino, gérée par le groupe Hayot en NouvelleCalédonie, vient d’inaugurer un hypermarché à Dumbéa-sur-Mer, dans l’enceinte “Dumbéa Mall”. Cet espace compte 17.000 m² dont 4.500 pour l’hypermarché et 12.500 pour la galerie commerciale.
Le panier de la ménagère Selon UFC-Que Choisir, le panier de la ménagère a évolué de 1,6 % sur un an, en partie à cause de la marche à blanc de la TGC.
La formation professionnelle Le gouvernement de la NC a adopté un arrêté pour harmoniser les politiques de formation et d’insertion professionnelle. Du fait des compétences superposées du gouvernement, des provinces, et de divers organismes, qui agissent sans concertation réciproque, l’Union européenne, qui finance l’essentiel de la formation en Nouvelle-Calédonie a conditionné ses aides à la refonte du secteur, d’où cette action de rationalisation.
L’extension du port Le Port Autonome a présenté les perspectives du port. Avec 250 mètres supplémentaires, le quai atteindra un kilomètre de long courant 2019. Cette extension est couplée à une opération de dragage de la rade pour gagner deux mètres de profondeur. Le port de Nouméa ambitionne de recevoir des porteconteneurs d’une capacité de 4.500 conteneurs de 20 pieds (contre 3.000 conteneurs en 2018).
La TGC, en ordre de marche Le gouvernement de NC a adopté un certain nombre de textes pour permettre la mise en œuvre de la TGC. Les textes comportent des dispositions douanières, la redéfinition de notions comptables, etc. Le gouvernement a aussi examiné un avantprojet de loi du pays “qui permettra, au moment du passage à la TGC à taux pleins, de contenir le risque inflationniste”.
La téléphonie change de main Citius, une filiale de l’OPT (Office des postes et télécommunications, établissement public détenant le monopole des télécommunications locales) est la société qui assurait la gestion du trafic téléphonique international et l’hébergement de données informatiques. Depuis que le gouvernement de la NC a décidé la mise en concurrence de la gestion du trafic téléphonique en 2016, c’est l’entreprise française Orange qui a remporté le marché, menaçant ainsi la situation de Citius, qui devrait tôt ou tard être intégré par l’OPT.
Forum de l’eau Le gouvernement a organisé en avril le “Forum H²O”, réunissant des centaines de participants pour travailler en atelier sur les enjeux de l’eau en Nouvelle-Calédonie. Ces conclusions serviront à l’élaboration d’une politique de l’eau commune aux collectivités calédoniennes qui sera présentée fin 2018. EKO D’ZIL - 7
INFO D’ZIL LES NEWS DE L’AMICALE SODIL
LA VIE DE LA SODIL HÔTEL PARADIS D’OUVEA
Nouveau départ :
DEPART de Philippe MARIE le 15/05/2018. Il a exercé en qualité de responsable de la maintenance.
Verre de l’amitié partagé avec Marie-Louise HOLOÏA qui a décidé de quitter le territoire pour vivre à Wallis.
Souhaitons-lui bonne continuation ! BIENVENUE au 1er mai à : Loberto UGATAI, directeur de l’hébergement, Patrick HOGAN, directeur de la restauration.
HÔTEL OASIS DE KIAMU Thomas MARIEN, embauché depuis le 15/05/2018 en qualité de chef de cuisine. Au-revoir à Antoinette Wekö ILENGO !
Souhaitons-lui bonne continuation ! Marie‐Louise HOLOÏA, au centre t’shirt violet.
Rappel des avantages : - SOPROTEC : 10 % - SCET : 20 % - Ducos Quincaillerie : 20 %
L’adhérent devra se présenter avec sa carte ainsi qu’une pièce d’identité (au cas où) !
Egalement, toujours maintenues : 4 la vente des tickets de cinéma à bas prix, 4 la préparation de petit-déjeuner lors des CA et AG de la SODIL.
AGENDA D’ZIL AIR LOYAUTE Michel DRUET est entré dans la société en tant que directeur, en remplacement de Michel MALECOT, à qui nous souhaitons “Bon vent !”
4Fête du Ura 4Fête du Waleï 4Fête du Santal/Miel 4Foire des Iles Loyauté 4Fête de la Vanille 4Fête du Wajuyu 4Fête du Taro
Nengone/Tribu de Tawainedr Iaaï/Tribu de Héo Drehu/Tribu de Easo Iaai Drehu/Tribu de Mou Nengone/Tribu de Rho Iaai/Tribu de Wakatr
du 13 au 15 juillet du 27 au 29 juillet du 31 août au 2 sept. du 14 au 16 sept. du 19 au 21 octobre du 1er au 4 novembre du 30 nov. au 2 déc.
UCPA
ESPACE DETENTE :
Yviola ZOHUNE a été embauchée le 3 avril en tant qu’Assistante Administrative et Comptable.
“L’hibiscus” “Corilen ou Obédrila ou Peledrë”
Souhaitons-lui la bienvenue !
SODIL Elisabeth CAVALIE effectue des prestations au sein de nos filiales. Xome WANAKAEN, stagiaire du 23 au 27 avril, auprès de Thomas JONDEAU du pôle Agroalimentaire.
S
Souhaitons un joyeux anniversaire aux natifs des mois de juin, juillet et août !
Le saviez-vous ? “L’hibiscus sabdariffa” : une fois séchées, les fleurs de cet hibiscus peuvent se consommer en infusion, décoction,… Il possède de nombreuses vertus ! En voici quelque unes : Riche en vitamine C et en oligo-éléments. L’hibiscus est un antiseptique urinaire et un diurétique. Les fleurs remédient aux douleurs menstruelles. La racine est utilisée pour calmer la toux et dégager les voies respiratoires. L’hibiscus est recommandé pour lutter contre l’hypertension et le cholestérol. Il est également un laxatif doux, il est antibactérien, anti-inflammatoire et antalgique.