3 octobre Mois du sein Journée ruban rose : portez votre ruban!
RH Du 2 au 16 octobre Affichage des postes
28 octobre 25e édition du Souper spaghetti du Centre d'hébergement Andrée-Perrault Collège Saint-Maurice 18 h
Du 1er au 7 octobre Semaine mondiale de l’allaitement
12 octobre ranché avec la i-b id M oise Société québéc nie ré ph zo hi de la sc à h De 12 h à 13 de m l’auditoriu l’hôpital
2 novembre Début de la campagne de vaccination grippe
s votre (détails à venir dan prochain numéro)
RH 5 octobre Date limite pour faire un changement de disponibilité Midi-branché post-partum hôpital 8 h 15, 12 h et 15 h
13 octobre Journée provinciale des préposés en hygiène salubrité
RH 2 novembre Date limite pour faire un changement de disponibilité
6 octobre Midi-branché sur la dépression post-partum CLSC d’Acton : 10 h : CLSC des Patriotes 12 h
CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX RICHELIEU-YAMASKA
SEPTEMBRE 2011 - VOL. 2, NO 5
pages 5 à 8
Du 17 au 21 octobre Semaine de l’hygiène des mains
9 décembre Party de Noël du CSSS La croisière s’amuse!
Douze centenaires du Centre d'hébergement de l'HôtelDieu-de-Saint-Hyacinthe ont été honorés lors d'une célébration en leur honneur, en compagnie des membres de leur famille, le 23 septembre dernier. M. Léopold St-Laurent (100 ans) Mme Jeannette Bienvenue (107 ans) Mme Simonne (Benoit) Provost (100 ans) Mme Marguerite Gaucher (102 ans) Mme Thérèse Côté (100 ans) Mme Julie Rioux (McDuff) (100 ans) Mme Gisèle Allard (100 ans) Mme Ida Mealey (Boulay) (100 ans) Mme Jeanne Messier (100 ans) Mme Angelina Benoit (Lamontagne) (102 ans) Mme Armandine Marchessault (Lecours) (102 ans ) Mme Ernestine Toupin (Lafrance) (100 ans )
RH : dates importantes à noter concernant les ressources humaines.
SPÉCIAL AGRÉMENT page 9
LEAN EN CLSC : LE SOUTIEN À DOMICILE EN ACTION page 13
SEMAINE MONDIALE DE L’ALLAITEMENT page 15
SEMAINE DE L'HYGIÈNE DES MAINS
Prochaine parution du magazine : Septembre 2011 Date limite pour suggestion de sujets : Lundi 15 août 2011 Date limite pour activités à inscrire au calendrier des activités : Mardi 6 septembre 2011
L’Écho du réseau est une réalisation de la Direction des communications et des relations publiques. Si vous avez des nouvelles ou des commentaires, n’hésitez pas à les transmettre à Martine Lesage, conseillère en communication, par courriel : martine.lesage@rrsss16.gouv.qc.ca ou par téléphone : 450 771-3333, poste 3354 www.santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska
Infographie Denis Kiopini Impression Imprimerie Maska
RENOUVELLEMENT DU CONSEIL D'ADMINISTRATION :
UN IMPORTANT PROCESSUS EN COURS
Page 8
Page 2
L’HÔTEL-DIEU FÊTE 12 CENTENAIRES Madame Gisèle Allard était l’une des 12 centenaires qui ont été fêtés au Centre d’hébergement de l’Hôtel-Dieu, le 23 septembre dernier. Une messe a été célébrée dans la chapelle du centre pour souligner ces 12 siècles de vie. Page 16
Magazine-SEPTEMBRE 2011_Layout 1 11-10-19 10:06 AM Page 2
Collaboration à des publications : du rayonnement pour deux de nos pharmaciennes
L
e ministre de la Santé et des Services sociaux a déclenché cet été le processus de renouvellement des conseils d’administration des centres de santé et de services sociaux. Il s’agit d’une opération majeure pour notre CSSS qui se déroulera d’ici janvier. Le nouveau conseil comptera au total 18 administrateurs, soit 17 personnes élues, désignées et nommées, plus le directeur général. De ce fait, la date du 18 octobre 2011 a été fixée pour finaliser la désignation des quatre membres du personnel et des professionnels qui siègeront au sein du conseil d’administration de notre établissement. Les avis de désignation ont été affichés dans toutes les installations le 12 septembre dernier. Pour l’administrateur désigné par le personnel non clinique, un scrutin par la poste se tient actuellement. Sept employés ont soumis leur candidature : Nom
Milieu de pratique
Stéphane Bouchard
Agent administratif #2
Joanne Fortin
Préposée salubrité (soir)
Marlène Gagnon
Agente administrative
Martine Laplante
Préposée aux bénéficiaires
Sylvain Ledoux
Salubrité
Serge Lussier
Ouvrier d’entretien général
Mathieu Savard
Préposé entretien ménager
L’ensemble du personnel non clinique inscrit sur la liste des électeurs a reçu un bulletin de vote par la poste et a jusqu’au 17 octobre, 17 heures, pour retourner le tout avec leur choix. Pour la personne désignée par le Conseil des médecins, dentistes et pharmaciens (CMDP), Dr Robert Duranceau, actuellement administrateur, a été désigné sans opposition. Pour la désignation du Conseil multidisciplinaire, incluant les membres du personnel infirmier auxiliaire, Mme Louise Larrivée a été désignée sans opposition.
2
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
Lors d’une assemblée de ses membres, tenue le 26 septembre dernier, le Conseil des infirmières et infirmiers (CII) a eu à choisir entre deux candidats intéressés : Mme Manon Gauthier, infirmière et chef d’unité à l’Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe et M. Luc Pellerin, infirmier et conseiller en soins infirmiers pour le Service de prévention et contrôle des infections. Mme Manon Gauthier a officiellement été désignée à la suite du scrutin tenu lors de cette assemblée. Par ailleurs, d’ici le 18 octobre également, le Comité des usagers du CSSS procèdera à la désignation de deux de ses membres qui siègeront au conseil d’administration. Les quatre fondations reconnues du CSSS, la Fondation HonoréMercier, la Fondation Aline-Letendre, la Fondation du CLSC-CHSLD des Patriotes et la Fondation Santé Daigneault-Gauthier, doivent conjointement désigner un représentant au conseil d’administration du CSSS.
Mme Josée Filiatrault, pharmacienne au Département de pharmacie, a vu un article sur la thromboprophylaxie, auquel elle a collaboré, publié dans le Journal of Thrombosis and Thrombolysis, " Implementation and evaluation of a pharmacy-led thromboprophylaxis campaign in a community hospital". Mme Marie-Ève B. Dufresne, pharmacienne, et Dre Diane Poirier, directrice des affaires médicales, ont collaboré à la revue Pharmactuel : La revue internationale francophone de la pratique pharmaceutique en établissement de santé (numéro de juillet-aoûtseptembre 2011). Leur article se nomme Insuffisance rénale aiguë chez un patient adulte secondaire à une interaction possible entre la ceftriaxone et le calcium. Pour lire cet article, visitez le lien suivant : http://www.pharmactuel.com/article.asp?article=473 Nous tenons à les féliciter.
Fondation Aline-Letendre TOURNOI DE GOLF GERMAIN LARIVIÈRE Le 4 août dernier se tenait, au Club de Golf Saint-Hyacinthe, la 6e édition de la Journée de golf Germain Larivière au profit de la Fondation AlineLetendre. En cette journée exceptionnelle, où la température était excellente, plus de 156 golfeurs ont répondu à l’appel de Monsieur Jean Larivière et de la Fondation, permettant d’amasser plus de 27 500 $ en profit net pour la poursuite de la mission de la Fondation AlineLetendre qui est de rehausser la qualité de vie de tous les résidents de l’Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe.
Élection de la population Il y aura élection de deux personnes provenant de la population pour siéger au conseil d’administration du CSSS Richelieu-Yamaska. Les personnes intéressées à participer à l’administration des services de santé et des services sociaux sont invitées à poser leur candidature aux sièges réservés à la population. La date limite de mise en candidature a été fixée au 3 octobre 2011, à 17 heures. S’il y a plus de candidats que de postes à combler, un avis sera émis et indiquera la liste des candidats ainsi que le lieu et l’heure du scrutin qui se tiendra le 1er novembre 2011. D’ici le 1er février, date d’entrée du nouveau conseil, huit autres administrateurs se joindront au groupe : deux personnes nommées par l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie et six personnes qui seront nommées par cooptation par les administrateurs élus et désignés. Des six personnes cooptées, au moins une devra provenir de recommandations faites par les organismes communautaires de notre territoire.
5e ÉDITION DU DÉFI VÉLO SANTÉ DE LA FONDATION ALINE-LETENDRE : UN AUTRE ÉCLATANT SUCCÈS Plus de 175 participants auront emprunté, le 11 septembre dernier, les quatre parcours offerts. L’objectif financier de 20 000 $ de profit net a été atteint. Des grands-parents jusqu’aux petits enfants, les familles étaient présentes à cette grande activité familiale. Merci à tous nos bénévoles et à nos précieux commanditaires qui ont permis d'assurer le succès de cette journée.
Fondation Honoré-Mercier Fondation CLSC-CHSLD des Patriotes
LES HONNEURS POUR MANON DESJOURDY, INFIRMIÈRE SPÉCIALISÉE EN SOINS DE PLAIES Notre CSSS a de quoi être fier! Mme Manon Desjourdy, stomothérapeute, est devenue la première francophone à remporter les grands honneurs lors de la conférence de l’Association canadienne des stomothérapeutes, qui s’est tenue à Montréal en mai dernier. Elle s’est démarquée en remportant deux prix académiques prestigieux du Programme de formation des infirmières stomothérapeutes :
Mme Desjourdy travaille à la DPSPSIPP, au Service de la prévention et du contrôle des infections
1) Prix pour la plus haute note pour le cours « Gestion de la continence » (programmes anglophones et francophones combinés); 2) Prix « Bill Carcary Award » pour la plus haute note combinée pour les trois cours du programme, à égalité avec une étudiante du programme anglophone. Nos félicitations pour ce bel accomplissement! UNE BELLE RÉUSSITE POUR LA JOURNÉE DES FAMILLES 2011 À ACTON VALE La Journée des familles avait lieu le 10 septembre dernier à Acton Vale. Organisé par les tables 0-5 ans et À toute jeunesse, l'événement a rassemblé plus de 1200 personnes, qui ont célébré en famille et rencontré diverses ressources du milieu. Un grand MERCI à tous ceux qui ont contribué à cette belle réussite.
Fondation Aline-Letendre Fondation Santé Daigneault-Gauthier
Toutes nos fondations ont maintenant leur site Internet. Pour les visiter :
santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
15
Magazine-SEPTEMBRE 16 pages_Layout 1 11-09-24 7:25 PM Page 3
CHANGEMENT POUR LES REQUÊTES AU SERVICE DE TRAITEUR Le Service nutrition et alimentation souhaite informer le personnel de plusieurs changements apportÊs concernant les requêtes d’aliments et les commandes au service traiteur, et ce, afin d’offrir une rÊponse optimale à vos besoins. 1. Afin de faciliter l'envoi des requêtes d'aliments et autres fournitures, deux nouvelles adresses Lotus Notes ont ÊtÊ crÊÊes. Par consÊquent, vous devrez adresser vos requêtes d’aliments aux adresses suivantes : • Hôpital HonorÊ-Mercier : 16 CSSS RY Service traiteur HM TÊlÊcopieur : 450 771-3793 • C.H. de l’Hôtel-Dieu : 16 CSSS RY Service traiteur HD TÊlÊcopieur : 450 771-3749 2. Le dossier Service alimentaire disponible sur le P/public sous DRTSH/Nutrition se nomme maintenant  menu et service traiteur . Vous y trouverez les documents suivants : • Requête d'aliments et autres fournitures • ProcÊdure abrÊgÊe • Liste des produits offerts • Menus de la cafÊtÊria 3. La livraison et le retour des commandes sont maintenant assurÊs par le service alimentaire à l'endroit et à l'heure demandÊs. 4. Sur la liste des produits offerts, trois nouvelles variÊtÊs de boÎtes à lunch ont ÊtÊ ajoutÊes.
À l’hôpital, lors d’une requête adressÊe aux services techniques par tÊlÊphone, au poste 4449, veuillez vous assurer de donner une information prÊcise quant à vos besoins. Par exemple, pour une demande d’intervention lors d’un dÊgât dans un escalier, il est important de mentionner le pavillon, l’escalier et l’Êtage concernÊs. Vous avez une chaise à faire rÊparer? SVP, mentionnez le pavillon et le numÊro du local oÚ le rÊparateur doit se rendre. En tout temps, laissez votre nom et numÊro de tÊlÊphone. Ce principe vaut aussi pour les autres installations. Lorsque vous interpellez votre responsable des ressources techniques et des installations matÊrielles, facilitez-lui le travail. Une information prÊcise permettra d’assurer une rÊponse adÊquate à votre besoin, en plus de le faire dans le dÊlai souhaitÊ. Merci!
CAFÉTÉRIA
Nouveaux tarifs À COMPTER DE LUNDI, LE 20 JUIN 2011, le nouveau prix du repas conventionnÊ sera appliquÊ dans toutes les cafÊtÊrias du CSSS Richelieu-Yamaska. PRIX ACTUELLEMENT EN VIGUEUR : 4,00 $ (4,55 $ avec taxes) NOUVEAU PRIX : WHO TXH VSpFLILp GDQV OD FRQYHQWLRQ FROOHFWLYH + SRXUFHQWDJHV G¡LQGH[DWLRQ GH HW de 2011 (0.75 %) + les taxes provinciale et fÊdÊrale
6. Le formulaire ÂŤ requĂŞte d'aliments et autres fournitures Âť a ĂŠtĂŠ modifiĂŠ (Bien vouloir utiliser SVP le nouveau formulaire).
Le repas complet conventionnÊ sera donc de 4,85 $ taxes incluses. De plus, le prix de certains autres mets sera modifiÊ afin de V¡DMXVWHU j OD KDXVVH GX FR€W GHV PDWLqUHV SUHPLqUHV TXH OH Service alimentaire doit absorber. Le Service alimentaire a le souci de continuer à amÊliorer la qualitÊ du service et des produits RIIHUWV 1¡KpVLWH] SDV j nous faire part de vos commentaires et suggestions en utilisant la boÎte à suggestions situÊe près des caisses.
14 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
M. Daniel Castonguay, directeur gĂŠnĂŠral
Plus de prĂŠcision s.v.p.
5. Le dĂŠlai pour faire parvenir vos commandes de buffets et boĂŽtes Ă lunch a ĂŠtĂŠ modifiĂŠ; trois jours ouvrables pour une commande de moins de 25 personnes et sept jours ouvrables pour 26 personnes et plus.
Le Service nutrition et alimentation espère que ces changements rÊpondront davantage à vos besoins.
MOT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL
AIDEZ-NOUS À VOUS AIDER!
LES ÉQUIPES EN ACTION
C
ette Êdition de la rentrÊe de notre magazine Écho du rÊseau vous offre un spÊcial AgrÊment. Nous vous prÊsentons en dÊtails les ÊlÊments importants à retenir à quelques semaines seulement de l’arrivÊe des visiteurs qui viendront Êvaluer notre conformitÊ aux standards de qualitÊ. Cette Êtape nous permettra, j’en suis convaincu, de renouveler l’agrÊment obtenu en 2009. Il s’agit assurÊment du dossier majeur de notre organisation pour l’automne. Mais, notre CSSS poursuivra Êgalement la mise en œuvre de plusieurs travaux importants pour amÊliorer à la fois notre offre et la qualitÊ de nos services. Je suis toujours fier de constater comment toutes nos Êquipes sont à pied d’œuvre. Un projet majeur d’optimisation dans nos CLSC Nous dÊbuterons au sein de nos Êquipes en CLSC un premier projet Lean pour optimiser les services de soutien à domicile. Cette approche Lean, appelÊe souvent Approche Toyota, se dÊploie actuellement dans rÊseau de la santÊ. Il s’agit de revoir l’ensemble des processus de travail pour rÊduire autant que possible les tâches ou les Êtapes qui n’ont pas de valeur directe pour les clients que nous avons à desservir. Cette approche est basÊe sur un travail Êtroit avec les Êquipes de base des services concernÊs afin d’identifier et mettre en place les amÊliorations. Un premier projet Lean a ÊtÊ appliquÊ l’an dernier pour l’urgence de l’hôpital, avec des rÊsultats marquants. L’objectif du projet dans nos CLSC sera
d’augmenter le temps de service direct aux clients desservis à domicile, en revoyant les temps de dÊplacement, de procÊdures administratives, compilation de donnÊes, etc. L’optimisation de nos services complètera bien nos travaux pour le continuum Personnes âgÊes qui implique directement nos Êquipes en CLSC. Nous poursuivrons en effet nos efforts pour amÊliorer l’intÊgration et la continuitÊ de nos services qui, en CLSC, ont un rôle très actif pour le maintien des personnes dans leur milieu de vie naturel. Ils assurent la bonne liaison entre nos services lors du congÊ de l’urgence ou de l’hospitalisation et, surtout, ils sont au centre de l’action pour la prise en charge rapide lorsque nos repÊrons une personne en perte d’autonomie ou à risque de perte d’autonomie. Nos travaux pour amÊliorer l’arrimage des services, jumelÊs à une plus grande optimisation de nos ressources, nous placeront en bonne position pour rÊpondre aux besoins croissants de notre population de personnes âgÊes. Bonne nouvelle aussi pour ces secteurs! Nous avons reçu la confirmation, rÊcemment, que notre Êtablissement recevra une enveloppe budgÊtaire de 1,2 millions $ pour amÊliorer l’accès aux services SAD. Vers le milieu de vie en centres d’hÊbergement et en ressources intermÊdiaires d’hÊbergement Bien que nos efforts doivent porter prioritairement sur l’objectif de soutenir les personnes en perte d’autonomie à leur
domicile, nous sommes souvent placÊs devant la nÊcessitÊ d’accompagner les personnes vers un milieu d’hÊbergement. Dans ce cheminement vers l’hÊbergement en Êtablissement, je me dois de souligner le travail quotidien rÊalisÊ par l’Êquipe de travail social de notre CSSS, que ce soit en CLSC, en milieu hospitalier ou en centre d’hÊbergement. Ces Êquipes verront certainement comme une très bonne nouvelle la confirmation par l’Agence de la MontÊrÊgie que notre territoire a droit à 60 nouvelles places en ressources intermÊdiaires. Nous sommes d’ailleurs actuellement en processus d’appel de propositions pour le dÊveloppement de ces nouveaux services. Ces projets se rÊaliseront dans les prochains mois. Toujours pour nos centres d’hÊbergement, l’automne sera l’occasion de dÊmarrer le plan d’action organisationnel pour le dÊveloppement du concept milieu de vie, l’une des grandes prioritÊs de notre planification stratÊgique 2011-2015. Il s’agit d’un grand dÊfi pour tous nos centres d’hÊbergement que de trouver le moyen de questionner de manière continue les pratiques institutionnelles. Les recommandations d’amÊlioration que nous avons reçues en juin dernier, à la suite de la visite de l’Êquipe ministÊrielle d’apprÊciation en CHSLD, seront des leviers pour aborder ce changement majeur dans nos milieux. Ce sujet fera d’ailleurs l’objet d’un Êchange particulier avec notre personnel des centres d’hÊbergement dans le cadre de la tournÊe du directeur gÊnÊral. Bon automne à tous!
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 3
Magazine-SEPTEMBRE 2011_Layout 1 11-10-17 4:20 PM Page 4
Engagé pour une accréditation Initiative Amis des bébés
LA CIVILITÉ EN MILIEU DE TRAVAIL
L
e terme « civilité » peut sembler une évidence pour chacun. Mais quand on y réfléchit, est-elle réellement toujours présente dans nos échanges professionnels et à l’intérieur de nos équipes de travail ? À l’ère où tout va vite, où nous prônons la liberté d’expression et où la pression en milieu de travail peut parfois être forte, prenons-nous toujours le temps d’avoir des rapports cordiaux, de ne pas oublier l’essentiel, soit de prendre le temps de dire « bonjour », « merci » ou « s’il vous plaît » ? Pourtant, la civilité est bien plus que ces règles de base essentielles. Qu’est-ce que la civilité en milieu de travail ? La civilité peut être décrite comme étant un ensemble de règles de conduite qu’un groupe de personne se donne et qui vise le bien-être de la majorité. En milieu de
La civilité en milieu de travail, c’est aussi tenter de faciliter le travail d’autrui. retenue. Il importe de communiquer avec assertivité, c’est-à-dire d’adopter une attitude dans laquelle on est capable de s'affirmer tout en respectant autrui. Il s'agit de se respecter soi-même en s'exprimant directement et clairement par rapport aux événements et à ce que l’on considère comme acceptable ou non, mais avec considération pour l’autre. La civilité en milieu de travail, c’est aussi tenter de faciliter le travail d’autrui. Par exemple, si nous savons qu’un collègue a besoin d’une réponse rapidement de notre part, évitons de le faire patienter indûment.
Lorsque l’incivilité est banalisée ou non gérée, elle peut amener à des conflits importants entre des membres d’une équipe. Tôt ou tard, elle finit même par affecter le climat et la qualité de vie au travail de l’ensemble des membres de l’équipe. travail, la littérature cite cinq critères devant être respectés, pour que l’on puisse prétendre adopter des comportements de civilité avec les gens qui nous entourent : RESPECT – COLLABORATION – POLITESSE – COURTOISIE – SAVOIR VIVRE. En somme, La civilité est l'affichage du caractère pacifique d'une personne dans ses relations avec autrui, notamment dans la façon d'entrer en contact, et du respect que l'on a pour son interlocuteur. En milieu de travail, le droit à la liberté d’expression ne nous permet pas de dire tout ce que l’on pense, sans filtre et sans
Ou si nous savons qu’un collègue est débordé et que de notre côté nous sommes à jour dans nos tâches, pourquoi ne pas lui offrir notre aide ? Nous nous devons également d’avoir un regard critique sur nos propres comportements, en s’assurant d’intégrer de façon systématique, dans nos relations avec la clientèle, nos collègues et collaborateurs, les cinq notions de la civilité. Si nous avons un inconfort face à une situation ou une façon d’agir d’un de nos collaborateurs, il nous importe rapidement de faire connaître clairement sa position à cette personne de
4 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
façon respectueuse, en précisant les comportements et les attitudes en cause, en lui indiquant le malaise provoqué par son comportement et en lui demandant clairement de mettre un terme à cette conduite. Si ce premier niveau d’intervention ne fonctionne pas, nous nous devons d’aller chercher du soutien, tel que d’en parler à son supérieur immédiat, afin qu’il intervienne ou qu’il nous accompagne pour faire cesser la situation. Ne pas banaliser la civilité en milieu de travail – les risques : effet spiral Malheureusement, l’incivilité est contaminante, puisque trop souvent, l’être humain a tendance à répondre à celle-ci de la même façon. Ainsi, un processus d’escalade ou un effet de spiral risque de s’enclencher. Lorsque l’incivilité est banalisée ou non gérée, elle peut amener à des conflits importants entre des membres d’une équipe. Tôt ou tard, elle finit même par affecter le climat et la qualité de vie au travail de l’ensemble des membres de l’équipe. Une nouvelle politique bientôt diffusée… incluant l’obligation de civilité En ce sens, nous avons révisé la Politique visant à contrer la violence et le harcèlement en milieu de travail actuellement en vigueur. Celle-ci sera remplacée par une nouvelle politique venant d’être adoptée au comité de direction. Compte tenu de l’importance que notre organisation porte à la notion de civilité, nous y avons, entre autres, ajouté cette notion. La nouvelle Politique portant sur l’obligation de civilité, sur la prévention et la gestion de conflits, de violence et de harcèlement en milieu de travail vous sera diffusée prochainement.
LE CSSS PRÉSENTE SA POLITIQUE EN ALLAITEMENT
D
ans le cadre de la Semaine mondiale de l’allaitement, qui se déroule du 1er au 7 octobre, le CSSS Richelieu-Yamaska procède à la diffusion de sa Politique en allaitement maternelle. Celle-ci a été adoptée dans la foulée de la démarche de l’organisation pour obtenir l’accréditation Amis des bébés, une reconnaissance de l’OMS qui exige des établissements de santé qui le souhaitent, d’adhérer à des conditions pour promouvoir, protéger et soutenir l’allaitement maternel. Vous la verrez donc affichée à différents endroits dans nos installations (CLSC et hôpital). Cette année, la Semaine mondiale de l’allaitement a pour thème Parle-moi : L’allaitement maternel, une expérience 3D! Nos trois CLSC et l’hôpital soulignent l’événement de différentes façons :
Conférencières : Mme Nancy Lavoie infirmière clinicienne, consultante en lactation au CLSC des Maskoutains, en petite enfance, et Mme Claude Bonneau infirmière clinicienne, consultante en lactation à l'Hôpital HonoréMercier. Elles vous invitent à venir assister à leur conférence afin de vous faire profiter de leurs connaissances sur les causes, les conséquences et les traitements alternatifs lors de la dépression post-partum. De plus cette présentation vous sensibilisera à l'importance de l'allaitement maternel.
• Diffusion de la Politique en allaitement;
« Selon les cultures, 10 à 20 % des nouvelles mères présenteront une dépression plus ou moins importante (Kendall-Tackett); certains auteurs estiment même que cela concerne jusqu’à 40 à 50 % des femmes. »
• Réalisation en cours d’une vidéo présentant les services en périnatalité de notre CSSS;
ACCOUCHEMENT INUSITÉ
• Affichage de la Politique en allaitement maternel du CSSS Richelieu-Yamaska; • Participation à la vidéo Allaiter partout… simplement, réalisée par un regroupement de partenaires de la région; • Conférences Midis-branchés ayant comme thème La dépression chez les nouvelles mères. • Honoré-Mercier : Auditorium, le 5 octobre à 8 h 15, 12 h et 15 h. • CLSC de la MRC-d’Acton : le 6 octobre à 10 h, au local A et B. • CLSC des Patriotes à Beloeil : le 6 octobre à 12 h, au local 1103.
Jacinthe Bouchard, agente de sécurité à l’accueil de l’hôpital, se souviendra longtemps de son début de journée du 14 juillet dernier. Ce matin là, madame Andrée Déry, accompagnée de son mari, se présente à l’entrée principale. Enceinte, les contractions ont commencé. À peine quelques pas sont faits devant le poste d’accueil de Mme Bouchard que bébé est bel et bien prêt à faire son entrée dans le monde. En quelques secondes, notre agente de sécurité attrape une chaise roulante, aide le père à retirer les pantalons de la mère et attrape le nouveau-né. Un beau bébé en pleine forme finalement. Quelques semaines plus tard, la petite famille est venue dire un bonjour à Jacinthe Bouchard qui tient une nouvelle fois le petit Lambert dans ses bras. Sur la photo : Andrée Déry, mère de Lambert avec son fils Théo, Jacinthe Bouchard avec Lambert, et Gervais Pouliot avec Noha.
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 13
CADRE DE RÉFÉRENCE EN NUTRITION ENTÉRALE À DOMICILE
UN PROCESSUS DE CONTINUITÉ DE SERVICE POUR L’USAGER
L
e CSSS Richelieu-Yamaska a adopté récemment un tout nouveau Cadre de référence en nutrition entérale à domicile. Son but premier? Permettre d’identifier le type de suivi requis pour un usager devant recevoir une nutrition entérale à domicile afin de lui permettre de maintenir sa qualité de vie. Le tout, bien sûr, en permettant l’optimisation des ressources du CSSS. D’ailleurs, cette démarche s’inscrit parfaitement dans les objectifs de la planification stratégique du CSSS en permettant l’implantation d’un processus assurant la continuité des soins et services spécifiques à un certain type de clientèle. Ainsi, les objectifs poursuivis par ce cadre de référence permettront : - d’assurer la continuité et la qualité des soins et services offerts à l’usager devant recevoir une nutrition entérale, selon ses besoins; - de promouvoir, développer et offrir une gamme de soins et services requis à domicile, afin d’assurer le soutien et la sécurité de l’usager nourri par voie entérale; - de favoriser la collaboration entre le réseau local de services et tous les autres partenaires impliqués, en harmonisant les différentes façons de faire;
Bon à savoir! Le comité de maintien et de promotion des compétences, une nouveauté du Conseil multidisciplinaire Prochainement, vous recevrez un message courriel ou sous format papier de votre Conseil multidisciplinaire (CM). Dans le cadre de son mandat, ce dernier doit mettre en place un comité pour le maintien et la promotion de la compétence. Ce message vous parviendra donc d’un collègue « représentant » auquel nous avons fait appel pour assurer un lien entre le comité de maintien et de promotion des compétences (CMPC) et vous. La première tâche de votre représentant sera de s’assurer que tous les professionnels qui se retrouvent sur sa liste ont reçu ce message. Pour ce faire, nous vous demandons de confirmer à votre représentant la réception de ce message, dès que possible. Le but de cet exercice est d’établir un moyen de communication efficace pour échanger rapidement les informations dont le CMPC et le CM ont besoin pour remplir leur mandat. Le conseil multidisciplinaire est une instance consultative qui relève du conseil d’administration et qui est responsable, envers le directeur général, de donner son avis sur diverses questions touchant les pratiques professionnelles au sein de l’établissement. Ces avis concernent notamment les moyens à prendre pour évaluer et maintenir la compétence de ses membres. Pour sa part, le CMPC a pour mandat :
- d’optimiser le potentiel et l’autonomie de l’usager en favorisant sa participation ainsi que celle de ses aidants;
a) d’évaluer les besoins de formation des membres du conseil multidisciplinaire;
- d’assurer la meilleure utilisation des ressources humaines, matérielles et financières dans le but d’éviter tout dédoublement ou bris dans la continuité des services, grâce à la transmission systématique et rapide de l’information;
b) de proposer des activités de formation visant à maintenir la compétence des membres du conseil;
- de s’assurer de la satisfaction de la clientèle quant aux soins et services reçus. Ce document présentera donc les interventions relatives au soutien des usagers devant recevoir une nutrition entérale à domicile. La diffusion du document se fera au cours des prochaines semaines dans le cadre de séances de formation et d’information selon les différents groupes d’intervenants utilisateurs. C’est grâce à un comité de travail composé de divers intervenants et à la concertation des différentes installations du CSSS que ce cadre de référence a pu voir le jour. Un grand merci à tous les gens qui ont collaboré au projet : Marie-Claude Allard, chef des cliniques spécialisées ambulatoires, Unité de médecine de jour, oncologie et du Service de l’électrophysiologie médicale; Martine Brochu, infirmière clinicienne au Service de gastroentérologie; Annie Gosselin, infirmière clinicienne, ASI-SAD, CLSC des Maskoutains, Pierrette Létourneau et Martin Gaudette, conseillers en gestion de programmes, DPSPSIPP; Louise Larivée, chef de secteur Nutrition et contrôle de qualité; Diane Pelletier, nutritionniste SAD, CLSC des Maskoutains, aidée du Comité de pairs en nutrition clientèle adulte. 12 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
c) d’étudier le plan d'action pour le développement du personnel quant aux aspects reliés au maintien de la compétence des membres du conseil et de formuler les avis nécessaires à l’exécutif du CM; d) de recommander à l’exécutif du CM divers moyens visant à maintenir et à promouvoir la compétence des membres du conseil; e) de faire des recommandations à cet exécutif concernant les politiques d'évaluation en vigueur dans l'établissement et applicables aux membres du conseil. Ce comité est très important pour le développement des professionnels de notre établissement et le Comité exécutif du conseil multidisciplinaire est heureux de vous annoncer sa mise en place. Les membres qui le constituent sont : Nathalie Beauchemin, éducatrice spécialisée, Linda Gagnon, audiologiste, Sandra Rioux, inhalothérapeute et Dany Dumont, travailleur social et conseiller clinique aux pratiques psychosociales. Merci de votre collaboration. L’équipe du CMPC
AGRÉMENT – HORIZON 2011
Rentrée automnale Une évaluation nommée Agrément
L
a fébrilité se fait sentir dans tous les secteurs de soins et services de l’organisation puisque très bientôt, du 6 au 11 novembre prochain, les visiteurs d’agrément seront parmi nous pour procéder à l’évaluation de notre organisation. Une évaluation attendue, et pour laquelle nombre d’efforts ont été déployés de part et d’autre dans l’actualisation des plans d’action.
Le décompte est commencé.
35 jours avant la grande visite! Pour bien comprendre la grande étape qui arrive, voici un rappel de ce qu’est l’agrément. L’agrément est une reconnaissance décernée par un organisme indépendant, Agrément Canada, qui vient attester de la qualité des services que nous dispensons. L’agrément est un processus d’évaluation externe obligatoire pour tous qu’utilisent les établissements de santé au Québec. On pourrait simplifier la démarche en la comparant avec les examens du ministère de l’Éducation en fin d’année scolaire, où on évalue les acquis et la compréhension des élèves et des étudiants par matière. Sauf que pour nous, l’évaluation se fait à tous les quatre ans et représente beaucoup plus qu’un examen. L’agrément exige une révision en profondeur de nos façons de faire et de nos processus ainsi qu’une mise à jour de nos pratiques.
Étape 1 : Autoévaluation à l’aide des normes À l’automne 2010, à partir des normes d’excellence du programme d’Agrément Canada, englobant les meilleures pratiques de gestion et les meilleures pratiques cliniques, 1105 questionnaires en ligne ont été remplis par le personnel des divers services de notre CSSS. Les résultats de ces questionnaires ont été compilés de manière confidentielle par Agrément Canada et un bilan par secteur a été produit.
Étape 2 : Mise en œuvre de plans d’amélioration Dix-sept équipes qualité et trois comités dits transversaux ont été mis en place avec le mandat d’assurer un suivi aux pistes d’amélioration identifiées en suivi à l’autoévaluation. Vous trouverez ci-après la liste des équipes et comités ainsi que le nom du responsable : Santé mentale (Maryse Hébert) Soins ambulatoires (Marie-Claude Allard) Oncologie (Marie-Claude Allard) Services de santé communautaires (Lise Langlois) Obstétrique et périnatalité (Viviane Major) Médecine (Myriam Fagnant) Soins intensifs (Lyne Beauregard) Urgence (Carine Sauvé) Chirurgie (Claudine Desmarais), incluant le Bloc opératoire et le secteur de stérilisation (Sylvie Paradis) Hébergement – milieu de vie (Lyne St-Pierre) Réadaptation physique (Carole Dupuis) Imagerie (Réjean Goulet) Laboratoire (Vanessa Laflamme) Gestion des médicaments (Diane Pelletier) Prévention et contrôle des infections (Rachelle Vallée) Efficacité organisationnelle (Réjeanne Boudreau) Comité transversal clinique (Sylvie Provost) Comité transversal médical (Josée Fournier) Comité transversal ressources humaines (Manon Beaudet) Soins et services à domicile (Sylvie Dumont) Chaque équipe et comité ont élaboré et mis en œuvre un plan visant une amélioration de la qualité de nos soins et services et une plus grande conformité aux normes du programme d’agrément. L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 5
Magazine-SEPTEMBRE 2011_Layout 1 11-10-17 4:21 PM Page 6
AGRÉMENT – HORIZON 2011 DES ARRIVÉES ET DES DÉPARTS À L’UMF RICHELIEU-YAMASKA
Étape 3 : Sondages et entrevues Au printemps 2011, afin de mesurer la perception de tous les membres du personnel et médecins, en ce qui concerne le sentiment de réalisation au travail, le travail en équipe et la collaboration, le soutien de la direction, la circulation de l’information, etc., un sondage a été effectué par le Conseil québécois d’agrément. 1541 personnes ont retourné leur questionnaire complété. D’autre part, une vaste enquête de satisfaction de la clientèle a été réalisée par le Conseil québécois d’agrément, par sondage téléphonique et entrevues, auprès des résidents et de leurs familles de nos centres d’hébergement. Finalement, un sondage en ligne permettant de mesurer notre culture en matière de sécurité a été réalisé. Satisfaction de la clientèle La dimension Relation avec le client obtient la meilleure note
Tout comme le sondage de mobilisation, les données des sondages auprès de la clientèle font l’objet d’une présentation
Le sondage de satisfaction réalisé auprès de 825 usagers du CSSS Richelieu-Yamaska (excluant les clientèles hébergées qui ont fait l’objet d’un sondage spécifique), montre que c’est encore une fois les dimensions en lien avec les relations avec le client qui recueillent les meilleurs taux de satisfaction, à 87 %. La prestation professionnelle recueille pour sa part 84 %. On ne constate toutefois pas de progression par rapport aux résultats de 2008.
plus détaillée par installation dans le cadre la tournée du directeur général actuellement en cours.
Satisfaction à l’égard des services CSSS Richelieu-Yamaska
Pour les trois grandes dimensions de satisfaction, la relation avec le client, la prestation professionnelle et l’organisation, nos centres d’hébergement recueillent des taux variant entre 83 et 85 % de satisfaction. Il s’agit de taux de satisfaction sensiblement les mêmes que ceux obtenus en 2008. Pour le comparatif avec les autres établissements d’hébergement du Québec, on ne dispose pas malheureusement de données à jour du Conseil québécois d’agrément (CQA). À titre de comparatif, nous vous présentons les données québécoises de 2008. 6 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
Nos finissantes RII tiennent par ailleurs à remercier toute l’équipe du CSSS RichelieuYamaska pour leurs deux années de résidence dans notre milieu; milieu qu’elles conseillent fortement d’ailleurs aux futurs résidents. Avec leur départ, nos résidents I sont devenus des résidents II. Nous avons maintenant neuf résidents II et neuf nouveaux résidents I sont arrivés pour faire leurs deux années de résidence (les voici sur la photo).
Première rangée : Meggie-Anne Roy, Nancy Marcotte, Chantal Gallou, Anne-Andrée Martin-Fortier, Fannie Petit Deuxième rangée : Philippe Imbeault, Laurence Bigras-Dunberry, Amélie Sauvé, Jean-François Simard
MERCI à tous! Notre milieu affilié à l’Université de Sherbrooke est un milieu très recommandé pour y faire sa résidence en
médecine familiale grâce au sourire et à l’esprit d’équipe professionnel y régnant!
Expérience préparatoire à l’examen professionnel de l’OIIQ pour nos candidates infirmières
La dimension de l’organisation des services qui réfère à l’accessibilité, la simplicité, la continuité, la rapidité et au confort, demeure toujours en retrait avec 80 % de satisfaction. Pour cette dimension également, nous constatons une légère baisse par rapport à 2008. Pour évaluer la satisfaction de la clientèle de nos cinq centres d’hébergement, un sondage a été réalisé auprès de 361 personnes, soit 66 résidents et 295 proches.
E
n juillet, nos résidents II nous ont quitté pour faire leur pratique médicale. Deux de ces résidentes en médecine familiale sont restées parmi nous : Dre Joannie Boudreault qui fait maintenant partie de l’équipe des médecins du CLSC en soins à domicile, et Dre Émilie Boisvert qui fera partie de l’équipe des médecins de famille en obstétrique, urgence et hospitalisation. Nous leur souhaitons tous bonne chance dans leur pratique médicale.
Satisfaction à l’égard des services Centres d’hébergement
D
epuis les dernières années, le CSSS Richelieu-Yamaska met en place une activité visant à préparer nos candidates infirmières à leur futur examen professionnel afin de les familiariser avec le contenu et la forme de l’examen. Cette année, à l’instar de l’examen provincial, la version locale se composait de quatre stations cliniques de type « ECOS » (examens cliniques à objectifs structurés) et d’un examen théorique. Un ECOS est composé d’une situation courante simulée de la pratique infirmière. La candidate doit intervenir auprès d’un client fictif, dont le rôle est joué par un acteur, et ce, en présence d’un évaluateur. Les situations choisies reflètent le champ de pratique actuel de l’infirmière. L’expérience, coordonnée par la Direction des programmes de santé publique, des soins infirmiers et des pratiques professionnelles, a nécessité
l’importante et généreuse participation d’une quinzaine de personnes que nous tenons à remercier chaleureusement puisque sans elles, la tenue de cette activité n’aurait pas été possible. Nos candidates infirmières ont répondu à l’appel en grand nombre puisqu’un total de 27 d’entre elles ont participé volontairement à l’activité. L’expérience fut des plus stimulantes autant pour les candidates que pour les organisateurs. Cette activité, appréciée de toutes, a été l’occasion pour nos candidates de vivre l’expérience de l’examen professionnel et des émotions qu’il suscite afin qu’elles en retirent une idée plus réaliste de ce qui les attend. L’exercice de la profession exige, de la part des futures infirmières, d’intégrer des connaissances, de développer des habiletés, de manifester des attitudes spécifiques et
d’être capable de raisonnement et de jugement. Toute étudiante infirmière ayant terminé et réussi une formation de niveau collégial ou universitaire se doit d’acquérir un droit de pratique décerné par l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) avant de pouvoir exercer sa profession à titre d’infirmière. Pour obtenir ce droit de pratique, les candidates à l’exercice de la profession infirmière (CEPI) doivent réussir un examen professionnel comportant deux volets. Le premier volet, de nature théorique, est composé d’un examen écrit alors que le second volet, de nature pratique, est composé de plusieurs ECOS. En espérant que cette expérience puisse contribuer à la réussite subséquente de notre relève infirmière au prochain examen professionnel, nous leur souhaitons la meilleure des chances.
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 11
Magazine-SEPTEMBRE 16 pages_Layout 1 11-09-26 6:20 PM Page 7
De nouveaux équipements plus perfornmants au laboratoire
L
e rôle principal du laboratoire est de réaliser et transmettre des résultats d’analyses avec le plus d’exactitude et de précision possible, dans les délais les plus courts, et ce, en respectant les plus hauts standards de qualité. Afin de répondre à l’augmentation du nombre d’analyses, le laboratoire implante de nouveaux équipements plus performants et automatisera au cours des prochains mois la banque de sang pour les groupes sanguins, recherche d’anticorps et la compatibilité électronique.
de prioriser le traitement de celles-ci. Un système de caméra identifiera les spécimens hémolysés afin de faire reprendre le prélèvement dans les plus brefs délais.
AGRÉMENT – HORIZON 2011 LA MOBILISATION EN NETTE PROGRESSION PAR RAPPORT À 2008
L
e sondage sur la mobilisation montre une nette amélioration par rapport aux résultats obtenus en 2008 par notre CSSS. Entre juin et août derniers, 1541 employés et médecins ont répondu au sondage administré par le CQA, soit plus de 46 % de notre personnel, comparativement aux 40 % qui ont répondu en 2008.
Toutes les étapes de l’implantation devront être finalisées d’ici la fin du mois de septembre 2011. Josée Archambault, Assistante chef technologiste
CSSS richelieu-Yamaska
Comme on peut le voir dans le graphique ci-joint, ce sont toutes les dimensions évaluées qui ont progressé en comparaison de 2008, ce qui nous permet de montrer des niveaux de mobilisation supérieurs ou égaux à ceux des autres établissements du Québec. En 2008, toutes nos évaluations étaient inférieures au reste du Québec. Il s’agit d’un bilan qui est tout à l’honneur de nos équipes.
Toujours dans le but d’améliorer notre temps de réponse, certains instruments seront remplacés, dont le système de robotique pré-analytique. Celui-ci permettra : • d’enregistrer la date et l’heure de réception des spécimens au laboratoire; • de centrifuger les tubes; • d’aliquoter et classer les spécimens sur les plateformes de dosage.
Ce sont les dimensions « Réalisation » et « Collaboration » qui montrent les taux les plus élevés. C’est trois répondants sur quatre qui ressentent qu’ils peuvent relever des défis professionnels, retirer un certain plaisir dans nos milieux, ou encore qu’il profite d’un esprit d’équipe. Pour les dimensions « Implication », « Soutien »,
Ce système permettra également d’identifier rapidement les demandes stat et urgente ainsi que les demandes internes afin
« Communication » et « Leadership », les taux varient entre 63 et 67 %, en nette progression par rapport à 2008 et à des taux équivalents au reste du Québec.
Tous les détails des données de ce sondage par installation sont présentés dans le cadre de la tournée du directeur général.
Centre Andrée-Perrault
UN PROJET D’AMÉLIORATION DU SERVICE ALIMENTAIRE EN CONSULTATION La direction du CSSS procède actuellement à une consultation auprès des résidents et des proches répondants du Centre Andrée-Perrault concernant un projet d’amélioration du service alimentaire. Cette consultation est organisée conjointement avec le comité des usagers, qui a accepté d’en assurer la logistique. Le projet proposé vise à offrir des menus plus variés et appétissants aux résidents, notamment en permettant aux résidents d’avoir deux choix de mets par repas, par cycle de trois semaines, soit 84 mets comparativement aux 42 actuellement
offerts. Concrètement, les plats seraient préparés ou assemblés au Centre d’hébergement de l’Hôtel-Dieu-de-SaintHyacinthe, et par la suite, la préparation ou la cuisson de ceux-ci seraient complétées au Centre d’hébergement Andrée-Perrault. Les résidents du Centre Andrée-Perrault profiteraient ainsi de repas produits la journée même par le service alimentaire de l’Hôtel-Dieu soit, les mêmes que ceux servis aux résidents de ce centre.
l’organisation lors de la prise du repas par les résidents, que ce soit à la salle à manger ou à l’unité de vie. Le projet se réaliserait en transformant les postes de cuisinières en aide-cuisinières.
Les améliorations proposées concernent uniquement la préparation des mets et ne modifieraient en rien l’activité des repas ou
La fin de la consultation et la décision finale sont attendues dans les prochaines semaines.
10 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
Pour expliquer la nature des changements proposés, la direction du CSSS RichelieuYamaska a tenu une série de rencontres en août dernier auprès des résidents, des familles, des employés, ainsi que du comité des usagers.
LES DIMENSIONS ÉVALUÉES LA RÉALISATION • La réalisation fait référence aux besoins chez les personnes de relever des défis professionnels et d’y retirer un certain plaisir.
travailler en équipe. Elle résulte d’un développement d’attitudes et de comportements spécifiques, permettant aux individus d’œuvrer de façon continue en situation d’interdépendance.
L’IMPLICATION
LE SOUTIEN
• L’implication est constituée d’un ensemble de motivations propres à l’individu. Une organisation n’implique pas une personne, c’est elle-même qui s’implique. Une personne sera impliquée dans une organisation dans la mesure où elle tendra à agir dans le sens des buts et des valeurs poursuivis par celle-ci.
• Le facteur de soutien fait référence aux notions de « coaching » et de supervision par les gestionnaires auprès des employés et des membres des équipes.
LA COLLABORATION • La collaboration témoigne de la présence d’un esprit d’équipe ou d’une capacité à
LA COMMUNICATION • La communication et l’information constituent d’importants facteurs de mobilisation au sein d’une organisation. Un employé sera mobilisé dans la mesure où il comprend ce qu’on attend de lui et s’il sent que l’organisation est à l’écoute
de ses préoccupations et s’efforce d’y répondre. LE LEADERSHIP • Les fondements du leadership peuvent être compris à partir des quatre éléments suivants sur lesquels peut se reposer l’ensemble du personnel de l’organisation : – une vision en laquelle il peut croire; – une culture axée sur l’accomplissement des tâches, le poussant à donner le meilleur de lui-même; – un esprit d’équipe qui le soutient et l’enrichit; – des modèles de comportement qui lui montrent le chemin à suivre.
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 7
Magazine-SEPTEMBRE 16 pages_Layout 1 11-09-24 8:02 PM Page 8
AGRÉMENT – HORIZON 2011 Étape 4 : Visite d’Agrément Canada
LE LEAN EN CLSC
LE SOUTIEN À DOMICILE EN ACTION
Du 6 au 11 novembre 2011, on accueille les visiteurs d’Agrément Canada. C’est le moment de connaître nos zones d’excellence et de recevoir leur appréciation sur de nouvelles pistes d’amélioration. Les visiteurs d’Agrément Canada sont des professionnels de la santé provenant d’une grande variété de disciplines qui donnent de leur temps pour effectuer des visites d’agrément. Ces médecins, infirmières, administrateurs, inhalothérapeutes, ergothérapeutes, psychologues, travailleurs sociaux et technologistes médicaux, à l’aide de traceurs, évaluent les programmes et services de l’établissement en mettant l’accent sur la qualité et la sécurité des soins et services dispensés à la clientèle et émettent des commentaires sur les non conformités aux normes observées au cours de la visite.
Étape 5 : L’après visite L’heure est à l’actualisation de nouveaux plans d’amélioration issus des commentaires des visiteurs. Les 17 équipes qualité et les 3 comités transversaux poursuivent leurs travaux afin d’augmenter le niveau de conformité aux normes jusqu’au prochain cycle prévu en 2014-2015. Qu’est-ce qu’un traceur ? Dans le jargon d’Agrément Canada, le traceur est une technique utilisée par les visiteurs pour leur permettre de suivre une série de processus en vue de recueillir des preuves sur la qualité et la sécurité des soins et services offerts. Un processus, par exemple, pourrait être le cheminement à travers lequel évolue un client de l’admission à la fin d’un service. Les visiteurs tracent des processus cliniques et administratifs. Vous êtes des personnes clés pour le travail que les visiteurs ont à accomplir et c’est à ce titre que vous pourriez être interpellées par les visiteurs. Votre collaboration est essentielle pour assurer le succès de la visite.
Voici un schéma du déroulement des activités liées aux traceurs.
L
a Planification stratégique 2011-2015 de notre CSSS comporte plusieurs objectifs d’optimisation de services dans des services clés de notre organisation. L’an dernier, l’urgence de l’hôpital a fait l’objet d’une démarche d’optimisation. Cet automne, ce sont les services de soutien à domicile (SAD) de nos trois CLSC ont été ciblés pour un tel projet. L’équipe du SAD doit augmenter de 10 % les heures directes consacrées aux usagers. Plusieurs méthodes existent afin de relever ce type de défi. Notre CSSS a choisi d’utiliser l’approche Lean puisque l’usager est au cœur de la démarche. Un objectif d’intégration, d’optimisation, d’accessibilité, de continuité et de qualité Par définition, cette approche vise à éliminer tout ce qui ne contribue pas à ajouter une valeur aux services pour l’usager ou qui entrave la fluidité du processus de réalisation. Concrètement, elle cible tous les interrupteurs dans la chaîne de services (bris de continuité) rencontrés par l’usager. Ces bris s’expriment sous plusieurs formes : de l’attente pour accéder à des soins ou dans la prestation de ces soins, de la confusion dans les communications (l’usager ne sait pas à qui s’adresser) ou de la redondance dans les interventions (plusieurs intervenants faisant les mêmes vérifications auprès de l’usager faute de moyen efficace de partage d’information). L’approche Lean fait le lien entre ces impacts aux usagers et nos processus en ciblant les pertes d’efficacité. Depuis mai, de concert avec une conseillère en amélioration continue des processus, une équipe
8 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
travaille à identifier sur le terrain des opportunités d’amélioration via des rencontres informelles ou par des accompagnements aux visites à domicile. En effet, les inefficacités peuvent s’observer de différentes façons dans nos processus. Citons par exemple, des déplacements inutiles (usager hospitalisé lors d’une visite planifiée), de la recherche d’information (demandes de service incomplètes), des compétences sous-utilisées (tâches cléricales effectuées par du personnel soignant), des inventaires et toutes les formes de « re » : refaire une évaluation (une évaluation faite par le service précédent qui n’est pas accessible) ou retranscrire des informations.
À la suite de cette identification, une approche d’amélioration rapide et intensive permet de mettre en œuvre les concepts du Lean. Cet atelier, appelé « Kaizen », réunit des personnes de disciplines et de CLSC différents afin de mettre en place leurs solutions aux problèmes qui les concernent et qui sont sous leur contrôle. Dès septembre, les premiers ateliers d’optimisation (Kaizen) se tiendront. Plusieurs membres de l’équipe SAD et leurs partenaires seront donc sollicités pour y participer. N’oublions pas que cet exercice vise à dégager du temps pour que les intervenants aient plus de disponibilité pour accomplir les tâches à valeur ajoutée relevant de leurs compétences et dans lesquelles ils excellent. Cette activité ne peut qu’être stimulante, n’hésitez pas à y participer !
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 9
de ie on g é ti es t ra ven ut : t S ré ch S p es SS d uC a
Le risque de chute :
e u l a v é ’ l on e u q i n u m m on le co
! u a e v u o n du
Évaluer le risque de chute EN COURTE DURÉE Débuter avec la grille d’estimation du risque.
PAR QUI :
Collaboration entre l’infirmière et l’infirmière auxiliaire.
QUAND :
Dès l’admission, puis lors de tout changement significatif de l’état de santé de l’usager. Lorsque le score indique un risque de chute. (valeur de 10 ou plus), ou selon le jugement clinique de l’infirmière, l’évaluation se poursuit par : • la mesure de la tension artérielle couchée-debout. • l’observation des transferts et de la marche.
POURQUOI :
Identifier rapidement les facteurs de risque spécifiques de l’usager permet de mettre en place des stratégies appropriées pour prévenir les chutes ou leurs conséquences.
Les chutes, un enjeu prioritaire pour la sécurité des usagers Les chutes surviennent au moins une fois par an chez 30 % des personnes aînées vivant à domicile. Les chutes sont à l’origine de :
EN LONGUE DURÉE
- 57 % des hospitalisations liées aux blessures.
QUOI :
Les grilles d’estimation et d’évaluation sont complétées dans une même démarche.
PAR QUI :
Collaboration entre l’infirmière et l’infirmière auxiliaire.
- 90 % des fractures de la hanche chez les personnes aînées.
QUAND :
Dans le processus d’admission, puis lors de tout changement significatif de l’état de santé du résident, ou minimalement aux trois mois.
- 75 % des mortalités intrahospitalières chez les usagers admis pour blessure.
POURQUOI :
Identifier les facteurs de risque spécifiques du résident permet de mettre en place des stratégies appropriées pour prévenir les chutes ou leurs conséquences.
- 40 % des admissions en centre d’hébergement.
EN SOUTIEN À DOMICILE QUOI :
Identifier la présence ou l’absence de chute dans la dernière année sur le formulaire « Outil d’évaluation multiclientèles », et documenter l’histoire de chute, s’il y a lieu.
PAR QUI :
L’intervenant qui réalise l’OEMC (infirmière, ergothérapeute, physiothérapeute, inhalothérapeute ou travailleur social).
QUAND :
Lors des premières visites du suivi à domicile, puis lors de toute réévaluation de l’OEMC.
POURQUOI :
Identifier les facteurs de risques spécifiques de l’usager pour référer rapidement aux professionnels concernés et mettre en place les mesures préventives appropriées.
Références : Gagnon C., Lafrance M. (2011) Prévention des chutes auprès des personnes âgées vivant à domicile. Analyse des données scientifiques et recommandations préliminaires à l’élaboration d’un guide de pratique clinique. Institut national de santé publique du Québec, juin 2011. Des soins de santé plus sécuritaires maintenant! (2010). Trousse de départ : prévention des chutes et des blessures causées par les chutes. www.soinsdesantéplussécuritairesmaintenant.ca
Qu’en est-il chez nous ? Les accidents liés aux chutes sont déclarés par le formulaire de déclaration des accidents-incidents (formulaire AH-223) et suivis en gestion des risques. Pour l’année 2009-2010, 30 % de l’ensemble des déclarations effectuées avaient pour objet la chute d’un usager. Ensemble, on peut prévenir les chutes ! Pour les personnes aînées présentant un risque de chute important, que ce soit en raison d’une condition aiguë ou de la perte d’autonomie liée au vieillissement, le choix des interventions préventives doit se réaliser en concertation avec la personne elle-même
et ses proches, afin de préserver au maximum son autonomie fonctionnelle. Un travail d’équipe est essentiel pour mettre à l’essai des solutions alternatives aux mesures de contrôle.
«
Les chutes sont à l’origine de 57 % des hospitalisations liées aux blessures et de plus des trois quarts des mortalités
«
QUOI :
La stratégie que s’est donné notre CSSS en matière de prévention des chutes comprend : 1) l’évaluation des risques de l’usager; 2) la mise en œuvre d’interventions de base visant l’ensemble des personnes susceptibles de faire des chutes (intervention individuelles et organisationnelles); 3) la personnalisation des interventions pour les personnes les plus à risques de subir des blessures dues aux chutes; 4) la communication et la sensibilisation au risque de chute, visant le personnel, l’usager et ses proches.
Notre objectif : minimiser les risques de blessures en maximisant l’autonomie fonctionnelle de l’usager.
Stratégie de prévention des chutes au CSSS nauté ile) u m m o C domic à n e i t (sou Dépistage et évaluation
• Documenter les facteurs de risque de chute via l’outil d’évaluation multiclientèles (OEMC).
durée e t r u o c atione chirurgie, s i l a t i p s Ho médecine, d e rie Unités d psychiat e d t e trie de géria
Services ires o e ambus lmaètre-enfant-famill secteur
• Estimation du risque de chute à l’admission par le personnel infirmier.
t– n e m e g r ’hébe d e r t n e C e vie milieu d • Évaluation des facteurs de risque de chute du résident à l’admission, par le personnel infirmier.
• Évaluation par l’infirmière pour les usagers ayant un risque ≥ 10.
• Documenter l’histoire de chute, s’il y a lieu.
Interventions de base
• Donnez des conseils de sécurité à l’usagers en lui remettant le document de soutient : « La prévention des chutes, à votre domicile ».
• Remise des dépliants : « La prévention des chutes, à votre domicile » et « La prévention des chutes : en tout temps ».
• Mesures préventives en regard de l’environnement et l’organisation (Fiche synthèse selon le secteur).
• Remise du dépliant : « La prévention des chutes, à mon centre d’hébergement ».
• Utilisation de pictogrammes au chevet pour le repérage rapide du niveau d’assistance requis pour la mobilisation et les déplacements.
• Remise du dépliant : « La prévention des chutes, en tout temps ! ».
• Utilisation de l’outil SMAF au chevet, permettant notamment d’identifier le niveau d’assistance requis pour la mobilisation et les déplacements.
• Documenter le risque de chute et le niveau d’assistance requis lors de tout transfert et déplacement hors de l’unité (formulaire départ transfert).
Interventions personnalisées
• Référence vers le service professionnel requis à la suite de l’évaluation (soins infirmier, ergothérapie, physiothérapie, travail social, médecin, etc.).
• Référence vers le service professionnel requis à la suite de l’évaluation (ergothérapie, physiothérapie, travail social, médecin, etc.).
• Référence vers le service professionnel requis à la suite de l’évaluation (ergothérapie, physiothérapie, travail social, médecin, etc.).
• Directives infirmières au plan thérapeutique infirmier (PTI) comprenant les mesures préventives appropriées.
• Directives infirmières au plan thérapeutique infirmier (PTI) comprenant les mesures préventives appropriées.
• Rédaction d’un plan d’intervention disciplinaire, par exemple un plan thérapeutique infirmier (PTI), ou interdisciplinaire.
• Rédaction d’un plan d’intervention interdisciplinaire s’il y a lieu.
• Rédaction d’un plan d’intervention interdisciplinaire s’il y a lieu.
Pour agir en amont Des programmes de prévention Volet médical Pratiques cliniques préventives (PCP)
Volet soutien à domicile Intervention multifactorielle personnalisée (IMP)
Volet communautaire Programme intégré d’équilibre dynamique (PIED)
Stratégie de prévention des chutes au CSSS nauté ile) u m m o C domic à n e i t (sou Dépistage et évaluation
• Documenter les facteurs de risque de chute via l’outil d’évaluation multiclientèles (OEMC).
durée e t r u o c atione chirurgie, s i l a t i p s Ho médecine, d e rie Unités d psychiat e d t e trie de géria
Services ires o e ambus lmaètre-enfant-famill secteur
• Estimation du risque de chute à l’admission par le personnel infirmier.
t– n e m e g r ’hébe d e r t n e C e vie milieu d • Évaluation des facteurs de risque de chute du résident à l’admission, par le personnel infirmier.
• Évaluation par l’infirmière pour les usagers ayant un risque ≥ 10.
• Documenter l’histoire de chute, s’il y a lieu.
Interventions de base
• Donnez des conseils de sécurité à l’usagers en lui remettant le document de soutient : « La prévention des chutes, à votre domicile ».
• Remise des dépliants : « La prévention des chutes, à votre domicile » et « La prévention des chutes : en tout temps ».
• Mesures préventives en regard de l’environnement et l’organisation (Fiche synthèse selon le secteur).
• Remise du dépliant : « La prévention des chutes, à mon centre d’hébergement ».
• Utilisation de pictogrammes au chevet pour le repérage rapide du niveau d’assistance requis pour la mobilisation et les déplacements.
• Remise du dépliant : « La prévention des chutes, en tout temps ! ».
• Utilisation de l’outil SMAF au chevet, permettant notamment d’identifier le niveau d’assistance requis pour la mobilisation et les déplacements.
• Documenter le risque de chute et le niveau d’assistance requis lors de tout transfert et déplacement hors de l’unité (formulaire départ transfert).
Interventions personnalisées
• Référence vers le service professionnel requis à la suite de l’évaluation (soins infirmier, ergothérapie, physiothérapie, travail social, médecin, etc.).
• Référence vers le service professionnel requis à la suite de l’évaluation (ergothérapie, physiothérapie, travail social, médecin, etc.).
• Référence vers le service professionnel requis à la suite de l’évaluation (ergothérapie, physiothérapie, travail social, médecin, etc.).
• Directives infirmières au plan thérapeutique infirmier (PTI) comprenant les mesures préventives appropriées.
• Directives infirmières au plan thérapeutique infirmier (PTI) comprenant les mesures préventives appropriées.
• Rédaction d’un plan d’intervention disciplinaire, par exemple un plan thérapeutique infirmier (PTI), ou interdisciplinaire.
• Rédaction d’un plan d’intervention interdisciplinaire s’il y a lieu.
• Rédaction d’un plan d’intervention interdisciplinaire s’il y a lieu.
Pour agir en amont Des programmes de prévention Volet médical Pratiques cliniques préventives (PCP)
Volet soutien à domicile Intervention multifactorielle personnalisée (IMP)
Volet communautaire Programme intégré d’équilibre dynamique (PIED)
de ie on g é ti es t ra ven ut : t S ré ch S p es SS d uC a
Le risque de chute :
e u l a v é ’ l on e u q i n u m m on le co
! u a e v u o n du
Évaluer le risque de chute EN COURTE DURÉE Débuter avec la grille d’estimation du risque.
PAR QUI :
Collaboration entre l’infirmière et l’infirmière auxiliaire.
QUAND :
Dès l’admission, puis lors de tout changement significatif de l’état de santé de l’usager. Lorsque le score indique un risque de chute. (valeur de 10 ou plus), ou selon le jugement clinique de l’infirmière, l’évaluation se poursuit par : • la mesure de la tension artérielle couchée-debout. • l’observation des transferts et de la marche.
POURQUOI :
Identifier rapidement les facteurs de risque spécifiques de l’usager permet de mettre en place des stratégies appropriées pour prévenir les chutes ou leurs conséquences.
Les chutes, un enjeu prioritaire pour la sécurité des usagers Les chutes surviennent au moins une fois par an chez 30 % des personnes aînées vivant à domicile. Les chutes sont à l’origine de :
EN LONGUE DURÉE
- 57 % des hospitalisations liées aux blessures.
QUOI :
Les grilles d’estimation et d’évaluation sont complétées dans une même démarche.
PAR QUI :
Collaboration entre l’infirmière et l’infirmière auxiliaire.
- 90 % des fractures de la hanche chez les personnes aînées.
QUAND :
Dans le processus d’admission, puis lors de tout changement significatif de l’état de santé du résident, ou minimalement aux trois mois.
- 75 % des mortalités intrahospitalières chez les usagers admis pour blessure.
POURQUOI :
Identifier les facteurs de risque spécifiques du résident permet de mettre en place des stratégies appropriées pour prévenir les chutes ou leurs conséquences.
- 40 % des admissions en centre d’hébergement.
EN SOUTIEN À DOMICILE QUOI :
Identifier la présence ou l’absence de chute dans la dernière année sur le formulaire « Outil d’évaluation multiclientèles », et documenter l’histoire de chute, s’il y a lieu.
PAR QUI :
L’intervenant qui réalise l’OEMC (infirmière, ergothérapeute, physiothérapeute, inhalothérapeute ou travailleur social).
QUAND :
Lors des premières visites du suivi à domicile, puis lors de toute réévaluation de l’OEMC.
POURQUOI :
Identifier les facteurs de risques spécifiques de l’usager pour référer rapidement aux professionnels concernés et mettre en place les mesures préventives appropriées.
Références : Gagnon C., Lafrance M. (2011) Prévention des chutes auprès des personnes âgées vivant à domicile. Analyse des données scientifiques et recommandations préliminaires à l’élaboration d’un guide de pratique clinique. Institut national de santé publique du Québec, juin 2011. Des soins de santé plus sécuritaires maintenant! (2010). Trousse de départ : prévention des chutes et des blessures causées par les chutes. www.soinsdesantéplussécuritairesmaintenant.ca
Qu’en est-il chez nous ? Les accidents liés aux chutes sont déclarés par le formulaire de déclaration des accidents-incidents (formulaire AH-223) et suivis en gestion des risques. Pour l’année 2009-2010, 30 % de l’ensemble des déclarations effectuées avaient pour objet la chute d’un usager. Ensemble, on peut prévenir les chutes ! Pour les personnes aînées présentant un risque de chute important, que ce soit en raison d’une condition aiguë ou de la perte d’autonomie liée au vieillissement, le choix des interventions préventives doit se réaliser en concertation avec la personne elle-même
et ses proches, afin de préserver au maximum son autonomie fonctionnelle. Un travail d’équipe est essentiel pour mettre à l’essai des solutions alternatives aux mesures de contrôle.
«
Les chutes sont à l’origine de 57 % des hospitalisations liées aux blessures et de plus des trois quarts des mortalités
«
QUOI :
La stratégie que s’est donné notre CSSS en matière de prévention des chutes comprend : 1) l’évaluation des risques de l’usager; 2) la mise en œuvre d’interventions de base visant l’ensemble des personnes susceptibles de faire des chutes (intervention individuelles et organisationnelles); 3) la personnalisation des interventions pour les personnes les plus à risques de subir des blessures dues aux chutes; 4) la communication et la sensibilisation au risque de chute, visant le personnel, l’usager et ses proches.
Notre objectif : minimiser les risques de blessures en maximisant l’autonomie fonctionnelle de l’usager.
AGRÉMENT – HORIZON 2011 Étape 4 : Visite d’Agrément Canada
Le LEAN en CLSC
LE SOUTIEN À DOMICILE EN ACTION
Du 6 au 11 novembre 2011, on accueillera les visiteurs d’Agrément Canada. C’est le moment de connaître nos zones d’excellence et de recevoir leur appréciation sur de nouvelles pistes d’amélioration. Les visiteurs d’Agrément Canada sont des professionnels de la santé provenant d’une grande variété de disciplines qui donnent de leur temps pour effectuer des visites d’agrément. Ces médecins, infirmières, administrateurs, inhalothérapeutes, ergothérapeutes, psychologues, travailleurs sociaux et technologistes médicaux, évaluent les programmes et services de l’établissement en mettant l’accent sur la qualité et la sécurité des soins et services dispensés à la clientèle et émettent des commentaires sur les non conformités aux normes observées au cours de la visite. La technique utilisée pour faire leur évaluation se nomme un traceur. Qu’est-ce qu’un traceur ? Dans le jargon d’Agrément Canada, le traceur est une technique utilisée par les visiteurs pour leur permettre de suivre une série de processus en vue de recueillir des preuves sur la qualité et la sécurité des soins et services offerts. Un processus, par exemple, pourrait être le cheminement à travers lequel évolue un client de l’admission à la fin d’un service. Les visiteurs tracent des processus cliniques et administratifs. Vous êtes des personnes clés pour le travail que les visiteurs ont à accomplir et c’est à ce titre que vous pourriez être interpellées par les visiteurs. Votre collaboration est essentielle pour assurer le succès de la visite. Afin de vous y préparé vous êtes fortement invité à visionné une vidéo présentant la technique des traceurs, en allant sur le lien suivant :
L
a Planification stratégique 2011-2015 de notre CSSS comporte plusieurs objectifs d’optimisation de services dans des services clés de notre organisation. L’an dernier, l’urgence de l’hôpital a fait l’objet d’une démarche d’optimisation. Cet automne, ce sont les services de soutien à domicile (SAD) de nos trois CLSC qui ont été ciblés pour un tel projet. L’équipe du SAD doit augmenter de 10 % les heures directes consacrées aux usagers. Plusieurs méthodes existent afin de relever ce type de défi. Notre CSSS a choisi d’utiliser l’approche Lean puisque l’usager est au cœur de la démarche. Un objectif d’intégration, d’optimisation, d’accessibilité, de continuité et de qualité
Voici un schéma du déroulement des activités liées aux traceurs.
Étape 5 : L’après visite L’heure est à l’actualisation de nouveaux plans d’amélioration issus des commentaires des visiteurs. Les 17 équipes qualité et les trois comités transversaux poursuivent leurs travaux afin d’augmenter le niveau de conformité aux normes jusqu’au prochain cycle prévu en 2014-2015.
Par définition, cette approche vise à éliminer tout ce qui ne contribue pas à ajouter une valeur aux services pour l’usager ou qui entrave la fluidité du processus de réalisation. Concrètement, elle cible tous les interrupteurs dans la chaîne de services (bris de continuité) rencontrés par l’usager. Ces bris s’expriment sous plusieurs formes : de l’attente pour accéder à des soins ou dans la prestation de ces soins, de la confusion dans les communications (l’usager ne sait pas à qui s’adresser) ou de la redondance dans les interventions (plusieurs intervenants faisant les mêmes vérifications auprès de l’usager faute de moyen efficace de partage d’information). L’approche Lean fait le lien entre ces impacts aux usagers et nos processus en ciblant les pertes d’efficacité. Depuis mai, de concert avec une conseillère en amélioration continue des processus, une équipe
8 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
travaille à identifier sur le terrain des opportunités d’amélioration via des rencontres informelles ou par des accompagnements aux visites à domicile. En effet, les inefficacités peuvent s’observer de différentes façons dans nos processus. Citons par exemple, des déplacements inutiles (usager hospitalisé lors d’une visite planifiée), de la recherche d’information (demandes de service incomplètes), des compétences sous-utilisées (tâches cléricales effectuées par du personnel soignant), des inventaires et toutes les formes de « re » : refaire une évaluation (une évaluation faite par le service précédent qui n’est pas accessible) ou retranscrire des informations. Changer (KAI)
pour devenir meilleur (ZEN)
À la suite de cette identification, une approche d’amélioration rapide et intensive permet de mettre en œuvre les concepts du Lean. Cet atelier, appelé « Kaizen », réunit des personnes de disciplines et de CLSC différents afin de mettre en place leurs solutions aux problèmes qui les concernent et qui sont sous leur contrôle. Dès septembre, les premiers ateliers d’optimisation (Kaizen) se tiendront. Plusieurs membres de l’équipe SAD et leurs partenaires seront donc sollicités pour y participer. N’oublions pas que cet exercice vise à dégager du temps pour que les intervenants aient plus de disponibilité pour accomplir les tâches à valeur ajoutée relevant de leurs compétences et dans lesquelles ils excellent. Cette activité ne peut qu’être stimulante, n’hésitez pas à y participer!
DE NOUVELLES RESSOURCES INTERMÉDIAIRES SUR NOTRE TERRITOIRE!
L
e CSSS Richelieu-Yamaska procède actuellement à un appel d’offres de préqualification pour solliciter des soumissionnaires intéressés à opérer des ressources d’hébergement de type intermédiaire sur les territoires de la MRC des Maskoutains et de la Vallée-du-Richelieu. Ces ressources accueilleront des personnes présentant des problèmes cognitifs (territoire Vallée-duRichelieu), une perte d’autonomie physique (territoire Maskoutains), des problèmes de santé mentale (territoire Maskoutains) ou des troubles cranio-cérébraux. Les places nécessaires pour répondre à l’ensemble de nos besoins sont au nombre de 54, dont 43 pour les personnes âgées et 11 pour la santé mentale. Les personnes intéressées peuvent postuler pour l’une ou l’autre de ces types de clientèle. Le cadre de référence pour les ressources intermédiaires et les normes requises par l’établissement déterminent l’ensemble des exigences demandées. Pour dispenser ces services, les personnes retenues recevront une allocation budgétaire basée selon les règles en vigueur prévues au cadre de référence. De plus, elles recevront un support et encadrement de la part de l’établissement pour les services professionnels requis par les résidents. Les candidats auront la responsabilité de fournir les services de présence et surveillance 24 h sur 24, gîte et couvert, soutien, encadrement et assistance. Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à consulter notre site Internet au www.santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska.
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 9
DE NOUVEAUX ÉQUIPEMENTS PLUS PERFORMANTS AU LABORATOIRE
Mobilisation CSSS Richelieu-Yamaska
L
e sondage sur la mobilisation montre une nette amélioration par rapport aux résultats obtenus en 2008 par notre CSSS. Entre juin et août derniers, 1541 employés et médecins ont répondu au sondage administré par le CQA, soit plus de 46 % de notre personnel, comparativement aux 40 % qui ont répondu en 2008.
A
fin de répondre à l’augmentation du nombre d’analyses réalisées, le laboratoire de l’Hôpital HonoréMercier implante de nouveaux équipements plus performants et automatisera au cours des prochains mois la banque de sang pour les groupes sanguins, la recherche d’anticorps et la compatibilité électronique. Toujours dans le but d’améliorer le temps de réponse aux requêtes, certains instruments seront remplacés, dont le système de robotique pré-analytique. Celuici permettra : • d’enregistrer la date et l’heure de réception des spécimens au laboratoire; • de centrifuger les tubes; • d’aliquoter et classer les spécimens sur les plateformes de dosage. Ce système permettra également d’identifier rapidement les demandes « stat » et urgentes ainsi que les demandes internes afin de prioriser le traitement de celles-ci. Un système de caméra identifiera les spécimens hémolysés afin de faire
AGRÉMENT – HORIZON 2011 LA MOBILISATION EN NETTE PROGRESSION PAR RAPPORT À 2008
Sur la phoTo : Johanne Lussier, chef des services de biologie médicale et Josée Archambault, assistante chef technologiste.
reprendre le prélèvement dans les plus brefs délais.
courts, et ce, en respectant les plus hauts standards de qualité.
Le rôle principal du laboratoire est de réaliser et transmettre des résultats d’analyses avec le plus d’exactitude et de précision possible, dans les délais les plus
Toutes les étapes de l’implantation auront été finalisées d’ici la fin du mois de septembre 2011.
Comme on peut le voir dans le graphique ci-joint, ce sont toutes les dimensions évaluées qui ont progressé en comparaison à 2008, ce qui nous permet de montrer des niveaux de mobilisation supérieurs ou égaux à ceux des autres établissements du Québec. En 2008, toutes nos évaluations étaient inférieures au reste du Québec. Il s’agit d’un bilan qui est tout à l’honneur de nos équipes. Ce sont les dimensions Réalisation et Collaboration qui montrent les taux les plus élevés. C’est trois répondants sur quatre qui ressentent qu’ils peuvent relever des défis professionnels, retirer un certain plaisir dans nos milieux, ou encore qu’ils profitent d’un esprit d’équipe. Pour les dimensions Implication, Soutien, Communication et
Leadership, les taux varient entre 63 et 67 %, en nette progression par rapport à 2008 et à des taux équivalents au reste du Québec.
Tous les détails des données de ce sondage par installation sont présentés dans le cadre de la tournée du directeur général.
Centre d’hébergement Andrée-Perrault
UN PROJET D’AMÉLIORATION DU SERVICE ALIMENTAIRE EN CONSULTATION
L
a direction du CSSS procède actuellement à une consultation auprès des résidents et des proches répondants du Centre d’hébergement Andrée-Perrault concernant un projet d’amélioration du Service alimentaire. Cette consultation est organisée conjointement avec le Comité des usagers, qui a accepté d’en assurer la logistique. Le projet proposé vise à offrir des menus plus variés et appétissants aux résidents, notamment en permettant aux résidents d’avoir deux choix de mets par repas, par cycle de trois semaines, soit 84 mets comparativement aux 42 actuellement
offerts. Concrètement, les plats seraient préparés ou assemblés au Centre d’hébergement de l’Hôtel-Dieu-de-SaintHyacinthe, et par la suite, la préparation ou la cuisson de ceux-ci seraient complétées au Centre Andrée-Perrault. Les résidents du Centre Andrée-Perrault profiteraient ainsi de repas produits la journée même par le Service alimentaire de l’Hôtel-Dieu soit, les mêmes que ceux servis aux résidents de ce centre. Les améliorations proposées concernent uniquement la préparation des mets et ne modifieraient en rien l’activité des repas ou l’organisation lors de la prise du repas par
10 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
les résidents, que ce soit à la salle à manger ou à l’unité de vie. Le projet se réaliserait en transformant les postes de cuisinières en aide-cuisinières. Pour expliquer la nature des changements proposés, la direction du CSSS RichelieuYamaska a tenu une série de rencontres en août dernier auprès des résidents, des familles, des employés, ainsi que du comité des usagers. La fin de la consultation et la décision finale sont attendues dans les prochaines semaines.
LES DIMENSIONS ÉVALUÉES LA RÉALISATION • La réalisation fait référence aux besoins chez les personnes de relever des défis professionnels et d’y retirer un certain plaisir.
travailler en équipe. Elle résulte d’un développement d’attitudes et de comportements spécifiques, permettant aux individus d’œuvrer de façon continue en situation d’interdépendance.
L’IMPLICATION
LE SOUTIEN
• L’implication est constituée d’un ensemble de motivations propres à l’individu. Une organisation n’implique pas une personne, c’est elle-même qui s’implique. Une personne sera impliquée dans une organisation dans la mesure où elle tendra à agir dans le sens des buts et des valeurs poursuivis par celle-ci.
• Le facteur de soutien fait référence aux notions de « coaching » et de supervision par les gestionnaires auprès des employés et des membres des équipes.
LA COLLABORATION • La collaboration témoigne de la présence d’un esprit d’équipe ou d’une capacité à
LA COMMUNICATION • La communication et l’information constituent d’importants facteurs de mobilisation au sein d’une organisation. Un employé sera mobilisé dans la mesure où il comprend ce qu’on attend de lui et s’il sent que l’organisation est à l’écoute
de ses préoccupations et s’efforce d’y répondre. LE LEADERSHIP • Les fondements du leadership peuvent être compris à partir des quatre éléments suivants sur lesquels peut se reposer l’ensemble du personnel de l’organisation : – une vision en laquelle il peut croire; – une culture axée sur l’accomplissement des tâches, le poussant à donner le meilleur de lui-même; – un esprit d’équipe qui le soutient et l’enrichit; – des modèles de comportement qui lui montrent le chemin à suivre.
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 7
AGRÉMENT – HORIZON 2011 DES ARRIVÉES ET DES DÉPARTS À L’UMF RICHELIEU-YAMASKA
Étape 3 : Sondages et entrevues Au printemps 2011, afin de mesurer la perception de tous les membres du personnel et médecins, en ce qui concerne le sentiment de réalisation au travail, le travail en équipe et la collaboration, le soutien de la direction, la circulation de l’information, etc., un sondage a été effectué par le Conseil québécois d’agrément. 1541 personnes ont retourné leur questionnaire complété. D’autre part, une vaste enquête de satisfaction de la clientèle a été réalisée par le Conseil québécois d’agrément, par sondage téléphonique et entrevues, auprès des résidents et de leurs famille de nos centres d’hébergement. Finalement, un sondage en ligne permettant de mesurer notre culture en matière de sécurité a été réalisé. Satisfaction de la clientèle La dimension Relation avec le client obtient la meilleure note
Tout comme le sondage de mobilisation, les données des sondages auprès de la clientèle font l’objet d’une présentation
Le sondage de satisfaction réalisé auprès de 825 usagers du CSSS Richelieu-Yamaska (excluant les clientèles hébergées qui ont fait l’objet d’un sondage spécifique), montre que c’est encore une fois les dimensions en lien avec les relations avec le client qui recueillent les meilleurs taux de satisfaction, à 87 %. La prestation professionnelle recueille pour sa part 84 %. On ne constate toutefois pas de progression par rapport aux résultats de 2008.
plus détaillée par installation dans le cadre la tournée du directeur général actuellement en cours.
Satisfaction à l’égard des services CSSS Richelieu-Yamaska
Pour les trois grandes dimensions de satisfaction, la relation avec le client, la prestation professionnelle et l’organisation, nos centres d’hébergement recueillent des taux variant entre 83 et 85 % de satisfaction. Il s’agit de taux de satisfaction sensiblement les mêmes que ceux obtenus en 2008. Pour le comparatif avec les autres établissements d’hébergement du Québec, on ne dispose pas malheureusement de données à jour du Conseil québécois d’agrément (CQA). À titre de comparatif, nous vous présentons les données québécoises de 2008. 6 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
Nos finissantes RII tiennent par ailleurs à remercier toute l’équipe du CSSS RichelieuYamaska pour leurs deux années de résidence dans notre milieu; milieu qu’elles conseillent fortement d’ailleurs aux futurs résidents. Avec leur départ, nos résidents I sont devenus des résidents II. Nous avons maintenant neuf résidents II et neuf nouveaux résidents I sont arrivés pour faire leurs deux années de résidence (les voici sur la photo).
Première rangée : Meggie-Anne Roy, Nancy Marcotte, Chantal Gallou, Anne-Andrée Martin-Fortier, Fannie Petit Deuxième rangée : Philippe Imbeault, Laurence Bigras-Dunberry, Amélie Sauvé, Jean-François Simard
MERCI à tous! Notre milieu affilié à l’Université de Sherbrooke est un milieu très recommandé pour y faire sa résidence en
médecine familiale grâce au sourire et à l’esprit d’équipe professionnel y régnant!
Expérience préparatoire à l’examen professionnel de l’OIIQ pour nos candidates infirmières
La dimension de l’organisation des services qui réfère à l’accessibilité, la simplicité, la continuité, la rapidité et au confort, demeure toujours en retrait avec 80 % de satisfaction. Pour cette dimension également, nous constatons une légère baisse par rapport à 2008. Pour évaluer la satisfaction de la clientèle de nos cinq centres d’hébergement, un sondage a été réalisé auprès de 361 personnes, soit 66 résidents et 295 proches.
E
n juillet, nos résidents II nous ont quitté pour faire leur pratique médicale. Deux de ces résidentes en médecine familiale sont restées parmi nous : Dre Joannie Boudreault qui fait maintenant partie de l’équipe des médecins du CLSC en soins à domicile, et Dre Émilie Boisvert qui fera partie de l’équipe des médecins de famille en obstétrique, urgence et hospitalisation. Nous leur souhaitons tous bonne chance dans leur pratique médicale.
Satisfaction à l’égard des services Centres d’hébergement
D
epuis les dernières années, le CSSS Richelieu-Yamaska met en place une activité visant à préparer nos candidates infirmières à leur futur examen professionnel afin de les familiariser avec le contenu et la forme de l’examen. Cette année, à l’instar de l’examen provincial, la version locale se composait de quatre stations cliniques de type « ECOS » (examens cliniques à objectifs structurés) et d’un examen théorique. Un ECOS est composé d’une situation courante simulée de la pratique infirmière. La candidate doit intervenir auprès d’un client fictif, dont le rôle est joué par un acteur, et ce, en présence d’un évaluateur. Les situations choisies reflètent le champ de pratique actuel de l’infirmière. L’expérience, coordonnée par la Direction des programmes de santé publique, des soins infirmiers et des pratiques professionnelles, a nécessité
l’importante et généreuse participation d’une quinzaines de personnes que nous tenons à remercier chaleureusement puisque sans elles, la tenue de cette activité n’aurait pas été possible. Nos candidates infirmières ont répondu à l’appel en grand nombre puisqu’un total de 27 d’entre elles ont participées volontairement à l’activité. L’expérience fut des plus stimulantes autant pour les candidates que pour les organisateurs. Cette activité, appréciée de toutes, a été l’occasion pour nos candidates de vivre l’expérience de l’examen professionnel et des émotions qu’il suscite afin qu’elles en retirent une idée plus réaliste de ce qui les attend. L’exercice de la profession exige, de la part des futures infirmières, d’intégrer des connaissances, de développer des habiletés, de manifester des attitudes spécifiques et
d’être capable de raisonnement et de jugement. Toute étudiante infirmière ayant terminé et réussi une formation de niveau collégial ou universitaire se doit d’acquérir un droit de pratique décerné par l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) avant de pouvoir exercer sa profession à titre d’infirmière. Pour obtenir ce droit de pratique, les candidates à l’exercice de la profession infirmière (CEPI) doivent réussir un examen professionnel comportant deux volets. Le premier volet, de nature théorique, est composé d’un examen écrit alors que le second volet, de nature pratique, est composé de plusieurs ECOS. En espérant que cette expérience puisse contribuer à la réussite subséquente de notre relève infirmière au prochain examen professionnel, nous leur souhaitons la meilleure des chances.
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 11
Magazine-SEPTEMBRE 2011_Layout 1 11-10-19 10:07 AM Page 5
CADRE DE RÉFÉRENCE EN NUTRITION ENTÉRALE À DOMICILE
UN PROCESSUS DE CONTINUITÉ DE SERVICE POUR L’USAGER
L
e CSSS Richelieu-Yamaska a adopté récemment un tout nouveau Cadre de référence en nutrition entérale à domicile. Son but premier? Permettre d’identifier le type de suivi requis pour un usager devant recevoir une nutrition entérale à domicile afin de lui permettre de maintenir sa qualité de vie. Le tout, bien sûr, en permettant l’optimisation des ressources du CSSS. D’ailleurs, cette démarche s’inscrit parfaitement dans les objectifs de la planification stratégique du CSSS en permettant l’implantation d’un processus assurant la continuité des soins et services spécifiques à un certain type de clientèle. Ainsi, les objectifs poursuivis par ce cadre de référence permettront : - d’assurer la continuité et la qualité des soins et services offerts à l’usager devant recevoir une nutrition entérale, selon ses besoins; - de promouvoir, développer et offrir une gamme de soins et services requis à domicile, afin d’assurer le soutien et la sécurité de l’usager nourri par voie entérale; - de favoriser la collaboration entre le réseau local de services et tous les autres partenaires impliqués, en harmonisant les différentes façons de faire;
Bon à savoir! Le comité de maintien et de promotion des compétences, une nouveauté du Conseil multidisciplinaire Prochainement, vous recevrez un message courriel ou sous format papier de votre Conseil multidisciplinaire (CM). Dans le cadre de son mandat, ce dernier doit mettre en place un comité pour le maintien et la promotion de la compétence. Ce message vous parviendra donc d’un collègue « représentant » auquel nous avons fait appel pour assurer un lien entre le comité de maintien et de promotion des compétences (CMPC) et vous. La première tâche de votre représentant sera de s’assurer que tous les professionnels qui se retrouvent sur sa liste ont reçu ce message. Pour ce faire, nous vous demandons de confirmer à votre représentant la réception de ce message, dès que possible. Le but de cet exercice est d’établir un moyen de communication efficace pour échanger rapidement les informations dont le CMPC et le CM ont besoin pour remplir leur mandat. Le conseil multidisciplinaire est une instance consultative qui relève du conseil d’administration et qui est responsable, envers le directeur général, de donner son avis sur diverses questions touchant les pratiques professionnelles au sein de l’établissement. Ces avis concernent notamment les moyens à prendre pour évaluer et maintenir la compétence de ses membres. Pour sa part, le CMPC a pour mandat :
- d’optimiser le potentiel et l’autonomie de l’usager en favorisant sa participation ainsi que celle de ses aidants;
a) d’évaluer les besoins de formation des membres du conseil multidisciplinaire;
- d’assurer la meilleure utilisation des ressources humaines, matérielles et financières dans le but d’éviter tout dédoublement ou bris dans la continuité des services, grâce à la transmission systématique et rapide de l’information;
b) de proposer des activités de formation visant à maintenir la compétence des membres du conseil;
- de s’assurer de la satisfaction de la clientèle quant aux soins et services reçus. Ce document présentera donc les interventions relatives au soutien des usagers devant recevoir une nutrition entérale à domicile. La diffusion du document se fera au cours des prochaines semaines dans le cadre de séances de formation et d’information selon les différents groupes d’intervenants utilisateurs. C’est grâce à un comité de travail composé de divers intervenants et à la concertation des différentes installations du CSSS que ce cadre de référence a pu voir le jour. Un grand merci à tous les gens qui ont collaboré au projet : Marie-Claude Allard, chef des cliniques spécialisées ambulatoires, Unité de médecine de jour, oncologie et du Service de l’électrophysiologie médicale; Martine Brochu, infirmière clinicienne au Service de gastroentérologie; Annie Gosselin, infirmière clinicienne, ASI-SAD, CLSC des Maskoutains, Pierrette Létourneau et Martin Gaudette, conseillers en gestion de programmes, DPSPSIPP; Louise Larivée, chef de secteur Nutrition et contrôle de qualité; Diane Pelletier, nutritionniste SAD, CLSC des Maskoutains, aidée du Comité de pairs en nutrition clientèle adulte. 12 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
c) d’étudier le plan d'action pour le développement du personnel quant aux aspects reliés au maintien de la compétence des membres du conseil et de formuler les avis nécessaires à l’exécutif du CM; d) de recommander à l’exécutif du CM divers moyens visant à maintenir et à promouvoir la compétence des membres du conseil; e) de faire des recommandations à cet exécutif concernant les politiques d'évaluation en vigueur dans l'établissement et applicables aux membres du conseil. Ce comité est très important pour le développement des professionnels de notre établissement et le Comité exécutif du conseil multidisciplinaire est heureux de vous annoncer sa mise en place. Les membres qui le constituent sont : Nathalie Beauchemin, éducatrice spécialisée, Linda Gagnon, audiologiste, Sandra Rioux, inhalothérapeute et Dany Dumont, travailleur social et conseiller clinique aux pratiques psychosociales. Merci de votre collaboration. L’équipe du CMPC
AGRÉMENT – HORIZON 2011
Rentrée automnale Une évaluation nommée Agrément
L
a fébrilité se fait sentir dans tous les secteurs de soins et services de l’organisation puisque très bientôt, du 6 au 11 novembre prochain, les visiteurs d’agrément seront parmi nous pour procéder à l’évaluation de notre organisation. Une évaluation attendue, et pour laquelle nombre d’efforts ont été déployés de part et d’autre dans l’actualisation des plans d’action.
Le décompte est commencé.
35 jours avant la grande visite! Pour bien comprendre la grande étape qui arrive, voici un rappel de ce qu’est l’agrément. L’agrément est une reconnaissance décernée par un organisme indépendant, Agrément Canada, qui vient attester de la qualité des services que nous dispensons. L’agrément est un processus d’évaluation externe obligatoire pour tous qu’utilisent les établissements de santé au Québec. On pourrait simplifier la démarche en la comparant avec les examens du ministère de l’Éducation en fin d’année scolaire, où on évalue les acquis et la compréhension des élèves et des étudiants par matière. Sauf que pour nous, l’évaluation se fait à tous les quatre ans et représente beaucoup plus qu’un examen. L’agrément exige une révision en profondeur de nos façons de faire et de nos processus ainsi qu’une mise à jour de nos pratiques.
Étape 1 : Autoévaluation à l’aide des normes À l’automne 2010, à partir des normes d’excellence du programme d’Agrément Canada, englobant les meilleures pratiques de gestion et les meilleures pratiques cliniques, 1105 questionnaires en ligne ont été remplis par le personnel des divers services de notre CSSS. Les résultats de ces questionnaires ont été compilés de manière confidentielle par Agrément Canada et un bilan par secteur a été produit.
Étape 2 : Mise en œuvre de plans d’amélioration Dix-sept équipes qualité et trois comités dits transversaux ont été mis en place avec le mandat d’assurer un suivi aux pistes d’amélioration identifiées en suivi à l’autoévaluation. Vous trouverez ci-après la liste des équipes et comités ainsi que le nom du responsable : Santé mentale (Maryse Hébert) Soins ambulatoires (Marie-Claude Allard) Oncologie (Marie-Claude Allard) Services de santé communautaires (Lise Langlois) Obstétrique et périnatalité (Viviane Major) Médecine (Myriam Fagnant) Soins intensifs (Lyne Beauregard) Urgence (Carine Sauvé) Chirurgie (Claudine Desmarais), incluant le Bloc opératoire et le secteur de stérilisation (Sylvie Paradis) Hébergement – milieu de vie (Lyne St-Pierre) Réadaptation physique (Carole Dupuis) Imagerie (Réjean Goulet) Laboratoire (Vanessa Laflamme) Gestion des médicaments (Diane Pelletier) Prévention et contrôle des infections (Rachelle Vallée) Efficacité organisationnelle (Réjeanne Boudreau) Comité transversal clinique (Sylvie Provost) Comité transversal médical (Josée Fournier) Comité transversal ressources humaines (Manon Beaudet) Soins et services à domicile (Sylvie Dumont) Chaque équipe et comité ont élaboré et mis en œuvre un plan visant une amélioration de la qualité de nos soins et services et une plus grande conformité aux normes du programme d’agrément. L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 5
Magazine-SEPTEMBRE 2011_Layout 1 11-10-19 10:07 AM Page 4
Engagé pour une accréditation Initiative Amis des bébés
LA CIVILITÉ EN MILIEU DE TRAVAIL
L
e terme « civilité » peut sembler une évidence pour chacun. Mais quand on y réfléchit, est-elle réellement toujours présente dans nos échanges professionnels et à l’intérieur de nos équipes de travail ? À l’ère où tout va vite, où nous prônons la liberté d’expression et où la pression en milieu de travail peut parfois être forte, prenons-nous toujours le temps d’avoir des rapports cordiaux, de ne pas oublier l’essentiel, soit de prendre le temps de dire « bonjour », « merci » ou « s’il vous plaît » ? Pourtant, la civilité est bien plus que ces règles de base essentielles. Qu’est-ce que la civilité en milieu de travail ? La civilité peut être décrite comme étant un ensemble de règles de conduite qu’un groupe de personne se donne et qui vise le bien-être de la majorité. En milieu de
La civilité en milieu de travail, c’est aussi tenter de faciliter le travail d’autrui. retenue. Il importe de communiquer avec assertivité, c’est-à-dire d’adopter une attitude dans laquelle on est capable de s'affirmer tout en respectant autrui. Il s'agit de se respecter soi-même en s'exprimant directement et clairement par rapport aux événements et à ce que l’on considère comme acceptable ou non, mais avec considération pour l’autre. La civilité en milieu de travail, c’est aussi tenter de faciliter le travail d’autrui. Par exemple, si nous savons qu’un collègue a besoin d’une réponse rapidement de notre part, évitons de le faire patienter indûment.
Lorsque l’incivilité est banalisée ou non gérée, elle peut amener à des conflits importants entre des membres d’une équipe. Tôt ou tard, elle finit même par affecter le climat et la qualité de vie au travail de l’ensemble des membres de l’équipe. travail, la littérature cite cinq critères devant être respectés, pour que l’on puisse prétendre adopter des comportements de civilité avec les gens qui nous entourent : RESPECT – COLLABORATION – POLITESSE – COURTOISIE – SAVOIR VIVRE. En somme, La civilité est l'affichage du caractère pacifique d'une personne dans ses relations avec autrui, notamment dans la façon d'entrer en contact, et du respect que l'on a pour son interlocuteur. En milieu de travail, le droit à la liberté d’expression ne nous permet pas de dire tout ce que l’on pense, sans filtre et sans
Ou si nous savons qu’un collègue est débordé et que de notre côté nous sommes à jour dans nos tâches, pourquoi ne pas lui offrir notre aide ? Nous nous devons également d’avoir un regard critique sur nos propres comportements, en s’assurant d’intégrer de façon systématique, dans nos relations avec la clientèle, nos collègues et collaborateurs, les cinq notions de la civilité. Si nous avons un inconfort face à une situation ou une façon d’agir d’un de nos collaborateurs, il nous importe rapidement de faire connaître clairement sa position à cette personne de
4 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
façon respectueuse, en précisant les comportements et les attitudes en cause, en lui indiquant le malaise provoqué par son comportement et en lui demandant clairement de mettre un terme à cette conduite. Si ce premier niveau d’intervention ne fonctionne pas, nous nous devons d’aller chercher du soutien, tel que d’en parler à son supérieur immédiat, afin qu’il intervienne ou qu’il nous accompagne pour faire cesser la situation. Ne pas banaliser la civilité en milieu de travail – les risques : effet spiral Malheureusement, l’incivilité est contaminante, puisque trop souvent, l’être humain a tendance à répondre à celle-ci de la même façon. Ainsi, un processus d’escalade ou un effet de spiral risque de s’enclencher. Lorsque l’incivilité est banalisée ou non gérée, elle peut amener à des conflits importants entre des membres d’une équipe. Tôt ou tard, elle finit même par affecter le climat et la qualité de vie au travail de l’ensemble des membres de l’équipe. Une nouvelle politique bientôt diffusée… incluant l’obligation de civilité En ce sens, nous avons révisé la Politique visant à contrer la violence et le harcèlement en milieu de travail actuellement en vigueur. Celle-ci sera remplacée par une nouvelle politique venant d’être adoptée au comité de direction. Compte tenu de l’importance que notre organisation porte à la notion de civilité, nous y avons, entre autres, ajouté cette notion. La nouvelle Politique portant sur l’obligation de civilité, sur la prévention et la gestion de conflits, de violence et de harcèlement en milieu de travail vous sera diffusée prochainement.
LE CSSS PRÉSENTE SA POLITIQUE EN ALLAITEMENT
D
ans le cadre de la Semaine mondiale de l’allaitement, qui se déroule du 1er au 7 octobre, le CSSS Richelieu-Yamaska procède à la diffusion de sa Politique en allaitement maternelle. Celle-ci a été adoptée dans la foulée de la démarche de l’organisation pour obtenir l’accréditation Amis des bébés, une reconnaissance de l’OMS qui exige des établissements de santé qui le souhaitent, d’adhérer à des conditions pour promouvoir, protéger et soutenir l’allaitement maternel. Vous la verrez donc affichée à différents endroits dans nos installations (CLSC et hôpital). Cette année, la Semaine mondiale de l’allaitement a pour thème Parle-moi : L’allaitement maternel, une expérience 3D! Nos trois CLSC et l’hôpital soulignent l’événement de différentes façons :
Conférencières : Mme Nancy Lavoie infirmière clinicienne, consultante en lactation au CLSC des Maskoutains, en petite enfance, et Mme Claude Bonneau infirmière clinicienne, consultante en lactation à l'Hôpital HonoréMercier. Elles vous invitent à venir assister à leur conférence afin de vous faire profiter de leurs connaissances sur les causes, les conséquences et les traitements alternatifs lors de la dépression post-partum. De plus cette présentation vous sensibilisera à l'importance de l'allaitement maternel.
• Diffusion de la Politique en allaitement;
« Selon les cultures, 10 à 20 % des nouvelles mères présenteront une dépression plus ou moins importante (Kendall-Tackett); certains auteurs estiment même que cela concerne jusqu’à 40 à 50 % des femmes. »
• Réalisation en cours d’une vidéo présentant les services en périnatalité de notre CSSS;
ACCOUCHEMENT INUSITÉ
• Affichage de la Politique en allaitement maternel du CSSS Richelieu-Yamaska; • Participation à la vidéo Allaiter partout… simplement, réalisée par un regroupement de partenaires de la région; • Conférences Midis-branchés ayant comme thème La dépression chez les nouvelles mères. • Honoré-Mercier : Auditorium, le 5 octobre à 8 h 15, 12 h et 15 h. • CLSC de la MRC-d’Acton : le 6 octobre à 10 h, au local A et B. • CLSC des Patriotes à Beloeil : le 6 octobre à 12 h, au local 1103.
Jacinthe Bouchard, agente de sécurité à l’accueil de l’hôpital, se souviendra longtemps de son début de journée du 14 juillet dernier. Ce matin là, madame Andrée Déry, accompagnée de son mari, se présente à l’entrée principale. Enceinte, les contractions ont commencé. À peine quelques pas sont faits devant le poste d’accueil de Mme Bouchard que bébé est bel et bien prêt à faire son entrée dans le monde. En quelques secondes, notre agente de sécurité attrape une chaise roulante, aide le père à retirer les pantalons de la mère et attrape le nouveau-né. Un beau bébé en pleine forme finalement. Quelques semaines plus tard, la petite famille est venue dire un bonjour à Jacinthe Bouchard qui tient une nouvelle fois le petit Lambert dans ses bras. Sur la photo : Andrée Déry, mère de Lambert avec son fils Théo, Jacinthe Bouchard avec Lambert, et Gervais Pouliot avec Noha.
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 13
Magazine-SEPTEMBRE 2011_Layout 1 11-10-17 4:22 PM Page 3
MOT DU DIRECTEUR GÉNÉRAL
9 décembre à mettre à l’agenda!
BILLET D’EMBARQUEMENT NÉCESSAIRE POUR LE PARTY DE NOËL 2011
LES ÉQUIPES EN ACTION
P
lus tôt, cette année, l’organisation vous a présenté la Semaine de la sécurité. Cet automne, vous serez encore mis au défi dans le cadre de la Semaine de l’hygiène des mains ayant lieu du 17 au 21 octobre 2011. Le CSSS Richelieu-Yamaska fait de la sécurité une priorité, tant celle des usagers que celle des employés. Comme le lavage des mains est la première mesure en prévention et contrôle des infections, vos connaissances et votre perception en matière d’hygiène des mains seront donc testées dans le cadre de deux activités. Êtes-vous bon joueur? Parmi les activités proposées, vous serez invité à choisir votre type de lavage de mains. Êtes-vous du type félin, perfectionniste, écologique, rock’n’roll, positif ou chanceux? Votre gestionnaire vous offrira six cartes, une pour chaque type de lavage de mains, incluant une description de celui-ci. Vous devrez choisir une carte. À l’endos de chaque carte se trouvent quatre questions sur les habitudes de lavage des mains, que vous devrez remplir et déposer à l’un des kiosques qui se tiendra durant la Semaine de l’hygiène des mains. Un résultat de 100 % au questionnaire vous permettra de courir la chance de gagner un des six prix offerts. Participez avec vos collègues et venez nous voir aux kiosques. Nos neuf installations seront visitées. La programmation vous sera annoncée sous peu. Surveillez les babillards. C’est un rendez-vous! Êtes-vous bon joueur? Le comité organisateur
E
mbarquez avec nous à bord du bateau de croisière du CSSS… venez vous amuser et danser au rythme des musiques latines et internationales. Cette année, le Party de Noël se déroulera sous la thématique « La Croisière s’amuse! », à l’Hôtel des Seigneurs de St-Hyacinthe. Que vous soyez employé, gestionnaire ou médecin, faites de cette soirée VOTRE party! Déjà, le comité organisateur met tout en œuvre pour que cette activité s’avère un succès mais, sans vous, il n’en n’est rien ! Alors, si vous avez aimé y participer l’année passée, réservez tout de suite cette date à votre agenda et invitez vos collègues à faire de même. Si vous n’avez pu y participer l’an dernier, organisez-vous dès maintenant pour y être cette année. Comme la reconnaissance de nos employés occupe une place très importante pour l’organisation, nous relancerons le concours des mises en candidature du personnel. Aussi, un service de garderie sera, encore une fois, mis à votre disposition pour accueillir les tout-petits âgés entre 2 et 12 ans, sous la supervision d’animateurs qualifiés.
E DES M
RÉ
N
HY
NS
P
14 L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
Venez vivre avec nous cette aventure animée par une équipe fort dynamique, sous la direction des « Productions Éric Quentin ».
AI
GI
De magnifiques prix de présence seront offerts dont, entre autres, une location de deux ans d’une toute nouvelle Versa berline 2012, d’une valeur approximative de 6 000 $, offerte par les Galeries Nissan de Saint-Hyacinthe.
ÈN
VENTIO
M. Daniel Castonguay, directeur général
On souhaite sincèrement vous retrouver en grand nombre… Surveillez nos prochaines communications sur le sujet afin de connaître tous les détails de cette soirée.
C
ette édition de la rentrée de notre magazine L’Écho du réseau vous offre un spécial Agrément. Nous vous présentons en détails les éléments importants à retenir à quelques semaines seulement de l’arrivée des visiteurs qui viendront évaluer notre conformité aux standards de qualité. Cette étape nous permettra, j’en suis convaincu, de renouveler l’agrément obtenu en 2009. Il s’agit assurément du dossier majeur de notre organisation pour l’automne. Mais, notre CSSS poursuivra également la mise en œuvre de plusieurs travaux importants pour améliorer à la fois notre offre et la qualité de nos services. Je suis toujours fier de constater comment toutes nos équipes sont à pied d’œuvre. Un projet majeur d’optimisation dans nos CLSC Nous débuterons au sein de nos équipes en CLSC un premier projet Lean pour optimiser les services de soutien à domicile. Cette approche Lean, appelée souvent Approche Toyota, se déploie actuellement dans le réseau de la santé. Il s’agit de revoir l’ensemble des processus de travail pour réduire autant que possible les tâches ou les étapes qui n’ont pas de valeur directe pour les clients que nous avons à desservir. Cette approche est basée sur un travail étroit avec les équipes de base des services concernés afin d’identifier et mettre en place les améliorations. Un premier projet Lean a été appliqué l’an dernier pour l’urgence de l’hôpital, avec des résultats marquants. L’objectif du projet dans nos CLSC sera
d’augmenter le temps de service direct aux clients desservis à domicile, en revoyant les temps de déplacement, les procédures administratives, la compilation de données, etc. L’optimisation de nos services complètera bien nos travaux pour le continuum Personnes âgées qui implique directement nos équipes en CLSC. Nous poursuivrons en effet nos efforts pour améliorer l’intégration et la continuité de nos services qui, en CLSC, ont un rôle très actif pour le maintien des personnes dans leur milieu de vie naturel. Ils assurent la bonne liaison entre nos services lors du congé de l’urgence ou de l’hospitalisation et, surtout, ils sont au centre de l’action pour la prise en charge rapide lorsque nous repérons une personne en perte d’autonomie ou à risque de perte d’autonomie. Nos travaux pour améliorer l’arrimage des services, jumelés à une plus grande optimisation de nos ressources, nous placeront en bonne position pour répondre aux besoins croissants de notre population de personnes âgées. Bonne nouvelle aussi pour ces secteurs! Nous avons reçu la confirmation, récemment, que notre établissement recevra une enveloppe budgétaire de 1,2 millions $ pour améliorer l’accès aux services en soins à domicile. Vers le milieu de vie en centre d’hébergement et en ressource intermédiaire d’hébergement Bien que nos efforts doivent porter prioritairement sur l’objectif de soutenir les personnes en perte d’autonomie à leur
domicile, nous sommes souvent placés devant la nécessité d’accompagner les personnes vers un milieu d’hébergement. Dans ce cheminement vers l’hébergement en établissement, je me dois de souligner le travail quotidien réalisé par l’équipe de travail social de notre CSSS, que ce soit en CLSC, en milieu hospitalier ou en centre d’hébergement. Ces équipes verront certainement comme une très bonne nouvelle la confirmation par l’Agence de la Montérégie que notre territoire a droit à 60 nouvelles places en ressources intermédiaires. Nous sommes d’ailleurs actuellement en processus d’appel de propositions pour le développement de ces nouveaux services. Ces projets se réaliseront dans les prochains mois. Toujours pour nos centres d’hébergement, l’automne sera l’occasion de démarrer le plan d’action organisationnel pour le développement du concept milieu de vie, l’une des grandes priorités de notre planification stratégique 2011-2015. Il s’agit d’un grand défi pour tous nos centres d’hébergement que de trouver le moyen de questionner de manière continue les pratiques institutionnelles. Les recommandations d’amélioration que nous avons reçues en juin dernier, à la suite de la visite de l’équipe ministérielle d’appréciation en CHSLD, seront des leviers pour aborder ce changement majeur dans nos milieux. Ce sujet fera d’ailleurs l’objet d’un échange particulier avec notre personnel des centres d’hébergement dans le cadre de la tournée du directeur général. Bon automne à tous!
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011 3
Magazine-SEPTEMBRE 2011_Layout 1 11-11-03 2:44 PM Page 2
Collaboration à des publications : du rayonnement pour deux de nos pharmaciennes
L
e ministre de la Santé et des Services sociaux a déclenché cet été le processus de renouvellement des conseils d’administration des centres de santé et de services sociaux. Il s’agit d’une opération majeure pour notre CSSS qui se déroulera d’ici janvier. Le nouveau conseil comptera au total 18 administrateurs, soit 17 personnes élues, désignées et nommées, plus le directeur général. De ce fait, la date du 18 octobre 2011 a été fixée pour finaliser la désignation des quatre membres du personnel et des professionnels qui siègeront au sein du conseil d’administration de notre établissement. Les avis de désignation ont été affichés dans toutes les installations le 12 septembre dernier. Pour l’administrateur désigné par le personnel non clinique, un scrutin par la poste se tient actuellement. Sept employés ont soumis leur candidature : Nom
Milieu de pratique
Stéphane Bouchard
Agent administratif #2
Joanne Fortin
Préposée salubrité (soir)
Marlène Gagnon
Agente administrative
Martine Laplante
Préposée aux bénéficiaires
Sylvain Ledoux
Salubrité
Serge Lussier
Ouvrier d’entretien général
Mathieu Savard
Préposé entretien ménager
L’ensemble du personnel non clinique inscrit sur la liste des électeurs a reçu un bulletin de vote par la poste et a jusqu’au 17 octobre, 17 heures, pour retourner le tout avec leur choix. Pour la personne désignée par le Conseil des médecins, dentistes et pharmaciens (CMDP), Dr Robert Duranceau, actuellement administrateur, a été désigné sans opposition. Pour la désignation du Conseil multidisciplinaire, incluant les membres du personnel infirmier auxiliaire, Mme Louise Larrivée a été désignée sans opposition.
2
L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
Lors d’une assemblée de ses membres, tenue le 26 septembre dernier, le Conseil des infirmières et infirmiers (CII) a eu à choisir entre deux candidats intéressés : Mme Manon Gauthier, infirmière et chef d’unité à l’Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe et M. Luc Pellerin, infirmier et conseiller en soins infirmiers pour le Service de prévention et contrôle des infections. Mme Manon Gauthier a officiellement été désignée à la suite du scrutin tenu lors de cette assemblée. Par ailleurs, d’ici le 18 octobre également, le Comité des usagers du CSSS procèdera à la désignation de deux de ses membres qui siègeront au conseil d’administration. Les quatre fondations reconnues du CSSS, la Fondation HonoréMercier, la Fondation Aline-Letendre, la Fondation du CLSC-CHSLD des Patriotes et la Fondation Santé Daigneault-Gauthier, doivent conjointement désigner un représentant au conseil d’administration du CSSS.
Mme Josée Filiatrault, pharmacienne au Département de pharmacie, a vu un article sur la thromboprophylaxie, auquel elle a collaboré, publié dans le Journal of Thrombosis and Thrombolysis, " Implementation and evaluation of a pharmacy-led thromboprophylaxis campaign in a community hospital". Mme Marie-Ève B. Dufresne, pharmacienne, et Dre Diane Poirier, directrice des affaires médicales, ont collaboré à la revue Pharmactuel : La revue internationale francophone de la pratique pharmaceutique en établissement de santé (numéro de juillet-aoûtseptembre 2011). Leur article se nomme Insuffisance rénale aiguë chez un patient adulte secondaire à une interaction possible entre la ceftriaxone et le calcium. Pour lire cet article, visitez le lien suivant : http://www.pharmactuel.com/article.asp?article=473 Nous tenons à les féliciter.
Fondation Aline-Letendre TOURNOI DE GOLF GERMAIN LARIVIÈRE Le 4 août dernier se tenait, au Club de Golf Saint-Hyacinthe, la 6e édition de la Journée de golf Germain Larivière au profit de la Fondation AlineLetendre. En cette journée exceptionnelle, où la température était excellente, plus de 156 golfeurs ont répondu à l’appel de Monsieur Jean Larivière et de la Fondation, permettant d’amasser plus de 27 500 $ en profit net pour la poursuite de la mission de la Fondation AlineLetendre qui est de rehausser la qualité de vie de tous les résidents de l’Hôtel-Dieu-de-Saint-Hyacinthe.
Élection de la population Il y aura élection de deux personnes provenant de la population pour siéger au conseil d’administration du CSSS Richelieu-Yamaska. Les personnes intéressées à participer à l’administration des services de santé et des services sociaux sont invitées à poser leur candidature aux sièges réservés à la population. La date limite de mise en candidature a été fixée au 3 octobre 2011, à 17 heures. S’il y a plus de candidats que de postes à combler, un avis sera émis et indiquera la liste des candidats ainsi que le lieu et l’heure du scrutin qui se tiendra le 1er novembre 2011. D’ici le 1er février, date d’entrée du nouveau conseil, huit autres administrateurs se joindront au groupe : deux personnes nommées par l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie et six personnes qui seront nommées par cooptation par les administrateurs élus et désignés. Des six personnes cooptées, au moins une devra provenir de recommandations faites par les organismes communautaires de notre territoire.
5e ÉDITION DU DÉFI VÉLO SANTÉ DE LA FONDATION ALINE-LETENDRE : UN AUTRE ÉCLATANT SUCCÈS Plus de 175 participants auront emprunté, le 11 septembre dernier, les quatre parcours offerts. L’objectif financier de 20 000 $ de profit net a été atteint. Des grands-parents jusqu’aux petits enfants, les familles étaient présentes à cette grande activité familiale. Merci à tous nos bénévoles et à nos précieux commanditaires qui ont permis d'assurer le succès de cette journée.
Fondation Honoré-Mercier Fondation CLSC-CHSLD des Patriotes
LES HONNEURS POUR MANON DESJOURDY, INFIRMIÈRE SPÉCIALISÉE EN SOINS DE PLAIES Notre CSSS a de quoi être fier! Mme Manon Desjourdy, stomothérapeute, est devenue la première francophone à remporter les grands honneurs lors de la conférence de l’Association canadienne des stomothérapeutes, qui s’est tenue à Montréal en mai dernier. Elle s’est démarquée en remportant deux prix académiques prestigieux du Programme de formation des infirmières stomothérapeutes :
Mme Desjourdy travaille à la DPSPSIPP, au Service de la prévention et du contrôle des infections
1) Prix pour la plus haute note pour le cours « Gestion de la continence » (programmes anglophones et francophones combinés); 2) Prix « Bill Carcary Award » pour la plus haute note combinée pour les trois cours du programme, à égalité avec une étudiante du programme anglophone. Nos félicitations pour ce bel accomplissement! UNE BELLE RÉUSSITE POUR LA JOURNÉE DES FAMILLES 2011 À ACTON VALE La Journée des familles avait lieu le 10 septembre dernier à Acton Vale. Organisé par les tables 0-5 ans et À toute jeunesse, l'événement a rassemblé plus de 1200 personnes, qui ont célébré en famille et rencontré diverses ressources du milieu. Un grand MERCI à tous ceux qui ont contribué à cette belle réussite.
Fondation Aline-Letendre Fondation Santé Daigneault-Gauthier
Toutes nos fondations ont maintenant leur site Internet. Pour les visiter :
santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska L’ÉCHO DU RÉSEAU SEPTEMBRE 2011
15
3 octobre Mois du sein Journée ruban rose : portez votre ruban!
RH Du 2 au 16 octobre Affichage des postes
28 octobre 25e édition du Souper spaghetti du Centre d'hébergement Andrée-Perrault Collège Saint-Maurice 18 h
Du 1er au 7 octobre Semaine mondiale de l’allaitement
12 octobre ranché avec la i-b id M oise Société québéc nie ré ph zo hi de la sc à h De 12 h à 13 de m l’auditoriu l’hôpital
2 novembre Début de la campagne de vaccination grippe
s votre (détails à venir dan prochain numéro)
RH 5 octobre Date limite pour faire un changement de disponibilité Midi-branché post-partum hôpital 8 h 15, 12 h et 15 h
13 octobre Journée provinciale des préposés en hygiène salubrité
RH 2 novembre Date limite pour faire un changement de disponibilité
6 octobre Midi-branché sur la dépression post-partum CLSC d’Acton : 10 h : CLSC des Patriotes 12 h
CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX RICHELIEU-YAMASKA
SEPTEMBRE 2011 - VOL. 2, NO 5
pages 5 à 8
Du 17 au 21 octobre Semaine de l’hygiène des mains
9 décembre Party de Noël du CSSS La croisière s’amuse!
Douze centenaires du Centre d'hébergement de l'HôtelDieu-de-Saint-Hyacinthe ont été honorés lors d'une célébration en leur honneur, en compagnie des membres de leur famille, le 23 septembre dernier. M. Léopold St-Laurent (100 ans) Mme Jeannette Bienvenue (107 ans) Mme Simonne (Benoit) Provost (100 ans) Mme Marguerite Gaucher (102 ans) Mme Thérèse Côté (100 ans) Mme Julie Rioux (McDuff) (100 ans) Mme Gisèle Allard (100 ans) Mme Ida Mealey (Boulay) (100 ans) Mme Jeanne Messier (100 ans) Mme Angelina Benoit (Lamontagne) (102 ans) Mme Armandine Marchessault (Lecours) (102 ans ) Mme Ernestine Toupin (Lafrance) (100 ans )
RH : dates importantes à noter concernant les ressources humaines.
SPÉCIAL AGRÉMENT page 9
LEAN EN CLSC : LE SOUTIEN À DOMICILE EN ACTION page 13
SEMAINE MONDIALE DE L’ALLAITEMENT page 15
SEMAINE DE L'HYGIÈNE DES MAINS
Prochaine parution du magazine : Novembre 2011 Date limite pour suggestion de sujets : Vendredi 7 octobre 2011 Date limite pour activités à inscrire au calendrier des activités : Vendredi 7 octobre 2011
L’Écho du réseau est une réalisation de la Direction des communications et des relations publiques. Si vous avez des nouvelles ou des commentaires, n’hésitez pas à les transmettre à Martine Lesage, conseillère en communication, par courriel : martine.lesage@rrsss16.gouv.qc.ca ou par téléphone : 450 771-3333, poste 3354 www.santemonteregie.qc.ca/richelieu-yamaska
Infographie Denis Kiopini Impression Imprimerie Maska
RENOUVELLEMENT DU CONSEIL D'ADMINISTRATION :
UN IMPORTANT PROCESSUS EN COURS
Page 8
Page 2
L’HÔTEL-DIEU FÊTE 12 CENTENAIRES Madame Gisèle Allard était l’une des 12 centenaires qui ont été fêtés au Centre d’hébergement de l’Hôtel-Dieu, le 23 septembre dernier. Une messe a été célébrée dans la chapelle du centre pour souligner ces 12 siècles de vie. Page 16