. DANDY POST
Prix : 1,99€
. SUMMER 2014 .
DANDYBOX - PREMIERE LIFESTYLE BOX POUR HOMMES DE GOÛT
LIVRE DANDYBLOG SORT SON PREMIER GUIDE AVEC HACHETTE ART DANDY À LA DECOUVERTE DES ARTISTES BALIBART
.EDITO . Cher Dandy, L’été approche et avec lui l’insouciance des longues soirées entre amis ou encore la perspective de nos vacances au bord de mer meublent désormais nos esprits relativement amorphes, qui retrouvent enfin un peu de légèreté après un hiver rude et un printemps professionnellement éreintant. Aussi, profitons de la douce superficialité de saison pour revenir à nos premières amours artistiques. En effet, cette DandyBox du Gentleman Arty célèbre l’art et la culture dans toutes ses formes. D’une part, libérez votre esprit et accordez vous un moment de lecture en savourant le premier ouvrage du DandyBlog, ‘Le Guide de l’homme de goût’ qui, en 100 articles,
vous livre un traité de style et de cool way of life à en faire pâlir d’envie le plus grand des dandys. Découvrez ensuite l’univers artistique de 10 talents contemporains qui, par le biais des tirages d’art Balibart présents dans votre coffret, vous permettent d’accéder à certaines de leurs plus belles créations. DandyBox révolutionne ainsi le marché des coffrets Lifestyle en vous proposant un objet d’art unique et revendique son soutien clair aux jeunes artistes. De plus, DandyBlog vous donne ici les clefs de l’explosion de l’art urbain, certain qu’un tel phénomène de société ne vous a pas laissé indifférent. Enfin, histoire de vous divertir, découvrez notre interview de
la talentueuse Joséphine Draï, artiste polymorphe à l’humour aiguisé. Bien entendu, il va sans dire que cette DandyBox, concoctée dans la perspective de l’été, recèle les accessoires obligatoires du séducteur accompli qui souhaite se faire plaisir avec les soins hauts de gamme que nous lui avons dénichés. Ce Dandy de saison appréciera de plus les surprises High Tech que nous lui réservons, et qui assureront résistance à son Smartphone en toute circonstance… En vous souhaitant le plus bel été possible… Rémi Martini, rédacteur en chef
PREVIOUSLY IN DANDYBOX
Notre précédent opus masculin, ‘La DandyBox du Gentleman Driver’ célèbre le Printemps telle la renaissance de l’homme de goût. En effet, ce coffret, coloré et rafraîchissant, se présente comme l’artifice obligatoire d’une élégance renouvelée, au volant d’un bolide, les cheveux au vent. Cette box contient pour plus de 180 euros de valeur-produits avec un porte clés d’exception de la marque tendance HOON qui magnifiera le sésame de votre Ferrari, une montre d’inspiration vintage Rich Gone Broke qui vous assurera style et ponctualité lors de vos prochaines sorties de Printemps et enfin un soin haute-performance de la marque 66°30 et un produit capillaire nouvelle génération Studio Line de L’Oréal Paris histoire d’afficher un teint hâlé et lumineux ainsi qu’une coupe impeccable, au volant de votre décapotable. Last but not least, le DandyPost dégaine son plus beau bolide et vous permet de réviser vos classiques par le biais de notre To Do list du Gentleman Driver. Il vous permet de plus de vous évader avec les confidences de la belle Helena Noguerra et enfin prendre le large avec l’être aimé. Bref, une surprise d’exception, un cadeau inoubliable. Fort de son succès, nous proposons encore cet opus à la vente ! N’attendez plus pour (vous) offrir la box la plus luxe du marché. www.DandyBox.com
COMMANDEZ - LA SUR DANDYBOX.COM
SOMMAIRE • Previously in DandyBox - Page 1 • ‘Le Guide de L’homme de Goût’, le premier ouvrage du DandyBlog.’ - Page 2 • Art Dandy par Balibart - A la découverte de nos artistes - Page 3-4 • Tribune : Mettre un pied dans l’art urbain - Page 5 • Coup de cœur : Joséphine Draï répond au DandyBlog - Page 6 • Menu des réjouissances - Page 7
1 DANDY POST - SUMMER 2014
LE GUIDE DE L’HOMME DE GOÛT le premier ouvrage du DandyBlog.
« Je suis un personnage, donc un mythe. J’ai mon look, je suis le précurseur du néo-dandysme. Et ma barbe de deux jours me demande beaucoup de soins ». Serge Gainsbourg
Homme de goût, mais homme avant tout, cet ouvrage est fait pour vous. En 100 articles, votre rédaction du DandyBlog livre un traité de style et de cool way of life à en faire pâlir George Clooney… What else ?
Lancé en 2012, DandyBlog.com se définit comme un « magazine masculin tendances et lifestyle » pour hommes de goût. La recette ? Une ligne éditoriale so dandyesque, riche d’un large champ d’expertise mêlant interviews de créateurs et articles variés, indispensables au gentleman moderne : des conseils pour parfaire son vestiaire, le dernier restaurant où il faut être ou encore l’exposition à ne pas manquer... Le tout sur un ton décalé mais affirmé. www.dandyblog.com
DandyBlog livre un
Le teasing, les exemples :
• Un Dandy peut-il boire de la bière ? • Mode d’emploi pour convertir une Facebook Friend en conquête • Apprendre le Girlish, seconde langue du Dandy • Dimanche pourri, que fait un Dandy ? Toutes les réponses, les conseils et les bons plans pour relever les défis d’une vie de Dandy avec style et panache. Et aussi : les DON’T du Dandy, des guides de survie en société (arts, littérature, culture ciné…), des B.-A.- BA culinaires pour Dandy gourmet, des portraits de Dandies mythiques, plus de 150 adresses branchées.
ropos ? on oublie)
maître du jeu. e le girlish ; La quer des points
dèle ? Comment
s, B.A.-BA de
ofil Facebook…
ses failles avec
pour vivre avec
A l’approche de l’été, et histoire de vous donner un petit aperçu de l’ouvrage, découvrez un article ci-après (présent dans le Guide)... qui confirmera sans peine votre bon goût et votre panache !
A l’origine du contenu ? Rémi Martini, co-fondateur du DandyBlog et sa rédaction qui parcourent le web et la presse pour dénicher le contenu qui saura ravir tout gentleman moderne.
En vente sur Amazon.fr et dans toutes les bonnes librairies, à partir du 2 juin 2014. Prix public conseillé 14.90€. Format : 148 x 196 - 208 pages
12 DANDY POST - SUMMER 2014
DANDYBLOG.COM
ART DANDY PAR BALIBART À LA DÉCOUVERTE DE NOS ARTISTES Dawn Dudek – Rear Window
Parlez-nous de vous : Née à Winnipeg, je me suis installée à Toronto où j’ai obtenu mon diplôme à l’université des Arts d’Ontario. J’ai ensuite travaillé dans le graphisme digital en tant que directrice de l’animation puis dans le online media en tant que directrice artistique. Depuis, j’ai pu exposer ma série de peintures Filmscapes, dont est issue Rear Window, en France, en Espagne, à Monaco et deux fois lors du prestigieux salon de la Société Nationale des Beaux-Arts dans le Carrousel du Louvre à Paris en 2008 et 2009. Mon plus beau moment a été de pouvoir exposer au 63ème Festival de Cannes en mai 2010. Parlez-nous de cette œuvre : J’ai réalisé deux peintures inspirées de Grace Kelly dans les films d’Hitchcock. Je souhaitais explorer deux moments différents pour chacun de ses films. Cette œuvre est donc issue de Fenêtre sur cour. Qu’est-ce qui vous inspire en général ? Je m’inspire de toutes les images que l’on retrouve dans la culture populaire, des films à la photographie. La musique m’inspire également beaucoup quand je peins, je ne peux pas travailler sans musique ! Décrivez-vous en 3 mots qui viennent du cœur ! Marrante, curieuse, créative, « rule breaker » !
Berit Baerentsen – Urban Green
Parlez-nous de vous : Née au Danemark, j’ai vécu dans plusieurs pays ces dernières années. Je vis et travaille en ce moment au milieu du Danemark (sur l’île de Funen). Je n’ai pas particulièrement étudié l’art mais je m’inspire de ce qui m’entoure et de mon quotidien. Parlez-nous de cette œuvre... A chaque fois que je me retrouve dans une grande ville, j’ai envie d’être proche de la nature, et dès que je suis perdue dans la nature, les vibrations de la ville me manquent. Dans cette œuvre, je peux enfin vivre dans un endroit où je profite des deux. Qu’est-ce qui vous inspire en général ? La nature, les gens et les relations que j’entretiens avec eux. Décrivez-vous en 3 mots qui viennent du cœur ! Hyperactive, attentionnée, marrante !
Marie Rouillon – Triangle Qui est Marie Rouillon ? Née en 1987 à Paris, Marie Rouillon est une artiste multidisciplinaire. Diplômée en 2011 d’un Master en design textile de la St Martins School, elle vit et travaille à Londres. Fascinée par le rôle que jouent les matières dans les interactions quotidiennes entre les utilisateurs et les objets les environnant, Marie Rouillon cherche à réintroduire et redonner une importance aux expériences sensorielles trop souvent délaissées ou peu prises en compte dans notre vie de tous les jours. Elle travaille avec divers matériaux, créant des surfaces étonnantes à la fois visuellement dans ses illustrations et peintures, et au toucher dans ses scénographies, sculptures et bijoux. Parlez-nous de cette œuvre...Cette œuvre a été créée numériquement à partir d’une peinture à l’encre sur papier. La texture froissée du papier au second plan rappelle un relief montagneux ou océanique, qui contraste avec la figure du triangle central, blanc, glacial, comme un éclat de verre qui se détache du fond et semble planer au dessus, telle une figure en trois dimensions. Qu’est-ce qui vous inspire en général ? Les couleurs, matières et surfaces qui nous entourent. La beauté des choses du quotidien que l’on n’observe pas ou peu, les contrastes inattendus. Décrivez-vous en 3 mots qui viennent du cœur ! Tactile, expérimentatrice, multidisciplinaire.
Jérôme Romain – Dans le bain
Micosch Holland – Nobody in the Air Qui est Micosch Holland ? Micosch Holland vit et travaille à Schondorf am Ammersee en Allemagne. Depuis sa naissance à Mönchengladbach en 1968 beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. Après des études de Beaux-Arts à l’Academie Beeldende Kunsten à Maastricht, il décide de partir à Berlin pour gagner sa vie en tant que graphiste, comme beaucoup d’artistes avant lui. Micosch Holland a reçu de nombreuses distinctions pour son travail de directeur artistique. En parallèle de sa carrière, Micosch est invité à organiser de nombreuses expositions solos de son travail. Lors d’une de ces expositions, son talent est repéré et ses œuvres sont maintenant collectionnées par le Bayerische Staatsgemäldesammlung – La Collection de l’Etat Bavarois. Parlez-nous de cette œuvre… Multi-segment. Qu’est-ce qui inspire en général ? La folie quotidienne de la vie. Décrivez-vous en 3 mots qui viennent du cœur ! Cette autre chose.
Nushka – Interieur Collectionneur IV Parlez-nous de vous :Mes toiles montrent et représentent de multiples facettes d’un seul et même sujet : la beauté voilée, distante et intouchable. J’appelle le spectateur au plus près de mon émotion tout en le tenant froidement à l’écart, un mouvement qui caractérise toutes mes séries et reflète ma personnalité. Je cherche à visiter la structure de la figuration : la technique et la composition ne sont pour moi qu’un prétexte, une recherche plus abstraite qu’est l’architecture du beau. Parlez-nous de cette œuvre... C’est un collectionneur australien qui m’a acheté une œuvre et invité à peindre ce que je voulais chez lui, je pense qu’il s’attendait à un portrait ! Qu’est-ce qui vous inspire en général ? Les modalités du beau. Décrivez-vous en 3 mots qui viennent du cœur ! Obstinée, indépendante, fragile.
3 DANDY POST - SUMMER 2014
Parlez-nous de vous : En un mot, pour que toute modernité soit digne de devenir antiquité, il faut que la beauté mystérieuse que la vie humaine y met involontairement en ait été extraite. Parlez-nous de cette œuvre... Dans le bain. C’est la première toile d’une série “d’intimité féminine”. Je tente de capter dans ces œuvres des moments simples de la vie des femmes comme si j’étais un spectateur omniscient. Qu’est-ce qui vous inspire en général ? La vie de tous les jours, les peintures anciennes, les soirées, mes lectures, les comportements sociaux... Tout ce qui fait ma vie par petites touches. Décrivez-vous en 3 mots qui viennent du cœur ! Persévérance, observation et doute.
ART DANDY PAR BALIBART Jason Ratliff – Sinatra
Hasselblad_LUNAR_Wood_Ad_half380x289mm_FR.pdf
1
25/02/2014
Parlez-nous de vous : J’ai suivi des études de design à l’université de Purdue dans le West Lafayette (Indiana) aux côtés du professeur et artiste Dennis Ichiyama qui a ensuite été une grande source d’inspiration pour moi. A la suite de mes études, j’ai travaillé dans le monde du design et suis aujourd’hui directeur artistique chez Bradley and Montgomery, une agence publicitaire américaine. Mes travaux personnels ont été présentés chez Urban Outfitters, dans le USA Today et Juxtapoz Magazine entre autres. Parlez-nous de cette œuvre… Cette œuvre est extraite d’un de mes carnets de croquis où je m’essayais à mélanger des modèles victoriens avec mes illustrations. J’ai toujours aimé le travail qui se fait en amont de l’œuvre d’art. Personnellement, je préfère le dessin préparatoire à l’œuvre finale, et c’est ce que j’essaye de montrer dans mes illustrations. Les présenter dans un état presque inachevé où l’on devine les traits de crayon et les parties du dessin qu’il reste encore à colorier. Qu’est-ce qui vous inspire en général ? Beaucoup de choses m’inspirent : la photographie, la mode, le design, l’abstrait, l’art réaliste ou surréaliste, la musique, le cinéma… J’aime lorsque l’art raconte une histoire, lorsqu’il a un message à transmettre ou en tout cas un sens plus profond qu’en apparence. En soi, je peux être inspiré par tout ce qui est bien fait. Décrivez-vous en 3 mots qui viennent du cœur ! Exigeant, curieux, chanceux.
Sammy Slabbinck – Advance & Big Push
Qui est Sammy Slabbinck : Sammy Slabbinck est un artiste belge qui vit à Bruges. Directeur artistique, il réinvente le collage surréaliste sur papier, en combinant d’anciennes photographies avec des styles contemporains. Les images sont découpées et redistribuées, en jouant sur l’exagération et les proportions. Elles sont placées dans un contexte inverse, en juxtaposant des idéaux modernes et des états d’esprit traditionnels. Parlez-nous de ces 2 oeuvres... Advance, focus, shoot : Cette œuvre a été réalisée en l’honneur d’une photographie analogue. Etant donné que la plupart de mes œuvres sont faîtes de photographies anciennes, je sentais qu’il était temps de leur rendre hommage. The Big Push : Cette image est une célébration de la figure féminine, la plus belle œuvre d’art jamais réalisée. Dans ce collage, le corps est représenté comme le sommet du beau.
Qu’est-ce qui vous inspire en général ? La beauté dans les détails et la découverte du parfait équilibre dans les compositions. Décrivez-vous en 3 mots qui viennent du coeur ! Créatif, tenace, facile.
10:19
Publicité
TRIBUNE METTRE UN PIED DANS L’ART URBAIN
Si vous allez au travail en taxi et que votre téléphone est un 3310, alors vous avez peut être réussi à passer à travers la déferlante du Street Art. Par chance, vous êtes un dandy. Vous avez vu l’affiche de la campagne d’Obama, croisé une casquette Obey, visité (veinard) la tour 13 et peut-être même téléchargé l’application My Paris Street Art. Le DandyBlog a missionné l’agence Rencart pour vous donner les clefs de l’explosion de l’art urbain.
Graffer pour exister
Du graffiti au street Art
Les vandales (ndlr: graffeurs œuvrant dans l’illégalité) sont apparus à New York et à Philadelphie à la fin des années 70. La légende veut que le coursier Taki 183 soit le premier à avoir peint son nom d’artiste accolé au numéro de sa rue, à travers New York. Le succès est immédiat.
En 88, Invader lance sa grande opération d’invasion. Les petits monstres venus de l’espace colonisent la capitale et sont représentatifs d’un nouveau tournant. Collages (JR), tricots (Magda Sayeg), végétaux (Mosstika!), pochoir (Banksy, C215), le street art est né. Les institutions publiques et privées ne peuvent rester longtemps insensibles à un tel foisonnement : d’abord la galerie du jour d’Agnès B, puis l’incroyable exposition Tag au Grand Palais et surtout le panorama “Né dans la rue” de la fondation Cartier. L’art urbain a son public, et ceux qui ont fait 7h de queue pour la magnifique tour 13 peuvent en témoigner.
Les pionniers du graff cartonnent la ville (Seen, Futura 2000 etc) pendant que les “wholecar” (métros entièrement recouverts) la traversent. Les styles s’enrichissent (3D, wildstyle, block) et s’exportent outre-Atlantique dans les années 80. Paris est alors un vaste chantier (Louvre, Les halles et Stalingrad), ces palissades sont autant de toiles tendues pour les nouveaux vandales (Nasty, Psyckoze etc).
Qui dit célébrité dit opportunité Les marques de luxe (Vuitton, Hermès) fidèles à leur politique de collaboration artistique se sont engouffrées dans la brèche de l’art urbain. Mais que vient faire le street art chez la célèbre marque au monogramme? “L’offre d’art contemporain est énorme, tout comme son impact, qui interfère dans notre façon de vivre” Marc Jacobs[1]. Porté par l’inénarrable créateur et son enthousiasme pour l’art contemporain, les produits prennent une nouvelle valeur. Ils sortent de leur dimension marchande pour s’attacher à un univers esthétique visuellement très fort. Les foulards et les malles de la collection Louis Vuitton 2013 se sont ainsi parés de “calligraffiti” réalisés par El Seed dans des couleurs éclatantes.
Comment le dandy peut-il prendre part à la culture urbaine? Rencart et le DandyBlog vous donnent quelques indices pour augmenter votre “street credibility”. Attention nous ne soutenons pas la création vandale ! • FRÉQUENTEZ LES LIEUX DE CRÉATION Nombreux sont les lieux où retentissent le cliquetis des bombes. Nous vous recommandons la toute récente Manufacture 111 (111 rue des Pyrénées), puis promenez-vous à Belleville rue Desnoyer et terminez au point éphémère dans le 19ème. N’oubliez pas de surveiller les prochaines dates du Musée imaginaire! • ACHETEZ VOTRE MATÉRIEL Pour commencer, rien ne vaut la classique bombe 94 de Montana et le posca XXL. Vous pourrez les trouver chez Allcity (8 rue Pasteur, 75011) ou Polymex (45 Rue de la Chapelle, 75018).
[1] Entretien avec Valérie Duponchelle, Le Figaro, 23 juin 2008. Photos sous licence Creative Commons: · oceanaris · groume · passion leica · rencart
5 DANDY POST - SUMMER 2014
COUP DE COEUR Joséphine Draï répond au DandyBlog
J O É S P I H N E DandyBlog : Tout vous réussi en ce moment ? Votre spectacle Joséphine Ose a cartonné et depuis vous n’arrêtez pas ! Joséphine Draï : Oui, en 3 ans j’ai fait 200 dates ! J’ai commencé dans une petite salle de 100 places, dans le Sentier, à Paris. J’ai tout de suite eu une très bonne presse. Je partais de rien mais le bouche à oreille a fonctionné tout de suite dés la première semaine ! Cela m’a permis « de sauter une classe » et ça m’a bien arrangé, car je me décourage très vite, ça m’a mis dans de bonnes conditions. C’était fragile de monter sur scène et cela a déclenché des petits rôles dans des comédies, comme « Paris à tous prix ». Je suis aussi à la radio sur France Inter, tous les jours, dans « On va tous y passer » où je fais une chronique et j’interviens aussi pendant toute l’émission 11h à 12h30. DB : Et le livre ? JD : Il sort le 4 Juin, je l’ai co-écrit avec Alexandra Cismondi. « Fille qui roule n’amasse pas mec » est un anti-guide de la loose. On part du principe qu’il y a toujours pire que vous ! En gros, ma philosophie est : « ça pourrait aller plus mal » ! C’est divertissant, c’est sur les galères de la vie, le bricolage et l’arrangement au quotidien. On est tous concerné à un moment ! Vous irez mieux en lisant ce livre. DB : Vous avez souvent des galères ? JD : Oh oui ! Des tas ! Cela va de la peau grasse à être coincée dans un ascenseur ou encore rater sa correspondance à l’aéroport car on s’est acheté un parfum en duty free shop ! Mais ma vraie galère, c’est mon poids ! Je suis trop gourmande, donc je grossis facilement, mais il y aussi un bon coté a avoir un gros cul. DB : Les hommes et les femmes ont-ils le même humour ? JD : Oui je pense, je ne fais pas de distinction. On ne l’exprime pas de la même façon, mais hommes et femmes, même s’ils sont différents rient souvent des mêmes choses. DB : En quoi sont-ils différents ? JD : Les femmes vont plus dans le sacrifice et la fusion, les hommes sont plus individualistes. L’homme envisage la vie d’une façon différente, j’appelle ça de l’égoïsme, alors que c’est une perception différente
Coup de cœur, Joséphine Draï, une artiste aux mille talents Joséphine Draï est partout. Depuis qu’Alain Bashung s’est penché sur son berceau en lui murmurant « Osez, Osez Joséphine », elle enchaine les projets, à la radio où elle fait une chronique sur France Inter, sur Canal Plus, au théâtre Hébertot, où elle a joué son spectacle à guichet fermé, à la télévision où elle tourne avec Laetitia Casta, dans les librairies où son premier livre sort….Fille qui roule n’amasse pas mec : antiguide de la loose chez J’ai lu, dans la collection humour. Et ce n‘est que le début ! Depuis mai, vous pouvez la voir dans « FranceKbek », une série à l’humour décalé et absurde de Jonathan Cohen et Jérémy galant. Joséphine a accepté de répondre à nos questions.
des priorités. Je m’explique : les filles sont dans une sur-attention du couple, et les garçons placent leur attention ailleurs. Cela ne veut pas dire qu’ils n’aiment pas, mais les hommes cherchent d’abord à être bien. Par exemple, je ne peux pas forcer mon copain à aller aux fêtes de famille. Ce n’est pas son truc, même pour moi il ne le fera pas, alors que moi je peux faire des choses juste pour lui. Les femmes se plient en 4 pour les hommes, les hommes nous rendent rarement la pareille ! Un conseil à donner aux hommes : n’essayez pas de comprendre les femmes. Mais agissez, surprenez nous un peu….sortez des rails. DB : Le pire défaut des femmes à tes yeux ? JD : Il y en plein ! Elles sont moins frontales, elles manœuvrent plus. Mais les filles de ma génération sont souvent libres, comme les hommes, elles pensent à leur carrière et à se réaliser professionnellement. Elles sont fortes, peu impressionnables. Dans mon entourage, les femmes que je côtoie sont complètes, elles sont sur tous les fronts. Elles veu-
lent tout et savent s’organiser pour tout avoir. C’est une vraie progression par rapport à la génération précédente. Mais il y aussi les paumées du look comme ce truc qui vient du look Rihanna : les talons de 16 cm, le look pétasse qui veut être sexy à tous prix, quitte à avoir une démarche de cigogne ! On voit bien qu’elles ne sont pas à l’aise et que cela ne leur appartient pas ! ça me fait de la peine, de voir ces filles vouloir se conformer à une idée de la femme qui ne leur correspond pas ! J’aime les talons mais pas aussi haut, j’aime pouvoir bouger, être libre. DB : Et en mode, où vont tes préférences ? JD : Pour les hommes, je déteste les souliers à bouts carrés ou trop pointus, les jeans évasés, les jeans faussement délavés au niveau des cuisses et des genoux. J’aime le look anglais, avec un twist d’humour, les vestes en tweed, les pantalons de couleur. Mon mec s’habille chez Ted Baker (tedbaker.com) et chez COS, ils font de très beaux pulls mais sobres avec un beau travail sur la maille, une belle recherche de matière. Ils ont de beaux basiques, faciles à mélanger. J’aime aussi El Ganso (elganso.com), une marque espagnole, qui arrive en France avec de jolis détails décalés et des pantalons en toile de toutes les couleurs. DB : Le détail qui tue ? JD : Le truc qui casse, je peux quitter la table, face à quelqu’un qui mange la bouche ouverte ! C est horripilant. Je déteste les T-shirts promotionnels, genre le vieux festival d’été. Ils sont souvent en taille XL bien larges, bien flottants, et anti glamour !
Joséphine Draï et Alexandra Cismondi, coauteures du spectacle Joséphine ose ! publient Fille qui roule n’amasse pas mec : antiguide de la loose chez J’ai lu, dans la collection “Humour”, le 4 juin dans toutes les bonnes librairies.
6 DANDY POST - SUMMER 2014
Crédits photo. Zanko
VOTRE DANDYBOX Tirage d’art par BALIBART
Balibart est né de la rencontre entre des artistes prometteurs du monde entier, un atelier de tirage d’art professionnel et un artisan encadreur. Ensemble, ils ont souhaité réinventer nos intérieurs en proposant des tirages d’art authentiques et originaux, vendus en édition limitée exclusivement sur Balibart. Leurs artistes sont illustrateurs, collagistes ou peintres, directeurs artistiques de grandes marques ou collaborateurs pour des magazines connus comme le NY Times. Tous les tirages sont accompagnés d’un certificat d’authenticité signé par l’artiste. Balibart, offrez-vous de l’art. Votre cadeau : Les tirages d’art Balibart sont réalisés par un atelier professionnel qui accompagne de nombreuses galeries. Cet atelier utilise un papier Hahnemühle William Turner 310g/m2 ainsi que les encres Epson Ultrachrome qui garantissent un respect irréprochable des couleurs et des détails. Les tirages sont encadrés, prêts à être exposés chez soi ou à offrir. Ils sont de plus numérotés à la main et accompagnés d’un certificat d’authenticité signé par l’artiste.
Prix Public: 49€
www.balibart.com
Batterie de secours, adaptateur universel et adaptateur iPhone 5 par XOOPAR
Eau de Toilette et Fluide Hydratant Protecteur CADE par L’OCCITANE EN PROVENCE
Xoopar est spécialisé dans les produits hightech et les accessoires pour smartphones et tablettes. En 3 mots, les valeurs de Xoopar sont : le design, l’innovation et la simplicité. A l’approche de l’été, immortalisez vos souvenirs de vacances sans risque de problèmes de batterie ou de connectique avec les surprises High Tech que nous vous réservons (également pratiques pour ne pas manquer une date programmée à une heure tardive).
Vos cadeaux :
Votre cadeau : Batterie de secours PLUS 1500mHa Li-Polymer pour recharger les téléphones Android, les appareils photos, les Mp3 (mini 5 pin) ou les iPhones, iPods… Se recharge ensuite via USB. Indispensable pour vos déplacements, cette batterie de secours nomade vous permettra de recharger les batteries de votre smartphone où que vous soyez.
L’histoire commence en Provence, en 1976, quand Olivier Baussan crée L’OCCITANE. Il s’inspire des cultures de Méditerranée pour créer des soins et parfums naturels et authentiques, efficaces et gourmands. L’OCCITANE propose des produits de beauté et parfums sensoriels de haute qualité. Ils privilégient les ingrédients naturels traçables dans des formules inspirées de l’art de vivre méditerranéen.
L’eau de Cade Fluide Hydratant Protecteur Cade Depuis des généraLe bois de cade produit une huile tions, les bergers de précieuse aux vertus protectrices Provence se transet réparatrices, un secret que les mettent de père en bergers de Provence transmetfils les secrets du taient de génération en générabois de cade, symtion. lls utilisaient en effet cette bole d’un caractère huile précieuse pour se protéger affirmé et de valeurs quotidiennement de la gifle du fortes de tradition vent et du soleil provençal. et de générosité. Comme dans l’ancien temps, L’Eau de Cade, inL’Occitane s’inspire aujourd’hui tense et lumineuse, du cade pour offrir des soins exhale avec ardeur protecteurs, régénérants et apaiun homme de carsants afin de lutter contre les -actère. Le cade, c’est aussi le genévrier. Du bois de agressions extérieures quotidiennes et propose cet arbuste, L’OCCITANE extrait une huile aux ainsi son Fluide Hydratant Protecteur, un soin notes aromatiques soutenues par des accords boisés multibénéfice au parfum doux à l’odeur chaude qui ancrent la fragrance dans l’authenticité, le souet boisée conçu à base d’huile essentielle de cade. venir des transhumances estivales et des chauds effluves de haute garrigue. Une structure tout en force, Prix public : 30€ relevée de notes épicées et croquantes, cette odeur envoutante nous parle d’un bois sec qui craque sous chacun de nos pas. Emblématique de la ligne Homme de L’OCCITANE, son flacon en forme de flasque est à l’image d’une Provence chaleureuse, brute et lumineuse. Du verre laqué et la nouvelle pompe Signature de la marque. Une ode à la virilité. Prix public : 46€
De plus, découvrez l’adaptateur universel SPIDER (Micro USB, USB, 30pin, Mini USB). Cet objet permet la charge, la connexion et la synchronisation de tous les périphériques. Compatible avec tous les smartphones (iPhone, Samsung, etc.), mais aussi avec les appareils photo, les enceintes nomades, les GPS… Et enfin, l’adaptateur LIGHTNING (iPhone 5) pour connecter vos appareils via Micro USB.
NE MANQUEZ PAS NOTRE NOUVEAU COFFRET FEMININ HAUT DE GAMME, LA FEMME PAR DANDYBOX #2, HAPPY SUMMER.
Prix public total : 39,90€ www.xoopar.fr
Disponible à la vente sur DandyBox.com
DANDY POST - SUMMER 2014