Convergence N°55 by DSI Deltaholding

BULLETIN INTERNE DE DELTA HOLDING 3ème trimestre 2012

N°55-SEPTEMBRE 2012

EDITO 01 EDITO

Message M. Fouad FAHIM

02 EN MARCHE

OCP – AIC Métallurgie : Un partenariat stratégique pour booster la croissance

04 INVITÉ

Interview : Un nouveau cap dans la gestion des ressources humaines du groupe

08 FOCUS

• Un trophée, pour Bituma, qui honore le sport national • Une eau saine et pure pour tous, une priorité pour Sogetrama GLS • Contribution active de delta holding à la modernisation du transport urbain • Résultats DHO 1er semestre 2012

016 VOTRE RUBRIQUE

• EPI: Équipements de Protection Individuelle • Fait Insolite

018 RESSOURCES.H • Bienvenue • Carnet social

EN MARCHE

OCP - AIC Métallurgie : Un partenariat stratégique pour booster la croissance

Ce numéro de convergence coïncide avec le retour des congés pour la plupart d’entre nous. C’est ainsi que je vous souhaite à tous une bonne reprise dans votre travail. Celle-ci devra être à la hauteur des challenges auxquels nous serons confrontés en cette période difficile que traversent certaines filiales du groupe à Kénitra. Dans une conjoncture économique et sociale de plus en plus incertaine, certaines filiales s’en sortent mieux que d’autres; notamment grâce à la solidarité et aux compétences de leurs ressources humaines, et à la diversification des activités et des sites. Lors de la présentation des réalisations de ce premier semestre, le conseil d’administration du groupe et les dirigeants des filiales ont partagé la dure réalité d’une croissance défavorable, avec la volonté d’améliorer sans cesse les performances individuelles et collectives. Dans ce sens, je vous invite tous à œuvrer et à participer davantage à la réussite des actions entreprises; améliorant ainsi la créativité, la productivité et la cohésion sociale nécessaires à la bonne santé et à la pérennité de nos activités. Je ne cesserai d’encourager et de saluer les actions menées pour développer les prospections et les ventes à l’international. Les chiffres de ce premier semestre démontrent les efforts fournis et nous confortent dans notre stratégie.

OCP – AIC Métallurgie : Un partenariat stratégique pour booster sa croissance

EN MARCHE

OCP : 1er exportateur de phosphate au monde Avec un chiffre d’affaires de 56,3 milliards de DH en 2011, l’OCP fait partie des leaders mondiaux du phosphate. Créé en 1920, il extrait, valorise et commercialise du phosphate et des produits dérivés, acide phosphorique et engrais, et en produit 26 millions de tonnes par an. Société Anonyme depuis 2008, l’office dispose d’un portefeuille de plus de 150 clients sur les 5 continents et de 4 bureaux de représentation dans le monde pour l’ensemble de sa gamme de produits : roche, acide phosphorique et engrais. l’office a aussi développé de nombreux partenariats avec des opérateurs industriels internationaux de renom. Le Groupe OCP, qui a terminé la dernière décennie sur une croissance positive, est mobilisé autour d’une stratégie d’investissement de plusieurs milliards de dollars entre 2010 et 2020. Une stratégie qui vise à moderniser ses actifs industriels et à accroitre ses capacités de production, de manière à être en mesure de répondre à la demande croissante en phosphates et produits dérivés. Tout en étendant ses opérations, le Groupe rationalise ses investissements en standardisant ses opérations industrielles et en homogénéisant la structure de ses nouvelles usines.

L’OCP s’inscrit dans le cadre d’un vaste programme d’investissement Industriel Pour faire face à la concurrence mondiale grandissante et consolider sa position parmi les leaders mondiaux du secteur de l’extraction et du traitement du phosphate et ses dérivés, plus essentiellement les engrais, l’OCP met en route un vaste plan d’investissement dont le projet « jorf Lasfar hub ». Afin d’avoir accès à une roche durable à prix compétitif et d’améliorer ses capacités annuelles de production. Le projet « jorf Laasfar hub » consiste à donner l’accès à un pool de services et d’infrastructures industrielles et portuaires d’approvisionnement en matières premières, mis en place pour le fonctionnement des nouvelles usines. Il s’agit d’un nouveau procédé de transport permettant d’alimenter la plateforme Jorf Lasfar tout en optimisant l’utilisation des ressources hydriques et énergétiques.

delta holding à travers son pôle métallurgie participe au méga projet « hub jorf lasfar ». Courant l’année 2011, l’OCP a lancé un appel d’offre international pour la fourniture, la fabrication, la peinture et le montage d’environ 14000 tonnes de charpente métallique. La filiale du groupe AIC Métallurgie s’est vu adjugée ce marché le 28 octobre 2011. Un projet portant sur 11 racks , dont la longueur totale avoisine les 15 kilomètres avec un délai de réalisation de 15 mois. Les racks sont des charpentes métalliques réparties linéairement et constituées structurellement de portiques successifs reliés par des traverses longitudinales et des pièces de stabilité. Ils servent de support aérien pour les canalisations et les câbles, d’où leur importance par rapport au projet global. En effet, la présence de ces racks est indispensable pour la distribution des matières et des fluides. Ils constituent la « colonne vertébrale » de la nouvelle plateforme à Jorf Lasfar et sont destinés à supporter tout le circuit de distribution des utilités (pipes de pulpe de phosphate, d’acides phosphorique et sulfurique, d’ammoniac,…etc.). La prestation d’AIC Métallurgie dans ce contrat avec l’OCP consiste en la réalisation des dessins de détails des pièces, l’approvisionnement, la fabrication, la peinture, le transport et le montage des racks. Il est à noter que c’est la première fois qu’une Entreprise Marocaine décroche un marché d’une telle importance.

INTERVIEW

Un nouveau cap dans la gestion des ressources humaines du groupe

INVITÉ

Bonjour M.Boualla, le lendemain du séminaire des dirigeants de delta holding du 24 mars 2012 qui s’est déroulé à Ifrane les 24 et 25 mars 2012, plusieurs actions ont été entreprises. Pourriez- vous nous dire quelles ont été ces actions et quel est leur état d’avancement ? Après 15 ans d’évolution dans plusieurs responsabilités au sein du groupe DHO, M.Mohammed BOUALLA a été nommé depuis le 1er juillet 2012 directeur des ressources humaines. Il a fait ses premiers pas professionnels pendant six ans au Ministère du commerce et de l’industrie, en tant que représentant de ce département dans les commissions des appels d’offres des marchés publics, avant d’intégrer le bureau d’études CID où il a dirigé pendant sept ans le service de la facturation et du recouvrement. Avant d’intégrer le groupe en 1997, il était chargé de mission auprès du président directeur général du bureau d’études TEAM MAROC pendant deux ans. Mohammed BOUALLA est membre de la commission emploi et relations sociales de la CGEM. Il a représenté le groupe à travers la FNBTP et la CGEM dans les commissions de négociation avec les partenaires sociaux et les pouvoirs publics, des textes d’application du code de travail et de l’AMO.

Effectivement, comme vous l’avez signalé dans le dernier n° de convergence, ce séminaire a été un moment important dans la réflexion collective sur les ressources humaines de notre groupe. Trois commissions ont été mandatées à l’effet d’approfondir la réflexion sur les rémunérations, les évaluations, l’action sociale, la formation ainsi que sur le climat social et les relations de travail. Ces trois commissions ont été sensibilisées à la nécessité de formuler des propositions concrètes qui soient en phase avec les aspirations et les attentes des collaborateurs et compatibles avec les choix stratégiques du groupe. A l’issu de plusieurs réunions de travail, des propositions très intéressantes ont été soumises au comité de direction. Les mesures approuvées par le comité de direction sont tombées à point nommé car elles représenteront une composante importante du plan d’action de la direction des ressources fraichement instituée.

Par ailleurs les travaux de la commission chargée de traiter les aspects liés aux évaluations et salaires ont mis en évidence l’intérêt de confier à un cabinet spécialisé une mission de conseil pour l’amélioration de notre système d’évaluation des performances et d’attribution des primes. Le cabinet DIORH a été sélectionné pour conduire cette mission en raison de ses solides références en la matière, de la qualité de ses experts et consultants et enfin eu égard à la pertinence de la méthodologie proposée. En effet celle-ci préconise une implication du management de delta holding et ses collaborateurs dans toutes les phases de l’étude afin que le système d’évaluation des performances qui sera mis en place soit adapté aux attentes de toutes les parties prenantes

Le cabinet Diorh a réalisé une série d’interviews au sein du groupe, pourriezvous nous expliquer de quoi s’agit-il et quels sont les résultats attendus ? La phase diagnostic de la mission confiée au cabinet DIORH prévoit la réalisation d’entretiens individuels avec les dirigeants de delta holding et ses filiales dans le but de prendre connaissance de la stratégie de delta holding et les exigences ressources humaines qui en découlent. De même les consultants de DIORH recueilleront la vision des dirigeants du groupe sur le nouveau système d’évaluation.

En plus de ces entretiens, toujours dans la phase diagnostic, il est prévu de réaliser des ateliers d’écoute regroupant chacun en moyenne une dizaine de collaborateurs de catégories homogènes (cadre, maitrise, exécution). L’objectif de ces groupes d’écoute est de prendre en considération les attentes des collaborateurs et aussi cerner le fonctionnement du système d’évaluation en vigueur et surtout comment il est perçu par les intéressés qu’ils soient évaluateurs ou évalués. Par ailleurs, un comité de pilotage et un comité de suivi, composés des consultants de DIORH et dirigeants de delta holding, ont été constitués pour assurer le bon déroulement de cette mission et ce en accord avec la démarche retenue d’implication de delta holding dans toutes les phases de la conception du nouveau système d’évaluation. Il faut souligner à ce stade de la mission l’engagement remarquable des dirigeants et collaborateurs à participer, malgré les contraintes des emplois du temps et des impératifs de la production, à ses entretiens et leur contribution à dessiner les contours d’un nouveau système d’évaluation des performances et d’attribution des primes variables que nous espérons efficaces.

INVITÉ

Mehdi El Yousfi est consultant au sein du Cabinet DIORH. Son domaine de compétence embrasse à la fois la Stratégie, l’Organisation et les Ressources Humaines. Diplômé de l’Ecole HEC Paris en 2003, il a démarré sa carrière professionnelle au sein du cabinet Accenture à Paris où il est intervenu sur des missions de transformation opérationnelle, pilotant en particulier des chantiers de conduite du changement. Il a poursuivi sa carrière au Maroc au sein du cabinet de conseil de direction générale Corporate Value Associate pour accompagner des institutionnels et groupes privés dans leurs projets de développement et de réorganisation, avant de rejoindre le cabinet DIORH. En tant que consultant RH, Mehdi El Yousfi intervient aujourd’hui principalement sur des missions d’audit des stratégies et dispositifs RH, de restructuration des systèmes de rémunération, de gestion de la performance…

INTERVIEW

Un nouveau cap dans la gestion des ressources humaines du groupe Bonjour M. El Yousfi, delta holding a fait appel à l’expertise de votre société en conseil stratégique, quel est l’objet de la mission qui vous a été confiée ? La stratégie de diversification adoptée depuis quelques années par le Groupe delta holding, la croissance rapide de ses activités et l’accroissement de la concurrence sur ses marchés constituent autant de facteurs susceptibles d’impacter sa politique de Ressources Humaines et l’efficacité de ses outils de gestion de la performance. C’est dans ce contexte que DIORH a été mandaté par delta holding afin d’évaluer son système d’évaluation des performances et de rémunération variable, en vue de proposer des pistes d’amélioration permettant de maximiser son efficacité comme outil de pilotage et de valorisation de son capital humain.

Pouvez-vous nous exposer la méthodologie que vous avez retenu pour la réalisation de cette étude et son planning de réalisation? Notre méthodologie se fonde d’abord sur une démarche participative associant l’ensemble des parties prenantes internes du Groupe. Pour se faire, nous avons sollicité l’ensemble des membres du comité de direction et des dirigeants de sociétés au travers d’entretiens individuels pour recueillir leur vision en matière de gestion de la performance. Par ailleurs, nous avons animé des groupes d’écoute réunissant un panel représentatif des collaborateurs du Groupe (agents de maîtrise, cadres techniques, cadres administratifs). Ces groupes d’écoute ont été l’occasion d’une prise de parole constructive de chaque participant et ont permis de recueillir leurs appréciations et attentes quant au système d’évaluation. Forts des éléments recueillis, nous avons effectué un diagnostic de l’existant et travaillons désormais à la construction d’un système cible d’évaluation des performances et de rémunération variable. Nous tâchons de nous inspirer à la fois de notre connaissance des bonnes pratiques du marché et des spécificités du Groupe delta holding pour proposer un système adapté et sur mesure.

A la date d’aujourd’hui, vous avez donc achevé la phase diagnostic, quels sont vos premières conclusions et vos impressions pour la suite de la mission ? Le Groupe fédère des sociétés présentant des spécificités sectorielles, des perspectives de développement et des enjeux en matière de ressources humaines différents. La définition d’un système cible doit tenir compte de cette réalité. Il s’agit dans le même temps d’assurer une cohérence d’ensemble à même d’apporter l’équité, la cohérence et la solidarité nécessaires au déploiement de la stratégie de développement du Groupe. Là réside le challenge de la mission. Nous avons par ailleurs la chance d’intervenir dans un environnement humain dominé par l’esprit d’engagement. La volonté d’aligner les processus RH sur la stratégie du Groupe semble largement partagée parmi les collaborateurs.

Vous commencez à vous familiariser avec la problématique RH de delta holding, quel regard portez-vous sur sa stratégie et surtout par rapport à votre expérience avec d’autres entreprises ? delta holding place résolument les Ressources Humaines comme une de ses principales priorités stratégiques, avec la volonté de concilier tout à la fois les aspirations des collaborateurs et les contraintes de son environnement externe. Un travail important de formalisation des procédures RH a été réalisé de manière à harmoniser les pratiques entre les filiales. Ce travail n’est pas encore achevé. Notre mission intervient justement dans ce contexte d’amélioration continue.

OCP Skills : L’OCP a engagé un programme appelé « OCP Skills » visant à renforcer l’employabilité des jeunes originaires de ses sites d’activité. Il consiste entre autre à former 15 000 jeunes dans des domaines variés (fabrication mécanique, administration, gestion et commerce, agriculture, hôtellerie, réseaux systèmes…), en partenariat principalement avec l’OFPPT. Dans le cadre de la volonté de l’OCP de faire aboutir cette première expérience en donnant la chance à ses jeunes d’accéder à un premier emploi, la contribution de delta holding a été sollicitée à l’instar des entreprises partenaires privilégiées de l’OCP. Ainsi la cellule chargée de ce programme, rattachée à la direction du développement durable de l’OCP, va mettre à la disposition du groupe la base de données des lauréats ayant achevé leur formation. A charge pour les filiales qui expriment un besoin en personnel de choisir les profils qui répondent à leurs besoins. Ces recrutements se feront bien entendu selon les besoins du groupe et sur la base des procédures habituelles de ses sociétés.

FOCUS

La qualité et la certification apparaissent le plus souvent comme complémentaires. En effet, les entreprises ne s’arrêtent plus à la mise en place d’une démarche qualité mais sont de plus en plus intéressées par la reconnaissance de leur savoir-faire, le plus souvent récompensé par une certification qui leur permet de se distinguer de la concurrence. Cette distinction rentre dans le cadre d’une démarche qualité qui implique l’engagement de l’ensemble des collaborateurs.

Un trophée, pour Bituma, qui honore le sport national.

’amélioration continue de son process et de ses produits ne fait plus partie aujourd’hui du bon vouloir de tous, mais est devenue une nécessité pour maintenir le cap vers l’excellence. Dans ce sens , pour toute entreprise, la certification devient alors un gage de qualité de ses services et ses produits. Ces certifications requièrent des audits préliminaires entre le référentiel et l’existant qui débauchent sur des plans d’actions. Lorsque le cahier des charges de la certification est rempli, l’audit de certification peut être demandé. Depuis des années delta holding récolte les certifications dans ses différents domaines d’activités, car pour elle la qualité a toujours été un principe de base axé sur la prévention et l’amélioration permanente. C’est pour le groupe un projet sans fin dont le but est d’améliorer en permanence ses produits et ses prestations dans un souci de se distinguer de ses concurrents et d’obtenir satisfaction de la part de ses prestataires et ses clients. Aujourd’hui Bituma a achevé les travaux de construction du stade de Marrakech, qui ont englobé les travaux d’infrastructures des aires d’évolution ainsi que les travaux de pose synthétique pour un montant d’environ 46 millions de DH. Pour la première fois au Maroc la piste d’athlétisme de Marrakech réalisée par la filiale du groupe, a été certifiée Classe 1 par la Fédération Internationale d’Athlétisme. Une certification qui a exigé une démarche longue et difficile nécessitant l’intervention d’un géomètre et d’un laboratoire spécialisé dans le domaine du sport, les 2 agréés par l’IAAF. En se dotant de cette piste synthétique de 435 mètre linéaire en moyenne et de 8 couloirs, la ville de Marrakech, dorénavant, ouvre grand ses portes aux compétitions de niveau international (Courses, sauts, lancers, épreuves combinées et marche) comme celle prévue en 2014. Avec ce palmarès, le Maroc rejoint les quelques pays privilégiés comme la France qui disposent d’une piste agréé class 1. Lahcen OUSSAID

International Association of Athletics Federations

010

Une eau saine et pure pour tous, une priorité pour Sogetrama GLS

FOCUS

Que devient l’eau que nous utilisons quotidiennement chez nous ? Ou va celle déversée par l’industrie ?

Les eaux chargées d’éléments provenant de source domestique, commerciale ou industrielle font l’objet de différents traitements selon leur niveau de dangerosité sur les milieux dans lesquels elles seront déversées : les réserves d’eau pour la baignade, la pèche, les bassins d’orages … Le traitement de ces eaux usées représente un enjeu de santé publique. Pour cela ces eaux sont évacuées à travers un réseau d’assainissement assurant leur transport jusqu’au lieu où l’eau sera traitée : la station d’épuration. L’opération d’épuration passe par plusieurs étapes. L’eau est prétraitée dans un premier temps pour en extraire les déchets solides, les différentes opérations effectuées lors de cette étape sont le dégrillage, le dessablage et le dégraissage. Ensuite on passe à un traitement primaire par des procédés physico-chimiques (décantation, flottation). Ce traitement permet d’enlever la majorité des matières en suspension restantes après le prétraitement. Vient ensuite l’étape d’extraction des polluants dissous comme les matières organiques, à l’aide de bactéries. Certaines stations comportent également un processus de traitement tertiaire qui permet d’obtenir une meilleure qualité d’eau par élimination, entre autres, d’agents pathogènes et de composés chimique tels que l’Azote et le phosphore. L’objectif de l’épuration des eaux usées est de rejeter dans la nature une eau ne comportant aucun danger pour la biodiversité ni pour l’homme, et de préserver l’environnement et la ressource en eau.

Plan d’implantation Step Youssoufia :

Sogetrama GLS

Plan d’implantation Step Youssoufia :

Construction de la station d’épuration des eaux usées de la ville de Youssoufia

94 210 600 DH HT Pour une capacité de

87 645 habitants

A ce titre, la filiale du groupe Sogetrama GLS a remporté le marché pour la construction de la station d’épuration des eaux usées de la ville de Youssoufia, pour le traitement des rejets globaux de la ville y compris ceux de la zone de l’OCP, d’un montant d’environ 94 millions de DH HT. Avec un délai de réalisation prévu de 21 mois, la futur station aura une capacité de 87 645 équivalents habitants et permettra de traiter notamment les matières en suspension 155 kg MES/ jours, la demande chimique en oxygène (DCO 6 048kg/j) et la demande biologique en oxygène (DBO 2629kg/j). La filière de traitement des effluents assurera une étape de prétraitements, puis un traitement biologique de type boues activées a moyenne charge et au final un traitement tertiaire par filtration et désinfection. La station comportera également une filière de traitement des boues par digestion anaérobie avec système de valorisation des gaz et déshydratation mécanique. Hicham BENTAJER

L’eau est traitée au sein des stations d’épuration pour être rejetée dans la nature ou pour une réutilisation industrielle, pas pour devenir potable. Des usines spécialisées dans la production d’eau potable assurent la potabilisation de l’eau. 011

012

Contribution active de delta holding à la modernisation du transport urbain

FOCUS

Pour un montant de 40 millions de dirhams, Maroc Signal en groupement avec AIC et Gertrude et Lacroix participent à la réalisation du projet et s’occupent de la mise en place d’un nouvel équipement de signalisation de trafic moderne et adapté aux changements que connaît la ville.

Le tramway de Casablanca représente l’un des projets les plus attendus par les habitants de la métropole, un nouveau moyen de transport qui va changer leur vie mais aussi transformer le visage de la ville alliant utilité, design et respect de l’environnement . Voilà bientôt 2 ans que les travaux du tramway de Casablanca ont débuté. Aujourd’hui le projet suit son cours. Un chantier de très grande envergure qui a nécessité une organisation rigoureuse et efficace est presque achevé. Les travaux en cours actuellement concernent principalement le traitement des grands carrefours et les travaux de rénovation urbaine et d’embellissement de la ville, qui englobent la réalisation des travaux de façade à façade le long des 31 km, la réalisation d’aménagements particuliers et la réorganisation de la circulation dans le périmètre du tramway. Pour un montant de 40 millions de dirhams, Maroc Signal en groupement avec AIC et Gertrude et Lacroix participent à la réalisation du projet et s’occupent de la mise en place d’un nouvel équipement de signalisation de trafic moderne et adapté aux changements que connaît la ville. Pour cela, Maroc Signal a réussi à mettre en place une organisation efficace et flexible pouvant répondre aux besoins du projet. L’approvisionnement et les études sont achevés et les travaux sont en cours avec 30 carrefours en équipement signalisation lumineuse tricolore réalisés sur 82 prévus, le reste est en cours au fur et à mesure de la mise à disposition des sites par les entreprises infrastructures (Yapi Merkezi, Colas, GCR, STAM). Ces carrefours seront gérés par des systèmes intelligents qui grâce à des capteurs de présence véhicules intégrés dans la chaussée et à une programmation évoluée des contrôleurs, permettront une optimisation du trafic avec une priorité au Tramway.

014

Résultats DHO 1er semestre 2012

FOCUS

Réuni le 17 septembre 2012 au siège social de delta holding, le Conseil d’Administration a examiné sous la Présidence de Monsieur Fouad FAHIM, les réalisations et les perspectives du groupe au terme du premier semestre 2012. Durant cette période, en plus des effets de la conjoncture économique difficile, les activités du groupe Delta Holding ont été fortement impactées par l’occupation et les blocages illégaux des sites de production de plusieurs de ses filiales installées à Kénitra par d’anciens ouvriers temporaires. Ces derniers continuent à perturber, à leur gré, le déroulement normal des activités des sociétés en dépit des jugements ordonnant leur expulsion du site.

Malgré ce contexte très difficile, le carnet de commandes consolidé totalise au 30 juin 2012 un montant de 3 200 millions DH dont 1 550 millions DH de commandes obtenues lors du 1er semestre 2012 en légère augmentation par rapport à la même période de l’exercice précédent. Le chiffre d’affaires consolidé s’établit à 1 163 millions DH, en retrait de 15,8% par rapport au premier semestre 2011 en raison du retard enregistré dans la réalisation des commandes, en partie pour les motifs cités plus haut. Néanmoins, le groupe poursuit son plan de développement et d’expansion à l’international en réalisant un chiffre d’affaires à l’export de 134 millions DH contre 43 millions DH à la même période de 2011. Quant au résultat net consolidé global, il a subi des coûts supplémentaires que le groupe a supporté pour honorer les engagements de ses filiales suite aux facteurs exogènes cités ci-dessus et notamment par la délocalisation partielle de ses activités basées à Kénitra et la sous-traitance locale et étrangère très coûteuse. Ces coûts et la constatation de la nouvelle charge relative à la contribution pour l’appui à la cohésion sociale décidée dans le cadre de la loi de finances 2012 ont fortement impacté ce résultat qui s’établit au premier semestre 2012 à 90 millions DH contre 142 millions DH enregistrés au premier semestre 2011. Le Conseil d’Administration de delta holding demeure confiant quant à la solidité de ses fondamentaux et à sa capacité à surmonter les difficultés que vivent ses filiales et à retrouver ses performances habituelles dans la mesure où le climat des affaires le permet.

Réunion des dirigeants Le 22 septembre 2012 s’est tenue une réunion des dirigeants sur le site de la mine de sel de Mohammedia ; nouvelle filiale de delta holding, sous la présidence de M. Fouad FAHIM. Elle a été consacrée à la présentation des comptes du premier semestre. Les débats ont porté sur les risques commerciaux d’une manière générale et les dispositions à prendre pour s’en prémunir.

commerciale et d’évaluation des ressources humaines. Ces études seront testées sur l’exercice 2012. Après un déjeuner convivial, une visite de l’exploitation de la mine a été organisée l’après midi pour la consultation des installations en surface et des galeries d’extraction et de production situées à environ -500 mètre sous terre.

Ont été présentées aussi, les conclusions des études en cours de développement de l’activité

Un grand merci à M.GMIRA Abderrazak et toute l’équipe SSM organisatrice de cet évènement.

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Les Equipements de Protection Individuelle

VOTRE RUBRIQUE

Toute entreprise a le devoir de réduire au maximum ces risques professionnels afin de garantir la sécurité de l’ensemble de ses salariés et de protéger leur santé physique et mentale. La sécurité au travail n’est plus, depuis bien longtemps, uniquement une affaire de bonne conscience, elle est aujourd’hui une obligation régie par des textes et des réglementations. L’employeur doit être en mesure de prendre toutes les dispositions requises à ce niveau et de les mettre en œuvre conformément aux principes généraux de prévention décrits dans le code du travail. Au Maroc, comme ailleurs, le texte d’application du code du travail stipule la mise en place pour les salariés d’un ensemble d’outils de prévention en santé et sécurité. Au-delà de 50 employés sur site, l’entreprise doit réunir un comité d’hygiène et sécurité dans lequel figure également un médecin du travail. Ce comité fixe les objectifs de la politique sécurité qui inclut les EPI à fournir mais également les outils pédagogiques. Elle doit également faire l’analyse des incidents afin de mettre en place des plans d’action curatifs et préventifs, autrement dit les outils de prévention, sensibilisation, comités, hygiène et sécurité, rencontres avec le médecin du travail et affichages. Parmi ces outils figurent les équipements de prévention ou les EPI ( Equipement de protection individuelle) c’est-à-dire les casques, les chaussures de sécurité…

L’enjeu est de taille, diminuer les accidents de travail et les maladies professionnelles, deux facteurs qui représentent un coût considérable pour les entreprises. En effet, les EPI sont indispensables pour la sécurité et le bien être des salariés dans leur environnement professionnel. Ils diffèrent en fonction de l’activité, du poste occupé et de la tâche à réaliser (gants, protecteur auditif, chaussure professionnel, casque, etc.). Actuellement les entreprises sont dans l’obligation de mettre à disposition de leur personnel les outils de protection nécessaires en quantité suffisante et de bonne qualité, ainsi que de veiller à l’entretien et au contrôle de ce matériel et à son renouvellement régulier sachant qu’il est soumis chaque jour à de multiples agressions. Sans oublier la responsabilité aussi importante du personnel lui-même quant à l’utilisation de ces EPI puisque tout refus ou omission est considéré comme faute grave (code du travail Art 293). Pour cela, les programmes de sensibilisation et d’analyse des problèmes de sécurité doivent être considérés comme aussi importants que les autres politiques, mesures et programmes de l’entreprise. Elle devrait tout d’abord assurer des affichages sur les endroits à risque mais aussi organiser des campagnes de sensibilisation auprès du personnel, exposant et expliquant l’intérêt du port des équipements de protection individuelle et distribuer des guides et des manuels d’utilisation . Chacune des filiales devrait produire des procédures et instructions de travail dans ce sens à condition de les employer, et devrait instaurer une meilleure coordination pour renforcer cette culture de sécurité au travail : A quand donc un guide complet de sécurité par métiers ? Imane FAHIM

Stagiaire

 Fait Insolite

Joindre l’utile à l’agréable

est possible

même dans les travaux publics

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RESSOURCES.H

bienvenue à nos nouvelles recrues

Nom & Prénom

Nom de la société

Majid TACHFINE

DHO

Amine EDDARKAOUI

DHO

Hanane EZZARI

DHO

Chakib FENKOUCH

GENA

Sara BARGACH

AIC Métallurgie

Said CHAOUI

AIC Métallurgie

Fairouze ADIBI

Chroma color

Noura HIDDA

Chroma color

Nadia FERKOUSSI

AIC

Majda LEMTALLA

AIC

Hanane EL KHILI

AIC

Allal LAFAR Souad EL KHILI Abderrazak GMIRA Haytam NAOUI

AIC Ligne Blanche SSM Green Oil

Fatima EL HOUSSNI

EGEC

Moha SETTAL

OMCE

Sara BENDADA

OMCE

Mohamed LAZRAK

Sogetrama gls

Anas BAHI

Sogetrama gls

Ismail OUJANA

Sogetrama gls

Hassan ECHADDAKH

Sogetrama gls

Ali Mohammed L’MGHARI

Sogetrama gls

Carnet social Mariages Soumia AIT OUFELLA - Bituma Souad TRIBICH - Bituma Badr EL ACHAGUI - Bituma Amina AZROUIL - OXAIR Majda LEMTALLA - AIC Miloud BENDAHMANE - AIC Radouane IFNOU - SSM Ali ARIF - SSM Nadia CHADIAK - GCR Youssef HACHIM - GCR Ahmed BENHAMIDOU - Sogetrama gls

Naissances dans les familles de Lina au foyer de Soumia NOURICHAFI - Fonex Soufiane au foyer de Allal TAIBI - GENA Malak au foyer de Hassan OUAZIZ - GENA Romayssae au foyer de Mohamed MADANE- OXAIR Yassmine au foyer de Abdelkhalek AHIN - OXAIR Mohammed Ziad au foyer de Hanane FANZI - GALVACIER Nadine et Wijdane au foyer de Abdelilah ABID - GLM Ilyas au foyer de Youssef DRAOUI - SSM Malak au foyer de Mostapha BOUAICHA - SSM Mustapha au foyer de Rachid SAHMOUD - Green Oil Mohamed Ghali au foyer de Khalid RAISSI - Green Oil Romayssae au foyer de Narjis CHIADMI - Sogetrama gls

Toutes nos condoléances aux familles de Zouhair EL HABIBI - GENA Oncle Houcine ABOULARWAH - OXAIR Pére Zaid BOULHAOU - Ligne Blanche Pére Aziz CHACH - GLM Mére

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