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Le sport vu par les Portugais

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Ode aux Lyonnais

Ode aux Lyonnais

La “journée du sport”, c’est comme ça qu’elle était vendue par la Coord depuis le début des JMJ mais en réalité elle s’est avérée être un véritable traquenard pour les pèlerins. En effet, pas de tournoi de foot géant ni d’olympiades dans le parc mais seulement une petite balade digestive pour visiter la ville. On se demande donc tous si les Portugais ont la même définition du sport que nous ? Ou simplement avaient-ils peur de perdre face aux Français après le braquage de 2016 ? Sans doute…

C’était juste pour saucer les Volyontaires parce qu’ils sont trop forts :)

Ils sont une vingtaine à se lever tôt et se coucher tard tous les jours pour que vous puissiez profiter au mieux de JMJ. En gros ils font toutes les tâches un peu ingrates et reloues à faire mais le pire c’est qu’ils sont contents de les faire ! N’oubliez pas de les remercier et de leur faire un petit sourire en passant ça coûte rien et ça fait toujours plaisir.

Professionnalisation du football féminin : entre pétro buisness et caprice de stars

Si on en croit la célèbre spécialiste du football féminin Maïthé Delloue (encore elle ?! Décidément, elle a ses entrée à la rédaction du LisbonHeur ?!), le problème communément admis de la non professionnalisation serait intrinsequement lié a d’autres problèmes.

Tout d’abords, le nom même de la D1 Arkema, du nom de la célèbre entreprise pétrochimique appelle a questionner les liens troubles entre l’industrie du fioule domestiques et le monde sportif professionelle, ainsi que les véléités de sport-washing (c’est comme le green washing, mais avec du sport a la place de l’écologie) de ces derniers.

Ainsi les «petits» clubs, refusant les avances des lobbies industriels se

Parlons sport, parlons victoire

La véritable journée du sport était peutêtre ici : le match de l’équipe de France à la coupe du monde de foot. Pour ceux qui n’ont pas entendu Maithé le répéter 700 fois dans la journée, les françaises ont gagné 2-1 face au Brésil ! On peut saluer la performance de notre joueuse lyonnaise Wendie Renard buteuse une nouvelle fois sur corner.

voient obligés de se rabbattre sur des joueuse non profesionnelles exercant une double activités afin de se payer des crampons comme on dit dans le monde de l’alpinisme.

Du coté des clubs «professionnels» tel que l’Olympique Lyonnais, précursseur en matière de professionalisation du foot féminin, on peut se réjouire de l’arrivée de Katie Nyatou Nyati «et ça c’est une bonne nouvelle» comme l’affirme Maïthé Delloue.

Son association avec Amandine Majui et Delphine Cascauine au sein de l’équipe d’une France glorieusement menée par Julie Fennec (ou un truc comme ça) laissent entrevoir le meilleur pour cette coupe du monde 2023 en Australie malgré le faux pas contre la Jamaïque.

La cohésion des joueuse, en particulier pour virer leur entraineuse précédente, nous rappelle que «ensemble, tout devient possible».

De plus, elles peuvent assortir leurs cheveux à leurs maillots (???).

Mais derrière ces attraits sportifs, l’attitude de certaines joueuses laisse parfois à désirer. Prenons pour exemple Aïda Eigerbeng qui, non content d’avoir acheté un ballon d’or (surement pour jouer sur un stade en saumon fumée avec des cages en foie gras...) n’a rien trouvé de mieux que d’acheter des chaussures en titanes pour ne pas se ruiner les arpions à chaque dégagements.

Enfin, j’sais pas, j’suis pas journaliste sportifs.

Vous avez compris cette article ? Alors appelez nous.

Kazimir Severinovich Malevitch, né le 23 février 1879 près de Kiev en Ukraine.

Dès son plus jeune âge, Malevitch montre un intérêt précoce pour l'art et la créativité. Il étudie à l'École de dessin de Penza et s'établit ensuite à Moscou, où il fréquente l'École des Beaux-Arts. Au début de sa carrière, Malevitch est influencé par des styles tels que le néo-primitivisme et le symbolisme, mais sa quête artistique le conduit rapidement vers une vision plus abstraite et géométrique.

En 1915, Malevitch réalise son œuvre la plus célèbre et emblématique, "Carré noir sur fond blanc". Cette peinture marque l'émergence du suprématisme, un mouvement artistique

Enigme :

Je suit une personnes qui critiques et fais remarqué de façons récurente les défaut linguistique des autre personne. Qui suitje ?

Question Bonus : combien de fautes contient l'énigme Réponse dans l’édition de demain (peut-etre) PS : Un grand merci a celles et ceux qui nous ont gentiement proposés leurs services pour la relecture, on va mettre ça en place très vite ! On promet (d’essayer) révolutionnaire qu'il a fondé, caractérisé par l'utilisation d'éléments géométriques simples, principalement des carrés, cercles et lignes, dans une recherche de la pureté artistique. Pour Malevitch, ces formes abstraites étaient censées représenter une dimension spirituelle et émotionnelle plus élevée, dépassant les limites de la réalité matérielle.

En plus de ses peintures, Malevitch était également actif en tant que théoricien de l'art. Il a écrit plusieurs essais sur le suprématisme, cherchant à expliquer les principes de son mouvement et son approche artistique.

Cependant, malgré son succès artistique, la révolution bolchevique de 1917 et l'arrivée au pouvoir du régime soviétique ont compliqué la vie de Malevitch. L'art abstrait et non figuratif était de moins en moins accepté, et il a été confronté à des restrictions et des critiques de la part des autorités. Malgré cela, Malevitch a continué à créer et à enseigner. Il est décédé en 1935, mais son héritage artistique continue d'influencer les générations d'artistes du monde entier. Son approche radicale et sa quête de l'abstraction pure restent une source d'inspiration pour ceux qui explorent les frontières de l'art et de la créativité.

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