L’étudiant sénégalais, qui fréquentait la Sorbonne dans les années 1931-1935, n’aurait osé rêver pareil honneur, car il savait, comme le sait aujourd’hui l’homme d’État, que l’Institut de France, dont l’Académie des sciences morales et politiques est une des classes, exprime d’une façon remarquable ce génie français qui a joué et continue de jouer de par le monde un rôle de levain spirituel