BELGIQUE-BELGIE P. P- P. B . 1050 BRUXELLES 5 B C 10 7 17
Voyage à l’Est EICMA 2012 Voyage à l’Ouest Meeting Ducati Sud Belgio CREW
N°27 - Janvier 2013 Envie d’écrire pour DesmoPassion? Editorial 3 Voyage à l’Est 7 E I C M A 2012 21 Voyage à l’Ouest 30 MEETING DSB Crew et membres effectifs 36
CR de voyage, bio, souvenir de concentration, … n’hésitez pas! Envoyez votre article à: vice-president@ ducati-sud-belgio.be
www.ducati-sud-belgio.be
E D I TO Pa r Fré d é ric L a u ren t Salve, Ouf, vous avez enfin dans les mains, la quatrième édition du DP 2012, celle que vous auriez du recevoir fin de l’année dernière …alors au lieu de vous souhaiter un joyeux Noël, et bien, le staff et moi-même en profitons pour vous réitérer nos meilleurs vœux en cette période de nouvelle année.
prenez les choses en mains et parlez nous de vous, de votre passion pour la bécane, du panard que vous prenez au guidon de votre rouge. Ok, avec le temps qu’il a fait ces dernières semaines, on comprendra que vous n’ayez pas grand-chose à dire côté sortie et voyage mais vous en avez cer-
secoue un peu, on se met à la machine et on envoie son petit article de derrière les fagots à Mr le rédacteur en chef ! Merci d’avance pour le plaisir que vous procurerez à ceux qui vous liront. Pour le reste, l’année écoulée a une nouvelle fois été riche en évènements et nous sommes déjà prêts à vous présenter un programme 2013 qui le sera tout autant avec des projets en pagaille en Belgique et à l’étranger. Pour le découvrir, et pour ceux qui n’auraient pas encore pris connaissance de la convocation transmise par le biais d’une newsletter,
Vieux motard que jamais me direz-vous mais ce n’est pas faute d’avoir lancé des appels à l’aide pour nous fournir de la matière … c’est donc un nouvel appel que nous vous lançons et vous rappelons au passage que DesmoPassion, c’est avant tout votre magazine, votre tribune ! Alors, de grâce, lâchez-vous,
tainement profité pour travailler sur un winterproject ou peaufiner quelques p e t i t s détails de la belle. Alors, pas d’excuse, on se
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Rien ne change … sauf le contenu de ce que nous vous proposons, toujours plus, toujours mieux telle est une des devises du DSB !
rendez-vous à l’assemblée générale qui se déroulera ce samedi 26.01.13 à l’hôtel Nivelles-Sud ! Le cas échéant, cet édito tient lieu de convocation. Non seulement, ce sera l’occasion de recevoir toutes les infos utiles pour préparer activement votre saison avec le club mais aussi celle de découvrir la composition d’un Welcome Kit DOC 2013 digne de ce nom (enfin !) puisque DUCATI a plus que jamais compris l’importance de soutenir plus activement et concrètement encore ses Desmo Owners Club en mettant à notre disposition de nouveaux outils et moyens que nous vous présenterons également !
plus ! Pas encore pris possession de votre kit 2012 ? Soyez au rendez-vous et vous saurez tout ! Et si tout cela ne vous importe que très peu et que la convivialité passe pour vous avant tout, vous serez servi puisque nous terminerons la soirée autour d’un chouette repas. Voilà pour ce tout début de saison qui s’annonce et qui me permet de faire la transition avec le renouvellement de votre cotisation.
Qu’est-ce qu’il c o n t i e n t ? Surprise … mais franchement, vous ne le reconnaitrez
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La date d’envoi de la première tranche des Welcome Kit étant fixée en avril, nous vous demandons de ne pas trainer et d’effectuer votre versement pour le 15 Fév au plus tard. Premiers renouvelés, premiers servis ! Le début de saison c’est aussi l’occasion de passer par le salon de Bruxelles, un autre rendez-vous devenu incontournable pour DUCATI SUD BELGIO puisque nous serons à nouveau présents pour vous accueillir sur le stand DUCATI au palais 03.
craquer sur les derniers modèles de la gamme 2013 ! D’ailleurs, qui sera le premier à craquer, le premier à remplacer sa ST pour la
Passez donc saluer la vingtaine de membres actifs qui se succéderont sur le stand et profitez-en pour faire connaissance, discuter « le bout de gras » ou inscrire votre pote qui ne nous a pas encore rejoint car c’est au DSB « que ça se passe » ! Faites quand même attention car la tentation sera grande de ne pas
a repris la gestion dernièrement avec un bon en avant de plus d’une centaine de fans en à peine un mois. Pas encore fan du DSB sur Facebook, allez, hop, on vous y attend. Bon, j’en ai assez dis, maintenant je me tais et vous laisse dévorer le reste du magazine. Bonne saison 2013 avec DUCATI SUD BELGIO ! A presto,
Multistrada à suspension Skyhook, hmm … ?
Frédéric Président
Laurent
On en reparlera, je vous dis … en tous cas, pensez à nous le raconter, vous avez l’embarras du choix pour le faire, dans Desmopassion, sur le forum ou encore sur notre Fan page Facebook qui cartonne depuis qu’Olivier Di Vito (DSB Crew member) en
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Après les tomes 1 et 2 qui nous a fait découvrir les débuts de Ducati jusqu’aux bicylindres à couples coniques en passant par les monos des années 70, Marc Poels, membre fondateur du DSB, continue l’épopée avec les Pantah. Un tableau complet des machines de courses aux modèles de route. À mettre entre toutes les mains d’urgence!
Offre Spé 45€ (au lieciale pour les memb u de 49.90 r à verser su €) + 8€ de es!! r le compte fdp. du club:
CCB 00 1-44896 35-66 IBAN B E 07 0014 4896 35 66
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Vo y a g e v er s le Sud Pa r Se rg e Un soir devant TV5 monde, je tombe sur un documentaire sur «les bouches de Kotor», j’ai de suite été fasciné par les paysages extraordinaires de cette région du Montenegro. Pas l’ombre d’une hésitation ....Ce sera mon futur voyage en juin 2012. Au départ, j’envisageais de partir seul avec mon matériel de camping mais après avoir reçu un coup de fil de mon ami Bart, je n’ai pas su tenir ma langue en poche et je lui ai proposé de m’accompagner pour ce trip de deux semaines et demi....
Evidement c’est comme donner un os à un chien, il a accepté de suite!! Et puis l’idée est partagée avec d’autres copains. Bon, il restait un problème à résoudre, le mode de logement. Au départ j’étais seul et maintenant nous sommes cinq dont trois ne veulent pas entendre parler de camping. La solution fut vite trouvée, le compromis : les six premiers jours à l’hôtel, le reste en mode «libre». Il fallait aussi que je réfléchisse avec quoi j’allais partir....deux solutions soit la Benelli TNT soit
la Ducati Monster 600.... pas évident. En attendant de faire mon choix, je prépare l’équipement de la moto et grâce au net, je suis parvenu à trouver deux sacoches cavalières de chez»nelson rigg», un gros sac souple arrière «givi», et un sac de réservoir «famsa». Pas facile de faire le choix, surtout qu’une petite voix reste dans ma tête me tracasse, j’avais épluché les bons guides de voyage (petit futé, etc...) sur le Monténégro et l’Albanie et les régions que je souhaitais visiter étaient très difficiles à parcourir
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en
voiture
normale.
Il fallait soit un 4x4 soit un trail ! Pendant toute une nuit, j’ai retourné le problème dans tous les sens et soudain la solution. Il faut dénicher la perle rare. Très rare. Budget de tout au plus 1200 € et évidement une machine Italienne. Impossible de rouler sur une jap’, c’est plus fort que moi. Mais le petit bon dieu était avec moi. Je découvre sur un site «Cagiva canyon 600 à vendre pour 1700 € en parfait état». P....n, il me manque 500 euro!! Coup de fil au propriétaire : je lui en propose 1000 euro (La moto était en vente
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depuis sept mois à 2000 euro et diminuée à 1700) mais il n’est pas d’accord. Et quelques jours plus tard : miracle !! Un mail me disant «c’est ok pour 1000». Cette Cagiva avait 11550km réels au compteur et était de 1995 dans un état plus que nickel. L’aventure pouvait commencer.
Vendredi 1er Juin. Enfin le grand jour est arrivé, depuis des mois je prépare, j’étudie les cartes, je consulte le net pour trouver de quoi satisfaire notre soif de découverte. Et nous y sommes !
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06h30. Départ avec un soupçon d’inquiétude quand même !! Cette Cagiva va-t-elle tenir la distance ? Je n’ai pas eu le temps de la tester réellement. Juste une centaine de kilomètres pour la ramener à la maison... Je démarre seul de la maison et quitte pour deux semaines ma compagne. Route ! Me voilà ! Direction Courrière pour rejoindre Bart, Jean 1 et Jean 2, Puis Bastogne pour retrouver Marc et sa Guzzi 1200 sport. Un modèle spécial avec quelques loupiotes bizarres qui s’allument au tableau de bord, mais sans conséquence pour la
de
Mon précédent gps avait lui finit son voyage en survolant le Lac Majeur.
agréable et superbe au niveau des paysages. Après environs
750km à faire. Nous rejoindrons un hôtel situé sur le lac d’Ammersee à 50 km au sud de Munich. Etape longue et fatigante surtout sur autoroute Allemande où je roule entre 110 et 130 km/h. Normal la canyon à seulement 34 petits cavalli...Jean 1 roule à la même vitesse que moi(guzzi 750). Mais les trois autres ne se traînent pas et nous arriverons le soir avec une bonne heure de retard sur les premiers. Et il n’y a pas que notre lenteur qui est en cause. J’avais fait la connerie de suivre aveuglément mon Gps. D’ailleurs, il terminera son voyage dans une poubelle en Slovénie. Bart, le trouvant sympa, fera de la récupération !!
Nous voilà au début des Alpes que nous traversons via l’Autriche pour atteindre Postojna en Slovénie, que du bon pour nous même si l’étape est longue de +/- 450 km. Arrivée estimée à 17h00. Deux groupes se forment, Marc, Bart et Jean 2 sont les plus gourmands et décident de passer par le Grobglockner (pas triste le détour) ..Faut pas oublier que c’est de la haute montagne et que parfois les heures passent vite avec une moyenne jamais très élevée. Jean 1 et moi-même suivrons une route de moyenne montagne plus directe mais tout aussi
150km à l’entrée d’un petit village typiquement Autrichien, je passe la troisième et Clac ! Plus rien à la poignée d’embrayage !...m...e ,c’est certainement mon câble qui a lâché. Evidemment, dans ma précipitation à préparer mes bagages, je n’en ai pas pris. Après vérification, c’est effectivement ce câble qui a rendu l’âme. Heureusement, mon ami Jean est un habitué de ces situations. Sur la Guzzi, c’est un problème qui arrive assez souvent donc il avait avec lui de quoi réparer rapidement. Après une bonne heure de travail, la Canyon était de nouveau au top pour continuer notre aventure.
bonne marche de la moto. Aujourd’hui,
plus
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Vers 17h00, nous arrivons à notre hôtel. Mais surprise ! Il accueille un mariage.
Primatzen(Croatie),nous espérons y arriver vers 17h00 mais j’ai bien écrit « espérons ».
Il fallait trouver un petit resto pour soulager nos estomacs affamés. Nous trouverons une petite pizzeria bien agréable. Mais il est 21h30 et toujours aucun signe de vie de nos trois aventuriers. Nous sommes un peu inquiets. Bart, par téléphone, me dit qu’ils sont encore en Italie. En Italie ? Ils arriverons vers 23h00 crevés et surtout affamés. Heureusement, j’avais expliqué au patron la situation qui attendra nos gourmands du jour. Et puis à l’hôtel, le mariage bat toujours son plein et durera une grosse partie de la nuit....pas évident pour se reposer
En effet, après avoir quitté la Slovénie et à l’entrée sur le territoire croate, l’ami Bart suggère que nous prenions un raccourci.
Mais le soleil brille au matin de cette 3eme étape nous conduira jusque
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L’année dernière, en remontant de Roumanie, il était passé par l’île de Pag puis il avait pris le bac vers le continent. Donc, il nous propose de faire ce petit crochet, via cette île et ensuite de reprendre notre route, un peu plus haut que Split. Ok ! pas de problème, nous sommes dans les temps!! Arrivée sur le quai d’embarquement, nous prenons nos tickets pour la traversée. Bart me glisse : « tiens ! ce n’est plus le même bâteau que l’année derniere ? celui-ci est plus petit. » Après une vingtaine de minutes d’une traversée à admirer le paysage et à profiter de la pause, nous
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débarquons sur Pag,et roulons pendant une bonne demi heure. Nous arrivons alors à l’extrémité de cette fameuse île. Impossible d’aller plus loin et, et c’est plus fâcheux, impossible de rejoindre le continent par le pont : où est-il passé?? Bon, qu’ils changent les bateaux, passe encore. Mais qu’ils enlèvent des ponts, faut pas pousser, non plus ! Bart commence à avoir un sérieux doute et me dit : « je pense que je me suis trompé d’île ». Nous finissons par ouvrir une carte pour nous rendre compte que d’évidence nous n’étions pas sur Pag mais sur Brag !! Pas d’autre solution que de faire demi tour jusqu’à l’autre extrémité de Brag pour reprendre le bac en sens inverse. Au quai d’embarquement, les horaires des bateaux indiquent que la prochaine traversée est une heure trente plus tard. Malgré les nombreux kilomètres à parcourir, nous sommes restés philosophes. Il faut dire que les charmes du pays aident à faire passer
beaucoup de choses, temps superbe, paysages éblouissants avec toutes ces îles le long de la côte Croate et une route de la côte sinueuse à souhait. Finalement, nous arriverons vers 20h30 à notre logis, soit une demi-heure avant la dernière limite pour l’hôtel. Primatzen est une très petite ville fortifiée, entourée d’une mer bleue turquoise,un vrai petit paradis. Après une bonne douche et un repas succulent « fruits de mer et poissons», le tout arrosé d’un vin blanc régional extraordinaire ,nous regagnons nos chambres assez tard dans la soirée pour un repos réparateur.
petit vent qui vient de l’Adriatique. Quel bonheur ! Les motos ronronnent tranquillement à une vitesse»touriste» 80/90 km/h. Nous longeons cette mer qui nous invite à nous arrêter et à piquer une petite tête dans ces flots bleus turquoises. Dans le courant de l’après midi, nous arrivons à hauteur de la majestueuse et célèbre ville de Dubrovnik. D’énormes bateaux sont amarrés dans le port, nous nous arrêtons et profitons
pour prendre un verre et nous délecter de ce
fabuleux
panorama.
L’étape du jour est relativement courte aujourd’hui. Nous partons assez tard(10h00) et normalement arrivée à destination fin d’après midi...Si tout se passe normalement. Et comme à chaque étape il y a toujours une petite tuile ou l’autre!! Ne soyons pas pessimiste : ciel bleu,chaleur agréable,hum ce
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Malheureusement, nous ne disposons pas du temps nécessaire pour entrer dans la ville, nous repartons et quelques km plus loin débute une route non asphaltée jusqu’au Monténégro. Il fait de plus en plus chaud ! Ces trente six kilomètres de galères vont être particulièrement pénibles à parcourir, principalement pour mes copains avec des bécanes pas vraiment adaptées pour ce style de piste. Le plus désagréable est cette poussière qui nous empêche de voir à plus de dix mètres, nous sommes obligés
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de stopper régulièrement pour ne pas rejoindre un ou deux camions qui nous précèdent. Mais je tire mon épingle du jeu. La Cagiva est idéale pour ce genre de situation et me permet de me débarrasser assez rapidement de ces deux poids lourds. Nous arrivons à la fin de ce parcours du combattant recouvert d’une belle couche de poussière blanche. Ce qui a d’ailleurs bien fait rigoler les douaniers
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monténégrins. Après les formalités assez longues, nous pouvons enfin entrer dans ce nouveau pays. Immédiatement, c’est le changement de décor : vielles voitures et tout est plus années 70s!! Incroyable, nous rencontrons sans arrêt des
c’est u n e autre h i s toire, la
signalisation est très inexistante. Nous sommes obligés de nous renseigner à gauche et à droite. Un monsieur bien sympa
R4 (Renault) et un nombre incroyable de Zastava ( une reproduction des fiat 600) toujours en circulation. Faut dire que le Monténégro était le parent pauvre de l’ex Yougoslavie. C’est pas peu dire. Nous ne sommes plus qu’à quelques kilomètres de notre hôtel situé à Herceg-Novi. Mais pour le trouver, DUCATI SAMBREVILLE
Marché de Noël
Ce 14 Décembre 2012 de 19h à 22h.
Petite restauration et dégustation de Peket*
Nos partenaires du jour: * T*arif visible sur place
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Rue de Velaine 157 B-5060 Tamines 071/77.77.67 WWW.DUCATISAMBREVILLE.BE
nous invite à le suivre et ainsi nous pouvons arriver à bon port. En fait, c’est un nouvel établissement pas tout à fait terminé, mais malgré tout assez confortable avec une cuisine locale délicieuse. Le tout à un prix au raz des pâquerettes de royalement 25 euro en demi pension et oui le Monténégro utilise l’euro. Le lendemain très courte étape en direction du sud du pays vers notre destination finale (Petrovac).
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petite ville située à seulement à un jet d’huile de l’Albanie. Les deux jours suivants, nous visitons les bouches de Kotor et toute la chaîne de montagnes qui l’entoure. Des routes très sinueuses, des vues sur la baie époustouflantes. Nous passons l’après midi à la visite de la forteresse avec dégustation de divers produits locaux.
pieds au pays des Aigles. Je salive sur mon guide (un livre, hein!). Je cible particulièrement la vallée de la Valbona et veux mettre mes pneux dans ce village de Bajram Curri si mystérieux et souvent « déconseillé » aux éventuels aventuriers. Le nord est de l’Albanie a une mauvaise réputation, la katun, la loi du sang y a encore cours.
Le jour suivant, quartier libre pour tous. Mes quatre copains partent à la découverte des plus belles routes du nord- est du pays. Mais j’ai une idée qui me trotte en tête. Et ils ne sont pas très chauds pour franchir cette frontière qui était, il y a seulement quelques années encore, une des plus fermée au monde avec la Corée du nord. Vous avez deviné il s’agit de L’Albanie!! C’est plus fort que moi ! J’en rêve depuis longtemps : mettre les
Le ciel est bleu au matin de cette journée que je sens un peu spéciale. Du coup je m’occupe en préparant la Cagiva, pression des pneus, contrôle du niveau d’huile, graissage chaine, tout y passe. Un contrôle quasi plus précis que le jour du départ de Bruxelles. C’est dire le niveau de stress ! Pour finir un petit clin d’œil à ma bécane en lui disant : « tu ne vas pas me laisser tomber si près du but » (c’est réel) !! Je me doute que les routes ne vont pas être un billard.
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Il est 09h00 quand je quitte les copains, en espérant pouvoir les retrouver ce soir dans un petit resto du coin et savourer une bonne spécialité locale!! J’ai le choix entre deux itinéraires, soit par la petite route de Hani i hotit, soit par Sukobin qui est plus importante. Mon choix est fait. Je prends la direction de
Sukobin. Arrivé à la bifurcation de Vladimir, je me retrouve de nouveau sur une route type piste jusqu’à la douane, j’ai la surprise de croiser quelques aventuriers en trails BMW et KTM Naturellement, grand signe de la main entre nous. Je suis déjà un peu plus rassuré : ils sont toujours vivants ! Une plaque m’indique que la frontière est toute proche, la pression remonte d’un cran. Les battements de mon cœur s’accélèrent. Derrière un tournant, et à une centaine de mètres, un aigle sur fond rouge flotte fièrement dans ce beau ciel bleu....l’Albanie !!!
Il y a juste deux ou trois voitures avec le coffre ouvert pour la fouille, le douanier m’invite à passer sur la gauche. Je retire mon casque, arrête la moto et le salue poliment. Je donne mes documents, et j’en profite pour lui demander si je peux prendre une photo. Comme je m’en doutais la réponse est non...mais avec le sourire. Je sens mon stress me quitter et j’ai comme une grande joie intérieure qui m’envahit. Surtout que mon sympathique douanier m’invite à me diriger vers une zone d’ombre pour me protéger du soleil. Il m’en faut peu mais c’est décidé : j’adore ce pays ! Faut pas beaucoup plus pour tomber amoureux!!! Après une quinzaine de minutes, je récupère mes documents et pose mes roues sur le sol Albanais. Impression bizarre, un mélange de peur et de grande joie. Je rencontre les premiers vestiges du passé,bunker, charette tirée par un petit âne, les gamins qui saluent, les voitures des années 60 au pétrole etc...c’est pauvre très pauvre ! Après une vingtaine de
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kilomètres, sur une route dans un état praticable, j’arrive dans la ville de Shkoder. La ville est en pleine transformation, nouvelles stations services ultra modernes et grandes allées qui drainent un trafic très intense. Et dire qu’il y a moins de vingt ans, il n’y avait pratiquement pas de voitures dans ce pays. Le plus grand danger vient justement de là, il n’y a pas vraiment de loi au niveau de la circulation. Ou plutôt s’il y en a, tout le monde s’en contrefout.Ils roulent n’importe comment. Les nouveaux rond- points sont de véritables cauchemars.
Comme il n’y a pas d’ilôt central, l’ensemble du trafic se retrouve au centre. Certains viennent dans l’autre sens. Il y a des touchettes. Une dame en vélo a failli m’emboutir en sens inverse.
Je siffle la fin de la récréation et je regagne le Monténégro pour retrouver mes copains et l’hôtel.
Je devais me diriger sur Koplik mais impossible de trouver la bonne direction du coup je me suis retrouvé sur la route de Tirana puis re-bifurcation vers Kopliik sans aller plus loin. Le temps file et je ne ferais que voir, au delà du lac Skadar, la route qui aurait du me conduire dans cette vallée merveilleuse.
J’oubliais sur ce trajet du retour, comme j’avais très faim et que je n’avais pas eu l’occasion de changer quelques euro en lek, je me suis arrêté dans un très petit magasin. J’y ai acheter quelques fruits et un paquet de mini pizze, la dame parlait parfaitement l’italien et un peu de français (pour info l’italien et le français sont deux
Le passage frontière au retour n’a posé aucun p ro b l è m e ! !
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langues très souvent parlées en Albanie). N’ayant pas de monnaie du pays, je lui ai donc proposé le payement avec un billet de 5 euro et lui ai dit de garder le reste. Cette dame était heureuse et a voulu me donner tout un assortiment de produits locaux, j’ai refusé et suis parti en lui disant à l’année prochaine!! Faut savoir que le salaire moyen là bas est d’environ de 200 euro par mois. C’est avec regret que j’ai quitté ce pays en me disant vivement l’année prochaine que je puisse y revenir et le visiter plus en profondeur.
dernier jour. Nous passons une formidable soirée entre copains, devant de bonnes bouteilles de vin et de savoureux plats de fruits de mer. Le lendemain matin, le groupe se sépare et prend des destinations différentes.
Retour à l’hôtel pour le
Quant à Jean 1 et
Bart, Marc, Jean 2 rejoindront l’Italie via Split, ensuite le bateau pour Ancona pour repasser par les dolomites pour le retour vers la Belgique. J’apprendrai plus tard que la Morini de Bart avait fait des siennes. Pas facile de savoir quand faire le plein avec un tableau de bord vide pour cause d’électronique en carafe..
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moi-même, nous allons séjourner deux jours à Mostar (Bosnie-Herz) dans un camping situé à 7 km de la ville, le long de la rivière Neretva. Le patron, d’une gentillesse incroyable, avait mis à notre disposition tout le matos du parfait campeur : une table, deux chaises et une cuisine avec tous les accessoires. Le soir, nous sommes allés manger dans un resto où nous nous sommes régalés de leur spécialité : une truite exceptionnelle. Le lendemain, visite de Mostar qui conserve les traces de la guerre (19921995). Il y règne d’ailleurs une atmosphère bizarre.
Il suffit de passer le fameux pont construit en 1566 sous le règne de Suliman le magnifique et détruit en 1993 par l’armée Croate et ensuite reconstruit pierre par pierre à l’identique en 2004 pour s’en rendre compte. Ce pont séparait l’Islam de la Chrétienté. Il en est toujours de même semble-t-il. Côté musulman, les échoppes souvenirs proposent des drapeaux turcs. Côté serbo-Croate c’est différent ...on peut déguster de succulentes bières!! Certaines visites sont incontournables mais nous sommes là pour rouler aussi. Le lendemain, nous partons à la découverte des routes montagneuses de la Bosnie.
vient troubler notre nuit. La tente bas de gamme, c’est pas vraiment ça ! Nous rechargeons notre matériel sur les bécanes, et partons pour quelques kilomètres ensemble avant de nous séparer définitivement en Slovénie. Jean prend la direction de l’Autriche pour remonter via l’Allemagne. De mon côté, je décide de passer par l’Italie de Nord et je coupe par la route Venezia/ Milano. Je suis accompagné sur l’autoroute par un déluge qui me fais passer
Et puis, il faut reprendre la route du retour, nous avons trois jours pour regagner notre pays. La première étape, nous conduit sur la presque ile de KRK. Un gros orage vers trois heures du matin
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par Brescia plutôt que par le Lac de Côme!! Une nuit à l’hôtel pour faire sécher ma combi et tout le reste et voilà le dernier jour. Du beau temps en Italie jusqu’au st Gothard et ensuite la pluie et le froid s’inviteront jusque dans les Vosges (7°). Lieu du dernier arrêt avant le dernier jour en direction de la Belgique par l’autoroute. Avec un total de plus ou moins 6000km et une seule panne ( ce fichu câble) la Cagica Canyon a parfaitement rempli son contrat, et les pays visités aussi. Vivement 2013 pour de nouvelles aventures encore plus à l’Est. S e r g e
EI C M A Pa r A l a i n Pa tte Le 05/10/2012, notre Préz poste “EICMA 2012 is coming” sur le forum du DSB.
officielle au public (du 15 au 18/11).
L’annonce est alléchante, seulement 8,00 Euro l’entrée si je parviens à combiner voyage d’affaires et voyage d’agrément.
Il s’agit tout simplement de l’« Esposizione Internazionale Ciclo Motociclo e Accessori » qui est la plus ancienne et la plus grande exposition annuelle de la moto, montrant non seulement les motos les plus récentes mais également les services y attenant. The state of the Art.
Aussi dit/écrit, aussi fait, je m’inscris, paie mon entrée et me renseigne sur l’EICMA car je n’y suis jamais encore allé malgré tout le bien
EICMA che cosa è ?
dans ses nouveaux quartiers à Rho au Nord de Milan, car victime de son succès, l’ancien site était devenu trop petit. Plus d’informations sur le site http ://www. eicma.it Particularités : Green planet 4ème exposition dédiée aux solutions hybrides ou électriques Custom Pour la 3ème année consécutive, les spécialistes italiens ou étrangers des préparations. Plusieurs catégories peuvent être découvertes : Chopper, H-D Modified, Racer Scrambler. 2 - w h e e l tourism
qu’amis et collègues m’en ont déjà dit. Cerise sur le gâteau, nous irons le mardi 13/11 avant l’ouverture
Ce salon Milanais se tient depuis quelques années seulement
Un espace pour les gens intéressés à voyager aux 4 coins du globe afin de trouver idées et solutions. Safety area Si l’ABS devient courant même sur les motos sportives (ex : Panigale), d’autres mesures de sécurité pour la moto commencent à faire parler d’elles : Veste ou gilet avec airbag ; Protection du cou ; Etc... Je compte bien vous parler de ces mesures de sécurité dans un prochain article à paraître dans le DP. Liste des priorités
Un salon aussi grand que l’EICMA ne peut se visiter en une demi-journée sans un minimum d’organisation ! Donc il faut établir des priorités et établir le meilleur chemin pour voir toutes les nouveautés dignes d’intérêt, du moins c’est ce que je croyais en pensant naïvement que le plan de l’EICMA, que je n’avais pas encore, suivait celui des autres salons… Mais n’anticipons pas. Donc voici ma liste de priorités : 1) Ducati : A tout seigneur, tout honneur ! 2) les motos italiennes : Les MV, Aprilia, Moto Guzzi, etc. sont dignes d’intérêt. 3) les motos européennes : De nombreuses nouveautés
également dignes de notre attention. 4) les autres motos : Si nous avons le temps, nous y jetterons un œil… Ensuite pour clôturer la journée, un chouette resto avec les copains du DSB. Enfilez vos casques c’est parti ! Bien avant midi, je me pointe à l’EICMA, tudieu que c’est grand ! Imaginez qu’au salon de Bruxelles, seuls 2 palais sont destinés aux motos, sauf qu’ici c’est plus grand que le Heysel tout entier ! J’imprime mon ticket grâce à une borne « Easy », essaie d’entrer mais les vigiles m’expliquent gentiment mais sans équivoque que je ne pourrai pas entrer avant midi avec mon ticket. Bon j’attends au soleil près de l’entrée du palais 18 où est situé Ducati et ai donc le temps d’examiner le plan des stands et de tracer mon itinéraire en fonction de mes priorités mais stupéfaction, les stands sont disposés dans un ordre aléatoire ou qui semble comme tel. A côté d’un stand
montrant des suspensions utilisées en compétition, vous passez à un autre montrant des pièces « custom ». Donc il faudra passer par tous les palais sans vraiment tenir compte des priorités si ce n’est commencer par Ducati évidemment. Ah, un SMS d’Oli qui vient d’arriver ! Fred par contre est toujours
mannequins et bien sûr les motos ! Autant vous avertir tout de suite : vous ne trouverez pas dans cet article un copier-coller des articles de la presse spécialisée et des spécialistes qui ont essayé et détaillé de long en large les nouveaux modèles, je me contenterai plus modestement de vous renvoyer à ceux-ci et décrire la visite de Mr tout le monde dans ce fabuleux univers de la moto.
Mais de suite les regards se portent sur la Panigale Corse, en vedette à côté de la MotoGP d’Hayden ! La nouvelle version R. Je peux la voir, la toucher, la photographier. A peine plus loin, la nouvelle version blanche est jolie, mais perso je préfère la rouge ! La famille Hypermotard et son nouveau moteur 820 8 soupapes à refroidissement à eau, attire les regards, même
Avant même d’arriver au stand Ducati, j’ai l’occasion d’admirer une Panigale sur le stand du préparateur SM, ainsi qu’une MV F3. coincé dans les embouteillages au moment d’entrer. Tant pis, il est quasi midi et nous ne pouvons résister à l’envie de déjà admirer les belles de Bologne. Heureusement que ce n’est pas encore l’ouverture au grand public, déjà beaucoup de monde et sur mes photos je n’aime voir que les ami(e)s, les
Nous arrivons enfin à ce qui nous a amené ici, le St-Graal de la moto.Tudieu qu’elles sont jolies nos bolognaises ! Je suis ravi que les mannequins soient à la hauteur des bécanes qu’elles chevauchent.
sans être aidée par les mannequins. Grande
discussion
concernant les différences par rapport au millésime précédent (je laisse aux spécialistes le soin de développer). La nouvelle Hyperstrada et son aptitude au tourisme (pare-brise haut, guidon haut, valises souples, etc.) font crépiter les appareils photo, notamment concernant le système d’attache des valises.
une raison ou l’autre je me rachète une MTS, je prendrai la Touring à laquelle je rajouterai toutes les options de la Granturismo sauf les valises qui sont trop larges à mon goût. A moins qu’une simple MTS de base mais équipée
comparaison intensive des jantes, des échappements et de leurs positions.
Touratech si je veux voyager loin. Je suis content que les protègemains soient plus solides (cf photos), les clignoteurs en ont profité pour migrer des clignos aux rétroviseurs.
les équipements vestimentaires proposés à la vente un peu plus loin. Notre cœur est un peu déçu mais le portefeuille est ravi, car malheureusement nous ne voyons rien qui nous tarde de ramener en Belgique. Pour tous ceux qui ont une pensée émue pour tous
Eh Fred, où restes-tu ? Bon cela nous donne un moment pour voir
Des valises, il en est aussi question sur la Diavel Strada qui peut aussi être équipée d’un pare-brise haut. Toute la famille Monster est là en version anniversary. Mais pas encore de valises pour cette famille-là ! Les Multistradas. Oli est séduit par la Pine Peak à laquelle il pourrait rajouter un parebrise haut et un topcase pour les vacances. Le modèle Granturismo propose d’emblée toutes les options qui m’intéressent mais imaginons que pour
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Suit ensuite un grand moment de philosophie concernant la
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les produits estampillés « 46 », je les renvoie à cette vidéo humoristique (http://www. moto-net.com/breve. php?RefBreve=4774). Ah Fred te voilà ! A peine arrivé, il a déjà repéré des personnalités dont Bram et quelques senior managers (à compléter par Fred). 13:00 : KTM sur le stand à côté dévoile en grandes pompes ses nouveaux modèles (1190 Adventure (R), Super Duke 1190, Enduro 390, etc…) avec quelques invités de marque : S t e f a n E v e r t s , Marc Coma, S a n d r o Cortese, Ken DeDycker, C y r i l Despres, Antoine Meg, Christophe Nambotin. Mais pas moyen de voir quelque chose tellement il y a du
monde ! Sur le s t a n d Triumph, les nouv e l l e s Daytona, Street Triple et Trophy. Avec les Tiger’s et Trophy’s, Triump essaie d’attirer le même public que celui des BMW GS et RT mais avec une touche British et les genoux un peu plus pliés (voir les photos avec
Fred comme modèle). Les Street’s par contre chassent sur les terres de la Monster. Gaffe les gars, car les Anglaises proposent des arguments convaincants. Nous arrivons sur le stand BMW : notre
œil se porte sur une curiosté : le nouveau scooter électrique. Je serai convaincu par les véhicules « tout électrique », même en ville, le jour où l’infrastructure suivra. Pour la nouvelle GS « à eau » et la nouvelle RR HP4, je vous prie de lire la presse spécialisée qui les a décrites de long en large. Respect néanmoins pour cette marque qui propose des produits de qualité et qui tout comme Ducati honore les anciennes en proposant pièces détachées et bourses d’échange pour les passionnés. Le stand Touratech mérite le détour. Longtemps orienté BMW, cette marque propose maintenant depuis l’année passée des produits de qualité pour équiper la MTS 1200 ou la nouvelle
Tiger. Ici la qualité et la solidité priment sur le design. Imaginez donc, une moto italienne avec ses sensations, épaulée par la rigueur et le pragmatisme germanique. Donc si vous envisagez un tour du monde avec votre MTS, et que le design germanique ne vous rebute pas, cette option est valable. Husqvarna parvient à concilier la rigueur germanique et le design italien avec ce léger vent de folie qui nous rappelle
que la moto est avant tout une affaire de passionnés en faisant fi des aspects pratiques exigés par les roule-toujours. Le stand SBK met à l’honneur la nouvelle reine de l’année, l’Aprilia RSV4 de Biaggi, au côté de l’ancienne reine 1198R. Nous avons à peine le temps d’admirer quelques sublimes embrayages proposés par des firmes spécialisées que le stand Piaggio
s’ouvre en pompes.
grandes
En vedette la Vespa 946, la Moto Guzzi California 1400, les Aprilia RSV4 Factory (déjà admirées quelques minutes plus tôt) et Caponord. Quelle effervescence sur le stand, exacerbée par la présence des caméras. Tudieu, je viens d’apercevoir le pot d’échappement de la Caponord ! Vivement les produits after-market ! Dans une ambiance plus
calme, nous arrivons au stand Bimota qui propose des modèles hypermotard, enduro ou circuit à la sauce bolognaise. Nous ne nous lassons pas de les admirer sous toutes les coutures ! Je n’en dis pas plus, les photos illustreront mieux mes propos que je ne pourrais le faire. Tout à coup, je pense à Bernard et sa moto spéciale
car Bimota propose également sa solution
du même genre. Nous ne quittons pas le stand Bimota sans une autre surprise (du moins pour moi) : après la sauce sushi et bolognaise, voici un nouveau plat à sauce munichoise. Bon pas moyen de faire autrement, mais nous devons passer par le stand Kawa. Un moment de nostalgie en passant près de la vénérable Z900 (la
1ère moto grand public de plus de 750cc) qui m’attire plus que la nouvelle Z800. Quelle effervescence au stand Peugeot. Quoi, tout cela pour le scooter Ovyx à 4 roues ? J’espère qu’il est efficace car j’aurais de la peine à décrire sa beauté… Serais-je gêné de rouler en ville avec un truc aussi moche ? Euh oui ! Le 3 roues offre déjà un design plus recherché. Un petit peu déçu par le stand Benelli, je ne saurai expliquer exactement pourquoi. Le stand sécurité montre des produits intéressants, qui se sont généralisés en course automobile de haut niveau mais qui restent des curiosités pour les motards: Necklace ; les vestes et gilets airbag.
Aaah voici un stand intéressant : les MV Augusta ! Elles sont toutes là, en 3 cylindres (675, 800) et 4 cylindres, déshabillées ou carénées. Toutes plus splendides les unes que les autres. Je les photographie sous tous les angles, surtout la nouvelle Rivale 800 qui porte bien son nom. Ma che bella ! Et de plus à un prix tout-à-fait concurrentiel. Un très beau stand Ohlins qui montre différentes solutions exploitées en compétition. Superbes pièces ! Désolé, les prix ne sont pas affichés. Par contre, les MotoGPx exploitant ces solutions, se laissent admirer sous toutes les coutures. Quand je vous disais que l’ordre des stands semblait aléatoire, après les suspensions de compétition, voici un stand HD et produits dérivés. C’est ainsi que nous arrivons au stand « Headbanger » où Fred reconnait un ancien sponsor du
DSB, importateur des mini-motos Malaguti en Belgique. L’homme est fier de nous présentant ses motos uniques où chaque client peut exprimer ses désidératas quant aux couleurs et options. Il suffit juste de mettre le prix. Nous passons par des stands spécialisés dans les cadres (Pierobon), les jantes (si si Fred connait le mec !), les préparations de haut niveau (Desmoworld), etc… avant de terminer la visite là où elle a commencé : au stand Ducati. Nous y rencontrons quelques hauts
cadres bolognais dont j’ai oublié le nom. J’aurais du prendre des notes quand Fred me les a présenté. La grande foule s’estompe et cela devient plus facile pour admirer les motos et prendre des photos en toute tranquillité. Cela nous permet de continuer notre conver-
sation sur les moteurs, les suspensions, la position relative des échappements, des jantes d’origine, etc.
Nous quittons le salon à la fermeture des portes. Nous sommes fatigués d’être restés debout sans vraiment marcher, mais contents de notre visite. Pour le resto du soir, d’un commun accord, nous partons en taxi à Naviglio Grande, un des plus endroits de Milan. Le canal est asséché afin d’être nettoyé mais cela
ne nous empêchera pas d’apprécier l’endroit, et de profiter de la soirée. Un grand merci à Fred et Oli pour leur présence, ce fut une joie de visiter le salon en leur compagnie. C’est sûr, je ne regrette pas mon après-midi à l’EICMA 2012. Donc avis aux amateurs en 2013. Alain.
Vo y a g e d a n s l’Ou est Pa r A l a i n D . En juin dernier, je suis retourné pour la troisième fois aux Etats-Unis pour un « road-trip » de plus de 4000 bornes en Harley Davidson. Les « States », je connais un peu; à 22 ans, j’avais traversé les plus beaux parcs nationaux et les plus belles villes de l’ouest accompagné de 23 copains répartis dans 5 Chevrolet Impala. Trente ans plus tard, en 2011, j’ai pu remettre le couvert. Après avoir récolté un maximum d’informations auprès d’agences et d’organisateurs de voyages, c’est avec mon Zumo 660 que j’ai « tracé » un itinéraire de 6000 km (3700 miles) allant de Denver à San Francisco. Notre route traversait le Colorado, le Wyoming, le Montana, l’Idaho, l’Utah, l’Arizona, le Nevada et la Californie. Elle croisait Casper, Cody, Jackson,
Salt Lake City, Flagstaff, Williams et Las Vegas. Elle nous faisait visiter des lieux mythiques comme le Yellowstone, Zion, Bryce, Monument Valley, Death Valley,
Bagdad Cafe et remontait la côte le long du Pacifique entre Pismo Beach et San Francisco. Cet itinéraire démesuré m’avait également permis de réaliser un rêve de gosse : « motarder »
sur la « Mother Road », la Road 66. Un couple d’amis : Nancy et Jeannot ainsi que ma compagne : Marie-Rose m’ont accompagné. Nous avions loué 3
Harley chez Eaglerider: une Electra Glide pour mes amis, une Heritage pour Marie-Rose et pour ma part j’avais troqué ma Multistrada pour une Street Glide, une routière de plus de 350 kg propulsée par un V2 de 1584 cc et … 73 cv. On ne change pas une équipe qui gagne ! C’est donc dans la même configuration (compagne, amis, motos et Zumo) que nous quittons Eaglerider Denver ce lundi 11 Juin 2012. Pour ce périple j’ai décidé de sortir des sentiers
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est apparue sur les bascôtés de la route ; nous sommes passés de 25° C à 0° ! Du point de vue, je scrute le paysage à la recherche d’un autre col ; celui qui fait rêver : Pikes Peak . Le ciel est dégagé, il est à 100 km plein sud, je le vois.
battus, envie de quitter les « Interstate », envie de parcourir les plus belles routes à virolos du Colorado, du Nouveau Mexique, de l’Arizona et de l’Utah. Cette première étape a pour objectif le Mont Evans, un « Fourteener »; c’est comme cela que les américains appellent les cols de plus de 14000 pieds. Le Mont Evans culmine à 4350 mètres et la route qui conduit au sommet (elle s’arrête
à 4306 mètres d’altitude) sera une piste de moto école idéale pour reprendre en main les Harley. Sacré prise en main : la route est terriblement défoncée, nous enchaînons les épingles serrées en essayant d’éviter des trous desquels surgissent à toute vitesse des marmottes effrayées par le bruit de nos motos. Les paysages verdoyants du début ont fait place à de la caillasse et la neige
Mardi 12 juin 11h00 du matin, nous arrivons à Manitou Springs, la petite ville touristique est superbe, dans l’oreillette Marie-Rose manifeste impatiemment son envie de s’arrêter ; je lui fais comprendre que nous repasserons plus tard. Je ne suis pas ici pour cela, je traverse la ville et continue quelques kilomètres sur la highway 24, je tourne à gauche, roule encore 2 km et m’arrête. Je suis au péage de la « Pikes Peak Toll Highway ». Nous payons 12$ par moto, Jeannot démarre le premier, suivi de MarieRose et je ferme. Nous contournons le Crystal Creek Reservoir et démarrons l’ascension. La route est magnifique, le revêtement n’a rien à envier à un circuit, des équipes de maintenance aspergent la colline longeant la route d’un produit plastifiant afin que les pierrailles ne tombent pas sur le bitume. Je
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remarque très vite que des bottes de paille sont
à fond de compte-tour. Il n’y a que 73 cv et j’ai
placées à la corde des virages, Marie-Rose qui regarde le paysage se fait de plus en plus distancer par Jeannot qui a manifestement pris de la vitesse. Moi, je ne tiens plus, je crie dans le Scala Rider : « Mamour faut que je passe »; je redescends le sélecteur afin d’aller rechercher la deuxième, la Harley hurle, je monte tout cela
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450 kg moi compris à emmener au plus vite à 4305 mètres d’altitude. Le Garmin vient à mon secours, je sais où sont les épingles ; avant celles-ci tu élargis le virage un max afin de perdre un minimum de vitesse, pour les virages c’est à fond de 3ème et pour les courbes c’est à fond de 4ème et surtout ne pas couper à l’entrée. Si tu reviens sur une voiture tu t’arranges pour la passer directement, si tu te cales derrière c’est foutu, tu n’as pas la cavalerie pour dépasser. A ce jeu, je reviens rapidement sur Jeannot et le passe en sortie de courbe. Je suis maintenant seul sur cette route avec cette drôle de moto qui louvoie de l’arrière à cause de ses pneus carrés mais malgré tout je suis certain qu’à cet instant, même
si je m’essouffle de plus en plus à cause du
manque d’oxygène , je suis le plus heureux des
motards ! Mon but n’est pas ici de vous décrire ce qu’est Pikes Peak ou de vous parler de cette fabuleuse course, il y suffisamment d’infos sur le net. Ici, j’ai juste partagé un sacré moment de bonheur. Je ne vais pas non plus vous décrire les étapes du voyage jours après jours car cela finirait par vous lasser. Après Pikes Peak nous nous
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sommes dirigés vers le Nouveau Mexique en partant à la découverte des Pueblos (villages indiens). Nous avons découvert la réserve Navaro , croisé le Santa Fe Railway, emprunté la Highway 12 du côté de Capitol Reef et le Burr Trail qui sont également des
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routes mythiques vu les paysages traversés et les centaines de virolos qui les composent. Nous avons fait la fête à Flagstaff et beaucoup trop marché à New-York. Ces vacances furent pour moi une sacrée réussite et c’est pour cela que je me permets de vous communiquer
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quelques conseils si des envies de voyages venaient à vous passer par la tête. Parlons Harley : je ne suis pas fan de la marque contrairement à Jeannot qui roule toute l’année en Road King, qui fait partie du Harley Club de Liège et qui adhère complètement
à cette drôle de « philosophie ». Moi, je suis un motard, j’aime les accélérations et j’aime les virolos. Il faut bien admettre que dans cette optique la Harley n’est pas la moto idéale mais il faut lui reconnaître que pour des trips de 4000, 5000 voire 6000 bornes le confort de cette moto est sans égal. La Harley fait partie du rêve américain, à son guidon, tu attires leur sympathie ; à chaque carrefour tu auras toujours priorité et ne t’étonnes pas si un automobiliste vient parquer sa Mercedes SLS AMG à côté de toi
pour te demander de le prendre en photo assis sur ta moto. Pour mon voyage de 2011 j’avais pris pas mal de renseignements auprès d’agences et finalement j’ai choisi d’organiser le tout de A à Z. C’est clair que pour moi, j’ai fait le bon choix. Le net m’a permis de réserver motos, hôtels, activités et billets d’avion très facilement et à un tout bon prix. J’ai vu dans le Colorado un groupe de 7 ou 8 Multistrada se traîner derrière une camionnette à bagages conduite par un guide ;
aucune liberté ! Ecrire ce petit CR me donne vraiment trop envie de repartir. Ce sera certainement pour 2015 … . Si cela vous dit ?
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Meeting DSB Crew & effective members Pa r G u y e t Fréd éric Vous n’êtes pas sans savoir que certains membres du club s’engage au côté du Staff. Dans ce contexte des réunion ont lieu. La dernière en date a eu lieu à Gembloux, le 24.11.12. En voici le compte rendu: Meeting DSB Crew & effective members Présences Frédéric Laurent: Président Samuel Jager: Viceprésident Marc Jacqmin: Trésorier Guy Janssens: Secrétaire Joël Amand: Membre effectif Stéphane Bloquiau: Membre effectif Bénédicte: Membre Eddy Bouserouel: Membre Olivier Di Vito: Membre Crew Yannick Ntaho: Membre Crew Dominique Loroy: Membre Crew Bernard Mont: Membre effectif Luc Paris: Membre effectif Brigitte Paris: Membre effectif Alain Patte: Membre Crew Martine Patte: épouse Marc Poels: Membre Crew Fabienne Viroux: Membre effectif
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Christina Schottner : Membre Crew Francky Sciagura: Membre effectif Excusés Olivier Elvanian: Membre Crew Xavier Callebaut: Membre Crew Steve Marangon: Membre Compte-rendu : Le Président ouvre la réunion et acceuille tout le monde. Il remercie particulièrement ceux qui ce sont manifesté cette saison pour avoir donné un coup de main et surtout pour leur engagement dans le DSB. Il réfère notamment à Olivier et Stéphane (organisation du voyage WDW2012) et Alain ( omniprésent dans l’organisation des RB’s et des balades). Il précise qu’il est très important de pouvoir compter de telles personnes parmi nous, des gens sur qui on peut bâtir et construire, il suggère que ce ne devrait pas être un problème de remplir toutes les fonctions dans le DSB Crew. A l’aide d’une description (job description) par fonction distribués à tous, les membres du DSB présent à la réunion, ont la possibilité
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de savoir exactement en quoi consiste la fonction. Nous avons 9 fonctions dans le DSB CREW : 1. DSB Webmaster Le Président nous explique que DUCATI Bologne voit le design et layout du site DSB comme l’un des plus beau au monde et que notre organisation a été prise en exemple à l’occasion d’une réunion sur la stratégie DOC tout dernièrement. Nous avons un grand souci avec la stabilité de notre site web. Yannick est la personne qui s’est occupé de voir où se trouvent les problèmes, il nous en parlera tantôt. Nous cherchons quelqu’un qui pourra s’occuper de renouveler notre site et qui connait très bien la matière, ce qui n’est pas évident ! Il y a place pour deux personnes dans cette fonction. Yannick nous explique que le site DSB a besoin d’urgence de la dernière nouvelle version de software (le moteur du site) et cela nous permettra de placer de nouveaux modules. Le forum que nous possèdons à ce jour n’autorise pas une version plus haute que le 2.5 et si nous voulons aller vers une
version plus haute et plus performante, nous rencontrerons d’autres problèmes. Le Président explique que DUCATI envisage de mettre à notre disposition de nouveaux outils et notamment un logiciel qui permettrait d’envoyer des SMS aux membres, ce qui pourrait constituer en terme de communication interne, une belle avancée. Nous travaillons actuellement avec une news lettre (NL) et certaines personnes à Bologne la reçoivent aussi, ils sont donc parfaitement au courant de qui fait quoi où et comment, une raison de plus de travailler d’une bonne façon. Yannick nous confirme qu’il pourra, tout le mois de décembre, consacrer son temps au développement de notre nouveau website. Yannick N’Taho est notre nouveau DSB WEBMASTER. 2. DSB Facebook Manager En ce qui concerne la page Facebook du DSB, nous ne sommes pas assez actif. Suite à cela, nous cherchons une ou des personnes qui pouront, sur base régulière, mettre le DSB plus en valeur via notre Fan page Facebook. Cela ne
demande pas grand chose mais il est trop important pour l’image du club de suivre les commentaires et de mettre le DSB en valeur. En ce moment, nous avons 471 fans et nous venons d’un chiffre de 300 (Mars 2012), ce qui n’est pas énorme et à ça nous devons travailler. Olivier Di Vito et Christina Schottner acceptent de prendre en charge cette fonction. Ils sont donc nommés au poste de DSB FACEBOOK MANAGER
sur notre forum et il y a encore des personnes qui ne possèdent pas d’adresse e-mail, pour ce groupe de gens nous n’allons pas créer et envoyer une NL. Ce serait bien de toucher ces personnes là via Facebook. Nous constatons également un manque de volontaires qui acceptent d’ouvrir un groupe de Ducatistes dans notre club, ce qui constitue un problème tant en terme d’agrément que de sécurité. Nous souhaitons travailler sur ce point en 2013 afin d’encourager les gens à oser assumer cette fonction.
Le président les rencontrera pour leur expliquer le fonctionnement. 3. DSB Road-Trip Manager Nous regrettons que lorsqu’il n’y a pas d’activité (balade) organisée par le Staff DSB et que le temps est soudainement clément, personne ne prend l’innitiative de faire bouger les gens et d’organiser à l’improviste une sortie en moto alors que cela constitue la raison d’être d’un club comme le nôtre. Pour cette raison nous cherchons quelqu’un qui pourrait prendre en charge cette fonction. Tous les membres du club ne se trouvent pas
Dans ce cadre, le DSB proposera une formation sur le terrain axée sur cet objectif. Nous sommes en possession de Gps Tripy et des gilets fluo pour emmener nos membres en toute sécurité pendant nos activités routières. Alain Patte s’est présenté à ce poste et nommé DSB ROADTRIP MANAGER. se présente comme suppléant d’Alain et l’assistera dans cette tâche. 4. DSB SAFETY MANAGER
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La pratique de la moto est dangereuse, nous en sommes tous conscients, raison pour laquelle en tant que club, DUCATI SUD BELGIO a décidé de s’investir dans la promotion de la sécurité dans l’exercice de notre passion commune. DUCATI nous impose d’ailleurs depuis 2011, ainsi qu’à chaque DOC, la nomination d’un Safety Manager au sein du club. Guy Janssens s’est jusqu’à présent occupé de cette tâche et la réalisation d’un texte de sécurité, un règlement d’ordre intérieur pour une conduite en toute sécurité. Ce texte est accessible à toute personne qui visite notre site web DSB. Nous avons également investi dans des vestes fluo et dans la fabrication de badges numérotés. Notre responsable sécurité actuel a décidé de passer le flambeau à quelqu’un d’autre dans le club. Alain Patte s’est présenté à ce poste et nommé DSB SAFETY MANAGER. 5. DSB DESMOPASSION REDAC’ TEAM Samuel Jager (Sam) , notre rédacteur en chef, est toujours à la recherche de personnes qui pourraient lui soulager un peu les tâches, apporter des
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nouvelles idées…etc. Nous sommes heureux de constater qu’un plus grand nombre de membres lui envoie des textes et des articles, mais le format et le layout dans lesquels ces articles sont parfois envoyés, causent des problèmes à la réalisation du Desmo Passion. Notre DP est édité 4 fois / an et c’est à chaque fois un travail énorme pour atteindre cet objectif. Le président précise que le Staff souhaite créer une équipe rédactionnelle chargé s’assister le rédacteur en chef. Personne ne s’est proposé. Ce poste reste vacant. 6. DSB E-SHOP MANAGER Une saine gestion de nos finances induit d’accorder une attention particulière à la gestion de notre stock de merchandising. Force est de constater qu’en dehors des newsletters annonçant la mise en vente d’un article et des rares fois où ceux-ci sont présentés au public participant à nos events, nous ne disposons pas de possibilité de promouvoir nos articles. En projet depuis deux ans déjà, nous souhaitons disposer début 2013, d’un e-shop afin d’améliorer la visibilité de nos articles depuis notre website ou notre fanpage Facebook
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et ainsi améliorer la gestion et le renouvellement de notre stock et de nos produits dérivés. Yannick Ntaho indique qu’il oeuvrera à l’intégration d’un e-shop dans le cadre du développement du nouveau website. Laurent Fallais reste notre DSB E-SHOP MANAGER. 7. DSB DESMO DONNE MANAGER Beaucoup de femmes apprécient accompagner leur compagnon en duo lors des sorties dominicales ou pour des voyages. Depuis peu, de plus en plus d’entre-elles, ont franchi le pas, acquis leur propre moto et même rejoint le DSB. Début 2012, DUCATI SUD BELGIO, sous l’impulsion de Dominique Loroy, a souhaité diversifier son offre de service et proposer à ses membres féminins des activités spécifiques sans toutefois y accorder l’exclusivité. Dominique nous explique que ce n’est pas le but de réaliser d’autres activités que celles organisées par le DSB, mais bien des activités plus féminines et présente quelques activités qui seront proposées en 2013 au DSBCALENDAR. Dominique Loroy est
nommée au poste de DSB DESMO DONNE MANAGER. 8. DSB CLASSIC MANAGER Marc Poels nous présente son nouveau livre l’Histoire de Ducati, le tome 3. Il nous explique aussi qu’il ne possède pas beaucoup de temps à consacrer sur Facebook pour promouvoir le DSB Classic’s mais s’engage à le faire. Le Président explique que le Staff serait très heureux de voir se concrétiser le projet d’organiser une sortie rassemblant des motos classiques (sans exclusivité) et que ceci doit constituer un objectif 2013. Le président ajoute qu’organiser un tel évenément demande beaucoup de préparation et que Marc et Philippe seront soutenus dans ce défi. Mr Steve Marangon, membre DSB passionné de DUCATI anciennes, rejoindra cette année l’équipe DSB Classic’s dans la perspective de cet objectif notamment. Marc Poels, Philippe Weber restent nos DSB CLASSIC MANAGER Steve Marangon est présenté comme futur membre du Crew au poste de DSB CLASSIC MANAGER. 9. DSB DESIGNER
Le Président et le Vice-Président souligne l’importance du travail réalisé par Olivier Elvanian et le fait que sans lui, le club se trouverait particulièrement en difficulté car la charte graphique développée jusqu’à présent constitue à elle seule, une partie nonnégligeable de l’image du club. Les participants reconnaissent unaniment la qualité de ce travail. Olivier Elvanian reste notre DSB DESIGNER. DSBCALENDAR2013 Le president nous présente le projet de calendrier des évènements DSB 2013 et attire l’attention sur le fait que ce calendrier est une proposition et que toutes les propositions sont les bienvenues pour le changer et l’étoffer en vue de l’Assemblée Générale. Il est demandé de ne pas communiquer ce calendrier afin que ces informations provisoires n’interfèrent pas avec le calendrier officiel de l’AG. Sur proposition des participants, l’activité DSB KARTING CUP est remplacée par une activité PAINTBALL. La proposition de participer au salon de la moto de Ciney le 01/02 Juin ne faisant pas l’unanimité, elle est supprimée.
Sur proposition d’Olivier DI VITO, validée par les participants, un trip d’un weekend sera organisé en lieu et place du salon de la moto de Ciney. La destination n’est pas encore confirmée mais la proposition de la Forêt Noire retient l’attention de tout le monde. Dominique Loroy transmettra les dates des activités qu’elle compte proposer pour DSB DESMO DONNE au président qui les intègrera dans le calendrier. A la fin de notre réunion, le président annonce le futur départ d’un membre du Staff. Comme chaque année lors de l’AG, les postes du Staff sont à pourvoir. Si l’équipe actuelle a trouvé un équilibre ( Président, Vice président, Trésorier, Secrétaire ), la fonction de secrétaire et de collaborateur administratif est ouverte pour l’année 2013. Le Staff espère que des candidats se manifesteront lors de l’Assemblée Générale du club ce 26.01.13. Merci de votre attention. Le Staff et le Crew
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