L'éducation de langue française, un bon choix pour ma famille bilingue!

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L’école de langue française : un bon choix pour ma famille bilingue! IDÉES ET RESSOURCES POUR L A R É U S S I T E D E VOT R E E N FA N T

R é a l i s é g r â c e à l ’a p p u i d u m i n i s t è r e d e l ’ É d u c a t i o n d e l ’ O n t a r i o


Ayants droit, exogamie, diversité Q U ’ E S T- C E Q U ’ U N « AYA N T D R O I T » ?

L’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés traite du droit à l’instruction en français ou en anglais de la population dont la première langue officielle apprise est celle de la minorité dans la province de résidence. En Ontario, un parent qui exerce ce droit, ou un « ayant droit », peut inscrire son enfant dans une école gérée par un conseil scolaire de langue française, comme le Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE) ou le Conseil scolaire de district catholique de l’Est ontarien (CSDCEO).


Un ayant droit est un parent (ou tutrice ou tuteur) qui réside en Ontario, est citoyen canadien et répond à au moins un des critères suivants : • sa langue maternelle, c’est-à-dire sa première langue apprise et encore comprise, est le français ou; • il a reçu son instruction, au niveau élémentaire, en français au Canada ou; • l’un de ses enfants a reçu ou reçoit son instruction, au niveau élémentaire ou secondaire, en français au Canada. Bien que tous les parents puissent choisir les programmes d’immersion française pour leur enfant, seuls les ayants droit peuvent se prévaloir de l’instruction en français offerte par les conseils scolaires de langue française, incluant le CECCE et le CSDCEO. L’article 23 de la Charte ne s’applique pas aux programmes d’immersion française, puisque ces derniers ont comme mandat l’apprentissage d’une langue seconde. On accepte parfois des enfants dont les parents ne répondent pas aux critères mentionnés précédemment. Toute demande de cette nature est évaluée par un comité d’admission qui formule sa recommandation à l’intention du conseil scolaire. Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à communiquer nous : Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE) 4000, rue Labelle Ottawa (Ontario) K1J 1A1 613 746-3837 ou 1 888 230-5131 accueil@ecolecatholique.ca www.ecolecatholique.ca

Conseil scolaire de district catholique de l’Est ontarien (CSDCEO) 875, chemin de comté 17 L'Orignal (Ontario) K0B 1K0 613 675-4691 ou 1-800-204-4098 courriel@csdceo.org www.csdceo.ca


Une population riche de diversité Toutes nos communautés scolaires se distinguent par leur riche diversité. Elles se composent de francophones provenant de l’Ontario, d’autres régions du Canada et d’autres pays, de résidents de longue date et de nouveaux arrivants ainsi que d’enfants issus de couples exogames.

Q U ’ E S T- C E Q U ’ U N « CO U P L E E XO G A M E » ? L’exogamie est « l’union de deux personnes de langues et de cultures différentes ». Dans notre contexte, cela veut dire qu’une langue autre que le français, ou en plus du français, est parlée à la maison. Cette langue est très souvent l’anglais. Le taux d’exogamie parmi les francophones en Ontario est de 65 %. Cela veut dire que plus de la moitié des Franco-Ontariennes et Franco-Ontariens ont un conjoint ou une conjointe non francophone. Chez les parents francophones dont les enfants sont âgés de moins de 18 ans, le taux d’exogamie s’élève également à 65 %. Il peut être difficile pour les parents de veiller à ce que le français fasse partie du quotidien de leur vie familiale quand l’un des deux parents ne parle pas la langue. Il faut faire un effort conscient pour encourager les enfants à parler français en dehors des salles de classe. Avec l’aide de leurs parents, les enfants se rendront compte que le français n’est pas uniquement une « langue d’école » et qu’il est tout aussi important dans leur vie familiale que l’autre langue. Si l’exogamie présente des défis uniques, c’est à nous tous de promouvoir la langue française et la culture francophone à l’intérieur comme à l’extérieur de nos foyers, de sorte que nos enfants deviennent complètement bilingues et profitent des nombreux avantages découlant de leur appartenance à une communauté scolaire francophone riche de sa diversité.


Lorsque votre conjointe ou conjoint ne parle pas français… Le français est la langue dominante dans les écoles francophones parce que le mandat de celles-ci consiste à aider les élèves à apprendre en français et à acquérir une identité culturelle franco-ontarienne. Il existe donc une différence majeure entre le système d’éducation francophone et les programmes d’immersion française, qui sont gérés par des conseils scolaires anglophones. Si votre conjointe ou conjoint ne parle pas français et souhaite participer à l’éducation de l’enfant, il faut en informer le personnel de l’école. Notre priorité est d’aider tous les enfants à profiter pleinement de leur éducation, et les membres du personnel scolaire sont toujours prêts à collaborer avec les parents pour que cela se réalise.

Pourquoi choisir l’éducation en langue française ? En inscrivant votre enfant dans une école de langue française, vous l’aidez à maîtriser les deux langues officielles du Canada et visez un bilinguisme durable. Pourquoi est-ce important? Des études révèlent qu’au contraire de leurs pairs unilingues, les enfants bilingues ont plus de facilité à se concentrer sur l’information pertinente et à ne pas se laisser distraire. Il s’agit là d’un avantage indéniable dans une société actuelle marquée par un accroissement spectaculaire des flux d’information! Chez les personnes âgées, le bilinguisme peut contribuer à réduire la gravité de certaines conditions cognitives associées au vieillissement.

Pour plus d’information sur l’éducation en langue française en Ontario, visitez le www.elfontario.ca


QUELLE(S) L ANGUE(S) PARLEZ-VOUS AVEC VOTRE ENFANT?

« Ma fille avait six mois quand j’ai pris conscience que je lui parlais en anglais depuis sa naissance, même si mon héritage est entièrement francophone. Mon mari est anglophone et notre vie ensemble se passait surtout en anglais. Quand nous avons eu notre fille, il était tout simplement naturel de continuer comme ça. Mais quand je me suis rendue compte de ce que je faisais, je me suis dit que si moi, en tant que parent francophone, je n’habituais pas ma fille à la langue française, qui le ferait? En y pensant bien, je me suis rendu compte que j’étais fière de mon héritage et que je souhaitais la même chose pour ma fille. Je voulais qu’elle développe une identité culturelle franco-ontarienne et devienne parfaitement bilingue. Alors, j’ai pris une décision consciente de lui parler et de lui lire en français tout le temps à partir de ce moment-là. Croyez-moi, ce n’était pas facile! Mais j’étais déterminée et avec le soutien de mon conjoint, qui voyait les avantages pour sa fille d’être parfaitement bilingue, notre vie familiale se transformait peu à peu. Des livres et des films français commençaient à apparaître dans la maison. Des sorties en français devenaient la norme même s’il fallait rouler un peu plus pour trouver un service, un magasin ou un spectacle en français. Même mon mari a embarqué et malgré son vocabulaire limité, il a commencé à parler français avec notre fille. Et maintenant, notre langue familiale est surtout le français! » - Natasha, Kanata


Comment pouvez-vous vous engager? Les enfants réussissent mieux à l’école lorsque leurs parents s’investissent dans leur vie scolaire. Quand les enfants fréquentent une école de langue française, le parent qui parle français a un rôle particulièrement important à jouer. Ceci étant dit, le parent qui ne parle pas français peut aussi participer de manière très importante.


À la maison Vous pouvez aider votre enfant bien avant son premier jour d’école et tout au long de sa vie scolaire en vous assurant de lui offrir beaucoup d’occasions d’entendre le français et de le parler. D’ailleurs, votre rôle le plus important est de communiquer autant que possible en français avec votre enfant. Voici une activité simple qui permettra à votre enfant d’apprendre des mots en français. Même si votre conjointe ou conjoint ne parle pas français, elle ou il peut y participer aussi avec votre aide. N’oubliez pas que c’est un jeu, alors tout le monde doit s’amuser! 1) Proposez un « mot de la semaine » (ou, encore mieux, un « mot du jour »), expliquez ce qu’il signifie et utilisez-le autant que possible. a) Il peut s’agir d’un objet, d’une action, d’un sentiment ou de n’importe quel mot qui est pertinent pour votre enfant. b) Inscrivez-le dans un album et demandez à votre enfant de l’illustrer en ajoutant des images ou des dessins. • Assurez-vous que l’album est toujours accessible à votre enfant. 2) Vous pouvez également jouer à des jeux qui font appel à des mots descriptifs (adjectifs et adverbes) ainsi qu’à des concepts de temps et d’espace, comme faire de l’improvisation, des mises en scène, des sketchs, etc. Vous trouverez beaucoup d’idées de jeux spontanés dans les livres pour enfants. Si votre conjointe ou conjoint ne se sent pas assez à l’aise en français pour participer à ces jeux, n’hésitez pas à y jouer dans les deux langues. Quand toute la famille s’amuse, l’expérience est d’autant plus positive pour votre enfant. 3) Lisez en français! Les livres pour enfants comportent un vocabulaire simple et sont assez faciles à lire et à comprendre pour le parent francophone ou non. La lecture en français peut même aider votre conjointe ou conjoint non francophone à améliorer ses propres connaissances de la langue. Si elle ou il ne se sent pas assez à l’aise pour lire à haute voix, il suffit de l’inviter à se joindre à vous quand vous lisez à votre enfant. Sa présence témoignera de son intérêt pour votre langue maternelle. Puisque la lecture dans n’importe quelle langue est importante pour les enfants, votre conjointe ou conjoint non francophone ne devrait jamais hésiter à lire à votre enfant dans sa langue maternelle.


Par ailleurs, vous pouvez enrichir les connaissances en français de votre enfant en écoutant la radio en français et de la musique francophone, en regardant des émissions de télé et des films en français, en visitant des sites Web de langue française et en jouant à des jeux de société en français. Vous contribuerez également à l’éducation de votre enfant en participant activement aux activités de l’école ou dans la communauté francophone.

À l’école Le fait que le français soit la seule langue de communication dans les écoles de langue française peut intimider certains parents. Si cette situation préoccupe votre conjointe ou conjoint, vous pouvez l’encourager à assister aux activités scolaires et aux rencontres parents-enseignants afin de calmer ses inquiétudes et d’apprendre à mieux connaître l’école et le personnel. Vous pouvez aussi accompagner les élèves à l’occasion de sorties. Les écoles bourdonnent d’activités et offrent de nombreuses occasions de faire du bénévolat. Si vous êtes disponible, n’hésitez pas à proposer vos services! Et il en va de même pour votre conjointe ou conjoint non francophone . Alors que dans votre cas la langue ne pose pas de problème, votre conjointe ou conjoint peut commencer par effectuer des tâches qui exigent moins d’interactions avec les élèves. Les enseignants sont toujours ravis d’obtenir de l’aide pour les activités de bricolage, les photocopies, le laminage, la préparation d’appuis visuels, la lecture aux enfants et ainsi de suite. Les écoles font appel aux parents pour les aider à organiser des concerts, des pièces de théâtre, des campagnes de financement et d’autres activités. Plusieurs tâches peuvent être confiées aux parents qui comprennent et utilisent le français dans une certaine mesure, comme remplir des formulaires, préparer des activités et faire le ménage par la suite, compter l’argent, etc. Les parents non francophones qui font un effort pour parler français en faisant du bénévolat à l’école transmettent un message important aux enfants : apprendre, c’est prendre des risques, et il est normal de faire des erreurs. Peu importe comment vous et votre conjointe ou conjoint participez à la vie scolaire de votre enfant, vous montrez que vous appuyez l’éducation en langue française, et votre enfant sera heureux de vous voir à l’école.


Les devoirs Parfois, les parents manifestent un tel enthousiasme par rapport à la vie scolaire de leur enfant qu’ils doivent se rappeler qu’il ne leur appartient pas de faire leurs devoirs! Il est, néanmoins, important de savoir ce que son enfant apprend et de lui venir en aide en fonction de ses habiletés. Durant les premières années, les devoirs sont suffisamment simples pour que les parents, peu importe leur degré de connaissance du français, soient en mesure d’aider leur enfant. De plus, les parents non francophones qui s’investissent dès le début constatent qu’ils approfondissent eux aussi leurs connaissances du français! Avec le temps, l’enfant met à profit son bilinguisme pour expliquer à son parent non francophone la matière apprise à l’école et les devoirs qu’il doit faire. L’enfant qui peut traduire son travail démontre qu’il le comprend. Si votre conjointe ou conjoint ne se sent pas à l’aise d’aider votre enfant à faire ses devoirs de français, elle ou il peut quand même l’aider dans les autres matières enseignées, comme les sciences, les études sociales, les mathématiques et l’anglais. Tout parent peut montrer à son enfant comment effectuer des recherches en utilisant, par exemple, Internet, quelle que soit sa langue. Les enfants de tout âge doivent parfois réaliser des projets en trois dimensions. Ce sont d’excellentes occasions pour le parent non francophone d’offrir son aide. Si votre conjointe ou conjoint se sent dépassé, elle ou il peut demander à votre enfant d’expliquer ce qu’il fait et pourquoi. En agissant de la sorte, votre conjointe ou conjoint manifeste à votre enfant sont intérêt à l’égard de son éducation et sa fierté en ce qui concerne ses réalisations. Finalement, assurez-vous de garder les voies de communication ouvertes avec le personnel enseignant. Il sera heureux de vous aider à comprendre ce qu’il attend de votre enfant. Soyez honnête quant à vos attentes.


Jeux en voiture Beaucoup de parents passent plusieurs heures en voiture avec leurs enfants. Pourquoi ne pas profiter de ces occasions pour s’amuser en français? Vous pouvez jouer au jeu des couleurs en demandant, par exemple, « Qu’est-ce qui est (nommez la couleur)? ». Votre enfant doit alors trouver un objet de cette couleur sans vous dire de quoi il s’agit afin que vous le deviniez. 1. Il y a aussi le jeu de rime : « Quel mot rime avec bateau? » 2. Essayez ce jeu d’alphabet : « Quel animal (ou couleur, objet, etc.) commence par la lettre (ou, pour les jeunes enfants, le son) B? » 3. Voici un autre jeu de l’alphabet : à tour de rôle, chaque participant ajoute un mot en ordre alphabétique, jusqu’à la fin de l’alphabet. • Personne no 1 : Moi, j’ai un avion. • Personne no 2 : Moi, j’ai un avion et une banane. • Personne no 3 : Moi, j’ai un avion, une banane et un chariot… Augmentez le degré de difficulté en demandant aux enfants de trouver de nouveaux mots chaque fois que vous jouez. Il n’y a pas de limites aux « jeux en voiture » quand on utilise son imagination!


Dans la communauté francophone Assistez en famille aux activités offertes en français, telles que des concerts, des spectacles et des pièces de théâtre. Fréquentez une église de langue française pour que votre enfant puisse se faire des amis francophones.

Vous êtes préoccupé parce que votre enfant d’âge préscolaire ne parle pas encore français? Bien que la situation de chaque famille soit unique, certaines histoires sont similaires. Vous reconnaissez-vous dans le récit de ce couple?

« Mon mari est anglophone et je suis francophone. Après de longues discussions, nous avons décidé d’envoyer notre garçon à une école de langue française pour lui donner les meilleures chances de réussite dans la vie. Comme nous parlons surtout anglais à la maison, nous nous inquiétons du fait que notre enfant ne parle pas encore français et qu’il risque d’avoir des difficultés à l’école. Comment pouvons-nous l’aider? » Au CECCE, une équipe de parents accompagnateurs a été formée pour aider les parents vivant des situations semblables. L’équipe offre des ateliers en français et en anglais pour permettre aux parents d’explorer différentes façons d’aider leur enfant.


Voici quelques pistes que l’équipe suggérerait à cette mère : « Vous pourriez, en tant que famille, réserver des moments à la francophonie, au cours desquels tout le monde essaie de parler français. De plus, en tant que francophone, vous pourriez prendre l’habitude de parler exclusivement en français à votre fils à certains moments ou dans certaines situations comme à l’heure du souper, à l’heure du bain, en voiture et au déjeuner. » « Prenez le temps de lui enseigner des mots de la vie quotidienne : les parties du corps quand il prend son bain, les ustensiles et aliments lors des repas, le nom des vêtements lorsqu’il s’habille... » « Pour enrichir son vocabulaire, choisissez une émission de télé francophone et regardez-la ensemble. N’oubliez pas que vous avez aussi la possibilité de sélectionner la langue française quand vous visionnez un film sur DVD. » « Lisez-lui des histoires en français. Regardez les images avant de commencer et présentez-lui les personnages et le contexte. Posez-lui des questions pour qu’il ait l’impression de prendre part au processus de lecture. Invitez votre conjoint à se joindre à vous pour ces séances de lecture. » « Écoutez de la musique francophone — et pourquoi ne pas lui apprendre quelques comptines de votre jeunesse? Votre mari pourrait aussi joindre sa voix aux vôtres! » « Téléchargez des applications en français sur votre tablette, écoutez des vidéos en français sur YouTube , télécharger des livres en français sur iBooks. » L’important, c’est de montrer à votre enfant que le français fait partie de votre vie familiale. Comme vous êtes un modèle, il voudra faire comme vous. La clé du succès est de s’amuser en français… tous les jours!


Ressources Chaque fois que vous et votre conjointe ou conjoint aidez votre enfant à apprendre ou à utiliser le français, vous contribuez à son éducation. Un enfant qui comprend ce qu’on dit dans la salle de classe est plus réceptif, apprend plus rapidement et adopte une attitude plus positive envers l’école. La chose la plus importante, c’est de faire en sorte que votre enfant s’amuse en français! Voici quelques ressources qui vous seront utiles :

TÉLÉVISION Vous trouverez sur TFO des émissions en français pour les enfants, y compris Bravo Gudule, Caillou et Stella et Sacha. Consultez l’horaire des émissions diff usées sur TFO : www3.tfo.org/horaire .

L EC T U R E E N L I G N E Le site Web BiblioEnfants vous permet de « lire » à votre enfant en français, en anglais ou en espagnol. Vous pouvez tourner les pages des livres comme s’il s’agissait d’un livre en papier, mais en plus, vous entendez l’histoire. De cette façon, le parent non francophone peut lire un livre en français avec son enfant. Les bibliothèques publiques d’Ottawa, de Hawkesbury, d’Alfred /Plantagenet, de Clarence/Rockland, de Russell, de Casselman, de Cornwall, de Brockville, de Kingston, de Pembroke et de Trenton sont toutes abonnées à BiblioEnfants. Ainsi, si vous êtes titulaire d’une carte de bibliothèque, vous pouvez y accéder à partir du site Web de votre bibliothèque. Pour en faire un essai gratuit, suivez ce lien : www.biblioenfants.com .


M AG A Z I N E S Des années de lecture agréable et pertinente attendent votre enfant grâce à ces différents magazines franco-ontariens : Minimag est conçu pour les enfants de 4 à 7 ans. Il contient des textes informatifs sur divers sujets et propose des jeux, des bricolages, des contes, des bandes dessinées, etc. Pour en savoir plus : www.minimag.ca/ . Mon Mag à moi vise les jeunes de la 3e à la 6e année et présente des textes informatifs et divertissants. On y trouve jeux, blagues, bandes dessinées, articles de fond, etc. De plus, le site www.mmamoi.ca propose une foule d’activités complémentaires. Le magazine QUAD9 pour les jeunes de la 7e à la 10 e année traite de sujets auxquels les ados s’intéressent. Un site Web en lien avec le magazine propose également des activités connexes : www.cforp.ca/QUAD9/ . Ces magazines ainsi que plusieurs ressources sont vendus à la Librairie du Centre : www.librairieducentre.com .

INTERNET Les enfants d’âge préscolaire adorent Caillou. Vous trouverez sur le site Web de ce petit personnage charmant des jeux, des chansons et d’autres activités, en français et en anglais : www.caillou.com/indexFR.shtml .

AU T R E S R E S S O U R C E S Les deux publications qui suivent vous présentent d’autres idées : Lire et compter en français à la maison : Guide à l’intention des parents d’enfants de la maternelle et du jardin, Centre franco-ontarien de ressources pédagogiques. Produit annuellement et disponible en ligne à : www.cforp.ca/outils/lire-et-compter.html . VOIR GRAND petit à petit : Guide de construction identitaire au foyer, Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants, 2007. www.ctf-fce.ca .


Appui aux parents U N E ÉQ U I P E F O R M É E P O U R VO U S ! Une équipe de parents accompagnateurs en exogamie a été formée afin d’aider les parents à participer à l’éducation de leur enfant. L’équipe a pour mission d’appuyer les parents qui veulent aider leur enfant à réaliser son plein potentiel. À cette fin, l’équipe offre des ateliers-causeries conçus pour les parents vivant ou ayant vécu dans un foyer mixte, où le français et une autre langue se côtoient au quotidien. Les ateliers permettent aux participantes et participants : • de discuter de leur rôle en milieu minoritaire francophone; • de faire connaître leurs défis et leurs solutions; et • de trouver leur place dans la communauté scolaire.

Suivez notre communauté: facebook.com/famillebilingue Pour en apprendre davantage, veuillez communiquer nous : Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE) 4000, rue Labelle Ottawa (Ontario) K1J 1A1 613 746-3837 ou 1 888 230-5131 accueil@ecolecatholique.ca www.ecolecatholique.ca

Conseil scolaire de district catholique de l’Est ontarien (CSDCEO) 875, chemin de comté 17 L’Orignal (Ontario) K0B 1K0 613 675-4691 ou 1-800-204-4098 courriel@csdceo.org www.csdceo.ca

U N PA R T E N A I R E N AT I O N A L Glen Taylor travaille à titre de consultant en éducation francophone en milieu minoritaire depuis de nombreuses années. Auteur du livre Fusion, il a aussi été formateur de l’équipe de parents accompagnateurs et a participé à la rédaction du présent document. Dans le cadre de ses multiples collaborations à l’échelle du pays, Glen vise toujours à promouvoir et à favoriser la participation de tous les parents, quelles que soient leurs habiletés en français, à l’éducation francophone de leur enfant. Glen propose une grande variété de renseignements et d’idées sur son site Web bilingue (www.francophoneeducation.ca/fr) et des nouvelles sur sa page Facebook (www.facebook.com/Education.Francophone.Education.Canada).


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