- Edouard Dalifard Architecte D.E
EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE :
FORMATION : Février 2018 Architecte DE mention très bien ENSA-Versailles.
2017 Stage MU architecture (6 mois) [étude de faisabilité, concours et permis de construire.]
Février 2017 Mémoire de Master mention assez bien
2016 Lauréat du Prix «Coup de coeur» des espoirs de l’architecture 2016 BNP Paribas REAL ESTATE
[Rituel et identité du corps dans l’espace du sport]
Juin 2015 Licence d’Architecture mention bien ENSA-Versailles.
Edouard Dalifard 15 avril 1994
18 rue béranger 75003 Paris edouard.dalifard@hotmail.fr +33 (0)6 29 48 78 48
Juillet 2012 BAC STI Arts Appliqués mention assez bien Laval. [Formation en 3 ans sur l’ensemble des arts appliqués]
COMPÉTENCES : - AutoCad - Sketshup 3D - Photoshop - Indesign
+++++ +++++ +++++ ++++
- Ilustrator - Rhino 3D - Maxwell - Première Pro
+++ +++ ++ +
DIVERS : -Membre d’une fanfare et chargé de communication. -Pratique du Judo (5 ans), du football (6 ans) et du tennis. (2 ans.) VOYAGES : États-Unis / Sénégal / Tunisie / Canada Espagne / Angleterre / Suède / Italie INTÉRÊT : Art / Architecture / Dessin / Sport / Musique
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2016 Stage UNITS Architecture (3 mois) [étude de faisabilité, avant projet, concours et permis de construire.]
2015 Création du logo pour le 70ème congrès national de la FNSEA. 2014 Stage TRACKS architecture (1 mois) [book de l’agence, maquette et concours]
2013 Stage Menguy Charpente (15 jours) [chantier maison individuelle]
2011-2012 -Stage Mr Reboul Architecte DPLG (15 jours) [apprentissage du dessin sur ordinateur] -Stage A+ Design. (15 jours) [conception de meuble]
INTÉRIM : Travail d’été en expédition à la base intermarché d’Argentré du Plessis (6 ans)
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CENTRE DES ARTS TRADITIONNELS DE DAKAR
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CENTRE INTERGÉNÉRATIONEL
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MÉTROPOLE NOLLI
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RED CONTAGION
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MÉTROPOLIS
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HABITAT MINIMAL
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À COEUR OUVERT
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LISIÈRE HABITÉE
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PROJETS D’AGENCE
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MÉMOIRE DU LIEU
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CENTRALITÉ
LIMITE
PLACE CENTRALE
CLÔTURE PÉRIPHÉRIQUE
Il s’agit d’une surface naturelle dont la forme et la volumétrie sont générées par la position et le gabarit des bâtiments environnants. Elle vient créer une respiration, une ouverture qui génère une multitude d’usages et donc une forte attraction. Il s’agit généralement d’un lieu de débats, de fêtes où l’on célèbre les corps par des rituels spécifiques.
L’importance du clos dans le village africain est primordiale dans le développement des communautés. C’est lui qui délimite les propriétés de chaques concessions familiales.
CLOISON
ARBRE À PALABRE
Cette cloison en branche tressée filtre l’entrée du village. L’accès à la place se fait indirectement par le biais de ces chicanes.
L’arbre sacré est considéré comme le symbole du rassemblement. La palabre désigne une coutume de rencontre et de création ou encore de lien social au travers de laquelle la vie en société, les problèmes du village ou encore la politique sont évoqués.
HIÉRARCHISATION
La centralité se manifeste par la hiérarchisation du degré d’intimité de plusieurs places publiques, communes et privées.
«KEUR» D’UN VILLAGE TRADITIONNEL RURAL
CENTRE DES ARTS TRADITIONNELS DE DAKAR PFE 2017-2018
Benjamin COLBOC
Situé sur le Cap manuel, à l’extrême pointe sud de la presqu’ile du cap vert, l’ancien palais de justice et l’ancien lazaret de Dakar sont mis en résonnance dans le but de réactiver la mémoire d’un patrimoine délaissé. Le projet du centre des arts traditionnels tente d’apporter une hypothèse de projet, sur le rôle identitaire de ce patrimoine franco-sénégalais. Ce projet de réhabilitation s’adapte aux codes de l’architecture locale à travers les notions de limite et de centralité. Le projet se veut dans la continuité de la scène culturelle engagée par la biennale Dak’art définissant ainsi le cap comme le site culturel dakarois. Le projet a pour but de réunir en un lieu, les acteurs de la vie culturelle sénégalaise autour de 3 thématiques : la production, l’exposition et la représentation. Ce regroupement des arts permet enfin de croiser les savoirs faires et coutumes traditionnels, et de les mettre en avant, aux côtés du marché de l’art international.
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ARBRE À PALABRE
Comme le village traditionnel, l’arbre à palabre ponctue la place et provoque une certaine centralité.
PORTE D’ACCÈS
La succession de ces ouvertures orientent les regards vers la cour mais elles mettent également à distance les différents lieu de vie.
HIÉRARCHISATION
La succession de ces cours crée une multitude de situations en fonction de leur degré d’intimité. L’espace publique devient alors une cour privée, un lieu de vie.
CLÔTURE PERMÉABLE
Le quartier de la médina donne un aspect très opaque de l’extérieur. Seul quelques petites ruelles permettent d’accéder en son cœur. C’est en empruntant ces ruelles que l’on découvre la richesse sociale qu’elle renferme.
CONCESSION TYPE DE LA MÉDINA OUEST DE DAKAR
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BARRE ADMINISTRATIVE
Le rdc de ce volume est ouvert et associé au terminus. Le r+1 est dédié à l’exposition des artisans. Les niveaux supérieurs sont transformés en logements pour les étudiants du site.
AUDITORIUM
Accompagnée d’une bibliothèque, cette annexe est consacrée a la communication. Les usagers du centre culturel s’y rendent pour se tenir informer de l’art africain.
LOCAUX ARTISANS
Organisés en périphérie des salles internationales, les locaux d’expositions des artisans viennent se confronter au marché de l’art.
SALLE DES PAS PERDUS
SALLE D’EXPOSITION INTERNATIONNALE
Au nombre de 4, les salles d’expositions internationnales communiquent entres-elles par un patio, directement desservies par la salle des pas perdus.
Pièce maitresse du projet, elle manifeste la grandeur et la puissance des volumes du palais. Le projet conserve cet espace comme un lieu d’exposition ouvert sur l’agora.
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TOITURE
Assemblage de tasseaux se caractérisant par 3 dimenssions et 3 essences differentes de bois.
STRUCTURE
Assemblage bois basé sur le système poteau-poutre. La jonction entre les poteaux et les poutres se fait par un poteau mi-bois et une poutre double moisant.
MUR
Les parois des nouveaux bâtiments sont réalisées en pisé. Cette technique utilise la matière locale déjà presente sur site.
DALLAGE
Les dalles de terre crue stabilisent les rues intérieures et les dissocient des patios et des batiments en pisé.
BATIMENT COLONIAL
Architecture résiduelle de l’ancien Lazaret (1870). Ces bâtiments coloniaux sont composés de pierres volcaniques et de tuiles rouges.
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VÉGÉTATION
Dispersé en nombre sur le territoire, le palmier retrouve un usage et une stature majestueuse au centre de l’agora. Tel un arbre à palabre, la végétation devient un point de convergence et d’activitées.
SPIRALE
Bordure en pierre basaltique noire qui épouse la topographie du sol pour accompagner l’usager au centre de l’agora.
SOL
Le travail de la topographie existante donne une importance et un statut particulier au centre de la spirale.
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BARRE ADMINISTRATIVE
Longue de plus de 80m, la barre s’impose comme le phare du cap manuel. Le rdc devient poreux et accueille les services qui accompagnent le terminus
BLOC 01
Architecture qui emploie le pisé comme moyen d’intégration au site. Ces monolithes matérialisent les arrëts de bus.
BLOC 02
PAVÉ
Matérialité symbolisant la zone d’arrivée et de depart. Les pavés sont en terre crue et reprennent la teinte naturelle du sol afin de s’y confondrent.
Le terminus se caractérise aussi par des volumes transparents au rdc de la barre qui correspondent au lieu d’arrivée des voyageurs.
SOL
L’esplanade se manifeste par le vide et l’informel. La matérialité du sol existante est conservée et sa simplicité permet de mettre en valeur le projet.
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CENTRE INTERGÉNÉRATIONEL P31 2014-2015
Un pôle sportif. Un Centre culturel. Une maison des personnes agées. Une maison des adolescents et une crèche familiale. Le projet commence par la mise en place de lignes de murs perpendiculaires aux limites éxistantes identifiées. Un axe reliant la gare d’Avon-Fontainebleau à la cité, vient perturber ce champ de dolmens et devient une rue, qui a pour fonction l’accueil général du centre intergénérationnel et se définit ainsi comme l’artère génératrice du projet. Les différents pôles s’insèrent entre les murs en bandes programmatiques et fonctionnent de manière autonome. Ils sont physiquement distants les uns des autres mais les rangées de murs permettent des rapports visuels d’un programme à un autre. Nous avons choisi trois espaces principaux et avons travaillé ces liens visuels de manière plus précise. Trois arcs de cercles viennent dessiner ces espaces et connectent les trois générations. Le projet se définit ainsi par plusieurs géométries qui viennent se superposer les unes aux autres.
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CLÉ 1 : PROGRAMME
François CHAS/Laurent MACHET
CLÉ 2 : SITE ET STRUCTURE
CLÉ 3 : PIÈCE
CLÉ 1 : PROGRAMME
CLÉ 2 : SITE ET STRUCT
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Les deux parties de la ville se font face. Deux identités émergent. Elles s’opposent et se complètent dans leur rapport au vide. A gauche, grande, fine, élancée, la ville brise le vide. A droite, basse, condensée, concentrée, le vide brise la ville. Le tramway traverse la cité dans la longueur comme un axe de symétrie. La foule quitte les wagons et se propage dans la ville. Ils marchent, ils courent ils se dispersent. Le troupeau s’étire, se dilate dans l’espace. La foule s’accapare le vide puis le bâti. Elle remplit la ville.
MÉTROPOLE NOLLI
SP22 2013-2014 Djamel KLOUCHE/Ido AVISSAR/Jérome BOUTTERIN/François CHAS/ Jason DANZIGER/David DUCHEIN/Anne FREMY/Elisabeth LEMERCIER/Maud SANTINI La thématique abordée lors de ce studio est la polarité diffuse. Pour nous, la polarité diffuse est une centralité qui attire ou repousse une densité variable de population. Nous avons soulevé également la dualité de cette expression par le contraste entre deux entitées différentes. L’une faite de vide et l’autre faite de plein.
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RED CONTAGION [Art Plastique]
E11 2012-2013
Jérome BOUTTERIN / Stéphane SAUTOUR
Le projet consiste à venir contaminer l’espace de l’école par la couleur. L’espace de la rotonde est un espace très interessant de par sa situation au centre de l’école formant un pôle attractif, mais aussi par la manière dont elle recoit la lumière. C’est à patir des qualités mais aussi des contraintes de cet espace que nous avons conçu notre installation. La lumière zénithale est filtrée par les bâches colorées, plongeant ainsi la pièce dans la couleur. La forme des bâches crée des volumes «organiques» qui viennent contraster avec la géometrie et la régularité de l’ espace. le spectateur est ainsi immergé dans un espace rempli de couleurs, un espace contaminé.
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MÉTROPOLIS SP31 2014-2015
Richard SCOFFIER
Croire au métro! Une ligne fantôme au travers des lignes existantes pour relier les monuments parisiens. Les bâtiments se ferme sur la ville, l’espace publique n’est plus à la surface mais devient souterrain. La banalité d’un voyage en métro devient une experience extraordinaire dans lequel un simple usager peut se transformer en écrivain, en chanteur d’opéra, en archéologue, en critique d’art...
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HABITAT MINIMAL P45 2015-2016
Frank RAMBERT (http://www.archdaily.com/ )
Comment offrir un maximum de confort dans un minimum d’espace? La proposition répond à la problématique de l’escalier et du demi-niveau. Ce travail collaboratif réalisé dans le cadre d’un séminaire de projet nous a permit d’aborder l’architecture par le détail jusqu’à sa réalisation à échelle une.
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« À COEUR OUVERT »
Projet lauréat du prix « Coup de coeur » du concours des Espoirs de l’architecture BNP Paribas Real Estate Autour de la problématique de l’évolution de la société et du réemploi de bâtiment en désuétude vient se créer un projet ayant pour objectif de redonner de l’atrait à un quartier tout en le tournant vers le futur de nos villes. L’économie du dernier kilomètre y est en place, alimentant le site et rayonnant tout autour, offrant aux differents acteurs une vision de la société, collective et partagée. L’ancienne gare frigorifique de Bercy-La Rapée est donc le terrain de ce changement sociétal et urbain. les artisans déjà présents sur le site y sont confortés autour de commerces qui viennent nourrir le lieu dans lequel l’habitat trouve naturellement sa place Le Projet devient un véritable centre pour le quartier, où les transports en commun sont partie prennante du renouveau urbain.
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LA DOUVE
LA PORTE
LISIÈRE HABITÉE P32 2014-2015
Benjamin COLBOC
Répondre à la densité par la densité. Cette étude porte sur la recherche d’imbrication de logement de manière monolithique. Par une imbrication de bandes servantes, le projet fait bloc vers l’exterieur et s’ouvre à l’interieur pour développer la culture du vivre ensemble. Le projet se situe en périphérie de la ville. Historiquement, la limite des villes anciennes se caractérisait par le Rempart. Un rempart est un élément de fortification entourant un bourg, une ville ou une citadelle. Le projet réinterprète ce rempart dans le but de ralentir non pas l’entrée de la ville mais sa sortie. Une limite poreuse composée d’une série de filtres accompagne le citadin en dehors de la ville.
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LE REMPART
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CONCOURS ADOMA MARSEILLE Projet réalisé en stage
Ce projet convoque la question de la densification d’une cité par le logement social. Cette cité est composé de 3 batiments de logement parallèle. Nous avons décidé d’intervenir en son coeur pour organiser et hiérarchiser son flux piéton en lui offrant une nouvelle centralité. Deux bâtiments sensiblement décalé délimite une nouvelle «place du village». Ce projet s’intègre parfaitement dans son contexte et il est économiquement interessant par l’imbrication de ses logements préfabriqués.
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69.69 NGF
66.74 NGF 65.74 NGF
62.84 NGF
60.14 NGF
57.44 NGF
54.74 NGF
52.04 NGF
49.34 NGF
46.34 NGF
43.24 NGF 42.30 NGF
34 LOGEMENTS ET UNE CRÈCHE RUE JASMIN Projet lauréat - réalisé en stage
Partagé entre verticalité et horizontalité, le projet raconte deux histoires qui correspondent à deux rues et à deux programmes. (logements + crèche) L’accès de ces deux programmes occupe les deux rues et permet d’exprimer les deux visages du projet avec une faille et un porche. Ma colaboration sur ce projet à été mise en avant par la réalisation de l’ensemble des élévations et coupes du concours.
66.74 NGF 65.74 NGF
62.84 NGF
60.14 NGF
57.44 NGF
54.74 NGF
52.04 NGF
49.34 NGF
46.34 NGF
43.24 NGF
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MEDIATHEQUE
MÉDIATHÈQUE D’AVON
Projet lauréat - réalisé en stage
Le projet de la médiathèque s’inscrit dans une continuité contextuelle de son environnement. Les volumes se glissent sereinement entre les bâtiments existants et ils viennent ponctuer et mettent en avant une typologie locale. Mon investisment sur ce concours est encore une fois lié à la réalisation de l’ensemble des élévations et des coupes du projet.
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MÉMOIRE DU LIEU Dessins de voyage
Extrait du carnet de voyage réalisé à DAKAR. Ces dessins représentent l’ancien palais de jusitice du Cap Manuel à Dakar. Cette ruine présente un degré de délabrement très avancé qui lui donne une nouvelle matérialité très riche où l’âme du silence y règne.
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MÉMOIRE DU LIEU (suite) Tryptique A1
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- Edouard Dalifard Architecte D.E 18 rue BĂŠranger 75003 Paris edouard.dalifard@hotmail.fr +33 (0)6 29 48 78 48