Book 2015

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PETITPAS Eléonore

Architecte-paysagiste 26 rue de l’Amiral Roussin 75015 PARIS Mobile : 06 99 69 62 49 Fixe : 01 47 83 41 20 Mail : eleonorepetitpas@yahoo.fr

Formations 2012-2013 - Master 2 Génie Urbain Mention Développement Urbain Durable à l’université Paris-Est-Marne-La-Vallée - Mémoire : L’impact de la gestion anthropique de l’eau sur l’environnement et les paysages - Participation aux ACU (Ateliers de Création Urbaine sur le Grand Orly). 2008-2012 - 4 années à l’ESAJ (Ecole Supérieure d’Architecture des Jardins et des paysages de Paris) 75020 Paris - Master 1 : TPFE (Travail personnel de fin d’études) - Choix du sujet de diplôme : La requalification des berges et quais du Tibre à Rome 2007-2008 - 1ère année Faculté de Droit Assas – Université Paris II 2006-2007 - Bac Sciences Economiques et Sociales – Paris

Expériences professionnelles 2014 - 2015 - Architecte-paysagiste Freelance Juin-juillet 2015 : sous-traitée par l’Agence Babylone (Bureau d’études de paysage et d’environnement)Participation à Europan 13 La ville adaptable (en cours) - Conception et réalisation d’un jardin sur les Berges de Seine - Conceptions et réalisations de jardins particuliers 2013 - 6 mois de stage à l’Agence Babylone - Paris 75010 - Prise de référence possible - Assistante de projets. Projet principal : aménagement d’espaces extérieurs pour un nouveau bâtiment de bureaux à Montrouge. Réalisation de l’esquisse jusqu’à la clôture de la phase PRO - Présentation du projet à la Maîtrise d’ouvrage -


Curriculum Vitae 2011 - 3 mois de stage chez ERA paysage à Ivry-Sur-Seine – Assistante sur différents projets et sur différents phasages. - Esquisse / PRO / suivi de chantier / réception de chantier / réalisation maquettes / élaboration palettes végétales / création de mobiliers / serrurerie / plans techniques etc. 2010 - 2 mois de stage chez ISS Espaces Verts – Manœuvre sur les chantiers. 2009 - 1 mois de stage chez TRUFFAUT – Conseillère clientèle en pépinière et livraisons - mise en place et entretien des plantes, rangement de la pépinière. Depuis 2007 - entraîneur de tennis pour particuliers sur Paris. 2005 - entraîneur de tennis durant l’été pour les stages d’enfants à l’Académie de tennis de Sutton. (Grande-Bretagne).

Informations complémentaires Langue 1 : Anglais (niveau C1 British Council Paris). Domiciliée à Londres durant 3 ans de 2002 à 2005. Langue 2 : Espagnol (niveau A2). Langue 3 : Italien (niveau A1). Logiciels Informatiques : Photoshop, Autocad, Indesign, Illustrator, Excell, Word, Sketchup, Power Point.

centres d’Intérêts Lectures : Littérature française, anglaise et italienne. L’art, la nature et le sport. Cinéma : Français, Italien, Anglais et Espagnol. Sport : Tennis en compétition, Badminton, Tennis de table. S’intéresse à tous les sports en général. Voyages : Kenya, Mexique, Italie, Oman, Angleterre, Belgique, Espagne…


Projet de jardin intime pour les berges de Seine

P. 1 à 10

Conception et réalisation d’un jardin intime pour les 4 «Zzz» autour du thème de la fôret

Projet de fin d’études

P. 11 à 30

Relier la ville de Rome au Tibre, un fleuve aux qualités environnementales et historiques

Projets principaux réalisés en agence de paysage

P. 31 à 38

Aménagement d’espaces extérieurs pour un nouveau bâtiment de bureaux - Montrouge Réhabilitation campus - Mont-Saint-Aignan

Projets de 3éme année

P. 39 à 48

Projet de pré-diplôme : les Pelouses de Reuilly Projet sur le parc départemental de la Courneuve

Projets de 2éme année Projets d’architecture

Croquis, dessins...

P. 49 à 50 P. 51 à 52


« Il est nécessaire pour tomber profondément amoureux de Rome, de se rappeler du Tibre, pour le reconnaître comme le sang de ses veines.» Sandra Petrignani. E in mezzo il fiume. 2010



Ce projet de jardin intime (18m²) est une commande de l’agence Artevia pour les berges de Seine, elle même mandatée par la Mairie de Paris. L’agence Artevia, auteur des divers aménagements sur la promenade en rive gauche entre le pont Royal et celui de l’Alma, était désireuse d’aménager 4 jardins intimes différents pour 4 containeurs appelés les «4 Zzz» autour du thème de la forêt dans le cadre de la Cop 21. Ces containeurs sont des structures réservables, destinées à pouvoir se détendre en toute tranquillité et intimité au bord de l’eau. Nous avons été 4 paysagistes à la conception d’un jardin chacun, afin de pouvoir apporter un regard personnel et authentique sur le sujet. Nous nous sommes ensuite associés pour la réalisation de ces 4 jardins. Ces jardins éphéméres sont déstinés à rester 6 mois à 1 an sur les berges de Seine. La réalisation définitive de ceux-ci prendra fin le 17 avril 2015

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Le parti pris du jardin : la forêt pionnière La forêt ne cessant de reculer de la surface terrestre dû aux activités humaines, il est aujourd’hui primordial de l’a laisser retrouver son rôle et reconquérir sa place. Cette réappropriation sera ici représentée par la «forêt pionnière». Tout processus ayant un commencement, celui de la reconquête d’un terrain par la forêt s’initie systématiquement par l’implantation naturelle de végétaux pionniers qui viennent coloniser ce terrain avant de le transformer en forêt. Souvent méconnu, ce stade primaire dans le cycle sylvigénétique, est un moyen de faire découvrir un autre aspect de la forêt, de faire prendre conscience de sa longue formation avec la dimension de temps et de vivant que cela implique. C’est donc le bouleau, arbre pionnier par excellence, qui incarnera cette idée de reconquête de nature en ville.

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Photos références et palette végétale

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Palette vĂŠgĂŠtale

Adiantum fragrans

Sedum spectabile

Betula alba

Sedums

Clematis vitalba

Eupatorium coelestinum

Euphorbia paralias

Asplenium ruta-muraria

Verbascum thapsus

Joubarbes

Euphorbia myrsinites

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Calluna

Descampia caespitasa


Photos du chantier en fin de rĂŠalisation 17.04.2015

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Photos du projet au 30.05.2015

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Projet de fin d’étude Requalification des berges et quais de Rome Pour mon travail de TPFE, j’ai tout d’abord trouvé un réel intérêt à faire une étude de la ville afin de comprendre comment elle s’était construite et comment elle avait évoluée avec son fleuve. Bien des villes se sont installées près de cours d’eau, Rome n’y est venue que plus tardivement. En effet, l’accroissement de la population, le besoin en eau potable ainsi qu’en eau pour l’agriculture ont justifié l’abandon de la zone originelle des collines pour les rives du fleuve, le «Tevere». L’histoire de Rome étant si riche et ayant connue autant de périodes fastes que de périodes sombres, on ne peut résumer en quelques lignes son évolution depuis sa création jusqu’à aujourd’hui, mais il est possible de retenir les grandes étapes qui ont finies par définir la «cité éternelle». Tout particulièrement, il reste aujourd’hui un « noyau dur », le centre historique de Rome, véritable rayonnement de la ville, défini par les murailles de l’empereur Aurélien, datant de 271 après J-C. Mais il y a également la Rome d’après la réunification de l’Italie qui s’est developpée au fur et à mesure pour s’étendre de manière considérable.

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Une ville construite sur les axes de son fleuve. Une relation viscérale entre Rome et son fleuve.

Castello San Angelo

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Ponte Fabricio. Isola Tiberina.

Cartographie illustrant la fonction de véritable colonne vertébrale du Tibre dans Rome. Le squelette de la ville s’est formé sur les axes du fleuve.

Port de Ripetta


Ponte Palatino et ponte Roto

Une relation, certes viscérale, mais clairement mise à mal par le régime torrentiel du Tibre. Ses crues hivernales sont dévastatrices. Le record ayant atteint une portance de 3300 m 3/s et un niveau de 19 m à Ripetta (référence du niveau des crues à Rome).

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Isola Tiberina


Solution radicale et irréversible : Le projet Canevari avec la construction de ses hautes murailles. Le Tibre devient alors étranger aux romains.

Ponte San Angelo avec son château à gauche

Promenade sur les quais

Ponte Marguerita

Ponte Fabricio


A l’époque, le détournement du Tibre était apparu comme une option envisageable. En effet, Rome devait pouvoir contrôler son fleuve et prouver qu’elle méritait d’être la capitale de l’Italie. Heureusement ils n’iront pas jusqu’au bout de cette idée. Ce sera le projet de l’ingénieur Canevari qui sera adopté, à savoir l’endiguement du fleuve avec, comme on les appelle, les murailles de Canevari, hautes en moyenne d’une dizaine de mètres. Le résultat aujourd’hui est désastreux. Ces murailles de Canevari sont clairement perçues comme un outrage par les Romains. Le paysage qui en découle ne peut qu’en pâtir. Le fleuve apparaît comme une cicatrice au milieu de la ville. Depuis la construction des murailles, le fleuve est devenu totalement étranger aux Romains. Pourtant lorsqu’on s’y intéresse de plus près, on y découvre un paysage singulier.

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Crue extraordinaire 2000 à 2800 m3/s Crue ordinaire 1500 à 1800 m3/s 3

Crue intermédiaire 800 à 1100 m /s Niveau moyen du Tibre

13 m

Quais bas

Le Tibre

Quais bas

22 m

83 m

17 m


Coupes effectuées dans le sens d’écoulement du Tibre dans la partie Nord de Rome

Ponte Flaminio

Coupe AA’

Ponte Milvio

Coupe BB’

Ponte Duca d’Aosta

Coupe CC’

Ponte Della Musica

Coupe DD’

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Crue extraordinaire 2000 à 2800 m /s 3 Crue ordinaire 1500 à 1800 m /s Crue intermédiaire 800 à 1100 m /s Niveau moyen du Tibre

3 3


Heureusement la construction de barrages à partir de 1951 a permis de maîtriser le Tibre et de réduire son débit ainsi que de moitié les évènements de crues. Ainsi même si les risques de crues sont encore présents, ces dernières restent rares et bien moins dévastatrices. La plus forte enregistrée depuis ces 50 dernières années est celle de 3 2008 avec une portance de 2000m /s. Au sujet du projet, il paraissait intéressant dans un premier temps de déterminer et délimiter l’endroit qui constituerait l’impulsion d’un nouveau regard sur le Tibre. Cet endroit constitue la partie nord de Rome. Comme on peut l’observer sur les coupes état des lieux (page de gauche), les murailles de Canevari disparaissent dans cette zone. Toutefois, cela ne justifie pas le choix du site. Celui-ci se concentre dans le fait que, cette zone ne faisant pas partie du vieux Rome, les possibilités de projets s’en trouvaient fortement enrichies au vu du caractère conservateur de la ville. Ainsi débuter par ce périmètre serait une manière de prouver qu’il est possible de retisser les liens perdus entre les Romains et leur fleuve sans « s’attaquer » directement à l’Histoire de Rome.

Ponte Milvio, pont le plus ancien de Rome - 206 av J-C

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Une partie de Rome aux intêrets et attractions particulières L’intérêt de cette partie de Rome c’est que ces quartiers sont plus tournés vers la vie romaine en générale. Ils n’ont pas une vocation aussi touristique que le centre. L’image de “ville musée” par rapport au centre n’existe plus et illustre plus le quotidien des Romains. Les quartiers avoisinants possèdent des infrastructures dédiées à diverses compétitions de sport de haut niveau (rugby, Masters de tennis, gym, basket, de boxe etc.) Ces quartiers, véritables pôles d’attraction pour leur dynamisme, représentent un réel intérêt pour la population.

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Ce sont donc des quartiers qui bougent et représentent bien l’effervescence de Rome. Délimitation de l’emprise du site du projet


Envergure du site Ministère des affaires étrangères Ponte Flaminio Rive droite Ponte Milvio

Stadio Olimpico

Rive gauche Stadio Dei Marmi

Foro Italico Ponte Duca d’Aosta

Palais des sports

Monte Mario

MAXII

Ponte Della Musica

Stadio Flaminio

Ce qui les différencie tout particulièrement du reste de Rome c’est qu’il s’agit de quartiers en mutation. Ils changent et se modernisent comme le montre les constructions telles que le ponte Della Musica de Kit Powell-Williams, le MAXII (musée d’art moderne) de Zaha Hadid ou encore l’auditorium de Renzo Piano. Ces monuments constituent quelque chose d’extrêmement rares pour une ville telle que Rome, conservatrice et relativement frileuse au changement.

Auditorium

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Ponte Della Musica


Le Tibre, un fleuve qui doit reprendre sa place dans la ville éternelle

Ces quartiers bien particuliers, avec des qualités qui leurs sont propres, possèdent donc un réel potentiel pour valoriser le Tibre, un fleuve aux qualités environnementales et historiques. Car en effet en plus d’une l’Histoire très riche du « Tevere », il faut également souligner sa grande biodiversité. Les Romains ayant totalement abandonné leur fleuve, c’est bel et bien la faune et la flore qui ont repris leurs droits. Le Tibre représente une voie d’entrée dans la ville pour les espèces animales et végétales venant de la campagne romaine. C’est un véritable corridor écologique. Il y a environ 1300 espèces de plantes poussant de manière spontanée dans Rome (dont 600 aquatiques). Du flux de l’eau découle un microclimat urbain plus tempéré près du fleuve, aspect qu’il faudrait absolument mettre en valeur dans une ville telle que Rome avec un climat méditerranéen. Mais outre cette énième qualité que représente la biodiversité de ce fleuve, à l’heure actuelle, il n’en résulte pas moins un flagrant manque de connexion entre la ville et son fleuve. De temps à autre le passant a l’impression d’entrevoir les berges depuis la ville mais sans jamais vraiment pouvoir y accéder ou déceler quelque chose qui puisse susciter son intérêt ou lui donner envie de se rapprocher du fleuve. Ce dernier passe en fait inaperçu. Ce fleuve est pourtant une véritable «bouffée d’oxygène» dont on ne soupçonnerait jamais l’existence dans une capitale comme Rome, qu’on ne soupçonne d’ailleurs déjà pas depuis la ville haute. Il est pourtant une promesse de nature, de calme, d’apaisement, de fraîcheur, d’inspiration, de poésie, de sérénité et bien d’autres choses encore...

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& * D D D Ø D F D ,

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PLAN MASSE


Ponte Della Musica

Promenade rive gauche

Schéma d’intention

Ponte Duca d’Aosta

Grandes intentions : - Un projet s’articulant autour de 3 axes principaux - Créer des liaisons entre la ville et le fleuve - Valoriser les promenades - Connecter la ville haute et la ville basse par des espaces publics - Valoriser la proximité avec l’eau existante et rare dans une capitale Les berges doivent être un prolongement de la ville, elles doivent valoriser leur environnement : le fleuve et son microclimat autour de tracés directement inspirés de celui-ci, de ses crues et de son environnement urbain. Ceci dans le but de révéler aux habitants une nature sauvage insoupçonnable près de leur fleuve.

Promenade haute, Rive droite

Au loin, ponte Flaminio

En arrière plan, le ponte Milvio

Promenade rive gauche

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Une grande place urbaine sur un axe contemporain de Rome

25 Vue depuis le Ponte Della Musica

Coupe AA’

Coupe BB’

Topographie avant le projet


Lorsque l’on pense à Rome, on pense forcément aux « piazze » telles que la piazza di Spagna, la piazza del popolo, la piazza Navona, et encore bien d’autres. Elles incarnent toute la beauté de Rome mais aussi la manière de vivre des Italiens. Leurs vies s’organisent autour de ces fameuses places. Des lieux de rendez-vous, de discussions autour de terrasses représentent bien les mœurs romaines. Malheureusement, la partie nord de Rome se trouve dépourvue de places. Symboles pourtant indissociable de la magnificence de la ville éternelle. Il semblait donc logique d’offrir une vraie place à ces quartiers nord. Une place capable d’accueillir un grand nombre de personnes les jours de match, par exemple, tout en créant un lien entre la ville et son fleuve. Une place contemporaine à l’image de cet axe, sans oublier, bien évidemment, d’intégrer la réflexion d’un paysage submersible.

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BB’

AA’



L’axe sportif, desservi par le ponte Duca d’Aosta était également l’occasion de prévoir un aménagement dédié à accueillir des rassemblements humains. Ainsi, plusieurs paliers de terrasses en bois permettraient d’accéder de la ville haute à la ville basse. L’espace vacant sous l’arche du pont (actuellement laissé-pour-compte) deviendrait un bar. Cet endroit serait fréquenté, pratiqué et vécu, les gens se l’approprieraient. Des aménagements dédiés aux haltes ainsi qu’aux promenades seraient conçus de manière simple, mais toujours en prévision de crues, avec un travail fin, notamment sur les matériaux. L’important étant de ne pas « refaire », mais d’améliorer l’existant tout en créant de réelles connexions depuis la rue vers le fleuve.

28 AA’ CC’

BB’


Un grand parc urbain sur un axe historique

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Vue depuis le Ponte Flaminio

Topographie avant le projet


Enfin sur l’axe historique du ponte Milvio, l’idée était de recréer une ambiance en adéquation avec l’architecture et l’émotion que provoque ce pont. Etant donné que celui-ci est le plus vieux de Rome (-206 av. JC), il incarne incontestablement une autre époque, révolue mais magistrale. On se sent plongé dans un autre temps. Un temps ancien. Ainsi la première chose qui vient à l’esprit, c’est une idée de nature, jadis omniprésente. L’idée directrice était donc de faire renaître cette nature autrefois foisonnante à travers l’aménagement d’un grand parc. Une fois dedans, l’intérêt serait de ne plus sentir la ville et de l’oublier. Lors des évènements de crues, un autre parc viendrait se redessiner à chaque fois grâce aux différences de niveaux qui auront été créés dans ce grand parc.

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AA’

BB’


Camille Pelletan. Au sud, les corps de bâtiments actuels s’érigent sur quatre niveaux plus un attique. Il s’agit de deux bâtiments de bureaux, datant de 1967 et de 1983, au linéaire de façade long et répétitif. A l’extrémité ouest du terrain, on trouve un bâtiment en rotonde de plain-pied. Au cœur de la parcelle il y a un parking en plein air et un corps de bâtiment à un niveau dont la toiture est végétalisée. Il y a aussi un espace végétalisé avec des arbres à hautes tiges contre le bâtiment de France Telecom. Actuellement, cet espace est sans entretien et a peu de qualités.

Situation du projet : Montrouge

Immeuble

Le bâtiment s’implante da Verdier. La rue est ainsi animée p

de villes MaisonsMaisons de villes

France Télécom Immeuble France Telecom

Ecole Supérieure Ecole supérieure

b- Accroche au tissu exist

Logements R+7 Logements en en R+7

ce uer un x nous che autour

VI- Paysage

A l’extrémité est, la volum ainsi une transition douce

II - MODIFICATIONS

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c- Gestion de la hauteur

doit constinte dans les s usagers.

Il est prévu une démolition quasi intégrale des constructions décrites ci-dessus. Le bâtiment France Telecom, le

ble dulong jardin de l’Avenue de la Marne est bien sûr conservé. L’auvent au-dessus de l’accès parking, le long de l’Avenue es distinctes de la Marne actuel, sera démoli. Le long de la limite nord de la parcelle, le mur de mitoyenneté sera conservé. Il ent.

sera rhabillé et doublé d’un masque de végétal.

ouest, sera e de végése veut Les fresques qui habillent les pignons des immeubles à l’angle de l’Avenue de la Marne e n’est pas minérales seront déplacées in situ sur lesDalles pignons de l’immeuble Le Pelletan et éventuellement que mais Mur végétal peut, par l’immeuble France Telecom afin de rester visible des passants. restaurant ernier.

Bassin miroir

et de l’Avenue Verdier sur le pignon nord de

Enfin, il est prévu de couper les arbres existants et de raser les éléments paysager du site et de les remplacés la description que sera faite dans la notice paysagère (voir pages suivantes). Mur de grimpantes

central, suivants du projet, llera, où nt et disjeuner ou . Ils pourndre soit étation et ur une plaà acceuillir nnes plus

Mur de grimpantes Au dernier

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Mousse végétale

Dossier de permis de construire

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Vivaces

Maîtrise d’ouvrage représentée par :

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Jardin Tour Montparnasse 33 Avenue du Maine BO 18 75755 Paris CEDEX 15

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Projets principaux réalisés en agence de paysage Lors de mon dernier stage effectué à l’Agence Babylone, j’ai eu l’occasion de participer à l’élaboration d’un projet depuis sa phase esquisse jusqu’à la clôture de sa phase PRO. Ce projet de 400 000 € consistait à aménager 2380 m² d’espaces extérieurs en vue de la construction d’un nouveau bâtiment accueillant des bureaux à Montrouge. Le projet initial fut celui d’un jardin de « pixels », qui a finalement évolué dans un tout autre sens pour se transformer sur un principe d’« îlots végétalisés ». Le chantier de ce projet devrait démarrer d’ici 2015.

Projet initial 32

Principe du jardin de pixels


Plan masse du projet

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VI- Paysage

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Bassin miroir Dalles minérales

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Jardin central

Jardin ouest

Ja

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Echelle : 1/1000

uire Modificatif AVENUE VERDIER

Maîtrise d’ouvrage représentée par :

Mur végétalisé

Maîtrise d’oeuvre

Bassin mirroir

S.C.I. Montrouge Verdier Tour Montparnasse 33 Avenue du Maine BO 18 75755 Paris CEDEX 15

56, rue de Paradis 75010 PARIS

7, passage Turquetil 75011 PARIS

Escaliers

Mobilier

Notice Paysagère PROVISOIRE

22 Juillet 2013

1/500

PC1


Lors de l’élaboration de ce projet j’ai eu la chance de me voir déléguer un rôle important. J’ai en effet participé activement au cheminement de ce projet sur lequel l’Agence Babylone était co-traitant avec les mandataires ECDM architectes. J’ai donc géré et travaillé sur la phase esquisse, la phase AVP, APD et la phase PRO. Il a fallu travailler en concomitance avec les architectes d’ECDM afin de répondre aux attentes de la maîtrise d’ouvrage, à savoir ici Les Nouveaux Constructeurs. J’ai donc dessiné le projet tout en respectant un certain nombre de m² de terre pleine et tout en prenant en compte les diverses requêtes de la maîtrise d’ouvrage. Travailler sur ce projet m’a permis d’explorer toutes les facettes du projet en général (l’aspect créatif, technique, graphique, végétal, administratif, pécunier, la communication, etc.)

Vue du jardin central

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Dossier de permis de construire Modificatif IMMEUBLE DE BUREAU AVENUE VERDIER 88-118 Avenue Verdier 92 120 Montrouge

Maîtrise d’ouvrage représentée par :

S.C.I. Montrouge Verdier

Tour Montparnasse 33 Avenue du Maine BO 18 75755 Paris CEDEX 15

Vue du jardin central

Maîtrise d’oeuvre 56, rue de Paradis

7, passage Turquetil 75011 PARIS

PROVISOIRE


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Sur ce projet mon rôle a surtout été celui de travailler l’aspect graphique. J’ai principalement réalisé des perspectives, des coupes et apporté des modifications sur le plan masse. J’ai également participé à la réalisation du plan de nivellement et d’une notice paysagère.

Plan masse du projet 36


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Documents graphiques rĂŠalisĂŠs sur le projet du Campus de Mont-Saint-Aignan

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Les pelouses de Reuilly

Situées à une extrém espace de 10 hectar avec un grand vide, autour. Un site en apparence de l’année. La compl ment réduit par la p

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Situées à une extrémité du Bois de Vincennes et à côté du lac Daumesnil, les pelouses de Reuilly sont un vaste espace libre de 10 hectares entouré d’arbres. L’analyse de ce site est assez simple : un grand vide, un vaste horizon, quelques îlots d’arbres ponctués ici et là et des boisements tout autour. Un site en apparence simple...si ce n’est que celui-ci constitue l’emplacement de la Foire du Trône durant 3 mois de l’année. La complexité était donc effectivement de concevoir un projet pérenne avec un espace considérablement réduit par la présence de cet événement.


Projets de 3 ĂŠme annĂŠe Plan masse du nouveau projet des pelouses de Reuilly

40

2NCP OCUUG


VueVuedesdesîlotsîlots


Un monde fantastique à l’image du site Comme on peut le voir sur le plan masse et sur les vues ci-contre, le parti pris choisi fût celui du fantastique. C’est, selon moi, l’essence même des pelouses de Reuilly. Un lieu qui revêt deux visages ; celui de la Foire du Trône avec son univers fou et ses côtés burlesques. Puis, celui qui s’apparente à un grand vide, un grand trou dans Paris, complètement improbable et inattendu.

Vue centraledu duprojet projet Vue centrale

L’objectif était de révéler ce lieu fantastique, tout en calculant bien l’espace disponible pour implanter le projet. L’idée était de faire perdre leurs repères aux visiteurs. Le résultat se dessine par une densification des boisements, des chemins tortueux, des arbres déformés (par l’action de l’homme), des portes tantôt géantes, tantôt à peine assez grande pour passer, des sculptures reparties dans les boisements, des belvédères dans les canopées, deux grandes mains (sculptures) au centre, symbolisant ce géant qu’incarne les pelouses de Reuilly pour supporter cette énorme machine qu’est la Foire du Trône.

Vue de l’entrée principale

Vue de l’entrée principale

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RĂŠfĂŠrences :

Guiseppe Penone et le parc de Bomarzo

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BelvÊdère dans les canopÊes


Enfin, et surtout, des « îlots » engazonnés avec une légère pente où se dressent toutes sortes de sculptures, mais surtout des arbres en bronze (référence : Giuseppe Penone) aux allures étranges. Sur leurs racines, allongés, à l’envers avec les racines à l’air...ces arbres paraissant réels sont en fait dans des positions irréelles. Ces îlots auront pour autre fonction celle de servir de lieux de détente aux visiteurs, que cela soit grâce aux assises disposées tout autour le long des îlots, ou encore sur la partie supérieure engazonnée de ceux-ci.

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Vue d’oiseau du projet

Vue d’oiseau du projet


Le parc départemental de la Courneuve

La forêt

L’eau

Le relief

A l’echelle de Paris

Vue depuis le pont autoroutier

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La forêt

L’eau

Le relief

Vue du chemin longeant le lac


Plan Plan masse de la nouvelle entrée du parc de la Courneuve

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Le sujet de ce projet était d’aménager une parcelle du parc de la Courneuve d’environ 20 hectares et scindée en deux par une ligne de RER afin d’en faire l’entrée principale du parc.


Cours d’eau s’écoulant dans le grand lac

Station de RER aménagée sur l’eau 47

Clairières dispatchées à travers la forêt


Mon analyse a rendu compte qu’il existait 3 parties bien distinctes dans ce parc avec chacune sa caractéristique. La première constitue la forêt, la seconde l’eau et la troisième le relief. Ce constat a guidé le projet vers la création d’une entrée monumentale dans laquelle ces 3 caractéristiques seraient réunies. Le projet représente une vallée où son cours d’eau s’apparente à un grand lac sur lequel se situe une station de RER (intégration du projet Grand Paris). Le train va donc venir animer le lac grâce à son mouvement et à sa vitesse en provoquant des vibrations sur l’eau. La dimension de monumentalité a été très importante dans ce projet. L’entrée principale d’un tel parc se devait d’être grandiose, de fasciner les visiteurs et de leur donner envie de se plonger dans celui-ci.

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2 éme Année

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Le propos de ce projet était de réaliser une école d’architecture avec pour seule limite un nombre

Le propos de ce projet était de réaliser une école d’architecture avec pour GH SLpFHV LPSRVp DLQVL TXH OHXUV VXSHUÀFLHV DVVRFLpHV seule limite un nombre de pièces imposé ainsi que leurs superficies associées.

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Plan RDC

Plan 1er étage

Vue devant le batîment

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Projet d’architecture de 2 éme année

C’est donc une architecture très particulière que j’ai voulu mettre en place en utilisant des formes C’est donc une architecture très particulière que j’ai voulu mettre en place simples qui réunies donnent un ensemble à la fois plus complexe et subtile. en utilisant des formes simples qui, une fois réunies, donnent un ensemble à la fois complexe et subtil.

Plan 2eme étage

Plan toit

Vue derrière le batîment

Ci-contre, diverses coupes rendant compte des différents espaces.

50


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Jardin Tino Rossi, Paris


Croquis lors d’un séjour à Séte

Croquis, dessins divers...

47 52


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