Un candidat dans chaque canton Une équipe pour faire gagner l’Essonne
Sofiane
Jean-Louis
Michel
Elisabeth
Thomas
Belguerras
Berland
Berson
Blond
Chaumeil
canton de Longjumeau
canton de St-Michel-sur-Orge
canton d’Evry-Nord
canton de La Ferté-Alais
canton de Villebon-sur-Yvette
Carlos
Paul
Jean-Marc
Romain
Edouard
da Silva
da Silva
Defrémont
Desforges
Fournier
canton de Corbeil-Est
canton de Viry-Chatillon
canton de Savigny-sur-Orge
canton de St-Germain-lès-Corbeil
canton de Brunoy
Pierre
Véronique
Gérald
Thierry
Mouna
Guyard
HachéAguilar
Hérault
Mandon
Mathari
canton de Ris-Orangis
canton de Limours
canton de Yerres
canton de Montgeron
Maud
Michel
Christian
Claire
Olivier
Pouzol
Richomme
Robillard
canton des Ulis
canton de Brétigny-sur-Orge
canton de Mennecy
canton de Palaiseau
canton de Bièvres
CANDIDATS SOUTENUS PAR LE PARTI SOCIALISTE
Les 9 et 16 mars prochain, vos candidats pour sanctionner la droite et renforcer la gauche, Jean-François
François
Degoud
Jousset
canton de St-Chéron Divers gauche
canton d’Etampes
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Faites la différence En 1998, 2001 et 2004, les Essonniens ont élu une major ité de gauche au Conseil général.
Vous nous avez fait confiance, nous avons tenu parole. > Nous avons su agir pour une Essonne solidaire Conformément à nos engagements, nous avons démultiplié l’action du Conseil général afin de bâtir une Essonne solidaire qui se préoccupe de chacun, habitant du Sud ou du Nord du département, jeune ou âgé, cadre d’une entreprise de pointe ou ouvrier menacé par la désindustrialisation. Pour preuve, l’évolution de nos budgets de 2001 à 2007 : • action sociale +66% • formation, éducation +20% • aménagement du territoire : +40% • transports : +70% • culture : +22% • sports : +45% • sécurité publique (pompiers) : +70% • soutien aux communes : +100%
> Nous avons défendu les intérêts des Essonniens face aux gouvernements de droite en place Nous nous sommes mobilisés pour défendre les droits des Essonniens remis en cause par plusieurs décisions des gouvernements Raffarin, Villepin et Fillon : • contre le désengagement de l’Etat (nous avons ainsi arraché un plan d’urgence pour les RER C et D) • contre la remise en cause des services publics (nous avons sauvé ainsi des maisons de retraite et des bureaux de poste) • pour la compensation financière des transferts de compétences imposés par l’Etat. Les gouvernements de droite ont confié de nouvelles charges aux Départements (routes nationales, personnel des collèges, RMI)… tout en réduisant leurs ressources. La facture pour l’Essonne atteint 150 millions d’euros depuis 2004, l’équivalent du coût de dix nouveaux collèges ! Sur tous ces sujets, l’opposition de droite a refusé de s’associer aux démarches du Conseil général. Elle a préféré apporter un soutien «godillot» à ses amis au pouvoir plutôt que de défendre les intérêts des Essonniens. 4
> Nous avons géré le département avec rigueur La majorité de gauche au Conseil général a tenu à ce que la facture imposée par l’Etat soit la moins lourde possible pour les contribuables essonniens. En contrôlant rigoureusement l’efficacité de chaque dépense, nous avons réussi à contenir la hausse de la fiscalité à un niveau inférieur à celui des autres grands départements de plus d’un million d’habitants. La hausse de la fiscalité en Essonne y a ainsi été inférieure de deux points : +17% en dix ans pour les ménages, soit moins de 2% par an. Et le niveau des prélèvements sur les ménages en Essonne est en dessous de la moyenne des autres grands départements. Telle est la vérité, irréfutable. La droite avait fait un autre choix lorsqu’elle dirigeait le Conseil général de l’Essonne : sur une même période de 10 ans, elle avait, elle, de 1988 à 1998, augmenté les impôts de +76% !
> Nous avons associé les Essonniens à chacun de nos choix Toutes les grandes politiques du Conseil général ont été précédées d’une consultation ouverte aux citoyens, aux acteurs économiques, sociaux, éducatifs, culturels, associatifs, comme nous l’avons fait avec l’Agenda 21. C’est un choix démocratique pour réduire la fracture croissante entre les électeurs et leurs élus. C’est aussi un impératif d’efficacité car les politiques menées par le Département réussissent d’autant mieux que les citoyens ont été associés à leur définition et à leur mise en œuvre.
Aujourd’hui, nous vous faisons de nouvelles propositions pour l’avenir. LISEZ-LES ATTENTIVEMENT. Nous les mettons en œuvre si vous nous faites à nouveau confiance les 9 et 16 mars prochain. 5
ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
> Mieux accueillir les tout-petits T QUI EST DIRECTEMEN ? E RESPONSABL > Les communes tions > La Caisse d’Alloca les lia Fami > Le Conseil général t les accompagne, soutien les re liv projets et dé tantes agréments aux assis maternelles
OITE i AilsDR ont osé le faire
r les • en 2006, les crédits pou . rés sab été ont crèches Résultat : de nombreux projets abandonnés ou retardés au • seulement 1% de hausse la : 8 200 ier janv r premie promesse de Sarkozy de s revaloriser les allocation ue ten pas st n’e es familial
UCHE r AnoGA us l’avons réalisé
L’arrivée d’un enfant est synonyme de joie… mais parfois aussi de galère. Places d’accueil limitées, horaires inadaptés, coût important pour les familles, la France manque d’un vrai service public de la petite enfance.
> Protéger l’enfance La protection de l’enfance fait partie des plus lourdes missions que la loi confie aux Conseils généraux. Plus de 14 000 familles essonniennes en ont bénéficié.
A DROITE i ils on
t osé le faire
• le gouvernement Raffarin a choisi de faire des familles les boucs émissaires en prévoyant la suspension des prestations familiales en cas de problème éducatif, une mesure qui aggrave les difficultés sociales des familles au lieu de les aider à faire face.
> Ce que nous proposons A GAUCHE r no us
• des places d’accueil plus nombreuses
l’avons réalisé
- une aide renforcée aux communes et aux associations - création de crèches au sein des maisons de retraite publiques mises en place par le Conseil général - création d’un Relais Assistantes Maternelles départemental, financièrement accessible aux personnes en difficulté ou en recherche d’emploi - expérimentation de micro-crèches, en particulier en milieu rural L'Institut de l'enfance et des familles de Brétigny reconstruit en 2006
• une aide plus importante pour les familles
Le Conseil général aide déjà les familles qui confient leur enfant à une crèche. Nous proposons de créer une aide financière pour les familles qui recourent aux assistantes maternelles
• plus de 3 400 places : créées entre 2004 et 2007 l’Essonne en tête des départements franciliens uis • multiplication par 5 dep 2001 de l’aide du Département pour les projets des communes et associations (haltesgarderies, crèches familiales, parentales ou collectives, relais assistantes maternelles)
• améliorer les structures d’accueil adaptées pour privilégier la prévention et intervenir dès qu’un problème survient. L’établissement le plus important en Essonne, l’Institut de l’enfance et des familles a été entièrement reconstruit en 2006. Il dispose de 120 places d’accueil d’urgence pour les mineurs et les mamans avec enfants.
> Ce que nous proposons • un soutien dès la première difficulté aux parents fragilisés : nous réaliserons une crèche départementale spécialisée dans la prévention • la création de sept classes relais en Essonne a permis de conjuguer protection de
l’enfance et travail scolaire en petits groupes : pour aller plus loin, nous créerons une 8e classe relais dans notre département • depuis 2001, le budget consacré à la protection de l’enfance a augmenté de 45%. Nous maintiendrons ce cap.
QUI EST DIRECTEMEN T RESPONSABLE ? > Le Conseil général
Nous proposons une allocation aux parents qui font appel à une assistante maternelle
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ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
>
Les collèges :
donner à chaque jeune Essonnien toutes les chances pour réu ssir
T QUI EST DIRECTEMEN ? E BL SA ON RESP fesseurs, > La gestion des pro iciels : off es mm gra les pro l’Etat ntretien > La construction, l’e s de nt et l’équipeme général collèges : le Conseil
OITE i AilsDR ont osé le faire
• avec la baisse régulière du budget de l’Education nationale et 11 200 professeurs en moins en 2008, ce sont de nombreuses options supprimées et moins d’adultes présents dans les établissements
Le collège Pasteur à Longjumeau, réhabilité et agrandi par le Conseil général
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A GAUCHE r no us
La majorité de gauche du Conseil général a mené un effort de rénovation et de construction de collèges unique en France. Avec 9 nouveaux collèges et 73 établissements réhabilités, le retard accumulé sous la droite a été plus que comblé. L’Essonne peut dès lors se fixer de nouvelles ambitions pour l’avenir.
l’avons réalisé
> Ce que nous proposons • l’école après l’école : soutien dans les
Le nouveau collège de Champcueil a ouvert ses portes à la rentrée 2004
• plus de 60 millions d’euro s chaque année pour le financement de travaux lourds dans les collèges, budget jamais atteint avant en Essonne • acquisition de 10 000 ordinateurs pour les 60 000 collégiens de l’Essonne • aide pour payer la cantine : 22 500 collégiens en bénéficient • financement par le Conseil général de 50% de la carte Imagin’R, pour diminuer le coût des transports scolaires
collèges aux activités pédagogiques, culturelles, informatiques et sportives de 16h à 18h • réduction du poids des cartables par • tous les collèges de l’Essonne deviendront des “collèges numériques” : équipement de
classes avec des tableaux numériques, développement des ordinateurs accessibles dans les établissements, mise à disposition de clés USB pour les élèves et les enseignants…
Réhabilitation lourde au collège des Sablons à Viry-Chatillon
Le Conseil général soutient les sections professionnelles
le financement d’un second jeu de manuels scolaires • 15 collèges et 13 demi-pensions réhabilités dans les trois prochaines années • construction d’internats scolaires pour collégiens
Les collégiens de Guigneville disposent d’une cantine reconstruite
Le Conseil général contribue aussi à l’équipement des établissements
Le collège est un moment clé dans l’éducation des jeunes
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ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
> Offrir à notre jeunesse l’avenir qu’elle mérite T QUI EST DIRECTEMEN ? E BL RESPONSA > L’Etat > Les communes
OITE i AilsDR ont osé le faire
• le Contrat Première it Embauche (CPE) ou le dro s san es jeun les r ncie lice de motif • suppression des emploisjeunes, abandon du projet r d’allocation autonomie pou les jeunes…
UCHE r AnoGA us l’avons réalisé
• depuis 2004, près de à 200 000 Essonniens de 16 la de ié éfic bén ont ans 19 carte Jeune Essonne s (150 euros par an pour tou s plu r pou ans 19 les 16d’autonomie) • +40% pour l’aide aux 10 missions locales pour l’insertion des jeunes de 16 à 25 ans en Essonne • 1000 logements créés ou r réhabilités depuis 2001 pou ins mo de ltes adu es les jeun de 30 ans • la carte Imagine’R a permis depuis 2001 à plus de 160 000 collégiens et lycéens essonniens de se déplacer toute l’année
A cause du chômage ou du coût des logements, les jeunes deviennent autonomes de plus en plus tard. C’est souvent une souffrance pour eux et un poids supplémentaire pour les familles. Ici aussi, il faut un Conseil général qui s’engage.
> Ce que nous proposons • développement de la carte Jeunes Essonne
avec le lancement de nouveaux services pour plus d’autonomie • 1 000 nouveaux logements pour les jeunes d’ici 2010 • un système de cautionnement solidaire pour les jeunes ayant de faibles
revenus qui accèdent à leur premier logement • le renforcement du Fonds d’aide aux jeunes
200 000 Essonniens ont bénéficié de la Carte jeune 91 depuis 5 ans
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>
Citoyen(ne)s pour de bon !
Le fondement de notre République, ce sont ses citoyens, femmes et hommes égaux en droits et en devoirs, éclairés et donc informés, motivés et impliqués partout où l’intérêt général est en cause. Le Conseil général y contribue en luttant contre les discriminations et en agissant pour l’information et la participation des habitants.
A DROITE i ils on
t osé le faire
• depuis que Nicolas Sarkoz y est président de la République Gala et Voici sont devenus les supports «d’information» préférés de l’Elysée !
> Ce que nous proposons • une démarche de démocratie participative : grandes enquêtes de proximité,
observatoires ouverts à des personnes non élues, consultation des citoyens • soutien accru aux associations de lutte contre toutes les formes de discrimination
(sexe, origine, handicap…) • lutte contre les violences sexistes et
renforcement des actions de prévention à destination des collégiens • développement de l’hébergement d’urgence des femmes victimes de violence
A GAUCHE r no us
l’avons réalisé
• le Département de l’Essonne a innové et s’es t engagé résolument avec un plan pour l’égalité femmes hommes, adopté en mai 2007 et doté d’un budget spécifique • nous avons mené plusieu rs campagnes d’information, sur la santé publique comme sur les services du Conseil général, pour que personne ne soit privé d’u n droit faute d’information • toutes nos grandes politiques ont donné lieu à une consultation préalable des habitants
Le magazine «Essonne», distribué à tous, informe chacun de l’actualité départementale, des chantiers en cours, de celles et ceux qui font l’Essonne. Combien coûte tout cela ? L’ensemble du budget consacré à l’information et à la communication du Département représente seulement 0,3% du budget du Conseil général, soit 3€ par an et par habitant.
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ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
> Toute leur place aux
personnes handicapées T QUI EST DIRECTEMEN ? E BL SA ON RESP > Le Conseil général > L’Etat
OITE i AilsDR ont osé le faire • la droite essonnienne a proposé la diminution de 6 M d’euros du budget consacré aux personnes handicapées
Ces six dernières années, le Conseil général a financé la création de 750 places d’accueil pour personnes handicapées en établissements. Un chiffre à comparer aux 1 000 places seulement créées dans les 40 années précédentes ! Les politiques en faveur des personnes handicapées ont été considérablement développées par la majorité de gauche du Conseil général
>
La santé
A DROITE i ils on
t osé le faire
pour tous
• le scandale des franchi ses médicales. Après avoir vidé les caisses en «exonérant» de plus de 15 milliards d’euros les contribuables les plus riches, la droite fait les poches des malades avec les franchises médicales. Un choix qui prépare la fin du système français de solidarité.
La majorité de gauche a placé l’Essonne à la pointe des départements français pour la prévention et la santé : dépistage du SIDA et des hépatites B et C, lutte contre la tuberculose, dépistage des cancers, politique de vaccination des 7, 11 et 18 ans unique en Ile-de-France, éducation à la santé et à la sexualité et enfin aide financière à la souscription d’une mutuelle.
A GAUCHE r no us
l’avons réalisé
• +110% depuis 2001 : c’e st l’augmentation du budget du Conseil général consac ré à la lutte contre le sida et les hépatites B et C • 60 000 Essonniens ont retrouvé les moyens de se soigner grâce à la mise en place de la couverture maladie universelle (CMU) et de la complémentaire san té départementale Accès+
> Ce que nous proposons • le développement de 6 centres départementaux de prévention et de santé (Juvisy,
Massy, Evry, Etampes, Arpajon, Corbeil) et des permanences (Les Ulis, Val d’Yerres)
UCHE r AnoGA us l’avons réalisé
• doublement du budget consacré aux handicaps depuis 2001 • forum «Tous solidaires» à Chamarande, qui permet s aux Essonniens handicapé et valides de se rencontrer et d’échanger (70 associations et plusieurs milliers de visiteurs accueillis en 2007) • création de structures uniques en France pour les personnes souffrant de maladies psychiques (à Etampes, Juvisy-sur-Orge, ) Brétigny-sur-Orge et Massy
> Ce que nous proposons • une plateforme accueil mobilité “PAM91”
qui offrira à toute personne handicapée une centrale de réservation et un transport adapté pour se déplacer partout en Ile-de-France • le doublement du nombre de spécialistes travaillant au sein de la Maison départementale des Personnes handicapées
de L’Essonne • 465 nouvelles places pour assurer à toute
personne handicapée une prise en charge adaptée à sa situation • priorité aux structures pour handicapés vieillissants
• un soutien accru aux associations
œuvrant dans le champ de la prévention • la poursuite et l’amplification des dépistages gratuits des cancers que nous avons mis en
place depuis 2003 et ceux des maladies sexuellement transmissibles Campagnes pour les dépistages mis en place par le Conseil général
QUI EST DIRECTEMEN T RESPONSABLE ? > L’Etat > Le Conseil général pour la prévention
• développement des services de soutien à domicile pour les personnes lourdement handicapées
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ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
> Accompagner
nos aînés
Des interventions personnalisées permettent de prolonger l’autonomie
A GAUCHE r no us
l’avons réalisé
T QUI EST DIRECTEMEN ? E RESPONSABL pour > Le Conseil général l’APA isons de > L’Etat pour les ma es sé ali retraite médic
OITE i AilsDR ont osé le faire
• remise en cause de l'APA (création en 2003 d'un barème moins favorable, r tentative en 2007 d'instaure ) sion ces suc sur s un recour • création des franchises médicales pour financer le plan Alzheimer : ce qui revient à faire payer directement les personnes âgées malades, au détriment de la solidarité de • en Essonne, 700 places maison de retraite bloquées par le gouvernement l • la droite au Conseil généra a proposé de supprimer 6 millions d’euros au budget de l’APA, au détriment des 10 000 personnes âgées qui la perçoivent
• 2 000 nouvelles places d’hébergement destinées aux personnes âgées dépendantes créées en Essonne depuis 2000 • 10 000 Essonniens bénéficient de l’APA dont le Conseil général a compen sé la baisse de 25% décidée par le gouvernement • transports en commun gratuits ou demi-tarif pour les personnes âgées et handicapées (17 000 Essonniens en bénéficient )
La catastrophe de la canicule de l’été 2003 a rappelé la nécessité de veiller davantage aux plus âgés. Elle n’a pas empêché quelques mois plus tard le gouvernement de droite de réduire l’APA (allocation personnalisée à l’autonomie). En Essonne, nous avons fait le choix de la solidarité avec nos aînés pour qu’ils vieillissent dignement.
> Ce que nous proposons • diminuer la charge financière pour les familles :
- ouverture de lits à prix encadrés dans les maisons de retraite du département - création de 6 maisons de retraite publiques en Essonne • faire face à la maladie d’Alzheimer :
- un accueil de jour par canton - des aides pour les familles concernées Le Conseil général s'est mobilisé depuis 2006, mais 7 nouvelles maisons de retraites sont encore bloquées faute de crédits de l'Etat Le Conseil général soutient les personnes âgées dépendantes en maison de retraite comme à domicile
• améliorer l’accompagnement des personnes âgées :
- favoriser le soutien à domicile des personnes âgées (renforcement des services d'aides à domicile, financement de l'APA, portage de repas, télé-alarme...) - création d’un centre de formation pour les personnels en charge des personnes âgées dépendantes - renforcement de la lutte contre la maltraitance des personnes âgées
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Une unité dédiée au bien-être des malades d'Alzheimer a été ouverte à la maison de retraite "Le Cèdre Bleu" à St-Pierre-du-Perray grâce à des financements du Conseil général
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ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
>
Mieux se loger, mieux vivre
ensemble
l’avons réalisé
dans nos quartiers T QUI EST DIRECTEMEN ? E BL SA ON SP RE > Les communes > L’Etat
OITE i AilsDR ont osé le faire
la • l’Essonne est touchée par grave crise du logement locatif. La droite diminue l’offre de logements es sociaux, taille dans les aid que t dan pen ent au logem les jeunes et les familles modestes ont de plus en plus de mal à se loger décemment • avec à peine 1 milliard d’euros pour 750 quartiers prioritaires en France, le plan banlieue du gouvernement est très inférieur aux besoins et s’avère déjà un échec annoncé
L’Ile-de-France manque de logements. En dix ans, leur prix a été multiplié par 2,5. Le logement est devenu de loin le premier poste de dépense des ménages. La pénurie de logements chasse de la capitale les classes populaires et moyennes ainsi que les familles avec enfants. L’urbanisation se développe alors de plus en plus loin de Paris, avec ses conséquences : recul des espaces naturels, engorgement automobile, transports collectifs dépassés… En agissant pour le droit au logement de tous, le Conseil général défend donc aussi la qualité de vie pour chacun.
> Ce que nous proposons • pour faire face à l’insuffisance de logements sociaux, aide aux bailleurs pour la construction de 5 000 logements d’ici 2011 • amélioration de la vie des locataires par une aide à la réhabilitation de 7 000 logements anciens
A GAUCHE r no us
Le quartier des Hautes-Mardelles à Brunoy (réhabilitation intérieure de 379 logements cofinancée par le Conseil général)
• 120 millions d’euros pour les quartiers fragiles de l’Essonne dans les trois prochaines
années : un effort sans précédent pour la rénovation urbaine, le désenclavement des quartiers, la participation des habitants dans chaque nouveau projet, la lutte contre les discriminations • dans le cadre de la lutte contre les discriminations, étendre l’opération «un stage, j’y ai droit» aux 37 communes en politique de la ville,
ce qui représente 62 établissements scolaires et plus de 7 000 élèves de troisième • les nouveaux logements devront obéir aux normes HQE (haute qualité environne-
• plus de 22 000 logement s sociaux rénovés • 1000 logements supplémentaires pour les jeunes depuis 2001 • un soutien financier aux acteurs de la politique de la ville : 33 communes, 400 associations, 2 600 projets subventionnés • ouverture de la Maison départementale de l’habita t • de nouveaux sites prioritaires pour les quartiers et avec la participation des habitants: Athis-Mons (le Noyer Renard), Corbeil-Essonnes (les Tarterêts), Epinay-sousSénart (Plaine-Cinéastes), Evry (Pyramides), Grigny (Grigny 2), Grigny / ViryChatillon (la Grande Borne) , Les Ulis (Quartier Ouest), Massy (Opéra), SainteGeneviève-des-Bois (les Aunettes), Viry Chatillon (les Coteaux de l’Orge), Corbei lEssonnes (la Nacelle, Montconseil), Courcouronnes (le Canal), Draveil (l’Orme des Mazières), Etampes (SaintMichel), Evry (le Bois Sauvage), Montgeron / Vigneux-sur-Seine (la Prairie de l’Oly), Vigneux-sur-Seine (la Croix-Blanche)
mentale) pour des constructions de qualité respectueuses de l’écologie • soutien au logement des personnes les plus défavorisées, notamment pour les victimes de
violences conjugales et logements spécifiques pour les handicapés et les personnes à mobilité réduite Un programme d’accession sociale à la propriété à Viry-Chatillon
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• aide aux copropriétés dégradées pour les
travaux de réhabilitation 17
ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
>
Mieux se déplacer en Essonne
A GAUCHE r no us
l’avons réalisé
T QUI EST DIRECTEMEN ? E RESPONSABL financent > L’Etat et la Région ctures tru ras les grandes inf RER le e mm (co res iai ferrov C et D). nsports > Le Syndicat des tra it fin dé d’Ile-de-France rts po ns tra de l’offre es (ouverture de nouvell tériel ma le te hè ac et s) ligne . TP RA et roulant SNCF est > Le Conseil général nes de lig s responsable de . les nta me rte pa bus dé
OITE i AilsDR ont osé le faire
• la seconde phase du tramway Villejuif-Juvisy entre Athis-Mons et Juvisy, les sites propres pour la transports en commun et été ont isy Juv de e gar exclus par le gouvernement du Contrat de Projets EtatRégion 2007-2013. Ces projets ne bénéficient plus d’aucun financement de l’Etat.
Pendant des années, la grande couronne de l’agglomération parisienne a été le parent pauvre des investissements dans les transports collectifs. La situation ne s’améliorera pas sans de nouveaux moyens de transports rapides et confortables. Cela implique des dépenses énormes. Or, pour l’instant le gouvernement se désengage financièrement. Elus, nous nous mobiliserons sans relâche pour que l’Etat révise cette politique. Et nous agirons pour améliorer sans attendre l’offre de transports dans notre département.
> Ce que nous proposons
• 190 millions d’euros de crédits départementaux pour les infrastructures de transports en compensation de l’insuffisance des
financements prévus par l’Etat
• un suivi permanent du plan de modernisation du RER D pour que ça s’améliore vraiment • une mobilisation pour que l’Etat et la Région commencent les travaux du tram-train Massy-Evry début 2012 • création de deux lignes de bus Montgeron/
Vigneux/Draveil/Athis/aéroport d’Orly et Yerres/Crosne/Villeneuve-St-Georges/ Villeneuve-le-Roi/aéroport d’Orly • modernisation de la ligne 402 (remplacement
des bus par un tramway sur pneus) pour améliorer la desserte des quartiers populaires et des zones d’activités de Corbeil, Evry-Courcouronnes, Ris, Grigny et Viry-Chatillon • réhabilitation de la gare de Juvisy-surOrge pour une meilleure interconnexion entre les
RER et les bus et co-financement de la nouvelle passerelle multimodale de la gare de Massy/Palaiseau
• 10 millions d’euros pour permettre le démar-
rage immédiat des travaux du premier tronçon du tramway Villejuif-Juvisy jusqu’à AthisMons
• désenclavement du Val d’Yerres-Val de Seine et raccordement de ce secteur au pôle d’Orly par la réalisation d’un pont sur la
Seine réservé aux bus • développement des voies en site propre réservées aux bus (notamment Massy/Palai-
seau/Saclay/St-Quentin-en-Yvelines ; Massy/Les Ulis ; Massy/Arpajon ; Evry/Les Ulis)
• la mobilisation initiée par le Conseil général contre la dégradation du RER D a obligé la SNCF à engager un plan d’urgence et de modernisation de 55 millions d’euros. Et le Conseil général vient d’obtenir une enveloppe supplémentaire de l’Etat et de la Région de 200 million s d’euros. • la fréquentation des bus du réseau départemental a été multipliée par 2 entre 2000 et 2007, deux lignes supplémentaires ont été ouvertes en 2003 et 2005 en complément des 10 existantes • équipement unique en Europe cofinancé par le Conseil général, la gare autoroutière de Briis-sous Forges permet aux bus de s’arrêter sur l’A10 • entre 1998 et 2007, le Conseil général a investi 470 millions d’euros pour entretenir, sécuriser et moderniser les routes départementales
• création d’un service de transport à la demande, en lien avec le STIF, pour répondre à
des besoins en déplacement lorsque l’offre de transports en lignes régulières est insuffisante La gare autoroutière de Briis-sous-Forges est un équipement unique en Europe
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• création de liaisons douces adaptées aux besoins quotidiens (liaisons piétonnes et cyclistes,
itinéraires de loisirs, tels le chemin Gâtinais-Beauce et l’aqueduc de la Vanne) 19
ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
> Mettre la connaissance à la portée de tous T QUI EST DIRECTEMEN ? E RESPONSABL > L’Etat
En matière d’accès aux savoirs aussi, nous ne voulons pas d’une Essonne à plusieurs vitesses : des milliers de chercheurs de très haut niveau d’un côté, des citoyens tenus écartés des grands enjeux scientifiques et technologiques de l’autre.
OITE i AilsDR ont osé le faire
• malheur aux zones «non rentables», le gouvernement it a renoncé à assurer le dro le t tou sur it au haut déb territoire
UCHE r AnoGA us l’avons réalisé
• création de 49 Espaces Publics Numériques t Essonniens (en partenaria ès acc c ave ) ion Rég avec la libre à Internet • multiplication d’actions («Banque des Savoirs», fête de la science, «Faites de la science») pour mettre la culture scientifique et technique à la portée de tous et favoriser le débat citoyen sur les enjeux des sciences
> Ce que nous proposons • accès au haut débit partout en Essonne à travers le déploiement d’une dorsale départementale de fibre optique (et des
aides à l’implantation de bornes WIFI pour les communes non desservies par l’ASDL) • développement des actions de sensibilisation à la culture scientifique et technique en direction des jeunes collégiens en
> Aux côtés de l’enseignement supérieur et de la recherche L’Essonne accueille deux universités et de nombreux établissements d’enseignement supérieur. Et nous sommes le deuxième département de France pour la recherche publique. Une vocation universitaire et de recherche fortement encouragée par le Département.
QUI EST DIRECTEMEN T RESPONSABLE ? > L’Etat > La Région
A DROITE i ils on
t osé le faire
> Ce que nous proposons • investissement de 30 millions d’euros, d’ici 2013, pour soutenir, d'une part, l'Université d'Evry et son pôle biologie (Maison de
l'étudiant, institut de Biologie, centre de bioproduction du Généthon, centre de recherche clinique) et d'autre part, le pôle Orsay-Saclay (Institut de Mathématique, projet «exo-planètes», pôle de pharmacologie, recherche sur les logiciels)
dehors du temps scolaire • création, en lien avec la Région, d’un «chèque transport» pour faciliter les
déplacements des étudiants entre leur domicile et leur université Le synchrotron Soleil attire des chercheurs du monde entier
• un étudiant sur 2 est obl igé de se salarier pour finance r ses études, 100 000 vivent en dessous du seuil de pauvreté… mais le gouvernement se désintéresse du statut soc ial étudiant • les chercheurs obligés de descendre dans la rue pou r défendre la recherche française
A GAUCHE r no us
l’avons réalisé
• près de 20 millions d’euro s investis par le Conseil général, entre 2000 et 200 6, pour étendre ou construire des établissements d’enseignement supérieur (Institut de biologie d’Evry, Institut d’Optique, agrandissement de Supélec...)
Quand la science va vers les citoyens.
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ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
> Développer
l’économie
et
l’emploi en Essonne
A GAUCHE r no us
l’avons réalisé
T QUI EST DIRECTEMEN ? E BL SA ON RESP > Pour le RMI : le Conseil général de > Pour les politiques tat l’E : loi l’emp ment > Pour le développe : e iqu économ la Région et l’Etat
OITE i AilsDR ont osé le faire
• la politique des derniers gouvernements de droite a été inefficace économiquement : la la croissance française est à traîne • plus de 2000 salariés frappés par des plans sociaux en Essonne • le gouvernement a «économisé» 35 millions d’euros sur le montant des allocations dues aux RMIstes en Essonne, une défaillance compensée par le Conseil général
Les efforts du Département ont permis de relancer la dynamique économique de l’Essonne et de rendre attractif notre territoire. L’Essonne concentre aujourd’hui des entreprises de haute technologie, des laboratoires d’importance mondiale. Elle mène aussi une politique innovante d’insertion dans l’emploi. Résultat, l’Essonne a le plus faible taux de chômage de l’Ile-de-France (5,6%).
> Ce que nous proposons • 60 millions d’euros d’investissement dans la recherche et l’innovation pour créer en
Essonne un environnement favorable au développement économique et à l’emploi • un plan essonnien «5 000 emplois dans les services à la personne» • amélioration de la desserte des zones économiques (barreau sud de l’aéroport d’Orly,
accès de la zone d’activités d’Etampes…) et aides à la viabilisation des terrains • soutien à la création d’entreprises en
agrandissant le réseau des structures d’aide et d’appui aux créateurs d’entreprises • accompagnement aux projets portés par les élus du Plateau de Saclay, pour aménager ce
territoire autour d’un campus, à forte visibilité internationale, dédié à la recherche et à l’innovation technologique, et d’un pôle d’habitat respectueux de l’environnement naturel du plateau
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Les secteurs de pointe jouent un rôle indispensable dans le dynamisme économique de l’Essonne
• lancement dès 2008 d’un plan unique en France contre la pauvreté et pour l’insertion, action simultanée sur l’emploi des
jeunes, la mobilité, le logement, la garde des enfants, l’accompagnement dans l’emploi
• le Conseil général est un des tout premiers financeurs du Génopole d’Évry depuis sa création en 1998. Il accueille aujourd’hui 62 start-up de biotechnologie, 23 laboratoires de recherche et 2000 emplois salariés. C’est au Génopole que s’invente aujourd’hui la médecine du futur • deux pôles de compétitivi té d’envergure mondiale implantés en Essonne (Medicen et System@tic) • soutien aux projets de développement économiqu e créateurs d’emplois en Essonne • en 2007, l’Essonne a con nu la plus forte baisse du nombre d’allocataires du RMI de tous les départements de la région parisienne : c’est le résulta t du suivi individualisé mis en place par la majorité de gauche avec le recruteme nt de 50 conseillers d’insertion • 945 contrats d’insertion dans l’emploi financés par le Conseil général • création d’une école de la deuxième chance (accompagnement personnalisé vers l’emploi pour des jeunes en échec durable)
• renforcement de l’accompagnement individualisé des allocataires du RMI • politique de soutien aux actions d’insertion et lancement d’un projet exemplaire :
faire de la protection du Domaine de Méréville un grand chantier d’insertion départemental
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ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
A GAUCHE r no us
l’avons réalisé
> Priorité au T QUI EST DIRECTEMEN ? E RESPONSABL s! > C’est l’affaire de tou
OITE i AilsDR ont osé le faire
• avec son projet de Grand t Paris, le gouvernement veu 93 du 92, du is, Par de e fair et du 94 le «cœur utile» de la Région et transforme au l’Essonne en zone dortoir détriment de notre qualité de vie et de nos espaces naturels • sur l’environnement : beaucoup de bruit pour pas grand-chose
• un Agenda 21 départeme ntal élaboré en étroite collaboration avec les Essonniens, qui en suivent l’application au travers de l’Observatoire participatif des engagements, il recens e 120 préconisations pour le développement durable, le logement, la solidarité, les transports, la citoyenneté… Au 31 décembre 2007, 90 % de ces engagements avaient été réalisés. • 532 hectares d’espaces naturels sensibles acquis depuis 1998 pour protéger la faune et la flore essonniennes sont ouverts au public, notamment grâce à la création d’itinéraires de randonnée A Palaiseau, les nouveaux quartiers font le choix du développement durable • la Haute Qualité Environnementale dans • le label HQE (Haute Qualité Environnementale) nos bâtiments, des clauses sera exigé pour tous les bâtiments construits ou sociales dans nos travaux , financés par le Conseil général. Ces normes du papier recyclé dans nos imp permettent de réduire la consommation d'énergie, rimantes, du GPL dans nos véhicules, des menus de recycler les eaux de pluie, d'utiliser des Bio dans nos cantines, de matériaux respectueux de l'environnement... l’équitable dans notre café et de la participation • aménagement de nouvelles circulations citoyenne dans tous nos processus décisionnels douces : 25 km de berges de la Seine pour • un plan d’actions piétons et VTT, pistes cyclables notamment vers volontaires pour la réduction les gares et les transports collectifs des déchets à la source. Son objectif est de • soutien aux projets innovants : recycleries, dépasser les objectifs nationaux : moins 40 kg de ressourceries, centres de récupération et de déchets ménagers résiduels valorisation, installations de géothermie et de par an et par habitant d’ic i production d’énergie renouvelables dans le cadre 2010, et moins 90 kg d’ici d’appels à projets départementaux 2015 et la mise en œuvre d’actions pédagogiques • 12 déchetteries • élaboration d’indicateurs de supplémentaires en cinq développement durable sur la plateans dont une mobile pour forme aéroportuaire d’Orly, en concertation que chaque Essonnien avec les associations dispose d’une déchetterie à moins de 15 minutes de che z lui • attribution rapide des aides à
développement durable
L’Essonne a été primée pour son engagement «précoce, avant-gardiste et original» en faveur du développement durable (Marianne d’Or 2007, Rubans du développement durable 2006, label “Agenda 21 local” du ministère de l’Ecologie). Mais il faut poursuivre et faire davantage. Car la loi du marché et le laisser-faire libéral conduisent au lent grignotage de la région parisienne par une urbanisation anarchique et mal maîtrisée.
> Ce que nous proposons • plan climat départemental prévoyant notam-
ment l’équipement exclusif du Conseil général en véhicules hybrides, des aides départementales pour l’isolation des bâtiments, le soutien au développement des écofilières…
• poursuite de la démarche de concertation des Essonniens autour de l’Agenda 21 départemental et lancement d’une nouvelle étape encore plus ambitieuse avec tous
les acteurs départementaux
l’insonorisation pour les riverains d’Orly L’opération “Essonne propre” contribue à l’éducation à l’environnement
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après le doublement des taxes payées par les compagnies aériennes 25
ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po T QUI EST DIRECTEMEN ? E RESPONSABL > Les communes > L’État
OITE i AilsDR ont osé le faire • 30 000 intermittents du spectacle précarisés • baisse des aides à la restauration des monuments historiques et au patrimoine
>
La culture, partout et pour tous
Avec des équipements de grande qualité, des créateurs sur tout le territoire, des habitants avides de culture, notre département est riche en potentialités culturelles. Encore faut-il les encourager avec volontarisme.
>
Sport pour tous et excellence pour chacun
Avec près de 320 000 licenciés, L’Essonne figure parmi les départements les plus sportifs de France. Et compte de nombreux champions de France, européens et mondiaux.
> Ce que nous proposons • une maison départementale des sports, lieu
central de formation, perfectionnement, santé et ressources pour la vie associative
UCHE r AnoGA us l’avons réalisé
• budget de la culture en Essonne doublé depuis 1998 • l’Essonne compte un des plus importants réseaux de salles d’art et d’essai en France. Leur fréquentation (1 million de spectateurs) a augmenté de 14% depuis 2001 • ouverture au public du Domaine départemental de Chamarande, 7j / 7 (200 000 visiteurs et 10 000 élèves reçus gratuitement chaque année) nt • participation au financeme de 14 nouvelles 2 médiathèques depuis 200 la • aide à la sauvegarde et à restauration de patrimoines remarquables : maisonatelier du peintre Foujita à Villiers-le-Bâcle, Maison Caillebotte à Yerres, église Saint-Sulpice-de-Favières, Maison Cocteau à Milly-la Forêt, château de Dourdan…
• une régie mutualisée de bus pour les associations sportives scolaires et fédérales • installation de défibrillateurs cardiaques
dans tous les équipements sportifs essonniens pour sauver des vies en cas d’attaques cardiaques Grâce au Conseil général, le Plan à Ris-Orangis va connaître une nouvelle jeunesse
> Ce que nous proposons
• un plan de pratiques sportives pour les seniors en lien avec les maisons de retraite et les
associations • un programme d’éducation nutritionnelle
• de nouveaux équipements départementaux pour compléter l’aménagement culturel du territoire : équipement dédié aux
musiques actuelles et aux pratiques numériques à Ris-Orangis (le «Plan 2»), nouveau musée de la photo à Bièvres, jardin pittoresque de Méréville • l’art et les artistes au plus près des populations : plan d’éducation artistique pour
les collégiens, renforcement de la présence des artistes dans tous les lieux de vie
A DROITE i ils on
t osé le faire
• les élus de droite ont refu sé de voter les mesures en faveur du sport en Essonn e
A GAUCHE r no us
l’avons réalisé
• haut niveau : soutien à 203 athlètes et 57 clubs (+96% depuis 2001) • sport pour tous : 1 000 clubs soutenus par le Conseil général, 60 000 licenciés supplémentaires en 5 ans, 40 000 élèves soutenus par le département pour un sport citoyen et éducatif à l’Ecole • création du Pôle départemental de médecine du sport à Marcoussis, • 317 équipements nouvea ux ou rénovés grâce au soutien du Conseil général auprès de 119 communes (dont 27 piscines réhabilitées et 6 construites, 2 patinoires réhabilitées)
dans les collèges contre la sédentarité et l’obésité
Le Conseil général appuie le sport éducatif à l’école
QUI EST DIRECTEMEN T RESPONSABLE ? > L’Etat > Les collectivités loc ales > Les fédérations sp ortives
• soutien à la restauration et à l’animation des parcs et jardins remarquables
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ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
> Le Département en pointe pour
la sécurité routière
i ils ont osé le faire A DROITE
é • le gouvernement a transfér aux Conseils généraux des routes nationales is dangereuses et en mauva état (RN 20) dont il avait la r responsabilité sans affecte ts les moyens correspondan
UCHE r AnoGA us l’avons réalisé
Le Département agit pour diminuer le nombre d’accidents sur les routes départementales grâce à des aménagements routiers adaptés ainsi qu’à un travail de sensibilisation et d’éducation des conducteurs.
> Ce que nous proposons
pompiers
Savez-vous que le service départemental des pompiers relève du Conseil général ? Equipements perfectionnés, financement départemental à 100% : l’Essonne est aussi en pointe dans ce domaine.
L’hyper moderne Centre départemental des appels d’urgence (1518) à Corbeil-Essonnes a ouvert ses portes en 2006
• poursuivre la réorientation de la politique routière dans un sens favorable à la sécurité (transports en commun, travaux de
départementales des > L’Etat a la charge grandes s de et tes ou tor au les na tio routes na
A DROITE i ils on
t osé le faire
• Sarkozy a annoncé une augmentation des primes des pompiers… mais l’Etat n’a pas versé un sou pour honorer cette promesse
A GAUCHE r no us
l’avons réalisé
voirie, circulations douces)
• résorption des «points noirs» sur les routes de • suppression des passages à niveau notre département : de dangereux (Mennecy...) nel tun et n iatio dév Gometz-la-Ville, réhabilitation du pont de • travaux de déviation (Maisse, Saint-Chéron, l'Hêtre sur la Juine à Itteville, Dourdan, Z.I. d’Étampes) dy, Lar Bouray-sur-Juine/ à suppression du passage niveau de Ris-Orangis, déviation de Guibeville, route des carrières à Villejust, carrefour Gutenberg à Palaiseau/Champlan/ Villebon-sur-Yvette, suppression du passage à niveau 36 à Saint-Chéron, déviation de Champlan, doublement de la RD 19 (travaux en cours), Le passage à niveau dangereux de Saint-Chéron réaménagement urbain de n’est plus qu’un mauvais souvenir la RD 948 à Moigny-sur-Ecole T EN QUI EST DIRECTEM • financement des RESPONSABLE ? s ent aménagem de sécurité aux est en abords des > Le Conseil général tes rou s collèges charge de
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> Avec les
> Ce que nous proposons • continuer notre soutien à 100% au service départemental des pompiers ce qui
représente une économie de 40€ par habitant et par an sur les impôts communaux • la modernisation permanente des moyens
d’intervention des pompiers du service de secours
• financé dans sa totalité par le Conseil général, le nouveau Centre départemental des appels d’urgence est le plus grand de France. Il permet aux sapeurs-pompiers et aux médecins du Samu d’analyser ensemble et en temps réel les appels reçus, et donc de décider très rapidement des moyens à mettre en œuvre • les communes financent en moyenne 50% du service départemental des pompier s (SDIS). Mais en Essonne, le Conseil général finance la totalité du fonctionnement du SDIS. Les communes réalisent ainsi une économ ie de 44 millions d’euros par an • depuis 1999, le budget consacré par le Conseil général aux pompiers a plu s que doublé
QUI EST DIRECTEMEN T RESPONSABLE ? > Le Conseil général
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ur l’Essonne Notre projet 2008-2014 po
>
Les associations : un engagement irremplaçable
OITE i AilsDR ont osé le faire
• suppression des emplois r jeunes qui travaillaient pou s le compte des association
UCHE r AnoGA us l’avons réalisé
• plus de 7 000 dirigeants associatifs formés avec l’aide du Conseil général • 11 sites essonniens accueillent des r permanences conseils pou les associations, complétées par la borne ct téléphone - conseil en dire
L’Essonne compte plus de 20 000 associations qui permettent à tous de s’impliquer dans la vie de notre département. L’Essonne solidaire et volontaire a besoin de cette énergie. C’est pourquoi nous encouragerons le développement de l’engagement associatif.
Mise au point
STOP AUX MENSONGES ! Dans une campagne électorale, il est légitime de défendre ses idées et de critiquer celles de son adversaire. Mais il est inacceptable de mentir. Car mentir c’est chercher à tromper les électeurs. Hélas ! les documents de campagne distribués par la droite aux Essonniens accumulent les mensonges comme le montrent, preuves à l’appui, ces sept exemples.
LES MENSONGES > Ce que nous proposons
1
• soutien aux communes qui créeront des Maisons des associations
LA DROITE DIT : «LA GAUCHE N’A PAS RÉALISÉ LE TRAMWAY VILLEJUIF-JUVISY»
Et pour cause ! L’État, après avoir bloqué le dossier, s’est retiré du financement des tramways en Essonne. Il préfère réaliser la couverture de l’avenue Charles de Gaulle à Neuilly.
• création d’un Prix du talent associatif
récompensant l’initiative d’un jeune bénévole qui aura créé une action innovante et utile
LA VÉRITÉ
le Monde, 22 sept. 2007
• encouragement à la prise de responsabilités associatives : nouvelles formations dont certaines
par téléconférence, permanence administrative sur Internet
2
AGIR POUR UN AUTRE MONDE Le Conseil général soutient des projets de coopération et de solidarité internationale dans plusieurs régions du Monde. Il peut s’agir d’actions humanitaires d’urgence ou de projets de long terme au service du développement de pays du Sud. Le Conseil général a notamment créé en 2003 un centre de ressources pour aider les associations actives dans la solidarité internationale.
LA DROITE DIT : «NOUS METTRONS EN PLACE UNE PLATEFORME DÉPARTEMENTALE DE COVOITURAGE SUR INTERNET»
Mise en place par le Conseil général, elle existe déjà ! Comment les élus de droite peuvent-ils l’ignorer ?
3
LA DROITE DIT : «LA GAUCHE REFUSE D’OUVRIR LA CARTE JEUNE AU PAIEMENT DE L’ADHÉSION À UNE ASSOCIATION SPORTIVE»
C’est un mensonge ! Les possesseurs de la Carte jeune peuvent le vérifier eux-mêmes.
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www.covoiturage.essonne.fr
“Les jeunes Essonniens pourront utiliser tout ou partie du chéquier pour régler leur licence sportive” (extrait du document Carte jeune)
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Faites la différence
LES MENSONGES
LA VÉRITÉ “Au total ce sont 73 établissements sur les 100 que comptera notre département en septembre prochain qui auront bénéficié d’une construction ou d’une rénovation”
4
Ridicule ! La gauche au Conseil général a construit 9 collèges et en a rénové 73… sur les 99 que compte le département. La gauche a donc rénové 75% de tous les collèges essonniens. Les élus de droite y sont les bienvenus pour un rattrapage en arithmétique !
(délibération votée à l’unanimité des conseillers généraux le 23 oct. 2007)
5
6
7
Le Parisien, 6 oct. 2007
3 bonnes raisons de renforcer la gauche en Essonne Les 9 et 16 mars prochain, votre vote engagera l’avenir de l’Essonne.
1 LA DROITE DIT : «L’ESSONNE EST LA LANTERNE ROUGE POUR L’ACCUEIL DES BÉBÉS»
LA DROITE DIT : «LA GAUCHE REFUSE LE CONVENTIONNEMENT DE L’AIDE SOCIALE POUR LES MAISONS DE RETRAITE»
Pour la solidarité et le service public La gauche a changé l’Essonne. L’aide aux communes a été multipliée par trois, l’ouverture de places dans les établissements pour personnes handicapées par cinq, 9 collèges ont été construits et 73 réhabilités… l’Allocation pour personnes âgées est 20% supérieure à la moyenne nationale… Nous avons mis la volonté politique au service de l’Essonne solidaire. Notre nouveau projet permettra d’aller plus loin encore.
Enorme mensonge ! Les derniers chiffres officiels publiés par le ministère de la Santé classent l’Essonne numéro 1.
Le Parisien, 27 nov. 2007
Schéma départemental en faveur des personnes âgées
LA DROITE DIT : «LA GAUCHE N’A PAS RÉNOVÉ ET CONSTRUIT LA MOITIÉ DES COLLÈGES QU’ELLE AVAIT PROMIS»
UN VOTE DÉPARTEMENTAL
2
Pour préparer l’avenir La gauche veut investir dans l’avenir, aménager notre territoire en construisant un développement durable. Les élus de l’opposition de droite estiment qu’il «est temps de faire une pause».
Encore faux ! La droite a elle-même voté notre schéma pour les personnes âgées qui dénombre 1 550 places conventionnées à l’aide sociale en Essonne.
Mais ne pas construire de logements de qualité, respectant l’environnement, c’est la certitude d’une urbanisation sauvage qui ne respectera ni les espaces naturels ni la qualité de vie. Une pause dans les investissements de transports, c’est l’assurance d’un engorgement automobile générateur de stress et de pollution et d’une nouvelle dégradation des transports publics. Le gel des politiques en faveur de l’égalité, c’est la garantie d’un développement de l’Essonne à plusieurs vitesses, zones chic d’un côté et quartiers chocs de l’autre.
LA DROITE DIT : «NOUS DÉVELOPPERONS DES MAISONS D’ACCUEIL ALZHEIMER»
Droite laisser-faire ou gauche volontaire : à vous de choisir.
Merci, c’est fait ! Dans chaque nouvelle maison de retraite construite en Essonne, une unité Alzheimer est créée : nous l’avons rendue obligatoire !
3
Parce que la gauche au Conseil général dit ce qu’elle fait et fait ce qu’elle dit Nous ne prenons pas d’engagements vagues. Nous faisons des propositions concrètes, chiffrées, datées. Nous agirons demain pour les mettre en œuvre et défendrons en toute indépendance les intérêts des Essonniens chaque fois qu’ils seront menacés par une décision injuste du gouvernement.
La liste des mensonges de la droite continue sur le site www.essonne-socialiste.com 32
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Faites la différence UN VOTE NATIONAL
3 bonnes raisons de sanctionner la droite au gouvernement Nicolas Sarkozy a dit lui-même que ces élections porteraient aussi sur la politique qu’il mène au plan national.
1
Pour dire stop à cette droite libérale, dure et injuste qui multiplie les remises en cause de notre modèle social et républicain : franchises médicales, attaques contre la laïcité, casse de l’éducation, menaces sur le droit du travail…
2
Pour empêcher la droite d’aggraver sa politique : souvenons-nous qu’en élisant plus de députés de gauche que prévu aux législatives de l’an dernier, nous avons obligé le gouvernement de droite à renoncer, pour l’instant, à son projet de TVA sociale.
3
Pour rétablir des contre-pouvoirs face à une droite qui cumule tous les pouvoirs (Elysée, gouvernement, Assemblée nationale, Sénat).
Sanctionnons Sarkozy sur le pouvoir d’achat ! LES PAROLES Nicolas Sarkozy avait promis qu’il serait le président du pouvoir d’achat. LES ACTES • Les 2 premières décisions de Sarkozy : 15 milliards d'euros de cadeaux fiscaux pour les ménages les plus riches et + 206% pour le salaire du président de la République • Pour tous les autres, la facture est lourde : > pas de coup de pouce pour le SMIC > augmentation des retraites en 2008 : uniquement 1,1% (moins que l'inflation) > les franchises médicales, véritable taxation des malades > augmentation du gaz : + 4% > pas de limitation de l'envolée du prix de l'essence > dès l'année prochaine, les personnes âgées à revenus modestes, jusque-là exonérées, devront payer la redevance télé (116 €)
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