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CONTACT 102 rue de Roberty, 73000 Chambéry 06 66 89 14 24 etienne.mosele@gmail.com Permis B Lien Likedin
EXPERIENCES PROFESSIONNELLES JUIN - JUILLET 2017 Stage en cabinet d’architecture Studio Arch, Boulevard de la Mer Caspienne Le Bourget-du-Lac FÉVRIER 2017
PROFIL Jeune diplômé d’architecture de 23 ans avec une spécialité en patrimoine et travail sur l’existant. Organisé et ouvert d’esprit, j’ai hâte après ces 5 ans d’études de pouvoir me confronter à la pratique professionnelle de l’architecture, et de pouvoir mettre mes compétences et mon goût du résultat au service de la qualité des projets architecturaux.
CURSUS JUILLET 2014 Bac Scientifique mention Assez Bien Lycée Louis-Armand de Chambéry (73) JUILLET 2017 Licence d’Architecture mention Bien Ecole Supérieure Nationale d’Architecture de Clermont-Ferrand (63) JANVIER 2019 Mémoire d’architecture mention Assez Bien «Les halles Rubanox de Chambéry, Le provisoire comme outil de transmission et de valorisation» Directrice d’étude : Mathilde Lavenu JUILLET 2019 Master d’architecture spécialité patrimoine mention Bien Ecole Supérieure Nationale d’Architecture de Clermont-Ferrand (63) Domaine d’étude METAPHAUR Mémoire des techniques de l’architecture du patrimoine habité urbain et rural
Stage en cabinet d’architecture ASB Architecture, Place Métropole, Chambéry JUIN 2016 Stage en cabinet d’architecture Naud-Passajon Architecte, Rue du Genevois, Chambéry JUILLET 2014 / 2015 Assistance à l’installation de matériel audio pour concerts, événements particuliers JP Prod, Rue du Bois de Candie JUILLET 2012 Stage en bureau de dessins techniques EDF, Centre d’ingénierie hydroélectique de Technolac
COMPETENCES LOGICIELS Suite Adobe
LANGUES 0
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Anglais
Autocad Sketchup Pro Blender Vray
Espagnol
Revit Qgis
CENTRES D’INTERET Dessin / Peinture Interêt particulier pour le design graphique
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PLAN 1.
PIONEER P4
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CONTINUUM P8
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LIGNES MICHELIN P16
4.
COMPOSITE P24
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PIONEER
Type de projet : Projet d’étude Année : Licence 3 Semestre : 6 Localisation : France, Le Caylar Projet : Création d’un centre d’escalade au sein de la guarrigue Se dresse au loin une forme incisive. Elle semble s’être égarée. Sa forme géométrique et sa matérialité amènent un fort contraste avec le milieu brut de son implantation, la garrigue. Rien ne borde cette émergence du paysage, une lame plantée dans le sol. La marche est le seul moyen d’approcher cet ovni, elle permet d’en découvrir, pas après pas, les différentes densités et porosités. L’accès à ce monolithe se découvre presque au pied de ce dernier, et prend la forme d’une faille, se dérobant sous les pas du marcheur. La découverte est progressive. Un autre univers, un nouvel imaginaire prend forme au cœur de ce vaisseau. Cet univers est porté par la présence d’un noyau central, irriguant et structurant le monolithe, formant ainsi un organisme, une mitochondrie, un pionnier au sein de ce paysage lunaire. Ce monolithe est un programme d’escalade de haut niveau. L’idée de monolithe va de pair avec celle de l’ascension. Le noyau est support de ce programme. C’est aussi l’artère du projet, regroupant en son sein les circulations, et bon nombres d’usages prenant place directement dans la masse. Une structure acier viens border ce noyau, et accueillir le reste des programmes, allant d’un amphithéâtre à plusieurs logements. Une résille viens former l’enveloppe du projet. Elle a pour rôle de laisser passer les vues et le vent, et de donner à ce projet une lecture monolithique, tout en ayant la possibilité d’y amener des arythmies, des variations.
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yage
Essa nte ce ve espa cation et lo
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Atelie
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Stoc
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Vestia 2
ire
Vestia 1
Hall n atio Inform
s Accè al ip c in pr
PLAN REZ-DE-CHAUSSEE
COUPE LONGITUDINALE
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COUPE TRANSVERSALE
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CONTINUUM
Type de projet : Projet d’étude Année : Master 1 Semestre : 8 Localisation : France, Brioude Projet : Redynamisation d’un quartier par l’implantation de logements, de commerces, et de nouveaux lieux de vie. Le site de projet s’insère dans un quartier du centre-ville de Brioude, presque intégralement vide. L’objectif du projet est donc, par le biais du travail avec l’existant, du renouveau programmatique, et de la composition du projet avec le quartier, de venir redynamiser celui-ci. Le premier temps passe par l’identification du bâti, à conserver ou non. Seulement deux édifices ont été déconstruits, le premier en mauvais état, sans qualités architecturales particulières, et handicapant la lecture de l’espace et son fonctionnement. Le deuxième étant une bâtisse totalement en ruine et encore une fois sans qualités architecturales. La programmation du projet, se veut multiple à l’image du quartier, et imbriquée. La galerie dessert au rez-de-chaussée un restaurant et une pépinière d’entreprise de 450m² sur trois étages. Cette pépinière intègre des espaces d’ateliers, intérieurs et extérieurs, de développement, ainsi qu’un fab-lab. Un bar à jeux prend place dans le bâti neuf. Ces programmes se veulent à la fois très spécifiques et presque inédits dans la commune pour certains, mais dans l’intention de former une globalité, un écosystème, et de voir cette place, cet espace en marge, comme un espace permettant une marge de manœuvre pour le développement de Brioude. Aux niveaux supérieur, le programme se compose presque uniquement de logements, majoritairement desservis eux aussi par la galerie. Le bâti sur la rue principale reprend la typologie parcellaire adjacente, et vient proposer des décalages, de toiture de façades, pour évoquer, la typologie spécifique de la rue avec ses retraits, ses passages, ses décalages. Un socle béton vient asseoir le bâti et marquer clairement son implantation. Sur ce socle béton, un bloc maçonné, enduit blanc prend place. Sa matérialité et son emplacement a pour but de provoquer un dialogue avec le «fortin», édifice existant en vis-a-vis direct, qui recevra le même traitement d’enduit. Avoir un rapport frontal entre ces deux matérialités. Le béton banché horizontal est la constante de ce projet, il fonctionne comme une balise, permettant l’identification claire de l’intervention et se retrouve sur toutes les entités. Au béton et à l’enduit sera associé le bois, qui sera utilisé pour les profonds tableaux des ouvertures créées, bois en essence de pin sylvestre. Ce bois viendra en saillie de cet enduit, pour appuyer l’idée de masse et souligner le gabarit de l’ouverture, issu du gabarit des ouvertures existantes. Ce projet se veut simple dans sa forme, sa compréhension et sa morphologie, car c’est en premier lieu une définition claire qu’il manque à cette place. La relation entre l’existant et l’intervention vise à ce que l’un et l’autre s’alimentent mutuellement, en terme d’espace, de formes et de matérialités, créer une résonance, sans être dans une continuité contrainte.
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PLAN MASSE
MORPHOGENESE
15 B
A'
lIVRAISON
s as r er at
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cH.fROIDE 8m²
l de e Ru
FABLAB 74m²
CUISINE 43m²
EXTENSION 51m²
sALLE 2 33m²
6m²
lOGEMENT 28m²
sALLE 1 33m²
22m²
5m²
sALLE 3 15m²
24m²
52m²
Bar a jeux 172m²
C
ep
ar
el ed Ru li ub e qu
Bar a jeux 172m²
6m²
Stockage 6m²
5m²
A
B'
PLAN REZ-DE-CHAUSSEE
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ELEVATIONS
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COUPES
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LIGNES MICHELIN
Type de projet : Projet d’étude Année : Master 2 Semestre : 9 Localisation : France, Clermont-Ferrand Projet : Requalification d’une zone industrielle et implantation d’un musée de marque : L’Aventure Michelin Ce projet s’insère sur une ancienne zone industrielle de Michelin, dans un tissu urbain très hétérogène. L’objectif du projet est de venir requalifier cette zone industrielle, la rendre à la ville, mais aussi d’y intégrer notamment un musée de marque : l’Aventure Michelin. Ce site de projet dispose d’une position très avantageuse. Il occupe en premier lieu une situation de «proue» sur la ville, et est donc très proche des principales voies de communications (autoroute, tramway, etc..). Ce site est aussi à l’interface de plusieurs zones hétérogènes, et soulève donc beaucoup d’enjeux vis-a-vis du grand urbain de Clermont-Ferrand. L’objectif de ce projet était d’opérer à une transformation de l’expérience « musée de marque » en un lieu de vie original et unique, faisant lien avec les différentes zones hétérogènes composant le tissu adjacent. Le parti pris du projet à été de conserver l’aspect clos du site, et la part de mystère l’accompagnant, tout en cherchant une lisibilité globale. Cette lisibilité a été permise dans un premier temps par des opérations sur les édifices existants, deux déconstructions de halles industrielles et la réhabilitation du reste du parc. Le second temps de cette recherche de lisibilité et de lien passe par la mise en place du projet architectural, qui se traduit par la création d’un geste fort et identifiable, la ligne. Cette ligne, en structure acier, se décompose et s’ouvre ponctuellement pour dégager des vues, des perceptions sur les nouveaux espaces publics créés, et accompagner le parcours entre les différents usages. Cette ligne a de multiples rôles. Elle permet en premier lieu de créer une circulation parallèle, en conservant le sol du site pour les usages urbains, et cette ligne, pour les usages liés à l’Aventure Michelin. Au même titre, les programmes sont différenciés en fonction du niveau. Au sol les programmes seront axés pour une utilisation urbaine quasi-quotidienne (salle de sport, bureaux, commerces) alors qu’au niveau supérieur les programmes seront davantage de l’ordre de l’innovation et du lieu unique (musée projeté, maison de la ville connectée,..) Ces programmes sont inédits à Clermont-Ferrand, ce projet s’inscrit dans une dynamique de Clermont-Ferrand capitale européenne de la culture, avec un nouveau quartier urbain basé sur la culture digitale et l’innovation technologique, une nouvelle dimension urbaine affirmée par la programmation.
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STRATEGIE URBAINE
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MAQUETTE DE DETAIL
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COMPOSITE
Type de projet : Projet d’étude Année : Master 2 Semestre : 10, Projet de fin d’études Localisation : Espagne, Saint-Jacques-de-Compostelle Projet : Mise en place d’un centre d’insertion et d’un espace événementiel sur une édifice existant : un édifice conventuel du XVIIIe siècle. L’édifice existant support du projet, est un édifice qui se compose d’une église datant du XIIe siècle, et d’un cloître majoritairement du XVIIIe siècle, mais dont une aile a été conservée du XIIe siècle. De grosses opérations ont eu lieu dans les années 1950 sur cet édifice, afin de le transformer en école, détruisant presque intégralement l’intérieur du bâtiment conventuel, ne subsistant que la «coquille» du XVIIIe siècle, les façades intérieures et extérieures, et une partie de la charpente. Partant de ce constat, le positionnement du projet vise à valoriser les dernières parties de l’édifice disposant d’une valeur historique et de rareté, les façades XVIIIe. De plus, cet édifice est un représentant important du style architectural « barroco compostelano », un style très localisé à Saint-Jacques-de-Compostelle. Il se caractérise par des formes géométriques simples, un contraste entre une sobriété générale et de fortes ornementations pour les éléments les plus importants, et des rapports plein/vide très spécifiques dans l’écriture des façades, notamment avec une forte présence de la masse. Le programme demandé par le projet étant bien trop imposant pour le seul édifice existant, le projet a dû se déployer également par le biais d’une extension d’environ 2000m². Le programme se compose dans ses majeures parties de salles de classe, d’un amphithéâtre, d’un restaurant, de logements, et d’espaces administratifs. Cette extension entre en contact avec l’édifice existant par le biais d’une façade qui a été altérée, et dont cette écriture barroco compostelano a été perdue avec les travaux de 1950. C’est donc le point d’entrée du projet. Ce projet vient créer une deuxième enceinte au cloître. L’extension est intégralement orientée vers l’édifice conventuelle, et ces deux entités sont mises en relation par le biais d’un important travail des sols. Tout dans ce projet est issu de l’édifice existant, qui a réellement été utilisé comme un ressort dans la conception du projet. L’ordonnancement des façades XVIIIe, le gabarit des ouvertures et leur matérialité, un granite blond très implanté à Saint-Jacques-de-Compostelle, ont permis de définir la matérialité du projet, la portée des piliers, leurs proportions, et l’écriture générale très massive des nouvelles façades. Tout comme pour l’espace public, l’objectif du projet et de mettre en lumière, souligner et valoriser la composition et la matérialité des façades existantes. Rendre lisible ce qui ne l’était pas. Au delà d’un simple rapport formel, le lien entre ces deux entités se fait également par la matérialité, et par la mise en œuvre de cette matérialité. En effet, le projet réinterprète le principe du mur composite granite/mortier de XVIIIe siècle, par l’utilisation d’un composite granite/béton. La composition de ces murs et rendu visible lors de passage de séquences majeures dans le projet, et vise à mettre en tension un même principe constructif de deux époques différentes. Au delà d’un lien purement formel, c’est la recherche d’un lien historique, presque philosophique.
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PLAN MASSE
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Sacris�e
-0.60 REUNION 70m²
REUNION 67m²
REUNION 110m²
Accès logements r+1
Cloison coulissante
-0.40
REUNION 50m²
ATELIER 20m²
CLASSE 40m²
SCENE 170m²
ATELIER 40m²
0.0
-0.18
0.0
CLASSE 65m² CLASSE 40m² AMPHITHEATRE 364 places
WORKSHOP 210m²
-0.40
WORKSHOP EXT. 320m²
-0.40
REGIE 40m²
-0.45 HALL 185m²
TERRASSE 250m²
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EXPO. MUSEE 220m²
-0.60
-0.40
-0.40
CUISINE COLLECTIVE 70m²
CAFETERIA - salle 200m² VESTIAIRE 25m²
PLAN REZ-DE-CHAUSSEE
CUISINE 90m²
STOCK. 15m²
MUSEE 280m²
HALL 50m²
30 Bacs plantés ecosédum Etancheité Panneaux contre-collés Isolant 20cm Solives 10*20cm Structure béton armé Granite Pare-vapeur
Isolant 5cm Plancher chêne
Isolant 13cm
Poutre chêne composée 40*45cm
Sol béton
DETAIL D’ASSEMBLAGE
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Parcours de l’eau Granite Traitement lisse
Granite
Traitement Rugeux
Sable de rivière Gravier Geotextile
Terrain naturel
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