Wildcraft mag

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Le Sommaire : 1 Wildcraft ( Les disciples de pleine nature ) 2 Le Sommaire (page 2) 3 Les participants du magazine (page 3) 4 Wildcraft qui es tu ? (page 5) 5 De survivre à secourir ( Le vital ) (page 8) 6 Stage de survie quel idée ? On laisse la presse répondre. (page 10) Les Dossiers : 7 ( Le minimum vital) Eau et filtration (page 11) 8 ( Détournement d'objet ) Faire un sac à dos avec un poncho quel idée ? (page 14) 9 Survie et préparation : GUIDE DE PRÉPARATION (page 18) 10 Le Buchcors.(Outil coupant) (page 27) 11 La Forge (Création) (page 28) 12 La sieste ( Systèma et bio mécanique) (page 31) 13 L'habitat H.A.d ( Autonomie) (page 34) 14 Solupa ( Histoire de vécu ) (page 36) 15 Plantes sauvages (page 37) L'équipe du mag .


Présentation de l’équipe du Wildcraft Mag :

Alexandre : (Créateur du magazine Wildcraft) Il a fait sa formation de moniteur/instructeur à l’E.V.N France/Fondateur de l’école « survie & bushcraft ». Anciennement Co gestionnaire National de l’école de vie dans la nature Moniteur/instructeur Survie, Secouriste AFPS/PSC1 – Option milieu isolé (Formé par la Protection Civile).Il est encadrant et gérant de l’Ecole de Vie dans la Nature sud de la France. Il a été animateur dans les écoles plusieurs années. Il a marché sur le chemin de St Jacques de Compostelle (en autonomie).Particularités : Il aime détourner l’utilité d’un objet pour le transformer en outil de survie. Erwann : (Soutient le projet Wildcraft) Fondateur de l’Ecole de Vie dans la Nature. Responsable opérationnel international des stages école de vie dans la nature Moniteur survie, Instructeur survie, assistant sanitaire. Ancien sauveteur en mer. Secouriste professionnel à la Protection Civile (PSE2 confirmé).Diplômé d’état pour la sécurité publique (BAC professionnel Sécurité Publique).Animateur BAFA. Spécialiste dans la vie sauvage et naturelle en autonomie tous environnements : Forestier, Montagnard, Campagnard, Maritime et Tropical. Adepte du barefoot (marcher pieds nus) depuis plusieurs années, il aime être en contact avec

la nature

Eric Garnier Sinclair : Fondateur A.D.R.V .Il soutient le projet wildcraft Ancien garde du corps et professionnel de la sécurité; il a commencé les arts martiaux en 1972 avec le Maitre Li Wing Chuen, élève du célèbre Sifu Liu Jin Sheng. Depuis 40 ans, il étudie plusieurs styles externes et internes. Il fonde la Bas Rutten Academy en 1996 qui seront les bases de l’actuel MMA. Instructeur de boxe chinoise & Qin Na Fa, instructeur de pancrase 2éme degré (Japon, Bas Rutten and Masami Osaki), professeur de Taiji Qi gong, il prépare son diplôme d’instructeur Senior systéma avec le Lieutenant Colonel Maksimtsov. Il étudie également la biomécanique, la synergologie, la méditation basée sur la technologie audio et la psycho énergétique. Il enseigne aux jeunes recrues (polices, armée) en France, Bénélux, Espagne …). Eric a également enseigné la géobiologie. Il vient d’achever 3 thèses professionnelles sur l’art de combat, la santé, la spiritualité. (2000 pages). Il estentré dans le dictionnaire des arts martiaux en 1993.


Brice (Forgerons) il soutient le projet Wildcraft né au pied du Massif du Vercors (près de Grenoble) il a découvert dès le plus jeune âge la randonnée et la vie en pleine nature. Bricoleur et autodidacte c’est tout naturellement, il y a quelques années, qu’il a commencé à forger son premier couteau afin d’avoir un outil vraiment adapté à la pratique du Bushcraft et du s’est mis plus tard au Wildcraft afin d’élargir c’est connaissances. Aujourd’hui c’est avec passion qu’il forge des outils adaptés à leurs utilisateurs.

BERGER Denis : il soutient le projet widcraft éducateur nature diplômé BPJEPS, maître composteur réseau Jean Pain depuis plus de 15 ans, . Autres formations : Formation en bâtiment bioclimatique en Permaculture, à la reconnaissance des plantes sauvages et comestibles, Secouriste PCS1. Mon objectif est de mettre en place des systèmes simples, efficaces et surtout quasi gratuits. Je récupère, recycle et n'achète quasi rien.

Dominique : Secouriste à la Protection Civile, Pompier volontaire. Ses compétences : Moniteur Premiers Secours PAE3, Instructeur PAE2, Moniteur PAE1, Formateur SST, Brevet National Instructeur Secourisme. Membre du C.M.S (Corps Mondial de Secours)


Le Wildcraft : artisanat sauvage

Le Wildcraft tel qu’on le connaît aujourd’hui a été introduit en 2008 par l’équipe de l’Ecole de Vie dans la Nature : Erwann HERY et Jérôme DUCHEMIN .Alexandre Gossiome,Romual Bourbier, Gildas Ledan,Romain Corda...

. Les techniques qui gravitent autour de ce terme ont été mises en place depuis 2008 sur les stages de vie en pleine nature bien souvent sollicitée par les médias (TF1 - France 2 - France 3 France 5 - M6 - RTBF - Metro - Ouest France –La Montagne- Le Penthièvre - Différents magazines tel que commando magazine), l’EVN (Ecole de Vie dans la Nature) se rapproche le plus possible de la vie en autonomie et en autarcie en pleine nature : De la Forêt tempérée, à la montagne en passant par les milieux arides, zone maritime, environnement glaciaire ou tropical…

Le but de ces techniques étant de vivre en autonomie et autarcie complète en utilisant simplement ce que la nature nous offre.

Ce terme s’approche du Bushcraft, mais en reste un simple cousin, car toutes les techniques abordées dans le Wildcraft le sont en visant une autonomie : Tel que la construction de mobilier en bois, techniques primitives en tout genre exemple la construction de four en terre ou enterré, la forge en pleine forêt, les techniques de cuisson et de


conservation des aliments, élevage d’animaux en pleine forêt…Ne sont que des exemples de ce qu’est le Wildcraft. Ce terme rejoint les termes Bushcraft, Froissartage. Ces techniques de vie avec la nature ne sont pas aussi anciennes que ce qu'on pourrait croire, certaine datent de moins de 300 ans sur l’évolution de l’homme, cela représente bien peu de choses.

Étymologie Le terme Wildcraft est la fusion de deux mots venant de la langue anglaise et est composé des mots wild et craft. Le mot Wild, peut se traduire littéralement par "sauvage" Le mot Craft est un terme générique qui renvoie aux notions de métier ou de savoir-faire et donc d’artisanat. La traduction littérale donnerait : L’artisanat sauvage. Pour donner un sens plus français, le Wildcraft serait l’art de vivre en autonomie en pleine nature.

Les Techniques Dans la compréhension du terme la plus rigoureuse, les techniques se passent complètement des outils modernes électriques, pour se fonder uniquement sur ce que propose notre environnement naturel. Pour le travail du sol et la gestion de la biomasse. Les techniques de Wildcraft incluent :

•Les différentes techniques pour faire du feu sans matériel moderne. •Les différentes façons de construire un habitat durable et évolutif. •La gestion, le stockage et l’utilisation des déchets organiques, nourriture et excréments (humains ou animaux) •La gestion complète de l’eau (Récupération et traitement naturel). •L'utilisation d’outils coupants comme les hachettes, les couteaux, les couteaux croches, planes, tarières et perceuses manuelles. •Le froissartage (fabrication de mobilier en bois). •La chasse et l’élevage en complément du piégeage. •L’organisation permacole, la gestion et le savoir botanique sur les plantes sauvages. •L’utilisation de matériaux naturels, bois, fibre naturelle et autres…


Pour la partie plus contemporaine de cette discipline ce qui nous permet d’accéder à l’autonomie complète. Les connaissances des techniques « dite de survie » -le Bush-craft- Le détournements d’objetLes techniques de protection personnelle- Le secourisme et les soins de premières urgences font aussi partie intégrante de cette définition d’artisanat sauvage. (Beaucoup de techniques sont communes avec le Bush-craft et s’en rapprochent, d’où la définition similaire)

Conclusion [ Le Wildcraft est un art de vivre, une philosophie de vie, utilisant de véritable connaissance approfondie ce qui en fais un Art non un mouvement commercial.


DE SURVIVRE A SECOURIR Les situations de survies aussi multiples soient-elles peuvent le cas échéant être sources de désagréments impliquant l’intégrité physique de vous-même ou d’un compagnon. Que ce soit en situation de survie avérée ou simplement en randonnée… Au delà de la survie pure, enseignée à l’EVN, qui recouvre l’élaboration du gîte et du couvert et diverses techniques de survie, il est proposé des stages qui incluent les notions de bases du secourisme. Ces techniques recouvrent l’intégralité du PSC1 (Premiers Secours Civiques de 1 niveau) avec délivrance du diplôme. De plus, l’EVN forme à des techniques de secourisme en milieu naturel et en situation dégradée avec peu ou prou de matériel. Ces techniques sont issues pour la plupart de différents référentiels nationaux et adaptées au cadre d’emploi. Outre les techniques du PSC1 qui répond à un cahier des charges strict, la formation comporte , à titre d’exemples : -immobilisation de membre à l’aide d’écharpes -élaboration d’attelles de fortunes -conception de brancards -techniques de franchissement d’obstacles divers -conception de trousse de secours -conduite à tenir face à des piqures / morsures d’organismes venimeux -conduites à tenir lors des atteintes liées aux circonstances exceptionnelles Ces connaissances sont dispensées par un instructeur National de secourisme, chef de groupe au Corps Mondial de Secours, sapeur pompier et membre des différentes associations de secourisme.

Cette innovation de l’EVN a pour objectif de vous permettre d’appréhender toutes situations qui pourraient se révéler potentiellement délétères en l’absence de connaissances simples mais indispensables. Certaines techniques sont dispensées en salle du fait de la nécessité d’utiliser du matériel pédagogique (vidéo projecteur, mannequins etc.)

BACHELET DOMINIQUE


Eau et Filtration Nous savons tous que le corps est constitué en grande partie d’eau, 65% pour être précis, soit environs 42 litres d’eau (pour un adulte de 70kg) qu’il nous est impossible de stocker. En effet, notre organisme élimine constamment l’eau chargée de toxines par l’urine, la transpiration et la respiration. Nous comprenons donc aisément qu’il est nécessaire de compenser les pertes par un apport quotidien d’eau potable. En conditions de survie, le manque d’eau est une préoccupation qui doit primer sur le manque de nourriture. En effet, nous ne pouvons pas survivre trois jours sans eau (dans des conditions climatiques tempérées) alors que nous pouvons tenir plus de trois semaines sans nourriture si l’apport hydrique est assuré. (Voir « La règle des trois » de Ron HOOD) Nous allons donc approfondir trois points essentiels dans ce chapitre sur l’eau : dans un premier temps la prévention de la déshydratation, dans un second temps les procédés de récupération d’eau et enfin l’obtention d’une eau potable. La prévention de la déshydratation Conserver au mieux l’eau de notre corps est essentiel lorsque nous nous trouvons dans des conditions extérieures, sans eau potable « à portée de main ». En effet, l’eau des rivières n’est pas une eau dite potable (sans risque sanitaire) sauf si vous vous trouvez au dessus de 2800m d’altitude ! Mais nous y reviendrons dans la troisième partie de notre développement. Lorsque nous nous trouvons en zone tempérée, sans activité physique particulière, deux litres d’eau par jour, espacés dans le temps (réduction de la transpiration) suffisent à satisfaire notre besoin journalier. Dans des conditions de survie, deux litres par jours peuvent être denrée rare, de ce fait nous devons appliquer quelques règles afin de minimiser la perte d’eau, occasionnée par la marche, le poids du sac, la transpiration etc. - Se couvrir la peau (bras, nuque, tête) afin que le soleil ne sèche pas notre peau. De plus, sous un vêtement, la sueur absorbée par les tissus restera contre la peau et pourra même générer une agréable fraicheur avec le vent. - Limiter la perte due à la respiration buccale, préférez respirer par le nez et surtout, évitez de parler trop !


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SAMEDI 6 OCTOBRE 2012 LA MONTAGNE

J'ai testé pour vous INSOLITE■ Deux jours et une nuit avec quatre stagiaires apprenant à se sortir des situations délicates

Survivre à la vie en pleine nature Rester vigilant, faire du feu, construire un abri, potabiliser l’eau, se nourrir avec les plantes… on apprend tout ça en stage de survie. Et aussi bien d’autres choses indispensables pour sauver sa peau. Et celle des autres.

■ LES BASES

bane ne se mettra pas sur le chien, mais la fraîcheur de la nuit ne nous incitera pas à faire de doux rêves RÈGLE DES 3 d a n sn o sd r a p sd o r é sEn survie, on est en dan­ (deux couvertures de sur­ g e ra u b o u td e 3 s e c vie). Une lampée de tisane d’inattention, 3 min sans de mûres plus tard (il n’y a oxygène, 3 h sans abr i, pas de caféiers dans les fo­ 3 jours sans eau,3 semai­ 3 mois rêts puydômoises), c’est nes sans manger et ■ l’heure de filer à la rivière sans contact social. pour se laver et ramener de l’eau. On crapahute à 5C travers bois, profitant de Cinq Choses à toujours cette sortie pour faire une avoir sur soi quand on nouvelle cueillette.En te­ part : Contenant (gamelle nue d’Ève dans la rivière et gourde), Couteau, glacée,il faudra inspecter Corde, Couverture, chaque cm² de peau à la Combustible (pierre à feu). recherche d’une plaie qui s’infecte, d’une tique à en­ lever… Ce sera finalement TROUSSE piqûres de fourmis (heu­ En plus des5 C , une paille reusement pas tueuses !), filtrante et des pastilles bleus, et égratignures de pour purifier l’eau.■ guerre.

Elsa Charnay

elsa.charnay@centrefrance.com

C

omme dirait Christi­ na dans Koh­Lanta, « Pas de couette,pas de matelas, c’est dépay­ sant ! » Les Combrailles, ce n’est pas la Nouvelle­Calé­ donie, mais l’aventure est au bout de la route…

Des secondes qui peuvent être fatales

Quatre stagiaires corré­ ziens, parisiens… inscrits pour un stage de survie de quatre jours m’attendent EVN en forêt. Patricia, 40 ans, S’hydrater veut savoir réagir en cas La branche auvergnate de pour mieux endurer de nécessité. Jean­Christo­ MISE EN SITUATION. En quatre jours, Patricia, Jean-Christophe, Christophe et Jean-Paul auront acl’École de vie dans la na­ Le plus dur reste à venir. quis les bases de la survie en milieu naturel. Et auraient eu « envie d’en savoir plus encore ! » phe, 28 ans,passionné de Le lendemain,mes cama­ ture existe à Menat depuis musiques électroniques, rades, livrés (presque) à décembre 2011, à l’initiati­ ve d’Alexandre Gossiome : se dit que ce n’est pas bête eux­mêmes avec le mini­ d ’ a p p r e n d r e à s e d él ­i c o.L’ e a u e lta f a r i n ede quoi boire (après pota­ f a t a l e»s , m e r e c a d r emum et sans duvet, de­ « Très loin des stages com­ mando,cette école (*) for­ constituant la base de no­ bilisation) et se laver. De Alexandre. brouiller. Christophe,qua­ me à la vie en pleine natu­ Le jour décline. I l est vront appliquer ce qu’ils dra voyageantbeaucoup, tre alimentation,nous de­ quoi manger. Hummmm, ont appris pour survivre : r e e n a u t o n o m i ee t vit avec une aventurière à vons trouver des plantes, des orties. « Très riches en temps de construire l’ap­ endurer le manque d’eau, transmet des pr incipes des bourgeons… si on fer. Excellent aliment de pentis pour la nuit. « Et qui il a envie de prouver l a f a i m ,l a f a t i g u lee, applicables en situation pas le droit à la ficelle ! » difficile pour sauver des que lui aussi sait survivre ! veut l’agrémenter. Petit survie ! ». froid… Garder les idées Ouille, ça pique ! Tiens, Je partagerai avec Christo­ claires malgré le stress. vies. La nature est avec Et Jean­Paul,psychothéra­ détail, avant de tailler la nous, pas contre nous : il route, il faut apprendre à ces baies ont l’air appétis­ phe et Jean­Christophe peute de 51 ans,passe du Sans oublier de construire est important de la préser­ se repérer.Comme on ne santes… « Noooon !Elles mon lit de feuilles : le mo­ temps en forêt pour des l’abri, potabiliser l’eau… ver. Et c’est aussiune fa­ sait pas où on est,une lo­ sont toxiques. Tu les as niteur l’a dit, « la chaleur en économisant leurs ef­ çon de faire découvrir la pratiques chamaniques. touchées, interdiction de humaine, on n’a rien trou­ forts. De mon côté, je pas­ richesse de l’Auvergne aux I l f a u t f a i re d u f e u … calisation en croix façon vé de plus efficace pour sans briquet avant de pas­ armée s’impose.« Géolo­ poursuivre la cueillette se de la vie sauvage à la s t a g i a i r e s v e n u s jusqu’à ce que tu aies pu lutter contre le froid ! » vie… de sauvage.Le télé­ d’ailleurs ».■ ser à table.Pierre à feu et calisez aussi tout ce qui peut s e r v i pour r vo t re t e l a v e rl e s m a i n s» . Mes coéquipiers sont opé­ couteau en main,on grat­ phone,qu’on m’avait con­ (*) Stages de 2 à 4 jours (170 à t e j u s q u’ à o b t e des n i r sur vie », martèlent nos Oupsssss, pas de robinet… rationnels,mais on galère, fisqué, est saturé. Mes boî­ 290 € tout compris) accessibles à tous, à faire seul, en famille, entre « On touche avec les yeux terminant “l’isolation” à la t e s m a iel t a u x l e t t re s étincelles et à embraser moniteurs Alexandre et amis…Contact : 06.08.76.89.51 et et, surtout, on réfléchit. En f ro n t a l e, avant d’avoir les brindilles et les bran­ Romain : du bois pour engorgées. Un nouveau ecole.vie.nature.auver­ t r o i ssecondes droit à un cours d’orienta­ défi : survivre à ma propre gne@gmail.com w ches, sans étouffer la flam­ construire un abr i ; un s u r v i e, ; ww.ecole­vie­ me… Ça ne banque pas il­ point d’eau pour trouver d’inattention peuvent être tion sous les étoiles. La ca­ vie !■ nature.com

■ AMBIANCE À LA KOH-LANTA PRÈS DE MENAT, EN PLEIN CŒUR DES COMBRAILLES WOMAN VS WILD

MOUSSE ET SABLE POUR LA VAISSELLE

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atricia se réveille après une nuit difficilesous l’abri qu’elle a construit. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que la suivante sera encore plus dure à cause de l’absence de sac de couchage. Pour apprendre aux stagiaires à être autonomes, Alex les confrontera à une situation difficile : partir avec les “5 C” et se débrouiller par eux-mêmes…

Christophe gratte la casserole, avant de se laver un peu plus haut dans l’eau glacée : l’hygiène est fondamentale en survie. Pour se brosser les dents, il utilisera une branche de jeune noisetier…

UN POUR TOUS, TOUS POUR UN

PAS GLOP LA PLUIE

La chute de Jean­Christophe est l’occasion d’apprendre à réaliser une attelle et des béquilles avec du bois et le foulard et la serviette de ses camarades. Il faudra ensuite le porter, comme les 20 l d’eau qu’il ramenait.

ur dur pour Jean-Paul de se concentrer sur le cours concernant la purification et la stérilisation de l’eau avant de pouvoir la consommer. Comme les autres stagiaires, il est déshydraté avec des symptômes tels que fatigue, maux de tête, etc. Et affamé. Et pas question de manger avant de s’être réhydraté, car le processus de digestion est gourmand en eau ! « 2 % d’eau perdue, c’est 20 % de capacités phys i q u e se t i n t e l l e c t u e l l e en s moins », martèle Romain.

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Pdd


FILTRATION DE L'EAU - Ne pas rester en contact avec des surfaces chaudes (sable, pierre, goudron, joli spot en plein soleil). S’asseoir sur son sac permet de ne pas perdre d’eau inutilement par conduction.

- Il est fortement conseillé de ne pas trop manger si l’eau se fait rare, la digestion est un processus gourmand en eau. Les aliments « stars » à éviter : alcool, aliments gras, aliments sucrés (ça devient moins drôle !) Même en suivant ces quelques conseils, vous pouvez souffrir de déshydratation si votre apport est trop faible. Les premiers symptômes sont de la diarrhée et des vomissements. Le stade suivant s’accompagne d’une peau pâle, froide et moite, des pulsations cardiaques faibles et rapides, une respiration profonde et accélérée, une pression artérielle dangereusement basse. Afin de vous éviter les joies de la déshydratation, nous allons poursuivre avec les procédés vous permettant de récolter de l’eau. 

· Les procédés de récupération d’eau

Nous avons à notre disposition plusieurs techniques afin de récupérer de l’eau (dans le but de la filtrer et de la purifier bien évidemment) Tout d’abord il vous faut un contenant ! (Gourde, bouteille, quart, préservatif, boite de conserve etc.) - Le matin, marchez une petite heure avec votre tee-shirt ou un morceau de tissu noué autour de vos chaussures. La rosée s’imprégnera dans le tissu qu’il vous suffira d’essorer. - S’il pleut, tendez une bâche à l’aide de quatre pieux en bois (deux plus grands pour créer un dénivelé). Positionnez un contenant au sol, là où l’eau s’écoulera. - En bordure d’eau stagnante creusez un trou à un petit mètre du bord, l’eau sera clarifiée par la filtration du sol. - Pour récupérer l’eau de la condensation de la terre, commencez par creuser un trou. Mettez un contenant au fond et recouvrez d’une bâche dont le centre sera lesté d’une pierre (visez le


contenant !). Placez des pierres tout autour de la bâche afin qu’elle soit bien tendue et surtout que le vent ne l’emmène pas au loin. Au matin, vous aurez de l’eau. - Afin de puiser l’eau d’un élément solide (feuilles, boue) ou d’un liquide impropre à la consommation (eau de mer, urine) il vous suffit de mettre l’élément dans un sac plastique hermétique que vous laisserez au soleil. Placez le sac dans une pente afin qu’une poche se créée spontanément en bas. Ici coulera l’eau que vous pourrez ainsi récupérer. - Vous pouvez également récupérer de l’eau via les animaux ! En récupérant le liquide synovial se trouvant dans les articulations (genou, coude) ou l’humeur vitrée dans les yeux. Avis aux amateurs ! Une fois votre eau récoltée, vous devez absolument l’assainir, car ne vous y trompez pas, une eau claire n’est pas synonyme de potabilité.

· Obtention d’une eau potable L’eau est un milieu de vie très riche, et s’il y a vie, il y a des éléments qui peuvent aussi nuire à notre santé. En effet, elle peut véhiculer :   

des bactéries : ex : salmonelle, shigelle, légionnelle des protistes : ex : amibe des virus

Traiter l’eau que nous allons boire est donc essentiel, voici quelques solutions : - Nous avons vu tout à l’heure la récolte de l’eau de pluie, seule cette eau ci ne nécessite pas de traitement (attention tout de même à l’eau de pluie des zones industrielles et urbaine qui peut-être fortement polluée). - L’ébullition : il est ainsi possible de boire l’eau des lacs, des rivières, des flaques. Si l’eau est trouble, il peut être intéressant de la filtrer (au pire avec du tissu) mais cela n’empêche pas la propagation des éléments toxiques. Recueillir la vapeur d’eau assure par ailleurs l’obtention d’une eau pure.


- Le filtrage par le charbon de bois : pensez à récupérer du charbon de vos feux ! En effet, si vous avez à disposition une bouteille en plastique, retournez la, placez un morceau de tissu sortant du bouchon (au trois quart dedans) qui servira de compte goutte, puis disposez dans votre bouteille (en partant du fond) : du charbon, du sable fin jusqu’au plus «épais » que vous ayez, une bonne couche de sphaigne et laissez filtrer. Les différentes couches vous assurent un traitement naturel efficace. L’eau peut ressortir trouble mais elle sera potable l’ébullition est tout de même conseillée. Il existe également un aspect plus chimique de la stérilisation : - L’eau de javel : Deux gouttes pour un litre d’eau. Nous pouvons soit l’utiliser sous forme liquide, soit sous forme de pastilles javellisées que nous trouverons en pharmacie. Résulte un petit goût de chlore. - Le permanganate de potassium : quatre gouttes pour un litre d’eau. Votre eau deviendra violette mais cet effet s’estompe sous trente minutes. - Les sels d’argent : distribués sous forme de comprimés. Ils protège l’eau de la réinfection sur plusieurs mois et ont l’avantage de ne communiquer aucun goût l’eau. Notez qu’existe le principe des « pailles filtrantes » qui vous permettent de boire absolument tout ce que vous voulez (hormis les flaques de boues trop épaisses qui bouchent le filtre). Leur avantage est leur taille, leur fonctionnalité, leur rapidité d’exécution, hop la paille pas besoin de faire un feu ou d’attendre que le filtre à charbon ne s’écoule. Elles sont à jeter au bout de 50 à 90 litres d’eau consommées, faire donc attention à sa consommation surtout si on partage la paille. Avant de clore ce chapitre, il est important de spécifier que Mère Nature est généreuse. Dans un autre topique nous parlerons des plantes que nous pouvons glaner et celles qui apportent de par leur consommation une grande part d’eau ! Partir avertit est donc une bonne manière d’élever le confort en milieu naturel.

Article Erwann Héry


Faire un sac à dos avec un poncho de pluie ou un carré de tissu.

Prendre sont poncho de pluie qui est rectangulaire la plus part du temps.

Le plier en deux. Comme sur le schéma ci-dessus :

Vous obtiendrez un carré pas parfait certes Mais cela suffira. En cas de survie on fera avec ce que l’on a. Où on devra créé ce qu’il nous manque ici c’est un dos.

sac à

Si toutefois vous voulez utiliser cette méthode plus régulièrement. Je vous propose d’utiliser un carré d’environ 120 cm à 150 cm de côté et de préférence en toile Imperméable. Pourquoi ne pas recycler un vieux tarp Ça pourrait très bien faire l’affaire..

Mettre ses affaires au centre et replier un coin de votre poncho par-dessus vos affaires. .

Ensuite, faire de même avec le coin opposé en serrant bien le contenu.


Pour finir : S’allonger le dos contre votre sac à dos faire un nœud avec les 2 autres coins de votre poncho. A savoir que : Le contenu de votre sac à dos tient simplement par le fait que le dernier rabat pose contre votre dos.

Il est possible de faire la même chose en faisant reposer votre sac sur le bas de vôtre dos. (Version sac banane).

Il existe pleins d’utilités du poncho de pluie en voici quelques exemples : Voici un récupérateur d’eau de pluie. votre quart est en bas de la capuche. attention parfois les ponchos peuvent déteindre dans l’eau. (perdre de la teinture) Ne pas boire l’eau dans se cas.

Exemple d’abris de survie Avec poncho. (Temps de réalisation 5/10 minutes). En plaçant le bas de la pente face au vent vous éviterez que vôtre poncho s’envole et il vous coupera du refroidissement éolien.


Voici une alternative faite en végétaux Réalisé par un stagiaire lord d’un stage en Auvergne Il est en bois récupéré en forêt avec une couche de fougère pour mieux accrocher les feuilles. Ajouter des végétaux pardessus permet une meilleure isolation face aux intempéries. (Réalisé en 1 heure 20 environs).

Principe du simple appentis en cour de réalisation par un stagiaire (il est trop haut pour dormir dedans mais il sert juste d’abris temporaire pour être assis au coin du feu).

Il existe bien d’autres utilités et possibilités les variantes d’abris sont un calculable. On peu aussi transformer un poncho de pluie en vache à eau…Et bien sûr quant-on le porte sur soit il coupe le vent et la pluie.

La vache à eau


Vache à eau en cour de réalisation avec une couverture de survie. Capacité environ 8/10 litres. A savoir que la couverture de survie craint les accrochages. (Ronces, morceaux de bois, houx …) Attention aux égratignures d’ailleurs lors de ce stage c’est arrivé et on avait un petit trou. Le temps de remplir les filtre à eau ce n’est pas dérangeant par contre pour le stockage Oui .Vous perdriez toute votre eau pendant la nuit et le matin plus rien resté pas trop loin de la source serais judicieux). Pour faire vache à eau vous pouvez utiliser soit un carré soit un rectangle (se qui vous fera 2 poche d’eau essayé vous verrez). Vous nouer des cordelettes de part et d’autre de vôtre Poncho ou couverture de survie afin de crée des anses Faite en suffisamment et penser à en ajouté au milieu

Texte crée édité par Alexandre gossiome Et la participation de cab âne à truffe.


Survie et préparation : GUIDE DE PRÉPARATION AUX SITUATIONS D’URGENCE BY STAGE DE SURVIE

– 4 JANVIER 2014PUBLIÉ DANS : BLOG SURVIE


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GUIDE DE PREPARATION

AUX SITUATIONS D’URGENCE (Article écrit par Erwann HERY de l’EVN)

Lorsqu’une catastrophe se produit, l’attente des équipes de secours pourrait durer quelques heures ou quelques jours. Pendant cette période, il peut vous être demandé d’évacuer immédiatement votre domicile ou, à l’inverse, de rester confiné. Selon la situation, vous pouvez vous retrouver sans électricité, ni eau courante. C’est pourquoi, des mesures simples de préparation, pour vous et votre famille, vous permettront de faire à la situation et d’attendre les secours dans de meilleures conditions. 1. Connaître LES RISQUES MAJEURS DE SA RÉGION

Un risque majeur se caractérise pas : • sa faible fréquence ; • son énorme gravité (nombreuses victimes, dommages importants aux biens et à l’environnement. La plupart des risques majeurs surviennent sans prévenir et se développent à grande vitesse (ex: tremblements de terre, attentats), Par contre, certaines situations météorologiques peuvent être anticipées (ex: cyclones, canicules, inondations..), une communication d’annonces et de prévention est alors assurée par les pouvoirs publics sur les grands médias. Les risques varient selon les régions, aussi, toutes les préfectures ont un site internet ((http://www.interieur.gouv.fr/ (rubrique “Les préfectures”)) présentant les informations de prévention utiles correspondant aux risques du territoire sur lequel vous vous trouvez, dont le DDRM (Dossier Départemental des Risques Majeurs consultable dans les préfectures et sous préfectures et les mairies des communes listées dans le DDRM).


Le droit à l’information aux citoyens sur les risques naturels et technologiques majeurs est inscrit dans le Code de l’environnement (article L-125-2). Il permet à chacun de connaître les dangers auxquels il est exposé, les dommages prévisibles, les mesures préventives à adopter pour réduire sa vulnérabilité ainsi que les moyens de protection et de secours mis en œuvre par les pouvoirs publics. Il est important que chaque citoyen acquière un comportement responsable face au risque. L’information préventive contribue à construire une mémoire collective et à assurer le maintien des dispositifs collectifs d’aide et de réparation. 2) PREPARER UN PLAN D’URGENCE PERSONNALISE

La réalisation d’un plan d’urgence personnalisé est important car chaque famille a ses spécificités (mode d’habitation, lieu de travail, écoles, nombre d’enfants ou de personnes âgées, malades,…). 1°) Assurer la sécurité de votre domicile Lors d’une situation d’urgence, il est nécessaire de sécuriser son habitation. C’est pourquoi les adultes et les enfants en mesure de le faire doivent savoir couper l’alimentation en eau, en électricité et en gaz de leur domicile.

EAU Emplacement du robinet Consignes d’arrêt


Téléphone des services publics

GAZ Emplacement du robinet Consignes d’arrêt Téléphone des services publics

ELECTRICITE Emplacement du disjoncteur Consignes d’arrêt Téléphone des services publics Extincteur Utile: des schémas peuvent représenter les emplacements de l’alimentation en gaz, eau … 2°) Etablir la liste des numéros d’urgence A lister avec attention et à placer près de votre téléphone (programmer ces numéros sur vos téléphones fixes et mobiles). Numéro d’urgence européen

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Pompiers

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Police

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Commissariat le plus proche SAMU Médecin de famille EDF

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Gaz de France Service des eaux Hôpital Nécessaire : apprendre aux enfants comment composer les numéros de téléphone d’urgence et celui de la personne ressource.

3°) Établir la liste de personnes ressources à appeler en cas d’urgence Une personne ressource suffisamment éloignée géographiquement (afin qu’elle ne soit pas touchée par l’événement) doit être désignée prioritaire pour tous les membres de la famille. On y ajoute des contacts utiles selon la situation : voisins, famille, amis, compagnie d’assurance, collègues de travail, associations…. Nom Prénom Adresse

Téléphone Courriel fixe/mobile/tr avail


4°) Les scénarios d’évacuation • Si possible, prévoir 2 sorties de secours pour toutes les pièces de la maison. • Ne pas utiliser d’ascenseur si vous habitez en appartement • Prévoir des itinéraires pour quitter le quartier en cas d’évacuation obligatoire (veiller à pouvoir atteindre les sorties de ville le plus rapidement possible au Nord, au Sud, à l »Est et à l’Ouest. Les autorités vous aideront en temps réel par messages radio. 3) PLAN D’URGENCE DE QUARTIER Effectuer un exercice collectif de sortie de votre habitation au moins une fois par an. Entendez vous avec le voisinage sur les aides supplémentaires à apporter (personnes vulnérables) et préparez les covoiturages ou jumelages qui devront s’opérer en cas d’évacuation. Choisissez des lieux de rassemblement surs ou vous pourrez vous retrouvez : endroit proche de la maison si la famille s’y trouve au moment de l’évènement, sinon ailleurs si la famille est dispersée (idéalement proche des écoles ou lieu de travail). UTILE : faire des copies des documents importants (passeports, permis de conduire…). A conserver chez soi mais aussi chez la famille ou amis. PRECAUTIONS POUR LES ENFANTS : informez-vous sur les politiques d’urgence des écoles auprès des responsables de l’établissement. PERSONNES NECESSITANT DES SOINS : noter toutes les informations particulières sur votre état de santé: maladies chroniques, allergies, chirurgies, antécedents médicaux, vaccins récents, numéro de sécurité sociale… ). Lister avec votre médecin le contenu nécessaire d’un sac de réserve de médicaments et de fournitures médicales pour deux semaines avec ordonnances et documents médicaux appropriés (soins à dispenser). 4) LE SAC D’EVACUATION : L’EQUIPEMENT NECESSAIRE EN CAS D’EVACUATION Dans une situation d’urgence, les réseaux d’eau courante, d’électricité et de téléphone peuvent être coupés. Vous devez être prêt à vivre de manière autonome quelques jours avec des choses essentielles à votre domicile (confinement) ou en dehors après ordre d’évacuation.


Contenu du sac d’urgence : Prévoir à l’avance : Eau Nourriture de secours

Outils de base Lampe de poche Bougies Radio Trousse médicale de 1ers soins

Double des clés de maison et voitures 6 litres par personne en petites bouteilles Aliments consommant peu d’eau : barres énergétiques, fruits secs, conserves, petits pots pour bébé … Couteau de poche multifonction, ouvre-boîte… 2 jeux de piles de rechange ou lampe sans pile à manivelle (dynamo) Avec allumettes ou briquet Avec piles ou batteries ou radio sans pile à manivelle Bandelettes, alcool, sparadrap, paracétamol, anti diarrhéique, produits hydroalcooliques pour les mains,…. Pour éviter de les chercher et de perdre du temps


Au dernier moment : • Médicaments (traitement en cours) • Téléphone portable avec batterie chargée • argent liquide ou carte de crédit • vêtements et chaussures de rechange • papier hygiénique et affaires d’hygiène personnelle • sacs de couchage Attention à ce que le sac ne soit pas trop chargé, vous pourriez avoir à marcher avec. Placez votre sac d’urgence dans un endroit facile d’accès pour pouvoir le prendre le plus rapidement possible. Pratique : protégez dans un sac plastique les objets de valeur et les papiers importants. Nécessaire : vérifiez les dates de péremption de la nourriture et des médicaments.

Avant une situation d’urgence • Informez vous des risques de votre région (www.risques.gouv.fr) • Concevez votre plan personnel de secours (mise à jour 1 fois/an) • Préparez votre équipement de secours nécessaire en cas d’évacuation

Pendant la situation d’urgence • Ecoutez en permanence la radio (radio locale de service public) ou la télé afin d’être informé des actions de secours prises par les pouvoirs publics • Respectez strictement les consignes communiquées (évacuation du domicile ou de la zone sinistrée) • Soyez attentifs aux messages par porte-voix ou sirènes (transmis par véhicule terrestre, maritime ou aérien) • Restez à l’endroit où vous êtes jusqu’à ce que la sécurité soit assurée ou que l’on vous donne l’ordre d’évacuer les lieux • Gardez toujours près de vous votre sac d’urgence Pesez avec calme les avantages et les inconvénients, au cas où vous devriez seul envisager l’évacuation du domicile par votre famille.


Respectez l’ordre d’évacuation : • l’ordre d’évacuer est donné par les autorités uniquement lorsqu’elles ont des raisons de croire que vous êtes en danger (rester jusqu’à l’ordre d’évacuer ou jusqu’au moment où la sécurité est assurée). • Apportez avec vous votre sac d’urgence (+ médicaments avec ordonnances + papiers d’identité + téléphone portable) • Verrouillez les portes du domicile • Utilisez les voies de secours préconisées par les autorités ou les itinéraires d’évacuation préalablement repérés Respectez l’ordre de confinement : Si les responsables locaux vous conseillent de vous abriter sur place, vous devez demeurer à l’intérieur de votre domicile ou de votre lieu de travail et vous y protéger. Consignes de confinement : • Fermez et verrouillez toutes les fenêtres et les portes

• • • •

donnant sur l’extérieur. Éteignez tous les ventilateurs et systèmes de chauffage et de climatisation d’air. Allez dans une pièce située au-dessus du niveau du sol, si possible sans fenêtre. Utilisez du ruban adhésif pour calfeutrer les fentes des portes et éventuellement celle des fenêtres. Écoutez la radio ou regardez la télévision régulièrement jusqu’à ce qu’on annonce que la situation est revenue à la normale ou qu’une évacuation est nécessaire.

Après la situation d’urgence Il est nécessaire d’être conscient de tous les dommages causés, au niveau matériel, mais surtout humain, et des dangers encore existants suite aux dégâts matériels. • En cas d’évacuation, ne retournez à votre domicile que lorsque les pouvoirs publics vous en donneront la permission. • Faites appel aux services de secours ou à un professionnel pour remettre en marche l’électricité ou le gaz. • Faites-vous aider par votre médecin pour faire face aux conséquences émotionnelles et psychologiques qui peuvent survenir. Cela vaut particulièrement pour les enfants. Parler de son expérience aide à comprendre la situation et à s’inscrire dans un nouvel équilibre de vie.


Le Bush Cors Voici en Exclusivité les plans en 3D du couteaux Bush Cors. L'idée viens d' Erwann Hery et Alexandre Gossiome qui ont fait les croquis ensuite Rhinorm a crée l'image 3D et enfin Brice Forge le Couteau,l’étui est réalisé par le Corbac. Merci à tous pour cet réalisation.


La Forge La forge est une technique traditionnelle de travail du métal par déformation de la matière avec très peu de perte contrairement à l’usinage. Malgré les progrès de l’industrie le travail traditionnel de la forge est encore pratiqué aujourd'hui par (certains) couteliers, les maréchaux-ferrants ainsi que les serruriers - métalliers. La coutellerie est aujourd'hui un des artisanats ou la forge est le plus couramment utilisé et mis en valeur car elle apporte une vrai valeur ajouté au travail de l'artisan En coutellerie il existe 2 façons de fabriquer des couteaux et outils : Par enlèvement de matière (stock removal en anglais) : Cette technique de mise en forme par découpe et abrasion bien que plus rapide et demandant moins d'expérience et de savoir-faire, nécessite beaucoup plus d’outillages et de consommables que le travail à la forge. Il y a une perte de matières importante qui oblige à travailler uniquement à partir de méplat aux dimensions appropriées. Le travail en stock removal d'un couteau à aussi l’inconvénient de sectionner les fibres de l'acier lors de la découpe et de l'abrasion. La qualité de coupe sera moins bonne qu'un couteau forgé. Couteau forgé : Contrairement au stock removal, il n'y a que peu de perte de matières, et l'on peut forger à partir de sections d'aciers de tailles et de formes différentes. Ce qui permet d'utiliser de l'acier de récupération. à l'inverse au stock removal ou les fibres de l'acier sont coupés, sur une lame de couteau forgé le fibrage de l’acier sera respecté; le couteau sera plus solide et le tranchant de meilleur qualité après des traitements thermiques équivalents. Mais le grand avantage de la forge c'est aussi, au-delà de la réalisation de couteau de qualité, de pouvoir réaliser de nombreux outils difficilement réalisables correctement par enlèvement de


matière : gouge, couteau croche, Plane, briquet à silex....

L'acier ? L'acier est composé principalement de fer et de carbone. C'est ce que l'on appelle l'acier fin non allié. Il existe aussi des aciers allié contenants entre autre du chrome, vanadium, manganèse. .. Les aciers alliés sont plus difficiles à forger et leur trempé est souvent plus difficile à mettre en œuvre. Les aciers simples non alliés : C'est ceux qui nous intéresse le plus ici car faciles à forger et à tremper Pour être (trempable) leurs teneur en carbone doit être d’au moins 0.45% En coutellerie on utilise couramment la nuance d’acier DNH7 (= xc75) qui contient 0,75% de carbone Pour un briquet acier on lui préférera un acier plus carboné comme le xc100 Trempe ? La trempe confère toute sa résistance à l'acier. L'acier est amené à température de trempe (800/850 degrés...) et plongé dans un fluide pour refroidir rapidement. Les aciers simples peuvent être trempés à l'eau ou â l'huile en fonction de la nuance d’acier et de son usage. La trempe à l'eau donne une plus grande dureté à l'acier. On l utilisé par exemple pour la trempe de briquet à silex en acier xc100 La trempe à l'huile est la plus couramment utilisés en coutellerie, l’huile sera de préférence chauffée (environ 60 degrés) avant trempe. Il existe une huile spécifique mais on peut utiliser de l'huile végétale.


Revenu ? Après trempe l'acier est dur mais fragile et cassant, il est alors nécessaire d'effectuer un revenu pour apporter toute sa résilience à l'acier. Le revenu consiste en un maintien long (1h00) à une température entre 190 et 240.


Principes de vie et survie Tout-terrain: Ou et pourquoi faire la sieste ?

Publié le 24 mai 2014 par Eric Garnier Sinclair http://artderestervivant.over-blog.com/

Quels sont les bienfaits de la sieste ? En cas de R.D.N.©, vous avez mis en place le P.R.E.N.© (Protection, repérage, eau, nourriture) recommandé par les unités spéciales du monde entier. Ensuite, il est de bon ton dans le module santé d'inclure la sieste. Cela fait sourire certains et pourtant, au même titre que les bâillements ou le rire, les bienfaits de la sieste sont nombreux.

-Dans les stages A.D.R.V.© de principes de vie et survie Tout-terrain, on encourage la sieste (15 minutes) car il est indispensable de récupérer pour poursuivre le séminaire surtout lorsqu’on aborde la partie combat, Tir air soft ou secourisme qui demande une attention particulière. En cas de déshydratation ou de problèmes avec la thermorégulation, il faut mettre tous les atouts de son côté. Hors, la sieste améliore les capacités cognitives et physiques. Explications : -Le sommeil est essentiel pour être en forme physiquement et mentalement. En complément d’une


bonne nuit de repos, la sieste présente de nombreux bienfaits. Alors qu’elle fait partie des habitudes de nombreux peuples des pays chauds, il n’est pas commun pour les gens des pays plus au nord, tels que la France ou le Canada, de faire la sieste. Que ce soit par manque de temps ou par préjugés, ce court moment de repos est largement délaissé à l’âge adulte. Les études les plus récentes vantent toutefois les mérites de la sieste. -Une solution à l’insomnie : Une étude menée par l’Institut National de Prévention et d’Éducation pour la Santé (INPES), parue en 2008, a démontré que 17 % des Français âgés de 25 à 45 ans accumuleraient, chaque nuit, une dette de sommeil1. Au Canada, près de 40 % de la population éprouveraient de troubles du sommeil selon des chercheurs de l’université Laval. Ils seraient également 12 % à souffrir d’insomnie. Les effets négatifs qui en découlent sont nombreux : stress, manque de concentration, sautes d’humeur, etc. Les siestes permettraient de rattraper le sommeil perdu et, par le fait même, de pallier aux désagréments qui en résultent. Or, elles ne devraient pas excéder 30 minutes, sans quoi elles ne feraient qu’aggraver les symptômes. -10 minutes pour se revigorer : Les siestes de 10 minutes seraient les plus efficaces en comparaison à celles de 5 ou 30 minutes. C’est ce qu’a conclu une étude parue en 20062. Elles permettraient notamment d’améliorer les capacités cognitives, de redonner de la vigueur, de contrer la fatigue et d’accroître la vigilance. Ces bienfaits ont perduré jusqu’à deux heures et demie après le réveil. Contrairement aux siestes plus longues, celles de 10 minutes ne provoquent pas de somnolence postéveil. Des effets à plus long terme sont également reconnus, notamment une diminution des risques d’être atteint d’une maladie cardiovasculaire.

http://artderestervivant.over-blog.com/ -Un besoin biologique : Les chercheurs sont nombreux à appuyer la théorie que la sieste est issue d’un rythme biologique inné chez les mammifères, dont l’humain. Entre 14 h et 15 h, une importante somnolence se fait généralement sentir, accompagnée d’une diminution significative de la vigilance. Cette fatigue soudaine survient autant chez les gens en manque de sommeil que chez ceux qui sont bien reposés. Afin de contrer cette baisse d’énergie, il serait profitable de dormir durant une dizaine de minutes. -La sieste, source de créativité et d’efficacité ! Plusieurs études ont établi un lien entre la sieste et


l’augmentation des performances cognitives et psychomotrices3. Ce moment de repos accordé en milieu de journée permettrait d’avoir une meilleure mémoire et de consolider les apprentissages. Les personnes qui s’y adonnent sont plus dynamiques et créatives en après-midi en comparaison à celles qui ne pratiquent pas la sieste. -Les grandes entreprises sont de plus en plus nombreuses à promouvoir cette pratique auprès de leurs employés. Les gens ayant un horaire très chargé en tirent davantage profit puisqu’elle permet de regagner de 1 à 2 heures de sommeil lorsqu’elle est réalisée sur une base quotidienne. -Encore plus bénéfique chez les personnes âgées : Avec l’âge, le nombre d’heures de sommeil tend à diminuer jusqu’à une moyenne de 6 h 30 par nuit. Les statistiques démontrent qu’en prenant en considération les heures de sommeil de jour et de nuit, le temps total de repos des personnes âgées atteint les proportions recommandées4. Ainsi, les siestes d’une plus longue durée leur seraient favorables. »

Attention, ne pas faire la sieste n'importe où ! Les arbres contre-indiqués -Beaucoup d'arbres se prêtent à la sieste et la liste n'est pas exhaustive. Pas plus que celle des arbres contre-indiqués pour ce genre d'activité. Pour n'en citer que quelques-uns, nous avons en première ligne le noyer. Cet arbre dégage du juglon qui, oxydé, aurait des principes quelque peu entêtants. Bien qu'aucun cas d'intoxication n'ait été répertorié par les centres antipoison, mieux vaut éviter de voir se transformer une sieste durement gagnée en lendemain de fête non mérité. -Les espèces d'arbres ayant un pollen particulièrement allergisant sont également déconseillées pour une bonne sieste de printemps, comme les cyprès, platanes, châtaigniers, hêtres ou peupliers. De même que les arbustes allergisants alentour doivent être mis à l'écart des lieux de repos, comme c'est particulièrement le cas avec l’Ambroise. Sans oublier que certains arbres abritent (souvent à leurs dépens) des espèces peu agréables pour l'homme. La chenille processionnaire est de celles-ci. Elle naît entre juin et septembre dans des nids accrochés aux épines de divers pins. Ses poils sont particulièrement urticants et peuvent provoquer des allergies graves... "

Puis ne pas négliger non plus les tiques, les insectes et les serpents suivant l'endroit où vous voulez faire une pause! A méditer, avant de siester.

Sources : Mélissa Archambault - PasseportSanté.net

Faustine Milard www.gergeaud.com


Qu'es ce qu'une Bad ou une Had ?

Avoir un habitat automne durable H.A.D ou base autonome durable B.A.D est le moyen le plus sûr à mon sens, pour faire face à la crise ou un effondrement de la normalité. Les avantages : Dans une maison durable, et autonome, payé des factures pour le fonctionnement de son habitat fait partie du passé. Elle peut être construite à bas cout et avec quelques installations nous fournir de l’électricité, l’eau potable et une alimentaire durable.

Voici quelques donné nécessaire pour bien démarrer ça Bad: Le lieu : Nous avons l’embarras du choix tant qu’il est éloigné de la ville, campagne, mer, montagne. Un terrain : Là encore il y en a pour tous les budgets, constructible non constructible dit de loisirs ou terrain agricole, chacun répond bien entendu à des réglementations spécifiques. Un habitat : Qui peut être mobile, ou fixe. En bois, en pierre, en paille, à rénover ou à construire. De l'eau : La plusieurs solutions, soit on dispose d’une source d’un ruisseau ou sinon de la récupération de l’eau de pluie. Pour cette dernière un récupérateur sera nécessaire. La seule précaution à


prendre et de la purifié et la rendre potable. Là encore de nombreuses technique s’offre à nous aujourd’hui. De la nourriture : Comptez 100 m2 par personnes environ pour produire des légumes, et 200m2 par personnes pour le verger. Cela permet de se nourrir toute l’année en produits frais et de préparer des conserves. Si l’on souhaite de la volaille faut compter 10m2 de terrain par volatiles. De l'énergie : Panneaux photovoltaïque, éolienne, batteries de stockages, du bois de chauffages. A savoir que 1,5 hectares de forêt pour produire 10 stères de bois par ans. Du savoir : Stages sur diffèrent thèmes tel que la permaculture, les bases de la vie en pleine nature, la fabrication d’un Habitat Autonome, les plantes sauvages comestibles, visite d’habitat similaire… Plus la documentation telle-que les livres les magazines les reportages … Et de quoi répondre à votre santé et à votre hygiène. Dans nos prochains articles nous détaillerons les différentes étapes pour crée son autonomie ... Loessence http://loessence.e-monsite.com/ https://www.facebook.com/loessence?ref=bookmarks loessence@hotmail.fr


Solupa Le Une

soleil. plage du Pacifique au Mexique. Le chant des vagues. Le bleu du ciel mêlé au bleu de l'océan. J'étais au paradis. Je vivais l'enfer. J'étais arrivé par hasard à San Pancho, Nayarit. Au fil de l'errance de quelques semaines. Je ne ressentais plus la fatigue où plutôt je n'y portais plus attention. Perdu dans le questionnement sempiternel de « qu'est-ce que j'fous là ? Pourquoi ?... » Je n'avais pas choisis l'errance au Mexique.

Les autochtones vivent discrètement au rythme des vagues et du vent dans les palmiers. Les étrangers profitent de la douceur de ce bout de plage tranquille. Les voyageurs vont et viennent entre deux bières, la baignade et la sieste au soleil. Le soir quelques feux de camps, des chants, des danses, les percussions... le paradis. Je n'en profitais pas, trop tourmenté par ma situation matérielle. Après avoir épuisé le peu d'argent que j'avais gagné en vendant un peu d'artisanat, de troc, de services, je me retrouvais à bivouaquer sur la plage aux côtés d'autres qui vont et viennent. La chaleur, la soif, la faim, le manque de solutions et d'objectifs, l'abondance d'artisans, la pénurie de clients, le prix exorbitant de tout ont fait que je me résolus à ne plus bouger de mon bivouac jusqu'à ce que se débloque la situation. Économiser mes forces et penser mieux. J'en avais assez de courir après quelques pesos pour de l'eau potable chère... tout est plus cher sur la plage. Avec ma machette je m'occupais à vider les noix de cocos que je ramassais autour du bivouac. J'avais donc de l'eau nutritive, de la nourriture délicieuse, les fibres pour le feu et les noix pour l'artisanat. Patiemment je nettoyais et gravait au couteau les noix. J'avais donc de quoi partager et troquer avec ceux et celles qui passait pour discuter un moment ; car après deux trois jours de pur coco je saturais un peu. Dans la matinée du quatrième jour un grand blond s'approcha. Je l'avais vu jouer du djembé au Soleil. Il dégageait une énergie intense. Je le voyais comme un yogui fou. Sans mot dire il attrapa tranquillement un bol de coco que j'avais terminé de nettoyer. Il sortit une loupe de sa poche et d'un coup de main habile il se mit à brûler le symbole OM à l'intérieur du coco avec une dextérité qui me laissa ébahit. Une fois terminé, il me rendit le coco avec la loupe et me dit en anglais : « Prends la loupe, travaille tes cocos, vends-les, achète toi une loupe et tu me rendras la mienne après. » Il

partit sans que je puisse réagir et dire quoi que ce soit à part merci. Impressionner par cet instant magique, sans réfléchir je me mis à dessiner sur un coco des symboles simples, je découvrais l'art de brûler à la loupe. Avant la fin de la journée je pu m'acheter une loupe, à boire et à manger. Le soir je retrouvais ce maître yogui fou et lui rendit sa loupe avec le coco du OM qu'il avait dessiné. Merci… Jeu d'enfant et art mystique à la fois, cette journée fut un pas évolutif dans ma vie qui m'a réveillé à la sagesse et au pouvoir du Soleil.


Lamier Lamier (Lamium) Description: Toutes les espèces de lamiers (genre Lamium) possèdent des propriétés et usages sensiblement identiques, Il s’agit donc ici de la description du genre. La tige dressée, quadrangulaire. Les feuilles sont allongées, en forme de cœur à la base et fortement dentées. Les fleurs sont groupées à l'aisselle des feuilles. Elles peuvent être pourpres chez Lamium purpurine, jaunes chez Lamium galeobdolon, ou encore pourpres tâchées de blanc chez Lamium maculatum. Origine/Habitat: Les lamiers sont répandus en Europe, Asie, et Afrique septentrionale. Certains d’entre eux poussent en milieu ouvert, dans des prairies, tandis que d'autres affectionnent les sous-bois. On les retrouve souvent avec de l’ortie dioïque ces 2 plantes poussent partout où il y a eu de la civilisation humaine on ne sait toujours pas pourquoi ? Utilité culinaire : Les jeunes feuilles peuvent être consommées en salade, ainsi que les fleurs. Les feuilles plus Âgées seront plutôt consommées cuites. Les racines seraient également consommées en Espagne. Le saviez-vous nos grand-mère nous parlaient de soupe d’ortie et elle cueillait de l’ortie blanche, Et bien la fameuse ortie blanche existe pas c’était du lamier.

Propriétés médicinales: Les sommités fleuries sont astringentes, hémostatiques, et expectorantes (soigne la toux). Risques de confusions si ce n’est avec l’ortie mais dont les feuilles sont urticantes. Autre utilité : Possibilité d’en faire des cordes et des cordelettes. Texte écris part : Gossiome Alexandre et Amel Zergane


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