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LimaZIP.fr Pensée complexe dans l’évolution de la structure d’une Barriada de Lima: cas San Cosme

Enseignant_ Fréderic LUCKEL

Juan LUJAN


industrie

logement commerce

espace vert

transport

etc‌


Lima

PĂŠrou


Lima 10 063 144 ha

Chaque fois plus grande Chaque fois plus remplis

1535

Ligne de croissance de la ville de Lima

1613

1863

1904

1940

1970

1986

2010


problĂŠmatique


logement

cintrière


Hong Kong

Dubai

Panama


Pensée complexe

Edgar Morin Le terme de complexité est pris au sens de son étymologie « complexus » qui signifie « ce qui est tissé ensemble » dans un enchevêtrement d'entrelacements


système

organisation auto-organisation ĂŠmergence entropie


esthĂŠtique architecture urbanisme fragment

espace-mouvement


Le système

La pensé complexe

La bariada




Evolution naturel du modelé systémique

Evolution altéré du modelé systémique


Modèle systémique altère – cas générique

Modèle systémique altère – San Cosme


1945

1949

1960

1990


problĂŠmatique


des questions

-

Quelle sont les éléments dynamiques et statiques qu’intervient dans sa construction et configuration ?

-

Quelle est la nature des éléments qui intervient dans sa configuration?

-

Comment est organisée internement et extérieurement la structure organisationnelle urbaine dans le quartier ?

-

Quelle est la nature de son organisation?

-

Quelle sont les éléments dynamiques et statiques qui régulent la croissance du quartier ?

-

Comment se structure la maille de rapport externe et interne dans le quartier?

- Quelle est la nature de son émergence ?


des hypothèses

- Il existe des éléments de caractère social, géographique et idéologique dans la configuration de la barriada.

- Les éléments qui interviennent dans la configuration de la barriada sont d’ordre complexe. - Il existe une hiérarchie dans la structure organisationnelle du quartier.

- La nature de l’organisation du quartier est complexe et interrelationnel. - La croissance du quartier est régulée par des éléments de caractère dynamique et statique. - Il existe une maille interrelationnelle – organisationnel comme structure des rapports externe – interne dans le quartier. - Le produit final de l’évolution du quartier est résultat de une série des transformations à diffèrent échelles.




Propriétés endogènes

Propriétés exogènes

Ecosystème


Le système

interrelation organisation totalité

Système ouvert

émergence Auto-ecoorganisation Fuente: esquema de elaboración Juan José Luján Chero, 2008


interprĂŠtation de la thĂŠorie


[0.0] PLAN DU MEMOIRE Avertissement 1 Avertissement 2 Introduction PREMIERE PARTIE : Eléments qui organisent le projet de mémoire Projet du mémoire Problématique Dynamique urbaine Les méthodes d’observation Problématique par rapport à l’échantillon du laboratoire Hypothèses Méthodologie Structuration du thème Type de recherche Couverture du projet de mémoire Plan du travail du mémoire DEUXIEME PARTIE : Cadre de référence Ligne Théorique Pensée complexe Structure de la pensée complexe La pensée complexe La Barriada La reconnaissance complexe de la barriada La présence des Barriadas 3.0 Ligne Historique 3.1 Histoire du quartier de San Cosme 3.2 Chronologie de développement de la barriada de San Cosme

TROISIEME PARTIE : interprétation de la théorie Propriétés endogènes 4.1 Interaction / Interrelation 4.1.1 Provenance par région 4.1.2 Association conformées 4.2 Organisation 4.2.1 Points de concentrations urbaines 4.2.2 Adaptation au territoire 4.3 Totalité 4.3.1 Unité urbaine 4.3.1 Unités de l’unité urbaine Propriétés exogènes 5.1 Système Ouverte 5.1.1 Influences sur l’implantation dans le territoire 5.2 Auto-eco-organisation 5.2.1 Points de concentrations urbaines par rapport à l’environnement 5.3 Emergence 5.3.1 Perception du système urbaine QUATRIEME PARTIE : Conclusions, bibliographie et annexes Conclusions Bibliographie Annexes


Propriétés endogènes Provenance par région

Interaction / Interrelation Les interactions doivent être entendues comme relations lorsque le système acquiert un caractère organisationnel

Association conformées


Provenance par région Provenance de la population de San Cosme en 1954

Provenance de la population de San Cosme en 1949

Département Tumbes Piura La libertad Cajamarca Ancash Huánuco Lima Callao Ica Junin Pasco Ayacucho Huancavelica Apurimac Cusco Arequipa Puno Tacna Moquegua San martin Loreto Madre de Dios Amazonas Extranjeros Non déclaré

Population

total

2 21 204 90 133 64 1 087 10 60 272 45 509 187 109 30 96 20 2 1 --1 --12 4 120 3 103

% 0,06 0,67 6,57 2,90 4,29 2,06 35,03 0,32 1,93 8,76 1,45 16,04 6,02 3,51 0,96 3,09 0,64 0,06 0,03 --0,03 --0,38 0,12 3,86 100

Provenance de la population de San Cosme_1949(%)

Département

Population

Tumbes Piura

% ---

---

22

0,37

La libertad

191

3,19

Cajamarca

161

2,68

Ancash

237

3,95

Lambayeque

---

---

Huánuco

70

1,16

2 662

44,37

25

0,42

Ica

102

1,7

Junin

582

9,7

Pasco

49

0,82

Lima Callao

Ayacucho

1 265

21,08

Huancavelica

249

4,15

Apurimac

127

2,11

Cusco

36

0,6

167

2,79

Puno

19

0,32

Tacna

12

0,2

Moquegua

5

0,08

San martin

12

0,2

1

0,02

Arequipa

Loreto Madre de Dios Amazonas Non déclaré total

---

---

3

0,05

3

0,05

6 000

100

Provenance de la population de San Cosme_1954(%)


Association conformées

1946: Population en interaction/interrelation = 10 hab Le 01 Septembre, 10 familles font le premier essaie d’envahir la colline San Cosme Dirigé par les frères Geronimo y Espacioso Garcia.

1946: Population en interaction/interrelation = 120 hab Le 24 Septembre, 120 personnes s’inscrivent dans une association provisoire qu’envisage l’invasion de la colline San Cosme. Ils sont dirigés par les frères Geronimo y Espacioso Garcia.


Association conformées

1947: Population en interaction/interrelation = 1611 hab aprox* *pour établir la population en 1947 vu qu’il n’existe pas un document qui nous donne le chiffre exact on a utilisé la moyenne obtenu entre les années 1946 et 1950 La population de San Cosme est approximativement 1600 habitants. Dans cette année-là ils font la construction du premier collège au sommet de la colline. Acte qui porte une grande charge symbolique parce qu’il représente un des premières collaborations communautaires postérieures à l’invasion de la colline.

1950: Population en interaction/interrelation = 3103 hab Dans cette année la population de San Cosme à fin de consolider sa cohésion crée l’Association de Défense. Ils créent aussi ce qu’ils appellent « La Junta Directiva » qui est conformes par un groupe de personnes les plus représentatives du nouvel quartier.


Association conformées

1953: Population en interaction/interrelation = 4983 hab Dans le moins d’Avril les habitants de San Cosme forment une association pour gérer le réservoir d’eau installé par la mairie du district. Cette même année dans le mois de Julie et Août ils créent l’association responsable du recensement de la population.

1956: Population en interaction/interrelation = 5764 hab Dans cette année ouvre la bibliothèque et la chambre à pharmacie gérée par un groupe de personnes de la barriada. Egalement sont ouvertes un cabinet dental et le 16 de Novembre est réalisée le deuxième recensement. Tous ces travaux réalisés par initiative communautaire.


Association conformées

1957 - 1961: Population en interaction/interrelation = 6000 hab aprox* *pour établir la population en 1947 vu qu’il n’existe pas un document qui nous donne le chiffre exact on a utilisé la moyenne obtenu entre les années 1956 et 1962 Entre les années 1957 et 1961 la population de la barriada de San Cosme dirigées par l’association central du quartier font une série de travaux d’amélioration du quartier avec la participation de l’état et des organisations privées.

1962 - 1963: Population en interaction/interrelation = 5000 hab aprox *pour établir la population en 1962-1963 vu qu’il n’existe pas un document qui nous donne le chiffre exact on a utilisé la moyenne obtenu entre les années 1961 et 1993 Dans les années 1962 et 1963 l’association centrale du quartier réussi à implémenter une série des équipements et services, toujours avec la participation collective de la population, l’état et les organisations privés.


Association conformées

1993 - 1997: Population en interaction/interrelation = 2314 hab Dans ces années les projets effectues dans le quartier sont toujours dirigés par l’association centrale du quartier avec l’approbation de la population mais à différence des années précédant et malgré à la inferieure quantité des habitants dans le quartier, l’action de l’état est majeure par l’importance politique que représente San Cosme.


Association conformĂŠes


Propriétés endogènes Points de concentrations urbaines

Organisation L'organisation est la disposition de relations entre composants ou individuels qui produit une unité complexe ou un système, doté de qualités ignorées dans le niveau des composants ou individuels. L'organisation unit d'une forme interrelationnelle des éléments ou des évènements ou les divers individus qui à partir de là se convertissent en composants de tout

Accessibilité


Points de concentrations urbaines

1946: Le premier point de concentration urbaine sur lequel on a un registre se trouve dans la partie bas de la colline où s’agroupent un série de petits kiosques faites de matériaux démontable. Ces premières installations informelles sont la conséquence de la construction du Marché Métropolitaine lequel est placé en face du secteur ouest de la colline. Les activités de ces kiosques étaient du commerce.

1946: Dans la même année après l’invasion définitive que a été le 24 Septembre les premiers inverseurs s’installent tant dans le sommet et dans la partie basse de la colline (côte ouest). Toujours influencés par le marché, les premiers envahisseurs ont comme activité principal le commerce informel. C’est pour ça que la plus part d’entre eux choisissent le coté adjacent au marché. Le reste s’installe au sommet parce que de cette manière ils sont moins accessibles et donc ils diminuent la possibilité d’expulsion.


Points de concentrations urbaines

1947: Dans cette étape les regroupements sont légèrement compacts, surtout dans la partie basse. Ces groupes se trouvent dans le secteur ouest surtout à cause de l’accessibilité au marché. Dans la partie haute de la colline on observe aussi que la majorité des regroupements sont localises dans le secteur ouest. Dans cette époque-là, il est déjà clairement visible la première avenue de San Cosme appelé par les habitants, Sergio Caller. On observe qu’elle est déjà conformé dans ses deux côtes presque en totalité. Elle est située dans la partie nord - ouest de la colline.

1953 -1957 Dans ces années la barriada est plus consolidé. Les maisons sont faites de matériaux qu’on peut qualifier comme non démontable. Les matériaux utilisés dans ces années c’est surtout la brique terre. Il existe aussi un petit pourcentage des maisons faites en brique et béton. Par rapport aux points des constatations, on observe la consolidation de la partie basse de la colline dans tous ses secteurs. Uniquement le secteur sud, il est faiblement consolidé. Possiblement dû à que dans ce secteur on trouve des fortes pentes.


Points de concentrations urbaines

1957 - 1961: Dans ces années comme on observe dans l’image la structure de San Cosme es faite presque au 100%. Il faut savoir que la barriada c’est une structure urbaine qui change sa forme constamment dû à un série de raison comme : le déplacement des familles, l’agrandissement de familles, locations de terrains, subdivision de terrains et aussi des phénomènes naturel comme : des séismes ou glissements de terrains.

1993 - 1997: Finalement pour les années 1993 à 1997 la structure es regroupé tel comme il existe actuellement. Déjà pour cette époque le 80% des tous les roues et avenues on des revêtements et sont aussi déjà qualifies par fonction, ainsi donc on trouve colorées de rouge fonce les roues d’accès véhiculaire ; les roues piétons de rouge claire et les roues secondaires colorées de rouge intense.


Points de concentrations urbaines


Accessibilité

1946 En 1946 des différents chemins entourant déjà la future barriada de San Cosme et un seule chemin tracé depuis le secteur sud vers le sommet de la colline il était identifié. C’est à partir de la premier incursion des frères Garcia qu’ont un registre d’un premier chemin tracé exprès comme premier essaie d’invasion.

1946 Pour le mois d’octobre de 1946 on observe déjà trois chemins traces sur la surface de la colline, le premier qui permet l’accès dans secteur Ouest, un deuxième qui permet l’accès à la partie haute de la colline et la troisième qui est la prolongation du ancien chemin existent.


Accessibilité

1949 En 1949 les chemins ruraux tracés pour avoir accès à la colline sont apparus. Evidement ils sont la trace du parcours d’accessibilité dans la colline. Ce de cette manière instinctive et toujours limités par la topographie, que la population de San Cosme fait la trace de son futur réseau viaire.

1953 -1957 Dans cette période on peut dire que le 50% des chemins des réseaux viaire à San Cosme sont déjà tracés. On observe que la population de San Cosme a accès à toute la colline. Il reste quand même les secteurs de majeur risque à cause de pentes. On voit aussi que dans cette époque-là il est déjà traces et faites les rues qui entourent la colline en assurent à la population de San Cosme une facile accessibilité.


Accessibilité

1993 -1997 Pour cette période les chemins ruraux qui existaient au début à San Cosme, ils sont évolués vers de rues. Ils restent encore quelques chemins, surtout dans le secteur sud-ouest de la colline. On observe donc comment les lignes tracés du début de la invasion de la barriada ils restent et se consolident par le regroupement des maisons.


AccessibilitĂŠ


Propriétés endogènes Des unités urbaines

Totalité

Unités de l’unité urbaine


Des unités urbaines

1946 Les premières unités urbaines identifiées sur la colline sont les kiosques défies à cause de la activité commercial existent dans le secteur. Conjointe a cette unité urbaine une série de bâtiments ils existaient dans la partie basse de la colline dû à que à l’époque il était installées des usines de fabrication de béton et de briques céramiques.

1946 Apres la première invasion dans le mois de Septembre on reconnait déjà deux groupes des unités. Le premier situé dans la partie basse de la colline et la deuxième dans la partie haute.


Des unités urbaines

1947 En 1949 les unités se structurent visiblement dans la partie basse de la colline. Il existe une cohésion interne, immatériel, dans la structure de la barriada (des associations) mais formellement il est encore subdivisé dans des secteurs définis. On verra que cette segmentation initiale de structure et regroupement se traduira dans une subdivision interne de l’unité en groupes secondaires.

1949 Dans cette année la structure de la barriada il est a perçu déjà comme totalité, même s’il est encore en formation. Peu développé à cause de l’insécurité qu’avait la population sur ses droits de propriété sur le terrain envahi, le processus de consolidation est ralenti.


Des unités urbaines

1953 -1957 Dans cette époque-là il est reconnaissable une structure général unitaire. C’est vrais que dans ces années il y a écore un important pourcentage des maisons non consolides avec de matériaux solides mais en gros la barriada est aperçu déjà comme une unité.

1993 -1997 Finalement dans cette dernière époque d’étude on observe que le 90% de la barriada est consolidé. On observe aussi la consolidation définitive de la ville que l’entoure. On peut qualifier donc à cette étape comme le dernier de tout un processus d’invasion et d’intégration. On a donc comme résultat deux structures clairement différenciables. Le premier cela de la ville « formel » et la deuxième « l’informel ».


Des unitĂŠs urbaines


Unités de l’unité urbaine


Unités de l’unité urbaine


Propriétés exogènes Points de concentrations urbaines par rapport à l’environnement

AUTO-ECO-ORGANISATION


Points de concentrations urbaines par rapport à l’environnement

1945 Dans cette année on observe que la colline de San Cosme était entourait des terrains de cultives donc ce secteur appartenait encore à la limite extérieure de la ville de Lima. La seule fonction diffèrent à l’agriculture dans cette année-là c’était l’industrie. Comme on observe sur l’image l’actuel autoroute, encore avenue, situé vers le Nord et Est de la colline était le principal accès à ce secteur.

1946 C’est en 1946 qu’est inauguré le Marché Métropolitaine de Lima. Ce donc à cause du marché que la premier agglomération de maisons sont apparus à l’Ouest de la colline. La création du Marché et la manque de logement dans la ville de Lima, au départ, a été la cause principale de l’invasion. Progressivement le Marché à attrait des autres services commerciaux complémentaires, la plupart d’eux, informelles.


Points de concentrations urbaines par rapport à l’environnement

1949 Pour l’année 1949 démarre l’urbanisation du secteur Ouest du Marché. Les établissements qui apparaissent sont de fonction commerciale et complémentaire aux services qui donne le Marché. On observe que la colline voisine appelé San Pedro commence aussi à être envahi. Un des facteurs principal de l’invasion de la colline San Pedro ce qu’elle est relie au secteur commercial par une grande avenue (avenue Mexique).

1953-1957 Dans ces années, la consolidation de ce secteur est majeure. On observe que la barriada de San Cosme est entouré par des édifications commerciales. Il faut savoir que le Marché n’attire pas que des fonctions commerciales sinon aussi des petits ateliers principalement dans le secteur Ouest.


Points de concentrations urbaines par rapport à l’environnement

1993-1997 Finalement dans cette dernière image on observe la constitution totale du secteur. Les deux collines sont complètement envahies. La cause initial comment j’ai mentionné c’était le Marché Métropolitaine mais cette effet initial a été renforcé par la consolidation du secteur commercial situé dans le secteur ouest du Marché.


Propriétés exogènes Influences sur l’implantation dans le territoire

SYSTEME OUVERTE


Points de concentrations urbaines par rapport à l’environnement

1946 Dans cette année le système San Cosme ne pas affecté par aucune altération de ordre externe. Ils se trouve encore dans un état d’inercie.

1946 En Septembre de 1946 le système San Cosme est altéré dans su unité basique. Il est affecté principalement par deux agents externes ; le premier l’installation d’un élément attracteur de flux (Marché Métropolitaine) et le deuxième l’installation de un groupe externe de personnes. Ce dans ce moment-là que la configuration basique du système est altéré


Points de concentrations urbaines par rapport à l’environnement

1949 Dans cette année-là on a des registres que le système San Cosme est produite par des systèmes très éloignes (23 régions du Pérou). Ce dans ce moment-là que l’aperture du système permettre encore la réception d’une nouvelle population pour la finir de remplir.

1953-1957 Las cette année l’aperture du système permettre encore le remplissage de la colline. Et la relation symbiotique entre le marché et la barriada.


Points de concentrations urbaines par rapport à l’environnement

1993-1997 Dans ce dernier image on observe comme l’aperture du système a permis qu’elle se structure jusqu’à obtenir sa figure actuel. On observe aussi que le remplissage a excède la capacité de la colline et ce par cette raison qu’on trouve dans ces années des maisons de 6 à 5 étages dans quelques secteurs.


Propriétés exogènes Perception du système urbaine

EMERGENCE






Les éléments qu’interviennent dans la configuration de la barriada sont d’ordre complexe. Ils sont effectivement de caractère complexe et aléatoire, ils réagissent selon ses convenances en cherchant toujours son but final, ça veut dire, trouver les conditions nécessaires pout édifier une maison où satisfaire ses nécessites basiques. Il existe une hiérarchie dans la structure organisationnelle du quartier. Il existe effectivement une hiérarchie dans la structure de la barriada. On a observé donc les différentes échelles constitutives et organisatrices du système. On a observé comment les pièces basiques constitutives de la barriada (des maisons) affectent les formations majeures (les différents blocs de maisons) les quels à la fois affecte a la totalité. On a observé aussi qu’il existe une hiérarchie démocratique parce que la population créée, et choisis ses intégrants, des associations dirigées toujours par l’association général ; elle a comme but le bénéfice de la population. On parle dans de cas-là, d’une hiérarchie organisationnelle. La nature de l’organisation du quartier est complexe et interrelationnel. Comme on a observé, chaque action résolu dans la constitution du quartier il a un impact dans le résultat final. Ce pourtant que malgré le relative désordre qu’on pourrait trouver dans la barriada, est résultat de tout un série des pris de désistions, soient conscient ou inconscientes. On parle dans ce cas-là donc d’une conscience ou intelligence collective. La croissance du quartier est régulée par des éléments de caractère dynamique et statique. Oui, on a identifié clairement les éléments dynamiques comme : la population, les contraintes climatiques et l’apparition dans le temps des éléments modificatrices du système (apparition du commerce dans les immédiations du marché) ; et les éléments statiques comme : les unités urbaines (maisons) et la topographie. Il existe une maille interrelationnelle – organisationnel comme structure des rapports externe interne dans le quartier. Oui il existe une structure organisationnelle dans le quartier de San Cosme qui a ses ciments dans les associations crées. Que sont à mon avis la force interne de création du quartier. Le produit final de l’évolution du quartier est résultat de une série des transformations à diffèrent échelles. Effectivement, après d’avoir eu conscience de l’aperture du système (barriada de San Cosme), on se rendre en compte qu’elle est affecté par « évènements » à diffèrent échelle, comme l’invasion de la colline qu’était le résultat d’une réalité national ou le placement à ouest dans la premier invasion à cause du Marché et la topographie, donc tous ces « évènements » dans la théorie de systèmes et la pensée complexe sont qualifiés comme effets des systèmes externes à échelles différents










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