Eco-conception Ecologie Economie
Comment allier impact du message, maĂŽtrise des coĂťts et dĂŠveloppement durable
L’éco-conception Communiquer « responsable » c’est laisser une trace dans les esprits pas sur l’environnement. L’objectif étant de continuer à séduire vos clients et prospects, à développer votre activité, à optimiser vos investissements afin qu’ils soient rentables et rémunérateurs. Notre responsabilité à tous en outre, est d’évoluer dans un contexte économique sans ignorer la dimension écologique et sociale de nos actes. S’informer, comparer, exiger et faire le choix d’acheter éco-responsable, c’est conserver une parfaite cohérence et harmonie dans nos choix stratégiques, sans hypothéquer le bien-être des générations futures. Réfléchir et anticiper pour écoconcevoir peut certes, passer par l’utilisation d’un papier labellisé ou certifiés mais aussi et surtout, par une réflexion globale. Elle portera entre autre, sur le transport, l’emballage, les encres, les formats, les grammages, les modes de fabrication, les déchets (et leur recyclage), le nombre d’exemplaires, les modes de communication complémentaires tel que l’Internet et le CD... Cette ne se prétend pas exhaustive, elle est un guide qui pour les personnes désirant obtenir un éclairage en matière de qualité écologique des activités de communication. Quelques pistes de réflexion pour limiter les impacts environnementaux. •
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Limiter les consommations de papier : grammage juste et nécessaire, impression recto verso, optimisation des formats, Utiliser des papiers plus respectueux de l’environnement, Exiger des encres végétales pour l’impression de vos supports de communication, Rechercher un imprimeur éco-engagé.
Le papier un media apprécié, efficace et citoyen
Incontournable, la communication écrite est un media efficace car il permet toutes les fantaisies dans les mises en page, mises en couleur, grammages/qualité papier, formats, types de diffusion,… Efficace aussi parce que personnalisable. Le ciblage étant possible, l’impact est renforcé, la déperdition limitée et les coûts maîtrisés. Ainsi, vous améliorez la rentabilité de vos investissements en communiquant “plus juste et plus pertinent ”. Tel un cercle vertueux, le cycle de vie du papier, est renouvelable à l’infini. On peut parler de support citoyen.
“Je n'existe plus puisque je n'ai plus de papier” Le Maître et Marguerite 1942 Mikhaïl Afanassievitch Boulgakov
Le papier détruit la forêt FAUX, l’industrie
Tordre le cou aux idées reçues
Le papier est le matériau de notre enfance, par excellence. Sentir l’encre et le papier, feuilleter et évoluer au cœur d’un ouvrage sont autant de souvenirs d’enfance qui nous rappellent aujourd’hui, combien il est agréable de retrouver ces sensations. Qu’ils soient dépliants, brochures ou catalogues, les supports de communication écrite sont appréciés, conservés et transmis au sein et au travers de nos réseaux de connaissance (famille, amis, collègues). Le papier est le support de la transmission des idées.
papetière n’utilise pour sa production, que les sousproduits de la forêt (issus des actions de sciage et des coupes d’éclaircies nécessaires à la croissance des arbres). Ainsi, en France 35% du bois utilisé pour la pâte à papier provient des chutes des scieries, 35% des éclaircies et 30% des cimes et des branches. Par l’utilisation rationnelle de ces sous-produits, l’industrie papetière contribue au développement de la forêt française.
Le papier,
Le papier, un matériau biodégradable. Constitué de fibres, et recouvert de produits naturels tels que l’amidon, le papier est un matériau qui se dégrade de façon spontanée par l’action de micro-organismes en 3-4 mois (versus 450 ans pour le plastique PEHD et PEBD). En outre, c’est un matériau recyclable et largement recyclé, après usage. Des traitements adaptés permettent en effet, de réutiliser dans le cycle de production, les fibres de cellulose. Essentielles pour l’industrie papetière, elles représentent après recyclage, 58% du tonnage total des matières utilisées.
Le papier “fixe” le CO2 précédemment fixé dans le bois, le papier a la particularité de stocker le CO2 sous forme de carbone, et d’éviter ainsi sa restitution dans l’atmosphère.
Tordre le cou aux idées reçues
Le papier est un matériau naturel constitué de fibre de cellulose, issues du bois. Lors du processus de fabrication du papier, les fibres de cellulose mises en suspension dans l’eau se rassemblent et s’enchevêtrent naturellement. Elles forment, après séchage une feuille de papier. Le bois et l’eau sont donc les matières premières naturelles d’un véritable matériau vert.
La forêt française va mal FAUX, la forêt française est la plus variée d’Europe comptant 126 essences différentes (cas unique sur notre continent). Elle couvre un peu plus d’1/4 de notre territoire, avec 15 millions d’hectares et s’accroît de 30 000 hectares chaque année. Et même suite aux tempêtes de décembre 1999, on ne peut pas parlé de catastrophe écologique (les conséquences furent essentiellement économiques), car les tempêtes font aussi partie de la vie des forêts.
un éco-matériau Les papiers d’hygiène contribuent au confort de la personne et à la propreté dans son espace de vie.
Avec des qualités d’imprimabilités importantes le papier accompagne de nombreux besoins des consommateurs.
Enfin, les papiers industriels et spéciaux font appel à des techniques de fabrication de pointe (usage fiduciaire, usage graphique,…).
Aussi les papiers dits à ”usages graphiques“ sont des supports de prédilection de la communication, de la littérature, de l’éducation et de la culture. Les emballages en papier et cartons regroupent, protègent et conservent les produits de grande consommation.
Le papier conjugue ainsi utilité et respect de l’environnement.
Tordre le cou aux idées reçues
Matériau omniprésent dans notre quotidien, le papier recouvre plusieurs aspects pour servir différentes fonctionnalités.
La filière forêt- bois - papier emploie aujourd’hui 500 000 personnes en France, avec des qualifications allant du CAP à celui des grandes écoles.
Les usines papetières polluent fortement l’eau des rivières. FAUX, pionnière en matière de protection de l’environnement, l’industrie papetière française a entrepris des efforts importants depuis 25 ans, notamment en matière de traitement des eaux. Ainsi, alors que la production de papiers et cartons a doublé au cours des 25 dernières années, l’industrie papetière a réduit de 80% ses rejets dans l'eau au cours de cette période
L’éco-conception ou comment allier impact du message, maîtrise des coûts et développement durable
Prendre en compte l’environnement dès la conception de son projet
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Bien choisir son support : document papier ou document électronique ? Bien que de nombreuses papeteries soient engagées dans une démarche volontaire de gestion de l’environnement, la fabrication de papier (fibres vierges ou recyclées) engendre toujours des impacts environnementaux (énergie, pollution,…). Il est donc essentiel de choisir des moyens adaptés. Envisager une version électronique de votre document, peut se révéler une solution complémentaire et moderne, vous permettant de communiquer auprès du plus grand nombre, 24h sur 24, de façon interactive, ludique ou/et mercantile.
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Organiser l’information : la ligne directrice pourrait être Aérer mais pas trop. Eviter en effet, l’insertion de page blanche quasi vides entre différents chapitres, en outre vous pouvez réduire les marges, optimiser la taille des interlignes,…
Tordre le cou aux idées reçues
Favoriser une logique de “juste nécessaire” et de sobriété ; cette démarche sera d’autant plus vrai pour des documents relatifs à l’environnement pour lesquels la recherche de cohérence entre le support choisi et les messages véhiculés, est incontournable.
L’informatique et Internet vont tuer le papier. FAUX, depuis 10 ans, la consommation de papier et carton s’accroît de 3% en moyenne chaque année. Complément indispensable des équipements informatique et de bureautique, le papier s’impose comme un support moderne de la communication de l’entreprise. Il accompagne le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication en proposant des solutions adaptées. …à suivre p. 11
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Choisir le format du document pour se démarquer, tout en limitant les chutes de papier. Aujourd’hui les formats les plus répandues et qui ne génèrent pas trop de chutes, sont les formats A3, A4, A5,… Ils sont intéressants car standards et permettent ainsi l’utilisation d’enveloppes et de cartons standards et adaptés. Il existe aussi des formats moins hauts, moins larges (moins chers) dont les différences visuelles avec un A4, sont négligeables. Imprimés sur des machines adaptées le coût de vos documents chutera immédiatement d’au moins 15%.
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Quel nombre et quel type de couleurs ? Quadrichromie, bichromie ou monochromie ? D’un point de vue environnemental, il est difficile de trancher. Nous savons toutefois dire qu’une couleur équivaut à une plaque, des consommables,… il est a priori préférable de réduire ne nombre de couleurs, mais…
5 … Préférez surtout les encres végétales. En effet, ces encres présentent des qualités qu’il faut intégrer au moment de l’éco-conception de votre document. Toutes les huiles contenues dans ces encres sont d’origine végétale et sont principalement, constituées de matières premières renouvelables : huile de lin, de soja, de tournesol, de résine de pin et de pigments d’origine organique. De manière générale, évitez les effets métalliques, les encres Pantone. Concentrez votre créativité et votre originalité sur d’autres aspects de la conception !
Les encres végétales sont exclusivement des encres quadri. Elles offrent une large palette de couleurs, par benday, par exemple.
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Adapter ses choix à la durée de vie du document. •
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Est-ce un document de référence à longue durée de vie, ou bien un rapport mensuel, qui par nature sera remplacé rapidement ? Est-ce un support à base de fiches techniques, utilisé sur un chantier, ou bien un rapport d’étude qui sera lu au bureau ?
Adapter les caractéristiques techniques afin d’éviter les pièges de la “sous-qualité” et de la “sur-performance” qui sont toujours synonyme de gaspillages. De la même façon, la finition doit faire l’objet d’une réflexion pour un meilleur respect de l’environnement. Evitez le pelliculage (apposition d’un film plastique et préférez le vernissage, voire l’absence de revêtement.
Quelques astuces pour éviter qu’un document soit trop vite obsolète •
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Eviter de mentionner des informations susceptibles d’évoluer rapidement (prix, coordonnées, année,…) Envisager un système de mise à jour par l’insertion de feuillets mobiles, ce qui amènera alors une réflexion sur le type de support : un classeur peut être alors véritablement bénéfique par rapport à celui d’un document plus conventionnel.
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Diffuser sans s’éparpiller
8 Pratiques
pour des transports écologiques 1. Regroupez vos envois 2. Evitez les transports express 3. Recherchez des modes de transport plus écologiques En milieu urbain les livraisons à vélo se multiplient !
Intégrer les contraintes de la diffusion Ainsi, la conception du support de communication : • Volumineux Impliquera l’utilisation d’emballages eux aussi plus volumineux, et plus de transport, de consommation d’énergie et de pollutions, • Lourds Impliquera plus de consommation d’énergie pour les transporter, • Fragiles Impliquera l’utilisation d’emballages plus robustes, plus nombreux…et donc plus de consommation de matières premières, plus de déchets… Par ailleurs, les coûts environnementaux sont généralement synonymes de coûts économiques. Connaissez-vous le coût de la diffusion de votre document (coût de l’emballage, du transport,…) ? Le prix des prestations fait souvent l’objet de barèmes (selon la masse et/ou le volume), le passage au tarif supérieur est parfois une histoire de quelques grammes pas toujours nécessaires, mais qui comptent lorsqu’il s’agit de milliers d’envois. Opter pour des produits de calage issus de la filière agricole (flocons de maïs, etc…) ou provenant des chutes de production, Sélectionner des fournisseurs à proximité de vos locaux et proposant des solutions de transports « propres ».
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Communiquer sans gaspiller
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Evaluer le nombre de tirages : ni trop … ni trop peu D’un point de vue pratique, une bonne évaluation de vos tirages par des moyens tels que des listes de diffusion à jour et un contrôle régulier des fichiers d’adresses permettra de limiter les retours et d’estimer au mieux vos besoins. …ni trop peu : une étape de calage machine et de “passe” est nécessaire à chaque nouveau tirage, pour ajuster les paramètres d’impression : la quantité de papier “perdu ” est non négligeable. Evitez donc de trop morceler vos retirages pour un document identique.
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Choisir le numérique comme procédé d’impression pour des courts tirages, peut est une solution
pour économiser (économiquement et écologiquement). Favoriser une logique du « juste nécessaire » afin d’éviter le gaspillage, peut en effet, trouver une réponse adaptée avec l’impression numérique.
http://www.impression-numerique.fr
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Dématérialiser pour faire bonne impression Faire le choix d’un support électronique, pour compléter le support papier Réfléchir à une version électronique de votre document, permettra d’apporter à votre projet la modernité et la souplesse qu’offre aujourd’hui Internet. En outre, opter pour une solution virtuelle c’est s’offrir une diffusion auprès de million de personnes à moindre frais économique et écologique.
Imprimer et diffuser votre document papier auprès d’une cible restreinte et donner accès à votre document virtuel par mot de passe, à une clientèle plus large, peut vous permettre de combiner les 2 supports.
Choisir l’impression virtuelle c’est faire l’économie des frais d’impression, de façonnage, des frais d’emballage, des coûts de transport. C’est aussi communiquer proprement.
L’impression proprement dite
& proprement faite 12
Choisir son imprimeur Choisir son prestataire est une étape importante pour une bonne prise en compte des enjeux environnementaux liés à l’impression. En résumé le choix peut notamment porter sur les points suivants : • •
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Qualité écologique du papier, Qualité écologique des encres et des produits associés. Utilisation de technologies permettant de limiter le recours aux substances chimiques, Gestion des déchets dangereux de l’imprimerie. Le procédé CTP permet de développement les plaques offset sans sels d’argent, pouvant générer pollution de l’eau et des sols, notamment.
Vous pouvez exiger de votre imprimeur qu’il ait une bonne gestion de ses déchets (tri sélectif et élimination des produits et emballages dangereux, des chiffons souillés, des DEEE*, … Choisir un imprimeur labellisé Imprim’vert est une garantie de son engagement.
*Déchets d’Equipements Electriques et Electroniques
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Choisir son papier
Les quelques questions à se poser …. Le grammage est-il nécessaire et suffisant ? Les papiers sont-ils écologiques (tout au long de leur cycle de vie)
Fibres recyclées versus fibres vierges ? Malgré les idées reçues, papier recyclé ou vierge ne signifie pas bon ou mauvais au regard de l’environnement. Pour le papier recyclé, assurezvous qu’il a été fabriqué et recyclé “proprement” Pour le papier vierge, assurez-vous que la forêt dont il est issu est gérée durablement (ex. FSC ou PEFC), et qu’il a été fabriqué “proprement”.
L’écolabel européen a une approche environnementale globale : prise en compte de tous les impacts liés à la fabrication du papier (consommation d’énergie, rejets gazeux, effluents liquides, origine des fibres, gestion des forêts, gestion des déchets,…) APUR Ce label indique clairement le pourcentage de fibres de récupération. Il comporte un numéro d’agrément dont a fait l’objet, chaque gamme de papier, garantissant l’authenticité de l’information. Ce label scandinave, est le plus ancien. Les papiers labellisés Ange bleu sont fabriqués à 100% avec des vieux papiers, exempts de produits chimiques, de colorants et de produits de blanchiment. Le Cygne nordique fixe des normes très complètes sur la consommation des matières premières, d’énergie et d’eau, sur les émissions et la gestion des déchets. FSC (Forest Stewardship Council) est une certification initiée par Greenpeace et WWF. Elle promeut une gestion durable des forêts sur les plans écologique, qu’économique et social. PEFC (Program for the Endorsement of Forest Certification schemes ) est une certification initiée par les forestiers européens en réponse à FSC. Cette certification atteste aussi de la gestion durable des forêts en intégrant leurs spécificités régionales.
L’éco-liste Pour vous aider à réaliser un achat responsable
L’éco-liste Pour vous aider à réaliser un achat responsable
…suite
Valorisez vos efforts Et faites de votre éco-communication la valeur ajoutée de votre entreprise
Citer pour inciter Et pour valoriser votre démarche •
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Encourager les lecteurs au tri par une mention telle que “donnez une nouvelle vie à votre imprimé, triez le papier !” Apposer des mentions environnementales claires et précises au dos des imprimés, éviter les allégations floues telles que “papier écologique”.
Attention
l’utilisation des logos PEFC et FSC est soumis à des conditions strictes. Seuls les imprimeurs certifiés peuvent apposés l’un ou l’autre des logos sur les documents imprimés idoines.
L’éco-lexique ACHATS ECO-RESPONSABLES Prise en compte, lors de ses choix d’achat, des caractéristiques environnementales des produits présentés.
(LE) CONSOMM’ACTEUR est un acteur actif et exigeant. Il s’intéresse de très près aux entreprises auxquelles il achète ses biens de consommation. Celles-ci doivent respecter l’environnement, l’éthique, les normes sociales. Le profil d’un consomm’acheteur est exactement le même !
ECO-CONCEPTION : démarche résolument créative et innovante qui vise la prise en compte de l’environnement dès la phase de conception des produits (au niveau des coûts, délais, esthétique, technique…) en prenant toujours en considération leur cycle de vie.
ECO-PRODUIT : tout produit qui entraîne moins d’impacts sur l’environnement, tout au long de son cycle de vie et conserve ses performances lors de l’utilisation. Les supports de communication peuvent en faire partie !
FIBRES FRAÎCHES sont issues des actions de sciage et des coupes d’éclaircies nécessaires à la croissance des arbres). 35% du bois utilisé pour la pâte à papier provient des chutes des scieries, 35% des éclaircies et 30% des cimes et des branches. FIBRES
RECYCLEES sont obtenues grâce à la récupération et au recyclage des vieux papiers ou vieux chiffons.
IMPACTS : tout ce qui dégrade notre environnement, soit en utilisant des ressources ou des matières non renouvelables (pétrole, charbon, plastiques…) soit en entraînant des rejets néfastes (déchets, pollutions de l’air, de l’eau et des sols).
En conclusion, c’est à vous de jouer ! Comme toute démarche de management environnemental, il s’agit d’inscrire vos actions d’éco-conception dans une démarche pérenne d’amélioration de la qualité écologique des produits que nous achetons.
S’inscrivant depuis plus de 15 ans dans une démarche continue de respect de l’environnement, l’imprimerie GABEL a réalisé pour vous ce document, sur un papier 100% recyclé labellisé APUR , imprimé avec des encres végétales. En amont, le procédé Computer To Plate a été utilisé (zéro sels d’argent), les déchets générés ont été gérés par des entreprises régionales agrées par l’Etat (label Imprim’vert), l’utilisation de l’alcool isopropylique est mesurée er mesurée entre 3 et 4% (versus 12% norme européenne). Afin d’optimiser la diffusion de ce document, le nombre d’exemplaires a été limité et une version virtuelle est directement consultable sur notre site www.imprimerie-gabel.fr