Felix Borel Architecte D.E
Sélection de travaux développés, notamment au sein de l’Ecole1Nationale Supérieure de Versailles (ENSA-V), entre 2014 et 2017
80 rue d’Hauteville 75010 Paris 04 / 22 / 1993 06 76 01 11 55 felixborel@hotmail.fr
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ETUDES - Obtention du Diplôme d’Etat d’Architecte (Mention Très Bien), ENSA-V Juillet - Année universitaire à l’ICP (Institut Catholique de Paris), section Philosophie Septembre 2016 - Juillet - Mémoire de fin d’étude (Mention Très Bien), ENSA-V Septembre - Echange Erasmus à la TU-Delft (Pays-Bas) Août 2014 - Mars - Licence d’architecture à l’ENSA-V (Ecole Nationale supérieure de Versailles) Juillet - Baccalauréat Scientifique, option Arts Plastiques (avec Mention), lycée Lavoisier, Paris (75005) Juillet - Diplôme pro. de la section piano du Conservatoire du 6ème arrondissement de Paris Février
2017 2017 2016 2015 2014 2011 2010
EXPERIENCE - Stage au sein des Ateliers Jean Nouvel (Paris) - 6 mois / Concours pour la conception d’un ilôt de 500 logements à Marseille / Concours pour la construction de deux Tours à Riyad / Travail scénographie, espaces intérieurs pour le Musée du Quatar (Doha) / Extension de la fondation Cartier (Paris) en phase APS
Mars - Septembre 2016
- Stage au sein de l’agence François Chochon et Laurent Pierre achitectes (Paris) - 1 mois / Etude de faisabilité sur un Hôtel (1000 chambres) pour l’aéroport du Bourget - Participation au laboratoire d’idées The Why Factory (Rotterdam), sous la direction de Winy Maas (MVRDV) - 3 mois
Février -Mars 2016
Novembre 2014 - Mars 2016
- Stage au sein de l’agence SANAA, Nishizawa + Sejima (Tokyo) - 2 mois / Projet de logements sociaux dans le 16ème arr. de Paris en phase APD Travail en maquette, autocad et photoshop.
Août - Octobre 2016
- Stage au sein de l’agence Olivier Baudry architecte (Meudon) - 1 mois / Projet de maison individuelle en phase APD Relevés et aménagement interieur - Stage au sein de l’agence BELLASTOCK (Paris) - 2 semaines / Construction d’une cuisine avec matériaux récupérés dans une ancienne usine / Conception du master plan et organisation du festival (Chantier)
Juillet 2013
Février 2012
COMPETENCES
Autocad Archicad
+++++ ++++
Rhinoceros Grasshopper
Suite Adobe +++++ Sketchup +++
+++++ ++
Artlantis V-Ray
++++ +++
LANGUES Français (langue maternelle) Anglais (niveau professionnel) Espagnol (niveau lycée) LOISIRS
VOYAGES
- Piano - Trompette - Dessin - Escalade - Escrime
: Asie : Moyen Orient Amérique du Nord : :
Vietnam, Chine, Japon, Inde Emirats Arabes Unis Etats-Unis, Canada Espagne, Italie, Pays-Bas, Suisse, Belgique, Grande Bretagne, Hongrie, Roumanie, Grèce, Suède, Allemagne, Republique Tchèque, Finlande, Danemark, ... 3
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PFE - Salle de concert
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Les trois soeurs / Licence 3
- logements collectifs
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Dispertion casaoui / Master 1 - workshop à Casablanca (Maroc)
- Infrastructure
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EGO CITY / Erasmus - TU Delft
- Recherche
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Hybrid NAI museum / Erasmus - TU Delft
- Réhabilitation
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Oasis urbain / licence 3
- Centre civique
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La fugue du Phoenix - Une philarmonie itinérante
PROJETS D’ECOLE
CONCOURS Sediments / 120H 2015
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Transformarchitecture / 120H 2014
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Orange Horizon / YAC 2016
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PROJETS D’AGENCE 140 logements face au Bois de Boulogne Paris 16ème / SANAA
- logements collectifs
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500 logements et une crèche à Marseille / Atelier Jean Nouvel
- logements collectifs
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La fugue du Phoenix - Une philarmonie itinérante • Projet de diplôme • Avec Joseph Vincent • Dirigé par François Chochon
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Vienne, Amsterdam, Boston, Berlin, Tokyo, Sapporo, Lucerne, Luxembourg, Copenhague, Los Angeles, plus récemment Paris, Hambourg, et bientôt Munich, Londres... Le programme des grandes salles de concert est en passe de devenir le nouveau gadget à la mode. Parmis ces grandes salles, la typologie de la Philarmonie émerge particulièrement depuis ces dernières décennies. L’architecte Gilles Delalex qualifie notamment ce nouveau phénomène de Flagship, à savoir des bâtiments emblèmes, des vaisseauétendard qui tirent leur signification de cette nouvelle vague de bâtiments prestigieux disposés dans des villes à la recherche d’images attractives, de stratégie marketing. Nous proposons une alternative à ce réseau ultra compétitif, un bâtiment touriste face à un monde résident. Tout comme a pu l’être le Teatro Del Mondo en 1980, une architecture mouvante. En effet, si l’objet Philarmonie devait de nouveau incarner ses valeurs premières, ne pourrait-il pas pousser à son paroxysme l’idée de partage et être lui même partagé. Ne pourrait-il pas s’affranchir de son rôle d’icône médiatique, ancré dans les villes, et devenir un véritable objet autonome dédié à la musique. Plutôt que de posséder une des philarmonies, se partager La Philarmonie...
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Alors que les philarmonies cherchent à devenir les emblèmes de leurs villles, la Philarmonie Phoenix adopte l’image d’un objet fugitif, d’une masse ambigüe qui révèle à peine si elle est occupée ou non. Elle s’apparente directement au tableau de l’Ile des Morts d’Arnold Böklin, une parcelle de terre emprunte de gravité et de mystère. Tout comme elle, le bâtiment, habité par la musique, apparaît et disparaît au rythme des marées, comme une architecture fugueuse. La fugue, à la fois la fuite, la dérive et la disparition, c’est aussi une forme d’écriture musicale, exploitant le principe de l’imitation, la reprise d’une mélodie d’une main à l’autre. La philarmonie imaginée réutilise ainsi la forme de ces anciens caissons de béton, les caissons Phoenix. Tractées à travers la Manche pendant la seconde guerre mondiale depuis l’Angleterre jusqu’aux côtes normandes, ces imposantes masses de béton servirent à la mise en place d’un port artificiel ,en étant coulées sur place. Les vestiges que l’on aperçoit encore à Arromanches évoquent une masse primitive, en attente d’un nouveau départ. Le bâtiment imaginé se coule donc successivement dans plusieurs lieux, affirmant le fait de n’appartenir non pas à personne, mais un peu à chacun, pour quelques heures, ou quelques jours...
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+2m
10 +2M
11 +12M
+12m +16m
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EE’
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60m
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170m
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EntrÊe principale Logements (100 chambres) Machineries Parvis haut Jardin (parvis bas) Petite Salle (350 places) Lobby principal Accès restaurant Grande Salle (1300 places) Loges Stockage/ zones techniques
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14 +19M
15 +22M
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Coursives Grid technique Grande Salle (1300 places) Loges/ Stockage Espace extĂŠrieur/ Jardin secondaire 18
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Espaces de répétition Petite Salle (350 places) Accès Petite Salle Régie/ Stockage Petite Salle Terrasse, cheminement extérieur haut/ promontoir Jardin Zone technique/ Stockage Accès Lobby Restaurant 20
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Les trois soeurs • Licence 3 • Encadré par A. Cornet et J. Arpa
Créer un maximum de porosité malgré une forte densité. Libérer au maximum le sol, en créeant une continuité du parc à proximité. Une bande au sol contient des activités et tous les noyaux de circulations, alors que tous les logements sont surélevés grâce à un système de pilotis. Par la suite l’idée est de dissocier logements et circulation, en organisant trois tours d’habitations et une tour de circulation qui déssert les 3 plots par des passerelles. Les logements (sans noyaux central) suivent un principe de ruban qui se plie au centre pour regrouper les zones humides, et se plie à nouveau en façade afin de créer des redents qui forment ainsi des loggias (ou balcons) pour chaque pièce.
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Dispertion casaoui • Master • avec C. Gaillard • Encadré par F. Chochon
La ville de Casablanca au Maroc est une ville dense aux visages multiples. Comparable à un manteaut d’Arlequin, elle arbore plusieurs couleurs ; celle-ci se retrouvent reliées d’est en ouest par une imposante autoroute coupant la ville en deux. Cette infrastructure est vouée à devenir rapidement un outil obsolète (avec la mise en place d’une nouvelle voie plus au nord). Nous nous questionnons ainsi sur le devenir de ce géant ensemble ; de la vitesse à l’arrêt passe le ralentisesement. Le projet est une nouvelle séquence pour la ville, un temps latent où les flux se dispersent. Le bâtiment qui se présente au début permet de réguler, d’organiser ces flux, et de proposer un nouveau noeud (parkings, motel, gare routière, marché, et arrêt de tramway projeté).
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Plan masse Le noeud et la nouvelle sĂŠquence (la tĂŞte et les cheveux)
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+08m MarchĂŠ
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+12m Motel + Parkings
Gare routière +18m
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EGO CITY • Erasmus à la TU Delft (Master 1) • Avec Niels Baljet, Francesco Barone, Charles Ducerisier, Lucile Du gal, Hui Chun Hoi, Wen Jun, Tarryn Leeferink, Zychen Liu, Javier Lopez-Menchero, Prokop Matej, Marek Nosek, Matteo Pavanello, Iason Stathatos, Olina Terzi, Loes Thijssen, Soo Woo • Dirigé par : Winy Maas (MVRDV), Felix Madrazo, Adrien Ravon, Arendt Van Waart
Aujourd’hui, 54 % de la population mondiale habite dans une zone urbaine, ce pourcentage devrait grimper jusqu’à 66 % d’ici 2050. Au-delà d’un besoin urgent pour le développement de nos politiques d’urbanisation durables , une question cruciale se pose : Quelle sera la qualité du “modus vivendi” des intérieurs de ces mégalopolestentaculaires?Noussommestémoinsd’unearchitecture qui efface l’identité de l’utilisateur pour essayer de transformer notre vie quotidienne en une torture spatiale , où le rêve est impossible. Même la banlieue, prêchée à travers le monde comme un moyen de parvenir à la liberté, s’est avérée être le totem de la standardisation, en totale contradiction avec l’idée d’une architecture qui puisse répondre aux exigences et aux désirs de son utilisateur. EgoCity , propose un nouveau modèle urbain, qui tire sa matière première de l’ensemble des fantasmes fous de ses habitants. Ce projet va bien au delà d’un théâtre de folies architecturales formelles et aspire à construire, dans des conditions urbanisées et denses , un rêve participatif , une mosaïque vivante qui contient une quantité illimitée de situations désirée. Plutôt que de se concentrer sur un résultat esthétique , un intérêt particulier a été manifesté dans le développement d’un processus de jeu approprié, qui serait capable de présenter spatail potentiel . Nous considérons que cette apparition constante de typologies inattendus véhicule une nouvelle architecture pleinement axée sur l’homme et ses désirs.
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Boston
Brasilia
Amsterdam
Londres
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Hybrid NAI museum • Erasmus à la TU Delft (Master 1 • dirigé par Hans Kalkhoven
Le NAI à Rotterdam est un bâtiment déconnecté de son environnement. La réhabilitation propose d’améliorer la qualité de vie des locaux par une approche lowtech de l’architecture : le principe est de retourner le problème lié à la façade en réétudiant aussi l’intérieur de l’édifice. Le concept tend à réaliser un bâtiment introverti, fermé sur lui-même, mais ouvert à l’intérieur sur un atrium. La conception d’un mur trombe opaque, et d’une double peau en polycarbonate pour les bureaux offre une meilleure rentabilité et gestion du chauffage. L’ajout d’un stockage intersaisonnier ainsi que de plantes permet la mise en place d’une complémentarité entre tous les dispositifs. Ces différents procédés sont ainsi destinés à créer un élément hybride général indépendant. Le coeur du projet réside dans le dessin et l’étude de ces différents détails techniques.
1: 2: 3: 4: 5:
Double skin chimney, operable ia mechanical louvers system Double skin with polycarbonate facade Trombe wall (brick structure with black painting finishing) Steel structural beam hung to the existing roof structure New concrete floor slab 34
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Winter day
Winter night
Summer day
Summer night
Air flow guide plate (hydraulic system), extruded aluminum drive by electric motor Electric blind with termo insulation Steel structure beam Polycarbonate facade Brick wall (with black painting finition) Mortar
Electric generator louvers
Hydraulic system Mechanical vent louvers electric generator louvers
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Insulated polycarbonate pannel IPE junction Beam to bear the new indow facade
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Oasis urbain • Licence 3 • avec L. Noguès et V. Portron • dirigé par J-P. Calori et F. Chas
Le sujet se concentre sur la conception d’un centre civique à Meudon, en essayant de créer une continuité totale dans un ensemble monolythique tourné sur lui-même, introverti, une sorte d’oasis urbaine qui accueille de très différents programmes (dojo, piscine, restaurant , bibliothèque, salle de concert ...). Le projet dialogue avec d’autres macro objets presents sur le territoire (un hôpital, un cimetière, un vieux fort ...) et agit lui aussi comme une entité indépendante avec sa propre organisation interne. L’autre concept du projet réside dans son principe constructif qui implante le bâtiment dans une zone critique du site, sur une pente avec un unique un mur de soutènement porté par une trame
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Sediments • Concours (120H) • avec J. Vincent et M. Eon
Si l’homme désire conserver son architecture, c’est avant tout pour perpétuer la mémoire et de l’identité d’un lieu. Les bâtiments les souvenirs d’une époque révolue. Le paysage vierge et magnifique, la ville parallèle, ville rêvée, le principe de colonie et de migration, forment les différentes caractéristiques de ce lieu singulier qu’est Pyramiden. Ce sont ces aspects qui doivent être préservés, et non la finalité formelle de cette ville. Sediments conserve cette identité en offrant une alternative à deux idées extrêmes; d’une part la destruction et l’abandon (Tabula Rasa) et d’autre part l’immortalité, la vie artificielle... Il est question d’un troisième modèle mûre qui parvient à faire son deuil et prend conscience du passage du temps, et donc, de son passé, de sa décomposition... Le processus que nous suivons tente de réinterpréter d’une manière littérale, ironique et frénétique, les idées de sédimentation, de stratification et de carotte historique présents dans les écrits de Colin Rowe (“Collage City”) ; tout comme le passé est inspiré par le passé, la ville se construit sur la ville. L’architecture suit alors deux directions, toutes deux verticales; d’un côté le passé et la disparition se dirigent inlassablement vers le sol, alors que le présent, la construction et la vie s’orientent vers le ciel.
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Transformarchitecture • Concours (120H) • avec J. Vincent
Le projet aborde la question du développement durable en mettant l’accent sur le principe de transformation, de mutation, et d’adaptabilité en architecture. L’architecture transformable présente un autre visage de l’éco-responsable, présentant une architecture qui s’adapte. L’alternative que nous proposons est utilisée ici pendant et surtout après l’événement, de manière à transmettre les idéaux du Festival, avec 2 temporalités; I - créer un point de rencontre, favoriser de nouveaux échanges (hamacs, bar à smoothies, ...). II - convertir le bâtiment en un point central du parc, (kiosque, toilettes publiques,...).
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STEP 1 (during the Festival)
lounge space
smoothie bar
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STEP 2 (after the Festival)
music kiosk
playground
public bathrooms
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Orange Horizon • Concours YAC 2017 • avec B. Fitzelier
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Horizon & Perspective
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the landscape also adopts the Lamborghini color, a glowing orange. The main actor is no longer the object placed, but the automobile itself. While Architecture becomes immaterial, the real traces reside in an ephemeral glow that gradually disapears into the horizon. As an allusion to the future, the new horizon represents the technical and poetic innovation that formalizes daily the Lamborghini factory.
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140 logements face au Bois de Boulogne Paris 16ème • Phase APS • Paris, avenue du Maréchal Fayolle (Paris XVIe) • SANAA (Kazuyo Sejima et Ryue Nishizawa)
3 bâtiments à la forme de goutte s’organise face au parc. Leurs emplacements créent des failles, où le regard vient s’échapper le long des façades courbes des 140 logements. La surélévation sur pilotis laisse place à une grande porosité au rez-de-chaussée de ces volumes identiques (structure, façade, hauteur). Seule leur forme diffère, donnant à chaque appartement des caractéristiques spécifiques. C’est un paysage qui vient donc prolonger le parc du bois de Boulogne, formé pqr de légères dunes plantées, permettant l’accès aux espaces d’entrée par de faibles pentes.
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CONSTRUCTION NEUVE DE 100 LOGEMENTS ET PARKING | APS | PLAN R+1 | 1/200 | 24 04 2013
500 logements et une crèche à Marseille • Phase Concours (Projet non retenu) • Site Clot Bey (Marseille) • Ateliers Jean Nouvel
Non loin de la côte méditerranéenne, c’est un programme d’ilôt mixte de logements, crèche et ateliers qui vient s’implanter entre la mer et l’Unité d’Habitation conçue par Le Corbusier. S’insipirant de l’architecture des temples hindouistes, les habitations se couvrent des rideaux aux couleurs de la ville. Comme un rempart, l’ilôt protège une vallée cachée, encombrée par les arbres et la végétation foisonnante, un chemin enfantin qui mène à l’école. Une autre promenade de 600 mètres est offerte sur les toits, où s’enchaînent jardins privés, piscines, espaces partagés...
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Felix Borel +336 76 01 11 55 felixborel@hotmail.fr
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