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PORTFOLIO FÉLIX HAMEL
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Boutique Planète Cycles & Skis Projet privé
Institutionnel Repenser l’école pages 22 -29
pages x - x
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Café le Guichet Projet privé pages x -x
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Patrimoine Équilibrium pages 10 -15
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Design Urbain le nouveau Stadaconna
Institutionnel Engramme
pages x - x
pages 16 -21
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RĂŠsidentiel le quartier singulier pages 6 -9
8 Autres rĂŠalisations Photographie pages 34 -37
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30/06/1994 659 London, Sherbrooke J1H 3N2
felix.hamel.2@ulaval.ca
873-200-1034
Logiciel de design Autocad Revit Sketcup Pro Rhino 3D Grasshopper Su podium Maxwell Logiciel de graphisme / bureautique Photoshop Illustrator Indesign Lightroom Acrobat suite office
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Parcours professionel 2010-2011
Entretient de ski de fond / service à la clientèle Boutique Lecoureur, Sherbrooke
2011-2014
Service à la clientèle Boutique Vélomania, Sherbrooke
2014-2018
Service à la clientèle Boutique Bicycles Record, Québec
2016
Assistant analyste, projet de PIIA, Ville de Sherbrooke Michel Hamel Architecte
Stagiaire en architecture Cimaise architecture, Sherbrooke Chargé de projet, agrandissment de la boutique Planète Cycles & Skis, Magog Chargé de projet, Café le Guichet et rénovation des bureaux de Dialogs, Sherbrooke
2017 2017 2017
Chargé de projet, Rénovation d’un immeuble de 6 logements au 1196 rue Maisonneuve, Magog Chargé de projet, conception d’une résidence unifamilliale au 38 rue Corbeil, Saint-Anne-Des-Plaines
2018 2018
Parcours scolaire 2006-2011
École secondaire du Triolet / profil sports-étude
2011-2014
Cegep de Sherbrooke / DEC en sciences humaines membre de l’alliance sports-étude
2014
Certificat en administration des affaires, Université Laval en cours d’obtention
2015-2018
Baccalauréat en science de l’architeture, Université Laval (session d’hiver 2018 réalisée à l’université libre de Bruxelles, Belgique)
2018
Maitrise en science de l’architeture, Université Laval en cours d’obtention
2019
Formation Revit Architecture (formation de 45h) en cours d’obtention
Parcours sportif Membre de l’équipe du Québec de Biathlon de 2008 à 2015 Étudiant/athlète de l’année, niveau national, 2011 école secondaire du Triolet
champs d’intérêts - Sports (vélo, ski, course à pied, etc.) - Photographie - Cuisine
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Boutique Planète Cycles & Skis 681 rue Sherbrooke, Magog
en collaboration avec Michel Hamel Architecte
Fondée en 1966 sous le nom de Guy Bicycles, la boutique Planète Cycles & Skis de Magog est bien connue des adeptes de plein air de la région. En plus d’offrir une expertise de premier plan dans le domaine du vélo, ce magasin se spécialise aussi dans l’entretien et la vente de ski de fond et ski alpin, avec des outils de travail à la fine pointe de la technologie. L’ancien magasin, composé de plusieurs bâtiments
ayant été greffés les uns aux
autres au fil du temps, ne répondait plus aux besoins de nos 2 propriétaires, Jean et Marie-Josée, il fallait donc leur offrir un nouvel environnement de travail à la hauteur de leurs ambitions. Ainsi, en plus de s’inscrire dans un design résolument contemporain, la nouvelle boutique se dote d’une plus grande superficie de vente tout en offrant des espaces plus intéressants et efficaces pour le personnel et les clients. Avec son intérieur lumineux et accueillant et son design unique dans ce secteur de la ville, l’expérience client chez Planète Cycles & Skis a fait un grand bond vers l’avant, au grand bonheur de nos 2 propriétaires
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BÂTIMENT INITAL
BÂTIMENT PROPOSÉ
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E.B
E.H
E.B
NOUVEL ESCALIER POUR ACCÈS AU SOUS-SOL
AIRE DE VENTE ACCESSOIRES EXISTANT
AIRE DE VENTE ACESSOIRES
NOUVEAU COMPTOIR CAISSE
NOUVEAU
AIRE DE VENTE VÉLOS EXISTANT
AIRE DE VENTE ET LOBBY
E.H ÉTABLIS DOUBLES
NOUVEAU
SALLES D'ESSAYAGE
POUTRES DE LAMELLÉ-COLLÉ (VOIR STRUCTURE)
AIRE DE VENTE VÊTEMENTS
ÉTABLIS
MACHINE ENTRETIEN SKIS
PIED DE TRAVAIL
ÉTABLIS
ATELIER
NOUVEAU
ÉTABLIS
PIED DE TRAVAIL
RAMPE ET ESCALIER D'ACCÈS EN BÉTON MACHINE NETTOYAGE ÉTABLIS
E.H
PLAN RDC ÉCHELLE : 3/32’’ = 1’
ÉLÉVATION PRINCIPALE ÉCHELLE : 3/32’’ = 1’
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Café Le Guichet
2370 rue Galt Ouest, Sherbrooke en collaboration avec Michel Hamel Architecte
. L’entreprise Dialogs, spécialisée dans le contact client, la recherche marketing et la gestion de panels, a déménagé dans les locaux de l’ancienne caisse populaire Desjardins de la rue Galt Ouest en 2013. À l’instar de la majorité des caisses populaires, on accède aux locaux de l’entreprise par un grand hall central double hauteur dans lequel on retrouve encore en fonction des guichets automatiques. Soucieux d’offrir un environnement de travail agréable pour leurs employés, Alexandre et Christian, les 2 associés, voulaient emménager dans leurs locaux un espace propice à la pause-café. De là est venue l’idée de réutiliser l’espace occupé par l’ancienne rampe pour handicapée dans le grand hall d’entrée pour le projet. De cette façon, le café pourra aussi bien être utilisé par les employés chez Dialogs que par les gens utilisant les guichets automatiques. En plus de cela, la double hauteur du hall d’entrée a rendu possible l’ajout d’un espace à l’étage destiné aux réunions. Le design sobre et élégant du nouveau commerce ne nous incite qu’à une chose, prendre le temps de s’arrêter pour savourer un café à emporter.
15 Lattes de bois ajourée en 2x3 logo de l’entreprise
revêtement en panneaux d’OSB peints en noir local de conférence pour l’entreprise
Local pour la conciergerie espace cuisine et caisse céramique mosaique noir au mur AXONOMÉTRIE DU PROJET PROPOSÉ
comptoir lunch revêtement en contreplaqué
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Canopée
parrainé par l’architecte Pierre Thibeault
en collaboration avec Mathilde Linze et Eléonore Ambroise
Le projet d’école primaire de La Canopée prend place sur le site de l’actuelle école St-Coeur-de-Marie, dans le village de Rivière-à-Pierre. Fort de la connexion bien présente
entre
le village et la nature environnante, l’école de La Canopée tire profit de ce paysage et vient s’implanter en plein coeur de la forêt. En s’inspirant du principe de certaines écoles scandinaves, le projet prend la forme de plusieurs pavillons reliés par un réseau de circulation extérieures ludiques, permettant à l’enfant de développer son autonomie et sa sensibilité environnementale tout en favorisant la concentration et la créativité. Le concept est poussé à son paroxysme en proposant des salles de classes de musique, d’arts et de science qui sont encore plus isolées dans la forêt, faisant des séances de cours une expédition en pleine nature. Audacieux, ce projet innove dans le sens où on redonne la forêt aux enfants pour en faire un moteur pour l’éducation, stimulant et amusant
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: 20’ : 4’
PHOTO DE MAQUETTE
: 3’30’’
: 13’
: 9’
PLAN D’IMPLANTATION
PHOTO DE MAQUETTE
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E.H.
PLAN D’ENSEMBLE
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PERSPECTIVE D’UNE RUE D’APRENTISSAGE
COUPE LONGITUDINALE DU PARCOURS ET DES GRAPPES DE CLASSES
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PERSPECTIVE INTÉRIEURE DEPUIS UNE CLASSE
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ÉQUILIBRIUM parrainé par l’architecte Jaques Plante
Ce projet visait à proposer de nouveaux locaux pour le centre de généalogie de Québec. Équilibrium s’articule autour de l’arsenal et du corps de garde, 2 bâtiments militaires datant de la fin des années 1700. Le projet regroupe principalement des bureaux pour des magazines, des ateliers et un centre de documentation, pièce maîtresse du nouveau centre, que l’on retrouve dans l’extension proposée. L’idée derrière le geste architectural est de créer un grand porte-à-faux qui s’ouvre vers le parc, rasant de près le muret existant. Ce porte-à-faux est d’ailleurs possible grâce à une structure constituée de membrures d’acier triangulées. Visible en partie depuis l’extérieur et complètement dénudée de l’intérieur, cette structure devient donc un élément de design fort au projet. Enfin, le jeu de matérialité entre le 2 étages, très contrasté, amène cette idée de flottement, ou plutôt d’équilibre précaire entre les 2 entités.
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PLAN DU RDC
COUPE LONGITUDINALE
PLAN DU 1er ÉTAGE
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PLAN DU 2e ÉTAGE
SCHÉMA DE PARTI ARCHITECTURAL
COUPE TRANSVERSALE
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PERSPECTIVE DEPUIS LA COUR
PERSPECTIVE DEPUIS L’AXE DE CIRCULATION
ÉLÉVATION NORD
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PERSPECTIVE DEPUIS LE CENTRE DE DOCUMENTATION
ÉLÉVATION OUEST
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ENGRAMME
parrainé par l’architecte Richard Cloutier Ce projet consiste une proposition pour les nouveaux locaux d’Engramme, collectif artistique basé à Québec spécialisé dans la production et la diffusion des produits de l’estampe et de la gravure. L’idée de base est d’éclater le programme selon 2 parties, pour offrir d’un côté des ateliers pour les artistes et de l’autre, une salle d’exposition polyvalente. Ainsi, le bâtiment se compose de 3 volumes distincts : 2 blocs de fonctions massifs cintrés par un volume léger et transparent donnant sur un oasis de végétation. L’idée de ce jardin intérieur part de la nécessité d’amener de la lumière dans les ateliers et, au final, c’est cette présence végétale qui devient le point de pivot entre la salle d’exposition et les espaces de travail. De plus, les panneaux de zinc perforés au niveau des fenêtres de la salle d’exposition permettent de contrôler l’entrée de lumière directe et offrent un clin d’oeil intéressant aux techniques de l’estampe.
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COUPE PARTIELLE DE LA SALLE D’EXPOSITION
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ÉLÉVATION PARTIELLE DE LA SALLE D’EXPOSITION
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PERSPECTIVE SUR LE JARDIN INTÉRIEUR
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PERSPECTIVE DEPUIS LE TOIT TERASSE
PERSPECTIVE DEPUIS LA SALLE D’EXPOSITION
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LE QUARTIER SINGULIER
parrainé par l’architecte Pierre Côté En collaboration avec Marianne Dallaire
Le quartier singulier est un projet qui met de l’avant le principe de la cohabitation et tout ce qu’il implique : salon, cuisine, jardin et espaces extérieurs communs. Implanté sur la rue St-Jean, l’idée directrice derrière ce projet réside dans le fait d’offrir des logements uniques pour chacun des résidents de la communauté et ainsi de créer un sentiment d’appartenance et d’appropriation plus fort chez l’usager. L’un des éléments forts du quartier, et ce qui fait du même coup sa singularité, est l’idée des coursives que l’on vient dissocier des logements. Ce geste permet d’offrir à chaque résident une passerelle privée menant à son logement, renforçant ainsi l’idée de privauté et de singularité du projet. Pour compléter le programme, on retrouve au rez-de-chaussée un restaurant qui sera exploité par les résidents du bâtiment ainsi qu’une terrasse commune et des serres au toit.
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PERSPECTIVE INTÉRIEURE D’UN LOGEMENT
PERSPECTIVE INTÉRIEURE D’UN LOGEMENT
PLAN TYPE D’UN ÉTAGE
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COUPE LONGITUDINALE
ÉLÉVATION OUEST
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le Nouveau Stadaconna
incinérateur de la ville de Québec
parrainé par l’architecte Gianpiero Moretti
en collaboration avec Maxime Nadon-Roger, Michael Comtois et Guillaume Cardinal
Parc Maizeret
Le quartier du Nouveau Stadaconna s’implante dans un ‘‘méga’’ îlot indus-
quartier Limoilou
triel, qui est délimité par le quartier de Limoilou à l’ouest, le quartier Maizeret à l’est et l’embouchure de la rivière St-
boulevard des capucins
Charles ainsi que le quartier St-Roch au sud . 3 entités prédomine dans ce sec-
autoroute Dufferin-Montmorency
teur : l’incinérateur de la ville de Québec, qui cherche à se renouveler, l’autoroute Dufferin-Montmorency, importante bar-
papeterie White Birch
rière au développement et infrastructure sous-utilisée ainsi que la papeterie White Birch, qui est en voie de disparaître. L’essence même du projet repose sur le principe d’économie circulaire qui pourrait être engendrée par la réutilisation de l’énergie produite par la combustion de déchets. Celle-ci servirait à alimenter des serres verticales qui prendraient forme autour de la structure de l’autoroute. Le produit de ces serres serait ensuite redistribué dans toute la ville et entre autres
direction Vieux-Québec
dans la section patrimoniale de la papeterie, maintenant transformée en plateforme économique importante avec des commerces, des bureaux et des espaces publics.
VUE EXISTANTE DU SITE
embouchure de la rivière St-Charles et Fleuve St-Laurent
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secteur de l’entrée du nouveau quartier
secteur des darses secteur de l’autoroute
secteur de la papeterie
PLAN D’ENSEMBLE PROPOSÉ
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PERSPECTIVE DEPUIS LA NOUVELLE INTERSECTION
Le projet a été travaillé plus en détail selon 4 secteurs distincts. Ce premier secteur est celui de l’entrée de quartier, qui a, entre autres, été guidé par le retrait des bretelles de l’autoroute. Cela a d’abord permis de restructurer le boulevard des Capucins et de prolonger la rue des Sables jusqu’au nouveau quartier. De cette façon, l’intersection met de l’avant la mobilité active et collective avec l’arrivée du futur Trambus et de l’actuel Metrobus. Cette intersection permet aussi de nous diriger vers un centre d’interprétation qui se trouve à la tête de la colonne de production agricole composée des serres verticales. En plus d’être un élément signalétique pour l’entrée dans le secteur, ce centre fera office de vitrine pour expliquer le fonctionnement et faire de la sensibilisation face à l’agriculture urbaine. Pour venir compléter cet îlot, on y implante un complexe de cohabitation avec plusieurs typologies de logements et plusieurs espaces collaboratifs, tels que des jardins communautaires..
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AXONOMÉTRIE DU CENTRE D’INTERPRÉTATION ET DE L’ENTRÉE DU NOUVEAU QUARTIER
AXONOMÉTRIE DU COMPLEXE DE COHABITATION
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PERSPECTIVE SOUS L’AUTOROUTE
Le secteur de l’autoroute est là où se concentre la majeure partie de l’agriculture urbaine dans le projet. Autour des piliers extérieurs de chaque axe structural s’articule un module de serre verticale dont les dimensions et le nombre d’étages varient en fonction de ce qui se passe sous l’autoroute. Tous ces modules sont reliés entre eux par un axe de circulation qui permet de faire transiter les récoltes jusqu’à un centre de distribution, à l’autre bout de la chaîne. Le fait d’avoir retiré une partie des bretelles de l’autoroute en amont permet de venir réutiliser une voie de part et d’autre pour l’implantation de ce corridor de circulation. Sous l’autoroute, nous avons maintenant un axe de circulation marchable et cyclable ludique qui permet de venir rétablir la connexion verte entre le parc linéaire de la rivière St-Charles et le parc Maizeret. Le dessous de l’autoroute devient maintenant appropriable avec plusieurs activités possibles, comme des parois d’escalade, un skatepark et des modules de jeux pour enfants.
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AXONOMÉTRIE MONTRANT LE FONCTIONNEMENT DES SERRES
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PLAN D’ENSEMBLE DE LA PAPETERIE
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Le secteur de la papeterie représente en quelque sorte le coeur du projet. L’industrie du papier en fort déclin et l’avenir de la papeterie étant en péril, un changement d’usage doit s’imposer. Après sa construction en 1930, plusieurs bâtiments «parasites» sont venus se greffer à la partie originale. Aujourd’hui, la proposition consiste à revenir à l’entité d’origine en conservant les sections patrimoniales du complexe pour leur attribuer de nouvelles fonctions. Comme cette section représente néanmoins une superficie très importante, 2 axes traversant tout le bâtiment sont créés pour venir augmenter la perméabilité (une galerie piétonne et une rue partagée). À l’intérieur du bâtiment, on retrouve maintenant plusieurs commerces et restaurants au rez-de-chaussée ainsi que des espaces de bureaux et des starts-up d’entreprises aux étages. À l’extérieur, plusieurs places publiques collectives, permettent de rehausser l’expérience de l’usager et de faire le lien entre le canal, le fleuve et le bâtiment.
PERSPECTIVE DE LA GALLERIE DES PAPETIERS
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PERSPECTIVE DU CANAL ET DES ESTRADES
COUPE GÉNÉRALE DU QUARTIER
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Le dernier secteur est celui des darses et représente le coeur résidentiel du projet. Ce quartier a été guidé par le concept de résilience au fleuve. Avec l’enjeu du réchauffement climatique et l’inévitable montée des eaux qui y est associée, le quartier se devait d’être conçu de manière à faire face aux potentielles crues du fleuve. Le canal principal permet donc de contenir ces crues en plus de rendre l’eau accessible au plus grand nombre, autant en hiver qu’en été. De plus, des bassins de rétention connectés à des zones tampons humides permettent de gérer aussi l’eau de manière efficiente. Dans les cas les plus extrêmes, les parkings souterrains en coeur d’îlot peuvent servir de bassin temporaire lors de la montée des eaux. Enfin, les bâtiments ont été travaillés de manière à offrir une densité urbaine optimale (environ 90 logements/hectares) tout en permettant un apport solaire efficace pour tous les logements, le tout en diminuant l’emprise de la voiture sur les rues et en les rendant plus marchables et conviviales.
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METROPOL PARASOL en collaboration avec Maxime Nadon-Roger, Félix Arsenault-Ouellet et Olivier Dubois-Bergevin
Cette maquette du Metropol Parasol de Séville, des architectes J. Mayer et Arup, a été réalisée dans le cadre d’un cours de conception numérique. Le projet à d’abord été entièrement (re)modélisé sur le logiciel Rhino3D. Puis, des médiums tel que l’impression 3D plastique (pour la base) et la découpeuse laser (pour la canopée) on été utilisés pour réaliser la maquette.
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PIXELATED CLOUD en collaboration avec Maxime Nadon-Roger, Félix Arsenault-Ouellet et Olivier Dubois-Bergevin
Dans le cadre d’’une exploration des outils numériques, l’atrium se transforme en terrain de jeu pour les concepteurs. Cette brume numérique agit comme ornement, lieu de repos, lieu de transit et forme ainsi la couleur de l’atrium. Par ses jeux de textures et de couleur, l’objet module l’espace et transforme l’expérience spatiale des usagers du bâtiment.
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PHOTOGRAPHIE
GORGES DE LA RIVIÈRE MAGOG, SHERBROOKE
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PORT HOUSE DE ZAHA HADID, ANVERS, BELGIQUE
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CASCADE DANS LES WHITES MOUNTAINS, ÉTATS-UNIS
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GLENFINNAN BRIDGE, ÉCOSSE
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FĂŠlix Hamel felix.hamel.2@ulaval.ca 873-200-1034