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FRÉJUS
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Fascinée par l’univers onirique de Tim Burton, la réalisatrice de cinéma Christelle Raynal a décoré son appartement parisien comme une succession de saynètes aux histoires différentes. Elle y imprime son style, foisonnant, facétieux et hétéroclite…
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Reportage CHRISTÈLE AGEORGES Photos ROMAIN RICARD
À GAUCHE Une salle à manger féminissime, comme un boudoir. Au mur, le miroir de Mathias Kiss joue les trublions. La table de ferme, chinée, est entourée de chaises en velours, Søstrene Grene. Chandelier, Habitat. Fleurs, Muse à Montmartre. Chiné chez un passementier, le lustre est un prototype du décorateur Jacques Garcia. Appliques chinées, sur lesquelles Christelle a ajouté des franges. Photo d’Yasuyuki Takagi. Sur le radiateur, sculpture-biscuit, Fleux. Sur la cheminée, globes Deyrolle. Tapis, chiné. Peintures, Farrow & Ball. À DROITE Posé sur une estrade, le salon assume son décor scénique. Un subterfuge qui permet à Christelle d’installer de la moquette pour le plaisir d’y marcher pieds nus. Le canapé vert, AM PM, s’anime de coussins Charlene Mullen (le noir), H&M et Ikea (le brodé). Il côtoie une bibliothèque jaune sur mesure et un fauteuil en léopard, chiné à Saint-Ouen, recouvert d’un coussin Donna Wilson chez Fleux. Moquette sur mesure, Hartley of Paris. Dans la bibliothèque, tableau, chiné. Au fond de la pièce, une œuvre de Lucas Weinachter, encadré d’appliques “Cesendello” en soie, Fortuny. Table basse, Alinea, avec des vases et pots H&M. Suspension, Mise en demeure. Prie-Dieu, chiné. Pouf, Flamand, avec un plaid en mouton, Ikea. Lampe rose à franges, BHV. Christelle a changé l’abat-jour de l’applique au premier plan, installée par les précédents propriétaires. Peintures, Farrow & Ball.