L’Eté musical de Saint-Robert et les Estivales du Chalard s’associent et deviennent le Festival mille et une notes
Du 20 juillet au 14 août 2009 Musique classique et sites remarquables en Limousin
Dossier de presse Programmation page 4 37 ans de rencontres musicales 20 représentations 11 lieux 3 semaines de spectacle
Contact presse Gaëlle DELAHAYE Responsable communication communication@festival1001notes.com Tel. 06 98 80 79 71 www.festival1001notes.com
Sommaire
Programmation 2009
p3
Programmation 2009......................................................................................p 3 La Direction Artistique....................................................................................p 6 Biographies des artistes.................................................................................p 7
Les lieux d’accueil du Festival
p 16
La carte du Festival.......................................................................................p 16 Les 11 lieux 2009..........................................................................................p 16
Présentation du Festival
p 20
Le Festival mille et une notes : fusion de 2 festivals Limousins....................p 20 Historique......................................................................................................p 21
Informations pratiques
p 23
Renseignements Horaires Tarifs Réservations
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Programmation 2009
Liliroze © Mira
© Jean de La Tour
Le Festival mille et une notes a imaginé pour sa 37e édition une tournée musicale de trois semaines réunissant le meilleur de la musique classique et des sites remarquables du Limousin. Cette année le Festival se déroulera du 20 juillet au 14 août 2009 en compagnie notamment d'Anne Queffélec, de l'Ensemble Baroque de Limoges, de Nemanja Radulovic, de Raphaël Pidoux…
Plus de 120 artistes invités… Soliste, duo, quatuor, orchestre, se sont au total plus de 120 artistes, talents du Limousin ou artistes d'origine étrangère qui seront invités cet été à la première édition du Festival mille et une notes.
Cette année l'accent sera mis sur les rencontres entre les générations d'artistes : des jeunes artistes confirmés (Bruno Philippe, Sélim Mazari, Nemanja Radulovic, Laure Favre-Kahn..) aux artistes dont la réputation n'est plus à faire (Anne Quéffelec, Raphaël Pidoux, Christophe Coin…), la programmation oscillera entre nouveauté et expérience avec notamment un concert réunissant le maître et l'élève : Raphaël Pidoux et Bruno Philippe.
20 spectacles musicaux… Le Festival a dessiné pour sa 37e édition une programmation teintée de découverte et de magie autour de 20 spec-
concerts, contes musicaux, kiosque à musique.... Presque toutes les forde la musique médiévale à la musique classique avec quelques détours vers le jazz et les musiques traditionnelles et pourquoi pas un tacles musicaux :
mes de la musique seront représentées :
récital de piano allant de Bach jusqu'à Gainsbourg ? Les enfants, quant à eux, trouveront leur bonheur avec une programmation adaptée : contes musicaux, ateliers ludiques, visites de ferme…
… dans 11 lieux… Festival itinérant, le Festival mille et une notes sillonne le Limousin à la recherche des plus beaux sites de la Région : églises, abbayes, châteaux, trésors architecturaux… Cet été, les festivaliers pourront découvrir ou redécouvrir 11 sites d'exception comme l'Abbaye du Chalard, édifiée au XIIe s., le village médiéval de Saint-Robert ou le Pôle de Lanaud construit par Jean Nouvel.
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Programmation 2009 - Festival 1001 notes Musique classique
Musique du Monde et Musique traditionnelle
Lundi 20 juillet - Jardin Philippe Ranoux de St Robert - 17h
Contes musicaux
Lundi 3 août - Pôle de Lanaud - 21h
Concert d’Inauguration Poussière d’étoile (quatuor à cordes) Piazzolla, Haydn, danses irlandaises, Yiddish Le Festival mille et une notes invite pour son concert d’inauguration un jeune quatuor made in Limousin, pour un kiosque à musique en plein air … Leur répertoire à la fois classique et ludique offre une rencontre des cultures à la mode d’antan.
Mercredi 22 juillet - Esplanade des Loisirs d'Objat - 21h
La Nuit du Jazz New Orléans Happy Jazz Band (ensemble)
Liliroze © Mirare
Bill Bailey, Canal street blues, Doctor Jazz, Jazz me blues, Tiger Rag La Nouvelle Orléans s’installe à Objat pour une soirée orchestrée par le groupe Happy Brass Band. De Louis Armstrong à Miles Davis, le New Orléans Happy Jazz Band aime mélanger les genres et base son répertoire sur une solide rythmique (Ganjo, soubassophone, caisse claire et grosse caisse) et sur de talentueux solistes (trompette, clarinette et trombone).
Jeudi 23 juillet - Eglise de Saint-Cyprien - 21h
Triptique - archets de cristal Anne-Elisabeth Hasler (soprano) Ensemble Hope (Cristal Baschet) Purcell, Satie, Poulenc, Ravel, Bousquet, Millon, Labarsouque, Hasler, Steptoe C’est dans une bulle de cristal et de sonorités nouvelles que nous emmène l’Ensemble Hope. Il revisite les répertoires classiques et appréhende les programmes modernes en faisant appel à des techniques et des matériaux aussi curieux qu’exquis : cônes en fibre de verre, plaque de métal en forme de flamme, axes métalliques, archets de cristal…
Anne Queffélec (piano) Bach/Busoni, Marcello/Bach, Bach/Hess, Bach/Kempff, Mozart, Chopin Concert en partenariat avec la Banque Tarneaud Pianiste incontournable de la scène française et internationale, Anne Queffelec nous invite à redécouvrir les grandes pages du piano dans le cadre intimiste du Pôle de Lanaud.
Mardi 4 août - Eglise de Saint-Robert - 21h
Dimanhe 26 juillet - Ile de Vassivièr Jeudi 30 juillet - Eglise Brignac la Plaine - 21h Polyphonies Bulgares Chœur Bulgare " Saint Jean de Rila " Koïtcho Atanassov (Direction) Compositions médiévales, baroques, classiques ou contemporaines Dirigé par un chef et compositeur charismatique : Koïtcho Atanassov, le Chœur Bulgare " Saint Jean de Rila " fédère douze des plus belles voix d’hommes de Bulgarie dont les timbres sublimes donnent souvent le frisson.
Samedi 1er août - Eglise de Pageas - 21h Bertran de Born - troubadour de Hautefort Olivier Peirat (chant, ûd, vielle à roue, cornemuse) Mick Rochard (vièle, ûd, saz, guiterne, nay, cornemuses) Maurice Moncozet (chant, flûtes, chalèmie, saz, rebec) Chansons de guerre Chansons d'amour Sirventes Concert en partenariat avec le Parc Naturel Périgord-Limousin. Trois musiciens passionnés de l’œuvre des troubadours proposent un concert entièrement dédié à Bertran de Born, seigneur de Hautefort, personnage haut en couleur qui mit toute sa passion de cantador au service des causes politiques et guerrières de son temps.
“Concerto di Napoli” Autour de Leonardo Leo et Nicolas Fiorenza
Ensemble Baroque de Limoges Andrés GABETTA, Maï NGO (violons) Maria Tecla ANDREOTTI(flûte traversière) Christophe COIN (violoncelle) Willem JANSEN (clavecin) Christophe Coin, véritable ambassadeur musical du Limousin et l'Ensemble Baroque de Limoges proposent un programme napolitain original et de grande virtuosité.
Dimanche 2 août - Abbaye du Chalard - 16h Le Petit Prince Marcel Bonnaud, Arthur Guédès, Victoire Delage (récitants) Marie-Charlotte Carité (alto) Textes de Saint-Exupéry Imaginez-vous, une histoire magique racontée par le maire d'un village de 200 personnes, qui a passé sa vie dans la culture, au centre Pompidou et qui monte un spectacle avec des enfants de son village !
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Programmation 2009 - Festival 1001 notes Musique classique
Musique du Monde et Musique traditionnelle
Contes musicaux
Mercredi 5 août - Pôle de Lanaud - 21h
Lundi 10 août - Abbaye du Chalard - 21h
Transcriptions, chansons, improvisations... Bruno Fontaine (piano)
Sélim Mazari (piano)
Jeudi 6 août - Château de Jourgnac - 16h Le Petit Prince Marcel Bonnaud, Arthur Guédès, Victoire Delage (récitants) Marie-Charlotte Carité (alto) Textes de Saint-Exupéry Ce conte poétique et philosophique sur l’absurdité des «grandes personnes» sera un enchantement pour les petits et les grands.
Jeudi 6 août - Saint-Robert - 21h Roustem Saïtkoulov (piano) Chopin : 24 études , Liszt : sonate en si mineur" Virtuose exceptionnel, lauréat de cinq concours internationaux, Roustem Saitkoulov attaque deux des plus grands monuments pianistiques par la face nord et dans un seul programme. A ne pas manquer.
Vendredi 7 août - Eglise de Jourgnac - 21h Le Maître et l’élève Raphaël Pidoux (violoncelle) Bruno Philippe (violoncelle) Elodie Soulard (accordéon) Bach, Dutilleux, Offenbach Raphaël Pidoux, membre du plus grand trio français (le Trio Wanderer) et professeur au CNR de Paris invite son élève prodige ainsi que l’accordéoniste Elodie Soulard pour un concert d’une rare virtuosité. De leur union naîtra un disque coproduit par le Festival mille et une notes et le label Intégral.
Samedi 8 août - Abbaye du Chalard - 21h Romain Leleu (trompette) Julien Le Pape (piano) Enesco, Goedicke, Aratunian, Gluck, Arban « Révélation Instrumentale » des Victoires de la Musique Classique 2009, Romain Leleu est le nouveau phénomène de la trompette, ce jeune musicien de 25 ans simple et généreux, offre à chaque apparition une sonorité et une musicalité impressionnantes tout en nous étonnant par sa délicatesse et la douceur d’approche de son instrument.
Dimanche 9 août -Maison du Berger - Geneytouse - 16h Le Carnaval des Animaux - Histoire de Babar Marcel Bonnaud (récitants) Sélim Mazari (piano) Et si dans chaque instrument sommeillait un animal…N’y aurait-il pas dans le rugissement d’un lion des notes semblables à celles des instruments à corde ? Raconté par Marcel Bonnaud Le Carnaval des animaux de Saint-Saën vous dévoile une faune méconnaissable.
Bach, Mozart, Dutilleux, Chopin, Liszt A 15 ans, Sélim Mazari intègre la classe de Brigitte Engerer au CNSM de Paris après avoir été reçu à l’unanimité au concours d’entrée en février dernier. Un talent à suivre…
Mardi 11 août - Abbaye du Chalard - 16h Le Carnaval des Animaux - Histoire de Babar Marcel Bonnaud (récitants) Selim Mazari (piano) « …Dans la grande forêt, un petit éléphant est né. Il s’appelle Babar. Sa maman l’aime beaucoup. Pour l’endormir, elle le berce avec sa trompe en chantant tout doucement… ». Marcel Bonnaud accompagné de Sélim Mazari vous contera également la célèbre Histoire de Babar, une histoire d’ailleurs écrite en Limousin à Brive-la-Gaillarde.
Mardi 11 août - Eglise de St Robert - 21h Emmanuel Rossfelder (guitare) David Galoustov (violon) Vivaldi, Paganini, Sarasate, Piazzolla Le plus prisé des jeunes guitaristes d'aujourd'hui nous emmène avec son complice violoniste dans un voyage musical au travers du temps dans le cadre exceptionnel et intime de l'église de Saint-Robert.
Mercredi 12 août - Château de Brie - 21h © Eric Manas TRANSART LIVE
Schumann, E.Piaf/M.Monnot, Strauss, Barbara, Puccini, Gainsbourg, Sibelius, Contet/N.Glanzberg, Bach, Trenet Concert en partenariat avec la Mairie de Boisseuil. Bruno Fontaine, artiste éclectique et inclassable est le coup de cœur du Festival. Arrangeur pour Johnny Hallyday, Barbara Hendricks ou Paolo Conte il joue régulièrement avec l’Ensemble Orchestral de Paris et l’Orchestre Philharmonique de Radio France. « Mille Fontaine » fera renaître des artistes de Bach à Gainsbourg, pour prouver que l’âme de la musique classique se retrouve dans toutes les œuvres.
Nemanja Radulovic (violon) Laure Favre-Kahn (piano) Ravel, de Falla, Ginastera, Miletic, Schubert, Wieniawsky, Chopin, Bach, Khachturian, Piazzola, Szymanowsky Des artistes d'une présence scénique exceptionnelle pour un programme vif-argent dans le cadre remarquable d'un des plus beaux châteaux du Limousin.
Jeudi 13 août - Eglise de Saint-Robert - 21h Nemanja Radulovic (violon) Orchestre de la Nouvelle Europe (Direction Nicolas Krauze) Felix Mendelssohn, Bartok, Istvan Eröd L'étoile montante du violon rejoint l'Orchestre de Chambre de la Nouvelle Europe dans un programme orchestral exclusivement dédié aux instruments à cordes et faisant la part belle aux extravagances violonistiques et au tempérament fougueux et expansif de l'Europe Centrale.
Vendredi 14 août - Abbatiale de Solignac - 21h David Grimal (violon) Orchestre Nouvelle Europe (Direction Nicolas Krauze) Les 4 saisons de Vivaldi, Les 4 saisons de Piazzolla, Souvenir de Florence Op.70 en ré mineur, Tchaïkovski Voyage à travers les saisons, les époques et les continents. Le célèbre joyau du maître du violon baroque, suivi en écho de son clin d'œil extravagant à la sauce argentine, laisseront place pour conclure le festival à une des plus grandes pages du romantisme russe.
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Direction artistique La direction artistique du Festival mille une notes a été confiée à Nicolas Krauze, chef d’orchestre et fondateur de l’Orchestre de Chambre de la Nouvelle Europe. Jusqu’alors directeur artistique de l’Eté musical de Saint-Robert, Nicolas Krauze a écrit avec Albin de La Tour, une programmation tout en finesse s’accordant avec l’intensité de chaque lieu.
Albin de La Tour Directeur et co-programmateur
© Jean de La Tour
Fondateur d'Opus 87, agence de communication et d'évènements culturels, Albin de La Tour, a commencé à évoluer dans le secteur de la culture en tant qu'adminsitrateur d'un festival de musique en Ile-deFrance. En 2004, à l'âge de 24 ans, il a souhaité fonder un festival de musique au Chalard, village dont il est originaire. Depuis les Estivales du Chalard ont invité des artistes comme Jordi Savall, le Trio Wanderer, Alexandre Tharaud, Yuri Bashmet... En 2007, il crée au Pôle de Lanaud une saison musicale, les Récitals, un rendez-vous mensuel avec les plus grands pianistes de la scène actuelle.
Programmer un festival en duo est assez rare, comment s’est passé cette collaboration ? ...rare mais pas impossible, surtout quand les profils se complètent. Je connaît parfaitement la région, ses atouts, son public et les lieux de concerts, de son côté, Nicolas Krauze connait la musique et les attentes du public. Nous avons souhaité ne pas opérer de grands bouleversements dans les orientations artistiques des deux festivals. Chaque festival a écrit sa propre programmation par rapport aux attentes de son public, puis nous avons mis en commun nos idées, un réel échange s’est mis en place.
Nicolas Krauze Directeur artistique et co-programmateur Chef d'orchestre français né en 1974, Nicolas Krauze intègre à 17 ans, lauréat d'une bourse Lavoisier, l'Institut Gnessin de Moscou puis le Conservatoire Tchaïkovski de Moscou d'où il sortira avec cinq premiers prix. Nicolas Krauze récemment a été invité à diriger l'Academic State Symphonic Orchestra de St Petersbourg (Russie), l'Orchestre Symphonique de Briansk (Russie), l'Orchestre Symphonique de Györ (Hongrie), l'Orchestre Symphonique de Kielce (Pologne), l'Orchestre National de Lorraine, l'Orchestre National de Montpellier Languedoc-Roussillon, l'Orchestre de Chambre de Versailles, l'Orchestre National de Guayaquil (Équateur), l'Orchestre Symphonique de Bialystock (Pologne), l'Orchestre Symphonique de Rzeszow (Pologne), l'Orchestre Symphonique de Lublin (Pologne), le Moscow Excellente Chamber Orchestra (Russie) ou encore l'Orchestre National d'Ukraine. Il a également donné plus de 150 concerts avec l'Orchestre de Chambre de la Nouvelle Europe, formation dont il est fondateur-associé. Il s'est produit et se produira prochainement avec des solistes tels que François-René Duchâble, Sandor Javorkaï, Dimitri Maslennikov, Anna Marliewicz, Rafal Luszczewski, Nemanja Radulovic, Svetlin Roussev ou encore David Grimal. Dans le domaine lyrique, il a dirigé en tournées plusieurs productions (Faust de Gounod, Les Noces de Figaro, Trois Valses d'Oscar Strauss, La Veuve Joyeuse, La vie parisienne...).
www.nicolaskrauze.com
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Biographies des artistes de toutes les pratiques du spectacle vivant, il s'investit dans la régie, la scénographie et l'interprétation.
© Jean de La Tour
Marcel BONNAUD (Récitant)
Cette formation plurielle le conduit bientôt à la Maison de la Culture d'Amiens où il assure la coordination des différentes activités : théâtre, danse, cinéma, expositions,… avant d'intégrer l'équipe de réflexion sur la Maison du Spectacle à paris. En 1974, il est nommé directeur du centre d'Action Culturelle de Mâcon.
Titulaire d'un bac philo, Marcel Bonnaud se lance à 19 ans sur les planches en tant que comédien, puis metteur en scène : Théâtre National Populaire, Théâtre de la Cité Universitaire à Paris, Théâtre Récamier, Théâtre de l'Est Parisien, Centre Dramatique du Sud-Est d'Aix en Provence… Curieux
Dès 1976, il rejoint l'équipe du Centre Georges Pompidou, où il exercera, pendant vingt quatre ans, différentes activités liées à la pluridisciplinarité de l'établissement, dont celle de directeur des Manifestations et des Spectacles. Parallèlement, il est commissaire de nombreuses expositions
Ensemble Baroque de Limoges
Implanté en Limousin et résident permanent du château de La Borie, l'Ensemble Baroque de Limoges est salué par tous comme un ambassadeur de choix de la vie culturelle du Limousin que ce soit en France ou à l'étranger. Ses sorties discographiques sont régulièrement récompensées par des prix : Victoires de la musique classique, prix de l'Académie Charles Cros, Diapason d'Or, Choc du Monde de la Musique, ffff de Télérama…
L'Ensemble Baroque de Limoges, un orchestre international implanté en Limousin.
Christophe Coin
L'Ensemble Baroque de Limoges est un orchestre international qui explore, diffuse et fait partager l'univers musical de l'époque allant de Marin Marais au jeune Mozart en passant par Bach et Haydn. Sous l'impulsion de son chef, Christophe Coin, il redécouvre ainsi les maîtres ignorés par la postérité, les instruments en dehors du schéma classique et suggère un regard nouveau sur la partition et le répertoire. Si l'Ensemble Baroque de Limoges est l'invité des plus grandes salles et de nombreux festivals, il crée également les conditions d'une meilleure connaissance de la musique par un plus grand nombre : sensibilisation auprès du jeune public, formation de professionnels, animation d'un laboratoire de recherche appliquée, participation à la création d'un label discographique… ses activités dépassent les limites de la salle de concert.
Directeur de l'Ensemble Baroque de Limoges, fondateur du Quatuor Mosaïques, soliste, chef d'orchestre et chercheur, Christophe Coin est reconnu comme l'un des plus mûrs et des plus créatifs musiciens de sa génération. Ce passionné de lutherie et d'organologie est professeur de violoncelle et de viole de gambe au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris et à la Schola Cantorum de Bâle, il est membre du comité scientifique du Musée de la musique, Président de la Société Française de viole de gambe. Chambriste, violoncelliste, gambiste, chef d'orchestre, soliste, invité régulier des grands orchestres internationaux, Christophe Coin fait partie des personnalités rares qui façonnent peu à peu la musique d'aujourd'hui et de demain. Christophe Coin joue régulièrement sur un violoncelle Alessandro Gagliano de 1705 prêté par le Fonds Instrumental Français.
dont " Le tricentenaire de la mort de Molière " en 1973, au musée des Arts Décoratifs à Paris, " Vauban réformateur ", en 1982, au musée des Monuments français , ainsi que des rétrospectives Jean Messagier et Mario Prassinos au Grand Palais. En l'an 2000, Marcel Bonnaud retourne dans son berceau familial limousin, au Chalard, dont il devient maire en 2001. Bientôt, les ESTIVALES du Chalard frappent à sa porte, redonnant un prolongement inattendu et passionnant à son itinéraire culturel. Depuis 2005, il endosse le costume de conteur et de comédien pour les contes musicaux des Estivales du Chalard devenus en 2009 le Festival mille et une notes.
Festival Haydn d'Eisenstadt, les Folles journées de Nantes, Lisbonne et Tokyo, Radio-France/Paris, Cité de la Musique/Paris, Théâtre des Bouffes du Nord/Paris, la Sorbonne/Paris, Château de Versailles, Festival de Wallonie, Auditorium de Dijon, Festivals de Mondaye, Saint-Céré, Lanvellec, Théâtres de Noisy le Sec, le Creusot, Niort, Blois, Juvisy, la Rochelle, Grenoble, Metz, Montargis, Festival du Vieux Lyon, Queen Elisabeth Hall/Londres, et tournées dans de nombreux pays dont l'Allemagne (Weimar, Hambourg, Freiberg, Merzeburg, Leverkusen, Hessen, Krefeld), l'Espagne (Valence, leon, Madrid), le Portugal, l'Italie, la Suisse (St-Ursane, Lausanne, Bâle), En Limousin, Aubusson, Brive, Guéret, SaintYrieix, Festival de la Vézère, Festival de St Robert, Villefavart, Boisseuil, Argentat, Royère de Vassivière, Limoges, Solignac, Beaulieu…
Le Centre Culturel de Rencontre de La Borie et l'Ensemble Baroque de Limoges reçoivent le soutien de l'État (Ministère de la Culture et de la Communication), du Conseil Régional du Limousin, du Conseil Général de la Haute-Vienne, de la Communauté d'Agglomération de Limoges Métropole, de la Ville de Limoges et du Club des Entrepreneurs La Borie-en-Limousin.
www.ebl-laborie.com La Diffusion récente, présente et à venir 30 000 européens ont assisté à 43 concerts de l'EBL en 2006.
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Le Chœur Bulgare Saint Jean de Rila (Direction musicale : Koïtcho ATANASSOV)
Performance vocale, expérience mystique? Douze voix exceptionnelles conduites par Koïtcho Atanassov sont les témoins d’ une tradition millénaire et nous retracent en chœur dix siècles de foi et de musique mêlées. Titre du programme : « Liturgie Orthodoxe – entre passion et sérénité » Les Voix Bulgares de Saint Jean de Rila ont pris le nom du fondateur du plus important monastère bulgare, symbolisant la pérennité
© Philippe Demoulin
L’Ensemble Hope
L'Ensemble "Hope" a été créé en 1981, à l'initiative de Marc-Antoine Millon et d'Alain Labarsouque, avec pour objet de développer la pratique des structures sonores Bashet. Le Cristal Baschet est un instrument de musique contemporain mis au point par les frères Bernard et François Bashet en 1952. Il
et l’identité d’un peuple au long des vicissitudes d’ une histoire mouvementée. Dirigé par un chef et compositeur charismatique, Koïtcho Atanassov, ce Chœur d’hommes fédère douze des plus belles voix de Bulgarie dont les timbres sublimes donnent souvent le frisson ; le registre de ses basses profondes, symbole du mysticisme slave, est particulièrement impressionnant. Le répertoire cueilli aux origines de l’orthodoxie exalte la paix universelle à travers une polyphonie gorgée de poésie au rythme souple, aux ornements magnifiques : ce n’est que ferveur, mysticisme, délicatesse et expression d’un talent abreuvé à l’art purement vocal de la liturgie slave. Révélé en France au Festival d’Art Sacré de Paris, habitué des principaux festivals européens et invité aux émissions de France Musique, France Culture et France 2, sous la houlette de Koïtcho Atanassov, ambassadeur passionné d’une culture aux confins de l’
est constitué d'un clavier d'une téssiture maximale de cinq octaves. Les doigts mouillés glissant sur des archers de cristal mettent en vibration des axes métalliques dont le son est collecté etamplifié par des cônes en fibre de verre et une grande plaque de métal en forme de flamme. L'Ensemble "Hope" est constitué de Marc Antoine Millon et Fréderic Bousquet, percussionnistes, Alain Labarsouque, altiste et compositeur, et Michel Deneuve cristalliste et compositeur. Ils sont accompagnés, pour ce concert, par Anne-Elisabeth Hasler, soprano. Après avoir mené de front des études universitaires de langues, de piano et de clavecin, Anne-Elisabeth Hasler s'est tournée vers le chant. Premier prix d'excellence du Concours Musical de France, elle se produit dans de grands festivals: festival
Orient et l’ Occident, le Chœur Bulgare Saint Jean de Rila convie l’auditeur à un voyage mélodieux à travers un millénaire de tradition religieuse et d’art vocal toujours vivant et créateur: mélismes et influences orientales et slaves se mêlent pour donner un éventail très large tant des possibilités vocales des interprètes – tous coulés dans le creuset de conservatoires renommés - que des styles: compositions médiévales, baroques, classiques ou contemporaines dont la beauté illumine, pour certaines depuis des siècles, les fêtes religieuses bulgares et russes. Bulgarie d’hier et d’aujourd’hui : un pays au passé glorieux et qui a construit l’Europe d’hier,à redécouvrir aujourd’hui à travers sa musique, dans l’interprétation unique de l’un de ses ensembles vocaux les plus prestigieux,
d'Art Sacré de Paris, Sylvaès, La Chaise Dieu, Escorial, Moscou... Elle est soliste de la Camerata Vocale de Brive, enseigne le chant à l'ENMDT de Brive, et collabore régulièrement avec l'Ensemble "Hope". Le programme de ce concert : "Triptique", est constitué d'un ensemble de pièces chantées courtes, qui associent des compositeurs classiques et contemporains : Poulenc, Ravel, Satie, notamment. www.ensemble-hope.com
Laure FAVRE-KAHN (pianiste) Laure FAVRE-KAHN étudie le piano au Conservatoire d’Avignon, puis entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, dans la classe de Bruno Rigutto, où elle obtient, à 17 ans, un Premier Prix à l’unanimité. A vingt ans, elle enregistre son premier disque chez Arion, consacré à Schumann, suivi l’année d’après d’un enregistrement Chopin. En janvier 1999, elle se produit au Midem à Cannes, dans le cadre des « Révélations Classiques de l’ADAMI ».
Depuis, elle se produit régulièrement en France, en Europe, aux USA et en Asie, en récital ou en musique de chambre, notamment avec le violoniste Nemanja Radulovic. Laure Favre-Kahn a été invitée par de nombreux orchestres tels que l’Orchestre Symphonique de Nancy, l’Orchestre Symphonique Français, l’Ensemble Orchestral de Normandie, l’Orchestre de Cannes, l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, l’Ensemble Orchestral de Paris, le Hong-Kong Sinfonietta, l’Orches-
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tre de la Philharmonie Nationale de Kiev, l’Orchestre Colonne, l’Orchestre de Bretagne, l’Orchestre de l’Opéra de Rouen, l’Orchestre Lamoureux, l’Orchestre des Pays de Savoie … On a pu l’entendre sur France Musique, France Info, RTL, France Culture et dans l’émission de Frédéric Lodéon sur France Inter. Alain Duault l’a également invitée à participer à son intégrale Chopin sur France 3 et plus récemment, dans son émission « Toute la musique qu’ils aiment ». Les chaînes de télévisions MEZZO, LCI et France 3 ont diffusé certains de ses concerts.
Transart. Son premier disque, consacré à Rachmaninov, est suivi de l’intégrale des Valses de Chopin (classique d’or RTL), puis d’un récital dédié au compositeur américain Louis-Moreau Gottschalk (également classique d’or RTL). L’année 2008 marque pour elle la sortie de son premier enregistrement avec orchestre, dans le 1er concerto de Tchaïkovski et le 2ème concerto de Chopin avec l’Orchestre de Bretagne, sous la direction de Grzegorz Nowak. Depuis novembre 2004, elle est Marraine de l’association « Caméléon », qui protège les enfants des rues aux Philippines.
En mai 2001, elle remporte le 1er Prix à l’unanimité du Concours International ProPiano à New-York, et donne un récital au Carnegie Recital Hall en octobre de la même année. Suite à ce concert, elle est nommée « ProPiano Artist of the year » et enregistre en 2003 un disque consacré à Reynaldo Hahn, pour ProPiano Records à NewYork (salué par la critique du New York Times). Depuis 2003, Laure Favre-Kahn enregistre en live pour le label
Bruno FONTAINE (pianiste)
tra, ce qui lui confirmera ce goût pour la découverte d’autres musiques.
© Eric Manas
S’enchaîneront dès lors des collaborations artistiques qui le mèneront, parallèlement à sa carrière classique, à travailler avec des artistes aussi divers que Johnny Hallyday (il assure la direction musicale de ses premiers concerts à Bercy), Mylène Farmer, Alain Chamfort, ou plus récemment Jérôme Deschamps (il compose deux suites symphoniques inspirées des musiques des films de Jacques Tati, les « Hulophonies », créées au Festival de Cannes en 2002).
Pianiste concertiste, chef d’orchestre, arrangeur et compositeur, Bruno Fontaine est un artiste complet et inclassable, parfait exemple d’un talent du XXIe siècle. « Mille Fontaine », titrera le journaliste Philip de La Croix pour commenter son actualité extraordinairement chargée et éclectique. Né à Epinal, c’est à l’âge de quatre ans que Bruno Fontaine débute le piano, et c’est sur dispense spéciale qu’il intègre le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris à l’âge de 11 ans, pour étudier avec, entre autres maîtres, Jean Hubeau, et Pierre Sancan. Il en sortira à 15 ans, bardé de 5 premiers prix ! Il part alors aux Etats-Unis, et c’est là qu’il rencontrera et travaillera avec Don Costa, le célèbre arrangeur de Frank Sina-
Les Rita Mitsouko lui demandent de créer les arrangements pour orchestre symphonique de leurs chansons ; suivront d’autres réalisations de ce genre avec Barbara Hendricks, Misia, Paolo Conte. Michel Portal, Richard Galliano, Mino Cinelu, Louis Sclavis deviennent ses partenaires de prédilection dans le jazz, et pendant de nombreuses années, il assure la direction musicale des spectacles de Ute Lemper, Lambert Wilson, et Julia Migenes. En 2004 et 2005, avec Jean Rochefort, Bruno Fontaine donne, à Paris et en province, plus de 160 représentations du spectacle « Heureux », autour de la musique d’Erik Satie. Parallèlement il continue sa carrière de soliste et de chef d’orchestre. Il joue régulièrement avec les Concerts Lamoureux, l’Ensemble Orchestral de Paris, l’Orchestre de Cannes, l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, sous la direction, entre autres, de Yutaka Sado, Philippe Bender,
www.laurefavrekahn.com
Edmon Colomer et David Wroe. Il dirige le London Symphony Orchestra pour un enregistrement avec le guitariste John Williams (Sony Classical). Il vient de rentrer d’une tournée triomphale au Japon avec au programme Bernstein, avec le Hyogo Performing Arts Center Orchestra, et Yutaka Sado. Ses partenaires en musique de chambre sont le Quatuor Ysaÿe, Michel Portal, les violoncellistes Sonia Wieder-Atherton et Ophélie Gaillard (avec laquelle il enregistre l’Intégrale Fauré chez Ambroisie), le violoniste Guillaume Sutre et l’altiste Miguel Da Silva (ils enregistrent Max Bruch ensemble pour le label TransArt Live). Il a également enregistré pour TransArt Live un récital Mozart qui reçoit les 4 ffff de Télérama et une presse élogieuse, ainsi qu’un récital Bach. Bruno Fontaine est nommé aux Victoires de la Musique et aux Césars pour la musique du film « On connaît la Chanson » (1997), d’Alain Resnais, qui lui confie ensuite les nouveaux arrangements et la musique originale du film « Pas sur la bouche » en 2003. On lui doit également les musiques originales de « Tangos volés » d’Eduardo de Gregorio, « La vie ne me fait pas peur » de Noémie Lvovsky, de « Ca ira mieux demain », « C’est le bouquet » et « Cause toujours » réalisés par Jeanne Labrune, et de « Cavaliers seuls » réalisé en 2008 par Delphine Gleize et Jean Rochefort.
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David GALOUSTOV (violoniste) David Galoustov est né en 1980 à Moscou et débute l'étude du violon sous l'égide de son père, dès l'age de 7 ans. Précoce, il donne son premier concert à neuf ans. En 1991, il quitte la Russie et s'installe à Paris avec sa famille. Il suit jusqu'en 1994 l'enseignement d'Alexandre Brussilovsky et fait déjà preuve de talent comme finaliste du concours international Yehudi Menuhin en 1993, puis en 1994, en obtenant le prix d'honneur du concours du ''Royaume de la Musique''. En 1995, il est lauréat du concours international ''Les Jeunes Virtuoses'' à Kharkov. Le jeune violoniste fait ses premières apparitions sur différents médias français, tel que ''France 2'' ,''France 5'', ''France Musique'', ''France Culture''. En 1993, alors âgé de 13 ans, il est invité à la célèbre émission de Jacques Martin, Yehudi Mehuin présent ce jour là, dit alors au public, après avoir écouté David : ''Vous applaudissez parce qu'il vous a révelé son âme, et la vôtre''. En 1997, il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, dans la classe du célèbre violoniste Gérard Poulet. Durant la période de ses études au conservatoire, David suit également des cours d'électro- acoustique, d'improvisation générative, et de jazz
. Dès le début de ses études, le violoniste est très attentif au répertoire de musique de chambre et se produit régulièrement dans diverses formations (sonate, trio, quatuor, quintette, et orchestre à cordes). En 2001, obtenant le Diplôme de Formation Supérieure au Conservatoire, il remporte la même année le concours international ''Alexandre Glazounov''. Il devient par ailleurs boursier de divers organismes : du prix ''Drouet-Bourgeois'', ''Lions Club'', festival ''Val de Charente'', et notamment ''Banque Populaire-Natexis'' En 2004, David Galoustov se perfectionne à Moscou dans le cadre de la ''Fondation Rostropovitch''. Enregistré par ''Lyrinx'' à Marseille, l'instrumentiste sort plusieurs disques distribués en Europe ainsi qu'aux Etats-Unis. Les critiques sont élogieuses : "Il faut un certain courage pour enregistrer, quand on n'a que 20 ans, les oeuvres quifirent les beaux jours de la jeunesse de Heifetz! Pourtant cet enregistrement est émouvant...”, “Il forme avec son pianiste un tandem soudé, attentif, et surtout qui fait de la musique...” André Guy-Répertoire. Costin Cazaban lui décerne quatres étoiles dans le Monde de la Musique. J.M.M., dans diapason approuve avec quatre diapasons et dit : ''...Métrique rigoureuse, archet précis et intonation exemplaire, les moyens sont là, indiscutablement.'' Ses tournées l'ont conduit à travers des salles et festivals tels que : Opéra de Strasbourg, ''Les Serres d'Auteuil'', Salle Pleyel, Salle Gaveau, UNESCO Paris, Opéra de Lille, Salle Tchaikovski, Salle Molière de Lyon, Opéra de Limoge, Palais du Luxembourg, Opéra de Kiev...
© Jean-Louis Atlan
David GRIMAL (violoniste)
Soliste renommé, David Grimal est l'invité de nombreux orchestres parmi lesquels on peut citer : l'Orchestre de Paris (C. Eschenbach, M. Plasson), l'Orchestre Philharmonique de Radio France (S. Skrowacevski, R. Frübeck de Burgos), l'Orchestre National de Lyon, Opéra de Lyon (E. Krivine), Capitole de Toulouse (Jap van Sweden), Mozarteum de Salzbourg (H. Soudan), Berliner Sinfonie (S.Sloane), Florida Philharmonic (M.Bamert), English Chamber (J.Judd), Budapest , Bucarest, Basel (H. Schiff), Monte Carlo, Fondation Gulbenkian Lisbonne (L.Foster) Sinfonia Varsovia (M.Schonwandt, P.Csaba) Ulster , Dublin, Taipei.
Partenaire de musique de chambre recherché, il participe régulièrement à des festivals internationaux comme : Prades, Risor, Stavanger, Schwäbische Frühling, Colmar, Menton, les Folles Journées…Il se produit régulièrement sur les plus grandes scènes européennes et s'est déjà produit sur les cinq continents. Artiste engagé, David Grimal a souhaité initier en 2004 la création d'un collectif d'artistes : les Dissonances. Il s'agit d'un véritable laboratoire où des musiciens (solistes, chambristes, solistes de grands orchestres) venus des quatre coins d'Europe se réunissent par passion et sans autre contrainte que leur exigence artistique lors de trois productions par saison. Leur premier disque (R.Strauss Métamorphoses, Nuit transfigurée de Schoenberg paru en 2007 chez ambroisie-naïve a été salué par la critique (ffff telerama, BBC choice, ARTE selection…). Un nouvel enregistrement consacré à Haydn et Mendelsohn sortira courant 2008. Les musiciens des Dissonances ont déjà été les invités de saisons prestigieuses et commencent à rayonner en Europe (cité de la musique Paris, duo Dijon, théâtre des Bouffes du nord, Estonie, Italie Allemagne). L'ensemble est en résidence à l'opéra de Dijon ainsi qu'au Volcan, scène nationale du Havre où David Grimal est artiste associé. Par ailleurs, David Grimal poursuit une collaboration depuis de nombreuses années avec Georges Pludermacher en récital. Ils se produisent ensemble dans le monde entier. Leur dernier enregistrement " Reflection " paru en 2006 est consacré à Debussy, Bartòk et Ravel (ffff telerama, 10 de répertoire recommandé Classica, ARTE sélection…). Un nouvel album " Europa " (Enesco, Bartòk, Janacek
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et Szymanovski) paraitra à la rentrée 2008. Un enregistrement des sonates et partitas de JS Bach assorti d'une création de Brice Pauset verra le jour début 2009. Passionné par le monde du quatuor à cordes, il crée le quatuor Orfeo qui se consacre à l'intégrale des quatuors de Beethoven. La discographie de David Grimal comprend notamment une intégrale des sonatines de Schubert en compagnie de Valéry Afanassiev ainsi qu'un disque consacré à la musique de chambre de Dohnanyi (avec M Coppey, G. Caussé et M. Beroff) chez Aeon (10 de répertoire), les sonates de Franck et R. Strauss en compagnie de Georges Pludermacher chez Harmonia Mundi.. Son enregistrement " live " de l'inté-
grale des sonates et partitas de J.S. Bach chez transart live a obtenu la prestigieuse récompense " Strad Selection ". Un film a été réalisé par H. White pour Mezzo sur sept créations écrites pour lui pour violon seul (Escaich, Zygel, Pauset, Tanada, Zur, Gasparov, Kissine). Il doit créer prochainement les concertos de Thierry Escaich et Brice Pauset avec respectivement l'Orchestre National de Lyon et l'Orchestre Philharmonique de Radio France. David Grimal joue un stradivarius de 1710 le " ex-Roederer ". Il a été promu Chevalier des Arts et Lettres.
Selim MAZARI (Pianiste) Sélim Mazari est né le 03 novembre 1992. Dès son plus jeune âge il s’intéresse au piano, pour finalement commencer à 5 ans sous la tutelle de Suzel Ginisty . A partir de 6 ans il remporte des concours tels que " Claude Kahn ", "Steinway and sons " , " UFAM ". En 2003, il est lauréat du Concours Steinway and sons en Excellence.
Il rencontre Brigitte Engerer l’été qui suit, avec laquelle il travaille toujours. L’année suivante, il entre au Conservatoire National de Région de Paris, dans la classe de Pierre Réach, pour obtenir son prix en juin 2006. Il est régulièrement invité à jouer dans des festivals (La Rochelle, Musique à la cour à Toulon) et a joué en Novembre à la Rostropoviciaus Fondation au philarmonique de Vilnius. Il a été invité à se produire pour la fondation Royaumont, de l’abbaye du même nom dans le cadre d’un film, hommage à François Lang. Cette année, il est entré à l'unanimité au CNSMDP dans la classe de Brigitte Engerer. Parallèlement, il poursuit ses études par correspondance en Première Littéraire.
New Orleans Happy Jazz Band La Nouvelle Orléans s’installe à Objat pour une soirée orchestrée par le groupe Happy Brass Band. De Louis Armstrong à Miles Davis, le New Orléans Happy Jazz Band aime mélanger les genres et base son répertoire sur une solide rythmique (Ganjo, soubassophone, caisse claire et grosse caisse) et sur de talentueux solistes (trompette, clarinette et trombone)...
Orchestre de chambre de la Nouvelle Europe Direction artistique Nicolas KRAUZE
France, en Europe et au Etats-Unis, faisant à chaque fois l’unanimité pour sa virtuosité et ses interprétations. Des solistes internationaux lui font régulièrement confiance en s'associant à lui et certains des plus éminents chef d'orchestres, à l'image de Christoph Eschenbach, lui apportent leur soutient. L’Orchestre de Chambre de la Nouvelle Europe, formation unique en France par sa compacité, son homogénéité et sa sonorité chaleureuse, aborde le répertoire de toutes les époques, sur instruments modernes mais en respectant l'esprit des oeuvres, avec un penchant particulier pour le répertoire des XIXèmes et XXèmes siècles.
L’Orchestre de Chambre de la Nouvelle Europe réuni les plus brillants jeunes musiciens français et européens, tous solistes ou chambristes internationaux. Créé en 2002, il s’est produit plus de cent cinquante fois en
Durant le saison 2009-2010, l'orchestre se produira principalement en France, mais aussi en Allemagne et en Suisse. Cette saison verra aussi la concrétisation d'un partenariat avec plusieurs solistes de renommées internationales ainsi qu'avec le festival mille et une notes en Limousin.
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jeune musicien de Lempdes. Il suit à partir d’octobre 2003 les cours de master class de Mr Yvan Chiffoleau au CNR de Perpignan et entre en cycle spécialisé en octobre 2005. Il obtient l'UV du DEM de musique de chambre mention TB à l’unanimité dans la classe de Mme Nathalie Juchors en juin 2006 puis un prix d’excellence mention TB à l’unanimité en juin 2007 et de perfectionnement mention TB en juin 2008.
Bruno PHILIPPE (Violoncelliste)
Né le 25 novembre 1993 à Perpignan, il débute le violoncelle à 5 ans au CNR de Perpignan dans la classe de Mme Marie Madeleine Mille. En mars 2002, il obtient, en niveau élémentaire, un premier prix avec les félicitations du jury ainsi qu’un prix spécial au concours national du
Raphael PIDOUX (Violoncelliste)
Il obtient également l' UV du DEM de violoncelle mention TB à l’unanimité au CNR de Perpignan dans la classe de Mme Mille et de Mr Chiffoleau en juin 2007, puis un prix d’excellence de violoncelle mention TB à l’unanimité en juin 2008. Il a eu l’occasion de se produire en soliste accompagné par l’orchestre de 3ème cycle du CNR de Perpignan , ainsi qu’en soliste et en formation de chambre dans le cadre du festival du Boulou (mai 2006, mai 2007) et de la saison musicale de l’Association Musicale de la Vallée du Jaur et de l’Orb à Olargues (juillet 2008). Il fréquente l’Académie européenne de Musique de Prades (2005 et 2007) et l’Académie Internationale de Musique de Biarritz (2006). Il est depuis octobre 2008 en cycle supérieur au CRR de Paris dans la classe de Mr Raphaël Pidoux. .
cycle de perfectionnement avec Philippe Muller et de musique de chambre au sein du Trio Wanderer avec Jean-Claude Pennetier. En 1988, Il remporte le Troisième Prix du Concours International « Bach » de Leipzig et gagne le Concours International ARD de Munich. Il se perfectionne auprès de Janos Starker à l’Université d’Indiana aux USA, ainsi qu’avec Menahem Pressler (Beaux-Arts Trio) à Banff (Canada) et les membres du Quatuor Amadeus à Cologne.
Premier Prix du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris en 1987, il suit le
Il mène depuis une carrière internationale avec le Trio Wanderer jouant notamment au Wigmore Hall de Londres, à l’Herkulessal de Munich, à la Philharmonie de Berlin, Concertgebouw d’Amsterdam, Musikverein de Graz, Scala de Milan, festival de Salzbourg, Edin-
Quatuor Poussière d'Etoile Sophie JAMIN (violon) : 1er prix du CNR de Limoges en violon et musique de chambrte. Professeur de violon et de musique de chambre en Limousin. Diplômée du DUMI ( diplôme universitaire des musiciens intervenants). Marie-Charlotte CARITE (violon et alto) : 1er prix à l'unanimité du jury du CNR de limoges en alto et musique de chambre. Etudiante, diplômée de Lettres Modernes à l'Université et actuellement en préparation du CRPE (Concours de Recrutement de Professeur des Ecoles).
bourg, Osaka… Victoire de la Musique en 1997 et 2000. Il enregistre chez Sony Classical puis pour Harmonia Mundi. Par ailleurs, Raphaël Pidoux joue régulièrement avec Christophe Coin et l’ensemble baroque de Limoges, les Quatuors Manfred, Mosaïques, l’Orchestre « Les Siècles » que dirige François-Xavier Roth, l’Opéra de Rouen…il aborde également le répertoire de Piazzolla avec l’accordéoniste Richard Galliano. il joue « Bach Suite», chorégraphie de Noureev avec Kader Belarbi à l’Opéra de Paris. Il est membre du jury du Concours International ARD de Munich et Professeur au CRR de Paris. Il joue un violoncelle de Goffredo Cappa ( Saluzzo 1680)
Laurence OSIOW (alto) : 1er prix du CNR de Limoges en alto et musique de chambre. 1er prix de Perfectionnement du conservatoire de Boulogne-Billancourt. Professeur d'alto et de musique chambre en Limousin. Diplômée du DE. Cécile ROUGIER (violoncelle) : 1er prix du CNR de Poitiers en violoncelle et musique de chambre. Professeur de violoncelle et de musique de chambre en Limousin. Diplômée en musicologie...
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Anne QUEFFELEC (Pianiste)
Liliroze © Mira
Les plus grandes formations orchestrales l’invitent – London Symphony, London Philharmonic, Philharmonia Orchestra, BBC Symphony, Academy of St. Martin in the Fields, Tonhalle de Zurich, Orchestre de chambre de Pologne, de Lausanne, Tokyo NHK Orchestra, Hong-Kong Philharmonic, Orchestres National de France et Philharmonique de Radio France, Strasbourg, Lille, Philharmonie de Prague, Kremerata Baltica… sous la direction de chefs tels que Boulez, Gardiner, Jordan, Zinman, Conlon, Langrée, Belohlavek, Skrowacewsky, Casadesus, Lombard, Guschlbauer, Zecchi, Foster, Holliger, Janovsky.
Anne Queffélec figure parmi les pianistes les plus aimés de sa génération. Fille et sœur d’écrivains, passionnée elle-même de littérature, c’est vers la musique qu’elle se tourne dès son plus jeune âge. Après avoir étudié au conservatoire de Paris, Anne Queffélec reçoit à Vienne l’enseignement de Badura-Skoda, Demus et surtout d’Alfred Brendel. Les succès remportés dans les concours internationaux de Munich (premier prix à l’unanimité en 1968) et Leeds (prix en 1969) ne tardent pas à faire d’elle une soliste en vue invitée à travers le monde. Elle se produit alors dans les plus importantes salles d’Europe, du Japon, Hong-Kong, Canada, Etats-Unis…
Nommée « Meilleure interprète de l’année » aux Victoires de la Musique 1990, la personnalité de cette artiste rayonne sur le monde musical. Invitée à plusieurs reprises aux « Proms » de Londres, festivals de Bath, Swansea, King’s Lynn, Cheltenham, elle est aussi régulièrement à l’affiche des festivals français tels que Strasbourg, Besançon, Bordeaux, Dijon, La Grange de Meslay, La Folle Journée de Nantes, La Roque d’Anthéron où elle a donné en 2003 l’intégrale des sonates de Mozart au cours de six concerts diffusés en direct sur France Musique confirmant son affinité passionnée avec l’univers mozartien. Elle a pris part à l’enregistrement de la bande sonore du film « Amadeus » sous la direction de Neville Marriner. A la scène comme au disque, Anne Queffélec cultive un répertoire éclectique comme en témoigne son importante discographie : elle a consacré plus d’une trentaine d’enregistrements à Scarlatti, Schubert, Liszt, Chopin, Bach, Debussy, Fauré, Mendelssohn, Satie, l’œuvre intégrale de Ravel et Dutilleux, Mozart, Beethoven, Haendel gravés respectivement chez Erato, Virgin Classics, Mirare.
© Caroline Doutre TRANSART
Nemanja RADULOVIC (Violoniste)
Né en Serbie en 1985, Nemanja Radulovic commence ses études musicales en 1992. Il obtient dès 1996 le Prix d’Octobre pour la musique de la Ville de Belgrade puis, en 1997, le Prix Spécial du ministère de l’Education de la République Serbe “Talent de l’année 1997”. En 1998, il poursuit ses études au Conservatoire de Musique de Saarbrücken, en Allemagne, dans la classe de Joshua Epstein puis, à partir de 1999, à la Faculté des Arts de Belgrade en section musique dans la classe de Dejan Mihailovic.
A l’âge de quatorze ans, il s’installe en France. En septembre 2000, il est admis en cycle de perfectionnement au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, dans la classe de Patrice Fontanarosa. Il a également participé à des master classes avec Yehudi Menuhin, Joshua Epstein, Dejan Mihailovic… ainsi qu’avec Salvatore Accordo à l’Académie Walter Stauffer à Crémone en Italie. Nemanja Radulovic a reçu de nombreux prix internationaux : Premier Prix du concours de Hanovre en 2003, Premier Prix et deux prix spéciaux du jury au concours Georges Enescu à Bucarest en 2001, Second Prix du concours Antonio Stradivarius à Crémone en 2001 (premier prix non attribué), prix spécial du jury au concours Yehudi Menuhin à Boulogne-sur-Mer en 1998, Premier Prix du concours Balys Dvarionas en Lituanie en 1997, prix spécial du jury du concours Wieniawski-Lipinski en Pologne en 1997, Premier prix du concours Jan Kocian en République Tchèque en 1996, Premier prix du concours Stresa en Italie en 1995. Il a été nommé “Révélation internationale de l’année” lors des Victoires de la Musique à Cannes en 2005 (AEAA, prix du MIDEM). Nommé “Rising Star” pour la saison 2006-2007, il a joué dans les plus grandes salles européennes, parmi lesquelles le Concertgebouw d’Amsterdam, le Mégaron d’Athènes, la Cité de la Musique à Paris, le Palais des Beaux-Arts à Bruxelles, la Philharmonie de Cologne, et Carnegie Hall.
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Nemanja Radulovic a joué avec de très nombreux orchestres dans son propre pays, ainsi qu’en Europe et en Asie. Il s’est produit notamment avec l’Orchestre philharmonique de Radio France, l’Orchestre national d’Ile-de-France, l’Orchestre de Cannes, l’Orchestre national de Lille, l’Orchestre national de Lyon, l’Orchestre des Pays de Savoie, l’Ensemble de Basse-Normandie, et a fait récemment ses débuts avec le Tokyo Symphony Orchestra, l’Ensemble Orchestral de Paris, l’Orchestre symphonique de Montréal… Il a joué sous la direction de chefs tels que Myung-Whun Chung, John Nelson, Arie van Beek, Eiji Oue, Kristian Mandeal, Philippe Bender, Jésus Lopez-Cobos, Graziella Contratto, Grzegorz Nowak, Lawrence Foster, Claus Peter Flor, Kirill Karabits, Petr Vronsky, Michel Plasson, Isaac Karabtchevsky, Vladimir Fedosseyev…
comme les Flâneries musicales de Reims, les festivals de la Vézère, Sisteron, Avignon, le Périgord Noir, Le Touquet, Auvers-surOise, La Baule, Le Suquet, Perros-Guirec, L’Epau, la Folle Journée de Nantes, ou le festival de Radio France-Montpellier. Nemanja Radulovic a enregistré des pièces pour violon seul de Bach, Miletic, Paganini et Ysaÿe pour le label Transart Live, distribué par Naïve (Diapason découverte). Parus également chez Transart Live en mars 2008, les deux concertos de Mendelssohn, avec l’Orchestre de chambre de Prague. Nemanja Radulovic joue un violon de J. B. Vuillaume de 1843.
Depuis 2000, il se produit régulièrement en récital avec la harpiste Marielle Nordmann ainsi qu’avec Susan Manoff, Dominique Plancade et Laure Favre-Kahn. Depuis son apparition au festival de La ChaiseDieu en 2002, il participe aux plus grands festivals de musique,
Emmanuel ROSSFELDER (Guitariste) A trois ans ses parents lui offrent une petite guitare en plastique qu’il met vite au rebut, plus attiré qu’il est par la guitare « sèche » de sa mère, elle-même musicienne. Dès l’âge de cinq ans il débute la guitare classique, instrument qu’il dira plus tard avoir choisi pour ses courbes et sa sonorité. Ses parents entretiennent son goût pour la musique et l’encouragent sans relâche dans les cours de guitare qu’il suit. Son étonnante facilité, sa motivation, son caractère enjoué et communicatif le conduisent rapidement devant le public. A 14 ans, nanti de la Médaille d’or du Conservatoire National d’Aix en Provence obtenue à l’unanimité du jury, il devient le plus jeune guitariste jamais admis dans la classe d’Alexandre Lagoya au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Dès lors une relation privilégiée s’instaure entre le Maître et l’élève. Il voue une admiration sans borne à son professeur qui en retour lui prodigue un enseignement fondé sur une technique spécifique de la main droite qu’il avait élaboré avec Ida Presti. En 1991 et 1992, il obtient deux premiers prix à l’unanimité au CNSM de Paris (guitare et musique de chambre) « Emmanuel offre à la guitare une sonorité puissante, de la virtuosité, de l’émotion et une fantaisie qui font déjà de lui un grand artiste. »
Mais son bonheur n’est complet que devant le public auquel il fait découvrir toutes les possibilités de la guitare. Il se produit sur les grandes scènes françaises et étrangères : Opéra d’Avignon, de Vichy, de Strasbourg, salle Gaveau et salle Cortot à Paris, Festivals d’Auvers sur Oise, de Berlioz, de La Chaise Dieu, de la Vézère, du Jeune Soliste, de Sully sur Loire, aux Flâneries Musicales de Reims, à Boston, New York, Philadelphie, Los Angeles… Il joue également en soliste avec de grands orchestres : Orchestre Philharmonique de Radio-France, de Cannes, de Nice, d’Auvergne, de Perrugia, de la Scala de Milan, le Landmarks Boston Orchestra, le Baltic Chamber Orchestra…Et sous la direction de chefs prestigieux : Roberto Benzi, Philippe Bender, Jànos Fürst, Charles Ansbarer… Concertiste reconnu, il est en 1998 lauréat de la Fondation d’Entreprise Groupe Banque Populaire. Ce prix lui permet entre autre d’enregistrer son premier CD : « Danses Latines ». « Découverte Classica » en 2001, « Révélation Classique » par l’ADAMI en 2002, il est «Victoire de la Musique Classique » en 2004 (catégorie Révélation Soliste Instrumental de l’année)… Ses succès et récompenses en France sont remarqués par le Japon, la Russie, le Canada, les Etats-Unis qui l'invitent dès lors pour des tournées régulières. Au travers de ses CD, de son DVD, et surtout de ses nombreux récitals, Emmanuel Rossfelder élargit en permanence son répertoire avec des œuvres originales et ses propres transcriptions de musiques espagnoles, sud américaines, d’airs d’opéras, de musiques baroques…
La presse voit alors en Emmanuel Rossfelder l’héritier du Maître Lagoya. Il se présente alors à des concours internationaux et reçoit de nombreux prix : Masters de la Guitare de Paris Pierre Salvi remis par le Ministre Français de la Culture, Stotsenberg (Etats Unis), Walcourt (Belgique), Benicassim (Espagne), Vina del Mar (Chili)…
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Roustem SAITKOULOV (pianiste)
en 1994. Il poursuit ses études à l’Ecole Supérieure de musique de Munich et obtient le diplôme de 3e cycle en 1997. Lauréat de concours internationaux : "F.Busoni" à Bolzano, UNISA Transnet à Pretoria, Géza Andà à Zurich et Marguerite Long à Paris, il obtient le 1er Prix du Concours de Rome en 1994. En juin 2003, Prince Rainier III de Monaco lui remet le Prix de MonteCarlo Piano Masters. Roustem Saïtkoulov donne de nombreux concerts avec orchestre en Europe, notamment avec l'Orchestre Symphonique de Prague, l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, Capella Istropolitana ou Tonhalle de Zurich. Ses récitals le mènent en Russie, Suisse, Allemagne, Italie, Espagne, Royaume-Uni, en Républiques Tchèque et Slovaque, au Japon, Canada, aux EtatsUnis, au Chili et en Polynésie Française.
Né à Kazan (Russie) en 1971, Roustem Saïtkoulov étudie au conservatoire de sa ville natale, puis au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou, où il reçoit son diplôme de soliste
Il se produit régulièrement en musique de chambre avec des partenaires tels que Dmitri Sitkovetsky, Laurent Korcia, Pierre Amoyal ou Jean-Jacques Kantorow. En
Elodie SOULARD (accordéoniste)
de cet instrument près de Clermont-Ferrand, et très vite, son professeur décelant en elle des prédispositions pour la musique n’hésite pas à la lancer sur la voie de l’accordéon de concert. A l’âge de quatorze ans, elle s’installe à Paris pour poursuivre ses études scolaires et musicales. En 2002, elle reçoit son premier prix d’accordéon à l’unanimité du jury au Conservatoire du XII° arrondissement de Paris (classe de Max Bonnay). Elle reçoit également le Prix du Président de la République et le Prix de la SACEM remis lors du concours organisé par l’UNAF (Union Nationale des Accordéonistes de France). Elle fut également finaliste aux concours internationaux de Klingenthal (Allemagne) et Coupe Mondiale (Esztergom, Hongrie) en 2003 et 2004 en catégorie junior.
Née à Epinal en 1986, c’est à l’âge de trois ans qu’Elodie Soulard exprime pour la première fois sa volonté de faire de l’accordéon. Dès cinq ans, elle commence l’apprentissage
Depuis quelques années, elle participe régulièrement à des master-classes d’accordéon à travers toute l’Europe où elle reçoit les précieux conseils de Viatcheslav Semionov, Ivan Koval, Radomir Tomic, Mika Väyrinen. Depuis plusieurs mois, elle travaille essentiellement sous l’aile du concertiste russe Yuri Shishkin qui la prépare aux concours internationaux.
France, où il vit actuellement, il participe au Festival Chopin à Paris, au Festival de l’Orangerie de Sceaux, aux Rencontres Internationales Chopin à Nohant, Piano aux Jacobins à Toulouse et donne de nombreux concerts retransmis par France Musiques, Radio Classique et les chaînes de télévision La Cinq et Muzzik/Mezzo. Alain Duault lui consacre à deux reprises son émission « Toute la musique ». Il a enregistré plusieurs disques, dont le CD « Piano Etudes » chez EMI Classics. Dans la saison 20007-2008, Roustem Saïtkoulov a donné une série de concerts avec l’intégrale des études et des préludes de Chopin, dont celui à la Salle Gaveau paraîtra prochainement sur CD.
Soucieuse d’acquérir une formation musicale très solide, elle a obtenu trois premiers prix au CRR de Paris en solfège, analyse et orchestration, et a abordé la direction d’orchestre qu’elle a perfectionné avec François-Xavier Roth et Jean-Sébastien Béreau. Actuellement, Elodie Soulard poursuit ses études au CNSM de Paris en accordéon (classe de Max Bonnay) et analyse (classe d’Alain Louvier). Elodie est régulièrement invitée en tant que soliste et se produit sur les plus grandes scènes internationales : Salle Pleyel, Folle journée de Nantes, Tokyo International Forum (Japon), Bibliothèque des langues étrangères de Moscou, Philarmonie de Rostov-surle-Don (Russie). Son répertoire est constitué de transcriptions d’œuvres pour piano, orgue ou orchestre de Bach à Shostakovich ainsi que des œuvres originales pour accordéon (Kusyakov, Semionov, Makkonen, Lindberg, Braye-Weppe).
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Les lieux d’accueil du Festival 11 lieux de concerts pour 1001 notes
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(PA RIS )
Découvrez dès à présent les lieux de représentations qui accueilleront cette année le « Festival mille et une notes ». Trésors architecturaux, lieux chargés d’histoire, ce sont en tout onze sites d’exception à découvrir absolument !
Ile de Vassivière
Limoges La Geneytouse
Solignac
Angoulême
Château de Brie
Pagéas
Pôle de Lanaud
Jourgnac Le Chalard
Saint Yrieix-la-Perche
Saint-Robert Périgueux
Objat Saint-Cyprien Brignac-la-Plaine
Tulle
Brive-la Gaillarde
Limousin
L’Abbaye du Chalard (Haute-Vienne)
© Jean deLa Tour
moin d'une histoire mouvementée, elle garde dans ses murs les récits des moines et des chevaliers des temps passés. Elle est certainement l'un des plus beaux sites de la région Limousin.
Privée, l’Abbaye du Chalard est fermée au public. Le “Festival mille et une notes” a choisi de faire découvrir ce site, classé monument historique, pendant toute la durée du festival. Accrochée sur les bords d'un piton rocheux, l'Abbaye du Chalard trône. Jouissant d'un sublime panorama des portes du Périgord, l'Abbaye intrigue par sa beauté, son charme et ses secrets. Véritable té-
Un peu d’Histoire... L'Abbaye du Chalard fut un prieuré de chanoines Augustins fondé en 1088 par un prêtre de Limoges, Geoffroy, né vers 1050. La fondation de l’église remonte à 1097. La nef a aujourd’hui disparu. Ce prieuré se présentait d’une façon classique avec l’Eglise au Nord, orientée Est-Ouest, le cloître se trouvant vers le Sud. Il prenait appui à l’Est sur le bâtiment comprenant la salle capitulaire, surmontée du dortoir des chanoines. Sur le site se trouvent également à l’ouest les restes d’une tour fortifiée du XIIe s. La chambre de l’abbé commendataire, de construction postérieure, fermait ce quadrilatère. Le site du Chalard fut occupé en 1419 par les Anglais lors de la guerre de cent ans. Il fut fortifié et ne fut libéré qu’en 1421. Le donjon a été éventré et la couverture de la grande salle s’est écroulée. La fortification a vécu. Au début du XVIIe s. la fonction d’abbaye est abandonnée. Le cloître, vraisemblablement en bois, a disparu. Seule reste la salle capitulaire dans laquelle se trouvent quatre tombes.
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Saint-Robert (Corrèze)
La cité de Saint Robert est située au Sudouest de la Corrèze, aux confins du Limousin et du Périgord. Sa position géographique, dominant le Val d’Ayen a décidé de sa vocation de place forte médiévale, contrôlant le passage entre ces deux régions. On connaît peu de choses de la cité mérovingienne. Son seul témoin en est la fontaine de Saint Maurice, vestige de la chapelle taillée dans le rocher de Murel à la demande de Rodolphe de Turenne, archevêque de Bourges au IXème siècle. L’existence à quelques kilomètres de Saint Robert, dans la commune voisine de Louignac, d’une carrière de sarcophages mérovingiens témoigne de la présence d’une population organisée dans ces lieux à cette époque.
Mais c’est la création en 1122, par des moines bénédictins, disciples de Robert de Turlande, créateur de la Chaise-Dieu, d’un prieuré, qui marque le départ de l’histoire connue de Saint Robert. De ce prieuré, on retrouve sans doute des éléments dans certaines maisons proches de l’église, mail il en reste surtout une superbe église romane, construite sur le modèle de celle de Beaulieu-sur-Dordogne. C’était une abbatiale fortifiée, flanquée de quatre tours de défense, situées aux quatre extrémités des branche de la croix. Seule demeure la tour Est. En effet, si la fin du moyen-âge et de la Renaissance furent des périodes fastes pour Saint Robert : de nombreux castels et maisons fortes témoignent de la prospérité du village, ou se croisent les grands noms de la noblesse régionale : Vicomte de Limoges, Vicomte de Turenne, Comte d’Ayen, Duc de Noailles, mais aussi Seigneurs de Comborn, ou de Lastours. Entre les années 1550 et 1650, Saint Robert va traverser une période de turbulence marquée notamment par les guerres de religion. Deux faits marquants sont à retenir : En 1575, les huguenots du Vicomte de Turenne occupent Saint Robert. Ils détruisent le château de Verneuil et pillent l’église. Près d’un siècle plus tard, en 1652, un ultime combat opposa les troupes royales comman-
dées par M. de Pompadour, aux troupes des princes huguenots. Ces derniers furent vaincus et leur défaite est restée dans l’histoire sous le nom de Déroute de Saint Robert, mais ils n’abandonnèrent la place qu’après avoir détruit une partie importante de l’église : la nef principale et les deux nefs latérales longues de 32 m. et respectivement larges de 5,80 m. et de 2,20 m. De ce fait, il ne subsiste de l’église, dans laquelle se déroulent les concerts, que le chœur et le transept. L’histoire récente est celle d’un village qui connut son pic de population : plus de mille habitants à la fin du XVIIIème siècle, et qui se stabilise aujourd’hui autour de 350 âmes. A noter que, dès 1982, Saint Robert a été admis dans «l ’Association des plus beaux villages de France», et que son décor naturel et architectural séduit le réalisateur du téléfilm «Des grives aux loups» réalisé par Philippe Monnier à Saint Robert, d’après le roman de Claude Michelet, en 1983. « L’Eté musical » de Saint Robert, cofondateur de « Mille et une notes en Limousin », contribue à l’animation touristique et culturelle du village depuis 1972.
Saint-Cyprien (Corrèze) Ce petit village doit son nom à un Saint éponyme originaire de Carthage en Tunisie qui vécut au milieu du IIIème siècle. Situées au sommet d’une colline, ses quelques maisons dominent un environnement vallonné, mosaïque de taillis, de prairies et de champs cultivés qui l’habille d’une belle parure en toutes saisons. Le bourg est placé sous la protection d’une église dont le sanctuaire remonte au XIème siècle, ce qui en fait l’un des plus anciens du département. Dans la vallée, le petit ruisseau du « Roc pelé » serpentant sous la ramure de chênes vénérables offre au promeneur l’occasion de découvrir une nature encore intacte.
Pôle de Lanaud (Haute-Vienne) Aux portes de Limoges, le Pôle de Lanaud est un ensemble agricole, technique et architectural original offrant un superbe panorama du paysage du "Haut Limousin". Conçu initialement pour être le quartier général de la race bovine limousine, le Pôle sait aujourd'hui se convertir en salle de concert à l'acoustique exceptionnelle. Il est le siège international des organisations professionnelles de sélection en race bovine limousine qui oeuvrent à l'amélioration génétique, à la promotion et à la valorisation des
produits de la race. Mais le Pôle de Lanaud est aussi un lieu de rencontre avec un pavillon d'accueil mariant la chaleur du bois de Douglas Limousin et de larges baies vitrées, s'ouvrant sur un superbe paysage. Le Pôle de Lanaud est d'ores et déjà classé "site remarquable du goût" et "bâtiment remarquable du XXe s.". L'ensemble architectural, création exemplaire en bois du Limousin, est l'oeuvre du célèbre architecte Jean Nouvel, récemment chargé de dessiner les plans de la Philharmonie de Paris.
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Château de Jourgnac (Haute-Vienne)
© Jean deLa Tour
Edifié contre l'église paroissiale Saint Pierre-es-liens, aux XVe et XVIe s., le château de Jourgnac se situe au coeur du Limousin à six kilomètres au sud de Solignac. Bel exemple d'un domaine rural du XVIème siècle, la demeure a gardé l'authenticitéde ses origines. On y accède par un porche d'entrée ouvrant sur une grande cour entourée de communs et de murs en pierres sèches. L'église et le château viennent de bénéficier d'une restauration de qualité qui a permis de mettre en valeur ce bel ensemble d'architecture limousine.
Eglise de Brignac la Plaine (Corrèze) Situé au pied de collines boisées, dont les derniers moutonnements s’échouent sur une vaste plaine ouverte sur la vallée de la Vézère, Brignac est voué à la culture du tabac et à l’élevage. Un fort beau manoir, du 16éme siècle restauré au 19éme où vécurent d’illustres familles, contemple dans la Logne l’histoire qui coule paisiblement. Des maisons cossues, dont certaines très anciennes, confèrent à Brignac une impression d’éternité. L’Eglise romane de Brignac la Plaine (12ème siècle) dont le clocher-mur est un exemple typique des lieux de culte de la région. Restaurée au 19ème siècle, elle recèle des trésors, tel que le retable en bois doré datant du 17ème siècle.
Ile de Vassivière (Haute-Vienne - Creuse) sa notoriété auprès d’un public toujours plus nombreux.
La Région Limousin, propriétaire de l’Ile de Vassivière depuis juin 2008, souhaite dynamiser et valoriser l’Ile pour en faire un fleuron de l’art contemporain et du tourisme, et accroître
Le territoire de Vassivière occupe une position centrale du Limousin, à cheval sur les limites sud de la Haute-Vienne et sud ouest de la Creuse, et à proximité du nord de la Corrèze. C’est un territoire rural de moyenne montagne situé sur les contreforts nord-ouest du Massif Central dans une région géographique à la transition entre la montagne limousine et le plateau de Millevaches. Au cœur de ce territoire se trouve le site exceptionnel et de renom du Lac de Vassivière,
lac de plus 1000 ha et 45 Km de rivages. Au milieu de cette vaste mer intérieure, subsiste une île de 75 ha, unique en France. Sur cet havre de paix, l’ancien domaine agricole de Vassivière avec son château et ses dépendances côtoie aujourd’hui le Centre international d’art et du paysage, œuvre de l’architecte Aldo Rossi, et son parc de sculptures. La Région Limousin souhaite proposer les 26, 27 et 28 juillet une programmation artistique sur l’île en relation avec le “Festival mille et une notes »...
Objat (Corrèze) Objat est une cité dynamique, prospère et accueillante. Sa position géographique, au carrefour de trois régions – Limousin, Périgord, Quercy- a fait d’Objat un centre historique d’échanges qui s’est transformé en pôle économique et touristique (commerces, activités industrielles, entreprises de service, espace loisirs, village de chalets, aire de stationnement de camping-cars). De plus, la commercialisation du veau de lait sous la mère a acquis ses lettres de noblesse et Objat est devenu site remarquable du goût pour cette production. Le marché du dimanche matin, marqué au sceau d’une tradition séculaire, fournit aux innombrables visiteurs, l’occasion de flâner à la recherche du temps passé, parmi les couleurs et les senteurs d’autrefois...
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Abbatiale de Solignac (Haute-Vienne) C'est en 632 que saint Éloi fit construire ici le monastère dont il rêvait. Pour en désigner l'emplacement, on dit qu'il lança un marteau de son bras puissant, le point de chute marquant celui de la première pierre. L'église monumentale fut faite au XIIe siècle, de granit ocre et de style roman, et n'a guère subi de modification depuis - sauf le clocher-tour, qui s'effondra en 1783 et qui fut remplacé au XIXe siècle par le clocher-mur actuel. Accolée aux bâtiments abbatiaux qui ne se visitent pas (sauf exception), elle impressionne par l'équilibre de ses volumes, sa grande luminosité et ses 5 coupoles ainsi que par ses dimensions (70 m de long) et son architecture. Superbe chevet, avec ses 3 absidioles rayonnantes adossées au choeur polygonal ; sur le flanc nord, bel ensemble sculpté avec, au centre, le Christ en majesté. Passé le porche, on descend une volée de 12 marches pour se trouver dans la nef, vaste et sans bas-
côtés. Arcatures, chapiteaux ornés de monstres grimaçants ou de décor végétal, hautes et larges fenêtres romanes, tout cela reste sobre et dégage puissance et sérénité. Beau mobilier du XVe siècle : dans l'absidiole gauche, une partie du trésor et une statue,en pierre polychrome du XVe siècle, de sainte Catherine d'Alexandrie aux longs cheveux et doux traits ; grande peinture murale du XVe siècle de saint Christophe, et stalles aux appuie-mains et miséricordes sculptés de bestiaires, anges déchus ou, plus étonnant, un homme montrant ses fesses ! Elle est l'une des six églises, en France, construite à " file de coupoles" (les coupoles se suivent). L'abbatiale est marquée, à son chevet, de la frise caractéristique des églises situées sur le chemin de Saint-Jacques-deCompostelle.
Château de Brie (Haute-Vienne) Le Château de Brie, bâti en 1480, pour célébrer un mariage, est situé en Limousin, aux confins du Périgord Vert, à la porte de la Dordogne et de la Charente au cœur du "parc naturel régional français du Périgord-Limousin". Cette demeure Seigneuriale se situe sur la route touristique "Richard Cœur de Lion". Calme et dépaysement garantis dans ce lieu, entouré d'un parc fleuri au cœur d'une propriété boisée.
Eglise de Pageas (Haute-Vienne) Cure de l’ancien archiprêtré à Nontron, dédiée à Saint Pierre aux-Liens, l’église primitive de Pageas a été détruite et sa reconstruction en a été entreprise entre 1492 et 1499, d’où sa grande homogénéité. Extérieurement, l’église est une construction massive montrant sous la charpente un bel ensemble de modillons sculptés de sujets divers. Le clocher, refait en 1985, est couvert de bardeaux de châtaignier et le coq ancien, très abîmé, a été remplacé le 13 mars 1986.
La Maison du Berger de la Geneytouse (Haute-Vienne) La maison du berger, située près du village de la Geneytouse, est un gîte doté de 120 places, unique en son genre, construit en bois de Chêne et de Cèdre et animé par l’association « Plan de culture ». Il se trouve au cœur d’une ferme biologique d’élevage bovin et possède des qualités acoustiques exceptionnelles. En plein dans la campagne limousine, entre arbres et moutons, la « maison du Berger », scène reconnue, accueillera petits et grands pour des contes musicaux, suivis d’un goûter.
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Présentation du Festival Né du rapprochement du plus ancien et du plus jeune festival du Limousin, L'été musical de Saint-Robert (36 ans) et Les Estivales du Chalard (4 ans), le "Festival mille et une notes" est un festival de musique classique itinérant qui souhaite insuffler un vent de fraicheur sur la scène artistique en mélangeant harmonieusement le jeune et l'ancien.
Le Festival mille et une notes : fusion de 2 festivals Limousins Il y a là une justification artistique
Il y a enfin un objectif d’optimisation des moyens
Les deux festivals ont les mêmes exigences en termes de
matériels, financiers et humains qu’il faut mobiliser pour par-
qualité de programmation, et peuvent ainsi élargir leur offre
venir au résultat escompté : la reconnaissance par le pu-
en s’appuyant sur des lieux différents : églises romanes,
blic, les partenaires, et les professionnels de l’intérêt et de
châteaux, salles de concerts…
l’importance artistique, touristique et économique de ces initiatives. La mise en commun de la logistique, la communi-
Ainsi, la volonté de s’affirmer comme une référence en ma-
cation et de la programmation doit nous permettre
tière de musique de chambre, peut plus facilement se com-
d’améliorer le professionnalisme de notre organisation.
biner au désir de proposer de la musique vocale, des récitals, de recevoir des formations orchestrales, ou encore
Pour autant, demain comme aujourd’hui, l’organisation du
de s’ouvrir aux musiques du monde, en réalisant la meil-
festival reposera toujours largement sur le dévouement et la
leure adéquation entre la nature de chaque concert et le
mobilisation des bénévoles, sans lesquels aucune associa-
lieu où il sera organisé.
tion ne peut être crédible et attractive, ni même survivre.
Il y a également une ambition territoriale : créer un évènement à la dimension de la région. Les deux festivals préexistants ont assis leur notoriété sur une image locale clairement identifiée mais un peu étroite. « Les Estivales » sont en Haute Vienne, « l’Eté musical » en Corrèze, une programmation harmonieuse et complémentaire peut inciter à visiter davantage le Limousin en se déplaçant d’un pôle à l’autre. Faire partager la beauté du patrimoine naturel et architectural de la région, constitue un objectif supplémentaire et un atout pour le festival.
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Historique de l’Eté musical de Saint-Robert L’idée d’organiser des concerts de musique classique à Saint Robert a germée au début des années 1970 dans l’esprit de quelques mélomanes et artistes locaux, imprégnés par la beauté du site et de l’église romane, et séduits par les expériences qui s’étaient développées hors de la région dans ce domaine. Leur fréquentation du Festival des Prades, dans les Pyrénées Orientales, crée à l’initiative du violoncelliste Pablo Casals, a joué un rôle déterminant dans le lancement de l’Eté Musical de Saint Robert. Le souci de participer à l’animation culturelle et touristique du village, de mettre en valeur son patrimoine architectural, et pour cela, de proposer des manifestations artistiques estivales de qualité, ont été depuis le début les objectifs majeurs de l’Association des Amis de Saint Robert, créée à cet effet en 1972.
Il n’existait alors rien de tel dans le Limousin, le Périgord ou le Quercy. Les débuts de l’Eté musical, en 1972, furent marqués par l’organisation de trois concerts et d’une exposition de peintures.Depuis lors l’Eté musical a conservé cette complémentarité entre la musique et les arts plastiques : peinture, sculpture, tapisserie, photographie, qui constitue une de ses spécificités. Au fil des années, la programmation s’est enrichie, l’organisation du festival qui reposait entièrement sur la mobilisation de bénévoles, s’est néanmoins professionnalisée.
Depuis l’année 2000, le festival s’est étendu à la communauté de Commune du Bassin d’Objat, permettant de diversifier les lieux de concerts et de s’ouvrir aux Musiques du Monde. Compte tenu des lieux disponibles : essentiellement des églises romanes, et de leur capacité d’accueil, l’orientation du festival s’est immédiatement imposée autour de trois axes principaux : la musique, de chambre, le récital et la musique vocale. Dans tous ces domaines la vie du festival a été marquée par la rencontre avec des dizaines d’artistes d’exception : Alexandre Lagoya, Gérard Poulet, Jean-Claude Pennetier, Bernard Soustrot, le quatuor Enesco, l’ensemble A SEI VOCI, l’ensemble baroque de Limoges, pour ne puiser que parmi les plus fidèles ; par la découverte de jeunes talents, dont certains sont aujourd’hui reconnus comme Eric Berchot, Jean-Philippe Cassard, ou la Camerata de Languedoc-Roussillon dirigée par Daniel Tosi ; mais aussi par la création d’œuvres contemporaines, notamment de Roger Steptoe, de Pascal Dusapin, de Gratiane Finzy, de Daniel Tosi ou de Kato Rodriguez. Désormais intégré au "Festival mille et une Notes", « L’Eté musical » de Saint Robert poursuit son ambition de proposer aux mélomanes un rendez-vous incontournable pour les amateurs de musique de chambre, tout en conservant, hors de Saint Robert, un œil ouvert sur les musiques du monde.
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Historique des Estivales du Chalard
Abbaye du Chalard Photo Jean de La Tour
Jordi Savall - Edition 2008 Photo Jean de La Tour
> 2004 : Les prémisses des Estivales Albin de La Tour, administrateur d’un festival en Ile-de-France à cette époque, organise un concert dans l'Eglise du Chalard en moins de deux semaines avec un budget total de 300 €... 150 spectateurs s’y pressent. L’organisateur commente : “ Dans, l’euphorie, nous nous sommes rendu compte que tout était là pour faire un grand festival : un lieu de caractère et notre savoir-faire”.
> 2005 : La première édition des Estivales
Abdel Rahman El Bacha - Edition 2007 Photo Jean de La Tour
En 2005 le projet prend forme, Albin de La Tour décide de créer les Estivales du Chalard avec 3 objectifs : Une programmation de qualité, la mise en valeur de lieux de caractère, des retombées économiques pour la région.Cette première édition, soutenue notamment par l’Europe, est un succès.
> 2006 : Le lancement des Estivales En 2006 les Estivales du Chalard sont définitivement lancées. On passe de 5 à 12 concerts, 3 nouveaux lieux sont présentés, le dortoir des moines de l’Abbaye du Chalard est rénové, le budget est alors de 60 000 €. 1 600 spectateurs assisteront à cette nouvelle édition.
Anne Gastinel - Edition 2007 Photo Jean de La Tour
> 2007: l’affirmation des Estivales Un festival de musique en Limousin est désormais connu sous le nom des “Estivales du Chalard”. C’est l’occasion pour les Estivales de réfléchir à une forme novatrice de rencontres. L’idée ? Proposer quinze jours de représentations d’affilée, inciter les spectateurs à assister à plusieurs concerts et à partager un repas, un peu dans l’esprit des mariages d’autrefois, célébrés sur quatre ou cinq jours . Cette année là les Estivales du Chalard entrent dans la Fédération française des festivals internationaux.
> 2008 : la personnalité des Estivales se dessine
> 2009 : Le Festival mille et une notes
Ancrées dans la région au titre d'un festival de qualité, les Estivales du Chalard souhaitent désormais prendre leurs marques : proposer une programmation cohérente et singulière tout en maintenant la qualité des représentations. " On ne se contente plus d'esthétisme, nous souhaitons donner du sens, une logique entre les spectacles ". Les Estivales proposent cette année de découvrir 2 nouveaux lieux et d'écouter, pour la première fois, du jazz.
En 2009, les Estivales du Chalard s'associent avec l'été musical de Saint-Robert en Corrèze et créent le Festival mille et une notes en Limousin.
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Informations pratiques Informations Tel. 05 55 25 21 01 (Office du Tourisme de Saint-Robert) mail : contact@festival1001notes.com www.festival1001notes.com Pour recevoir la Newsletter du Festival mille et une notes, écrire à : contact@festival1001notes.com
Horaires Concerts : 21h00 Contes musicaux : 16h00
Tarifs Entre 8 et 35 € 2 concerts gratuits > Abonnement Festival Mille et une notes - 180€ L'abonnement donne accès à toutes les représentations > Pass Eté musical de Saint-Robert - 95€ Le Pass Eté musical de Saint-Robert donne accès à toutes les représentations de l'Eté musical de Saint-Robert > Pass Estivales du Chalard - 70€ Le Pass Estivales du Chalard donne accès à 4 concerts au choix pour les concerts "Estivales du Chalard"
Réservations Création : Opus 87 contact@opus87.fr
• Par courrier > Pour les concerts en Corrèze : Office de Tourisme de Saint-Robert, 19310, Saint-Robert > Pour les concerts en Haute-Vienne : Abbaye du Chalard, 87500, Le Chalard • Points de vente : FNAC, Carrefour, géant, Leclerc, Box office, office de tourisme de Saint-Robert, Saint-Yrieix, Solignac, webguichet. • Sur Internet : www.festival1001notes.com • Par téléphone : 08 92 68 36 22 (0,34 €*/min + frais de réservation) * tarif du Festival mille et une notes + frais de réservation Fnac
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