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L’énergétique des minéraux

leur cycle karmique serait accompli ou bien si l’homme ne comprend pas leur mission et ne fait pas appel à elles. Cependant, ces théories restent assez floues, peu étudiées ou ne sont pas confirmées.

Les Égyptiens étaient de grands croyants en l’énergétique des plantes : ils les utilisaient dans des dizaines de rituels de la vie quotidienne pour la guérison, mais également lors des rituels de passage vers l’après-vie.

En Chine, le monde botanique a toujours été très étudié sur tous les plans (physique et spirituel), car selon les croyances générales, les plantes, herbes et fleurs transféraient leurs énergies spirituelles dans le corps physique d’une personne et agissaient sur son psychisme pour l’aider. Les cérémonies du thé, par exemple, restent une façon de célébrer et d’honorer l’énergie de la plante et ses bienfaits.

Ces deux derniers exemples ne sont qu’un infime résumé des croyances, de l’étude et de l’utilisation des vertus énergétiques des plantes à travers le temps.

Un point commun demeure entre toutes les époques et les civilisations : les solstices et les équinoxes, ces moments où les énergies sont les plus intenses et les « voiles » entre les mondes les plus fins. Ce sont des périodes propices aux rituels alliant la botanique, les pierres et la spiritualité. En effet, la transmission énergétique entre la plante et/ou le cristal et l’humain est alors plus aisée et plus profitable.

Ensuite, les différentes parties d’une plante sont associées à différentes caractéristiques et pratiques. Par exemple, les feuilles sont plutôt utilisées pour améliorer le quotidien (communication et relations interpersonnelles), tandis que l’on se sert plutôt des fleurs pour leur plus grand pouvoir spirituel et énergétique. Les graines, quant à elles, sont associées à une concentration énergétique faisant le lien entre le passé, le présent et le futur. Les racines, enfin, permettent une connexion plus intense avec l’énergie de la terre.

Comment choisir vos plantes?

Dans ce monde moderne, nous devons être conscients que les plantes font face à des intrus qui altèrent profondément leur essence physique et énergétique : la pollution de l’eau, de l’air, l’ajout de pesticides et de métaux lourds, les ondes. Choisissez-les issues de méthodes de plantation, de cueillette et de transformation au plus proche du respect de la nature (petits producteurs, permaculture, cueillette sauvage, distillation à l’ancienne). Préférez les plantes non coupées, les huiles de première pression à froid et les beurres non désodorisés. Si vous ne pouvez pas cultiver et transformer certaines matières premières vous-même, faites appel à des structures artisanales et privilégiez celles avec un label bio et les fiches mentionnant les tests réalisés (présence de pesticides, métaux lourds…).

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