P O R T F O L I O FLORE GODLEWSKI
SOMMAIRE PROJETS PROFESSIONNELS
MAISON DANS LES BOIS
ARCHITECTURE NÉCESSAIRE
FES FACTORY
LES GRENIERS D’AGADIR
Réhabilitation d’une ferme à Méane. Projet personnel - Creuse. 2018
Réhabilitation de 34 lycées. Atelier A1 - Tanger, Maroc 2019/2021
Concours incubateur universitaire. Atelier A1 - Tanger, Maroc 2020
Concours institut spécialisé Agadir Atelier A1 - Casablanca, Maroc 2018
p 18 - 21
p4-7
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p 8 - 11
p 12 -15
PROJETS ETUDIANTS
LES NOUVEAUX TAZOTAS
EXPOSITION DU SENSIBLE
GRANDIR ENTRE CIEL ET TERRE
VERS DE NOUVEAUX HORIZONS
FAIRE LA VILLE AUTREMENT
Concours centre culturel Sdi Bennour Atelier A1 - Casablanca, Maroc 2018
Scénographie d’une exposition. Atelier du sensible - Paris 2017
Projet de fin d’étude ENSAPLV. Master 2 - 2016/2017
Workshop à Tunis, Tunisie Master 1 - 2017
Mémoire de fin d’étude Master 2 - 2017
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p 16 - 17
p 22 - 25
p 26 - 35
p 36 - 37
p 38 - 39
MAISON DANS LES BOIS Réhabilitation d’une ancienne grange en habitation. Projet personnel en cours, avec Florian Bourlet. Méane, France.
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Terrain d’expérimentation en cours de réalisation, la réhabilitation de cette grange isolée sur une parcelle de plusieurs hectares au nord de la Creuse est une commande privée. Futur résidence secondaire, l’utilisation de matériaux bruts et locaux est privilégiée (construction bois) . Souhaitant s’inscrire dans une démarche responsable, une réflexion sur les réseaux d’eaux et d’énergies guide ce projet notamment avec la mise en place de toilettes sèches et de systèmes de chauffages combinés poêle à bois et puit canadien. La mémoire de l’identité rustique du lieu est également au cœur du projet. Ainsi les murs et les charpentes seront conservés en l’état et mis en valeur en laissant tous les murs périphériques libres. Enfin la verrière, ouverte sur la terrasse et la nature, vient isoler la quatrième face aujourd’hui mi-close par un bardage.
Photo de l’existant Vue sur la façade principale
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Axonométrie du projet
Plan RDC
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Détail plancher et menuiseries cachés dans la structure de la verrière.
Plan R+1
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Photos du chantier en cours.
ARCHITECTURE NÉCESSAIRE Réhabilitation de 34 lycées dans la région nord du Maroc. Cheffe de projet - Atelier A1 - Tanger, Maroc. Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un projet national de mise à niveau de 100 établissements scolaires du secondaire mené par un partenariat entre le Milenium Challenge Corporation et le Ministère de l’ Éducation Nationale du Maroc. L’intervention se concentre sur la réhabilitation des infrastructures scolaires et la construction de petits bâtiments nécessaire à l’innovation pédagogique au sein de 34 établissements de la région Tanger- Tétouan - Al Hoceima région pilote des ambitions nationales.
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Après l’étude des problématiques de chaque établissement, commencée en 2017, les 18 premiers chantiers ont démarré fin aout 2019 et sont en cours de livraison au cours de l’année 2020. Afin de faciliter la mise en œuvre tout en ayant l’ambition de conserver une signature commune au projet, un système modulaire d’éléments répondant à la diversité des problématique soulevées a été développé. La multiplicité des lieux d’interventions a ainsi permis de toucher des populations variées, urbaines ou rurales, pour qu’un plus grand nombre d’écoliers puissent bénéficier du programme d’amélioration de l’environnement d’apprentissage.
4 RÉGIONS 34 LYCÉES 6 Chefchaouen 10 Tanger 7 Larrache 9 Tétouan 1 Fahs 1 Ouezzane
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DET OPC AOR
DET OPC AOR
Plan de situation des établissements scolaires
Typologies des différentes régions des lycées
ESQ APS APD
Établissements Ruraux
Établissements urbains
Établissements montagneux
Établissements côtiers
L’exemple du lycée Abdelali Ben chekroun Larrache
TYPES D’INTERVENTIONS SUR L’EXISTANT Réfection du réseau électrique Réfection du réseau hydraulique
Végétalisation des espaces libres Aménagement accessibilité PMR 2
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Traitement des fissures
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10
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PROGRAMME DES NOUVELLES CONSTRUCTIONS
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Buvette Sanitaires
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Axonométrie du projet existant /nouvelles constructions
1. Administration 2. Salle d’enseignement 3. Sanitaires 4. Loge du gardien 5. Logement du Directeur 6. Bloc polyvalent 7. Préau 8. Sanitaires 9. Vestiaires
Salle commune/ Bibliothèque Infirmerie Vestiaires -Terrain de sport
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Photo de l’existant
Le lycée d’état Abdelali Ben Chekroun se trouve en périphérie de la ville de Larache, chef-lieu de la province éponyme. Il a été construit en 1996 et se situe en proximité d’une zone boisée et marécageuse. Aujourd’hui plus de mille élèves y sont scolarisés, pour 18 salles de classes et 3 laboratoires. Le diagnostique réalisé en 2017 fait état d’un manque de locaux communs, de salles de classes, de sanitaires et de vestiaires. Des fortes dégradations des équipements et des réseaux électriques ont aussi été relevés. Dans une démarche de grande nécessité, l’intervention s’est focalisée sur ces points, ainsi que sur le renforcement des équipements de sécurité pour les élèves. Evolution du chantier depuis les fondations jusqu’au second oeuvre
FES FACTORY Concours d’un incubateur universitaire. Juillet 2020 Atelier A1 - Fes, Maroc. Ce concours initié le 24 juin 2020, comprend l’aménagement d’une zone industrielle et la conception d’un bâtiment composés principalement de bureaux. Nous avons souhaité proposer un bâtiment au volume simple traversé par un espace aéré et traversant qui distribue l’ensemble des éléments du programme. Afin de crée une unité au bâtiment, une double peau vient enrober l’ensemble de la construction. Ce dispositif, inspiré des moucharabiehs de l’architecture traditionnelle du Maroc, est ici utilisé de manière contemporaine. Un motif géométrique, conçu en brique de terre vient filtrer la lumière du soleil et ainsi créer une ventilation naturelle dans l’épaisseur de la façade.
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Afin de limiter l’énergie grise du bâtiment, notre projet a été guidé par la prise en compte des contraintes écologiques comme l’optimisation de la lumière, l’orientation, la ventilation naturelle ou encore l’utilisation de matériaux locaux utilisés dans l’architecture traditionnelle de la région.
Intention du projet
Terrasse Recherche et développement Sanitaires Accélérateur De start-up Sanitaires
Salle de réunion
Terrasse
Service ingénieur Sanitaires
Accélérateur De start-up
Business Center
Sanitaires
Salle de réunion
Vue de l’entrée
Service ingénieur Sanitaires
Terrasse Business Center Sanitaires Accélérateur De start-up
CVTIT Gestion Salle de réunion
Terrasse Sanitaires
Vue du jardin
Sanitaires
Médecin
Incubateur
Crèche
Documentation
Guichet unique
Cafétéria
Locaux techniques
Ascenseurs
Surveillance
Salle de conférence
Association
Axonométrie programmatique
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Façade vitrée
Création d’une double peau
Réflexion du soleil
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Aération naturelle du bâtiment
Plan R+4
Façade principale sud
Dispositif de la régulation thermique de la double peau
15 Vue d’une des terrasses
Détail de la double peau
Vue de l’atrium
LES GRENIERS D’AGADIR Concours d’un centre de formation . Atelier A1 - Agadir, Maroc.
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Situé sur une parcelle marquée par l’ancien lit d’un cours d’eau, le projet vise à garder en mémoire l’aspect topographique naturel du lieu. Il se développe selon deux axes principaux, l’un NordSud dessiné par l’ancien ruisseau, l’autre Est-Ouest situé dans le prolongement de l’entrée. Ainsi se dessinent naturellement quatre espaces distincts. Au niveau de l’entrée au nord, on trouve le pôle administratif, au sud le pôle pédagogique. En prenant l’axe dans le prolongement de l’entrée, on franchit la rivière transformée en espace paysager à la manière d’une oasis. Au nord, après la rivière on trouve les espaces communs et la buvette, au sud les halles pédagogiques. Inspirées par les plans traditionnels des greniers de l’anti atlas, ces halles sont orientées dans l’axe du vent et agencées de manière à limiter leurs expositions au soleil. La construction terre-paille développée ici s’inscrit dans le respect des méthodes de constructions locales et traditionnelles où la terre argileuse était le matériau privilégié des greniers situés près des cours d’eau. Enfin une attention particulière est apportée au choix des essences d’arbres qui répondent aux différents espaces végétalisés : l’oasis, le verger, le patio et le jardin aride.
Un lit de rivière parcours le site
Facade sud
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Facade Ouest
Facade Nord
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Plan RDC
A
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Vue depuis la passerelle sur l’entrée
VUE DEPUIS LA PASSERELLE
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FACADE EXPOSEE N
FACADE EXPOSEE E
Vue sur les halles pédagogiques
LES NOUVEAUX TAZOTAS Concours d’un centre culturel, médiathèque, théâtre. Atelier A1 - Sidi Bennour, Maroc.
Situé au cœur de la ville de Sidi Bennour au Maroc, le projet propose une relecture d’une architecture emblématique de la région, les tazotas. Initialement conçus comme des greniers, les tazotas ont la particularité d’être de formes arrondis, conçus en pierre et avec très peu d’ouvertures. Afin de jouer un rôle de mémoire pour les habitants de la ville, le projet propose un lieu dédié à la culture. Avec une programmation très riches, composé de plusieurs espaces d’expositions, d’une médiathèque et d’un théâtre, le projet cherche à s’ouvrir sur le quartier en créant des ruelles et des espaces d’appropriations.
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Un travail sur la matérialité et la lumière a été réalisé. Notamment dans les salles d’expositions ou la façade fonctionne avec une double peau verre et gabion filtrant la lumière.
Vue depuis la salle d’exposition
SI D I BEN NOUR l CENTRE C ULTUR E L l M A ROC SI D I B EN NO U R l C E N TR E C ULTUR E L l MAROC
Centre culturel Sidibennour Centre culturel Sidibennour
Facade Principale
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Référence des «tazotas» de el Jadida
Vue depuis la médiathèque
Plan masse
EXPOSITION DU SENSIBLE Scénographie de l’exposition de Ton Von Os, dans un immeuble Haussmanien rue Boilly.
En collaboration avec Iris Dauty, pour l’Atelier du Sensible. Paris, France.
A l’occasion d’une exposition en mai 2018, rue Boilly dans le XVIème arrondissement de Paris, l’atelier du Sensible a organisé une exposition croisant la musique ancienne et la peinture de l’artiste néerlandais contemporain Ton van Os. Sur trois étages de l’immeuble, l’exposition retrace une rétrospective de la vie de l’artiste, où se mêlent ses œuvres et des espaces de concerts. Ton Von Os affectionnant la musique, ce croisement d’art permet aux spectateurs de s’immerger dans l’univers du peintre.
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Le premier étage accueille les œuvres des premières années de L’artiste. Nous avons ouvert les espaces, baignés de lumières douces grâce à la fabrication de pans de calques. Des bancs en bois bruts et métal ont aussi été réalisés. Le deuxième étage est plongé dans l’obscurité. Une déambulation est suggérée au spectateur guidé par une musique baroque, celle de Morton Feldman. Le parcours proposé questionne les études de Ton Von Os sur la forme de la sphère. L’idée est de pouvoir se plonger sur «un timbre», de s’immerger dans un son, un geste, et de tendre vers le silence . Des modules en bois ont été conçus et fabriqués par nos soins afin de permettre aux spectateurs de s’approprier l’espace, de s’y asseoir ou de s’allonger seul ou à plusieurs. Enfin le dernier espace entre dans l’intimité de l’artiste avec une reconstitution de son atelier. C’est aussi l’espace de concert ou tous les soirs se produisent plusieurs artistes de musiques anciennes du monde. L’espace a donc été pensé de manière conviviale autour de l’idée d’un bistrot.
1er étage : Premières études de Ton Von Os
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3eme étage : Espace des concerts Restitution de l’atelier d’artiste
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Plan du 2eme étage : «Constellations d’études»
Imbrications possibles des modules
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GRANDIR ENTRE CIEL ET TERRE Projet de fin d’étude d’architecture, en collaboration avec Felipe Carrasco. ENSAPV - 2017
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Les lieux de l’enfance conservent un goût particulier pour l’adulte que nous devenons. Et l’environnement dans lequel nous grandissons marque et façonne le regard que nous portons sur notre territoire. L’enfance retient ce qui s’enfuit et les lieux parlent. Ils parlent de nous. Pour notre diplôme de fin d’étude, nous nous sommes intéressés à la fabrique d’un projet pour les enfants. Car il nous semble important de considérer les espaces qui leur sont dédiés. Concevoir de nouveaux espaces pour les enfants, c’est leur permettre de pouvoir s’épanouir autrement et de créer de nouveaux dialogues au sein de la ville. Nous avons décidé d’étudier le territoire de la Courneuve, qui est très riche de par sa diversité de population et d’histoire. Au fur et à mesure de notre réflexion nous nous sommes questionnés sur les enfants de la Courneuve, pour comprendre qui ils étaient et quels étaient leurs imaginaires. Quelle place donner aux enfants et à leurs jeux à la Courneuve ? Et comment faire pour que les enfants de la Courneuve deviennent des citoyens impliqués et soucieux de leur territoire ? Nous souhaitions créer un tapis d’éveil dans le temps afin que les enfants de la Courneuve grandissent avec la nature et puissent se doter des outils qui pourraient leur permettre d’acquérir une nouvelle culture jardinière. Les enfants doivent passer du temps à l’extérieur, leur éducation doit être fondée sur l’expérience et l’exercice des sens pour qu’ils deviennent des citoyens qui pourront appréhender les ressources naturelles de leur territoire. Si des enfants jouent dans la rue, c’est qu’il s’y passe quelque chose, l’enfant est un révélateur de l’ambiance urbaine d’une ville. Travailler avec les enfants c’est donc se tourner aussi vers leur famille, leurs parents, leurs frères et soeurs pour ainsi créer de nouveaux dialogues avec la population de la Courneuve.
Inscrire la traversée dans le temps avec les éléments naturels
L’ évolution de la Courneuve 1850
2017
1950
Inscrire la traversée dans le temps
1850
Év o12 l u t i o n du
2017
1950
2070
2050
t er r i t o i r e de l a C o u r n eu v e.
Travail de régénération des sols bétonnés de la Courneuve.
1850
1950
1950
1850
2017
1950
1850
1850
1950
2017 2025
2017 2020
2017
2050
2050
2050
dans ville d’ombre de la Év o l uCréer t i o n une de nouvelle l a C o u rfitrance n eu v e à t r ala v er s l ’ét u de du s o Courneuve. l ei l da n s l e t em p s .
2070
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Etude du territoire De manière intuitive un axe nous est apparu. Reliant la mairie jusqu’au parc de la Courneuve, cet axe relie son centre historique à son patrimoine végétal. Nous avons remarqué qu’aujourd’hui le centre manque de vitalité, que les axes routiers fragmentent la ville et le parc George Valbon semble tourner le dos à la ville. La Courneuve est alors détachée de son potentiel naturel. La ville est pourtant caractérisée par une topographie naturelle qui glisse jusqu’au parc Georges Valbon. La Courneuve est aussi une ville tournée vers sa jeunesse. Les enfants représentent plus de 25% de la population et 50% des habitants ont moins de 30 ans. La Courneuve compte de nombreuses écoles, institutions et associations qui s’occupent des enfants. De nombreux événements et initiatives sont également tournés vers les jeunes comme la « Courneuve-plage » qui permet aux enfants qui ne peuvent pas partir en vacance de pouvoir profiter des plaisirs estivaux.
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Situation de la Courneuve et de l’avenue de la république
L’ évolution de la Courneuve
L’axe de l’avenue de la république
Plan de situation
La Courneuve-plage "l’espace jeux "
Le potager des enfants
Les institutions liés aux enfants à la Courneuve 29
Les institutions liés aux enfants à la Courneuve
oles Étude du quartier. ociations sociations iatheque diatheque nservatoire servatoire
ole
Initiatives de la ville liés aux enfants.
"l’espace jeux "
La Courneuve-plage
Le
Une traversée qui parcourt l’épaisseur du quartier .
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rsée pour les enfants
Un nouveau parc et une piscine naturelle La serre des cultures du monde Une passerelle public au rytme des enfants Une nouvelle cours d’école
Affranchissement des limites Affranchissement des limites
Affranchissement des limites. Affranchissement des limites
Théâtre La place des vents Entrée de la traversée
31 Coulissement du paysage du parc Georges Valbon Coulissement du paysage du parc Coulissement du paysage du parc Georges Valbon dans la ville.
Coulissement du paysage du parc Georges Valbon
Travail d’une nouvelle filtrance. Travail d’une nouvelle filtrance dans la ville
Travail d’une nouvelle filtrance dans la ville
La serre des cultures du monde
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Le projet de cette serre cherche a représenter la diversité des enfants de la Courneuve en leur proposant de découvrir une grande variété de cultures venues du monde. L’intention a alors été de créer des coulissements de nature, du potager vers le parc. Dans le parc une colline des enfants a été réalisée à leur échelle. Les enfants peuvent ainsi prendre de la hauteur sur la ville. La «Courneuve plage » marque leur imaginaire et leur offre de nouveaux paysages. Nous avons alors imaginé au cœur du parc une piscine naturelle qui suit un chemin de l’eau à travers la serre et révèle l’hydrographie souterraine. Pour ouvrir de nouveaux horizons naturels, on a choisi l’architecture de la serre pour affranchir les limites visuelles depuis le parc jusqu’au potager. Dans la serre trois niveaux de cultures légumières se succèdent. Un grand escalier relie l’espace de la serre à la passerelle de la traversée qui monte vers le ciel. La structure de cette serre a été assemblée avec la structure de la membrane. Permettant de créer une perméabilité au sein de la serre pour qualifier différents espaces. Cette structure en toile tendue fonctionne avec des mats volants, ce qui permet de libérer l’espace central. Dans le détail du mat volant, la coque qui vient pousser la toile a été colorée. Ainsi plusieurs faisceaux de lumières naturelles illuminent la serre et bougent en fonction de l’orientation du soleil.
C ou pe
1 2
10
33
34
35
VERS DE NOUVEAUX HORIZONS Réaménagement d’un centre de jeune. en collaboration avec Felipe Carrasco. Workshop - Bizerte, Tunisie - 2017
Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un workshop international réalisé en Tunisie, à Bizerte. Le projet propose de re-qualifier les différents espaces extérieurs d’une maison de jeune, par la création d’une nouvelle traversée. La structure imaginée permet par la filtration de la lumière, de qualifier par des jeux de couleurs au sol différents espaces dédiés aux enfants pour ainsi les amener à parcourir le site autrement. La structure sert aussi à capter de l’énergie solaire pour créer une autonomie sur le site. Au cours de la journée, la structure est amenée à bouger en fonction de l’orientation du soleil.
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Coupe AA’
1 2
1 0
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A
Plan
1 2
1 0
A’
FAIRE LA VILLE AUTREMENT Etat des lieux des nouvelles pratiques urbaines: Les collectifs d’architectes. Mémoire de fin d’étude réalisé en 2016 - ENSAPLV
Apparus en France dans les années 90, les collectifs d’architectes revendiquent de nouvelles méthodes et de nouveaux discours dans la fabrique de la ville. Par leurs démarches alternatives, ils revendiquent une rupture avec le processus traditionnel d’élaboration du projet architectural et urbain. Ils proposent alors d’initier de nouvelles méthodes d’actions pour apporter de nouvelles réflexions, notamment concernant l’espace public et la question de « l’habiter ». En privilégiant la petite échelle, les collectifs cherchent à expérimenter de nouvelles productions de la ville avec les habitants. Cherchant ainsi à redéfinir les notions liées au « vivre ensemble ». Portés par des valeurs militantes, ils proposent à travers leurs pratiques de nouvelles méthodes pédagogiques et participatives. Encore considérés en « marge » de la profession d’architecture classique, les collectifs d’architectes sont pour la plupart composés de jeunes architectes diplômés. Ils s’unissent avec d’autres professions comme des graphistes, menuisiers ou encore cuisiniers pour créer leurs collectifs. Sous forme d’associations ou de coopératives, ces collectifs cherchent à faire la ville autrement.
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L’origine des revendications portées par les collectifs d’architectes n’est pas récente. Les réflexions liées au «vivre-ensemble » ont déjà été abordées par le passé. Les collectifs d’architectes défendent des revendications portant sur l’occupation de l’espace public. Ils considèrent l’espace public comme un bien commun qu’il faut revaloriser. Par l’occupation, ces mouvements ont généré des villes temporaires dans des espaces publics. Ces formes d’occupation de l’espace, ainsi que les liens sociaux qui s’y créent, portent de nouvelles réflexions sur le pouvoir politique de l’architecture. Le rôle de l’espace public et les interactions qui peuvent s’y créer ouvrent, pour les nouveaux collectifs d’architectes, des questionnements liés aux nombreuses possibilités de fabrication d’espaces sociales. Ils inventent de nouveaux dispositifs autour notamment des chantiers, qu’ils souhaitent ouverts et participatifs pour connaitre et faire participer les nouveaux habitants et usagers d’un lieu. En se consacrant à la question large de « l’habiter », ces collectifs tentent de donner de la valeur à l’acte de construire. Ce qui implique des valeurs sociales et des méthodes éducatives. Le terme de « bien commun » est né de la volonté de créer des organisations pour vivre et faire ensemble au sein d’un groupe d’individus. Les moyens mis en oeuvre par les collectifs d’architectes pour faire la ville autrement se retrouvent ainsi au centre de mon questionnement. Quels enjeux soulèvent ces nouvelles pratiques urbaines dans la fabrique de la ville? Quelles sont les spécificités de ces jeunes architectes et leurs modes opératoires ? Enfin, en quoi le projet des Grands Voisins innove-t-il dans le processus du projet architectural et urbain? Lien du mémoire : http://issuu.com/floregodlewski/docs/m_moire_faire_la_ville_autrement_f
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