Portfolio architecture

Page 1

Florian merlos

Architecte

Designer



AVANT-PROPOS Ce portfolio propose une sélection de certains travaux réalisés dans le cadre de mes études en architecture et en design d’espace. Il présente des projets à différentes échelles, allant du design d’un objet à celui de la planification d’un projet urbain en passant par la conception d’une pièce architecturale.


Architecte stagiaire // SCORE SVBM Construction, Fontenay-sous- Bois.(94) Assistance du chef de chantier lors de la construction de logements sur la commune de Gennevilliers, en banlieue nord de Paris. février/2013.

diplômes et prix

CV

Lauréat de la Bourse de l’Art urbain/Séminaire Robert Auzelle

travaux & workshop

Florian Merlos

Sur la base du diplôme, 2016/2017.

Concours L’aluminium pour l’éco-design 2010

Obtention du diplôme d’État d’Architecte, mention très bien

« Prévenir, Soutenir, Protéger »

Concours Algeco session 2015

Master 2. ENSA Marseille, 2016.

01lieu septembre 1989, « Transit 2025 : c’est quoi un de transit dansOrange, 10 ans ?France » Parution dans la revue architecture[s] élémentaire[s] - 10ème position parmis près de florian.merlos@hotmail.fr 500 participants Workshop S7 - Ville/Nature n°206 21 81 04 16

Licence d’Architecture ENSA Marseille, 2014.

« Entre Parc National des et Marseille, devenir de l’archipel du Frioul » 49 Calanques avenue Roger Salengro,le 13003 Marseille ENSA Marseille - 2015

Brevet de technicien supérieur en Design d’Espace (BAC+2)

Rapport d’étude

« Vers une compréhension des formes produites par l’architecture contemporiane - La récente évolution du rapport entre architecture et paysage», 2013

École Supérieure des Métiers Artistiques de Montpellier, 2011.

Mémoire #1

« Henri Ciriani - Le musée de l’Arles antique: manifeste pour une nouvelle spatialité»,

Bac Scientifique, 2014 Sèrieux, motivé, organisé, autonome, goût de la performance Lycée de l’Arc, Orange, 2008. Mémoire #2

« Miller & Maranta - La mémoire à travers l’architecture», 2015

CLES espagnol, niveau B2

Mémoire #3

2014.

« Les villes nouvelles des rives de l’Étang de Berre, EPAREB - Le paysage dans l’expérience des villes nouvelles de l’Étang de Berre : le cas exemplaire de Vitrolles », 2016

personnalité

compétences

communication travail en équipe Réactivité créativité polyvalence

Adobe Photoshop Illustrator Indesign

français

Archicad Revit Autocad Sketchup Artlantis

espagnol

discrétion

anglais

Permis B - véhicule personnel

centres d’intérêt

cuisine

voyages

livres

cinéma

musique

sorties

jeux


portfolio en ligne: https://issuu.com/florianmerlos/docs/portfolio_architecture http://florianmerlos.wix.com/architecte-portfolio Sèrieux, motivé, organisé, autonome, goût de la performance

Architecture & Design d’espace formations École Nationale Supérieure d’architecture de Marseille Licence Master 1 « Matière sensible» Master 2 « Du paysage aux structures spatiales de l’édifice»

École Supérieure des Métiers Artistiques de Montpellier,

Acquisition d’une culture artistique et des techniques de création. Formation à la conception de l’espace, de l’architecture et des techniques de construction.

diplômes et prix Lauréat de la Bourse de l’Art urbain/Séminaire Robert Auzelle Sur la base du diplôme, 2016/2017.

Obtention du diplôme d’État d’Architecte, mention très bien Master 2. ENSA Marseille, 2016.

Licence d’Architecture

expériences Architecte D.E // Roccaro Architecture, Marignane. (13)

Formation HMONP Durée de 10 mois de septembre 2016 à juin 2017.

Architecte stagiaire // OH!SOM Architectes, Marseille. (13) Phase de conception - Concours d’idée pour la requalification de l’entrée de ville de Calvi (Corse). Visites sur différents chantiers août/2015. Architecte stagiaire // Odic & Wolff Architectes, Marseille. (13) Phase de conception - Extension de la station d’épuration de Meyreuil Constitution de dossiers de candidature, concours - marché public février/2015. Architecte stagiaire // Emmanuelle Colboc et associés, Paris. (75) Phase APD - Extension de l’hopital Cochin à Paris et Visites sur différents chantiers février/2014. Architecte stagiaire // SCORE SVBM Construction, Fontenay-sous- Bois.(94) Assistance du chef de chantier lors de la construction de logements sur la commune de Gennevilliers, en banlieue nord de Paris. février/2013.

travaux & workshop Concours L’aluminium pour l’éco-design 2010 « Prévenir, Soutenir, Protéger »

Concours Algeco session 2015

« Transit 2025 : c’est quoi un lieu de transit dans 10 ans ? » Parution dans la revue architecture[s] élémentaire[s] - 10ème position parmis près de 500 participants

ENSA Marseille, 2014.

Workshop S7 - Ville/Nature n°2

Brevet de technicien supérieur en Design d’Espace (BAC+2)

Rapport d’étude

École Supérieure des Métiers Artistiques de Montpellier, 2011.

Bac Scientifique,

Lycée de l’Arc, Orange, 2008.

CLES espagnol, niveau B2 2014.

personnalité

CURRICU

Florian Merlos

« Entre Parc National des Calanques et Marseille, le devenir de l’archipel du Frioul » ENSA Marseille - 2015 « Vers une compréhension des formes produites par l’architecture contemporiane - La récente évolution du rapport entre architecture et paysage», 2013

Mémoire #1

« Henri Ciriani - Le musée de l’Arles antique: manifeste pour une nouvelle spatialité», 2014

Mémoire #2

« Miller & Maranta - La mémoire à travers l’architecture», 2015

Mémoire #3

« Les villes nouvelles des rives de l’Étang de Berre, EPAREB - Le paysage dans l’expérience des villes nouvelles de l’Étang de Berre : le cas exemplaire de Vitrolles », 2016

compétences


Contenu


01

08

02

09

03

10

04

11

05

12

06

13

07

14

Projet de fin d’études / Le parc métropolitain des rives de l’étang de Berre Master 2

Le musée autrement Licence 2

Le logement Collectif Licence 3

Un équipement de spectacle en ville Licence 3

Morphogénèse d’un musée Master 1

Un bâtiment infrastructure Master 1

Participation au concours Algeco Master 2

Design mobilier BTS 1

Le logement individuel BTS 2

Une buvette insolite BTS 2

Un restaurant panoramique BTS 2

Workshop / Îles du Frioul Master 1

Mémoire / Miller & Maranta Master 1

Un cabanon d’indigné en Camargue Licence 1

Mobilier Lo gement Pu blic Ur bain Co ncours Re cherche


Ur Soutenance PFE HABITER

ENTRE VILLE ET INDUSTRIE

14

année: 2016 site: Berre l’étang collaboration: Laurent Hodebert (enseignants ENSA Marseille) C’est au coeur du vaste territoire, géographiquement contrasté, de la métropole Aix-Marseille Provence, et plus particulièrement sur l’Étang de Berre, que va se porter notre attention. Disposant d’indéniable atouts, mais souffrant de multiples dysfonctionnements, ce dernier a été identifié comme terrain de projet. Le constat que l’on peut faire sur les lieux est dur mais réaliste, et surtout il dresse l’état des lieux d’un territoire qui longtemps a fait l’objet de grands bouleversements historiques, mais qui malheureusement aujourd’hui, stagne sans véritable grand projet de revitalisation. Afin de proposer des solutions sur ce territoire qui dispose de nombreux atouts, nous avons identifiés des lieux où des enjeux forts se manifestent. Une fois identifiés, ces sites pour la plupart non qualifiés, sont l’occasion de recoudre, faciliter les continuités urbaines, requalifier, protéger, densifier/intensifier, décloisonner, mettre en cohérence, ou encore valoriser, maîtriser, et pérenniser... Le but du projet est alors de réaffirmer une architecture ancrée à l’échelle du contexte qu’elle embrasse, qui va du grand territoire, au quartier, en passant par la ville. Mais aussi renouer avec un urbanisme qui prenne en compte les besoins d’une population et les caractéristiques du site. Il est question de développer des espaces publics et des bâtiments prenants en compte les usages, de permettre la perméabilité des limites, de qualifier les sols, les parcours, les ambiances urbaines mises en place et les matériaux utilisés. De plus, des connexions spatiales physiques et visuelles, des séquençages des dispositifs urbains et architecturaux feront l’objet d’une grande attention. Lier ces éléments, effectuer des passerelles entre les programmes de la ville, permet d’arriver à l’émergence de projets architecturaux en lien avec leur contexte. Ce projet de fin d’étude a donc pour objet de s’intéresser à la manière dont il peut se connecter à l’environnement où il s’implante. Il s’inscrit dans un contexte urbain fort, ce qui offre la possibilité de travailler sur une problématique donnée, et de faire ressortir une réponse unique. Ainsi nous interrogeons la possibilité et la pertinence de vivre entre ville et industrie.


1.

Les équipements dans le parc

2.

Nouvelle densification en lisière de ville

3.

Pôle commercial en lisière de parc

4.

Arrêt de la navette maritime

GSEducationalVersion

1

GSEducationalVersion

2

3

4

Plan de situation


Réduit à 30%

Plan de masse


Axonométrie générale montrant l’implantation du projet dans son contexte


Terrasses commerces existants

Trottoir

861

333

Terrasses commerces existants

Trottoir

861

333

Terrasses commerces existants

Trottoir

861

333

Voies véhicules

351

351

Voies véhicules

351

351

Stationnement

Trottoir

400

449

Stationnement

Trottoir

400

449

Voie de bus

Quai de bus et trottoir

Voie vélos

400

449

157

Coupe du boulevard Henri Wallon - État existant

Voies véhicules

300

300 2 904

Coupe du boulevard Henri Wallon - Projet

103


Enclave site industriel

Enclave site industriel

+ 12,00

+ 7,30

+ 2,90 + 12,00

+ 7,30

+ 2,90



Indiv + intermédiaire

-

Collectif

+

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

13

12

11

10

9

8

7

6

5

4

3

2

1 28 x 15 = 430

28 x 15 = 430

14 14

27

26

25

24

23

22

21

20

19

18

17

16

15

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

12

11

+

4.500 m2 33 logements 73 lgt/ha

13

13

12

11

10

9

8

7

6

5

4

3

2

1

-

8.100 m2 37 logements 45 lgt/ha

28 x 15 = 430 28 x 15 = 430

14 14

27

26

25

24

23

22

21

20

19

18

17

16

15

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27 1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

28 x 15 = 430

14

TOTAL ÎLOT:

27

26

25

24

23

22

21

20

19

18

17

16

15

îlot: 13.500 m2 70 logements 52 lgt/ha environ 100 pl soit 1.5 pl/lgt

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

13

12

11

10

9

8

7

6

5

4

3

2

1 28 x 15 = 430

28 x 15 = 430

14 14

27

26

25

24

23

22

21

20

19

18

17

16

15

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

TOTAL OPÉRATION:

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

12

11

13

13

12

11

10

9

8

7

6

5

4

3

2

1

Assiette totale: 120.000 m2 53 logements individuels 305 logements intermédiaires 296 logements collectifs 52 lgt/ha

28 x 15 = 430 28 x 15 = 430

14 14

27

26

25

24

23

22

21

20

19

18

17

16

15

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27 1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

28 x 15 = 430

14

27

26

25

24

23

22

21

20

19

18

17

16

15

27

26

25

24

23

22

21

20

19

18

17

16

15 14

28 x 15 = 430

1

2

3

4

5

6

7

8

9

11

10

12

13 27

26

25

24

23

22

21

20

19

18

17

16

15

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

14 14

28 x 15 = 430 28 x 15 = 430

1

2

3

4

5

6

7

8

9

11

10

12

13

9

8

7

6

5

4

3

2

1

11

13

12

10

QUARTIERS PAVILLONNAIRES: 20 lgt/ha en moyenne 27

26

25

24

23

22

21

20

19

18

17

16

15

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

14 14

28 x 15 = 430 28 x 15 = 430

1

2

3

4

5

6

7

8

9

11

10

12

13

9

8

7

6

5

4

3

2

1

11

13

12

10

Soit environ trois fois moins dense que ce que propose le projet. Plan de sol - Les différents aménagement du parc

654




Coupe longitudinale - les coeurs d’îlot





Coupe longitudinale - la pointe du parc



Faรงade du projet sur le parc

Coupe transversale sur le projet



Pu LE MUSÉE AUTREMENT LA

MÉMOIRE D’UN AXE FORT

02

année: 2013 site: Marseille, France collaboration: Jean-Baptiste Hemery & Olivier Vanmellaerts (enseignants ENSA Marseille) S’inscrivant dans le cadre de l’opération «Marseille, ville de la culture 2013», le projet d’équipement public prends toute son importance dans un quartier en devenir tel que celui de la gare Saint-Charles. Une vaste opération immobilière, ainsi que l’aménagement d’un parc urbain sont en projet sur ce site et c’est dans ce contexte là que viendra prendre place un musée. Le projet met en évidence la persistance d’un axe qui va du sud-ouest au nord-est et qui offre une entrée dans le quartier. Le but est de le révéler en l’intégrant au projet. Le musée occupe une parcelle en pointe sur laquelle des immeubles ont été détruits. Il y a donc au nord de ce terrain un mur pignon et l’idée est de construire le nouveau bâtiment en retrait de cette façade aveugle pour ménager une place qui marque le parvis d’entrée de l’équipement culturel. Ainsi cette parois peut être un support d’expression pour les artistes (street art par exemple). De l’extérieur le musée ressemble à un énorme bloc traversé dans sa diagonale par un volume vitré. Ce dernier est l’unique source de lumière de l’édifice et permet sa ventilation natuerelle. A l’intérieur les volumes des salles s’emboîtent sur des doubles hauteurs pour faciliter l’exposition des oeuvres, et rendre agréable la visite du musée.


L’EVENEMENT DEaxes LAqui TRACE / UN MUSEE AUTREMENT Un projet généré par les différents traversent la parcelle Plan de situation Plan de masse C’

D’

Restaurant/Cafétéria

B

A Salle d'exposition n°1

Extrusion de la parcelle

Creusement par la trace d’un axe existant

Mise en place d’un dispositif pluriel B’

Salle d'exposition n°2

A’

D C

0

Plan de situation - Echelle 1/2000°

Plan de masse - Echelle 1/500°

40 m


Coupe transversale AA’ - Echelle 1/200°

Coupe transversale AA’

Coupe transversale AA’ - Echelle 1/200°

0

20 m

0

20 m

GSEducationalVersion

Coupe transversale BB’ - Echelle 1/200°

Une visite marqué de manière constante par le dispositif lumineux

Coupe transversale BB’

Coupe transversale BB’ - Echelle 1/200°

Une visite marqué de manière constante par le dispositif lumineux GSEducationalVersion

Coupe longitudinale CC’ - Echelle 1/200°

Coupe longitudinale CC’

Coupe longitudinale CC’ - Echelle 1/200°

0

20 m


D C

Un projet généré par les différents axes qui traversent la parcelle

D C

A Salle d'exposition n°1

Extrusion de la parcelle

Creusement par la trace d’un axe existant

Mise en place d’un dispositif pluriel

Plan de situation - Echelle 1/2000°

Plan de masse - Echelle 1/500°

Plan de situation - Echelle 1/2000°

Plan de masse - Echelle 1/500°

B’

Salle d'exposition n°2

A’

Coupe de profil sur l’avenue Camille Pelletan et la rue d’Aix

0

Coupe profil sur l’avenue Camille Pelletan et la rue d’Aix - Echelle 1/500° Coupe profil sur l’avenue Camille Pelletan et la rue d’Aix - Echelle 1/500°

40 m

D

C

Un dispositif praticable mettant en relation l’ensemble du musée et ses usagers

Une vue privilégiée sur un monument et ses environs

Plan de R+1 - Echelle 1/200° GSEducationalVersion

C’

Elévation est - Echelle 1/200°

Élévation est

0

20 m

D’

Elévation est - Echelle 1/200°

Elévation nord - Echelle 1/200°

GSEducationalVersion

Hall d'accueil Boutique

B

A

Reserve Rgt

Rgt

Salle d'expostion n°3

B’

A’

Administration

Elévation ouest - Echelle 1/200°

Élévation ouest

Elévation ouest - Echelle 1/200°

0 D

20 m


C’

C’

D’

D’

Restaurant/Cafétéria

Hall d'accueil

B

Boutique

B

Un projet généré par les différents axes qui traversent la parcelle Coupe transversale BB’ - Echelle 1/200°

Une visite marqué de manière constante par le dispositif lumineux

A

A

Reserve

Salle d'exposition n°1

Rgt

Extrusion de la parcelle

Rgt Creusement par la trace d’un axe existant

Mise en place d’un dispositif pluriel

Salle d'expostion n°3

B’

B’

Salle d'exposition n°2

A’

A’

Administration

Coupe longitudinale CC’ - Echelle 1/200° D

Plan de R.D.C

D

C

Un dispositif mettant en relation l’ensemble du musée et ses usagers Plan depraticable R.D.C - Echelle 1/200°

HEMERY/OLIVIER VANMELLAERTS

C

0

20 m

Une vue privilégiée sur un monument et ses environs

Plan de R+1 - Echelle 1/200° Plan de R+1

0

20 m

C’

MERLOS FLORIAN GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

D’

Elévation nord - Echelle 1/200° Hall d'accueil Boutique

B

Coupe longitudinale DD’ Coupe longitudinale DD’ - Echelle 1/200°

A

Reserve Rgt


C’

D’

Elévation nord - Echelle 1/200°

Élévation nord

0

20 m Restaurant/Cafétéria

Hall d'accueil Boutique

B

GSEducationalVersion

A

Reserve Rgt

Salle d'exposition n°1

Rgt

B

Salle d'expostion n°3

B’

Un projet généré par les différents axes qui traversent la parcelle Salle d'exposition n°2

A

Administration

A’

D

Elévation sud - Echelle 1/200°

Élévation Extrusion de lasud parcelle ENSAM S4 L’EQUIPEMENT

0

20 m

Creusement par la trace d’un axe existant

Plan de R.D.C - Echelle 1/200° Plan de toiture

C

0

20 m

Mise en place d’un dispositif pluriel

STUDIO JEAN BAPTISTE HEMERY/OLIVIER VANMELLAERTS GSEducationalVersion

MERLOS FLORIAN GSEducationalVersion

D

Un dispositif praticable mettant en relation l’ensemble du musée et ses usagers

Une vue privilégiée sur un monument et ses environs

Plan de R+1 - Echelle 1/200°


Lo Logement collectif LA

TRAME STRUCTURANTE

03

année: 2013 site: Marseille, France collaboration: Hervé Dubois & Frédéric Einaudi (enseignants ENSA Marseille) Le programme de logements collectifs en ville ouvre à la compréhension des relations entre existant et projet. Sont mis en oeuvre des savoirs particuliers relatifs à la compositions (partition, superposition, imbrication, répétition), et pose la question de l’insertion du programme dans un site déjà structuré.

La volonté du projet est dans un premier temps de venir terminer la forme de l’îlot en lui redonnant un angle sur rue, participant ainsi à la structuration de la ville. Nous avons proposé dans un second temps d’offrir des perméabilités entre l’espace public et le coeur d’îlot par des percées visuelles et physique a travers le bâtiment. Cette idée première s’est alors imposée tout au long de notre travail, venant guider le dessin du projet dans la trame régulière qui lui à été donné, comme dans les logement, ou encore l’aspect de la façade. Le projet est donc un lieu de relations particulière entre une intériorité et une extériorité. Sa position privilégié en angle et face à une ouverture sur la place Belsunce lui donne maintes fois l’occasion d’offrir à ses habitants des vues dégagées sur le paysage urbain à chacun des niveau du bâtiment. Il se fonde sur l’idéalité que chacun puisse disposer d’un espace extérieur en lien direct avec son logement indépendamment de celui de son voisin, suivant les préceptes de Le Corbusier pour l’immeuble-villas. On distingue alors l’organisation interne en façade, qui forme une trame régulière de pleins et de vide, qui sont respectivement les espaces de vie intérieurs, et extérieurs. Le dernier étage en toiture proposant des cellules dédiées au logement étudiant, entretient une relation privilégiée avec la vue sur Marseille et le ciel.



//Analyse urbaine sur la zone 3 du quartier Belsunce //Analyse urbaine sur la zone 3 du quartier Belsunce //Analyse //Analyse urbaine sur la zone 3 du quartier urbaine Belsuncesur la zone 3 du quartier Belsunce Densité 3 Densité 3 3 Densité 3 Densité

Transports 3 Transports 3 3 Transports 3 Transports

SÉRIE DE SCHÉMAS QUI MONTRE L’AVANCÉE DU PROJET Pocher l’emprise des bâtiments permet de se rendre conte des

pleins des vides. Ici bâtiments on voit comment tracé des voies dedes cirPocheretl’emprise des permetle de se rendre conte culation tissu dense. le tracé des voies de cirpleins et ont des découpées vides. Ici on le voit comment Pocher l’emprise des bâtiments permet de se rendre conte des culation ont découpées le tissu dense. pleins et des vides. Ici on voit comment le tracé des voies de circulation ont découpées le tissu dense.

Tramway

Tramway

Voitures

Tramway Voitures

Les deux moyens de transport dans ce quartier sont la voiture et le tramway. On constate que le Tramway emprunte le cours Belsunce principalement piéton. Les deux parkings sont accéssible par les routes en voiture. Rue Colbert, le tramway et la voiture se cotoient.

Voitures Tramway

3 3 3 3

Espaces publics Espaces publics Espaces publics Espaces publics

Voitures

Les espaces publics tels que les places et nement sont des vides dans tissus urbain. Les espaces publics tels queleles places et aménagés celon les endroits. nement sont des vides dans le tissus urbain. Les espacescelon publics tels que les places et aménagés les endroits. nement sont des vides dans le tissus urbain. aménagés celon les endroits.

3 3 3 3

RELATION ENTRE INTÉRIEUR ET EXTÉRIEUR D’UN LOGEMENT

3 3 3 3

LieuxLieux de respiration de respiration Lieux de respiration Lieux de respiration

les aires de stationIls sont plus ou moin

les aires de stationCommerces Commerces Ils sont plus ou moin les aires de stationCommerces Ils sont plus ou moin Commerces

Les commerces sont établient en R.D.C des immeubles d’habitation. Dans le quartiers ils sont nombreux et présents a peut près partout.

3 Densité

SÉQUENCE D’ENTRÉE AVEC DEUX ACCÉS DIFFÉRENTS

A1

3 Espaces publics

Ces vides créent des lieux de repiration dans la ville. Ces vides créent des lieux de repiration dans la ville.

3

Ces vides créent des lieux de repiration dans la ville.

Diférenciation duPLANCHES bâti PENSEZ A BIEN ORGANISER VOS DANS UN ORDRE DE PRÉSENTATION CLAIR. SI POSSIBLE THÉMATISEZ CHAQUE PLANCHE, OU SINON MARQUEZ BIEN DES SOUS CHAPI-CINEMA DE QUARTIER TRES AVEC DES TITRES THÉMATIQUES

Logement Equipement

Merlos Florian Merlos Florian Merlos Florian

-

Groupe Dubois/ Einaudi Groupe Dubois/ Einaudi Groupe Dubois/ Einaudi

S5 S5 - Merlos S5 Florian -

Rgt. Logement en ville Logement en ville Groupe Dubois/ Einaudi Logement en ville

-

S5

3 Lieux de respiratio

-

Logement en ville


A1

SEZ A BIEN ORGANISER VOS P NS UN ORDRE DE PRÉSENTATIO OSSIBLE THÉMATISEZ CHAQUE SINON MARQUEZ BIEN DES SO S AVEC DES TITRES THÉMATIQ


RELATION ENTRE INTÉRIEUR ET EXTÉRIEUR D’UN LOGEMENT

SÉQUENCE D’ENTRÉE AVEC DEUX ACCÉS DIFFÉRENTS

A1

PENSEZ A BIEN ORGANISER VOS PLANCHES DANS UN ORDRE DE PRÉSENTATION CLAIR. SI POSSIBLE THÉMATISEZ CHAQUE PLANCHE, OU SINON MARQUEZ BIEN DES SOUS CHAPI-CINEMA DE QUARTIER TRES AVEC DES TITRES THÉMATIQUES

Rgt.

LOCAL VELO ET POUSETTES

HALL D'ENTREE LOCAL POUBELLES

GUICHET CINEMA

LOGE DU GUARDIEN

PLAN DE R.D.C. - ÉCHELLES 1/100

BATIMENT ANALYSÉ - ARCHITECTE - ANNÉE DE CONSTRUCTION - LIEU PROJET LOGEMENT NOM DESFLORIAN ÉTUDIANTS MERLOS Plan de R.D.C STUDIO DUBOIS-EINAUDI 2013 -- 2014 STUDIO DUBOIS-EINAUDI 2013 2014

0

PAGE /20 NB m DE PAGE

6/13


PLAN R+2 - ÉCHELLES 1/100

A1 PENSEZ A BIEN ORGANISER VOS PLANCHES DANS UN ORDRE DE PRÉSENTATION CLAIR. SI POSSIBLE THÉMATISEZ CHAQUE PLANCHE, OU SINON MARQUEZ BIEN DES SOUS CHAPITRES AVEC DES TITRES THÉMATIQUES

ADMINISTRATION LOGEMENTS ETUDIANTS

PLAN R+1 - ÉCHELLES 1/100

BATIMENT ANALYSÉ - ARCHITECTE - ANNÉE DE CONSTRUCTION - LIEU PROJET LOGEMENT NOM DESFLORIAN ÉTUDIANTS MERLOS Plan de R+1 STUDIO 2013 -- 2014 STUDIO DUBOIS-EINAUDI DUBOIS-EINAUDI 2013 2014

0

PAGE /20 NB m DE PAGE

7/13


SALLE COMMUNE

PLAN R+2 - ÉCHELLES 1/100

Plan de R+2

A1

0

PENSEZ A BIEN ORGANISER VOS PLANCHES DANS UN ORDRE DE PRÉSENTATION CLAIR. SI POSSIBLE THÉMATISEZ CHAQUE PLANCHE,

20 m


COUPE TRANSVERSALLE - ÉCHELLES 1/100

A1 PENSEZ A BIEN ORGANISER VOS PLANCHES DANS UN ORDRE DE PRÉSENTATION CLAIR. SI POSSIBLE THÉMATISEZ CHAQUE PLANCHE, OU SINON MARQUEZ BIEN DES SOUS CHAPITRES AVEC DES TITRES THÉMATIQUES

ÉLEVATION SUD SUR ENTRÉE - ÉCHELLES 1/100

BATIMENT ANALYSÉ - ARCHITECTE - ANNÉE DE CONSTRUCTION - LIEU PROJET LOGEMENT NOM DESFLORIAN ÉTUDIANTS Élévation sud sur entrée MERLOS STUDIO 2013 -- 2014 STUDIO DUBOIS-EINAUDI DUBOIS-EINAUDI 2013 2014

0

m PAGE /20 NB DE PAGE

11/13


COUPE TRANSVERSALLE - ÉCHELLES 1/100

Coupe transversale

A1

0

PENSEZ A BIEN ORGANISER VOS PLANCHES DANS UN ORDRE DE PRÉSENTATION CLAIR. SI POSSIBLE THÉMATISEZ CHAQUE PLANCHE, OU SINON MARQUEZ BIEN DES SOUS CHAPITRES AVEC DES TITRES THÉMATIQUES

20 m


A1

PLAN D’ÉTAGE D’UN T3 - ÉCHELLE 1/50

PLAN D’UN STUDIO

1

1

PENSEZ A BIEN ORGANISER VOS PLAN DANS UN ORDRE DE PRÉSENTATION C SI POSSIBLE THÉMATISEZ CHAQUE PLA OU SINON MARQUEZ BIEN DES SOUST5C T5 T3 T5 TRES AVEC DES TITRES THÉMATIQUES T3

RÉPARTITION DES TY

1

1

1

1

1

1

A1

PLAN D’ÉTAGE D’UN T3 - ÉCHELLE 1/50

PLAN D’UN STUDIO ÉTUDIANT - ÉCHELLE 1/50 INT

T4

T4

PENSEZ A BIEN ORGANISER VOS PLANCHES DANS UN ORDRE DE PRÉSENTATION CLAIR.T4 SI POSSIBLE THÉMATISEZ CHAQUE PLANCHE, OU SINON MARQUEZ BIEN DES SOUST5CHAPIT5 T3 T5 TRES AVEC DES TITRES THÉMATIQUES T3 T5

PLAN D’ÉTAGE D’UN T3 - ÉCHELLE 1/50

Plan d’étage d’un T3

0

A1 5m

T4

T4 T4 T4

T4

T3

PLAN D’UN STUDIO ÉTUDIANT - ÉCHELLE 1/50

Plan d’un studio étudiant

T3

T2 T3

T3

0

T2

T4

5m

36

T4

PLAN DE R.D.C D’UN T3 - ÉCHELLE 1/50

DETAIL D’UN ESPAC

RÉPARTITION DES TYPES ET ACCES AUX LOGEMENTS NOTEB sevitcurtsnoc snoituloS

BATIMENT ANALYSÉ - ARCHITECTE - ANNÉE DE CONSTRUCTION - LIEU PROJET LOGEMENT T4 NOM DESFLORIAN ÉTUDIANTST4 MERLOS serutT4 ioT PENSEZ A BIEN ORGANISER VOS PLANCHES STUDIO DUBOIS-EINAUDI 2013 -- 2014 STUDIO DUBOIS-EINAUDIT42013 2014 DANS UN ORDRE DE PRÉSENTATION CLAIR.T4 T4 SI POSSIBLE THÉMATISEZ CHAQUE PLANCHE, T4 tolp rus ellad – deip nielp ed elbissecca essarreT T4 OU SINON MARQUEZ BIEN DES SOUST5CHAPIT5 T3 T5 TRES AVEC DES TITRES THÉMATIQUES T3 T3 T3 T5 T2

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

INT

T3

T3

EXT

T2

T4

T4

1

1

RÉPARTITION DES TYPES ET ACCES AUX LOGEMENTS NOTEB sevitcurtsnoc snoituloS

EXT

serutioT tolp rus ellad – deip nielp ed elbissecca essarreT

36

INT PLAN DE R.D.C D’UN T3 - ÉCHELLE 1/50

Plan de R.D.C d’un T3

EXT

DETAIL D’UN ESPACE EXTÉRIEUR EN RELATION AVEC LE LOGEMENT - ÉCHELLE 1/10

0

5m

Section I Détail

BATIMENT ANALYSÉ - ARCHITECTE - ANNÉE DE CONSTRUCTION - LIEU PROJET LOGEMENT NOM DES ÉTUDIANTS

EXT

0

5m

PAGE / NB




Pu Un équipement de spectacle en ville DESSUS/DESSOUS

04

année: 2014 site: Marseille, France collaboration: Jérôme Apack & Olivier Vanmellaerts(enseignants ENSA Marseille) En prolongement de la dynamique culturelle initiée cette même année sur le grand territoire marseillais, le projet consiste à réaliser un lieu de production de spectacle, de représentation et de résidence implanté aux abattoirs. Un lieu privilégié de création et de diffusion des savoirs liés aux pratiques culturelles. Ce futur équipement culturel trouve place dans l’enceinte des anciens abattoirs de Marseille dans le quartier de la Calade. La création d’un équipement culturel convoque des questions d’insertion d’un programme complexe destiné à accueillir du public. Cet équipement devant fonctionner à l’échelle métropolitaine, du quartier (réseau et connections urbaine) ainsi qu’à l’échelle du site. Dans ce qui constitue les particularités d’un équipement de spectacle il y a les rapports du public à la scène, l’immersion progressive du visiteurs jusque dans la salle, la gestion de la lumière, la maîtrise des dispositifs techniques et structurels liées a de grandes portées, ainsi que les détails de mise en oeuvre des matériaux qualifiants l’écriture architecturale de l’édifice à l’intérieur comme à l’extérieur. « Oui, je le crois, nos édifices, surtout les édifices publics, devraient être, en quelque façon, des poèmes. Les images qu’ils offrent à nos sens devraient exciter en nous des sentiments analogues à l’usage auquel ces édifices sont consacrés. » Etinne Louis Boullé Notre projet prends place au nord du site sur un terrain remblayé et entouré par un mur de soutènement haut d’une dizaine de mètres. Nous avons choisi de tirer partie de cette situation en construisant la majeure partie du programme sous terre. Au dessus, une vaste esplanade viendra recouvrir la salle de spectacle, et sera ponctuée de petits édicules. Ainsi nous avons souhaité répondre à la trame orthogonale du site par une composition régulière de volumes posés sur un socle, lui-même légèrement surélevé par rapport au niveau du sol naturel. En face du projet, un parc viendra compléter cette grande esplanade afin de permettre une certaine fluidité. Vu depuis le chemin de la madrague, la volumétrie du projet semble sortir de derrière le mur de soutènement qui entoure les abattoirs. Ce sont ces mêmes volumes qui permettent de pénétrer dans la salle de spectacle situé en sous-terrain. Une fois à l’intérieur, l’ambiance y est différente. Le percement dans la dalle du grand hall vient éclairer la salle des pas perdus, dernier lien avec l’extérieur. Ensuite, le spectateur rentre dans le monde du spectacle où l’espace est constitué par le négatif des volumes qui émergent en surface. Ceux-ci descendent plus ou moins profond selon la fonction qui les occupe.



NE PLACE POUR LA CULTURE

UN ÉQUIPEMENT DE SPECTACLE EN VIL

Boulevard Ledru Rollin Logement

Mosquée

Travers

Parc

e Mard irossian

+47.00

+42.00

CNAM

Ecole de la deuxième chance

+40.00 +46.00 +41.00 +41.00

+46.00

Terrain de foot

+40.00

Jeu de boules

+45.00 +43.00

Ecole primaire

+38.00

Chemin de la Madrague Ville

+40.00 +37.00

+34.00

ule

Bo dB

var o

ab

ern

masse Plan 1 : de 1000 masse

0

80 m

0

80 m

GSEducationalVersion

pe générale du site des abattoirs

1 : 1000

Coupe générale sur le site des abattoirs

GSEducationalVersion

A A2

Plan des logements

1 : 200


bo

Plan masse

1 : 1000

GSEducationalVersion

Coupe générale du site des abattoirs

1 : 1000

1 : 200

A A2

Plan des logements

Espace de convivialité des artistes

Foyer

Bâtiment de l'administration

Cuisines

Ch. Froide

Atelier des décors Ch. Froide

GSEducationalVersion

Grande esplanade publique

Hall d'accueil

GSEducationalVersion

Cafétaria

B A3

BB’ A3

Régie Cage de scène

AA’ A2

Salle de spactacle

Plan d’accès au projet

1 : 200

Plan d’accès au projet FLORIAN MERLOS

0

Studio Jérome APACK / Olivier VANMELLAERTS

GSEducationalVersion

20 m

13.04.14 Semestre 6


2 2 Grande loge 18p 70,88 m2

Grande loge 18p 70,88 m2 Loge double 21,19 m2

Loge double Loge double 21,19 m2 21,19 m2

Vestiaires

Loge Local technique double 20,07 m2 21,19 m2

Salle de répétition 253,78 m2

Atellier de décors 301,55 m2

Salle de répétition 253,78 m2

Atellier de décors 301,55 m2

Salle de répétition 253,78 m2

Atellier de décors 301,55 m2

Salle de répétition 253,78 m2

Atellier de décors 301,55 m2

Loge de plateau 122,96 m2

Loge de plateau 122,96 m2

Grande loge 18p buanderie Costumes/ 35,0670,88 m2 m2

Local acces. 12,53 m2

Studio audio 20,30 m2

Grande loge 18p 70,88 m2

Vestiaires

Local technique 20,07 m2

Costumes/ buanderie 35,06 m2

Local acces. 12,53 m2

Loge double 21,19 m2

Studio audio 20,30 m2 Loge de plateau 122,96 m2

Loge double 21,19 m2 Loge double 21,19 m2

Loge de plateau 122,96 m2

Loge double 21,19 m2

1 Vestiaires

Local technique 20,07 m2

Costumes/ buanderie 35,06 m2

Local acces. 12,53 m2

Studio audio 20,30 m2

Vestiaires

Local technique 20,07 m2

Costumes/ buanderie 35,06 m2

Local acces. 12,53 m2

Studio audio 20,30 m2

1

2

1 : 200

Plan R-1 Plan R-1

1 : 200 Plan 1 : 200

1

Atellier costumes/ accessoires 383,58 m2

0

20 m

0

20 m

2

de R-1

2

2

Plan R-1

1

Atellier costumes/ accessoires 383,58 m2

1

1 : 200

1

Atellier costumes/ accessoires 383,58 m2

1

Plan R-1

1

Atellier costumes/ accessoires 383,58 m2

GSEducationalVersion

Stockage décors 561,50 m2

Stockage décors 561,50 m2

Stockage décors 561,50 m2

Stockage décors 561,50 m2

Stockage costumes/ accessoires 383,58 m2

Vestiaire tech.

Stockage costumes/ accessoires 383,58 m2

16,00 m2

Vestiaire tech. Vestiaire tech. 15,50 m2 16,00 m2

Vestiaire tech. 15,50 m2

Stockage costumes/ accessoires 383,58 m2

Stockage costumes/ accessoires 383,58 m2

Plan R-2

1 : 200

Vestiaire tech. 16,00 m2

Plan R-2

1 : 200 Plan

de R-2

Vestiaire tech. Vestiaire 16,00 m2 tech. 15,50 m2 Vestiaire tech. 15,50 m2

Plan R-2 Plan R-2

1 : 200 1 : 200

GSEducationalVersion


ANALYSE DU PROJET PAR THÈMES

MATÉRIALITÉ

GSEducationalVersion

STURCTURE

privé public

PARTITION PUBLIC/PRIVÉ

FLORIAN MERLOS Studio Jérome APACK / Olivier VANMELLAERTS

MATÉRIALITÉ

GSEducationalVersion

Coupe longitudinale

0

GSEducationalVersion

20 m

16.04.1


ersion

ersion

Élévation nord

0

20 m

0

20 m

0

20 m

GSEducationalVersion

Élévation nord-est

ersion

GSEducationalVersion

Élévation sud



Pu Morphogenèse d’un musée MATIÈRE

SENSIBLE

05

année: 2014 site: Aix-en-Provence, France collaboration: Stéphane Fernandez & Alexandra Martin (enseignants ENSA Marseille) De par sa nature, liée aux expérimentations successives qu’il nécessite, le projet est un outil de connaissance. A travers ce projet, nous avons nourri cette connaissance par la manipulation de la matière en plein et en vide. Cette pratique qui vise à inverser la démarche de projet montre qu’ici ce n’est pas le contexte et le programme qui dictent la forme et par la suite la matière qui va la constituer, mais que c’est de la logique de la matière que va naître la logique du projet. A partir d’un cube de 30 m x 30 m, et après s’être fixé une règle, nous avons obtenu une forme avec laquelle nous avons du travailler. Le choix des matériaux utilisés ont révélés des possibilités adaptables à la réalité. Le bois par exemple a mis en valeur des joints creux accrochants la lumière, ainsi que certaines faces révélées par le ponçage. La production en série de cet objet nous a permis d’explorer la forme initiale dans toutes ses capacités, permettant ainsi de faire naître le projet. Nous avons finalement adapté la figure théorique et poétique a un programme de musée sur le site de la fondation Vasarely à Aix-enProvence. Le projet reprend le plus fidèlement les éléments issus de la manipulation effectuée en amont. En effet, les différents volumes présents sur l’objet accueillent chacun un élément du programme. Les trois plus grosses entités correspondent aux salles d’exposition et à l’espace d’accueil, tandis que les éléments verticaux comprennent les circulations qui mènent à ces salles. Les vides creusés dans la matière sont aussi l’occasion de donner au visiteur des espaces extérieurs ouverts sur des éléments choisis du paysage. Ce musée étant positionné a proximité de la fondation Vasarely marque une nouvelle entrée, un passage obligé dans le site.



A FONDATION VASARELY LA FONDATION VASARELY A LA VISITE

RE A LA VISITE

Grille GSEducationalVersion

Chemin des flaneurs

Chemin des flaneurs

Découpage GSEducationalVersion

400

400 400 2 000

B' 450 400

2 000

A' B' 450 700

A'

50 700

C

2 000

600

Verticalité

50 6 5

C

4 3 2 1

50 2 000

600

GSEducationalVersion

300 6 5

4

600

3 2 1

50

50 400 300

600

50

600 400 400

50

260 600 400 90 50 50 2 000

300 200

260 800

C'

50 90 50

6

50 5

4 3 2

2 000

1

300 200 800

C'

50

800 6

50

5

4 3 2

2

1

500

1

3 4 5 6

800

400 500

1 2 3

50

4 5

2 000

6

400

800

Volumes composés

A

B

Plan de rez-de-chaussée - Échelle 1/100° GSEducationalVersion

A

hane Fernandez et Alexandra Martin

2 000

800

N

B

1000

50

N

Plan de rez-de-chaussée - Échelle 1/100° GSEducationalVersion

Plan de R.D.C

0

250

0

500

250

750

500

1000

750

1000


400

400

0 2 00

B'

Grille

450 GSEducationalVersion

A' 700

C 50

0 2 00

C

0 2 00

600

50 6 5

4 3 2 1

300

50 50 300

600

400

50

400

Découpage

GSEducationalVersion

600

400

50

260

90 50

0 2 00

300 200

6

4 3

800

5

C'

2

50

1 6

50 5

4 3 2 1

800

800

500

1 2 3

Verticalité

4

400

5 6

0 2 00

GSEducationalVersion

400

50 0 2 00

800

B

A

Plan de sol

- Échelle 1/50°

0

250

500

750

1000

Volumes composés


B'

A' B'

A'

2 000 2 000 400 800

400

1 200

400

400

50

67

68

69

70

71

72

73

74

75

76

77

23

25

26

27

133

28

29

30

32

31

24

34

33

36

35

38

37

50

400

80 81

500

18 17

550

79

550

78

20 19

550

234

550

22 21

82

16

83

15

84

14

85

13

86 87

9

120

280

8

700

7 5

11

12

9

10

8

7

6

5

4

3

2

1

183

6 4 3 2

C

100

300

500

298

402

1 400

300

1 450

50

50

26

9

8

7

6

5

4

3

2

1

150 50

27

25

87 40

24

39

38

35 34

83

24

82

25 26 27

32

28

31

81 80 79

29

16

78

30

15

400

400

400

77

76

50 67

300

50

11

50

13

12

10

9

8

7

6

5

4

2

1

3

14

75

30

84

23

36

33

74

29

85

22

37

17

73

31

86

39

23 22 21 20 19 18

72

28

71

27

32

70

33

69

26

68

25

34

50

24

35

150

23

36

600

22

37

400

38

200

40

600

29

28

32

31

30

34

150

33

50

1 450

650

2 000

850

700

C'

C

2 000

2 000

2 000

C'

800

150 50

1

800 400

400

1 200

2 000

500

750

1000

R+4/Echelle - Échelle 1/100° Plan R+41:100

B'

0

250

500

750

1000

750

1000

B'

250

A'

0

N

N

R+2/Echelle 1:100 Plan R+2 - Échelle 1/100° Plan R+2

A'

B

A

A

B

2 000

2 000 2 000 50

700

450

400

400 800

400 50

400

400

GSEducationalVersion

133

50

GSEducationalVersion

42 20

43

45

234

18 17

550

44

550

19

46

16 15 14

50

52

51

50

49

48

47

1 350

50

11

12

10

9

8

7

6

5

4

3

2

1

183

13

1 900

50

50

700

50

400

400

300

50

800 270

2 000

800

C'

800 270

C

2 000

2 000

C'

2 000

600

50

C

50

800

150

50

50

GSEducationalVersion

40 39 38

22

23

26

600

500

25

22

37

21

24

20 19 18 17

23

36

24

35

600

23

22

25

34

26

33

27

32

28

31

29

16

400

21

30

15

41

40

39

38

37

36

35

13

12

11

10

9

8

7

6

5

4

3

2

50

1

14

400 800

400

400

0

250

500

750

1000

B

A

B

A

800

2 000

N

N

Merlos Florian

R+1/ Echelle 1:100 Plan R+1 Plan R+1 - Échelle 1/100°

400

800

2 000

R+3/Echelle 1:100 Plan R+3 Plan R+3 - Échelle 1/100°

0

250

500

S7- FAB P1/ Mati


B' B'

A' A'

2 000

2 000

400

1 200

Autres

Murs

Parquet

Mobilier

Béton banché

Béton ciré

Menuiserie aluminium

Béton banché

Graviers

Vitrage

Placo-platre

400

50

67

68

69

70

71

72

73

74

75

Sols 400 800

76

400

77

400

78 79

550

550

80

82

600

83

600

500

81

84

+08.50

+08.50

85 86 87

9

+20.00

120

280

8

700

7 6 5 4 3 2

200

150 50

1

650

+20.00

2 000

C C

+14.00

9

8

7

6

5

4

3

2

150 50

1

1 400

550

+14.00

2 000

2 000

C'

750

2 000

850

700

C'

C

87 40

86

39

84

23

82

25 26

33

27

32

28

31

29

81

+20.00

80 79

+06.00

78

800

77

76

75

74

73

72

71

70

69

350

Matériaux utilisés utilisés Matériaux

60

B

0

250

500

750

500

750

1000 1000

110 50 490

2 000

750 110

490

50

A'

110 50

600

750

2 000 50

60 40 15

4 60

470

40 15

500

600

750 600

2 000

400

400

800

400

50

50

400

100

400

50

800 50

400

50

600

2 000

750

2 000

400

4

600

470 17 149 15

50 100 146

50 750

2 000

600

4

146 4

110

B'

A'

4

17 149 15

600

600

750 490

50

110

2 000

490

4

146

50

S7- FAB P1/ Matière sensible/ Stéphane Fernandez et Alexandra Martin

17 149 15

110

470

490

250

490

0

Plan de toiture/Echelle 1:100

2 000

A

R+4/Echelle Plan R+41:100 - -Échelle Plan toiture Plan de de toiture Échelle1/100° 1/100° A

N

1000 1000

50

N

750 750

1 200

2 000

B

2 000

B'

400

350

40

50

15

400

50

50 400

68

50 67

300

150

30

50

600

+20.00

34

83

24

200

36

600

650

37 35

85

22

650

38

GSEducationalVersion

600 500

50 100

50

400

133

600

GSEducationalVersion

42

600

600

+08.50

50

400

50

500

234

550 600

550

46

600

43 44 45

+08.50

Coupes CC’ - Échelle 1/100°

50

50

52

51

50

49

48

47

183

+20.00

250

500

750

1000

200

50

50

0

50

50

250

500

750

1000

+14.00

40

60

550

2 000

0 +20.00

+14.00

750

C

C

2 000

800 270

2 000

C'

800

C'

800 270

Coupe Coupes CC’ CC’ - Échelle 1/100° 2 000

C

1 900

0

500

750

1000

490

100

250

650

185

390

4

2 000

500

465

110

2 000

100

750 600

GSEducationalVersion

400

50

350

800

350

200

146

50

100

2 000

GSEducationalVersion

110

46

250

2 000 200

490

146

600 30 270

250 110

210

0

500

750

1000

250

100

305

198

4

46

50

600

490

4

190

600 185

305

110

Plan de toiture/Echelle 1:100

465

Plan de toiture - Échelle 1/100° 2 000

1000

52

750

B

A

500

50

250

500

110

2 000

465

100

4

185

600 400

0

50

R+3/Echelle 1:100 Plan R+3 - Échelle 1/100°

N

N

1000

B

A

GSEducationalVersion

750

500

600

4

2 000

50

390

800

110

400

305 500

400

50

400

110

600

41

40

39

38

37

36

35

200

+20.00

+06.00

30

2 000

4

+20.00

600

29

750

28

31

2 000

32

400

26 27

490

25

34

4

600

24

35

100 650

110

50

GSEducationalVersion

23

36

2 000

22

37

33

146

39 38

500

110 146

40

600

17 149 15

50

150

110

390

50

470

490

15

Coupes CC’ - Échelle 1/100°

600

190

110

GSEducationalVersion

30

270

30

50

600

250

270

210

190 500 210

198

250

500

750

1000

52

50

0

198

Coupe Coupes CC’ BB’ - Échelle 1/100° Coupes BB’ - Échelle 1/100°

100

4

46

500

S7- FAB P1/ Matière sensible/ Stéphane Fernandez et Alexandra Martin 52

GSEducationalVersion

0

250

500

750

1000


Élévation ouest

Élévation sud


60 40

490

15

750 600

2 000

4

50

17 149 15

110

470

490 110 50

146 4

50

400

500

600

100

50

50

600

2 000

750 600 50

Coupes CC’ - Échelle 1/100°

250

500

750

1000

250

500

750

1000

500

390

100

0

2 000

250

100

4

46

110

305

600

490

110

465

2 000

185

4

146

200

110

GSEducationalVersion

15

40

60

198

52

50

210

270

30

500

600

190

GSEducationalVersion

Coupes BB’ - Échelle 1/100°

490 110 50 2 000

750 600

50

100

50

600

2 000

S7- FAB P1/ Matière sensible/ Stéphane Fernandez et Alexandra Martin

750

4

Merlos Florian

4

146

50

17 149 15

110

470

490

0

600 500

50

50

400

600

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

Coupes CC’ - Échelle 1/100°

0

250

500

750

1000


Parement béton lisse préfabriqué

Poutre bois lamellé collé Montants déformables BA13

INTERIEUR

Double vitrage Raidisseur en verre Couvertine métallique Dalles extérieures béton (traitement antidérapant) Complexe d'étanchéité de la terrasse Isolation thermique du plancher haut Membrane pare-vapeur Plancher béton

Béton banché Béton ciré Chape anhydre Complexe plancher chauffant Plancher béton

BA 13

Sous-face laissée brute

INTERIEUR

Capotage métallique

Double vitrage Revètement béton ciré Chape anhydre Complexe plancher chauffant Dalle béton sur terres plein Sable Tout venant

Menuiserie Alu Béton hydrofugé

Liner Terre

e détail sur l’une des cheminée du projet- Échelle 1/20°

orian

EXTERIEUR

Façade I Détail

Section I Détail

0

20 5m

S7- FAB P1/ Matière sensible/ Stéphane Fernandez et Alexand


Capotage métallique

Double vitrage

Revètement béton ciré Menuiserie Alu Chape anhydre Béton hydrofugé

Complexe plancher chauffant Dalle béton sur terres plein

Gravier

Sable Tout venant Béton hydrofugé

Terre

Delta MS

Drain

Terre

Etanchéïté Cunette

Façade I Détail

Section I Détail

Coupe de détail montrant le système de drain aux pieds du bâtiment- Échelle 1/10°

Merlos Florian

0

20 m 2,5

Coupe de

S7- FAB P1/ Matière sensible/ Sté






Pu LE BÂTIMENT INFRASTRUCTURE APPRÉHENDER

LE PAYSAGE

06

année: 2015 site: Marseille, France collaboration: Christel Marchiaro & Mathieu Permingeat (enseignants ENSA Marseille) Le paysage de l’étang de Berre situé entre Marseille et Aix-en-Provence à longtemps été marqué par son activité industrielle. En effet, la proximité des grandes villes qui l’entourent et ses ressources naturelles ont fait de lui un territoire depuis longtemps convoité pour en exploiter le potentiel. Cette activité a nécessité l’aménagements de voies de circulation terrestres, aériennes, et maritimes. L’une de ces plus grosses interventions à été la création du canal du Rove qui relie le port de l’Estaque au Rhône vers Arles. Le canal a fortement marqué le paysage de l’étang de Berre et ces pratiques. Aujourd’hui plus personne ne se sert de ce canal a cause de la condamnation du tunnel qui permet la traversée des reliefs entre l’Estaque et l’étang. Cette fermeture du tunnel à en même temps interrompu le passage de l’eau salée vers l’étang et met en danger l’écosystème qui s’y développe. Ainsi nous proposons un bâtiment infrastructure qui joue le rôle de régulateur entre ces deux milieux pour contrôler les apports en eau salée. L’édifice se situe à la pointe d’une langue de terre appelé le Jaï, et entre l’étang de Bolmon et l’étang de Berre. Cette position stratégique lui donne une place importante dans la sauvegarde des qualités du site. Son architecture permet le passage des bateaux sur le canal, des voiture et des piétons en partie supérieure. Il accueille des laboratoires pour l’étude de l’eau et une école de voile qui profite de la proximité des deux étangs. Sa structure est simple; des voiles porteurs disposés en cercle partissionnent l’espace et soutiennent le sol et le toit qui pincent la vue sur le large.


Ecole de voile

Station de pompage

Centre d'enfouissement technique

Parc des sports

Ski nautique

MARIGNANE

les Paluds Stand de tir

Station d'épuration

Grande Palun

n turo ein uC td lla Va nd Gra Bne

Entrepôt hydrocarbure

Us.

Talan

Bricard

Farren


0

Plan de toiture

80 m


0

Plan de R.D.C

20 m


Plan de R+1

0

20 m


Coupe AA’

Coupe BB’

Coupe CC’

0

20 m


Co Concours Algeco BIT-BOX

07

année: 2015 site: non communiqué collaboration: Romain Napoli C’est quoi un lieu de transit en 2025 ? Plus vite, plus loin. L’avancée technologique permet déjà aujourd’hui de parcourir de plus grandes distances, de plus en plus rapidement. Les lieux de transit sont les spectateurs de ces flux, où des millions de personnes passent chaque jour mais ne font que se croiser. C’est d’ailleurs l’essence de la définition du transit : passer par un lieu sur son itinéraire sans y séjourner. L’ensemble de cette population en transit, passe, attend et souvent s’impatiente dans ces lieux. Et tout cela seul. L’individualisme, qui prend de plus en plus d’ampleur dans la société actuelle, tend à se renforcer dans les prochaines années. Il n’existe actuellement qu’un très faible rapport social entre les voyageurs. Le but est de se parler le moins possible, de rentabiliser son temps, de se dépêcher. Le temps, n’est ce pas la donnée primordiale qui organise nos vies ? Thierry Paquot analyse cette question du temps dans son ouvrage « Le quotidien urbain ». La réponse que nous apportons, commence par un questionnement sur ce rapport social, sur ce temps passé dans les lieux de transit, considérés comme perdus par les voyageurs. Il s’agit d’interroger aussi ce rapport au temps, que l’on essaie de compresser pour qu’il n’en reste rien, mis à part du stress et de la nervosité. Dans 10 ans, et grâce à la solution Bit-Box®, le voyageur sera amené à prolonger le temps passé dans un lieu de transit, d’une heure à une nuit. Il n’est plus question de compresser ce temps, mais de l’étirer pour en profiter le plus longtemps possible. C’est aussi le temps du partage, de l’échange qui est permis ici, alors qu’il disparaît ailleurs. Dans un monde de flux, qui s’intensifie d’année en année, toute personne devient voyageur par défaut. Un trajet en voiture, en vélo ou en transport en commun équivaut à un flux; tout le monde se déplace et de plus en plus. Notre souhait est de lutter contre cette organisation qui contraint nos vies, où le temps du plaisir et du social s’éteint. Pour cela, Bit-Box® intègre au sein même de ces lieux de transit des espaces de partage mais aussi de divertissement. Rassembler dans un même lieu des fonctions différentes permet d’améliorer à la fois la pratique de ces espaces mais aussi l’équilibre vital des voyageurs. Plus qu’un lieu de transit, dans 10 ans ils deviendront des lieux de vie à part entière, ce qui correspond aussi à une solution d’organisation urbaine sans coupures. La solution Bit-Box® offre une modularité exceptionnelle pour tous les lieux de transit. Sa conception modulaire, permet à la fois de choisir des matériaux, des organisations et des fonctions variées. La multiplicité des dispositions possibles permet d’adapter la solution dans chaque espace, qu’il soit étroit ou haut : accolés ou superposés, les modules peuvent prendre toutes les formes. Afin de faciliter leur transport et de réduire leur emprise au sol, chaque module est conçu afin de prendre le moins de place possible. En effet l’ensemble du programme est contenu dans la structure primaire de l’ALGECO® Progress PL30. Une fois installé, il se déploie afin d’offrir le maximum de fonctions tels que des espaces de travail, de repos, et de divertissement.


+ + +

OU

+

+

+

=

PREMIÈRE DÉCLINAISON Basculement de la structure

DEUXIÈME DÉCLINAISON

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

ES

E R

GSEducationalVersion

L

H

T

E

R

O

IT

U

L LU

P

L A

N

C

CE

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

CELL E i UL = GSEducationalVersion

+

+

+

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion


noisreV

noisreV

cationalVersion

cationalVersion

CelluleCellule de viede vie

CelluleCellule de viede vie

CelluleCellule jardin jardin

Espqces Espqces communs communs

CelluleCellule de viede vie

CelluleCellule de viede vie

CelluleCellule de viede vie

Terrasse Terrasse

ème ème Plans du module module horizontal - Échelle 1/50° Plans Plans du du module horizontal horizontal - Echelle - Echelle 1/501/50

CelluleCellule jardin jardin

Terrasse Terrasse

Espqces Espqces communs communs

CelluleCellule de viede vie


+ 10.39 m

+ 7.72 m

+ 10.39 m

+ 10.39 m

+ 5.23 m

+ 7.72 m

+ 7.72 m

+ 2.73 m

+ 5.23 m

+ 5.23 m

Coupes sur le module vertical - Echelle 1/50ème + 2.73 m

+ 2.73 m

Coupes sur module vertical - Échelle 1/50° ème e module vertical - Echelle 1/50 GSEducationalVersion



SORTIE

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

GSEducationalVersion

De multiples modes d’assemblage sont possibles avec la solution BIT-BOX®. À vous de jouer!






Pu Une buvette insolite PATRIMOINE

ET ARCHITECTURE

10

année: 2011 site: Saint-Mathieu-de-Tréviers, France collaboration: Marie-Caroline Foulquier-Gazagnes & Nicolas Roche (enseignants ESMA Montpellier) Le pic Saint-Loup est une montagne pittoresque du Languedoc-Roussillon située proche des communes de Cazevielle et Saint-Mathieu-de-Tréviers dans le département de l’Hérault. Situé à 25 minutes de Montpellier, le pic est visible de très loin et semble même pouvoir côtoyer les cieux. Du haut de sa crête, il tient tête aux éléments; une grande croix de fer y est dressée ainsi que la chapelle d’un ancien ermitage. L’édifice de plan rectangulaire, présente un appareillage en pierre mixtes. Son portail ouest comporte une entrée et deux oculus sur la partie haute. Le bâtiment est prolongé au sud par un appentis, et il est couvert dans sa totalité par une toiture en tuiles. Afin d’accueillir les randonneurs qui empruntent les chemins qui mènent au sommet, et de promouvoir le terroir «vins du Pic Saint-Loup» très réputé, un vif intérêt se porte sur la reconversion de la chapelle. Notre intervention sur cet existant se traduit par l’installation d’une structure légère et démontable à l’intérieur de l’édifice, et qui se prolonge à l’extérieur pour profiter du panorama lointain. cet élément qui vient transpercer une partie de la toiture de la chapelle, va chercher la vue au nord et met le visiteur en lien avec le paysage tout autours. En effet, le projet s’avance jusque dans le vide du côté de la face la plus abrupt du relief.


Axonométrie éclatée


Plan de la chapelle I État initial


Coupe longitudinale sur la chapelle I État initial

Coupe transversale sur la chapelle I État initial


Matériaux utilisés: Verre anti-solaire offrant une isolation thermique intelligente, capable de maintenir la chaleur du soleil à l’extérieur l’été et de conserver la douceur à l’intérieur l’hiver. Vitrage isolant photosensible, le verre anti-solaire est traité pour laisser passer la lumière et réduire jusqu’à 80% des rayons infrarouges. Isolation thermique, sécurité et confort... le verre anti-solaire protège tout en conservant les bienfaits de la lumière. Ce verre permet de réaliser des économies d’énergie en agissant comme la pierre des murs épais de l’édifice.

Lames en bois pour la terrasse suspendue sur des pilotis. La pose se réalise à l’aide de lames de bois extérieures et offre une multitude de possibilités de calepinage. Les lames sont clouées ou vissées sur un solivage, soigneusement préparé et ancré au terrain. Les lames sont bien ventilées et leur pose permet le bon écoulement des eaux (pluie, nettoyage).

Liteaux en bois complétant la structure poteaux/poutre des IPN.

L’étage intermédiaire et la terrasse reposent sur une structure métallique en IPN. Les solives en acier reposent sur les poutres portants les lambourdes en bois. Sont vissées sur ces dernières les lames de la terrasse.

Axonométrie


Coupe AA’

Coupe BB’


Plan de R.D.C


Plan de R+1


Élévation nord

0

5m

0

5m

GSEducationalVersion

Élévation sud


Élévation ouest

0

5m

0

5m

GSEducationalVersion

Élévation est


Plan de masse

0

5m







Pu Restaurant panoramique RECONVERTIR

UN PARKING AÉRIEN

11

année: 2011 site: Montpellier, France collaboration: Nicolas Roche (enseignants ESMA Montpellier) Plus qu’un bâtiment qui ne serait qu’un objet posé sur un parking, notre proposition vise à redonner de l’attrait à un bâtiment menacé de destruction. Notre intention est de tirer partie des halles situées au niveau de la rue et de proposer au dernier étage de ce parking aérien, un restaurant panoramique. Ainsi, nous souhaitons réconcilier les habitants de Montpellier avec un bâtiment qu’ils considères comme une «verrue» et de leur faire accepter cette architecture aux formes modernes et en rupture avec le contexte urbain qu’il occupe. La volonté du projet est de retranscrire la dynamique des rampes de l’édifice en reprenant le circuit qu’empruntent les voitures et des piétons pour le faire sortir en toiture. Une autre idée vise à proposer une vitrine de la gastronomie montpelliéraine en utilisant les produits locaux vendus dans les halles pour les proposer à la carte du restaurant. Par cette opération nous proposant de redynamiser le quartier en proposant un équipement qui soit le lieu phare de la gastronomie locale. Le projet se sert de la structure de l’édifice déjà présente pour venir s’y appuyer. La solution retenue pour tous les planchers du restaurant est la technique du plancher collaborant, très léger et facile à mettre en oeuvre. Sur les deux plateaux du parking, vient se poser un long ruban qui monte et descend en s’enroulant sur lui-même. Le résultat final est un restaurant organisé sur des demi-niveaux rejoins par des rampes douces. La toiture terrasse accessible au public, reprend le rythme de la circulation intérieure du projet. L’aspect ludique et légèrement excentrique du projet, ne doit pas masquer le fait que nous ayons réfléchi à toutes les contraintes d’un tel équipement. Le restaurant ne possède pratiquement pas de murs internes, mais de nombreux arcs et rampes, ce qui en plus des façades vitrées confère au volume, dynamisme et légèreté. Cette transparence se retrouve d’ailleurs à l’intérieur pour permettre une grande fluidité, mais aussi au niveau des cuisines pour permettre aux clients d’admirer la façon dont les chefs cuisiniers manipulent les produits de la région et les magnifient pour leur plus grand plaisir. L’observateur en parcourant le projet, met tout ses sens en action. Le bâtiment de par son aspect extérieur contribue à l’identité visuelle du lieu dans le paysage urbain et devient un point de repère dans la ville de Montpellier.



Plan de la toiture accessible

0

10 m


Plan du restaurant

0

10 m


Coupe AA’

0

10 m

0

10 m

GSEducationalVersion

Coupe BB’


Section I Détail

0

50 cm


Élévation est

0

10 m

0

10 m

GSEducationalVersion

Élévation nord


Élévation ouest

0

10 m

0

10 m

GSEducationalVersion

Élévation sud


Axonométrie éclatée





Ur Workshop LE

MUR HABITÉ

12

année: 2014 site: Marseille, France collaboration: Tiphaine Monier, Alexandre Pellissier, Radu Petrica, Mallory Pley, Emmanuelle Pons, Julie Roscian, Pauline Roussaly, Mathilde Sadran, Nastya Sanchez, Jai Patel. Notre projet fait table rase de ces logements afin de répondre au mode d’habiter adapté à l’île du Frioul. Les gravats sont ainsi réutilisables pour la construction du projet. La vie au Frioul se concentre donc dans une promenade habitée le long du port permettant de laisser la nature reprendre ses droits. Celle-ci se compose de logements, d’équipements, d’espaces communs, d’activités économiques, de sources d’énergie permettant une autonomie partielle sur l’île. Les logements traversant redonnent aux Frioulais un rapport au sol, vivant entre falaise et mer. Cette promenade est séquencée d’espaces libres et communs aux visiteurs et aux habitants. Les touristes peuvent donc s’approprier ces interstices devenant des espaces de rencontres, d’échanges et d’habitations temporaires. Ceux-ci permettront aux habitants de partager leurs coutumes, leurs histoires et leurs connaissances avec les touristes et ainsi de les éduquer au respect des lieux. La forme du projet favorise d’avantage l’esprit communautaire des Frioulais. Ces unités de logement sont construites avec les matériaux présents sur le site. Elles peuvent s’amplifier, se dilater lors de la saison estivale. Le tourisme estival implique deux temps de vie différents. La promenade est ponctuée de places la reliant aux chemins pédestres. Le parc naturel des îles est riche de par son histoire, ses ressources naturelles et ses points de vue sur Marseille. Les chemins canalisent les visiteurs de manière subtile par des aménagements en pierre. Le projet valorise des sites de mémoire par des interventions minimes offrant aux visiteurs des points d’informations sur le parc, éduque leur regard face à la fragilité du site. La pratique de l’île du Frioul est une expérience singulière sujette à faire évoluer la perception du monde.


La promenade habitĂŠe ceinture le port et redĂŠfinit ses contours.


Création d’une esplanade en lien avec la chapelle.

Place du marché, et arrivée sur la digue depuis les bateaux.

Chantier naval et belvédaire offrant la vue sur Notre Dame de la Garde. Nouvel embarquadère qui offre des directions multiples vers les site.

Point de vue en hauteur sur la ville de marseille, et départ des promenades.


Nous proposons une promenade habitée qui s’intègre dans le paysage. Elle reprend la typologie des ruines présentent sur l’île.

Le rapport à l’eau est une des caractéristiques du mode de vie des Frioulais sur l’île.


Appropriation l’hiver

Appropriation l’été

Coupe sur logements / vivre entre falaise et mer

Plan des logements / Réversibilité été/hiver


Espace commun entre les logements pouvant ĂŞtre appropriĂŠs par les habitants et les visiteurs.

Interventions subtiles sur les ruines

Coupe sur ĂŠquipement et logement / vivre entre falaise et mer


Re Miller & Maranta ENTRE

TRADITION ET MODERNITÉ

13

année: 2015 site: non communiqué collaboration: Christel Marchiaro & Moussa Chemlal (enseignants ENSA Marseille) Par le projet d’architecture, l’architecte transforme le territoire et ses usages, participant ainsi à l’évolution culturelle de sa civilisation. En ce sens, son intervention doit toujours être pensée; c’est le fruit d’une réflexion permanente sur l’espace, les formes, les fonctions, etc. Tout ceci nourrit notre travail et va au-delà du simple fait de «savoir construire». Les études d’architecture à travers les exercices de projet permettent de se construire une pensée, sa propre connaissance, un esprit critique, créatif et résistant permettant de dépasser les compétences de technicien de la construction. Le séminaire est l’occasion de faire émerger des choix, et d’interroger les conditions de sa production dans le projet. Il s’agit de se fabriquer un regard critique sur les choses de l’architecture pour se les rapproprier et en faire des outils de projet. Il est aussi important de prendre conscience que l’architecture n’a de valeur que si elle relève de la pensée. Ce mémoire a pour vocation de questionner la structure spatiale de trois des projets de l’agence Miller & Maranta. Selon diverses modalités, à chaque fois spécifiées par des contextes ou des programmes particuliers, plusieurs de leurs projets s’inscrivent dans une même lignée, depuis la halle de marché de Aarau, jusqu’à la villa Garbald à Castasegna, ou le spa de Samedan, par exemple. Malgré des caractéristiques particulières à chaque projet, nous avons laissé de côté leurs différences au profit de leurs similitudes, et nous les avons ausi comparés avec d’autres bâtiments conçus par d’autres architectes. Ainsi, chez Miller et Maranta dans quelles mesures l’histoire du lieu génère-t-elle la déformation du bâtiment et quel est l’espace qui en résulte? Suivant trois parties nous montrons comment le contexte modèle la forme du bâtiment. Mais aussi l’influence qu’a la tradition suisse dans la conception du projet, sans oublier l’ambiance ou «stigmun» qui habite l’espace des pièces ainsi conçues.


Villa garbald in castasegna, via principale 5, Castasegna, 2004 Miller & Maranta, Bâle.

Wohnhaus schwarzpark, gellertstrasse 135/137, Bâle, 2004 Miller & Maranta, Bâle.

Volta primary school, Wasserstrasse 40, basel, 2000 Miller & Maranta, Bâle.

Maison de retraite spirgarten, Spirgartenstrasse, Zürich, 2006 Miller & Maranta, Bâle.

GSEducationalVersion

Formes sculptées

Formes extrudés

Formes cherchantes 11

Market hall färberplatz à Aarau, Färbergässli, Aarau, 2002 Miller & Maranta, Bâle.

Spa in Samedan, dorfplatz, san bastiaun 3, Samedan, 2007 Miller & Maranta, Bâle.

Old hospice of st. gotthard, sankt gotthard, 2010 Miller & Maranta, Bâle.

Thermes et ensemble d’habitation, Patumba Park, 2005-2012 Miller & Maranta, Bâle.


LES DÉFORMATIONS LIÉES AU CONTEXTE Comparaison delalasituation situation projet avec cette la ville de Presov en Slavaquie. Comparaison de du du projet avec cette de de la ville de Presov en Slavaquie. L’église s’élargie créant ainsi uneune place. L’ église occupe occupe le centre centre de de la la rue rueààl’endroit l’endroitoùoùelle elle s’élargie créant ainsi place.

Déformations liées au contexte

Image de de droitedéformation desdes objets archiImage droite-Alain AlainBorie, Borie,Pierre PierreMicheloni, Micheloni,etetPierre PierrePinon, Pinon,Forme Formeetet déformation objets

3

architecturaux et urbains, tecturaux et urbains , 2006. 2006.

19

Pour desdes bâtiments qui entourent la place, Pourfaire faireface faceà àlalacontrainte contrainte bâtiments qui entourent la la halle de marché adopte un type de déformation que l’on appelle place, la halle de marché adopte un type de déformation que la «double obéissance». qui la subit la déformation obéit1 à la fois à deux ordres géomél’La onforme appelle «double obéissance» triques différents sans perdre son unité. La forme qui subit la déformation obéit à la fois à deux ordres Pour la halle de marché, il s’agit de deux ordres orthogonaux d’oriengéométriques différents perdrede sonlaunité. tations différentes, donnéssans par l’angle rue et l’alignements des bâtiments autours Pour la halle de d’elle. marché, il s’agit de deux ordres orthogonaux

GSEducationalVersion

d’orientations différentes, donnés par l’angle de la rue et l’alignements des bâtiments autours d’elle.

4Alain Borie, Pierre Micheloni, Pierre Pinon. Éditions Parenthèses, Forme Alain Borie, Pierre Micheloni, Pierre Pinon. Éditions Parenthèses, Forme et déformations des objets architecturaux et urbains , juin 2006.

et déformations des objets architecturaux et urbains, juin 2006.

20


sion

Déformations liées au contexte

Plans de sol avant et après la construction de la halle de marché.

Le projet se plie aux fins d’une perception spatiale de l’espace public, comme extrait du «poché» Le projet se plie aux fins d’une perception spatiale de l’espace public, comme extrait du nollien.

«poché» nollien.

24 GSEducationalVersion

5 Image de - fragment du plan Nolli deNolli Romede - Jacques Généalogie du Généalogie poché, de l’espace Image dedroite droite - fragment du de plan de RomeLucan, - Jacques Lucan, du poché, de au vide, revue n°7, 2004. l’espace aumatières vide, revue matières n°7, 2004.

25


Postures différents propre à chaque candidats du concours, sur la sur parcelle donnée. Postures différentes propre à chaque candidats du concours, la parcelle donnée.

Déformations liées au contexte [a]Projet Projetdede Ivano Gianola [a] Ivano Gianola

[b] Projetdede Meili & Peter [b] Projet Meili & Peter

[c]Projet Projetdede Conradin Clavuot [c] Conradin Clavuot

33

[d-e]État État existant avant concours, projetpar [d-e] existant avant concours, et projetet proposé proposé par Miller & Maranta. Miller & Maranta.

GSEducationalVersion

34


Déformations liées au contexte

Le découpage de la forme du projet dans son contexte.

Le découpage de la forme dans son contexte. 1

2

90°

3

Déformations liées au contexte

4

RDC

5 36

3

2 1 Les vers: Lescinq cinqfaçades façadessont sonttournées tournées vers: 1. Le paysage lointain 4. Les maisons individuelles aux pieds de la montagne 1. Le paysage lointain 2. Le village du bas 5. Le village du haut 2. Le village du bas 3. La montagne

3. La montagne 4. Les maisons individuelles aux pieds de la montagne


Déformations liées au contexte

Déformations liées au contexte

Herzog projet pourpour le théâtre de Visp croquiscroquis d’études, du plan en Herzog&&dedeMeuron, Meuron, projet le théâtre de (1984), Visp (1984), d’édispositions tude, disposition grille et en hélice.

du plan en grille et en hélice.

40

Miller & Maranta, analogie avec le plan du projet, la trame du plan

GSEducationalVersion GSEducationalVersion

Herzog & de Meuron, projet pour le théâtre de Visp (1984), vroquis d’étude disposition du plan en grille et en hélice. GSEducationalVersion

42


Les déformations extérieures qui se répercutent à l’intérieur. Les déformations extérieures qui se répercutent à l’intérieur.

90°

30° 90°

43 GSEducationalVersion

90°

Avant de rentrer dans le plan du projet, nous pouvons le rapprocher avec celui du projet pour le théâtre de Visp de Herzog et de Meuron. Après avoir pris en considération le changement d’échelle, comparons leur forme pentagonale qui peuvent quasiment se superposer. De la même manière que pour le projet de Miller et Maranta, la détermination du contour polygonale répond à des exigences dictées par la situation du bâtiment avec son contexte. En ce qui concerne le plan du projet de Herzog et de Meuron, in ne s’agit ni d’une grille, ni de la génération d’une hélice (paroies) autours d’un carré central. Il s’agit en fait d’un découpage du plan par un minimum de lignes qui ne cherchent pas à rejoindre les angles du pentagone, et qui ne fait pas une figure. La forme du bâtiment et sa partition sont l’une et l’autre non-compositionnelles, et n’ont à priori pas de relation entre elle. Chez Miller et Maranta, le plan procède de la même manière que pour le projet précédent. Les architectes dessinent tout d’abord un noyau central dédié à la circulation verticale. C’est à partir de la géométrie de cet élément majeur, que partent les parois des pièces qui l’entourent. Ces dernières comme pour le théâtre de Visp, ne cherchent pas à rejoindre les angles du polygone formant l’enveloppe.


Déformations liées au contexte

Plan de 1/500 ème. Plan de RDC RDC- Échelle - échelle 1/500ème.

47

GSEducationalVersion

48 GSEducationalVersion


Déformations liées au contexte

Plan géométrique géométrique déformé Plan déformé

Espacesinternes internes Espaces Déformations liées au contexte

Espacesinternes internescontenus contenus Espaces GSEducationalVersion

Tracésde deconstruction construction Tracés GSEducationalVersion

1

2

3

50

Partitionnementdu duplan plan trois parties Partitionnement enen trois parties GSEducationalVersion

dubâtiment bâtiment Articulation du

GSEducationalVersion GSEducationalVersion GSEducationalVersion

52


Hypothèse du cube au centre du projet Hypothèse du cube au centre du projet

Déformations liées au contexte

Il en est de même en coupe, où l’on voit que le carré occupe une place centrale dans le projet. Mise en volumétrie du projet dans son contexte 55 GSEducationalVersion GSEducationalVersion


L’ANALOGIE AU VERNACULAIRE ET À LA TYPOLOGIE

L’analogie au vernaculaire et à la typologie

Analogie avec la typologie de la villa Garbald

Analogie avec la typologie de la villa Garbald

Usages/pièces: Séjour Salle à manger Dégagement Circulation Sanitaire Rangement Chambres

Circulation/fenêtre/vue Circulation/fenêtre/vue

66 GSEducationalVersion

67


TECTONIQUE ET MISE EN OEUVRE DES MATÉRIAUX: L’AMBIANCE DES LIEUX

La cachée. La strucute structura cachée.

Tectonique et mise en oeuvre des matériaux: l’ambiance des lieux

La technique du moisage.

Mise Miseen enoeuvre oeuvrevernaculaire. vernaculaire.

Poteau central marché couvertde deAarau. Aarau. Poteau central dudu marché couvert

105

+

=

Schémas montrant la technique du moisage pour le poteau central, et son revêtement (capot en bois).

Schémas montrant la technique d’assemblage du bois pour le poteau central, et son revêtement (capot en bois).

106


Le et l’organisation des pièces en demi niveau Leraumplan: raumplan:lalacirculation circulation et l’organisation des pièces en demi niveau

La structure spatiale du spa à Samedan

Déroulement la promenade architecturale la villa Müller... et dans le projet de Miller & Déroulement de de la promenade architecturale dans la villa dans Müller...........et dans le projet d’extension de la villa Garbald Maranta

Attribuer à chaque pièce une hauteur appropriée à sa fonction.

A chaque pièce une hauteur appropriée à sa fonction

111

Coupe Müller Coupe sur surlalavilla villa Muller

Coupe Coupe sur surlelespa spadedeSamedan Samedan

GSEducationalVersion

113


Dernière mise en jour le 10 fÊvrier 2016.



MERCI •florian.merlos@hotmail.fr•


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.