De notre bureau

De notre bureau La hausse des prix nous affecte tous

Comme si deux années de COVID, de mesures de confinement, de fermetures, de capacités limitées, de problèmes de chaîne d’approvisionnement et de rupture de stock ne suffisaient pas, nous devons maintenant faire face à la hausse des prix des denrées alimentaires.

Les restaurateurs d’un bout à l’autre du pays sont contraints de se serrer davantage la ceinture dans un contexte de hausse des prix des denrées alimentaires. La réduction des portions et le remaniement des menus sont monnaie courante, car de nombreux produits alimentaires deviennent trop rares ou trop chers à l’achat.

Selon Statistique Canada, les Canadiens ont payé 9,9 % de plus pour les aliments dans les épiceries en juillet 2022 par rapport au même mois l’an dernier. Il s’agit d’une hausse de 9,4 % par rapport à juin, d’une année à l’autre.

D’une année sur l’autre, le sucre a augmenté de 9,7 %, les œufs de 15,8 %, les graisses et les huiles de 28,6 %, les pâtes alimentaires de 20 %, le beurre de 17,3 % et le café et le thé de 13,8 %.

Statistique Canada a indiqué que l’invasion de l’Ukraine par la Russie, ainsi que la hausse des coûts du carburant et les mauvaises conditions météorologiques dans certaines zones de culture étaient les principaux facteurs de la hausse des prix.

Ils ont également indiqué que, d’une année sur l’autre, les prix des aliments achetés au restaurant ont augmenté de +7,3 %. La hausse a été encore plus forte au Québec (9,2 %) et en Ontario (8 %).

Et pour ajouter à la misère de nombreux restaurateurs, de nombreux Canadiens constatent qu’ils n’ont tout simplement plus les moyens de manger au restaurant. Malheureusement, les salaires des gens ne s’ajustent pas à l’inflation.

Angus Reid a rapporté en juin que, dans l’ensemble, 45 % des Canadiens ont déclaré que leur situation financière était pire aujourd’hui qu’à la même époque l’an dernier, ce qui représente le niveau le plus élevé depuis au moins 12 ans. Interrogé sur l’année à venir, un tiers des personnes s’attend à ce que la situation continue à se dégrader, ce qui constitue également le chiffre le plus élevé depuis plus de dix ans.

À l’avenir, il faudra trouver le juste équilibre pour les restaurants et les prix des menus. Un bon service à la clientèle est plus important que jamais.

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De saison Matière à réflexion

Voici trois ingrédients frais de saison que vous pouvez incorporer à vos menus dès maintenant, ainsi que des aliments intéressants pour nourrir votre cerveau

CONSEIL :

Conservez toujours le maïs avec son enveloppe. L’enveloppe permet au maïs de rester humide et frais.

MAÏS EN ÉPI

• 65 % du maïs canadien provient de l’Ontario. 25 % du maïs est cultivé au Québec et les 10 % restants sont cultivés dans tout le Canada. • À l’exception de l’Antarctique, le maïs est produit sur tous les continents du monde. • En moyenne, un épi de maïs compte 800 grains répartis sur 16 rangs. • Le maïs a toujours un nombre pair de rangs sur chaque épi. • Une livre de maïs correspond à environ 1 300 grains. • Un épi de maïs est en fait une partie de la fleur et un grain individuel est une graine. • En plus d’être consommé en épis, le maïs est également transformé et utilisé comme composant principal dans de nombreux produits alimentaires tels que les céréales, le beurre d’arachide, les croustilles, les soupes, les guimauves, la crème glacée, les aliments pour bébés, l’huile de cuisson, la margarine, la mayonnaise, la vinaigrette et la gomme à mâcher. • Le maïs et ses sous-produits sont également présents dans de nombreux produits non alimentaires tels que les feux d’artifice, les produits antirouille, la colle, la peinture, les teintures, les détergents à lessive, le savon, l’aspirine, les antibiotiques, la peinture, le cirage, l’encre, les cosmétiques, la fabrication de films photographiques et la production de plastiques.

PRUNES

• Dans les Balkans, les prunes sont transformées en une boisson alcoolisée appelée slivovitz. • La liqueur de prune est également connue sous le nom de « vin de prune ». Elle est principalement populaire au Japon et en Corée. • La Chine est le premier producteur mondial de prunes. • Il existe plus de 200 variétés de prunes. • La peau d’une prune peut être de couleur rouge, jaune ou violette. • Seuls certains types de prunes peuvent être déshydratés pour devenir des pruneaux. • Les pruniers sont cultivés sur tous les continents, sauf en Antarctique.

COURGETTES

• La courgette est un membre de la famille des courges. • La fleur de la courgette est comestible. Les fleurs de courgette frites sont considérées comme un mets délicat. • Une courgette contient plus de potassium qu’une banane. • Bien qu’elle soit le plus souvent considérée comme un légume, la courgette est en fait un fruit, d’un point de vue botanique, et elle commence comme une magnifique fleur. La partie que nous mangeons est en fait l’ovaire gonflé de la fleur de courgette. • Si vous endommagez accidentellement la couche supérieure de la peau de ce légume, elle se détériorera rapidement. Même la réfrigération n’y changera rien. • Les courgettes sont composées de 95 % d’eau.

CONSEIL :

Les prunes continuent à mûrir après la cueillette. Conservez-les à température ambiante, à l’abri du soleil et de la chaleur, jusqu’à ce qu’elles soient douces au toucher et dégagent un arôme sucré. Une fois mûres, les prunes peuvent être réfrigérées au besoin pour éviter qu’elles ne se gâtent, mais le froid peut modifier leur texture et leur goût. CONSEIL : Plus gros ne veut PAS nécessairement dire meilleur. Les courgettes les plus savoureuses sont de taille petite à moyenne et plus la peau est foncée, plus elle est riche en nutriments.