Beija Flores do Brasil 1960

Page 1

BEIJA- FLORES do BRASIL PINTADOS '

TH. Naturalista,

<

E

DESCRITOS

PELO DR.

DESCOURTILZ

Mtmbro da

“Société Linnéenne de Paris”,

Autor da Flora Medicinal das Antilhas

LIVRARIA SÃO JOSÉ RIO DE JANEIRO

1960



ACABOU-SE DE IMPRIMIR EM ABRIL DE 1960 NAS OFICINAS DE SEDEGRA SOCIEDADE EDI-

DE JANEIRO, COM LICENÇA DA BIBLIOTECA NACIONAL DO RIO DE JANEIRO, PARA LIVRARIA SÃO JOSÉ LTDA., RIO DE JANEIRO, COM CLICHÉS GRAVADOS DOS ORIGINAIS POR ATELIER ESTO-CLICHÉ S. A. E LATT-MAYER CLICHERIAS REUNIDAS S. A.

TORA

E GRAFICA LTDA., RIO

TIRAGEM UM MIL EXEMPLARES

TODOS NUMERADOS

EXEMPLAR

.

123456789

10

11

12

13

14

84

N"

!

SciEL0

1

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31

32



ar le p

Df

TU 9SICOVRTILZ, N

aturaliste

,Memlre dela

Auteur de

cm

1

2

la

Société Linneeime

Paris, de

Flore Medicai e des Antilles

.


I I

I

.

t

-

-

I

cm

1

2

3

7

8

9

10

11

12

13

SciELO

L7

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


5

INTR0BUC TI 0N

Sous un

ciei brill&nt

sem dune delumiere.au

et dim vievge quoique feconde iSature toujouvs au milieu airpur clvaróé du parfum des fleurs circulent avec la.,

et dor des rapidite de VecTsÈÍr des Oiseaux etiucelaus riches reflets des autres metaux auxquels se joionent tendre vou^e òeimiies les íes teintes qui cdlorent ,Le de lola du Rubis ,le rou^tí fouce du Grenat Vorau^Se plus oeVui intepaxe le vert ao-realil e de VEmeraude Saplur et sojeux cinte íaxur du. de la Mal a ljse plus ,

,

,

.

existent separes suv le plu-

violet de VAinetlryste le ínaoe des espe.ce s qui en emprunlenl leuv nom et pour cest former ces melau^jevit couleurs se lorsque ;

da óréabl es harnjomes que Vo?il admire mais que le rendre ímparfaitele saura.it qu pmceau. plus exerce ne delicatesse ajoute la ce si l’on menV luxe du pevmaòe .

A

de-l-a taille.

cm

1

10

11

12

,

des formes dracietises

13

14

\ ivacite svelles et la :

SciELO 18

r

19

20

21

22

23

24

25

26

21

28

29

30

31

32


des mojuvemens

Vo n aura une escpiisse legere mais

des OisExux-MotjciniS

fidèle

ondtemps avant la decouverte du Nouveau -Monde Xj parles JLspagnols les babitans pr imiti fs de ces délicieuses contveés connaissaient et rechor eivai ent avec soin les Oiskaux-MouchIuS ils les povtaient en guise de pendans jdoreilles, en amulettes et avec les plumeá de la oorge. jls preparai ent des tableaux. dans les que Is les nuances meivigees avec gpút etaienl inaltc rabies et lu illanles du petit volume de ces oiFrwppes Se.aux les conquerans Euvopeens les eonsideranl a. pcine comme eó-Aiix en poids avec leurs plus foibleS mesures leur avaient impose le nom de Tomincxf les Brasiliens leur dou n ent en r aison de leurs Tnbitudes les noras de Bajüb-Flur Tãfja-MoJccu , C/iüpa.qui rendent pav fadem ent 1 ideé de ces éléTtor .

*

.

.

.

,

,

gans Oiseaux

comme suspendus devant

et pavaissant les

caresser

leurs les f

.

Oi st.atjk-Mouchcs assez nombreux en espèces 1sont parti çuliers à VAmerique. mais VAfri que. et nous presenlenT Meridionale Asie leurs analogues.ee Xi es

sont les di verses triXus Nlellivore* de SouL-Juanacrf et de Ca-thieJ sur la plupart desquels s'eTendent les .

de 1’Ivis et le plus sou/Venf lc reflet dos substances métatliques depuis le ]aune puv deVOv ^usqtVau violet sornbve, de VA ciev bruni latailmoeuvs et> les le. sans doute la mème manière de vivre les r-appro Client encore, davantage des Ors.ces derniers seunadoptent pas EAUX-MOUCHE.S riclies

teintes

.

.

de la Torride ils setendenV dans diverses contveés de T Amérique -IMord en Ceorôie en Cavolme. et même -a des latitudes o

leinent les

cm

1

10

11

'/.ones

12

bmlautes

13

SciELO

,

L7

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


7

scmt ou ils elevees corame Ie's messagers regardes phis des beaux jours puisquen effet ils disparaissent aux. Irimaís des et retour annonce que leur approches prinlemps lui &u

ce-

.

aueun líeu nest 11

du

renconTre on ou ne Bresil ou ils visiils liabitent car

OiSEAU^c-Moucii-ES téiit Tous les districts ou éclosent" les Êleurs ..üs les accompagnerit paraissent et dispaTaissent avec elles Sombres epais plus les plus Tes les bois íorels Les bords d.u Torrenu les /vallees proiondes rapide les de lbabitãlioii nans qui avoisinent enfiu les jaidxns une íaporlion. la eu parlage de ont cbacun 1’bomme ces mille de Oiseaux cliarmans des-

végetaux des ijors de Tinílorescence generale pies d.e suivre certains ces melbvores curieux. peut eíT Hcu/ncli des corolles ecarlates des BalLsitvá des aniespeces dautres CavniardínjU voir de quelques branches sarmens les íleuris des Eupatairad ,les mer d'albâ' et coupes CzdlraAMXj les des H eXtaclo.ftjeA des J j éléganles tre du majestueirx Ta/cuunay ; les clocbes ,et rivieres des cours du 1) atura/ pencheés sur le les corymbes des pendans de la cime Lú^thii Covuratcuri lorsque le el le enfin des arbres odorantes drappes entendre à, se couvreiit de leurs des myriades dbourdounei une hauteur irmnense taille esf souvent donl a Tced la OiSTlAPX-MouCHEiS et egale Hyménopteres peiue celle gros des a a ailes essaims Lépidopteres dont les de certa ms avec eux. tõurbillonnerít le

.

,

A

diferences de légeres lexception quelques se tous Oxsumjx-Mouchxs bahiludes les dans les

cm

1

10

11

12

13

SciELO 14

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

,

29

30

31


tessemblent caT Tbutes les especes paraissentvivre chx miei des íleurs devant lesquelles ces élégans passe-

longtemps comme suspendus tan disque leur langue très extensible est dardee jusquau fond de .Pourtarit corolle, la ce liest nile parfum quélles exreaux

resterit

mla.liqueur dou.ce quélles secretent qui attirent les Oiseaux-Mouches mais les lepions de ces O insectes qui viveriT du s uc des nectaires età leur Tour seTvenP de paturé aux plus petits des oiseaux ces babitudes qui e-ntrainent 1’ideé dela destruction etíacent une parti e du charme attaché à ces pretendus Mellivores regardes deTõuttemps comme rivaux des papillons dont ils ont dailleurs la legèreté TialeriU

.

.

Les Oiseaux-Mouche-s sonttbujours enmouvement ils sembleut conforme's umquement pour le vol, et ils Texecutent avec une telle xapidite que souventrl deles appercevoir le pas possible quoique laourdomiement quils font enlendre en volant armou eelece passage OuXre ux bruít parti culier produ.it par la vive trepidaÜOTL des ailes les ptUs petites espeees telles que le Happe Col el le Six -Fútil signalent leur riesT

urrivee subite par une crepiTation sonore semblable proportioiíis gardees aux accens eloignes de la trompette

Lxtremement coleres les diverses especes avec vent des individus dela-méme se poursuivent

souet

delaquacbnrnement en se- disputa nt ume tleur pres en. anime tout" vainqueur vient encore le elle se poser ceque vibrant latete et hexissant sonplumage jusqua paursuiri par un decouvert nouvel ennemi ü se trouve Les plus petits coultbur Oisílaux-Mouchils ã son Battent en montant perpendículairement a, de grandes

cm

1

10

11

12

13

SciELO

L7

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


9

eíliléleur contre 1'áuTre X>ec hauteurs en dardant Xuu luji íatióue Torce ou. crainte la jusquau Tnomenl oü la deux .Tous camère champions dobando-nner des la routes oppodes preunevit alors redes cendent et

sees

quune jusquace

un second cornbat

procure renconlie uouvetle

.

OistAnx-MouCHTLS

Lies ce sur

se

posenT de

préferen-

dun

elevees aubre. plus les Toranclies les qur celles constiTrvment sur ou dun buiSSorr et irwnotriles tiermeuü s*y de sorít privees teuilles .Tis accjuelques eu temps ternps íont eritendre de et en. xullement nest cens plainTiL dout la -mélodie

harmonie avec leur

Laus eaux

des A.mours ces

Ta saison appurient

s

parure. TorilVànTe

eT ils

s'eIoignent

.

oiscTiarvnans

delaupeu Tun

(

lorsquele tre

md

est construi!

ils

cXoisissentpour

dun

de rarnille au une Tnturcaliou le placer un "brin dela suspendent a ou -même le Imisson orrvme ils qui recouvre de TT) n’paille TXdbitaUon milieu

,

,

qu conte ction que el ques dans sa emploient

JL

icJurui

du duvets du CoConniu' Tncmaqir^vjou Faxnuro et du Apoeínt des Fiqiuad cãntonle qui dans croit -vegetal 1'espece de -vant taille la en Tapport avec nid quils TiaTnteut Ce diamêquete souvent arctiitecte plus na le de son ceu.deux conTient citron et de tiemispViêre dun tre de et emites .tólanes extr obtus deux. ís alonpes aux CarolinceCL

et les

,

de

cejtains

J

,

,

la.

grosseur cLun pois

du couple individus des un Imcubatron. Pendant le loerreceie qui lieu du près sentinèlle reste en ses enTendre petite íllait iarmlle ceau de sa la .

cm

1

10

11

12

13

SciELO 14

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


10

accens joyeuoc

qui changent de caractère, se pre-

eirdeviermeulJ conUnus doisquil approcíie lui craintes. de inspirer des il capaÜle umêtre quide aldrs son poste Arólfige jixs qu a toudierla caueSíroa son. la^poursuit lassure et se de Se regadoit. il pluce tíne. sa-Tmême sélance sur les petitS insectes qui passenfa ^aportee. cipiteiit

j

pourvus au plus IrauT dégré dela iac.nl ré Quoique duvòl les Oiseaux Mouchüs rieu sont pas moim expodangers auxquels a des ils neclaappeutpas toujours. Ses dautant ont des erraemis plus redouTables qu’eux ne. lis aucunç, pour possèdenT arme se défendre Un serpent et qui nom cormü sous grimpe de le Cipo filiforme .

emeraude ou a-zureé le empare s la voe du feuillaóe. au milieu des a derobe si Oiseaux les une ces saisít et euxcnréine Ceufs de en eloióne ctenTrde neles prompte fu Beaucoup

sa arbres ou. couleiLr les

.

Araclmides soyeux des eux y trouvent une mori inevitalile en cé que sy precipipiem vol ils nt de sont enveloppes aussíToC ta et y mais leplus cruel de leurs tyrans est la_ Saisis Araignee enorme et hideuse JfLUCjalts Aviculciut/ qui 'vietrmes nuit ses dela el surprend faveur à la les iuimole lorsque le sommeil les lur livre Sans moyens dè défense arretes dans les

fíleüs

.

.

superieur est plumage des Oisnxux-MoTTCHns Xje toutes cette se lesmgenral ve couleur charge erv ri de .

ances imagiriabies en passant par les teintes vert-aigue, emeraude malactitê cuivre rosette, tronze xert laouteivert-noir lle enfin mais glacé lorsquuurayou lumiet obliquement de inetalUques reflets oeux le frapçe clrangeans .Les plurnes guttu rates seules difièrent. .

,

SciELCy,

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


II

especes selou les

leurs et teintes toujours vives et constantes -fourrrissent aussi le meiltéur moyen de dénormnoer des ;

.

grande pro-famiíle des Oisilatj^-Motjche-s La prement dits a des limites Çixees par lo. nature même eX mal^irè. la Science qui a trouvé nécessaixe deles diviser.les CoiübrLé,v\ílongloec en. ave eX les OrthorhynqueJ ax hec droit tendenX a se xapprocher .11. existe en e££et des chainons intexmédiaires entre ces deux Genres plusieurs especes pouvanT índiflevemmenX appaxtenir àlun ou à TouTre .Les Oiseaüx-Mouchi.s qui nous occupent spécialemenX oritleloec droit ét aigú ou àvoiXeX deprime ala base, droit cilindrique oXtus, enlin droit a la loas e et íailol evneut arque àlexou tremité Ces caracteres qui suHiraienf pour qualiíierles especes sonX en y jorgnant ceux tires des nuances dela gorge les loases de àivisions que nous avoris adoptes 3

,

.

.

I 3

4

5

10

11

12

13

SciELO 14

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30



15

R.i.

0

M NOIR 0

aler

long de quatíe pouces efdemi ailes depassanTla queue .Bec cilindrique noirun peu. courbé .TSTe eTdessus du corps noir ã xeílets -verrdoré .Mantéau et uropygiáles .

dun vert sombxe cbaque plume bordeé Or-^erdátre à Couvertúres alaires vertr dore .Bemíges violettes .Dessous du corps "noir maf. uu duvétblanc fémoraL Bectrices eaTrees.les devre Ynoyennes diin •noir reíl eTánt le verT erlevioldr les latèrales dnn blanc pur ternvinees par vne bande. noire à reíleVs d'ac.ier Cuisses etquélqnes bypocondriales blanches .Tieds noirs .

1

.

<?

mmes Teintés

."Bnccales etdulaiies

roux-acajou ,les quatre rectrices noixes fces à retlets pourpres.

ino-^en-

Var? toutnoir /RecTrices des piécédcns.

paT

la.

20

21

qui de,s se rapproche Oiseaox Ce\ bec plus de son la est sans contxedit couxbure légere gxosse espece du Genre l\.épa.x\da d-ans Tcmt leSrésil suivaní lialoilé part-el comraun nulle Tines!" cependant Ca/omvá les Yorèts oü les saisons les BeuTrissent Vierdes et" celles nVâjesprincipaJemenl ou eT les lãaracjrciytí le Colibris

.

,

cm

1

10

11

12

13

SciELO 14

18

19

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


15

se coirvre de ses eoupes odorantes Xes l>ord* des üois le possèdenT à leur touv pendantles mois de septenibre et" de aovembrt dès que 1 es champs oü croissent les KxtfriLcJ senvblent Se vétir dliane draperie de fleu-TS cslTaccet" il Oiseau estrapide mais comme vol de Tuevvx.

TaJaumti,

.

.

Le

compagné

dun mouvement dondulation

lorsquil darde sa. coit' de íort loin

eTCecuté Surtõút' corolles on lapper-

langue au íondL des qu en ce cLautarvt plu.S ,

moment

etTrappvoche alternativernent les plumes de quil releve en oulre à Tinstav du TrogloíytZ d Lurope

il

qucuç, sa

étãle

Si quitte la .

Surpris ove eífra^e par un oTojef quelconque. il fleur qui TaltiraiT il eleve alors perpendiculairement elTSe rnaintie-nt e.n -place par une vive trépidation des ades e-nfin ou Tassuvé ou epouvarité il se "precipite aVdun ec la Tapiditfc trait eT va. plus loin recommencer quil larnême manceuxre accompagne dun cri continuei. dvc distriVt Cette espece se rencontre dans les Torêts du Bananal (SaõTcdro dAiccwtàraJ elle. esVplus rare dans celui du X/lacatré ou en revanclie le^ Topcuo est excessiVemenl'' covnmun .

.

.

\

ç,’


J9

M TOPAZE

O O

-

Granatinus.

de quatre peucçs demi ét long Bec cilrncbidroiT Tewflé .phames TexlreTnãte cpe etai^u- a à'Or refUTs. ecailleuses verTpur frorvtales à posC eno ir élToeil .trair che entrele bec vme tá .

ocuLaire blanc

.Dos rnanleau

el

couvertures

Bore.GvilaT.Tes. vert-cuivre-rosétté alaires

noirâtrss

Bordees deBrunpule .gntturáles

ÇormantT vm e plaque tri angulaicJranóeanf dore. íonce en ie carmrn. orange et" vert Gerge- ef poiTrine emerauàe-dore ecaill e\LS es

de vertgris de Brülanl. ventre varie ef terne cuisses et' duvet £ émOral Blanc S. Arraies vert- dore Bordees derouxDemiges noír violet.Bectrices arrondies de Covil eur acajou "borde es et terrnineés de deu*. vertbronré. superieuresbromees, dessons toutle sans da Corps fauve, Ç dorge diangearite; dessus veif emeraude. .

On rencontre

ce raa^niíãqu.e- Oisea-u a

l-j.

bois des lisiêre

Vierges tu rnílieu des cBamps de malvacees des Genres

Ket-

qui inondent les ‘ànciens deÇrichis oti T\oçaS él les rejets de Bois Tb-uílras mais peu eleves que, leS Srasiliens tme, tT Sida.

nomm enf

Cupauxai ll semble attiré par ces vegetaux et par Vinfloresdes so^euses Iric/aí Svuu-i/ii suit il en lês Bouppes

cm

1

10

11

12

13

SciELO 14

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


20

cence il

canTòn eu de cantou.

de JuiUef à Octbbre

.

Terrvps

ou

commun. par remarquable Topaie sou

est très

bruyarit ét vol rapide Le gontiquil íuiT entendre conUnuellemeuT uri cri parti culier ce grave, plus éturir posé rrae, rnême mais sur ua rytbme precaumulórela le cbunf morrotcme íaítuisernenT decouvrir Çourrés tion quil prend de- se cacber sein des aulres d permêt-pas que Jaloux a Terces ,leTopaie ne leur .il adopte sejour visiter Oiseaux. vierment quil a le

m

de souíhir

óuerre. opiniâTre eV ne sa-uraiT aretraiquilte il ses toujours mouvemcnV en ta ce il eSTalors dun. SomrndT du exposé jour Vrauquilles au ala chaleur tés lesbarprecipite eux sur se passage buisson il epieleur

livre

une

par-

,

.

ou que

les quil aiT jusqua ce cele Tes combát' £orcé de Soit vu cêdef lui méme. se demoutágues depuis la clrarne ónCre Cette espèce sem élle Saí. do SarahtjbcL nommeé Serrcü daê Orçjcúj jusqua la jouv teldu Sernble pluS abondauté a de certãines beures soir du trois de que du de sepf neuí matiu à et les disposele ub ardeut soleil quaud un jusqua la rmit surto téraps a un Orageu.it fait" 1

-

.

.


11

M

O

0

.

TEjKNEj Timbro sus

.

long de quatre pouces

dewi et" -Bee cümdnque anpeu co-urbè à lcxtrè-mite no ir pãle .

Trontales grisâtre*, 3 centre plus fcmcé. êle, dos T tnanteau UTOpygiales €C corrvirr-

ü&ires

dxm

verf sorribre

à reflefsde'

cuivre pea. apparens Buccales gutturalesetpectbrales ècailleuses gris vert írayigees de ;

gris

pur

glaceés de vert doré Abdominales et erurales blmches .Remiges violéttes.le. .

.

tu^au. de la 'premiere dilate' 3 sa partie moyenne .Rectrices carreés.les deux superieures veirbouteiUe, les late rale 5 norr violace .TiaiT postr-oculaireRlanc

9

OT e gTiveleé sana glacia deve-rf-or á 8

ptumage Un Somlore ou les reflets mètaTbiqrxes sout peine premem c és Hit peu. qui à remarquer ce, Hèllivofe s. d'aiHeuxs te ctiant etlevol de T O 1/L- Hirondelle ces tapdeux Tnauraient des en^age à un rapprocbetnenT pcrrTs .

m'eussenV empeces si des observataons norabreuses ne re-neoYiTrer les deux sêxes de celle qui nous occtxpe

íaib

^SciELO

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


22

^yec une ioule Oií.eau-MondieTeme "habite de Xj par plantes de dont quelques pieds foxêts fòccndrutrf les tes suceedant ont aramen rivieres se des ]es sauvades lelpng petiü

in5.cc-

.

Tl imineiise une svxface de terram quilte rs ne qu.il rapidité -milieu quinconçes avec au. dc leu dont violeis jamais, caressantTõu.r a tbur les gros Toourgeons desmasdemi TecovcvrenT pTotègent et ecailles epaisses les a semblerait de et” miei .11 de "humides roseé ses fleurs de

ellernent envahi

.

circule

eííçV en ne mais demière liqueur nourrir celte se de des site les £leurcms qui la distillenl que pour semparer etüa frequenvment qu'élle se petits insectes ittire pose Tl relisílence le i-ntexrompt un chant Çoft et continuei qui -jamais nest et onibrages gieux qui rêóne Sous ces epais salincçs íeuilles troublé que par le froissemenl deslongues agiqui alors oxages, et vent des parle divisees en lanieres "vi-

.

tees

moHement pat

le-

des le bruil imitent zéphyx

eut dans mer oign em eT "P

ilots

dum

.

des tige extra ordinaire la developpement de Le replus est d’autãnt cette permes de espèce alaares éres

pvevni-

duLrésil Oi^eaux-Mouches les detous que marqualole par serapproche presente, eHe qui le elle estia seule Ca^eraie 1'0 de -aLargesTujaux cette Sinoularité de mais MacaJiè cet Oiseau rencontre nu jamais ri Je ai (P^cuid-tiaJ. et districts du dans les est abondant assez, il tõute1’annee ol> erve Y s ovu on 'JlhcL-jjrcui d ájíJ ,

M

.

,

,


23

O

M

HIRONDELLE O

furcatus

.

poucos üoe el Jomi .1 e Iojjo Trovdides couvbonon*. ciKndrique un pcu tnvAtvc

ile

^illeiEses ee

dunbleu

dVz. uy

bnllvmt Cervir .

rt en ve indióo cliániõeíuit o £:

cdos blou. dÍTccljun suivant \x uoir cf semVbmí \mt ci vevt nvdAclúttí, corps du jour Dessus du imbrique enfcicv i\c5Sous du corps en le dor. verf emeraude vcflo.ts do p lumes a suv

loc-

.

noir-violeV VVo.imôes c?

Pourctrices três .T\ c

liõncs.d lonoues do vinõt-doux. chues o o o duvoV Ide u indiõo vif.im femoriiàliun pUV duil OTltÍATÍl‘ bl-AUC .

ri oures tornes oí supe jdus ieinVês ç du corps cuivrees lo. do ssous Comine umes se e oYlleuscs espAcees mees pi •A .

,

suy

untond

d

dvi$ perle

.

question nnpvmite

de noin son

ÍVesyeee de sos uueuo fonvchue luimueut 1 -atóo et l*a formos ses sa comEmqiu jilcã Va TApprochenV de ce.s íntevessvvns Oise-Atix •a.aak dans tovate lTLu/vupe Tocaux les vtryades vmivcnr ••a.yo.c YU’.$ et rigueurs des e Ivyvets vont jouys fuyant les comiu 1c proscril dbvAndomvATil Va Verve tjtii Va vu íviitrc TccVarnor ilovit

est ici

.

cm

10

11

,

12

13

SciELO 14

19

20

21

22

23

24

25

26

27

21

29

30

31


24

Sous un lulrt cT

une

ciei

‘h

ospitalite gcnerertse

,

1

o

repus

la liberte tous los tevnps

Xm

ef díns tous les lio ux on r encontre 1’O.M Hirondelle los Torets sombres le reçoivent lorsque lo soleil dardo ses rayons brulans il lo mil dansles Cupuantí quand colles-ci s ont couvertes do la rosoe dn matin ,et trouve une tvaichéuT constante sons los ombrades deliavordiryantos panaclies Sons los domes lies formos par les .

,

des fóambous TiíquonviSh qm aimoncent lo passado dos rivières tout on inasquant lotir cours S eniMulde a leclair ont il lo brillant sonnnites a d quelquefois il selance des fleurje.s des SuonnJ plonde dans les alrymes -el reparait diL imlieu des CtfWj entrelaces qui les recouvrent avant"que .

.

'

,

.

le tmt quil désirait juger atteindrc pú Le vòl de VO Í/I H deli e est rápido et il sem Ide que la facilite, avec laquelle il Vexecute Ivvi donue le sentiment de sa Surete parto ut ou paraitrait de.voiv cxister le dvmger il s’a^ Yance près du. chisseur voltige ã quelques poucos de sou quil arme se rassure ét sVloióne aussi precipitamnienf sVn etait approclie On Ir ouve cette espèce toute Varmeé quotque olle soilplüs abondante d’aoúl a n overnbre tevnps oü les individns sout point appanes ne 1’oeil

ait

.

mm

,

.

.

.

.

JSciELO;

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


25

A VEiNTKEi M

0

GRIS

*

0 Leucogaster

.

long depois couces -hu.it lígnes.Bec aliadnque mi pcu courhé .noir .Dessus de la t"êté cou dos -mahteau e^croupion veTrdorétrès lorilHnr. Couvertures al-aires

vert cuivré, quelquefois

l es

plutnes

aerou^. Goxge poiTVi-ne alídoer -anales d'-u. n gxis cenàre um.

loordees -naen

quélqufis Vrypocondriales verT-doré

TWimges

Icleu violer .Kecfrices coux-

tes.lé^êxemenr fo-urctrues ,les deuv Supexieuxes vexf indico .les larérdes lwdl £° pur terminees dc gxis-ToW. toutes dunt couleur cLVcier bruni

en.

dessous

.

CeV OiSea-u lepVas repandu, au. ^résil se tr ouve presq-ae tcrdtc lVrniée dans les CupuuraJ .souvent" dans es Torêts "Vi etT con stãmm enT dans les jardins dès les erg que les Orangers ét les Catronniers sonTen iníloTesceiice A. cétíre époque il y arrive par essarms éJrscmbour dorna em ent se íait entendre à une glande distunce. .

3

4

5

10

11

12

13

SciELO 14

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


26

pxécédens il se pose scmverit son pioximxté de Taxdjusdela 'ma.in. Tlvonrme ef-place à son vol il suil-paTÍois dans que dans sou laaJaitãlio». placees Vara/u&xl jour xapide les pentes des ou galexies a étr devsmt les xnaisons il y plon^e sur les ch o\j exon s merne sur les pétits axaclmides qull viervt enlever du, Çilets xnilieu deleuys pxoie, Toujours en mouvemenT soit poux diexcbex pou-T ou se déíendxe ceT l’enest soir attaquei Oiseau nemi declare des óxosses espèces du Grervre eTmême de qui lui sonfbien supèrieucelles des autres iaxnilles s élanc cbaque par laüle .11 sepercTxe. ã instante res la conTentr sur sou adversaixe, le comlat",le met" eu fuite, poser iu mêalOTS de «sa vicio ire il Tevieuf aussitót' se encore plus coníi aml queles .

m

;

.

,darvibraaVTe la tête Tnérissees xne endToit" ,les pTumes a suf. pxetr íl etait et comme s danT xetvraut sa langue

Colère. de foquer

JSciELO;

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


27

M

O

0

CUIVREj

.

Cuprceus.

de trois pouces flec leóevenienX lonó

arque,

derm loec Superieur noir.Tinferiexir noir d-Mis Son tiers terrnmal j-Aune paille daits le veste

dun vert écaiUeuses rowx ."WvmVeaii Tvontaile.s dti$ croupum el couvertíires alaires dunljeau vert cu.iv ve

vi

çorps revêtu. de plumes ecullew5.es gue.-niayin

glace dor e

flanes vert Sale s-Átvcs

,

cl

vert-ai»

liserees de cendré

es õnala dom inales ct a mil

Remires C?

.

du

Aessous .Toutle reflets

violeltes TPdctrices vevllivoh-

deôris dessus les latér*te.s Terminees on zé cnXièrement dun vert vioivatie en dessous. (

Vat

ÇovacSlancho. parti es latérales’ du cciu

a

vert emeraude glacé debleu et à’0r. milieiu

du cou dela gorot' dela ,

poitríne

et du. ventre

dim bl.UK de neige V»v.

à

Saillct/pJ

blancs. púitrivie gorge e\

]es pliimes terminees ventre, vert janne •aiulet*

^

javdms es li ou

doyé

de vert enieraude. ch-xiyue

ptnme

fv-

IxvoenumT de Tilanc-OrisÁliiv c O

les plus

rappvochés

tl.es

liubilvditms

.

ceux

Rerceaux d '-AzcdamjJv dontr los Vlouvs enllvyrtvnt et couteurs du S« parluin les dl.urope sonh le Lnlas fimhimelteinenl lvabit eS p-xr VO-M Cuvvré -asso/, distiug-uedc celui -a Vordrc Gris pour S-ovmev voe ospòec cu eííet une ctnrit tínlle inomdre/ des reíleís metallxques en dessous etun %’elevenT' des

1

12

3

10

11

12

13

SciELO 14

I

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

f 31


28

de celui cn qvu il trouvé aigu sufCiseut pour Visoler son plus cruel ennemt quoique les deux especes recherchent tes mêiues vegétaux comine les Cib-idcái les Lcièieci le CardioJptnruim- lepaudant lodeur cLu reséda, ct en oèWral secrelaut alumdant? tvne liquéur ímèllexise toUtesl.es fleurs Comimin dans la proviu ce de San-$aiilo rO-M-Cuivre. presesf plus vire au Macahc ui est souvení place. Son d que dan$ Tiuterièur des maisons des AjoupaJ recouverls eu Çeuilles de "Poluviers ou Tljoirrme cheTchaut rui abri coritrc visite cliardim reçoit piai sir cliãleuY avec la la du jtfur uvauI Viôte qtiil neffrjne point et qui vieut ave o confixnçe paxtager son asyle. plus

.

.

^SciELO

29

30


*s>

0

M ILMERAXJDE 0

Sniaralpdin-us o

de trois pouces TrotsligneS ,15 ec ]<mg droit deprime X sx base T onde - cliair foncé .íaoir àYoxtrernite .T.out le penvwjje

Mvperieur.même iinbmjuccí

ccrvi cales

le.s

et -Xrrorulieil

dtlTt

Vert

ío>*

doíft \reS

quelquefois a reflets de cuivvtí. «TptlcTora» Gttlaires.^tdUuraleS íosetíe

brillarit

,

ròduh òrement imbricjuees ardor rondies, vert-aigue ipavme ã refleti entier dun "bruni etiiicelans ."Ventre en Cr urdes émeraudç et dore duveb ver! tres les

,

An

ales "Vevl'iteióe de blanc Séinoral Vronvãt "Remióes Tnalaclrite presque .

.larges courtes RocVviccs let S ombro ineavmts indigu {ourchu.es ,151 eu. .Tieds

uniqúemC ettiv cli-AriiVAvdo espòco se rencontre et cVie-mins Sorti enl suv les buis sons qui bordenl o s Soleil. Ate arAeuv plus la forte poses X parconséquent ex sVlanee pose; se vn.ottveinenl il ev\ toujours presqwe lenvAldro et dinie dito et le baile bruit avec la ra pi tovsr VA-poilrim* lumes de Aos AirvAiro claV exlr-Aor p ]

,

10

11

12

13

SciELO 14

18

19

20

21

22

m

24

25

26

27

28

29

30

31


30

•ipeine le frappe Viumnewc les il derme temps de Tapercevoir, il passe éblimil et dispara.it une d esl perche Vextréniite Tltmieraude T ots que à sateto branche morte sim corps est immohile.nvais perpetuei laalance les etat d^itation .11 est clans un pennes de sa queue ]es cparunriT en laróe áventail monotone r et f-3.it enlondre sans inte r upTi on un chaut du.lrocelui atile un f voulement particulier Semljl à dlodyte de ívan c e sêxes Contre Vordinaive des Oiseaux les deux decuuCeres differenees à de lé ress eiribl cnt três se plus intenleurs près plus faibles chevi la fenielle sos cliev, le mâle. du distri dT vonieiit le Cef oíseaix habite exclusi <,’y riutt es, du mim tire les grandes ^õanctrujíi il suv celui d’Aout de mois à Jairviev quivn r-ayon

,

.

.

i

,

.

;

,

.

10

11

12

13

1

SciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


31

O

M

SAPHIR-TMEíRATJDEj 0 C cerulescens •

loiiii ile

.

truií piHictjS et JU-mi

ec .Td

laróo.

mor dele

à J-A base. iucArnAt termine du .nvAuto-.m sujjevieure cou et VAvlie pv^ji-Áles .Uro Cect rjces verl 1.0 eu bri]V<\nt «te

vicdello* Gul-xives marrou refletis metalcVw/ur ólacè de tes Liou ré chanyeuut verl" do et cm emeliques Collxivif.

.

1-Alcr-Ãles.Veutre los p-Ai-ties sur r-Au.dc' verl- bl eu

.CruraLes blan e/h es Anal o d'violcrUesiRculricss .TrxomiOes vif un voux Supecoin.les <ú*ux poiv ou l*r»*.e* tm lat nvAiTon viololles ,les «rales ri oures CoiitlormLèvo de toulos coito femeè roses. on dossous Pieds leuv Coul o.viv suv te penmóe ui o c Yav $upérietu\e pou de bteu a la ôovóe. Cotte ,

.

,

m

temte

verl do e-.vuxowp retíeis

offro 1.» riVAviue ai£ue

Atictme

itiv «tu,

.

Analos m»ir*lre$

.

tive Ge

Orthonjm/uc u*o£fjv* plvim-Ade qussr $\u»e.<?ptifolo 'x v-Aviur que relleei i deu\ miividus point quil esC 1-A.Te derreti coiit ror es»pêce, du.

.

Soul ces VAvietes *ai1 e n eiiT 1 par seirvkilal.)les peul-dlve elles produilos par T-Àge el -Alors leS teinteí w/.uveès preit drai orít datitant pltxs diuteiis jlé q\ie YOiseatJU .

.


32

devienciraiV plus

adulle onòU»m-ps do1 Soupyoivné tlci decrite Jai Yespôce ire la f emoli.e du SapTrir. cl eo ricst quaprès avoiv receuilli les deux Sexos de chaoAxne que. jai aban dorme celte idee Pourtanl en .considéraut la grande T temlance qu’a le plum^c à A arier il ire st pas impossible/ que les deux Tacos se croisenf quelqueíoís Mais rnalgrê t o us ces rapports avecle Saphiv eelui qiu iiuus o ocupe í’en éloi£ne par le vevt brillant lat d\iigueparties érales de la des gov£e et un reflel poijSlissant la sur la Irvree azur qyri decore marine oÇVronl les .Dans les deux Ueclriees trine sèxes les et loul 1'oiseau cest de le yd uni age de mejiies teintes seule pavlie du reste jc crois la qui no cirande puS. les et le vol nueurs des deux espèees so ressemWe.

.

.

nt.

3e

on les reiicontre dans rnême temps

les inêines lieux el

dans

.

10

11

12

13

1

ISciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


.33

OM- SAPHIR. O

Saphirhrus

poucos lonô détrois e ot très la rd

ò.

cl.

domi .Bec plane mie incarmt

l.»ase,ro sa

termine de no ir rlumes

frontal eá

.

"I

ou 5 cs dxvn

tal

ecvúl-

av.uv Imllant glace

e u.

dor.

eu Ires íoncé Dorsales vert qiuis .Vropvdiales ãreflets etaVh uivre c rosette. .Uuccales Manches, de tevnnnees dav.ur Guttvurales el pectddxm et rop eu pxxv tarillaviV tal X rales Ventre d’ brunis. et O r davóerit et lets crises. 1WAnale.s flanes verV funce ohlaròos llcdvices Tniòes violeltes t C' noirs. rieds tixses lileu daciev brum vertes bordees de ôns (i frontal os Guttxvrales hleuàlre ul Aires óris 1 es <5 o o r de trangees clair et pectovales av.uv vert-tal le-ctrides et

m

.

.

.

1

.

t

.

.

.

Mane

L

iiu intenso, Meu e ceux que et rplus eclalans ãapínr ne stmt pas plus purs cdte de dorõe la de, la teTe el le. devant toul qui col orent de ümjours une e.spèce li es rtvons du Soleil fra\.)penl rapuleparti que 1’oiseau ces es ,-soit dans le vol suive Suit mont ii n des senli ers tortue.ux dela l orêt, que liercho

tlu temlre. ciei

,

eelixi ].)lus

.

cm

1

10

11

12

13

SciELO 14

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


54

etta seche proj nfuu X 1 extrêmite de quelqUe Ijr-Anehe se Tmlieu dixn cTieniiii il •altende on silence le pass-age dun ,

ennemi poar le comb-attre

pour ou dun .insecte

$'en

empar er en Cet Oiseiu adopte un canto n civil «jemlile vivre Socielé ptus mu moins n onibreuse .Les individus qui Ta composent se powrsuivent dès quils se rencontrent sans que Ta liaine p ar ai sse exciter cette espece de jeti qui est execute avec une extreme r&pidité.

Les sanuem des fPcLlíifloreA t les fleuirs de fn/jcnw qui répandent au l.oin Ve p-arPwin du jasmin celles de ,

<z

,

ScUclepLuA de Clu'clcclo et

de quelques cchiteS

altirent le

S aphir qui recherclre -ainsiles plantes Apocine.es poiqui sons violens pourYhonime et les Aninvaux, mais ne nuisent en rien \ ces élégans Oiseoux Quoiquele Saphir Soit rore, onle trouve de T/L -ar s X. lieux ^ianxum/y secs etuéres du Novembre dansles Son elvant qui consiste très et

10

perçans

11

12

,le fa.it

13

1

mune

suite dfaccens

aisement

ISciELO

pTairitiÇs

dxícouvvir.

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


35

O

M HAUS

SEi

C OL

0 Tor quatu s •

.

de tvois pouces neuE li^ne-s Lo. demvlae.c Supervpur noiv .Virferieur jaune dans leí deuxtiers do son etendne. ,woiv ã smi

5 ono

CXTrenute oles

.'Fête.,

dunbem

cou nvmteau ,

vevt d ore

einevaude bovdees de pecTorãles

dim

Hmc

elr

rviopv^i-

Gutairo» vevV-

GuTluvates et TTne lavóe ceín-

talanc

pur

tme deptumes

nvibviquees d\m vevt macouvve lelvxut diu à dor lachite reflets ventre eu forme de qilastron ou. croissant

dont ta coneavVte veóarile Jatête Times c?_ vert et de t.ilanc- .mVlieu du varies de ventre f emovil es ,et anates d’u n til-.vn c pur noirvxolél ioróueuv des lteimóes de la t> £> »

,

couvtes te.s vert-lxronae tes

rectrice.s, cetles-ci éóate.s et

iteux superieures

dum

,

,

noir puv â re fieis Gaeuyv livtevimnees de lutanc

late vales

Um

,

.

Connmme. dans le district du. cJôcrrn - Quem ado, imi5 rave díms celui oLu Shcauuuií cette espèce se fait nmms ses de reuvAvquer pav Teleõance ses íovmes et Vedai". de Couteura que par son extreme Confiança XrU vuc delTio rmne ne Teífraie puYlemenV.dle vienT pouv ywnsi dãve se du suv íusil CTvasseuv poser te ,

.

.

cm

10

11

12

13

SciELO 14

19

20

21

22

23

24

25

26

27

29

30

31


;6

Dtm

nràTutel piei fique

cet oi«,enu

caresse les íleurs SW5 poxvrsuivre les nonibreux vivinx quelles lui •Atlirenf qxvi et généreu.* sou egircL clvassent Síms le moins i *ie piTíe, sins cilindre Ses o-yens de defende consistenT que.n i,m vol Tipi de et des iccens pliirilxfg. ,

,

.

qm

m

presque^les mornens tmiquillite ses de il -i 13 ms epnaouit Viila Vtird.es de VO-M-Noiv comine ee derniev il queue cji et ressèrre 'ílterivAtiveinent 1 es plumes de si acconipidnmt. ces mouvemens iVun froulemenl" smird On trouve cet oise-Au d-ins los clvnnps de crfftxívajo&eJ et surTout s uri es Ce,<ftj’(cutao d vos fruíts Kl eus qiu encomOnt infloresceirce leur latenT les Cjljiucò^ad eflors de ,

-a.

íleurS ltírrvs lonris nme^ux cfhivges de looirquets de on iiv consiste sTèllees dim Manc-ji-irne Si n ourriture secTeS qn’íl siisiT iu pissige. On le 'voi.t des IrervreS "morte.y eritières p evche -X lVtsTrèrmte d’une larcmclre fiis-ant pveuve de pitience et comme es clive de ce eu d quilter pouv election le li peu d’nist-rris éky reveniv iixssitdt .

.

1


37

O

M AM THYS TIL Ei

.

0 Amethjstènus •

]imõ de cjuatre youces six liónes iBec ci(]uc tiintrj droit renfle. a la poinTe, •Aigw.iuiir. Aessus Le de la tete de 1 -x 1> aso. di x Tu» c -ail

de plumes uc-dlleuses vert emer-Aude a reflete dor Lordeessur les coles et en -Avnerc deplumes inoius verlcx fouvert

kum

#

brill-Aiiles _

dtm

verl aigue nv,irme et

in-

dico deveiVAiit d-aulAul pluslonjmes qxxelles soloiõneiit dAVAntege dulieu leur de origine elles forni e nthuppe. et

une plixmedvoiTe eTVoite bleunoiv lonóue de dntliuit ligues susreprecoxvyreiiT

til.de

d’e vection

du

.Pessus

corps

et

de

vert broivAe a reflete grisátíes Cul-Aires óriscs Teriiunces de violoT.H O óorõe a poitrine et le. nnlieix du ventre converte de plumes soveuses du. violei

queixe, a 1

,1

pcnsee

plus puv Teflétenil Vv\7.uv.liypocondrvAles verd-ÂtreS Aivates grises le.

.

terminees deveiT.ltecTric.es eg-.des CAvrees vert bouteille Termmeés de plane. Cotes

du eou dris de perle uue acIio IiI-ah clie d evrière 1 Oeil Pieds noirCxtres. .

ell Atn íyste J j*

estie soul des OMoudies du teresil ôoróc oriieé dcmVl-A. TciuVes dWcuns de vives nelvnlle to to rnét-Alhojues reflels On le roiiconlre uni quement' ctems les ' Tiewc oü croil iVspece de -(SflLiulon*. en c,4r[>re. mmrmeépar les ÜT-Asiliêiis- cMttrinnam pJvxrde aussi .TcnvArquAble p*v leleô-Ance cie ses flours que parle dtnxx p-arfum quiser». .

cm

1

10

11

12

13

SciELO 14

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


38

ce qui indique Va. piéférence quil accorde- auX bords des eaux et aux. CapueÀraJ qui forynent Valisière des les de ou VAriétes toi-a vierges pullulent cxclusivemeiit ce vegetai pourt-Aut et Oíscau. assez de cet est r apule. Xie vòl Varrêle ou iiieme irrèôulior precipite. ralentit íl te le très incline, toixtà coup Souvent il glisse comine sur un plan stitioiimiie souTient en rcsscTfAid les ailes ,il se et reste fin les ecartant etle-s agittvnl -avec violence pose se sentí Amétliyste souvent, au moindre J_j couvement ordinai cramtc/Vx plivme, cervicale inent de se ctiée se redres et sa b-Ase brillc alors des reflels de poVor et dê Tarôent dirimis êlle reprend s-a premièrc sition dès que plus tranquille YoiSeau s’elance Surun inSecte passa nt x sa porteê. Cet oiseaw se reueontre dan s les etivironS pour CantcL-Ça/fo et du ^híUiancoL. 11 y est assez. vare pvocuqiien cinq aiinees de recherches je naie pú roen individus xer que deux exli-ale

.

.

,

.

;

.

.

dm

.

^SciELO

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


39

O

MALACHITEi M 0

Sericeus

-

Ae cim] jjoucos eT cleim lonó

,

l«s rectrices

1 de oiiímmr toíjile fonivMit li vmnTíe 1-i pari* noir.drínt subvilé now .Unlr-Ait ltec cie Ti. eonrmissnre des m-4nAil,>uli's s el-.vunl

on passant au dessous deToeil

ijuYl

nn-

ternnne Surlecílí du cou .Tvontales vevt do ve 4 refletí; Ae

Jírasse enpartie. eT

cu iv ve Tosette

.

Pos

.

c o uverture % alaires

el VlTOjay ój-AleS (|JUI SimVloniJties et Soyeusís)

dim ])C4u

vevl Aove refleti oranóés pxvr li ou javvne snivant «lireetion des , ."Remiôes sülavres noirátres les vay«ms les l.rès eliòees l-teclrices ; iloir -puv -les lateral os

síxmoyennes

d ta n "b e au l.d jik’

couleur daus towte

pu-rete cst sous lout pemvijle inferi Tepandue le eur "Pied.s ivicATnaTs des le Var*' Cjnvdc centre plnmcs •Cette

sa.

.

.

.

gulaires

dun vert-óvis.

et pectoroles

couleur

JZcuihinuJ "A Xjes ce de Çexx des fP)diíiwJ oti CciyteS ‘attivent" pri n cipal ement soli joh 0 i £ eaix r» uabl par Vondulation ti cT\ vat e dç o e, r e q vdl .qu.1 est accovnpagné dxin chant. desAÓréable et" perçanlr. On V-ApperçAnf de Çort loin soit lorscpieles AileS etemlneS il senfbTcv glisser dons les *aíts Soit quenles rappiocharit fleuvs lilancTies

-

,

et lies

e\ii?>

M

,

3

4

5

^SciELO

31


40

ál

sVb-;m dorme

v-Atit

une

à fleuv

dont le ld-anc

íl

Suspcmlu u pvopve poids o que

et-Ale

,

les lo rumes permés de

s-a

visible

cle-

queue

seulemcnt le forui de ver dure Sur leqxtel on le

d.’ em-A.il

contr-AsTe» ‘Avec

raiV *Applique

*501-1

cel iust-AuV eUms. croi

.

$c recherclie IVT-il-Achitc Quoique les íleurs que lo inòiitrent cl-Ans le íiicine témps, et que les vo^cU.ux qui t.erv-produisenV coiwrent une de les ^vi-Ande elcnduc il en adople cert-Ains qxvitte c-Aiilons quil ric que pouv se rÔÇugier A-atís les l.misson$ les -plus ep-Ais 011

am

espere ech-Apper & Va poursuile d’-Aulres Oiseaux plus CüUTAóeux que lui et qu ü nesl pus teujouvs «Asse'/.

íl

-

.

lieureux puur evitei* TvxTnto Mul-Achite lie .

lo fianastal/el le c$acet/it.o\\ 1’ observo le lenó des luns el lé bord cies Txusse-Aux. cn OcVolire.il el SepVembre est COnSine le resle de VauToròls nee duns les -Vierdes .


41

O-M-À. OREILLTiS O Auritus

.

de Irois j.i«itje.e> et itejjii dSe.c twuv Subule Ires pomlu. .1’] uinos VnmV-Al es ec,aiTltíuses vevt aiouc mwvuie d ro Dos niv»i: et couvoyI uves t»VAU vevt tl o ve a vecui\iv de roscUe tres linHans um fleVs Ires tmq.iyóviles lonóuus soyeuses rocouyvent presquVn e.nTitív los re cl vices ,eV -.vvi 1> vo yl «A enieraiule dovê. Soiít d’mi e

lttiu?

• >

.1

violcUos lAectrices coa! es "Remióes <T>

c"* 1

CouvteS d.mv I uoau

ljl-avio..

tos quatro su-

plice -au ccupevieures iiuirpur. dum ao t-Arlie noivo desce ml -An l sur t cou cotes du lo.s ou. les plumes Iavôcs ec-AÍlleuses sont Meu a/.uv.l-aVlre le liou des *.\ht ícul-Aires et e W-.uu: de neióe de AOut le dessous du covps osl' Aiido mu*. Ij oDlíque veiT dove n-i-issanliUt lioc infevicur eT sc Imivimnt AU nive-au \ des pduinos •Aí.uvees.aveclesquVHos elles coiiCoiidenlT Se souveiit .Tieds irnirs. CEí]

1

1

Vat lí\

U

(iSonçjue Quututs. recTriees fo vnv.Anl

inoilie de

Ia

limúuouv Votíde. Tout C

Uva v\tc*à.\x vçyt £b'S

c Xj

1.i

dores

o.sY

,

veÇlcts»

orsui-

,

o vd cics vivi ere s

do ò cux. P^cluJ o

‘a

J c.

dum?

de la "provnici*

dune

o rd iiTAircim? vil gwriii

espere* de

migues cl o c lios penêlanles dou s ex.li dl e x appro 1 clie do la nu d une odeur deli o ens o lViidaviV )e. jouv des miríades do polits ms ceies davmsscnt 1e Strounuuxcs

x.

1

i

.


42

des coroUos

dedvvns

pour

et c osX

s'en Sai sir

quel O

Constaiimient susperwlu deVant elles CeT oiseru. -alevol leder mais par bondí il etend ct vessèvre aTternativement ses -xiles, épatumit sa queue, et peut * volimte rester stationnaire <lans iWpace ousen pnécipiler rVictirne do la pouvsxviTe des -autres OiseauxMouchos et des Colibris dont le vol est plus rapide et phis suutenu. il fuit devanl eux , se cadie d-ans lesplus epftis huissons ou se per d d-ans 1 es -ai rs enTaissant oreilles

est

.

,

ecliapper tui cri plaintil' et quoique detaille a. resistcr il ui manque le courace de comb attre Ce chaTinant Oiseaw est abondant pendant lês mois tTlcicahiu Septembre el du de O cTobre et les districts el du Jhananal le» comptenV egalemenlr au uinntmi.de leuvs plus interessantes produclions Ornitlml o^njues. ,

1

10

11

12

13

1

ISciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


43

O

M

ABILLLirÈIVEj -PL 0

Tlahellifèrus

deux pouces > du vevtex. et du ilu front, ii<Ju ,ium\Y lumes 3 Í2 — etovbruvevtpur ec squ-Aimneuses du tour <f

sixiijhurs

.1’.

.TeU*. tlessus >Ui cou.m-Aivte-Au

et

«le luiijí

droit ec

l-i

m

iDiill-uit vevt

'a

Yectmes

refletí cuivres .i.uie b-Aiide

ropy úvaI .TJ ouIa-a^ dos eS du. Tjl-«vní-t*níumé vniletdlemv Idvu-u verd-Àtve miiucees de eS C2 «5

Ari o’I et

sombre .l\ectrieeS r

et-Aôees 3iV-

,

-p mi o vup ve

Aeuvc de tèvmineeS bt-Anc.leS SupérVeures vert-bnnrze uniforme. Gwaultur-ileç deet lonóues 3-A.ives ATo-Arbes do e cel-Adcm cti 1 es. verY v em v\t er SunieS ,

Auriculcvires brill'Ant três

mes

.

vevtl-ar^es ettuet.\ôeés, ai té s

de spatuKíovmes

de s qnnouÍT

ees 1 ors

du

ctvivjjes de. plu-

deuxlitfnes

"lorniu.es ef-aôees

etroit.es rjouce^

loles

du cou

,

puv a.eut

suscepti-

VAssendjlees

et couch-

dure-nvvT tovimverY repôs.

neés de as -AtinvAWon mi plvvme vm-a.Tieeé de às a. cliaque btune. Gordo 'bV.vnch e ,

ce .Milieu

du ventre roux

enfurne .cli Asjue HypocondTjovdee plrs loneé yluine de dore. TvAitnoir res vevt .Aniles roux-óris de velouv s devAiit 1 ixnl bl-AiiclieS et poVTrine i pTuines .doroe O de "bvun bordees fonce .Pi-as ventve roux. de violei' bvoiv/.ees terminees l\ectrices pluuvAÓe de bl-ane superjenfin fuuve .te cuivve. vevt Pluvnes ieur

VlAbo\m‘òve e Li

o st

im

elos

nulles. erecliles

ravos plus

ilés

0

Mouclies


44

se vencontre dans les 1’orêl's -Vi ertfes vvu sovnmel des aibres les plixS (deves ou il est-attire par les novribrcínie los la savmens oux Oxfoatvired AovX flexibles atteignent des vieux patriarches des bois ei retoinbenT epsuite vers lestons torre en lungs fleuvis. a 1 diííicilea petitesse de Oiseau le Xj-a rendrait ttès eet dec.ou.vrir si ]e bouvdonnement' quil produrt en volant EaisaiC se entendve de fort 1 Jie $on vol o st lapide et Soiiteiux il monte tres baut dans les -ai yí> et lorsquil sen dune precipite il pvoduit sifflement semlalable a celui baile .Pendant quil execute ses cvolutiotis.les pluraes qui íonnent sa parure sont covtchees, mais des que la Colève ces en lardes seportent tanirne deux. eventails sdendent t duveflet de et cies cintos brillent de Temeram!© et avant Tor Ii-i f emoli e jrrivee de longues plumes eollaiveS ido

AuBvesil

,

Il

om

.

un

(Vun Huppe-Col joune lovr rarc dans le district du cM>izmh£s le HabeLHCève csV plus abondant dans coíui du ShuuxouuzlW dcscond Sur la lisière des bois eu Juin et .luillet el en Septembrtí dans les Ctt/metmJ oü íleurissent alovs de grail se repand ndos qu-AU tiles de KeJjnicA

loin lapparence

et le vol

.

,

*

10

11

12

13

1

ISciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


45

O

M

A SIX-TILE/rS.

O

Setif èrus

.

limyueurtoT-Ale ciuq pou-ces lruit liónoS;

ó

los

iltux pBUiies oxtéri ouros

dc

1

a

quciu*

Irois Aí opi-Atroluuios poucos soulcs ,los poucos ui deux s vantes de dtíux cimjliõiicí pelnios quatro ces soul tròs ot roil es.poin õtis femlvtf ix côVo nniyuiu' blnnc Vucs d avi") o ut ellos soiít suriiumluís do douv pl us bardos ] oiuUiís de lroy/.o lijjniospibleu-noir CoVe Y>1 ancho .los à unlro*» \m talou. (Vaciov bruni Sont Tudimoidanos. o 13 c noir subulé Aroit .Tv-.vil blanc dernèvoTiVjíl .TyouVáI k<, bcaül cusos "vorl v.ineAoré CovvimI os coillairos, dors-arnule ricos vert-doré rulil-xril et te ct .Ivas !o«. travorse dos par uno bando blwnche. Au Goróe.Ctm vo rl dore UropvdvAl os dl poitrme oonvorl s do pliuncs oo.uVioutrês l-.ud doré, br pxssunl pir $es Vevl .

CT*

.

.

,

1 i

mniioos dn vovl omoraudo au vorlrumlo pTus loncó cos plumes sont Separoes du noir pur doVatadonien pvrv Une ce.intuvo roupc censo chanôoxut

toutes

1

cs

.

,

cn orando. et cm c it ron. oôtós Ijlxncs •xvoaI os gris xt ros cjueue couvto lourclme ‘iciov IjvuniÇ tcvininoo deblanc. òorõè pcu/bvillautole ,

.

.

dessouS dvu

í\ 0 nVAVqU.Abl jiniierit

,

cotto

itjvps

noir onfumò.

CO 'App Clldí pAV los C! S SobiCOS ospèco, Vo.st Inon iY-ava ntxó e p-Ar lo. inobilité qivi Ixlor-


46

reflete ^gorge Ws sur ix-iilets offre couleuvs S sa sxvivaritl-i de Vemerau.de de 1’Or et cLu. lais Tnélamies mais Hui ceposition du corps prenanT* pl tas ou moíns AinVemite toureies daiiT à lauTre tcmt Tespace pour le resSaisir a son que VOiseaix faiV le plu$r Idóev Tnouvement rapprosont "Reetrices Qiv-vnd le Six-Tilets voVe. ]es fleur une qttan souli ente ehees ,et relevees dc.vaut il d $<? quun soit saisisse mais Soit que la niain du> chassexvrlé ÇormeriV et rival le poursuxve elles sexartent sulcnte mente. cte ses

le

.

,

f

;

de leur Hase au

somméf un

oupouvainsí dbtus angletrès

une* Horizontal e ligue se pia c ente sur Oiseavoj de ce§ aigu Yarriveé HouTdounemenT armoTice TJn som.les quelque fois Sonore Ves signalent ime crépitation detous epis mites Pleuries des CiipafoLi^ed des ConyzeA ies occulègions attirent cMcLriaiiwaS des eu les eMimoíeti et des Abo.iv qui imectes soit lejouv poursxxivre les tout •pèes à y ccmibatentvVux le jouer dente., soit a livrer Hataille ou emiVextise perclier cette vierit lutte ã à tante vainqueuv d'un suvface ou surta HrancHe, morte te- dune petite plxunles enbas delxaute çant Halaii corvmbe Pleuri en rapprocheés alors sonte qui es de sa queue cMacctkv du J^aruJAioub districts dxx des abitante li er smiõui premi tlausle le Six-iilets este plxxs atum daiite et c tobi-e O 1 e Aout Seplevnbre perulant les piois de leslorets-Vierges dam refugie resTe de IVmieé il est idire

.

,

,

.

d

,

.

,

.


M

O M -RUBIS 0

limó Cd te,

tVe

lVubineus

tvoi5 vnmces

d'ossus

svibvdt: Heo.

*

,

noir

le

coit.tmmteatA couverturavs eV .

AOr. refletí vert à

uropvgtales dunlaeau llela base

.

euv inferi naisdtt de.mi-loec

pliuuts ecailleuses eu longues senT des en Irièrectiles imbriqueeí dtspoíees ,

rose fimee les ,d'un prenant aiigle

t cintes

pitas violet internes. pourpre les carrnin et Gorge Irlancln»; im Aenn collier pectoral

Untrait blvvnc perle posf-oculairis de tloin en vert pálc etanales ,re .Vlancs Ab <3

.

.

cendrtldWimjSes tves fourcTiues, vert bronze en desstts ilessuas violet-líru-w en Pieds nmrs. gris

-

"violacces Weclvices .

,

.

mentes letnles

Sans rose

-a

gnróo Ia

trair posl-octtlarre très appaveíjt

.

ÍWclvi-

tvj pl c o tarte s ees

pvmctp^l dans dvi consiste Aj e caractere TViíbis et bec de Son uaissentT de base qui la les plutncs roses lui u_ aaó portanf en anóle avee. avart/an fonaent en se code eprouve quel sentimens que TOise-art q\u?s dês lère ou de crainte ,

.

cette vol de especa Xie

10

11

12

13

14

est~ r a. pi de et brux/and

SciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


48

d’ivoir de longtem-ps présence avant on esl ‘iverti s-A -Via de bourdorme pu lapevcevoir sorte que lorsquil de plus liauteurs nu des Hu^xiliva, à cime Auii CourathiL -

joue imheu eenV au de pieds Surramoaux des ts dont odorantes de ce òéanl Vo vê tes ‘1’CKil de a couvevts cliar^es de fleurs sentbtevit neióe, eelte VOiseau iVécouvrir peine a mais beaucoup de à coliuque esl en clévaTiou son bruil core aussi aióú qu.e porteç Bourdon de niarn, ôros pvodixirait im k à otí^cux dêpaisses joi.iv eh et im and dans Quand mons^amasserd soimmt des et au vapeuvs selêveid desc,Il V enl. cuimmui parai extremem ta £iies te Rubis ou eV Campos los Cò.pu eiras dans les cml alovs dans rrtavrr quil setendonl des ridcaux de Jau tu na. rase et pluie Corro de quitte ns plus au milieu des ue inême. à disque d’lhscaux ,lan qui domie.nl la mo rt. 'beaucoup talhe nVn esl poiuC afíeclc*. elite Vivi malovu sa p ncjC ctt c pilic espoce Se miconlrc de,pnis -/? tu o4ijnS couju-sqtv’au Ccuiafla/. il disparaiC dans cette devnière les amumeer tvee â Tapproclve. des golees e.C v vevie.nl rcpvis jours et Soleil l.ieaux -a lo les íleurs dês que qviil et se,

asso'/.

cm

d.e

10

torce

11

12

pouy

13

£vappes des

1-x-Tevvcx. re cViauCíev

SciELO U

19

20

21

22

23

24

25

26

27

29

30

31


49

COIi -M O HUPPEi -

O

Ornatus

.

.

.

lond de deu-x. pcmees six Hônes ."B ec droit subulé rouge íncarnar.t-evnvrne de o

,

lióir .Trontales

verT éinera udo

envivormaril-

une liuppe de pluneí lomjues eííileés* ei-ecliT.es dun roux warron yíf .Tète, cou et

manleau dun verT roussàlre dové bas du dos Mane pur. Crcmpion violei <3001101116 cle.ssous

d li cou

el' la

.

i

dorõe vis de couve O t

pTimies ecaiTleuses Verl êmeriude areílels dor bruni "Pirties TaTerales du cou povtaiil des pT um es etageés coupees carrémenTa' lextréimte disposees en ovenf-vil oler.

.

octiTes

;

ces

lumes p

sorvi blaiicTio.s ter-

dimeliamlo. verT do re Abdômen 0.1-is c endro .H^poconctriàles ve r dl Ires. Anules Yortes Tumlees de rovix.Kenu-

irv inces

ges violettcs fRcctrices

on

svipevievvres verl Tirovví,e

e s ,1

Coui.lesdeux iT e vai e s dun 1

puv marrou ,'teímiiee* «leiioir dessus toutes marrou bríllant en dessous.Pieds Ve roint

ses.

O eu dessxms Tronl-des verl' Scmibre bordees de rnuve. poiriT delruppe. fornsàtre

XjC-

Huppe-cdl

avnsi

vunnmó des demt

evenlails

cie

plume?i epn ornentr les. par li es laterales de- Son Cou. estr Te pVus petit des Qvíhoiyntjtwi du .Bresjl ,1a Çemefle priuci pal em e nt avant au pl us dvx-liuit ligues delong paet pesaril vail un gros laçmrdcm et' comine son vol esb très loyiryanT on conÇond Sou.venT ceT Ovseau. avec des .


insectos loxstjuil

est â

Toutes les fleurs

xme

cevráine kuuteur.

atlirent le-Hu-ppe-Col

.

onlbksevmais

principuTeinent s\jr une pLunte u pet.ires corollcs juunes verticiíleés et dont h» feuvHarto blaúc et tomentenx lui dorme luppurence des cMotêne.J jl frequente côvúenionl ies fantanai ve.

los

plunles Çonjtnbjftrei Tmijours cn inouvoiminl et vivant or tini uirem e nf ona» rit't<* cês ckarnrvns oisoaux se livrenT des conitrAls coiiti mtels tlpux ou tms i mtividus selêvent prrpe.ndienlui roment el. Sonvent liors tie 1 a porteé de vuc en durdaiitle kec et hérissant les pTmnes jusqm cerque Va fatigue ou !m irainle inelte la pui x e.n Separant los elv.nnpions. Ou renconlrt* le. Huppc Col tonto laimoé et duns Tontle l^résil il semble- voler uvec plus tio force et fuit e£yl oiiiont plus de bruit lorsque lo. tem ps osl dispo só â 1’Ora^e cést duns cotte. circonstunçe snrtout qiuil fuit entemlre *4 cita celte que inslant crepitutiou sono vo •reclleimml extraordinaire et qu\m ne croivuil janvais produíte par un uussi polit Oiseuu el

.

k

-

.

.

10

11

12

13

1

ISciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


BEIJA-FLORES BRASIL DO PINTADOS E DESCRITOS PELO DR.

TH. Naturalista,

DESCOURTILZ

Membro

da "Société Linnéenne de Paris”,

Medicinal da Flora das Antilhas Autor

TRADUÇÃO DE

DE ANDRADE DRUMMOND CARLOS

POR CRITICO ESTUDO

OLIVÉRIO M.

DE

O.

PINTO

LIVRARIA SAO JOSÉ RIO DE JANEIRO

1960



EXPLICAÇÃO PRÉVIA Esta edição de

Oiseaux-mouches orthorynques du Brésil

pertinazes anos de esforços. quatro consubstancia

direção da assumirmos a Foi em 1956, logo após olhos, prisob os pela Biblioteca Nacional, que tivemos

meira

vez, o precioso inédito

do Dr. Théodore Descourtilz,

que enriquece os arcazes da Seção de Manuscritos desta

passamos acalentar a Cultura. Desde então, a Casa de idéia de fazermos

uma

publicação condigna de suas belas

naturalista-pintor estampas coloridas e do texto, que o

preparou à maravilha para ser facsimilado. Dificuldades várias, especialmente de ordem

fi-

proadiar concretização do nanceira, obrigaram-nos a a jeto, ao qual,

em

certa época, desejou associar-se o editor

francês Pierre Seghers.

nas doporém, apreciável aumento Graças, ao

Nacional conCongresso tem tações orçamentárias que o nossa admiapoio irrestrito que cedido a esta Casa e ao nistração

vem

Senhor Excelências recebendo de Suas o

Ministro Presidente Juscelino Kubitschek e o Senhor incluir publicação do Salgado, foi-nos possível a Clóvis

album de Descourtilz no plano de realizações rativas do

Nacional.

150.° aniversário

E

Biblioteca fundação da da

com uma com um estudo

mais. Valorizá-la

tuguesa do texto francês e

comemo-

mático das espécies nela tratadas.

tradução porcrítico-siste-


Ao

concebermos

tal edição, dois

nomes nos pa-

garantir perfeinaturalmente indicados para a receram

ção dessas tarefas

Andrade

A

-

o do escritor Carlos

Olivério professor e o do

acolhida generosa que

em ambos

M.

Drummond

de

de O. Pinto.

encontrou o apelo

exdevemos, respectivamente, a que lhes formulamos

notas críticas acompatradução e das que celência da

nham

a reprodução

A

esses dois

fiel

do manuscrito.

amigos

-

primeiro, glória das o

le-

da ornitologia branacionais; segundo, mestre tras o sileira

-

que nosso profundo agradecimento, o mais

tendemos também

es-

Sedegra senhor Bernstein, da ao José

Sociedade Editora e Gráfica, que se esmerou ao

máximo

na apresentação gráfica da obra.

Rio de Janeiro, 8 de março de 1960.

CELSO FERREIRA DA CUNHA Diretor da Biblioteca Nacional


INTRODUÇÃO TRADUÇÃO DE Carlos

Drumond

Sob a irradiação do céu luminoso, no seio de

uma

de Andrade

natureza eter-

namente virgem, embora fecunda, e envoltos pelo ar puro, impreg-

nado do periume das

flores, circulam

com

rapidez de relâmpago pás-

que cintilam como ouro ou despedem reflexos de outros metais,

saros

a que se aliam tons de pedras preciosas.

O

vermelho delicado do

rubi,

vermelho granada, escuro da o alaranjado do topázio, o verde agrao dável da esmeralda, êsse outro, mais intenso e mais sedoso, da maiaquita,

azul figuram da safira o roxo da ametista separadamente na o e

plumagem de

espécies batizadas

com

nomes; quando

esses

tais côres se

combinam, é para formar deleitosas harmonias que o olhar admira, mas que o pincel mais experimentado só imperfeitamente saberia reproduzir.

Se a êste luxo de penas acrescentarmos a delicadeza do tamanho,

formas graciosas e esboço ligeiro,

esbeltas, e vivacidade

mas

fiel,

de movimentos, teremos

um

do pássaro-môsca.

muito antes da descoberta do Já

Novo Mundo

pelos espanhóis, os

primitivos habitantes dessas regiões deliciosas conheciam e procuravam

com

interêsse

os

pássaros-môsca;

orelha, à guisa de amuleto;

em que tes.

com

os matizes, combinados

Impressionados

usavam-nos como penduricalho de

as penas

com

com o pequeno

da garganta faziam quadros

arte,

eram

inalteráveis e brilhan-

porte dêsses passarinhos, e com-

parando-os às suas mais ínfimas medidas de pêso, deram-lhes os conquistadores europeus o hábitos,

dão

chamam-lhes

nome de

tominos; os brasileiros, à vista de seus

beija-flor,

papa-môscas,

idéia perfeita dêsses pássaros elegantes,

chupa-flor,

como

nomes que

diante suspensos que

das flores, parecendo acariciá-las.

Com

à peculiares espécies bastante numerosas, os beija-flôres são

América, mas a África e

como apresentam a Ásia Meridional nos

logas as diversas tribos melívoras de papa-açúcar e de

cétias,

aná-

na maio-

i

10

11

12

13

14

SciELO 18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28 .29


ria

das quais se desdobram as ricas tonalidades do arco-íris

e,

quase

sempre, reflexos de substâncias metálicas, desde o amarelo puro do

ouro até o roxo escuro do aço polido; tamanho, costumes

sem

e,

dúvi-

da, igual

maneira de viver ainda mais os aproximam dos pássaros-môs-

ca. Estes

últimos não elegem apenas a ardência da zona tórrida; espa-

lham-se por diversas regiões da América do Norte, na Geórgia, na Carolina, e até

mesmo em pontos de maior

onde são

altitude,

tidos

como

mensageiros do bom-tempo, de vez que realmente desaparecem à apro-

ximação do inverno, e ao voltarem trazem consigo a primavera.

Não há

lugar

pois são moradores flores.

algum do ou

Brasil

visitantes

onde não possamos

encontrá-los,

de qualquer ponto onde desabrochem

Acompanham-nas, aparecem

desaparecem com e

elas.

As matas

mais espessas, as florestas mais sombrias, os vales profundos, as margens da corrente esperta, e finalmente os risonhos jardins que cercam a

morada humana receberam todos em

partilha

um

quinhão da família

dêsses pássaros encantadores.

Por ocasião da inflorescência geral dos vegetais, o curioso pode observar alguns dêsses melívoros junto às corolas escarlates da bananeirinha-do-mato, da hamélia e de certas variedades de justkia e ver outras espécies

animando os sarmentos

floridos das eupatórias, os

ramos

de beladonas e coiranas, as taças alabastrinas do majestoso talauma, as elegantes rios,

campinas do estramônio inclinadas sôbre a correnteza dos

os corimbos margraviáceas pendentes cimo árvores; das do das e

finalmente, quando o jequitibá e a sapucaia se máticos, ouvirá a res,

uma

altura imensa

que pelo tamanho, não

recamam de cachos

o zumbir de miríades de

raro, a vista

mal

aro-

beija-flô-

distinguiria dos grandes

himenópteros e de certos lepidópteros a turbilhonarem com êles

em

enxames alados.

À

parte ligeiras diferenças nos costumes, todos os beija-flôres se

assemelham, pois a generalidade das espécies parece nutrir-se do mel das flores, diante das quias êsses

go tempo como sível, até

nem o

lar permanecem elegantes passarinhos

extenlíngua, muito suspensos, enquanto dardejam a

o fundo da corola. Contudo, não é

perfume que o

elas exalam,

líquido doce que secretam, que atrai o pássaro-môsca: são

le-

vez sua giões de insetos que vivem do suco dos nectários, e que por háSemelhante servem de pasto aos menores passarinhos existentes. bito,

envolvendo idéia de destruição, esmaece

em

ligaencanto parte o

foram melívoros, que sempre do a êsses pretensos das borboletas, das quais copiam aliás a ligeireza.

2

tidos

como

rivais


O

beija-flor

únicamente para

em movimento contínuo; dir-se-ia conformado o vôo, e executa-o com tamanha rapidez que muitas vive

vezes não conseguimos avistá-lo embora o zumbido que emite ao voar

Além

lhe anuncie a passagem.

dêsse ruído

como o

viva trepidação das asas, espécies mínimas, e o Seis-Filêtes,

têm a

assinar-lhes

produzido pela

especial,

Beija-Flor de Coleira

uma crepitação de uma trombeta

a chegada súbita

sonora parecida, guardadas as proporções,

com o

soar

longínqua.

Extremamente

raivosas, as diferentes espécies

víduos da

mesma

uma

junto à qual vai postar-se o

flor,

não

e,

espécie guerreiam-se encarniçadamente,

raro, os indi-

em

disputa de

vitorioso, ainda excitado,

beça vibrante e pluma eriçada, até que, descoberto por

um

de

ca-

novo inimigo,

perpenlutam subindo é atacado por sua vez. Os menores beija-flores seus bicos contra adversário dicularmente a grande altura e dardejando o

pontudos, até

o momento em que o mêdo

campeões a abandonar a tos,

liça;

baixam então os dois e

um

tomam rumos

dos

opos-

proporcione segundo combate. que novo encontro até

O

beija-flor

mais altos árvore preferência nos ramos da pousa de

ou da moita, e sempre nos desprovidos de vel,

ou a fadiga force

fazendo ouvir a intervalos

lutamente não se harmoniza

No pouco

período amoroso,

se

talá-lo,

separando

escolhem

um

uma

senão o suspendem a bitações

um

com êsses

pio lastimoso, cuja melodia abso-

roupagem. sua brilhante a encantadores

pássaros

do outro quando o ninho

foi feito.

Para

ins-

um

hacôlmo, cobertura das fragmento de na

alguns

feitura

flocos de algodão, da carolina, de certas apocíneas,

paineira ou fromager, variando

com

em

líquenes

da região por

tamanho de seu

diâmetro a metade de

um

e

da figueira e da

as espécies vegetais

êles habitada. Esse ninho, proporcionado ao

quase nunca excede

acasalam,

se

centro moita, ou ramilho da bifurcação de no

sua empregam na Só

humanas.

folhas.

imópermanece Aí

arquiteto,

limão, e abriga dois

grossura de nas extremidades, e da ovos brancos, alongados, obtusos

um

ervilha.

Durante a incubação, tinela

um

dos componentes do casal fica de sen-

família. pequena Aí junto ao lugar que esconde o berço de sua

solta êle seus trinados alegres,

que

mudam

precipitam, natureza de e se

tornando-se contínuos, à aproximação de algum

mêdo. Deixa então o posto, esvoaça até

ser

que lhe

atingir a causa

do seu

inspire terror,

3

10

11

12

13

14

SciELO 18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28 .29

30

31


em

põe-na

fuga, tranqüiliza-se e volta para o

se atira sôbre os

Embora

miúdos

providos,

mesmo

lugar,

de onde

insetos a seu alcance.

no mais

nem

da faculdade de vôo,

alto grau,

por isso se vêem os beija-flores menos expostos a perigos de que não

conseguem

Têm

às vezes escapar.

inimigos, tanto mais temíveis quanto

Uma

não dispõem aqueles de arma alguma para defender-se.

chamada

filiforme,

raldina

ou azulada

cipó, e

cobra

que sobe pelas árvores, onde sua côr esme-

a disfarça à vista

no meio da folhagem, apódera-se

dos ovos e dos próprios pássaros, se êstes não fugirem depressa. Muitos, retidos entre as vitável, pois,

O

presos.

malhas sedosas dos aracnídeos, encontram morte

ao cairem nelas

em

ine-

pleno vôo, logo se vêem enredados e

mais cruel dêsses verdugos

porém, a mígala aviculária,

é,

aranha enorme e horrenda, que surpreende suas vítimas sob a proteção

da

noite, imolando-as

quando o sono

sem meios de

as deixa inermes,

defesa.

A

plumagem

alta

do

beija-flor é

em

geral verde; esta côr se en-

riquece de tôdas as nuanças imagináveis, passando por tonalidades ver-

verde-esmeralda,

de-alga,

verde-malaquita,

mas

verde-garrafa, e finalmente verde-negro, tálicos e cambiantes,

verde-cobre,

brilhante

quando o atinge oblíquamente

com

um

verde-bronze, reflexos

me-

raio de luz. Só

as penas da garganta diferem consoante as espécies e suas tonalidades

sempre intensas e repetidas oferecem por

melhor desigmeio de o

isso

nação.

A

grande família dos

fixados pela natureza

beija-flôres

propriamente ditos tem limites

mesma; embora a

ciência julgasse necessário dis-

tinguidos, os colibris, de bico longo e arqueado, e os ortorrincos, de

bico reto,

tendem a aproximar-se. Existem de fato

entre êsses dois gêneros, e muitas espécies

temente a

um

ou

outro.

podem

elos intermediários

pertencer indiferen-

Os pássaros-môsca que nos

interessam espe-

cialmente são dotados de bico reto e agudo, ou reto e deprimido na base, e levemente arqueado na ponta. Estas

características,

que basta-

garganta, nuanças riam para qualificar as espécies, juntando-se às da

constituem a base das divisões que adotamos.

4

10

11

12

13

1

ISciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


PRETO

B. F.

O. Ater

Quatro polegadas e meia de comprimento;

as

asas ultrapassam a

cauda. Bico cilíndrico, preto, algo recurvado. Cabeça e parte superior

do corpo, negros, com reflexo verde-crê. Manto e penas uropigiais de côr verde-escura, e

penugem

fôsco;

A

Rêmiges roxas.

verde-crê.

medianas reluz

em

debrum de ouro esverdinhado. Coberteiras alartes, parte inferior

prêto corpo tinge-se de do

duas Retrizes quadradas; prêto das femoral, branca. o

em

em uma

verde e

branco puro, terminam por

com

roxo, enquanto as laterais,

seu

faixa prêta, de lampejos de aço. Co-

xas e algumas penas hipocondriais, brancas. Pés pretos.

Mesmas

Penas bucais e mento côr de ferrugem;

tonalidades.

§ quatro retrizes medianas, pretas,

com

reflexo purpurino.

Retrizes, como as anteriores. Variedade inteiramente negra. §

Este pássaro, que se aproxima dos colibris pela curvatura ligeira

do

bico,

em

todo o Brasil, entretanto não é

a

do gênero. Encontrado

é incontestàvelmente a maior espécie

estação,

vive

nas matas

comum em

parte alguma; conforme

onde florescem alcaparreiras

virgens,

margraviáceas, principalmente naquelas onde a majestosa

A

cobre de taças odoríferas.

de setembro a novembro,

roupagem de

É

e

talauma se

orla dos bosques, por sua vez, hospeda-o

quando os

hibiscos

parecem envoltos em

flores.

rápido o seu vôo, mas,

como

se faz

acompanhar de

um

movi-

mento ondulatório, sobretudo quando o pássaro dardeja a língua na intimidade das corolas, torna-se perceptível de muito longe, tanto mais

quanto nesse instante se abrem e fecham alternadamente as penas da cauda, que além disso se levanta

endido ou assustado por atraira,

um

como

a de carriça européia. Surpre-

motivo qualquer, abandona a

alteia-se perpendicularmente, mantendo-se

tensa trepidação de asas; afinal, tranqülizado ou ta-se

com

flor

que o

no espaço por

in-

aterrorizado, precipi-

rapidez de seta, para recomeçar mais longe idêntica manobra,

seguida de

um

grito constante.

5

1

2

3

4

10

11

12

13

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31



B. F.

TOPÁZIO

Granatinus O.

Comprimento, quatro polegadas

intuBico cilíndrico, reto, meia. e

escamoso, aspecto penas frontais de extremidade aguda; mescido, de

verde-ouro azinhavrado.

Mento

olhos; risca pós-ocular branca.

verde-ouro azinhavrado.

mais abaixo, plumagem

anegrado,

com debrum

Dorso, manto

castanho claro;

alares, coberteiras e

Mento anegrado, com

em em

claro; castanho debrum

trianescamosa, formando placa aparência e

gular carmim escuro, tendendo a laranja-ouro.

Em

verde-esmeralda

bri-

cinzento a ventre passa de lhante e dourado, a garganta e o peito; o

verde baço; coxa e penugem

com

dourada,

anais côr verdebrancos. Penas de femoral,

violáceo. rêmiges colorem prêto cercadura ruiva. As se de

Retrizes arredondadas, de côr acaju; debrum e terminação

como bronzeadas

bronze,

Tôda

§

alta,

verde-

são as duas superiores.

a parte baixa do

cambiante; parte

em

corpo é ruiva; garganta

sem tonalidade

verde-esmeralda.

Este pássaro esplendoroso é encontrado nas proximidades da mata

em meio

virgem,

aos campos de malváceas dos gêneros bibiscus e sida,

que proliferam nos antigos terrenos desmoitados, ou rebentos de troncos copados,

chamam de

ros

mas de pequena

roças, e entre os

que os

altura,

capoeiras. Parece atraído por êsses

brasilei-

vegetais e pelos

tufos sedosos dos ingás-doces, e acompanha-lhes a inflorescência de re-

em

gião

região, entre julho e outubro, período

em que

se torna

muito

comum.

O um

Topázio, notável pelo voo rápido e ruidoso, solta continuamente

em

ritmo

mais grave. Este canto monótono faz com que seja descoberto

facil-

grito especial, repetindo-o

mesmo quando

pousado, mas

mente, não obstante sua precaução de ocultar-se no interior das moitas. pássaros visitem não consente que outros Ciumento ao extremo, partilhas. Fica então move-lhes guerra obstinada, aceita não sua morada;

em

constante movimento, abandonando seu calmo retiro e expondo-se ao

calor

do

dia

no

alto da

moita; espia a passagem dos rivais, atira-se

7

cm

1

2

3

4

5


sôbre

eles,

provoca-os, combate-os até pô-los

em

fuga ou ser êle pró-

prio obrigado a capitular.

Esta espécie se apresenta desde a cadeia de montanhas conhecida

como

Serra dos drgãos, até Paraíba do Sul. Parece mais numerosa

certas horas

do

dia,

em

das sete às nove da manhã, e das três da tarde até

o escurecer, sobretudo quando o sol ardente anuncia tempestade.

8


FUSCO

B. F.

O. umbrosus

Quatro e meia polegadas de comprimento. Bico curvo na ponta, prêto escuras

no

em

alares,

cilíndrico,

meio

re-

Penas frontais acinzentadas, mais

desbotado.

centro. Cabeça, dorso, manto, penas uropigiais e coberteiras

tonalidade verde-escura,

Gom

reflexos pouco visíveis de cobre.

Penas bucais, da garganta e peitorais lembrando escamas de tom za-esverdeado, e reflexo verde-crê; contorno cinzento puro.

cin-

As rêmiges

são violáceas, e o tubo da primeira se dilata na parte média. Retrizes

quadradas;

duas superiores, verde-garrafa; as

as

laterais,

prêto-arro-

xeado. Traço pós-ocular, branco. branco-pardacenta, sem brilho verde-crê. Garganta §

A

plumagem

sombria,

em que mal

chama pouco a atenção para

licos,

mum com

o B.

F.

se

fazem notar reflexos metá-

êste melívoro,

que

aliás

tem

Andorinha o canto e o voo. Estas relações

em come te-

riam levado a aproximar as duas espécies, não fossem observações numerosas

que

me

fizeram encontrar indivíduos de ambos os sexos do B. F.

Fusco.

Vive

êle,

com um enxame

banainsetozinhos, nas florestas de de

que invadiram imensa extensão do

neiras

plantados pelos índios à beira dos

anualmente. Circula ràpidamente

nunca se

afasta, acariciando

cujas "escamas” espessas flores

rios,

solo, originárias

de alguns pés

multiplicando que se foram e

em meio

quincôncios, dêles seus e aos

alternadamente os grandes botões roxos,

protegem e recobrem parcialmente massas de

úmidas de orvalho e de mel. Parece alimentar-se dêste último

quido,

mas em verdade só

visita os flósculos

nhar os insetozinhos por êle atraídos. Pousa forte e repetido quebra

o

silêncio religioso

lí-

que o destilam, para apa-

com

freqüência, e seu canto

da ramaria espessa, apenas

perturbado pelo frêmito das longas folhas acetinadas, que o vento da

tempestade rasga

em

tiras e

que então, agitadas levemente pelo

semelham o rumor das ondas de

O

um

zéfiro,

oceano longínquo.

extraordinário desenvolvimento da haste das primeiras rêmiges

desta espécie se faz tanto mais digno de nota quanto de todos os beija-

9

cm

1

2

3

4

5


flores

do

Brasil êste

Por que apresenta. único o é o

aproxima-se do B. F. de

Nunca

vi

Tubo

êste pássaro

Grosso, de Caiena.

em Macaé, porém

Ilha Grande, Bananal da e regiões de

o ano

inteiro.

esta singularidade,

é muito freqüente nas

onde pode

ser observado durante


ANDORINHA

B. F.

O. furcatus

Comprimento, quatro polegadas e meia; bico cilíndrico, um tanto recurvo, preto. Frontais lembrando escamas, onde brilha o azul-cerúleo. Azul índigo nas

cervicais,

tendendo a verde no

negro conforme a direção do

dia.

A

occipício, e

parecendo

parte superior do corpo colore-se

de verde-malaquita; a inferior é inteiramente imbricada de penas de côr verde-esmeralda,

com

trizes aforquilhadas,

penugem femoral

reflexos de ouro.

medindo

farta, côr

em negro-violáceo. Relinhas, em azul-índigo vivo;

Rêmiges

vinte e duas

de

leite.

inregião Tonalidades superiores mais foscas, algo acobreadas; §

do

ferior

sas sôbre

A

disperespaçadas, corpo, dotada de penas de feição escamosa,

fundo cinzento-pérola.

espécie aqui descrita é

denominada

em

vista

formato: seu de

pela cauda larga e bifurcada, e pelo comprimento das asas, lembra aqueles

pássaros curiosos, de ânimo viajeiro, que surgem por tôda a Europa

com

a primavera, fugindo aos rigores do inverno, para,

crito

que abandona a

como o

pros-

acolhimento céus geterra natal, pedir a outros

neroso, descanso e liberdade.

Em

F. Andorinha; as encontramos o B. tôdas as horas e lugares

matas escuras o recebem quando o

sol despeja raios ardentes. Ele

zumbe

nas capoeiras, quando banhadas pelo orvalho matinal, e encontra perene frescura à sombra das lianas verdejantes, sob a cúpula florida

mada

tra-

pela panícula dos taquaruçus, que indicam a proximidade dos

regatos e simultâneamente lhes dissimulam

lâmpago, do qual copia às vezes o clarão,

o

curso.

atira-se

ingá-doce e mergulha no abismo, para reaparecer

Semelhante ao

cume do

florente

em meio

re-

do

aos cipós

entrelaçados que o encobrem, antes que o olhar possa apreender o objetivo

por êle visado.

O

vôo do

B. F.

Andorinha é rápido, e parece que a facilidade com

confere executa lhe que êle o

um

perigoso. aparentemente lugar

3

4

10

11

12

13

14

sentimento de segurança

em

qualquer

Avança para junto do caçador, esvoaça

SciELO

18

19

20

21

22

23

24

.

25

26

27

28

29

30

31


a algumas polegadas de

preciafasta-se tão tranqüiliza-se e sua arma,

aproximado. havia pitadamente quanto se

embora ano todo, durante o espécie Apresenta-se esta período novembro, encontradiça de agosto a acasalados. estão

12

em

seja

mais

não indivíduos que os


DE BARRIGA CINZENTA

B. F.

O. Leucogaster

Comprimento,

três

polegadas e oito linhas. Bico cilíndrico,

to recurvado, prêto. Alto

em

da cabeça, pescoço, dorso,

verde-crê muito lustroso.

vezes, as

Nas

tan-

manto e uropígio,

às verde-acobreado; coberteiras alares,

penas são marginadas de

pintados de cinza-pardacento,

um

anais peito, ventre ruivo. Garganta, e

algumas hipocondriais,

liso;

Azul violáceo nas rêmiges. Retrizes

curtas,

índigo nas superiores e índigo puro nas cinza claro, e tôdas côr de aço polido,

Este pássaro, o mais disseminado

no

levemente bifurcadas, verde-

laterais,

em

verde-crê.

estas

terminando

em

baixo.

Brasil, é visto

quase durante o

ano inteiro nas capoeiras, não raro nas matas virgens, e constantemente nos pomares, logo que laranjeiras e limoeiros entram

Nessa época, aparece

mão do homem

inflorescência.

enxames, e seu zunido se faz ouvir a grande

Mais confiante ainda que os

distância.

perto da

em

em

faz ninho até e

rápido, segue o beiral das varandas

ou

vêzes pousa muitas anteriores,

em casa

dêle;

ou

senão,

em vôo

das frente galerias abertas, na

habitações, e aí se lança sôbre os mosquitos e até sôbre pequenos arac-

nídeos, aos quais arranca de suas teias.

Em

atacar procura prêsa, seja para movimento contínuo, seja à de

ou defender-se,

gênedeclarado das grandes espécies do é inimigo

ro, e até das de outras famílias que lhe são superiores

Empoleira-se a todo momento,

põe-no

em

ponto,

com

fuga,

e,

investe contra

orgulhoso da

vitória,

em

tamanho.

o adversário, combate-o,

logo volta a pousar no

mesmo

vibrante, penas eriçadas, cabeça dardejando e recoas a

lhendo a língua

como

raiva. prestes sufocar de se estivesse a

13

cm

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

SClELO

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


ACOBREADO

B. F.

B. Cuproeus

Três polegadas de comprimento. Bico ligeiramente arqueado, preto

na metade superior e no

no

resto. Frontais

da

têrço terminal

inferior; amarelo-palha

de aspecto escamoso e tom verde-ferrugem. Manto,

dorso, uropígio e coberteiras alares ostentam bonito verde-cobre,

Tôda a

reflexos.

rência escamosa,

com

parte baixa do corpo é revestida de penas de apa-

em

verde-alga tirante a ouro, e debruadas de cinzento.

Flancos, verde-escuro; abdominais e anais, acinzentado. Rêmiges roxas.

no

Retrizes verde-bronze baixo, tôdas

em

terminando

alto; laterais

em

cinzento; as de

verde enegrecido.

— Variedade De Papo Branco § de azul e ouro, surge nas partes

:

verde-esmeralda, o

com

reflexos

do pescoço; branco-de-neve no

laterais

meio do pescoço, da garganta, do peito e do

— Variedade Palheta: garganta De e §

ventre.

peito brancos; penas termi-

nando em verde-esmeralda; abdômen verde-ouro; cada pena

ostenta

larga franja branco-acinzentada.

Os

jardins mais chegados às casas,

deraque, cujas flores dispostas

fume, aos

uma

aze-

tirso

perassemelham, pela côr e se

lilazes europeus, são visitados

constantemente pelo B. F. Aco-

breado, que difere bastante tuir

em

onde se erguem latadas de

espécie.

do

B. F. de Barriga Cinzenta para consti-

Realmente, tamanho menor, reflexos metálicos

em

baixo e canto mais agudo bastam para distingui-lo do outro,

em que

encontra seu mais cruel inimigo, embora procurem ambos os

mesmos

vegetais,

como

resedá, e

em

Comum raro

em

as citráceas, as labiadas, a corinda,

que exala cheiro de

geral tôdas as flores de abundante secreção melíflua.

na província de São Paulo, o

mais é B. F. Acobreado

tijupás ninho muitas vêzes interior Macaé. Seu surge no dos

cobertos de folhas de palmeira,

em que o homem, procurando

abrigar-

encantador, prazenteiro visita hóspede a dêsse se da canícula, recebe

que não

se assusta e

vem confiantemente

partilhar seu asilo.

14

10

11

12

13

1

ISciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


B. F.

ESMERALDA

O. Smaralgdinus

Comprimento,

polegadas e

três

na base de tom vermelho

gem

superior,

mesmo

claro,

três

com extremidade

as cervicais

deprimido

linhas. Bico reto,

prêta.

Tôda

a pluma-

(que são imbricadas e arredondadas)

ostentam verde-ouro muito mais lustroso, às vêzes com reflexo de cobre vermelho, Penas do mento, da garganta e peitorais, imbricadas

muita regularidade, lido.

tintas

verde-alga, de

com

reflexos vivos de ouro po-

Penugem femoral

Barriga tôda ela de côr esmeraldino-dourada.

crurais alvas. Anais

em

com

e

verde-malaquita meio fôsco. Violeta-escuro nas

rêmiges; azul-índigo,’ nas retrizes curtas, largas e bifurcadas. Pés encarnados.

Esta espécie encantadora é vista unicamente

rias

caminho, e se expõe assim à mais viva ardência do quase constante, pousa e lança-se

não obstante a extraordinária

um

raio luminoso,

com

moitas à beira do

sol.

Em

movimento

uma bala; em face de

a rapidez e o ruído de

cintilação das penas

mal temos tempo de

do peito

percebê-la: passa, deslumbra e

desaparece.

Quando o Esmeralda

se empoleira

corpo fica imóvel, mas a cabeça

penas da cauda, abre-as

monótono, pio

Ao

especial,

em

na ponta de

mantém perene

um

galho sêco, o

agitação. Balança as

leque amplo e desfere sem pausa

um

canto

semelhante ao da carriça francesa.

contrário da generalidade dos pássaros, os sexos se assemelham,

salvo levíssimas diferenças de côr, mais apagada na fêmea, de maior

intensidade

no macho.

Este pássaro freqüenta exclusivamente a região de Bananal e aí se

deixa ver nas estradas, de agosto a janeiro.

15

1

2

3

4

SciELO 18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


SAFIRA-ESMERALDA

B. F.

0. Coerulescens

Comprimento,

polegadas e meia. Bico largo na base, encar-

três

nado, de ponta preta. Cabeça, parte superior do pescoço, manto e zes coloridos de verde-azulado brilhante. Uropigiais roxas.

marrom

vivo. Penas

com

da garganta, azul-celeste

sando a verde-esmeraldino dourado, nas partes verde. Crurais brancas, anais

pouco em

rom

em

Mento em

reflexos metálicos, pas-

Barriga azul

laterais.

um

ruivo carregado. Retrizes largas,

superiores, roxas; cunha; duas as forma de as

escuro; todas dessa última côr,

§

tetri-

em

laterais,

mar-

um

pou-

baixo. Pés róseos.

— Variedade Mesma tonalidade na plumagem

superior;

reflexos verdeoferece muitos co de azul na garganta. Esta coloração

Anais enegrecidas.

alga.

Nenhuma

espécie

suscetível de variar

mos

plumagem gênero ortorrinco apresenta tão do

como

esta,

a ponto de só de raro

em

raro encontrar-

dois indivíduos perfeitamente semelhantes. Tais variações são pro-

mais tons azuis seriam tanto duzidas talvez pela idade, e nesse caso os intensos quanto mais adulto o pássaro.

aqui fosse imaginei espécie descrita a Durante muito tempo que a

exemplaidéia depois recolher de Safira; só abandonei esta

fêmea do res

a

dos dois sexos, de cada

plumagem

uma

que considerando-se delas. Entretanto,

raças impossível que as duas tende a variar muito, não é

relações todas as suas se cruzem às vêzes. Apesar de

com o

Safira,

brilhante das partes verde Safira-Esmeralda se distingue dêle pelo terais

la-

resvala a penugem que sôbre reflexo de alga garganta, pelo da e

cerúlea

do

peito.

Nos

dois sexos, as retrizes

de tôda a plumagem, esta

No

o

é,

oferecem as mesmas côres;

imutável. parte suponho, a única que ao

enconassemelham; espécies duas se mais, o voo e os costumes das

tramo-las

nos mesmos

lugares e na

mesma

estação.

16

1

SciELO

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


B. F.

O Comprimento, vermelho base,

acabando

com

azul-cerúleo brilhante,

tom

verde-azulíneo

Saphirinus

na muito largo polegadas e meia. Bico plano e

três

forte,

SAFIRA

bem

em

frontais escamosas, de Penas prêto.

tetrizes de Dorsais e lampejos dourados.

escuro,

com

bucais brancas, Penas breado, nas uropigais.

Azul puro

e lustroso,

magem da

garganta e do

Rêmiges

cinzentas.

com

metálicos.

reflexos

Verde-aco-

azuis. extremidades de

pluna ouro polidos, prata e de

cintilações

Anais verde-escuro. peito. Barriga e flanco,

de obtusas, roxas. Retrizes largas e

um

azul de aço

polido. Patinhas prêtas.

marginadas de verdes, Frontais § claro,

fino azul

nem

puros

do céu

e o abul mais intenso

uma

damente leira

dessas partes, seja

um

inseto,

Os

quando

raios

do

em

um

em

sol

mais não são

todo o alto da

estão sempre a

quando

êle se

empo-

caminho, galho sêoo, destacando-se no meio do

enfrentálo, ou inimigo, para silêncio, a passagem do

para comê-lo.

Este pássaro parece viver

em

sociedade mais ou menos numerosa,

na região que escolheu. Os exemplares que compõem o grupo se

cam

to-

ràpivôo, atravessa pássaro no o

tortuosos da mata, seja atalhos dos

na ponta de

a espreitar,

do

do

safira

brilham mais que os azuis espalhados

cabeça e na garganta desta espécie. car

mento

garganta. peito na branca, no e cercadura

com

O

cinza;

cinéreo-azulado. Azul

ata-

haver espécie pareça rancor nessa de ao se encontrarem, sem que

jogo, executado

Os

com extrema

rapidez.

que tabernemontanas, sarmentos das passifloras e as flores das

jasmim, longe evocam perfume do de o

bem como

a flor

da

asclépia

assim afeiçoado às apoalguns equites atraem Safira, o de Curaçau e de cíneas,

fortemente venenosas para homens

algum nocivas a

animais, e

porém de modo

êsses pássaros elegantes.

nos dezembro Embora raro, o Safira é encontrado de março a gares sêcos e arejados de Bananal,

lu-

facilmente descobrir deixa e se

agudas. queixosas e muito notas seqüência de pelo canto,

17

SciELO 18


DE PAPO BRANCO

B. F.

O. Torquatus

Três polegadas e nove linhas de comprimento. Metade superior

do

bico, preta; a inferior,

em

amarela

dois terços da extensão, e prêta

na extremidade. Cabeça, pescoço, manto e uropigiais, ouro.

no

Mento

peito.

verde-esmeraldino,

com

do

alto

na garganta e

em forma de peitilho ou de lua

ventre,

a parte côncava na direção da cabeça.

flancos, entre verde e branco; alvos.

orla branca; alvura

belo verde-

Larga cinta de penas imbricadas, verde-malaquita, com reflexos

de ouro, recobre o cente,

com

em

A

tonalidade varia nos,

o ventre médio, as femorais e as anais são

Rêmiges de tom prêto-violáceo, do mesmo comprimento das

zes; estas, regulares e curtas, as

fortemente prêtas,

Comum

com

cres-

duas

retri-

laterais superiores verde-bronze, as

reflexos de aço polido, e pontas brancas.

na região de Morro Queimado, e raro na de Bananal,

êste

pássaro se faz notar menos pela elegância de formas e brilho de côres

do que pela extrema confiança. não o assusta:

êle,

por assim

A

presença do

dizer,

que

absolutamente

pousa na espingarda do caçador.

Pacífico de natureza, acaricia as flores rivais

homem

sem

atacar os numerosos

elas lhe atraem, e que,

menos generosos, o expulsam impie-

com

os seus meios de defesa, resumidos

dosamente, sem se intimidar

no vôo rápido

e

na cantiga plangente.

Nos momentos Prêto; como êste, abre

tranqüilos, tem hábitos parecidos

com

os do

B. F.

alternadamente penas de cauda, acomfecha as e

panhando o movimento com

um

pio abafado.

nas campos malváceas, sobretudo Encontra-se a espécie nos de coiranas de grandes frutas azuis,

que enchem

que, por capoeiras as e

ramilhejuncados de ocasião da inflorescência, ostentam longos ramos consiste alimento tes de flores estelares, branco-amareladas. Seu

insetos colhidos de passagem. ta

de

um

galho

sêco,

vizado a êsse ponto de

Fica horas inteiras

em

empoleirado na pon-

dando mostra de paciência

e,

como que

escra-

instantes deescolha, poucos sua a êle regressa

pois de havê-lo deixado.

18

^SciELO

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


B. F.

AMETISTA

O. Amethystenus

Comprimento, quatro polegadas e inflado na ponta, agudo, prêto.

com

alto

Bico cilíndrico, reto,

da cabeça, da base do bico ao

de penas de aspecto escamoso e de côr verde-esme-

vértice, é coberto

ralda,

O

seis linhas.

reflexos de ouro polido, tendo nos lados e atrás outras me-

nos brilhantes, de tonalidades verde-alga e índigo; elas se tornam tanto mais longas quanto

poupa, ocultando

mais se afastam, do lugar de origem, e formam

uma pluma

reta,

estreita,

azul-escura, de dezoito

nhas de comprimento, e capaz de aprumar-se. Verde-bronze

com

li-

lu-

na parte superior do corpo e na cauda. Mento

cilações acizentadas,

de côr cinza e terminação

violeta, garganta,

peito e parte central do

ventre revestem-se de penas sedosas, do mais puro roxo de amor-perfeito,

com

reflexos azuis; hipocondriais esverdeadas. Anais cinzentas,

terminando

em

verde.

Retrizes

quadradas,

iguais,

em

verde-garrafa,

extremidades brancas. Cinzento-perola nos lados do pescoço, e pinta branca atrás do ôlho. Patas anegradas.

O

pintada de côres vivas, não se desprende

ta,

É

Ametista é o único dos beija-flores brasileiros de cuja gargan-

visto

na,

nenhum

reflexo metálico.

somente nos lugaxes onde cresce a espécie arbórea de belado-

que no Brasil chamam de marianeira, tão notável pela elegância

das flores

como pelo perfume suave que

elas

— exalam

explica e isso

a preferência por ele dispensada aos sítios à beira dágua e às capoeiras

próximas da mata virgem, únicos pontos onde pululam as

varie-

dades dessa planta.

Seu vôo é bastante rápido, porém muito irregular; acelera-o, na-o mais lento ou

como em plano estacionário

Não cervical,

com

mesmo o detém

a súbitas.

tor-

Muitas vêzes, desliza

inclinado, contraindo as asas; sustenta-se e

mantém-se

afastá-las e agitá-las violentamente!

pena raro o Ametista pousa à menor sensação de mêdo; sua ordinariamente deitada, ergue-se então,

com

reflexos de ouro

anterior quando prata cintilarem na base, para retomar a posição e a atira ap pássaro, seguro, se inseto o já

que lhe passe ao alcance.

Encontra-se nas cercanias de Cantagalo e de Bananal. que,

em

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

tão raro

exemplares. dois cinco anos de pesquisas, só consegui obter

19

cm

É

11

12

13

14

SciELO 18


B. F.

MALAQUITA O. Serie eus

Comprimento, cinco polegadas e meia; metade corresponde às Bico subulado, preto e reto.

retrizes.

Uma

linha preta sai da comis-

em

sura das mandíbulas, alarga-se por baixo dos olhos, envolvendo-os parte, e acaba

reflexos

ao lado do pescoço. Frontais de côr verde-dourada, com

vermelho-cobre.

são compridas e sedosas)

(que

Dorso, coberturas alares e uropigiais

cobrem-se de bonito verde-dourado, emitin-

do lampejos alaranjados ou de amarelo puro, conforme a direção dos raios solares.

do nas

em

côr,

seis

Rêmiges anegradas. Retrizes bem escalonadas, dominanmedianas o prêto puro; bonita alvura nas

sua maior pureza, se derrama sobre tôda a

Esta

laterais.

plumagem

inferior.

Pés encarnados.

— Variedade Branco-pardacento. Verde-cinza, na plumagem § do mento e do

tral

As

peito.

bauínias de flores brancas e as espigas flamejantes das bana-

neirinhas-do-mato, flor,

cen-

ou

caetés,

atraem especialmente êste bonito

notável pela ondulação do vôo, que é

canto desagradável e agudo.

beija-

um

acompanhado por

Faz-se percebido de muito

longe,

seja

quando, de asas esticadas, parece deslizar no espaço, ou, juntando-as, se confia a seu próprio peso, seja ainda quando, suspenso diante

uma

flor, ostenta as

longas penas da cauda, cujo branco

de

visílustroso,

verdura sôbre fundo de o com o

vel apenas nesse instante, contrasta

qual se diria aplicado.

Embora

mo

as flores procuradas pelo Malaquita se

período, e as plantas que as

mostrem no mes-

produzem cubram grandes extensão

terreno, êle escolhe certas regiões,

e

'de

refugiar-se abandona para só as

outros mais perseguição de nas moitas espessas, onde espera escapar à pássaros mais corajosos, e

O

nem sempre tem

de

evitá-los.

em Bananal e Macaé, outubro; no em e córregos, setembro

longo das visto é ao

Malaquita, familiar

matas e à beira dos

sorte

ano, vive confinado na floresta virgem.

20

resto

do


B. F.

DE ORELHA

O. Auritus

Três polegadas e meia de comprimento. Bico prêto, subulado, mui-

pontudo.

to

verde-ouro, e

Verde-algo-dourado,

As

coberteiras.

tam quase

de

intensos

reflexos

as

de

vermelho-cobre,

retrizes

Rêmiges

esmeralda tirante a ouro.

frontais,

muito

uropigiais,

inteiramente

nas

compridas e

no

dorso,

e

sedosas,

pintam

se

de

Retrizes

violetas.

escamosa,

feição

manto ocul-

belo

verde-

iguais,

curtas,

de brancura marcante; nas quatro superiores, domina o prêto puro.

Olhos situados no centro de mancha prêta que desce para os lados

do pescoço, onde o azuhcerúleo colore penas largas e de aparência camosa.

Entre o prêto das auriculares e o branco nevoso de tôda a

parte inferior do corpo, há

na metade as quais

não raro

do comprimento

uma

faixa oblíqua, verde-ouro, que nasce

do bico e acaba ao nível das penas

inferior

se confunde.

— Variedade De

§

es-

total.

cerúleas,

com

Pés pretos.

Cauda Comprida. As

Manto completamente

retrizes

ocupam metade

verde-esmeralda,

com

re-

flexos alaranjados e dourados.

A

margem dos

rios

de parte da província de São Paulo é geral-

mente ornada com uma espécie de estramônio, de longas campânulas Durante o

pendentes, que ao cair da noite exalam cheiro delicioso.

miríades de insetozinhos enchem, o interior das corolas, e é para

dia,

apanhá-los que o B. F. de Orelha está sempre adejando diante delas. Este pássaro tem vôo ligeiro

mas

saltitante; estende e

cauda e pode

encolhe

al-

no espaço

ternadamente as

asas, abre a

ou

à vontade. Vítima da perseguição de outros beija-flô-

precipitar-se,

res e colibris,

para mais firme, foge dêles de vôo mais célere e

conder-se nas moitas mais espessas, grito

magoado.

para a

ficar estacionário

ou desaparecer no

Embora tenha corpo para

resistir,

ar,

soltando

falta-lhe

es-

um

coragem

luta.

Pássaro encantador, é muito visto nos meses de setembro e outubro; as regiões de

Macaé

Bananal contam o e

espécies ornitológicas mais interessantes.

21

suas entre igualmente


B. F.

DE LEQUE

O. Flabelliferus

Comprimento, duas polegadas e da

Penas

prêto.

em

escamiformes,

manto

coço,

e

nho-esverdeado,

nas

escuro

terminando

No

verde-puro

e

matizando-se

Nas

de

retrizes

em

com nas

roxo,

das

pes-

acobreados, Casta-

costas.

Violeta-

uropigiais.

escalonadas,

bico,

do

alto

reflexos

final

agudo,

do

volta

Cabeça,

ouro-polido.

no

Bico reto,

linhas.

da cabeça e

branco-enfumaçado

rêmiges.

em

alto

verde-brilhante,

tetrizes,

tom

de

faixa

e

do

fronte,

seis

castanho

purpúreo,

branco; verde-bronzeado uniforme, nas duas de cima.

mento e na garganta, penas compridas, com pêlos desunidos de tom

verdeceladônio e dourado fosco, erécteis. Auriculares escalonadas, gas,

em

lar-

verde-ouro puro, muito brilhante; lados do pescoço cobertos de

penas escalonadas, que oscilam entre duas linhas e

comprimento,

estreitas, espatuladas, extensíveis

uma

polegada de

reunidas e deitadas du-

rante o repouso, de côr verde-crê fosca, branca na extremidade. Gar-

ganta alva, tre,

em

em que

na parte

cada pena se matiza dê marrom, na origem. Ven-

central,

ruivo-enfumaçado,

com bordadura mais sombria

cada pena. Verde-crê nas hipocondriais, ruivo-acinzentado nas anais.

Linha de tom prêto veludoso, ao longo dos olhos.

Garganta peito: penas brancas, marginadas de castanho-escuro. e § Baixo ventre, ruivo. Retrizes bronzeadas, terminando em violeta e finalmente penas

O

em

branco fúlvido. Plumagem superior, verde-acobreada.

Sem

erécteis.

B. F. de

encontra-se

Leque é dos mais raros no

no cume das árvores mais

Brasil.

altas,

da

floresta para recaírem

virgens,

onde o atraem nume-

rosas eupatórias, cujos sarmentos flexíveis alcançam

lhos patriarcas

Nas matas

o cimo dêsses

sôbre o chão

em

ve-

longos e

floridos festões.

O bri-lo,

tamanho diminuto dêste pássaro

tornaria muito

difícil

desco-

denuncia não fôsse o sussurro que êle produz ao voar, e que o

de bem longe. Seu vôo é rápido e firme; sobe atê muito

quando de e

lá se

despenha produz

um

alto,

no

céu,

bala. semelhante ao da silvo

permaEnquanto executa essas evoluções, as penas de sua roupagem

necem

deitadas,

mas quando

leques largos dois a irritação o invade, os

22

10

11

12

13

1

ISciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


ouro. esmeralda lampejos de de e fulgem tons avançam, e abrem, se

A

penas longas fêmea, desprovida de

aspecto e o vôo de

um

cervicais,

de longe aparenta o

região Raríssimo na novo. Coleira, Beija-Flor de

dos para a orla Bananal. Desce mais visto na de de Macaé, torna-se bosques

em junho

e julho, e

em

capoeiras, pelas dispersa setembro se

de quantidade grande floresce onde então

hibiscos.

23

SciELO 18

19

20

21

22

í>3

24

25

26

27

28

29

30


DE

B. F.

SEIS-FILETES

O. Setiferus

Comprimento exteriores

cinco polegadas e oito linhas; as duas penas

total,

da cauda são as únicas a medir

três

polegadas e quatro

linhas; as duas seguintes, duas polegadas e cinco linhas. Estas quatro,

muito

estreitas,

pontudas,

em

cinzento-pardo,

com nervura média

bran-

co-prateada, são dominadas por duas outras mais largas, de treze linhas

de comprimento,

em

em

azul-negro, nervura branca; as outras,

de aço polido, são rudimentares. Bico prêto, subulado,

reto.

azul

Linha

branca por trás dos olhos. Frontais de aspecto escamoso, de côr verde-

esmeralda e ouro. Penas da cerviz e do pescoço, dorsais e

tetrizes, pin-

tadas de verde-crê rutilante; parte inferior das costas, atravessada por

uma banda

branca. Uropígio verde-dourado. Garganta, pescoço e peito

recobertos de penas à feição de escamas, de

um

verde muito brilhante

e dourado, passando por todos os matizes do verde-esmeraldino ao

verde-negro mais carregado. Estas penas se separam das abdominais

uma

de prêto puro por

cintura vermelho-cereja,

que

se

muda em

ala-

ranjado e limão. Lados brancos. Anais acinzentadas.

Cauda § co.

de aço polido, terminando

curta, bifurcada, côr

Garganta pouco brilhante;

em

em

bran-

prêto enfumaçado, a parte baixa do

corpo.

Notável pelos apêndices setáceos que a terminam, esta espécie da o é mais pela mobilidade de

côres.

O

Seis Filêtes ostenta

ain-

na gar-

ganta lampejos de esmeralda, ouro e jade, misturados, mas, conforme

menor

a posição do corpo, ganhando maior ou

intensidade; êste cede

àquele todo o espaço, para recuperá-lo por sua vez, ao mais leve mo-

vimento do pássaro.

Ao

levantam,

flor, se

um

voar, suas retrizes se aproximam,

rival

cume

o ataque, e

um

basta que a

elas se

ao formando afastam subitamente, da base

em

O

cume

se colocam

linha horizontal.

zumbido agudo ou,

chegada.

mão

uma

que apanhe, ou do caçador o

ângulo obtuso muito pronunciado, quando não

por assim dizer

O

mas

e,

ao adejar diante de

às vêzes,

a anunciam sonora lhe crepitação a

conizas, eupatórias das e florido das e

em

geral as

ocupadas espigas das mimosas e das marianeiras atraem legiões dêles,

24


durante o

quer

em

leirar-se

dia inteiro,

brigar

ou

quer

em

perseguir os insetos que aí enxameiam,

se divertir entre

na ponta de

um

si.

O

vencedor da luta vai empo-

raminho sêco ou à superfície de

um

corimbo

baixo penas cauda, que então se as da florido, sacudindo de alto a juntam.

Bananal Macaé, e o Habitante das regiões de primeira, na numeroso ano, seu abrigo está

Seis-Filêtes é

mais

sobretudo de agosto a outubro; no resto

na mata virgem.

25

do


B. F.

RUBI

O. Rubineus

Comprimento,

três polegadas.

do pescoço, manto,

com

Bico subulado, prêto. Cabeça, alto

coberteiras e uropigiais recobertos

reflexos de ouro.

Na

base da metade inferior do bico nascem pe-

nas longas, de aspecto escamoso, ou imbricadas, triângulo,

mim

de côr

de bonito verde

rosa-escura,

em

erécteis, dispostas

adquirindo tons mais intensos de car-

meio-colar peitoral cinpúrpura-arroxeada. Garganta branca e de

za-pérola.

Traço branco

Abdômen

lida.

e

Flancos de tonalidade verde-pá-

pós-ocular.

cinza-pardacentos.

anais

ostentando bifurcadas, zes vivamente

em

Rêmiges

violáceas,

retri-

em

baixo

cima verde-bronze,

roxo-pardacento. Pés pretos.

§

bem

Mesmas

tonalidades,

visível. Retrizes

O

sem o

rosa na garganta; traço pós-ocular

mais curtas.

principal característico

do Rubi

surgem da base do bico e que, avançando, formam com agudo, quando o pássaro é tomado de

O

ira

êle

um

jequitibá, a

ou de mêdo.

vê-lo.

Assim, quando zumbe no alto do couratari, ou

mais de cem pés de altura, e brinca entre os cachos odo-

dêsse gigante da floresta, cujos galhos pejados de flores pa-

recem recobertos de neve, o olhar tem grande dificuldade bri-lo,

um

mas ainda nessa elevação

faz

zangão volumoso a dois passos de

em

e se

distância.

acumulam no tôpo das montanhas, o Rubi

comum. Desce então para palham

dosséis

desco-

rumor tão agudo como o de

Quando, em dia quente e tempestuoso, espessos vapores

vam

ângulo

vôo, rápido e ruidoso, adverte-nos de sua presença muito antes

que possamos

ríferos

que

consiste nas penas róseas

as capoeiras e para as

se torna

se ele-

muito

campinas onde se

es-

de lantana rosa e de aurora, não os deixando nem mes-

mo

enquanto tiram vida tantos pássaros, sob torrentes de chuva que a a

êle,

apesar do seu tamanho diminuto, não é por elas afetado.

Esta

bonita

espécie

é

encontrada

desde

Buenos

Aires

o

até

Canadá, e some nesta última região ao se aproximar o inverno,

re-

gressando para anunciar as flores da primavera, logo que o sol recobra força para aquecer novamente a terra.

26

^SciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


DE COLEIRA

B. F.

O. Ornatus

Duas polegadas lado,

escarlate,

um

cando

Bico reto, subu-

linhas de comprimento.

e seis

terminando

em

preto.

verde-esmeralda cer-

Frontais

tufo de penas compridas, afiladas,

cor de

erécteis,

terra-

queimada. Cabeça, pescoço e manto, verde-enferrujado com reflexos branco puro. Uropígio roxo-avermeouro; parte baixa dorso, de do lhado; a parte inferior do pescoço e a garganta cobrem-se de penas verde-esmeraldina, tonalidade de

camiformes, polido.

Nas

partes laterais

do

em

lampejos de ouro

pescoço, penas escalonadas, cortadas

ângulo reto na extremidade, dispostas são brancas e terminam

com

em

tira verde-crê.

leque

Abdômen

em forma

em

laterais,

ze;

cinzento-pardo. Hi-

marrom

tôdas

em

ruivo.

Rêmiges de

verde-bronas superiores, duas de cunha;

terra-queimada puro,

brilhante,

em

penas

erécteis; estas e

pocondriais esverdeadas. Anais verdes, bordadas de côr violeta. Retrizes

es-

com

terminação negra

em

cima;

baixo. Pés róseos.

— Arruivado em Variedade §

frontais, borVerde-escuro nas baixo.

dadas de ruivo, sem tufo.

O

que penas dois leques de pelos B. F. de Coleira, assim chamado

lhe

ornam

sil.

A

as partes laterais

fêmea, especialmente,

mento, e se parece

com um

do

pescoço, é

menor o

máximo tem no

ortorrinco

Brado

comprilinhas de dezoito

grande zangão; como

pássaro não raro êste ruidoso, confunde-se muito

seu vôo é pesado e

com

quando

insetos,

altura. certa a

Tôdas

flores as

planta de pequenas

o atraem, mas

é visto principalmente sôbre

corolas verticiladas,

uma

que pela folhagem branca e

plantas lantanas Visita igualmente e verbáceas. tomentosa recorda as corimbíferas.

Sempre em

movimento, e vivendo geralmente em sociedade,

êstes

constantes; dois encantadores travam combates ou três se elepássaros

vam

perpendicularmente, muitas vêzes fora do alcance da

fadiga ou eriçando penas, até que a jando o bico e as o

vista,

mêdo

darde-

restaure

contendores. os a paz, separando

27

10

11

12

13

14

SciELO

18

19

20

21

22

23

24

.

25

26

27

28

29

30

31


ano inteiro, Coleira durante Encontra-se o B. F. de o Brasil.

maior, e também ímpeto Parece voar com

tempestade. anuncia intenso, quando o tempo ouvir permite tudo, que nos

uma

E

em

todo o

fazer barulho mais

nessa ocasião, sobre-

realmente extrasonora crepitação

pequenino. pássaro tão diria vir de não se ordinária, e que


-SISTEMÁTICO CRÍTICO ESTUDO TRATADOS DOS BEIJA -FLÔRES RT1LZ POR DESCOU POR Pinto de Olivério M. O.

O

nome do Dr. Théodore

Descourtilz é dos mais familiares aos

que entre nós se dedicam ao estudo das

como

aves,

uma

autor de

Ornitologie brêsilienne, obra notável antes de tudo pela magnificência

de suas estampas coloridas.

Não

obstante, impressiona

o

absoluto

si-

lêncio das fontes de consulta sôbre a personalidade dêsse distinto ob-

servador, que, segundo se infere das informações por êle próprio prestadas, antes

ma

de vir para o Brasil deve

ter sido

das Antilhas francesas, dedicando-se ao

médico

clínico

mesmo tempo

naturais e à pintura aplicada ao estudo dêsse

em

algu-

ciências às

ramo de conhecimentos.

Alfredo de Carvalho, a cuja opulenta brasiliana, conforme se conclui do consignado

em

sua inestimável "Biblioteca Exótico-Brasileira”, terão per-

tencido os manuscritos da obra que dá motivo a estas notas, diz-nos ter êle

chegado ao Rio de Janeiro em 1830,

não

ano

antes, portanto,

do

questão. Informação difícil de

ser acreditável

que no curto lapso de tempo

decorrido entre as duas datas pudesse o autor ter tido tempo para

var conhecimento

com

ocupar-se, e muito

in-

em

dicado na página de rosto da obra ser admitida, pôsto

um

tra-

tôdas as espécies ornitológicas de que vê-lo-emos

menos para

realizar as viagens

de que são prova as

muitas localidades de coleta de material por êle mencionadas no texto

de "Oiseaux-mouches orthorynques du Brésil”. Seja como

fôr,

parece

beija-flôres maior atração dúvida terem sido os a exercida sôbre fora de

Descourtilz pela nossa natureza, até aquêle

momento

circunscrita à então

apenas do extremo Rio exceção nordeste província do de Janeiro, com

da

Bananal referências a se rePaulo, suas freqüentes caso as de São

nome. lacionem com a atual cidade paulista dêsse

29


autor faz localidades a que Entre as demais o

menção ao

tratar

exemplares, procedência de seus da distribuição das suas espécies e da

onde particulariza na Serra dos Órgãos, as de maior altitude situam-se a fazenda do

em

Friburgo;

Morro

colônia de tarde da Queimado, sede mais

Nova

ocorre vale Paraíba, baixo, no do rio muito mais nível

demorando

Sul, Paraíba do mencionar Cantagalo e

norte de Cabo Macaé, ao marítima, como

Angra dos Reis), defronte da

as restantes

Frio, e Ilha

na orla

Grande

(atual

nome.

ilha dêsse

Planejando o seu trabalho, restringe-o Descourtilz aos beija-flôres

chamados Ortorrincos, com o que

por êle

exclui os

que possuem bico

bom número

longo e encurvado, deixando assim de parte

das espé-

inclusive mais nopercorrida, algumas das cies peculiares à área por êle

pela elegância das

táveis

zonas

nas

habitadas.

avantajado do porte e freqüência

formas,

Isso

pràticamente

são

pôsto,

contemplados

excenaquele quadro, sem incluídos da família todos os membros

região torprogressivo da desbravamento que o tuar algumas formas

Gouldomyia de como caso hoje, é o naram muito raras nos dias de nosso pertencera gabinete do (Temminck), cujo tipo ao langsdorffi

pri-

limites dentro dos talvez colecionado terá Rússia, que cônsul da o meiro

nosso que todavia o Lembre-se Rio Janeiro. cidade do de da própria autor não

em empenho, mesmo no

observações que fêz as suas já

na época ali

(1815)

e,

precedido haviam outros o

Delalande particularmente, (1816),

Wied Maximiliano de credidevemos quem a

uma

espécies, dúzia meia de

o

entre êles

príncipe

conhecidos de exemplares primeiros tar os

1818. 1816 e entre

Vieillot, por descritas tôdas quase

Sem

nenhuma

descobrir oportunidade de teve a

pois nova, espécie

muito tendo bibliográficos, e recursos parece, de que dispor, ao

é de não para comparação, museu material de alcance menos ao seu

Descourtilz haja admirar que

incorrido

em

ao enganos, seja alguns

de diverso (caso sexo indivíduos de diferentes espécies descrever como distinperfeitamente e-pécies confundindo glaucopis), seja Thalurania tas,

Anthracothorax e Melanotrochilus fuscus de caso como é o

M. nome "O. mesmo o

collis,

desenhos se respectivos sob cujos

como

do segundo, variedade do simples fôsse primeiro se o

nigri-

noir

,

qual, aliás,

descrição. a encontramos não

No

nomenclatura, respeita à que

mesmo

haver o de hipótese na

trabalho, seu ao publicação pronta dar logrado nosso autor

estavam seus nomes antigos. mais tros

A

em

cair fadados a

propósito, êste

todos os

oupor suplantados sinonímia,

convém

conque ao observar ainda

30

^SciELO

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30


enfeixa lineanas suas espécies, que às ferir denominações

uma

gênero,

em

preocupara vez não só se

num

único

mencionar o nome genérico

Orntsabreviatura talvez de inicial O., limitando-se usar a adotado, a

em

myia, muito

tempo. autores de seu voga entre os

Tudo levado em

Descourtilz sôbre os beijaconta, o trabalho de

flôres vale sobretudo

direito troquílidas de bico iconografia dos

no Rio de

encontradiços

ao

modo de

como

relativas observações pelas e, depois, Janeiro;

freqüentam, que lugares fisionomia dos a

espécies, vida das

dessa naparticularidades mais visitam, e preferência que flores de as tureza, tudo

vasado

em

linguagem não

poesia, raro cheia de

onde o

a nota predosempre é belo paixão pelo Natureza a e sentimento da

minante.

Mais

ampliando o raio de

tarde,

Descourtilz escolhido ter rece

panaturalísticas, suas excursões

como campo

então trabalho a preferido de

quase tôda, até então, inintercoberta de província do Espírito Santo, faina, mataria. Foi nessa rupta e densa

motivo bastante para ver per-

surpreendeu nome, a morte que o petuado o seu

em

de janeiro de 13

Museu ao serviços prestados nosso muitos anos de cabo de ao 1855, Fred. pela mão de naturalista-viajante como Nacional, onde ingressara diretor Burlamaque, então da Leopoldo C.

instituição.

LISTA SISTEMÁTICA DAS ESPECIES Melanotrochilus (Vieillot, 1817)

O O.

adulto desta espécie é descrito in-extensu sob o

ater”.

A

A

êle corresponde

também

a Pl. 2, "O.

M.

nome de

Noir, varieté”.

descrição abreviada, atribuída por Descourtilz ao

corresponde, pelo contrário, ao jovem,

bem

— "O. M. Noir

d'

(macho) da

espécie,

caracterizado pela presença de fer-

rugem (“roux-acajou”) nos lados da garganta.

A

“varieté tout noir”, referida na descrição, corresponde ao indivíduo ple-

namente adulto desta espécie de sexos semelhantes. Nota.

A

“Planche première”, a despeito da legenda (“O.

M. Noir”), nada

tem que ver com a espécie em questão, pois representa inconfundivelmente o macho do

beija-flor

Aphantochroa

Os

de peito denegrido, Antbracothorax

cirrochloris (Vieillot, 1818)

adultos de

ambos os sexos

— “Planche ne umbrosus”. A O. responde ao

d'

nigricollis nigricollis.

se

acham

4”, que

(macho) adulto desta

descritos pelo autor

em "O.M.

nome mesmo como tem o

Ter-

legenda, cor-

espécie.

31

cm

1

SciELO

18

19

20

21

22

23

24

25

26

21

28

.

29

30

31


Amazilia fimbriata tephrocephala (Vieillot, 1818)

O

d”

7” adulto desta espécie corresponde à "Planche e à des-

(macho)

crição in-extensu

— Cuivré

do “O.M.

O. Cupreus” de Descourtilz, nome sob

como “Var.

o qual aparece descrito também,

Lesson (

Amazilia versicolor brevirostris

à

Gorge Blanche”, o adulto de

à enquanto que, como “Var. 1829),

o jovem dêste último. Os desenhos destas duas supostas

Pailletes”, se encontra

variedades correspondem, respectivamente, às “Planches” 9 e 8,

como o indicam

as suas legendas.

Amazilia versicolor brevirostris (Lesson, 1829)

O

como acabamos de ver, se acha descrito em “O.M. Gorge Blanche”, ao passo que o jovem é tratado sob

adulto desta espécie,

como “Var. à o mesmo título, como “Var. Cuivré”,

Ambos

à Paillettes”.

9” desenhos, ao adulto correspondendo a “Planche

e

acham representados em

se

8”. a "Planche

ao jovem

Hylocharis cyanus cyanus (Vieillot, 1818)

Dêste

descrito e figurado

— Saphir O. P

buída à

descobrimento se

cujo

beija-flor,

(PI.

o

12)

Saphirinus”.

Em

d’’

em nada

Hylocharis sapphirina

Descrito

se

(macho) adulto,

inferiores

assemelham

bem com o nome de “O.M. Delalande,

às

A

as características atri-

branco-acinzentadas,

com

mistura

do sexo oposto.

com o nome de “O.M. Saphir-Emeraude

adulto da espécie.

acha-se

(Wied, 1832)

latirostris

figurado na “Planche 11”, tratando-se

não parece

a

compensação, são obscuras

(fêmea), cujas partes

irregular de verde,

deve

num

O. Coerulescens” e

e noutro caso de

um

d”

((macho)

suposta “Varieté” a que Descourtilz faz breve referência

ser outra coisa senão

o macho imaturo, pois à fêmea

que é brancacenta, como

indício de anil na garganta,

falta

qualquer

as restantes partes inferiores

do corpo.

Chlorostilbon aureoventris pucherani (Bourcier

O o

d*

(macho)

nome de “O. M.

dêste

beija-flor

— Emeraude

que o autor não reconheceu a diria

que “os dois sexos

se

vem

&

descrito

Mulsant, 1848)

e

figurado

(PI.

10)

com

O. Smaralgdinus”. “Pela descrição, verifica-se

P

(fêmea)

desta

espécie;

caso contrário não

assemelham, afora levíssimas diferenças”, pois a

verdade é que a fêmea difere gritantemente do sexo oposto, não só pela ausência

sem

completa de côres metálicas nas partes inferiores, que são cinzento-pardas, brilho,

como também

pelas rectrizes laterais, brancas na extremidade. Hell-

32

cm

1

10

11

12

13

14

SciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


Mus. Nat. (Field mayr

1929, p-

390),

de Rio designou fêmea), o rotulado como jovem Mus. (um macho

&

como

Janeiro

XII,

Ser.,

pucherani Trochilus restante do único cótipo Paris o de

no Museu examinar de Bourc

Hist.

Publ., Zool.

depois

subespécie. atual típica da localidade

(Gmelin) glauco pis Tbalurania

como

beija-flor, dêste sexos dois Descourtilz tratou dos

uma espécie "O.M. Hirondelle

assim é

particular;

Quanto à

— Gris

O.

descrita

descrito

foi

sob a

“O.M. de denominação

6”, igual sob “Planche na figurada Leucogaster” e O.

Anthracothorax

Não dá “Planche lère.

— O.M.

à Ventre

nome.

corresponde mas ela a descrição desta espécie,

Descourtilz a

5.

1817)

(Vieillot,

nigricollis

com o nome de

Planche na representado fielmente e

furcatus”

(fêmea), foi

iP

que o macho

fôsse qual se cada

Noir”, como

a

advertir, a proocasião de tivemos a já

(Vieillot). Melanotrocbilus juscus pósito de

Leucochloris albicollis

1818)

plumagem,

distinguir pela impossíveis de sexos beija-flor, de êste lindo

É

um

(Vieillot,

dos mais

perfeitamente descritos

M. denominação de “O. que lhe dá a

e figurados

(Pl.

13)

por

Descourtilz,

— Torquatus”. Hausse-col O.

Clytolaema rubricauda (Boddaert, 1783)

Em “O.M. de

um

Topaze

O. Granatinus” acham-se

na “Planche 3

e outro sexo; por sua vez,

presentado o

bem

descritos os adultos

O.M.

topaze” está re-

sexos dissemelhantes. adulto desta espécie, de (macho)

c?

Heliotbrix aurita auriculata (Nordmann, 1835)

Ao courtilz,

beija-flor

em

questão se referem nada menos de três desenhos de Des-

quais sejam os

16 e 17. 15,

das pranchas

Dêstes, o primeiro deve

desenvolvido, descreve incompletamente que autor corresponder ao macho o

como “O.M. fêmea sição

adulta,

Malachite descrita

-

O.

Sericeus”; o segundo,

como “O. M.

de ser simples variedade

Malachite, finalmente,

dêste;

como “O. M. à Oreilles características que com tôdas mente adulto, as aparece

(Boddaert, ametbystina Calliphlox

E m "O. M. dêste beija-flor,

— Rubis um

sem a menor dúvida, à

Varieté

o

Grivelé”,

terceiro,

O. Auritus”, ajusta-se ao

cuja

na supodescrição

macho

plena-

peculiares. são lhe

1783)

sexos dos adultos dois descrevem-se os rubineus” O.

trata de que entre os distribuição área de mais larga de

35


Descourtilz, visto que ocorre

dos Andes.

A

em

quase todo o continente sul-americano, a leste

22” “Planche representa o macho, com sofrível fidelidade;

porém, o desenho da fêmea, que

xiste,

aliás

difere

como

escudo purpurino na garganta, a cauda curta e antes truncada,

com

do sexo oposto muito mais

não só lhe

do que faz supor a brevíssima descrição, pois

ine-

falta

o refulgente

tem, afora diferença outras

de colorido,

marcadas de branco.

rectrizes pontas das as

Stephanoxis lalandi lalandi (Vieillot, 1818)

Ao macho

que o agudo topete nucal

adulto dêste magnífico beija-flor,

desenho correspondem descrição e torna inconfundível, a o

chamou

“O.M.

Descourtilz

— Améthyste

que do 14)

(Pl.

Améthystènus”. Faz como parte, O.

Delalande, por A. o descobertas no Rio de Janeiro tantas outras, das espécies

Auguste companheiro de conhecido

Lophornh magnificas

em

de Saint-Hilaire

sua viagem ao Brasil.

1817)

(Vieillot,

23”, “Planche com o nome de “O. M. Huppe-col”, Dá-nos a

do macho adulto dêste a

que

pertence.

de “O.

latino

A

beija-flor,

um

mais dos

omite qualquer

ferente, faltando-lhe de todo não só o

pescoço,

sem

falar

ornamentos da família

ricos

que ao supracitado acrescenta o nome

respectiva descrição,

ornatus”,

bom desenho

fêmea, que é muito

refrência à

topete

como

penachos

os

no colorido da plumagem, que de comum com

tem quase só oposto

laterais

a

di-

do

do sexo

garupa. faixa branca na verde das costas e a colorido o

mais curta, cauda muito Apresenta, além disso, a

com

ponta das

a

rectrizes

côr clara de ferrugem.

Lophornis chalybeus (Temminck, 1821)

“O.M.

Este é o creve

com

Flabellifère

O. Flabelliferus” de Descourtilz, que des-

satisfatória fidelidade tanto o

macho como

a

fêmea em estado adulto,

18” 19”. Embora representando o primeiro na “Planche e a segunda na "Pl. reproduzir brilhantes tonalidades de desenhos estejam muito longe de as êsses colorido que tornam esta beija-flôres, são êles

espécie minúscula

a

em

seu celebrado

Coloriées”.

(Temminck, 1821) langsdorffi langsdorffi

Dêste pequeno

bém

das mais belas entre os nossos

superiores aos estampados por Temminck

“Nouveau Recueil de Planches

Gouldomya

uma

colibri,

hoje extremamente raro nas coleções, dá-nos tam-

ambos os

Descourtilz a descrição e o desenho dos adultos de

denominação de “O. M. à

Six-Filets

— O.

Setiferus”.

O

sexos,

sob

desenho do macho,

20”, incontestàvelmente se vê na “Planche é muito superior ao de Temminck, que

que em

diz famosa obra não sua

21” che pelo nosso

ter

conhecido a fêmea, estampada na “Plan-

autor.

34

cm

1

10

11

12

13

14

SciELO

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


LISTA DAS

1

.

2

.

(Vieillot), adulto (sexos semelhantes)

Apbantochroa

5.

Tbalurania glauco pis (Gmelin), macho

6

Tbalurania glauco pis (Gmelin), fêmea

.

cirrocbloris (Vieillot), adulto

(sexos semelhantes)

7.

Amazilia tephrocepbala (Vieillot), macho

8

Amazilia versicolor brevirostris (Lesson), fêmea

.

.

11

.

12

.

Idem, imatura Cborostilhon aureoventris pucberani (Bourc. Hylocbaris sappbirina

latir ostris

& Muls.),

macho adulto

(Wied), macho adulto

Hylocbaris cyatius cyanus (Vieillot), macho adulto Leucochloris albicollis

14.

Stepbanoxis lalandi lalandi (Vieillot),

15.

Heliotbrix aurita auriculata (Nordmann), jovem

16.

H.

aurita auriculata

(Vieillot), adulto

(sexos semelhantes)

13.

macho adulto

(Nordmann), fêmea adulta

Heliotbrix aurita auriculata

(Nordmann), macho adulto (Temminck), macho adulto

18.

Lopbornis cbalybeus chalybeus

19.

ldem, fêmea

20.

Gouldomyia langsdorffi langsdorffi (Temminck), macho adulto

21

Idem, fêmea

22 /

Melanotrocbilus juscus

macho adulto

4.

y i7.

.

(Vieillot),

nigricollis

Clytolaema rubricauda (Boddaert), macho adulto

10

/

Anthracothorax

3.

9.

/

PRANCHAS POR ORDEM DE SEQÜÊNCIA

.

.

23.

(Boddaert), macho Callipbox amethystina

Lopbornis magnificus (Vieillot), macho

35



cm

i

10

11

12

13

SciELO 18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31



0 -M .

noiK









c

3

0-M TOPAZE, ,





tfflavicÁt //

0-M.

TXRMI



cm

i

10

11

12

13

14

SciELO 18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31

32






10

11

12

13

SciELQ U

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


(o*.

0-M.

A’

TE^TBS

GK1S.



cm

1

10

11

12

13

14

SciELO 18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31

32



©-M.

GVIVH



cm

1






— ‘

V

*

•!;

‘ -

.

7

1-

-

-

-

*

-

'

JW

-

Í*

:*

cm

l

2

3

7

8

9

10

11

12

13

SciELQ U

18

19

*

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


9

-

o>n. evxTRc V

droj’g'e

-

S/ancAe

.


10

11

12

13

SciELQ U

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


cm

10

11

12

13

14

SciELO

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31



C

^ /O.




10

11

12

13

SciELQ U

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31


ffi/anoÁ*

//.

SAfHIB-SMSlÂVSI. ©*M.




cm

1

10

11

12

13

SciELQ

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31



Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.