BEIJA- FLORES do BRASIL PINTADOS '
TH. Naturalista,
<
E
DESCRITOS
PELO DR.
DESCOURTILZ
Mtmbro da
“Société Linnéenne de Paris”,
Autor da Flora Medicinal das Antilhas
LIVRARIA SÃO JOSÉ RIO DE JANEIRO
1960
ACABOU-SE DE IMPRIMIR EM ABRIL DE 1960 NAS OFICINAS DE SEDEGRA SOCIEDADE EDI-
DE JANEIRO, COM LICENÇA DA BIBLIOTECA NACIONAL DO RIO DE JANEIRO, PARA LIVRARIA SÃO JOSÉ LTDA., RIO DE JANEIRO, COM CLICHÉS GRAVADOS DOS ORIGINAIS POR ATELIER ESTO-CLICHÉ S. A. E LATT-MAYER CLICHERIAS REUNIDAS S. A.
TORA
E GRAFICA LTDA., RIO
TIRAGEM UM MIL EXEMPLARES
TODOS NUMERADOS
EXEMPLAR
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TU 9SICOVRTILZ, N
aturaliste
,Memlre dela
Auteur de
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Société Linneeime
Paris, de
Flore Medicai e des Antilles
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INTR0BUC TI 0N
Sous un
ciei brill&nt
sem dune delumiere.au
et dim vievge quoique feconde iSature toujouvs au milieu airpur clvaróé du parfum des fleurs circulent avec la.,
et dor des rapidite de VecTsÈÍr des Oiseaux etiucelaus riches reflets des autres metaux auxquels se joionent tendre vou^e òeimiies les íes teintes qui cdlorent ,Le de lola du Rubis ,le rou^tí fouce du Grenat Vorau^Se plus oeVui intepaxe le vert ao-realil e de VEmeraude Saplur et sojeux cinte íaxur du. de la Mal a ljse plus ,
,
,
.
existent separes suv le plu-
violet de VAinetlryste le ínaoe des espe.ce s qui en emprunlenl leuv nom et pour cest former ces melau^jevit couleurs se lorsque ;
da óréabl es harnjomes que Vo?il admire mais que le rendre ímparfaitele saura.it qu pmceau. plus exerce ne delicatesse ajoute la ce si l’on menV luxe du pevmaòe .
A
de-l-a taille.
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des formes dracietises
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\ ivacite svelles et la :
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des mojuvemens
Vo n aura une escpiisse legere mais
des OisExux-MotjciniS
fidèle
ondtemps avant la decouverte du Nouveau -Monde Xj parles JLspagnols les babitans pr imiti fs de ces délicieuses contveés connaissaient et rechor eivai ent avec soin les Oiskaux-MouchIuS ils les povtaient en guise de pendans jdoreilles, en amulettes et avec les plumeá de la oorge. jls preparai ent des tableaux. dans les que Is les nuances meivigees avec gpút etaienl inaltc rabies et lu illanles du petit volume de ces oiFrwppes Se.aux les conquerans Euvopeens les eonsideranl a. pcine comme eó-Aiix en poids avec leurs plus foibleS mesures leur avaient impose le nom de Tomincxf les Brasiliens leur dou n ent en r aison de leurs Tnbitudes les noras de Bajüb-Flur Tãfja-MoJccu , C/iüpa.qui rendent pav fadem ent 1 ideé de ces éléTtor .
*
.
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,
gans Oiseaux
comme suspendus devant
et pavaissant les
caresser
leurs les f
.
Oi st.atjk-Mouchcs assez nombreux en espèces 1sont parti çuliers à VAmerique. mais VAfri que. et nous presenlenT Meridionale Asie leurs analogues.ee Xi es
sont les di verses triXus Nlellivore* de SouL-Juanacrf et de Ca-thieJ sur la plupart desquels s'eTendent les .
de 1’Ivis et le plus sou/Venf lc reflet dos substances métatliques depuis le ]aune puv deVOv ^usqtVau violet sornbve, de VA ciev bruni latailmoeuvs et> les le. sans doute la mème manière de vivre les r-appro Client encore, davantage des Ors.ces derniers seunadoptent pas EAUX-MOUCHE.S riclies
teintes
.
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de la Torride ils setendenV dans diverses contveés de T Amérique -IMord en Ceorôie en Cavolme. et même -a des latitudes o
leinent les
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scmt ou ils elevees corame Ie's messagers regardes phis des beaux jours puisquen effet ils disparaissent aux. Irimaís des et retour annonce que leur approches prinlemps lui &u
ce-
.
aueun líeu nest 11
du
renconTre on ou ne Bresil ou ils visiils liabitent car
OiSEAU^c-Moucii-ES téiit Tous les districts ou éclosent" les Êleurs ..üs les accompagnerit paraissent et dispaTaissent avec elles Sombres epais plus les plus Tes les bois íorels Les bords d.u Torrenu les /vallees proiondes rapide les de lbabitãlioii nans qui avoisinent enfiu les jaidxns une íaporlion. la eu parlage de ont cbacun 1’bomme ces mille de Oiseaux cliarmans des-
végetaux des ijors de Tinílorescence generale pies d.e suivre certains ces melbvores curieux. peut eíT Hcu/ncli des corolles ecarlates des BalLsitvá des aniespeces dautres CavniardínjU voir de quelques branches sarmens les íleuris des Eupatairad ,les mer d'albâ' et coupes CzdlraAMXj les des H eXtaclo.ftjeA des J j éléganles tre du majestueirx Ta/cuunay ; les clocbes ,et rivieres des cours du 1) atura/ pencheés sur le les corymbes des pendans de la cime Lú^thii Covuratcuri lorsque le el le enfin des arbres odorantes drappes entendre à, se couvreiit de leurs des myriades dbourdounei une hauteur irmnense taille esf souvent donl a Tced la OiSTlAPX-MouCHEiS et egale Hyménopteres peiue celle gros des a a ailes essaims Lépidopteres dont les de certa ms avec eux. tõurbillonnerít le
.
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diferences de légeres lexception quelques se tous Oxsumjx-Mouchxs bahiludes les dans les
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tessemblent caT Tbutes les especes paraissentvivre chx miei des íleurs devant lesquelles ces élégans passe-
longtemps comme suspendus tan disque leur langue très extensible est dardee jusquau fond de .Pourtarit corolle, la ce liest nile parfum quélles exreaux
resterit
mla.liqueur dou.ce quélles secretent qui attirent les Oiseaux-Mouches mais les lepions de ces O insectes qui viveriT du s uc des nectaires età leur Tour seTvenP de paturé aux plus petits des oiseaux ces babitudes qui e-ntrainent 1’ideé dela destruction etíacent une parti e du charme attaché à ces pretendus Mellivores regardes deTõuttemps comme rivaux des papillons dont ils ont dailleurs la legèreté TialeriU
.
.
Les Oiseaux-Mouche-s sonttbujours enmouvement ils sembleut conforme's umquement pour le vol, et ils Texecutent avec une telle xapidite que souventrl deles appercevoir le pas possible quoique laourdomiement quils font enlendre en volant armou eelece passage OuXre ux bruít parti culier produ.it par la vive trepidaÜOTL des ailes les ptUs petites espeees telles que le Happe Col el le Six -Fútil signalent leur riesT
urrivee subite par une crepiTation sonore semblable proportioiíis gardees aux accens eloignes de la trompette
Lxtremement coleres les diverses especes avec vent des individus dela-méme se poursuivent
souet
delaquacbnrnement en se- disputa nt ume tleur pres en. anime tout" vainqueur vient encore le elle se poser ceque vibrant latete et hexissant sonplumage jusqua paursuiri par un decouvert nouvel ennemi ü se trouve Les plus petits coultbur Oisílaux-Mouchils ã son Battent en montant perpendículairement a, de grandes
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eíliléleur contre 1'áuTre X>ec hauteurs en dardant Xuu luji íatióue Torce ou. crainte la jusquau Tnomenl oü la deux .Tous camère champions dobando-nner des la routes oppodes preunevit alors redes cendent et
sees
quune jusquace
un second cornbat
procure renconlie uouvetle
.
OistAnx-MouCHTLS
Lies ce sur
se
posenT de
préferen-
dun
elevees aubre. plus les Toranclies les qur celles constiTrvment sur ou dun buiSSorr et irwnotriles tiermeuü s*y de sorít privees teuilles .Tis accjuelques eu temps ternps íont eritendre de et en. xullement nest cens plainTiL dout la -mélodie
harmonie avec leur
Laus eaux
des A.mours ces
Ta saison appurient
s
parure. TorilVànTe
eT ils
s'eIoignent
.
oiscTiarvnans
delaupeu Tun
(
lorsquele tre
md
est construi!
ils
cXoisissentpour
dun
de rarnille au une Tnturcaliou le placer un "brin dela suspendent a ou -même le Imisson orrvme ils qui recouvre de TT) n’paille TXdbitaUon milieu
,
,
qu conte ction que el ques dans sa emploient
JL
icJurui
du duvets du CoConniu' Tncmaqir^vjou Faxnuro et du Apoeínt des Fiqiuad cãntonle qui dans croit -vegetal 1'espece de -vant taille la en Tapport avec nid quils TiaTnteut Ce diamêquete souvent arctiitecte plus na le de son ceu.deux conTient citron et de tiemispViêre dun tre de et emites .tólanes extr obtus deux. ís alonpes aux CarolinceCL
et les
,
de
cejtains
J
,
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la.
grosseur cLun pois
du couple individus des un Imcubatron. Pendant le loerreceie qui lieu du près sentinèlle reste en ses enTendre petite íllait iarmlle ceau de sa la .
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accens joyeuoc
qui changent de caractère, se pre-
eirdeviermeulJ conUnus doisquil approcíie lui craintes. de inspirer des il capaÜle umêtre quide aldrs son poste Arólfige jixs qu a toudierla caueSíroa son. la^poursuit lassure et se de Se regadoit. il pluce tíne. sa-Tmême sélance sur les petitS insectes qui passenfa ^aportee. cipiteiit
j
pourvus au plus IrauT dégré dela iac.nl ré Quoique duvòl les Oiseaux Mouchüs rieu sont pas moim expodangers auxquels a des ils neclaappeutpas toujours. Ses dautant ont des erraemis plus redouTables qu’eux ne. lis aucunç, pour possèdenT arme se défendre Un serpent et qui nom cormü sous grimpe de le Cipo filiforme .
emeraude ou a-zureé le empare s la voe du feuillaóe. au milieu des a derobe si Oiseaux les une ces saisít et euxcnréine Ceufs de en eloióne ctenTrde neles prompte fu Beaucoup
sa arbres ou. couleiLr les
.
Araclmides soyeux des eux y trouvent une mori inevitalile en cé que sy precipipiem vol ils nt de sont enveloppes aussíToC ta et y mais leplus cruel de leurs tyrans est la_ Saisis Araignee enorme et hideuse JfLUCjalts Aviculciut/ qui 'vietrmes nuit ses dela el surprend faveur à la les iuimole lorsque le sommeil les lur livre Sans moyens dè défense arretes dans les
fíleüs
.
.
superieur est plumage des Oisnxux-MoTTCHns Xje toutes cette se lesmgenral ve couleur charge erv ri de .
ances imagiriabies en passant par les teintes vert-aigue, emeraude malactitê cuivre rosette, tronze xert laouteivert-noir lle enfin mais glacé lorsquuurayou lumiet obliquement de inetalUques reflets oeux le frapçe clrangeans .Les plurnes guttu rates seules difièrent. .
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especes selou les
leurs et teintes toujours vives et constantes -fourrrissent aussi le meiltéur moyen de dénormnoer des ;
.
grande pro-famiíle des Oisilatj^-Motjche-s La prement dits a des limites Çixees par lo. nature même eX mal^irè. la Science qui a trouvé nécessaixe deles diviser.les CoiübrLé,v\ílongloec en. ave eX les OrthorhynqueJ ax hec droit tendenX a se xapprocher .11. existe en e££et des chainons intexmédiaires entre ces deux Genres plusieurs especes pouvanT índiflevemmenX appaxtenir àlun ou à TouTre .Les Oiseaüx-Mouchi.s qui nous occupent spécialemenX oritleloec droit ét aigú ou àvoiXeX deprime ala base, droit cilindrique oXtus, enlin droit a la loas e et íailol evneut arque àlexou tremité Ces caracteres qui suHiraienf pour qualiíierles especes sonX en y jorgnant ceux tires des nuances dela gorge les loases de àivisions que nous avoris adoptes 3
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R.i.
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M NOIR 0
aler
long de quatíe pouces efdemi ailes depassanTla queue .Bec cilindrique noirun peu. courbé .TSTe eTdessus du corps noir ã xeílets -verrdoré .Mantéau et uropygiáles .
dun vert sombxe cbaque plume bordeé Or-^erdátre à Couvertúres alaires vertr dore .Bemíges violettes .Dessous du corps "noir maf. uu duvétblanc fémoraL Bectrices eaTrees.les devre Ynoyennes diin •noir reíl eTánt le verT erlevioldr les latèrales dnn blanc pur ternvinees par vne bande. noire à reíleVs d'ac.ier Cuisses etquélqnes bypocondriales blanches .Tieds noirs .
1
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<?
mmes Teintés
."Bnccales etdulaiies
roux-acajou ,les quatre rectrices noixes fces à retlets pourpres.
ino-^en-
Var? toutnoir /RecTrices des piécédcns.
paT
la.
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qui de,s se rapproche Oiseaox Ce\ bec plus de son la est sans contxedit couxbure légere gxosse espece du Genre l\.épa.x\da d-ans Tcmt leSrésil suivaní lialoilé part-el comraun nulle Tines!" cependant Ca/omvá les Yorèts oü les saisons les BeuTrissent Vierdes et" celles nVâjesprincipaJemenl ou eT les lãaracjrciytí le Colibris
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se coirvre de ses eoupes odorantes Xes l>ord* des üois le possèdenT à leur touv pendantles mois de septenibre et" de aovembrt dès que 1 es champs oü croissent les KxtfriLcJ senvblent Se vétir dliane draperie de fleu-TS cslTaccet" il Oiseau estrapide mais comme vol de Tuevvx.
TaJaumti,
.
.
Le
compagné
dun mouvement dondulation
lorsquil darde sa. coit' de íort loin
eTCecuté Surtõút' corolles on lapper-
langue au íondL des qu en ce cLautarvt plu.S ,
moment
etTrappvoche alternativernent les plumes de quil releve en oulre à Tinstav du TrogloíytZ d Lurope
il
qucuç, sa
étãle
Si quitte la .
Surpris ove eífra^e par un oTojef quelconque. il fleur qui TaltiraiT il eleve alors perpendiculairement elTSe rnaintie-nt e.n -place par une vive trépidation des ades e-nfin ou Tassuvé ou epouvarité il se "precipite aVdun ec la Tapiditfc trait eT va. plus loin recommencer quil larnême manceuxre accompagne dun cri continuei. dvc distriVt Cette espece se rencontre dans les Torêts du Bananal (SaõTcdro dAiccwtàraJ elle. esVplus rare dans celui du X/lacatré ou en revanclie le^ Topcuo est excessiVemenl'' covnmun .
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M TOPAZE
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Granatinus.
de quatre peucçs demi ét long Bec cilrncbidroiT Tewflé .phames TexlreTnãte cpe etai^u- a à'Or refUTs. ecailleuses verTpur frorvtales à posC eno ir élToeil .trair che entrele bec vme tá .
ocuLaire blanc
.Dos rnanleau
el
couvertures
Bore.GvilaT.Tes. vert-cuivre-rosétté alaires
noirâtrss
Bordees deBrunpule .gntturáles
ÇormantT vm e plaque tri angulaicJranóeanf dore. íonce en ie carmrn. orange et" vert Gerge- ef poiTrine emerauàe-dore ecaill e\LS es
de vertgris de Brülanl. ventre varie ef terne cuisses et' duvet £ émOral Blanc S. Arraies vert- dore Bordees derouxDemiges noír violet.Bectrices arrondies de Covil eur acajou "borde es et terrnineés de deu*. vertbronré. superieuresbromees, dessons toutle sans da Corps fauve, Ç dorge diangearite; dessus veif emeraude. .
On rencontre
ce raa^niíãqu.e- Oisea-u a
l-j.
bois des lisiêre
Vierges tu rnílieu des cBamps de malvacees des Genres
Ket-
qui inondent les ‘ànciens deÇrichis oti T\oçaS él les rejets de Bois Tb-uílras mais peu eleves que, leS Srasiliens tme, tT Sida.
nomm enf
Cupauxai ll semble attiré par ces vegetaux et par Vinfloresdes so^euses Iric/aí Svuu-i/ii suit il en lês Bouppes
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cence il
canTòn eu de cantou.
de JuiUef à Octbbre
.
Terrvps
ou
commun. par remarquable Topaie sou
est très
bruyarit ét vol rapide Le gontiquil íuiT entendre conUnuellemeuT uri cri parti culier ce grave, plus éturir posé rrae, rnême mais sur ua rytbme precaumulórela le cbunf morrotcme íaítuisernenT decouvrir Çourrés tion quil prend de- se cacber sein des aulres d permêt-pas que Jaloux a Terces ,leTopaie ne leur .il adopte sejour visiter Oiseaux. vierment quil a le
m
de souíhir
óuerre. opiniâTre eV ne sa-uraiT aretraiquilte il ses toujours mouvemcnV en ta ce il eSTalors dun. SomrndT du exposé jour Vrauquilles au ala chaleur tés lesbarprecipite eux sur se passage buisson il epieleur
livre
une
par-
,
.
ou que
les quil aiT jusqua ce cele Tes combát' £orcé de Soit vu cêdef lui méme. se demoutágues depuis la clrarne ónCre Cette espèce sem élle Saí. do SarahtjbcL nommeé Serrcü daê Orçjcúj jusqua la jouv teldu Sernble pluS abondauté a de certãines beures soir du trois de que du de sepf neuí matiu à et les disposele ub ardeut soleil quaud un jusqua la rmit surto téraps a un Orageu.it fait" 1
-
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M
O
0
.
TEjKNEj Timbro sus
.
long de quatre pouces
dewi et" -Bee cümdnque anpeu co-urbè à lcxtrè-mite no ir pãle .
Trontales grisâtre*, 3 centre plus fcmcé. êle, dos T tnanteau UTOpygiales €C corrvirr-
ü&ires
dxm
verf sorribre
à reflefsde'
cuivre pea. apparens Buccales gutturalesetpectbrales ècailleuses gris vert írayigees de ;
gris
pur
glaceés de vert doré Abdominales et erurales blmches .Remiges violéttes.le. .
.
tu^au. de la 'premiere dilate' 3 sa partie moyenne .Rectrices carreés.les deux superieures veirbouteiUe, les late rale 5 norr violace .TiaiT postr-oculaireRlanc
9
OT e gTiveleé sana glacia deve-rf-or á 8
ptumage Un Somlore ou les reflets mètaTbiqrxes sout peine premem c és Hit peu. qui à remarquer ce, Hèllivofe s. d'aiHeuxs te ctiant etlevol de T O 1/L- Hirondelle ces tapdeux Tnauraient des en^age à un rapprocbetnenT pcrrTs .
m'eussenV empeces si des observataons norabreuses ne re-neoYiTrer les deux sêxes de celle qui nous occtxpe
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^yec une ioule Oií.eau-MondieTeme "habite de Xj par plantes de dont quelques pieds foxêts fòccndrutrf les tes suceedant ont aramen rivieres se des ]es sauvades lelpng petiü
in5.cc-
.
Tl imineiise une svxface de terram quilte rs ne qu.il rapidité -milieu quinconçes avec au. dc leu dont violeis jamais, caressantTõu.r a tbur les gros Toourgeons desmasdemi TecovcvrenT pTotègent et ecailles epaisses les a semblerait de et” miei .11 de "humides roseé ses fleurs de
ellernent envahi
.
circule
eííçV en ne mais demière liqueur nourrir celte se de des site les £leurcms qui la distillenl que pour semparer etüa frequenvment qu'élle se petits insectes ittire pose Tl relisílence le i-ntexrompt un chant Çoft et continuei qui -jamais nest et onibrages gieux qui rêóne Sous ces epais salincçs íeuilles troublé que par le froissemenl deslongues agiqui alors oxages, et vent des parle divisees en lanieres "vi-
.
tees
moHement pat
le-
des le bruil imitent zéphyx
eut dans mer oign em eT "P
ilots
dum
.
des tige extra ordinaire la developpement de Le replus est d’autãnt cette permes de espèce alaares éres
pvevni-
duLrésil Oi^eaux-Mouches les detous que marqualole par serapproche presente, eHe qui le elle estia seule Ca^eraie 1'0 de -aLargesTujaux cette Sinoularité de mais MacaJiè cet Oiseau rencontre nu jamais ri Je ai (P^cuid-tiaJ. et districts du dans les est abondant assez, il tõute1’annee ol> erve Y s ovu on 'JlhcL-jjrcui d ájíJ ,
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poucos üoe el Jomi .1 e Iojjo Trovdides couvbonon*. ciKndrique un pcu tnvAtvc
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^illeiEses ee
dunbleu
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bnllvmt Cervir .
rt en ve indióo cliániõeíuit o £:
cdos blou. dÍTccljun suivant \x uoir cf semVbmí \mt ci vevt nvdAclúttí, corps du jour Dessus du imbrique enfcicv i\c5Sous du corps en le dor. verf emeraude vcflo.ts do p lumes a suv
loc-
.
noir-violeV VVo.imôes c?
Pourctrices três .T\ c
liõncs.d lonoues do vinõt-doux. chues o o o duvoV Ide u indiõo vif.im femoriiàliun pUV duil OTltÍATÍl‘ bl-AUC .
ri oures tornes oí supe jdus ieinVês ç du corps cuivrees lo. do ssous Comine umes se e oYlleuscs espAcees mees pi •A .
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.
question nnpvmite
de noin son
ÍVesyeee de sos uueuo fonvchue luimueut 1 -atóo et l*a formos ses sa comEmqiu jilcã Va TApprochenV de ce.s íntevessvvns Oise-Atix •a.aak dans tovate lTLu/vupe Tocaux les vtryades vmivcnr ••a.yo.c YU’.$ et rigueurs des e Ivyvets vont jouys fuyant les comiu 1c proscril dbvAndomvATil Va Verve tjtii Va vu íviitrc TccVarnor ilovit
est ici
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Sous un lulrt cT
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la liberte tous los tevnps
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ef díns tous les lio ux on r encontre 1’O.M Hirondelle los Torets sombres le reçoivent lorsque lo soleil dardo ses rayons brulans il lo mil dansles Cupuantí quand colles-ci s ont couvertes do la rosoe dn matin ,et trouve une tvaichéuT constante sons los ombrades deliavordiryantos panaclies Sons los domes lies formos par les .
,
des fóambous TiíquonviSh qm aimoncent lo passado dos rivières tout on inasquant lotir cours S eniMulde a leclair ont il lo brillant sonnnites a d quelquefois il selance des fleurje.s des SuonnJ plonde dans les alrymes -el reparait diL imlieu des CtfWj entrelaces qui les recouvrent avant"que .
.
'
,
.
le tmt quil désirait juger atteindrc pú Le vòl de VO Í/I H deli e est rápido et il sem Ide que la facilite, avec laquelle il Vexecute Ivvi donue le sentiment de sa Surete parto ut ou paraitrait de.voiv cxister le dvmger il s’a^ Yance près du. chisseur voltige ã quelques poucos de sou quil arme se rassure ét sVloióne aussi precipitamnienf sVn etait approclie On Ir ouve cette espèce toute Varmeé quotque olle soilplüs abondante d’aoúl a n overnbre tevnps oü les individns sout point appanes ne 1’oeil
ait
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mm
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A VEiNTKEi M
0
GRIS
*
0 Leucogaster
.
long depois couces -hu.it lígnes.Bec aliadnque mi pcu courhé .noir .Dessus de la t"êté cou dos -mahteau e^croupion veTrdorétrès lorilHnr. Couvertures al-aires
vert cuivré, quelquefois
l es
plutnes
aerou^. Goxge poiTVi-ne alídoer -anales d'-u. n gxis cenàre um.
loordees -naen
quélqufis Vrypocondriales verT-doré
TWimges
Icleu violer .Kecfrices coux-
tes.lé^êxemenr fo-urctrues ,les deuv Supexieuxes vexf indico .les larérdes lwdl £° pur terminees dc gxis-ToW. toutes dunt couleur cLVcier bruni
en.
dessous
.
CeV OiSea-u lepVas repandu, au. ^résil se tr ouve presq-ae tcrdtc lVrniée dans les CupuuraJ .souvent" dans es Torêts "Vi etT con stãmm enT dans les jardins dès les erg que les Orangers ét les Catronniers sonTen iníloTesceiice A. cétíre époque il y arrive par essarms éJrscmbour dorna em ent se íait entendre à une glande distunce. .
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pxécédens il se pose scmverit son pioximxté de Taxdjusdela 'ma.in. Tlvonrme ef-place à son vol il suil-paTÍois dans que dans sou laaJaitãlio». placees Vara/u&xl jour xapide les pentes des ou galexies a étr devsmt les xnaisons il y plon^e sur les ch o\j exon s merne sur les pétits axaclmides qull viervt enlever du, Çilets xnilieu deleuys pxoie, Toujours en mouvemenT soit poux diexcbex pou-T ou se déíendxe ceT l’enest soir attaquei Oiseau nemi declare des óxosses espèces du Grervre eTmême de qui lui sonfbien supèrieucelles des autres iaxnilles s élanc cbaque par laüle .11 sepercTxe. ã instante res la conTentr sur sou adversaixe, le comlat",le met" eu fuite, poser iu mêalOTS de «sa vicio ire il Tevieuf aussitót' se encore plus coníi aml queles .
m
;
.
,darvibraaVTe la tête Tnérissees xne endToit" ,les pTumes a suf. pxetr íl etait et comme s danT xetvraut sa langue
Colère. de foquer
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CUIVREj
•
.
Cuprceus.
de trois pouces flec leóevenienX lonó
arque,
derm loec Superieur noir.Tinferiexir noir d-Mis Son tiers terrnmal j-Aune paille daits le veste
dun vert écaiUeuses rowx ."WvmVeaii Tvontaile.s dti$ croupum el couvertíires alaires dunljeau vert cu.iv ve
vi
çorps revêtu. de plumes ecullew5.es gue.-niayin
glace dor e
flanes vert Sale s-Átvcs
,
cl
vert-ai»
liserees de cendré
es õnala dom inales ct a mil
Remires C?
.
du
Aessous .Toutle reflets
violeltes TPdctrices vevllivoh-
deôris dessus les latér*te.s Terminees on zé cnXièrement dun vert vioivatie en dessous. (
Vat
ÇovacSlancho. parti es latérales’ du cciu
a
vert emeraude glacé debleu et à’0r. milieiu
du cou dela gorot' dela ,
poitríne
et du. ventre
dim bl.UK de neige V»v.
à
Saillct/pJ
blancs. púitrivie gorge e\
]es pliimes terminees ventre, vert janne •aiulet*
^
javdms es li ou
doyé
de vert enieraude. ch-xiyue
ptnme
fv-
IxvoenumT de Tilanc-OrisÁliiv c O
les plus
rappvochés
tl.es
liubilvditms
.
ceux
Rerceaux d '-AzcdamjJv dontr los Vlouvs enllvyrtvnt et couteurs du S« parluin les dl.urope sonh le Lnlas fimhimelteinenl lvabit eS p-xr VO-M Cuvvré -asso/, distiug-uedc celui -a Vordrc Gris pour S-ovmev voe ospòec cu eííet une ctnrit tínlle inomdre/ des reíleís metallxques en dessous etun %’elevenT' des
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de celui cn qvu il trouvé aigu sufCiseut pour Visoler son plus cruel ennemt quoique les deux especes recherchent tes mêiues vegétaux comine les Cib-idcái les Lcièieci le CardioJptnruim- lepaudant lodeur cLu reséda, ct en oèWral secrelaut alumdant? tvne liquéur ímèllexise toUtesl.es fleurs Comimin dans la proviu ce de San-$aiilo rO-M-Cuivre. presesf plus vire au Macahc ui est souvení place. Son d que dan$ Tiuterièur des maisons des AjoupaJ recouverls eu Çeuilles de "Poluviers ou Tljoirrme cheTchaut rui abri coritrc visite cliardim reçoit piai sir cliãleuY avec la la du jtfur uvauI Viôte qtiil neffrjne point et qui vieut ave o confixnçe paxtager son asyle. plus
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M ILMERAXJDE 0
•
Sniaralpdin-us o
de trois pouces TrotsligneS ,15 ec ]<mg droit deprime X sx base T onde - cliair foncé .íaoir àYoxtrernite .T.out le penvwjje
Mvperieur.même iinbmjuccí
ccrvi cales
le.s
et -Xrrorulieil
dtlTt
Vert
ío>*
doíft \reS
quelquefois a reflets de cuivvtí. «TptlcTora» Gttlaires.^tdUuraleS íosetíe
brillarit
,
ròduh òrement imbricjuees ardor rondies, vert-aigue ipavme ã refleti entier dun "bruni etiiicelans ."Ventre en Cr urdes émeraudç et dore duveb ver! tres les
,
An
ales "Vevl'iteióe de blanc Séinoral Vronvãt "Remióes Tnalaclrite presque .
.larges courtes RocVviccs let S ombro ineavmts indigu {ourchu.es ,151 eu. .Tieds
uniqúemC ettiv cli-AriiVAvdo espòco se rencontre et cVie-mins Sorti enl suv les buis sons qui bordenl o s Soleil. Ate arAeuv plus la forte poses X parconséquent ex sVlanee pose; se vn.ottveinenl il ev\ toujours presqwe lenvAldro et dinie dito et le baile bruit avec la ra pi tovsr VA-poilrim* lumes de Aos AirvAiro claV exlr-Aor p ]
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•ipeine le frappe Viumnewc les il derme temps de Tapercevoir, il passe éblimil et dispara.it une d esl perche Vextréniite Tltmieraude T ots que à sateto branche morte sim corps est immohile.nvais perpetuei laalance les etat d^itation .11 est clans un pennes de sa queue ]es cparunriT en laróe áventail monotone r et f-3.it enlondre sans inte r upTi on un chaut du.lrocelui atile un f voulement particulier Semljl à dlodyte de ívan c e sêxes Contre Vordinaive des Oiseaux les deux decuuCeres differenees à de lé ress eiribl cnt três se plus intenleurs près plus faibles chevi la fenielle sos cliev, le mâle. du distri dT vonieiit le Cef oíseaix habite exclusi <,’y riutt es, du mim tire les grandes ^õanctrujíi il suv celui d’Aout de mois à Jairviev quivn r-ayon
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SAPHIR-TMEíRATJDEj 0 C cerulescens •
loiiii ile
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truií piHictjS et JU-mi
ec .Td
laróo.
mor dele
à J-A base. iucArnAt termine du .nvAuto-.m sujjevieure cou et VAvlie pv^ji-Áles .Uro Cect rjces verl 1.0 eu bri]V<\nt «te
vicdello* Gul-xives marrou refletis metalcVw/ur ólacè de tes Liou ré chanyeuut verl" do et cm emeliques Collxivif.
.
1-Alcr-Ãles.Veutre los p-Ai-ties sur r-Au.dc' verl- bl eu
.CruraLes blan e/h es Anal o d'violcrUesiRculricss .TrxomiOes vif un voux Supecoin.les <ú*ux poiv ou l*r»*.e* tm lat nvAiTon viololles ,les «rales ri oures CoiitlormLèvo de toulos coito femeè roses. on dossous Pieds leuv Coul o.viv suv te penmóe ui o c Yav $upérietu\e pou de bteu a la ôovóe. Cotte ,
.
,
m
temte
verl do e-.vuxowp retíeis
offro 1.» riVAviue ai£ue
Atictme
itiv «tu,
.
Analos m»ir*lre$
.
tive Ge
Orthonjm/uc u*o£fjv* plvim-Ade qussr $\u»e.<?ptifolo 'x v-Aviur que relleei i deu\ miividus point quil esC 1-A.Te derreti coiit ror es»pêce, du.
.
Soul ces VAvietes *ai1 e n eiiT 1 par seirvkilal.)les peul-dlve elles produilos par T-Àge el -Alors leS teinteí w/.uveès preit drai orít datitant pltxs diuteiis jlé q\ie YOiseatJU .
.
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devienciraiV plus
adulle onòU»m-ps do1 Soupyoivné tlci decrite Jai Yespôce ire la f emoli.e du SapTrir. cl eo ricst quaprès avoiv receuilli les deux Sexos de chaoAxne que. jai aban dorme celte idee Pourtanl en .considéraut la grande T temlance qu’a le plum^c à A arier il ire st pas impossible/ que les deux Tacos se croisenf quelqueíoís Mais rnalgrê t o us ces rapports avecle Saphiv eelui qiu iiuus o ocupe í’en éloi£ne par le vevt brillant lat d\iigueparties érales de la des gov£e et un reflel poijSlissant la sur la Irvree azur qyri decore marine oÇVronl les .Dans les deux Ueclriees trine sèxes les et loul 1'oiseau cest de le yd uni age de mejiies teintes seule pavlie du reste jc crois la qui no cirande puS. les et le vol nueurs des deux espèees so ressemWe.
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nt.
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on les reiicontre dans rnême temps
les inêines lieux el
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OM- SAPHIR. O
Saphirhrus
•
poucos lonô détrois e ot très la rd
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cl.
domi .Bec plane mie incarmt
l.»ase,ro sa
termine de no ir rlumes
frontal eá
.
"I
ou 5 cs dxvn
tal
ecvúl-
av.uv Imllant glace
e u.
dor.
eu Ires íoncé Dorsales vert qiuis .Vropvdiales ãreflets etaVh uivre c rosette. .Uuccales Manches, de tevnnnees dav.ur Guttvurales el pectddxm et rop eu pxxv tarillaviV tal X rales Ventre d’ brunis. et O r davóerit et lets crises. 1WAnale.s flanes verV funce ohlaròos llcdvices Tniòes violeltes t C' noirs. rieds tixses lileu daciev brum vertes bordees de ôns (i frontal os Guttxvrales hleuàlre ul Aires óris 1 es <5 o o r de trangees clair et pectovales av.uv vert-tal le-ctrides et
m
.
.
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.
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.
Mane
L
iiu intenso, Meu e ceux que et rplus eclalans ãapínr ne stmt pas plus purs cdte de dorõe la de, la teTe el le. devant toul qui col orent de ümjours une e.spèce li es rtvons du Soleil fra\.)penl rapuleparti que 1’oiseau ces es ,-soit dans le vol suive Suit mont ii n des senli ers tortue.ux dela l orêt, que liercho
tlu temlre. ciei
,
eelixi ].)lus
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etta seche proj nfuu X 1 extrêmite de quelqUe Ijr-Anehe se Tmlieu dixn cTieniiii il •altende on silence le pass-age dun ,
ennemi poar le comb-attre
pour ou dun .insecte
$'en
empar er en Cet Oiseiu adopte un canto n civil «jemlile vivre Socielé ptus mu moins n onibreuse .Les individus qui Ta composent se powrsuivent dès quils se rencontrent sans que Ta liaine p ar ai sse exciter cette espece de jeti qui est execute avec une extreme r&pidité.
Les sanuem des fPcLlíifloreA t les fleuirs de fn/jcnw qui répandent au l.oin Ve p-arPwin du jasmin celles de ,
<z
,
ScUclepLuA de Clu'clcclo et
de quelques cchiteS
altirent le
S aphir qui recherclre -ainsiles plantes Apocine.es poiqui sons violens pourYhonime et les Aninvaux, mais ne nuisent en rien \ ces élégans Oiseoux Quoiquele Saphir Soit rore, onle trouve de T/L -ar s X. lieux ^ianxum/y secs etuéres du Novembre dansles Son elvant qui consiste très et
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perçans
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,le fa.it
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mune
suite dfaccens
aisement
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pTairitiÇs
dxícouvvir.
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M HAUS
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C OL
0 Tor quatu s •
.
de tvois pouces neuE li^ne-s Lo. demvlae.c Supervpur noiv .Virferieur jaune dans leí deuxtiers do son etendne. ,woiv ã smi
5 ono
CXTrenute oles
.'Fête.,
dunbem
cou nvmteau ,
vevt d ore
einevaude bovdees de pecTorãles
dim
Hmc
elr
rviopv^i-
Gutairo» vevV-
GuTluvates et TTne lavóe ceín-
talanc
pur
tme deptumes
nvibviquees d\m vevt macouvve lelvxut diu à dor lachite reflets ventre eu forme de qilastron ou. croissant
dont ta coneavVte veóarile Jatête Times c?_ vert et de t.ilanc- .mVlieu du varies de ventre f emovil es ,et anates d’u n til-.vn c pur noirvxolél ioróueuv des lteimóes de la t> £> »
,
couvtes te.s vert-lxronae tes
rectrice.s, cetles-ci éóate.s et
iteux superieures
dum
,
,
noir puv â re fieis Gaeuyv livtevimnees de lutanc
late vales
Um
,
.
Connmme. dans le district du. cJôcrrn - Quem ado, imi5 rave díms celui oLu Shcauuuií cette espèce se fait nmms ses de reuvAvquer pav Teleõance ses íovmes et Vedai". de Couteura que par son extreme Confiança XrU vuc delTio rmne ne Teífraie puYlemenV.dle vienT pouv ywnsi dãve se du suv íusil CTvasseuv poser te ,
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Dtm
nràTutel piei fique
cet oi«,enu
caresse les íleurs SW5 poxvrsuivre les nonibreux vivinx quelles lui •Atlirenf qxvi et généreu.* sou egircL clvassent Síms le moins i *ie piTíe, sins cilindre Ses o-yens de defende consistenT que.n i,m vol Tipi de et des iccens pliirilxfg. ,
,
.
qm
m
presque^les mornens tmiquillite ses de il -i 13 ms epnaouit Viila Vtird.es de VO-M-Noiv comine ee derniev il queue cji et ressèrre 'ílterivAtiveinent 1 es plumes de si acconipidnmt. ces mouvemens iVun froulemenl" smird On trouve cet oise-Au d-ins los clvnnps de crfftxívajo&eJ et surTout s uri es Ce,<ftj’(cutao d vos fruíts Kl eus qiu encomOnt infloresceirce leur latenT les Cjljiucò^ad eflors de ,
-a.
íleurS ltírrvs lonris nme^ux cfhivges de looirquets de on iiv consiste sTèllees dim Manc-ji-irne Si n ourriture secTeS qn’íl siisiT iu pissige. On le 'voi.t des IrervreS "morte.y eritières p evche -X lVtsTrèrmte d’une larcmclre fiis-ant pveuve de pitience et comme es clive de ce eu d quilter pouv election le li peu d’nist-rris éky reveniv iixssitdt .
.
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M AM THYS TIL Ei
•
.
0 Amethjstènus •
]imõ de cjuatre youces six liónes iBec ci(]uc tiintrj droit renfle. a la poinTe, •Aigw.iuiir. Aessus Le de la tete de 1 -x 1> aso. di x Tu» c -ail
de plumes uc-dlleuses vert emer-Aude a reflete dor Lordeessur les coles et en -Avnerc deplumes inoius verlcx fouvert
kum
#
brill-Aiiles _
dtm
verl aigue nv,irme et
in-
dico deveiVAiit d-aulAul pluslonjmes qxxelles soloiõneiit dAVAntege dulieu leur de origine elles forni e nthuppe. et
une plixmedvoiTe eTVoite bleunoiv lonóue de dntliuit ligues susreprecoxvyreiiT
til.de
d’e vection
du
.Pessus
corps
et
de
vert broivAe a reflete grisátíes Cul-Aires óriscs Teriiunces de violoT.H O óorõe a poitrine et le. nnlieix du ventre converte de plumes soveuses du. violei
queixe, a 1
,1
pcnsee
plus puv Teflétenil Vv\7.uv.liypocondrvAles verd-ÂtreS Aivates grises le.
.
terminees deveiT.ltecTric.es eg-.des CAvrees vert bouteille Termmeés de plane. Cotes
du eou dris de perle uue acIio IiI-ah clie d evrière 1 Oeil Pieds noirCxtres. .
ell Atn íyste J j*
estie soul des OMoudies du teresil ôoróc oriieé dcmVl-A. TciuVes dWcuns de vives nelvnlle to to rnét-Alhojues reflels On le roiiconlre uni quement' ctems les ' Tiewc oü croil iVspece de -(SflLiulon*. en c,4r[>re. mmrmeépar les ÜT-Asiliêiis- cMttrinnam pJvxrde aussi .TcnvArquAble p*v leleô-Ance cie ses flours que parle dtnxx p-arfum quiser». .
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ce qui indique Va. piéférence quil accorde- auX bords des eaux et aux. CapueÀraJ qui forynent Valisière des les de ou VAriétes toi-a vierges pullulent cxclusivemeiit ce vegetai pourt-Aut et Oíscau. assez de cet est r apule. Xie vòl Varrêle ou iiieme irrèôulior precipite. ralentit íl te le très incline, toixtà coup Souvent il glisse comine sur un plan stitioiimiie souTient en rcsscTfAid les ailes ,il se et reste fin les ecartant etle-s agittvnl -avec violence pose se sentí Amétliyste souvent, au moindre J_j couvement ordinai cramtc/Vx plivme, cervicale inent de se ctiée se redres et sa b-Ase brillc alors des reflels de poVor et dê Tarôent dirimis êlle reprend s-a premièrc sition dès que plus tranquille YoiSeau s’elance Surun inSecte passa nt x sa porteê. Cet oiseaw se reueontre dan s les etivironS pour CantcL-Ça/fo et du ^híUiancoL. 11 y est assez. vare pvocuqiien cinq aiinees de recherches je naie pú roen individus xer que deux exli-ale
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MALACHITEi M 0
Sericeus
-
Ae cim] jjoucos eT cleim lonó
,
l«s rectrices
1 de oiiímmr toíjile fonivMit li vmnTíe 1-i pari* noir.drínt subvilé now .Unlr-Ait ltec cie Ti. eonrmissnre des m-4nAil,>uli's s el-.vunl
on passant au dessous deToeil
ijuYl
nn-
ternnne Surlecílí du cou .Tvontales vevt do ve 4 refletí; Ae
Jírasse enpartie. eT
cu iv ve Tosette
.
Pos
.
c o uverture % alaires
el VlTOjay ój-AleS (|JUI SimVloniJties et Soyeusís)
dim ])C4u
vevl Aove refleti oranóés pxvr li ou javvne snivant «lireetion des , ."Remiôes sülavres noirátres les vay«ms les l.rès eliòees l-teclrices ; iloir -puv -les lateral os
síxmoyennes
d ta n "b e au l.d jik’
couleur daus towte
pu-rete cst sous lout pemvijle inferi Tepandue le eur "Pied.s ivicATnaTs des le Var*' Cjnvdc centre plnmcs •Cette
sa.
.
.
.
gulaires
dun vert-óvis.
et pectoroles
couleur
JZcuihinuJ "A Xjes ce de Çexx des fP)diíiwJ oti CciyteS ‘attivent" pri n cipal ement soli joh 0 i £ eaix r» uabl par Vondulation ti cT\ vat e dç o e, r e q vdl .qu.1 est accovnpagné dxin chant. desAÓréable et" perçanlr. On V-ApperçAnf de Çort loin soit lorscpieles AileS etemlneS il senfbTcv glisser dons les *aíts Soit quenles rappiocharit fleuvs lilancTies
-
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et lies
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sVb-;m dorme
v-Atit
une
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dont le ld-anc
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Suspcmlu u pvopve poids o que
et-Ale
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les lo rumes permés de
s-a
visible
cle-
queue
seulemcnt le forui de ver dure Sur leqxtel on le
d.’ em-A.il
contr-AsTe» ‘Avec
raiV *Applique
*501-1
cel iust-AuV eUms. croi
.
$c recherclie IVT-il-Achitc Quoique les íleurs que lo inòiitrent cl-Ans le íiicine témps, et que les vo^cU.ux qui t.erv-produisenV coiwrent une de les ^vi-Ande elcnduc il en adople cert-Ains qxvitte c-Aiilons quil ric que pouv se rÔÇugier A-atís les l.misson$ les -plus ep-Ais 011
am
espere ech-Apper & Va poursuile d’-Aulres Oiseaux plus CüUTAóeux que lui et qu ü nesl pus teujouvs «Asse'/.
íl
-
.
lieureux puur evitei* TvxTnto Mul-Achite lie .
lo fianastal/el le c$acet/it.o\\ 1’ observo le lenó des luns el lé bord cies Txusse-Aux. cn OcVolire.il el SepVembre est COnSine le resle de VauToròls nee duns les -Vierdes .
41
O-M-À. OREILLTiS O Auritus
.
•
de Irois j.i«itje.e> et itejjii dSe.c twuv Subule Ires pomlu. .1’] uinos VnmV-Al es ec,aiTltíuses vevt aiouc mwvuie d ro Dos niv»i: et couvoyI uves t»VAU vevt tl o ve a vecui\iv de roscUe tres linHans um fleVs Ires tmq.iyóviles lonóuus soyeuses rocouyvent presquVn e.nTitív los re cl vices ,eV -.vvi 1> vo yl «A enieraiule dovê. Soiít d’mi e
lttiu?
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violcUos lAectrices coa! es "Remióes <T>
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CouvteS d.mv I uoau
ljl-avio..
tos quatro su-
plice -au ccupevieures iiuirpur. dum ao t-Arlie noivo desce ml -An l sur t cou cotes du lo.s ou. les plumes Iavôcs ec-AÍlleuses sont Meu a/.uv.l-aVlre le liou des *.\ht ícul-Aires et e W-.uu: de neióe de AOut le dessous du covps osl' Aiido mu*. Ij oDlíque veiT dove n-i-issanliUt lioc infevicur eT sc Imivimnt AU nive-au \ des pduinos •Aí.uvees.aveclesquVHos elles coiiCoiidenlT Se souveiit .Tieds irnirs. CEí]
1
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Vat lí\
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(iSonçjue Quututs. recTriees fo vnv.Anl
inoilie de
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o vd cics vivi ere s
do ò cux. P^cluJ o
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dum?
de la "provnici*
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o rd iiTAircim? vil gwriii
espere* de
migues cl o c lios penêlanles dou s ex.li dl e x appro 1 clie do la nu d une odeur deli o ens o lViidaviV )e. jouv des miríades do polits ms ceies davmsscnt 1e Strounuuxcs
•
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42
des coroUos
dedvvns
pour
et c osX
s'en Sai sir
quel O
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Constaiimient susperwlu deVant elles CeT oiseru. -alevol leder mais par bondí il etend ct vessèvre aTternativement ses -xiles, épatumit sa queue, et peut * volimte rester stationnaire <lans iWpace ousen pnécipiler rVictirne do la pouvsxviTe des -autres OiseauxMouchos et des Colibris dont le vol est plus rapide et phis suutenu. il fuit devanl eux , se cadie d-ans lesplus epftis huissons ou se per d d-ans 1 es -ai rs enTaissant oreilles
est
.
,
ecliapper tui cri plaintil' et quoique detaille a. resistcr il ui manque le courace de comb attre Ce chaTinant Oiseaw est abondant pendant lês mois tTlcicahiu Septembre el du de O cTobre et les districts el du Jhananal le» comptenV egalemenlr au uinntmi.de leuvs plus interessantes produclions Ornitlml o^njues. ,
1
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M
ABILLLirÈIVEj -PL 0
Tlahellifèrus
deux pouces > du vevtex. et du ilu front, ii<Ju ,ium\Y lumes 3 Í2 — etovbruvevtpur ec squ-Aimneuses du tour <f
sixiijhurs
.1’.
.TeU*. tlessus >Ui cou.m-Aivte-Au
et
«le luiijí
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refletí cuivres .i.uie b-Aiide
ropy úvaI .TJ ouIa-a^ dos eS du. Tjl-«vní-t*níumé vniletdlemv Idvu-u verd-Àtve miiucees de eS C2 «5
Ari o’I et
sombre .l\ectrieeS r
et-Aôees 3iV-
,
-p mi o vup ve
Aeuvc de tèvmineeS bt-Anc.leS SupérVeures vert-bnnrze uniforme. Gwaultur-ileç deet lonóues 3-A.ives ATo-Arbes do e cel-Adcm cti 1 es. verY v em v\t er SunieS ,
Auriculcvires brill'Ant três
mes
.
vevtl-ar^es ettuet.\ôeés, ai té s
de spatuKíovmes
de s qnnouÍT
ees 1 ors
du
ctvivjjes de. plu-
deuxlitfnes
"lorniu.es ef-aôees
etroit.es rjouce^
loles
du cou
,
puv a.eut
suscepti-
VAssendjlees
et couch-
dure-nvvT tovimverY repôs.
neés de as -AtinvAWon mi plvvme vm-a.Tieeé de às a. cliaque btune. Gordo 'bV.vnch e ,
ce .Milieu
du ventre roux
enfurne .cli Asjue HypocondTjovdee plrs loneé yluine de dore. TvAitnoir res vevt .Aniles roux-óris de velouv s devAiit 1 ixnl bl-AiiclieS et poVTrine i pTuines .doroe O de "bvun bordees fonce .Pi-as ventve roux. de violei' bvoiv/.ees terminees l\ectrices pluuvAÓe de bl-ane superjenfin fuuve .te cuivve. vevt Pluvnes ieur
VlAbo\m‘òve e Li
o st
im
elos
nulles. erecliles
ravos plus
ilés
0
Mouclies
44
se vencontre dans les 1’orêl's -Vi ertfes vvu sovnmel des aibres les plixS (deves ou il est-attire par les novribrcínie los la savmens oux Oxfoatvired AovX flexibles atteignent des vieux patriarches des bois ei retoinbenT epsuite vers lestons torre en lungs fleuvis. a 1 diííicilea petitesse de Oiseau le Xj-a rendrait ttès eet dec.ou.vrir si ]e bouvdonnement' quil produrt en volant EaisaiC se entendve de fort 1 Jie $on vol o st lapide et Soiiteiux il monte tres baut dans les -ai yí> et lorsquil sen dune precipite il pvoduit sifflement semlalable a celui baile .Pendant quil execute ses cvolutiotis.les pluraes qui íonnent sa parure sont covtchees, mais des que la Colève ces en lardes seportent tanirne deux. eventails sdendent t duveflet de et cies cintos brillent de Temeram!© et avant Tor Ii-i f emoli e jrrivee de longues plumes eollaiveS ido
AuBvesil
,
Il
om
.
un
(Vun Huppe-Col joune lovr rarc dans le district du cM>izmh£s le HabeLHCève csV plus abondant dans coíui du ShuuxouuzlW dcscond Sur la lisière des bois eu Juin et .luillet el en Septembrtí dans les Ctt/metmJ oü íleurissent alovs de grail se repand ndos qu-AU tiles de KeJjnicA
loin lapparence
et le vol
.
,
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A SIX-TILE/rS.
‘
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•
.
limyueurtoT-Ale ciuq pou-ces lruit liónoS;
ó
los
iltux pBUiies oxtéri ouros
dc
1
a
quciu*
Irois Aí opi-Atroluuios poucos soulcs ,los poucos ui deux s vantes de dtíux cimjliõiicí pelnios quatro ces soul tròs ot roil es.poin õtis femlvtf ix côVo nniyuiu' blnnc Vucs d avi") o ut ellos soiít suriiumluís do douv pl us bardos ] oiuUiís de lroy/.o lijjniospibleu-noir CoVe Y>1 ancho .los à unlro*» \m talou. (Vaciov bruni Sont Tudimoidanos. o 13 c noir subulé Aroit .Tv-.vil blanc dernèvoTiVjíl .TyouVáI k<, bcaül cusos "vorl v.ineAoré CovvimI os coillairos, dors-arnule ricos vert-doré rulil-xril et te ct .Ivas !o«. travorse dos par uno bando blwnche. Au Goróe.Ctm vo rl dore UropvdvAl os dl poitrme oonvorl s do pliuncs oo.uVioutrês l-.ud doré, br pxssunl pir $es Vevl .
CT*
.
.
,
1 i
mniioos dn vovl omoraudo au vorlrumlo pTus loncó cos plumes sont Separoes du noir pur doVatadonien pvrv Une ce.intuvo roupc censo chanôoxut
toutes
1
cs
.
,
cn orando. et cm c it ron. oôtós Ijlxncs •xvoaI os gris xt ros cjueue couvto lourclme ‘iciov IjvuniÇ tcvininoo deblanc. òorõè pcu/bvillautole ,
.
.
dessouS dvu
í\ 0 nVAVqU.Abl jiniierit
,
cotto
itjvps
noir onfumò.
CO 'App Clldí pAV los C! S SobiCOS ospèco, Vo.st Inon iY-ava ntxó e p-Ar lo. inobilité qivi Ixlor-
46
reflete ^gorge Ws sur ix-iilets offre couleuvs S sa sxvivaritl-i de Vemerau.de de 1’Or et cLu. lais Tnélamies mais Hui ceposition du corps prenanT* pl tas ou moíns AinVemite toureies daiiT à lauTre tcmt Tespace pour le resSaisir a son que VOiseaix faiV le plu$r Idóev Tnouvement rapprosont "Reetrices Qiv-vnd le Six-Tilets voVe. ]es fleur une qttan souli ente ehees ,et relevees dc.vaut il d $<? quun soit saisisse mais Soit que la niain du> chassexvrlé ÇormeriV et rival le poursuxve elles sexartent sulcnte mente. cte ses
le
.
,
f
;
de leur Hase au
somméf un
oupouvainsí dbtus angletrès
une* Horizontal e ligue se pia c ente sur Oiseavoj de ce§ aigu Yarriveé HouTdounemenT armoTice TJn som.les quelque fois Sonore Ves signalent ime crépitation detous epis mites Pleuries des CiipafoLi^ed des ConyzeA ies occulègions attirent cMcLriaiiwaS des eu les eMimoíeti et des Abo.iv qui imectes soit lejouv poursxxivre les tout •pèes à y ccmibatentvVux le jouer dente., soit a livrer Hataille ou emiVextise perclier cette vierit lutte ã à tante vainqueuv d'un suvface ou surta HrancHe, morte te- dune petite plxunles enbas delxaute çant Halaii corvmbe Pleuri en rapprocheés alors sonte qui es de sa queue cMacctkv du J^aruJAioub districts dxx des abitante li er smiõui premi tlausle le Six-iilets este plxxs atum daiite et c tobi-e O 1 e Aout Seplevnbre perulant les piois de leslorets-Vierges dam refugie resTe de IVmieé il est idire
.
,
,
.
d
,
.
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.
M
O M -RUBIS 0
limó Cd te,
tVe
•
lVubineus
tvoi5 vnmces
d'ossus
svibvdt: Heo.
*
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noir
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coit.tmmteatA couverturavs eV .
AOr. refletí vert à
uropvgtales dunlaeau llela base
.
euv inferi naisdtt de.mi-loec
pliuuts ecailleuses eu longues senT des en Irièrectiles imbriqueeí dtspoíees ,
rose fimee les ,d'un prenant aiigle
t cintes
pitas violet internes. pourpre les carrnin et Gorge Irlancln»; im Aenn collier pectoral
Untrait blvvnc perle posf-oculairis de tloin en vert pálc etanales ,re .Vlancs Ab <3
.
.
cendrtldWimjSes tves fourcTiues, vert bronze en desstts ilessuas violet-líru-w en Pieds nmrs. gris
-
"violacces Weclvices .
,
.
mentes letnles
Sans rose
-a
gnróo Ia
trair posl-octtlarre très appaveíjt
.
ÍWclvi-
tvj pl c o tarte s ees
pvmctp^l dans dvi consiste Aj e caractere TViíbis et bec de Son uaissentT de base qui la les plutncs roses lui u_ aaó portanf en anóle avee. avart/an fonaent en se code eprouve quel sentimens que TOise-art q\u?s dês lère ou de crainte ,
.
cette vol de especa Xie
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est~ r a. pi de et brux/and
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d’ivoir de longtem-ps présence avant on esl ‘iverti s-A -Via de bourdorme pu lapevcevoir sorte que lorsquil de plus liauteurs nu des Hu^xiliva, à cime Auii CourathiL -
joue imheu eenV au de pieds Surramoaux des ts dont odorantes de ce òéanl Vo vê tes ‘1’CKil de a couvevts cliar^es de fleurs sentbtevit neióe, eelte VOiseau iVécouvrir peine a mais beaucoup de à coliuque esl en clévaTiou son bruil core aussi aióú qu.e porteç Bourdon de niarn, ôros pvodixirait im k à otí^cux dêpaisses joi.iv eh et im and dans Quand mons^amasserd soimmt des et au vapeuvs selêveid desc,Il V enl. cuimmui parai extremem ta £iies te Rubis ou eV Campos los Cò.pu eiras dans les cml alovs dans rrtavrr quil setendonl des ridcaux de Jau tu na. rase et pluie Corro de quitte ns plus au milieu des ue inême. à disque d’lhscaux ,lan qui domie.nl la mo rt. 'beaucoup talhe nVn esl poiuC afíeclc*. elite Vivi malovu sa p ncjC ctt c pilic espoce Se miconlrc de,pnis -/? tu o4ijnS couju-sqtv’au Ccuiafla/. il disparaiC dans cette devnière les amumeer tvee â Tapproclve. des golees e.C v vevie.nl rcpvis jours et Soleil l.ieaux -a lo les íleurs dês que qviil et se,
asso'/.
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£vappes des
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COIi -M O HUPPEi -
O
Ornatus
.
.
.
lond de deu-x. pcmees six Hônes ."B ec droit subulé rouge íncarnar.t-evnvrne de o
,
lióir .Trontales
verT éinera udo
envivormaril-
une liuppe de pluneí lomjues eííileés* ei-ecliT.es dun roux warron yíf .Tète, cou et
manleau dun verT roussàlre dové bas du dos Mane pur. Crcmpion violei <3001101116 cle.ssous
d li cou
el' la
.
i
dorõe vis de couve O t
pTimies ecaiTleuses Verl êmeriude areílels dor bruni "Pirties TaTerales du cou povtaiil des pT um es etageés coupees carrémenTa' lextréimte disposees en ovenf-vil oler.
.
octiTes
;
ces
lumes p
sorvi blaiicTio.s ter-
dimeliamlo. verT do re Abdômen 0.1-is c endro .H^poconctriàles ve r dl Ires. Anules Yortes Tumlees de rovix.Kenu-
irv inces
ges violettcs fRcctrices
on
svipevievvres verl Tirovví,e
e s ,1
Coui.lesdeux iT e vai e s dun 1
puv marrou ,'teímiiee* «leiioir dessus toutes marrou bríllant en dessous.Pieds Ve roint
ses.
O eu dessxms Tronl-des verl' Scmibre bordees de rnuve. poiriT delruppe. fornsàtre
XjC-
Huppe-cdl
avnsi
vunnmó des demt
evenlails
cie
plume?i epn ornentr les. par li es laterales de- Son Cou. estr Te pVus petit des Qvíhoiyntjtwi du .Bresjl ,1a Çemefle priuci pal em e nt avant au pl us dvx-liuit ligues delong paet pesaril vail un gros laçmrdcm et' comine son vol esb très loyiryanT on conÇond Sou.venT ceT Ovseau. avec des .
insectos loxstjuil
est â
Toutes les fleurs
xme
cevráine kuuteur.
atlirent le-Hu-ppe-Col
.
onlbksevmais
principuTeinent s\jr une pLunte u pet.ires corollcs juunes verticiíleés et dont h» feuvHarto blaúc et tomentenx lui dorme luppurence des cMotêne.J jl frequente côvúenionl ies fantanai ve.
los
plunles Çonjtnbjftrei Tmijours cn inouvoiminl et vivant or tini uirem e nf ona» rit't<* cês ckarnrvns oisoaux se livrenT des conitrAls coiiti mtels tlpux ou tms i mtividus selêvent prrpe.ndienlui roment el. Sonvent liors tie 1 a porteé de vuc en durdaiitle kec et hérissant les pTmnes jusqm cerque Va fatigue ou !m irainle inelte la pui x e.n Separant los elv.nnpions. Ou renconlrt* le. Huppc Col tonto laimoé et duns Tontle l^résil il semble- voler uvec plus tio force et fuit e£yl oiiiont plus de bruit lorsque lo. tem ps osl dispo só â 1’Ora^e cést duns cotte. circonstunçe snrtout qiuil fuit entemlre *4 cita celte que inslant crepitutiou sono vo •reclleimml extraordinaire et qu\m ne croivuil janvais produíte par un uussi polit Oiseuu el
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BEIJA-FLORES BRASIL DO PINTADOS E DESCRITOS PELO DR.
TH. Naturalista,
DESCOURTILZ
Membro
da "Société Linnéenne de Paris”,
Medicinal da Flora das Antilhas Autor
TRADUÇÃO DE
DE ANDRADE DRUMMOND CARLOS
POR CRITICO ESTUDO
OLIVÉRIO M.
DE
O.
PINTO
LIVRARIA SAO JOSÉ RIO DE JANEIRO
1960
EXPLICAÇÃO PRÉVIA Esta edição de
Oiseaux-mouches orthorynques du Brésil
pertinazes anos de esforços. quatro consubstancia
direção da assumirmos a Foi em 1956, logo após olhos, prisob os pela Biblioteca Nacional, que tivemos
meira
vez, o precioso inédito
do Dr. Théodore Descourtilz,
que enriquece os arcazes da Seção de Manuscritos desta
passamos acalentar a Cultura. Desde então, a Casa de idéia de fazermos
uma
publicação condigna de suas belas
naturalista-pintor estampas coloridas e do texto, que o
preparou à maravilha para ser facsimilado. Dificuldades várias, especialmente de ordem
fi-
proadiar concretização do nanceira, obrigaram-nos a a jeto, ao qual,
em
certa época, desejou associar-se o editor
francês Pierre Seghers.
nas doporém, apreciável aumento Graças, ao
Nacional conCongresso tem tações orçamentárias que o nossa admiapoio irrestrito que cedido a esta Casa e ao nistração
vem
Senhor Excelências recebendo de Suas o
Ministro Presidente Juscelino Kubitschek e o Senhor incluir publicação do Salgado, foi-nos possível a Clóvis
album de Descourtilz no plano de realizações rativas do
Nacional.
150.° aniversário
E
Biblioteca fundação da da
com uma com um estudo
mais. Valorizá-la
tuguesa do texto francês e
comemo-
mático das espécies nela tratadas.
tradução porcrítico-siste-
Ao
concebermos
tal edição, dois
nomes nos pa-
garantir perfeinaturalmente indicados para a receram
ção dessas tarefas
Andrade
A
-
o do escritor Carlos
Olivério professor e o do
acolhida generosa que
em ambos
M.
Drummond
de
de O. Pinto.
encontrou o apelo
exdevemos, respectivamente, a que lhes formulamos
notas críticas acompatradução e das que celência da
nham
a reprodução
A
esses dois
fiel
do manuscrito.
amigos
-
primeiro, glória das o
le-
da ornitologia branacionais; segundo, mestre tras o sileira
-
que nosso profundo agradecimento, o mais
tendemos também
es-
Sedegra senhor Bernstein, da ao José
Sociedade Editora e Gráfica, que se esmerou ao
máximo
na apresentação gráfica da obra.
Rio de Janeiro, 8 de março de 1960.
CELSO FERREIRA DA CUNHA Diretor da Biblioteca Nacional
INTRODUÇÃO TRADUÇÃO DE Carlos
Drumond
Sob a irradiação do céu luminoso, no seio de
uma
de Andrade
natureza eter-
namente virgem, embora fecunda, e envoltos pelo ar puro, impreg-
nado do periume das
flores, circulam
com
rapidez de relâmpago pás-
que cintilam como ouro ou despedem reflexos de outros metais,
saros
a que se aliam tons de pedras preciosas.
O
vermelho delicado do
rubi,
vermelho granada, escuro da o alaranjado do topázio, o verde agrao dável da esmeralda, êsse outro, mais intenso e mais sedoso, da maiaquita,
azul figuram da safira o roxo da ametista separadamente na o e
plumagem de
espécies batizadas
com
nomes; quando
esses
tais côres se
combinam, é para formar deleitosas harmonias que o olhar admira, mas que o pincel mais experimentado só imperfeitamente saberia reproduzir.
Se a êste luxo de penas acrescentarmos a delicadeza do tamanho,
formas graciosas e esboço ligeiro,
esbeltas, e vivacidade
mas
fiel,
de movimentos, teremos
um
do pássaro-môsca.
muito antes da descoberta do Já
Novo Mundo
pelos espanhóis, os
primitivos habitantes dessas regiões deliciosas conheciam e procuravam
com
interêsse
os
pássaros-môsca;
orelha, à guisa de amuleto;
em que tes.
com
os matizes, combinados
Impressionados
usavam-nos como penduricalho de
as penas
com
com o pequeno
da garganta faziam quadros
arte,
eram
inalteráveis e brilhan-
porte dêsses passarinhos, e com-
parando-os às suas mais ínfimas medidas de pêso, deram-lhes os conquistadores europeus o hábitos,
dão
chamam-lhes
nome de
tominos; os brasileiros, à vista de seus
beija-flor,
papa-môscas,
idéia perfeita dêsses pássaros elegantes,
chupa-flor,
como
nomes que
diante suspensos que
das flores, parecendo acariciá-las.
Com
à peculiares espécies bastante numerosas, os beija-flôres são
América, mas a África e
como apresentam a Ásia Meridional nos
logas as diversas tribos melívoras de papa-açúcar e de
cétias,
aná-
na maio-
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ria
das quais se desdobram as ricas tonalidades do arco-íris
e,
quase
sempre, reflexos de substâncias metálicas, desde o amarelo puro do
ouro até o roxo escuro do aço polido; tamanho, costumes
sem
e,
dúvi-
da, igual
maneira de viver ainda mais os aproximam dos pássaros-môs-
ca. Estes
últimos não elegem apenas a ardência da zona tórrida; espa-
lham-se por diversas regiões da América do Norte, na Geórgia, na Carolina, e até
mesmo em pontos de maior
onde são
altitude,
tidos
como
mensageiros do bom-tempo, de vez que realmente desaparecem à apro-
ximação do inverno, e ao voltarem trazem consigo a primavera.
Não há
lugar
pois são moradores flores.
algum do ou
Brasil
visitantes
onde não possamos
encontrá-los,
de qualquer ponto onde desabrochem
Acompanham-nas, aparecem
desaparecem com e
elas.
As matas
mais espessas, as florestas mais sombrias, os vales profundos, as margens da corrente esperta, e finalmente os risonhos jardins que cercam a
morada humana receberam todos em
partilha
um
quinhão da família
dêsses pássaros encantadores.
Por ocasião da inflorescência geral dos vegetais, o curioso pode observar alguns dêsses melívoros junto às corolas escarlates da bananeirinha-do-mato, da hamélia e de certas variedades de justkia e ver outras espécies
animando os sarmentos
floridos das eupatórias, os
ramos
de beladonas e coiranas, as taças alabastrinas do majestoso talauma, as elegantes rios,
campinas do estramônio inclinadas sôbre a correnteza dos
os corimbos margraviáceas pendentes cimo árvores; das do das e
finalmente, quando o jequitibá e a sapucaia se máticos, ouvirá a res,
uma
altura imensa
que pelo tamanho, não
recamam de cachos
o zumbir de miríades de
raro, a vista
mal
aro-
beija-flô-
distinguiria dos grandes
himenópteros e de certos lepidópteros a turbilhonarem com êles
em
enxames alados.
À
parte ligeiras diferenças nos costumes, todos os beija-flôres se
assemelham, pois a generalidade das espécies parece nutrir-se do mel das flores, diante das quias êsses
go tempo como sível, até
nem o
lar permanecem elegantes passarinhos
extenlíngua, muito suspensos, enquanto dardejam a
o fundo da corola. Contudo, não é
perfume que o
elas exalam,
líquido doce que secretam, que atrai o pássaro-môsca: são
le-
vez sua giões de insetos que vivem do suco dos nectários, e que por háSemelhante servem de pasto aos menores passarinhos existentes. bito,
envolvendo idéia de destruição, esmaece
em
ligaencanto parte o
foram melívoros, que sempre do a êsses pretensos das borboletas, das quais copiam aliás a ligeireza.
2
tidos
como
rivais
O
beija-flor
únicamente para
em movimento contínuo; dir-se-ia conformado o vôo, e executa-o com tamanha rapidez que muitas vive
vezes não conseguimos avistá-lo embora o zumbido que emite ao voar
Além
lhe anuncie a passagem.
dêsse ruído
como o
viva trepidação das asas, espécies mínimas, e o Seis-Filêtes,
têm a
assinar-lhes
produzido pela
especial,
Beija-Flor de Coleira
uma crepitação de uma trombeta
a chegada súbita
sonora parecida, guardadas as proporções,
com o
soar
longínqua.
Extremamente
raivosas, as diferentes espécies
víduos da
mesma
uma
junto à qual vai postar-se o
flor,
não
e,
espécie guerreiam-se encarniçadamente,
raro, os indi-
em
disputa de
vitorioso, ainda excitado,
beça vibrante e pluma eriçada, até que, descoberto por
um
de
ca-
novo inimigo,
perpenlutam subindo é atacado por sua vez. Os menores beija-flores seus bicos contra adversário dicularmente a grande altura e dardejando o
pontudos, até
o momento em que o mêdo
campeões a abandonar a tos,
liça;
baixam então os dois e
um
tomam rumos
dos
opos-
proporcione segundo combate. que novo encontro até
O
beija-flor
mais altos árvore preferência nos ramos da pousa de
ou da moita, e sempre nos desprovidos de vel,
ou a fadiga force
fazendo ouvir a intervalos
lutamente não se harmoniza
No pouco
período amoroso,
se
talá-lo,
separando
escolhem
um
uma
senão o suspendem a bitações
um
com êsses
pio lastimoso, cuja melodia abso-
roupagem. sua brilhante a encantadores
pássaros
do outro quando o ninho
foi feito.
Para
ins-
um
hacôlmo, cobertura das fragmento de na
alguns
feitura
flocos de algodão, da carolina, de certas apocíneas,
paineira ou fromager, variando
com
em
líquenes
da região por
tamanho de seu
diâmetro a metade de
um
e
da figueira e da
as espécies vegetais
êles habitada. Esse ninho, proporcionado ao
quase nunca excede
acasalam,
se
centro moita, ou ramilho da bifurcação de no
sua empregam na Só
humanas.
folhas.
imópermanece Aí
arquiteto,
limão, e abriga dois
grossura de nas extremidades, e da ovos brancos, alongados, obtusos
um
ervilha.
Durante a incubação, tinela
um
dos componentes do casal fica de sen-
família. pequena Aí junto ao lugar que esconde o berço de sua
solta êle seus trinados alegres,
que
mudam
precipitam, natureza de e se
tornando-se contínuos, à aproximação de algum
mêdo. Deixa então o posto, esvoaça até
ser
que lhe
atingir a causa
do seu
inspire terror,
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SciELO 18
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em
põe-na
fuga, tranqüiliza-se e volta para o
se atira sôbre os
Embora
miúdos
providos,
mesmo
lugar,
de onde
insetos a seu alcance.
no mais
nem
da faculdade de vôo,
alto grau,
por isso se vêem os beija-flores menos expostos a perigos de que não
conseguem
Têm
às vezes escapar.
inimigos, tanto mais temíveis quanto
Uma
não dispõem aqueles de arma alguma para defender-se.
chamada
filiforme,
raldina
ou azulada
cipó, e
cobra
que sobe pelas árvores, onde sua côr esme-
a disfarça à vista
no meio da folhagem, apódera-se
dos ovos e dos próprios pássaros, se êstes não fugirem depressa. Muitos, retidos entre as vitável, pois,
O
presos.
malhas sedosas dos aracnídeos, encontram morte
ao cairem nelas
em
ine-
pleno vôo, logo se vêem enredados e
mais cruel dêsses verdugos
porém, a mígala aviculária,
é,
aranha enorme e horrenda, que surpreende suas vítimas sob a proteção
da
noite, imolando-as
quando o sono
sem meios de
as deixa inermes,
defesa.
A
plumagem
alta
do
beija-flor é
em
geral verde; esta côr se en-
riquece de tôdas as nuanças imagináveis, passando por tonalidades ver-
verde-esmeralda,
de-alga,
verde-malaquita,
mas
verde-garrafa, e finalmente verde-negro, tálicos e cambiantes,
verde-cobre,
brilhante
quando o atinge oblíquamente
com
um
verde-bronze, reflexos
me-
raio de luz. Só
as penas da garganta diferem consoante as espécies e suas tonalidades
sempre intensas e repetidas oferecem por
melhor desigmeio de o
isso
nação.
A
grande família dos
fixados pela natureza
beija-flôres
propriamente ditos tem limites
mesma; embora a
ciência julgasse necessário dis-
tinguidos, os colibris, de bico longo e arqueado, e os ortorrincos, de
bico reto,
tendem a aproximar-se. Existem de fato
entre êsses dois gêneros, e muitas espécies
temente a
um
ou
outro.
podem
elos intermediários
pertencer indiferen-
Os pássaros-môsca que nos
interessam espe-
cialmente são dotados de bico reto e agudo, ou reto e deprimido na base, e levemente arqueado na ponta. Estas
características,
que basta-
garganta, nuanças riam para qualificar as espécies, juntando-se às da
constituem a base das divisões que adotamos.
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PRETO
B. F.
O. Ater
Quatro polegadas e meia de comprimento;
as
asas ultrapassam a
cauda. Bico cilíndrico, preto, algo recurvado. Cabeça e parte superior
do corpo, negros, com reflexo verde-crê. Manto e penas uropigiais de côr verde-escura, e
penugem
fôsco;
A
Rêmiges roxas.
verde-crê.
medianas reluz
em
debrum de ouro esverdinhado. Coberteiras alartes, parte inferior
prêto corpo tinge-se de do
duas Retrizes quadradas; prêto das femoral, branca. o
em
em uma
verde e
branco puro, terminam por
com
roxo, enquanto as laterais,
seu
faixa prêta, de lampejos de aço. Co-
xas e algumas penas hipocondriais, brancas. Pés pretos.
Mesmas
Penas bucais e mento côr de ferrugem;
tonalidades.
§ quatro retrizes medianas, pretas,
com
reflexo purpurino.
Retrizes, como as anteriores. Variedade inteiramente negra. §
Este pássaro, que se aproxima dos colibris pela curvatura ligeira
do
bico,
em
todo o Brasil, entretanto não é
a
do gênero. Encontrado
é incontestàvelmente a maior espécie
estação,
vive
nas matas
comum em
parte alguma; conforme
onde florescem alcaparreiras
virgens,
margraviáceas, principalmente naquelas onde a majestosa
A
cobre de taças odoríferas.
de setembro a novembro,
roupagem de
É
e
talauma se
orla dos bosques, por sua vez, hospeda-o
quando os
hibiscos
parecem envoltos em
flores.
rápido o seu vôo, mas,
como
se faz
acompanhar de
um
movi-
mento ondulatório, sobretudo quando o pássaro dardeja a língua na intimidade das corolas, torna-se perceptível de muito longe, tanto mais
quanto nesse instante se abrem e fecham alternadamente as penas da cauda, que além disso se levanta
endido ou assustado por atraira,
um
como
a de carriça européia. Surpre-
motivo qualquer, abandona a
alteia-se perpendicularmente, mantendo-se
tensa trepidação de asas; afinal, tranqülizado ou ta-se
com
flor
que o
no espaço por
in-
aterrorizado, precipi-
rapidez de seta, para recomeçar mais longe idêntica manobra,
seguida de
um
grito constante.
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B. F.
TOPÁZIO
Granatinus O.
Comprimento, quatro polegadas
intuBico cilíndrico, reto, meia. e
escamoso, aspecto penas frontais de extremidade aguda; mescido, de
verde-ouro azinhavrado.
Mento
olhos; risca pós-ocular branca.
verde-ouro azinhavrado.
mais abaixo, plumagem
anegrado,
com debrum
Dorso, manto
castanho claro;
alares, coberteiras e
Mento anegrado, com
em em
claro; castanho debrum
trianescamosa, formando placa aparência e
gular carmim escuro, tendendo a laranja-ouro.
Em
verde-esmeralda
bri-
cinzento a ventre passa de lhante e dourado, a garganta e o peito; o
verde baço; coxa e penugem
com
dourada,
anais côr verdebrancos. Penas de femoral,
violáceo. rêmiges colorem prêto cercadura ruiva. As se de
Retrizes arredondadas, de côr acaju; debrum e terminação
como bronzeadas
bronze,
Tôda
§
alta,
verde-
são as duas superiores.
a parte baixa do
cambiante; parte
em
corpo é ruiva; garganta
sem tonalidade
verde-esmeralda.
Este pássaro esplendoroso é encontrado nas proximidades da mata
em meio
virgem,
aos campos de malváceas dos gêneros bibiscus e sida,
que proliferam nos antigos terrenos desmoitados, ou rebentos de troncos copados,
chamam de
ros
mas de pequena
roças, e entre os
que os
altura,
capoeiras. Parece atraído por êsses
brasilei-
vegetais e pelos
tufos sedosos dos ingás-doces, e acompanha-lhes a inflorescência de re-
em
gião
região, entre julho e outubro, período
em que
se torna
muito
comum.
O um
Topázio, notável pelo voo rápido e ruidoso, solta continuamente
em
ritmo
mais grave. Este canto monótono faz com que seja descoberto
facil-
grito especial, repetindo-o
mesmo quando
pousado, mas
mente, não obstante sua precaução de ocultar-se no interior das moitas. pássaros visitem não consente que outros Ciumento ao extremo, partilhas. Fica então move-lhes guerra obstinada, aceita não sua morada;
em
constante movimento, abandonando seu calmo retiro e expondo-se ao
calor
do
dia
no
alto da
moita; espia a passagem dos rivais, atira-se
7
cm
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5
sôbre
eles,
provoca-os, combate-os até pô-los
em
fuga ou ser êle pró-
prio obrigado a capitular.
Esta espécie se apresenta desde a cadeia de montanhas conhecida
como
Serra dos drgãos, até Paraíba do Sul. Parece mais numerosa
certas horas
do
dia,
em
das sete às nove da manhã, e das três da tarde até
o escurecer, sobretudo quando o sol ardente anuncia tempestade.
8
FUSCO
B. F.
O. umbrosus
Quatro e meia polegadas de comprimento. Bico curvo na ponta, prêto escuras
no
em
alares,
cilíndrico,
meio
re-
Penas frontais acinzentadas, mais
desbotado.
centro. Cabeça, dorso, manto, penas uropigiais e coberteiras
tonalidade verde-escura,
Gom
reflexos pouco visíveis de cobre.
Penas bucais, da garganta e peitorais lembrando escamas de tom za-esverdeado, e reflexo verde-crê; contorno cinzento puro.
cin-
As rêmiges
são violáceas, e o tubo da primeira se dilata na parte média. Retrizes
quadradas;
duas superiores, verde-garrafa; as
as
laterais,
prêto-arro-
xeado. Traço pós-ocular, branco. branco-pardacenta, sem brilho verde-crê. Garganta §
A
plumagem
sombria,
em que mal
chama pouco a atenção para
licos,
mum com
o B.
F.
se
fazem notar reflexos metá-
êste melívoro,
que
aliás
tem
Andorinha o canto e o voo. Estas relações
em come te-
riam levado a aproximar as duas espécies, não fossem observações numerosas
que
me
fizeram encontrar indivíduos de ambos os sexos do B. F.
Fusco.
Vive
êle,
com um enxame
banainsetozinhos, nas florestas de de
que invadiram imensa extensão do
neiras
plantados pelos índios à beira dos
anualmente. Circula ràpidamente
nunca se
afasta, acariciando
cujas "escamas” espessas flores
rios,
solo, originárias
de alguns pés
multiplicando que se foram e
em meio
quincôncios, dêles seus e aos
alternadamente os grandes botões roxos,
protegem e recobrem parcialmente massas de
úmidas de orvalho e de mel. Parece alimentar-se dêste último
quido,
mas em verdade só
visita os flósculos
nhar os insetozinhos por êle atraídos. Pousa forte e repetido quebra
o
silêncio religioso
lí-
que o destilam, para apa-
com
freqüência, e seu canto
da ramaria espessa, apenas
perturbado pelo frêmito das longas folhas acetinadas, que o vento da
tempestade rasga
em
tiras e
que então, agitadas levemente pelo
semelham o rumor das ondas de
O
um
zéfiro,
oceano longínquo.
extraordinário desenvolvimento da haste das primeiras rêmiges
desta espécie se faz tanto mais digno de nota quanto de todos os beija-
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cm
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5
flores
do
Brasil êste
Por que apresenta. único o é o
aproxima-se do B. F. de
Nunca
vi
Tubo
êste pássaro
Grosso, de Caiena.
em Macaé, porém
Ilha Grande, Bananal da e regiões de
o ano
inteiro.
esta singularidade,
é muito freqüente nas
onde pode
ser observado durante
ANDORINHA
B. F.
O. furcatus
Comprimento, quatro polegadas e meia; bico cilíndrico, um tanto recurvo, preto. Frontais lembrando escamas, onde brilha o azul-cerúleo. Azul índigo nas
cervicais,
tendendo a verde no
negro conforme a direção do
dia.
A
occipício, e
parecendo
parte superior do corpo colore-se
de verde-malaquita; a inferior é inteiramente imbricada de penas de côr verde-esmeralda,
com
trizes aforquilhadas,
penugem femoral
reflexos de ouro.
medindo
farta, côr
em negro-violáceo. Relinhas, em azul-índigo vivo;
Rêmiges
vinte e duas
de
leite.
inregião Tonalidades superiores mais foscas, algo acobreadas; §
do
ferior
sas sôbre
A
disperespaçadas, corpo, dotada de penas de feição escamosa,
fundo cinzento-pérola.
espécie aqui descrita é
denominada
em
vista
formato: seu de
pela cauda larga e bifurcada, e pelo comprimento das asas, lembra aqueles
pássaros curiosos, de ânimo viajeiro, que surgem por tôda a Europa
com
a primavera, fugindo aos rigores do inverno, para,
crito
que abandona a
como o
pros-
acolhimento céus geterra natal, pedir a outros
neroso, descanso e liberdade.
Em
F. Andorinha; as encontramos o B. tôdas as horas e lugares
matas escuras o recebem quando o
sol despeja raios ardentes. Ele
zumbe
nas capoeiras, quando banhadas pelo orvalho matinal, e encontra perene frescura à sombra das lianas verdejantes, sob a cúpula florida
mada
tra-
pela panícula dos taquaruçus, que indicam a proximidade dos
regatos e simultâneamente lhes dissimulam
lâmpago, do qual copia às vezes o clarão,
o
curso.
atira-se
ingá-doce e mergulha no abismo, para reaparecer
Semelhante ao
cume do
florente
em meio
re-
do
aos cipós
entrelaçados que o encobrem, antes que o olhar possa apreender o objetivo
por êle visado.
O
vôo do
B. F.
Andorinha é rápido, e parece que a facilidade com
confere executa lhe que êle o
um
perigoso. aparentemente lugar
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sentimento de segurança
em
qualquer
Avança para junto do caçador, esvoaça
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a algumas polegadas de
preciafasta-se tão tranqüiliza-se e sua arma,
aproximado. havia pitadamente quanto se
embora ano todo, durante o espécie Apresenta-se esta período novembro, encontradiça de agosto a acasalados. estão
12
em
seja
mais
não indivíduos que os
DE BARRIGA CINZENTA
B. F.
O. Leucogaster
Comprimento,
três
polegadas e oito linhas. Bico cilíndrico,
to recurvado, prêto. Alto
em
da cabeça, pescoço, dorso,
verde-crê muito lustroso.
vezes, as
Nas
tan-
manto e uropígio,
às verde-acobreado; coberteiras alares,
penas são marginadas de
pintados de cinza-pardacento,
um
anais peito, ventre ruivo. Garganta, e
algumas hipocondriais,
liso;
Azul violáceo nas rêmiges. Retrizes
curtas,
índigo nas superiores e índigo puro nas cinza claro, e tôdas côr de aço polido,
Este pássaro, o mais disseminado
no
levemente bifurcadas, verde-
laterais,
em
verde-crê.
estas
terminando
em
baixo.
Brasil, é visto
quase durante o
ano inteiro nas capoeiras, não raro nas matas virgens, e constantemente nos pomares, logo que laranjeiras e limoeiros entram
Nessa época, aparece
mão do homem
inflorescência.
enxames, e seu zunido se faz ouvir a grande
Mais confiante ainda que os
distância.
perto da
em
em
faz ninho até e
rápido, segue o beiral das varandas
ou
vêzes pousa muitas anteriores,
em casa
dêle;
ou
senão,
em vôo
das frente galerias abertas, na
habitações, e aí se lança sôbre os mosquitos e até sôbre pequenos arac-
nídeos, aos quais arranca de suas teias.
Em
atacar procura prêsa, seja para movimento contínuo, seja à de
ou defender-se,
gênedeclarado das grandes espécies do é inimigo
ro, e até das de outras famílias que lhe são superiores
Empoleira-se a todo momento,
põe-no
em
ponto,
com
fuga,
e,
investe contra
orgulhoso da
vitória,
em
tamanho.
o adversário, combate-o,
logo volta a pousar no
mesmo
vibrante, penas eriçadas, cabeça dardejando e recoas a
lhendo a língua
como
raiva. prestes sufocar de se estivesse a
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ACOBREADO
B. F.
B. Cuproeus
Três polegadas de comprimento. Bico ligeiramente arqueado, preto
na metade superior e no
no
resto. Frontais
da
têrço terminal
inferior; amarelo-palha
de aspecto escamoso e tom verde-ferrugem. Manto,
dorso, uropígio e coberteiras alares ostentam bonito verde-cobre,
Tôda a
reflexos.
rência escamosa,
com
parte baixa do corpo é revestida de penas de apa-
em
verde-alga tirante a ouro, e debruadas de cinzento.
Flancos, verde-escuro; abdominais e anais, acinzentado. Rêmiges roxas.
no
Retrizes verde-bronze baixo, tôdas
em
terminando
alto; laterais
em
cinzento; as de
verde enegrecido.
— Variedade De Papo Branco § de azul e ouro, surge nas partes
:
verde-esmeralda, o
com
reflexos
do pescoço; branco-de-neve no
laterais
meio do pescoço, da garganta, do peito e do
— Variedade Palheta: garganta De e §
ventre.
peito brancos; penas termi-
nando em verde-esmeralda; abdômen verde-ouro; cada pena
ostenta
larga franja branco-acinzentada.
Os
jardins mais chegados às casas,
deraque, cujas flores dispostas
fume, aos
uma
aze-
tirso
perassemelham, pela côr e se
lilazes europeus, são visitados
constantemente pelo B. F. Aco-
breado, que difere bastante tuir
em
onde se erguem latadas de
espécie.
do
B. F. de Barriga Cinzenta para consti-
Realmente, tamanho menor, reflexos metálicos
em
baixo e canto mais agudo bastam para distingui-lo do outro,
em que
encontra seu mais cruel inimigo, embora procurem ambos os
mesmos
vegetais,
como
resedá, e
em
Comum raro
em
as citráceas, as labiadas, a corinda,
que exala cheiro de
geral tôdas as flores de abundante secreção melíflua.
na província de São Paulo, o
mais é B. F. Acobreado
tijupás ninho muitas vêzes interior Macaé. Seu surge no dos
cobertos de folhas de palmeira,
em que o homem, procurando
abrigar-
encantador, prazenteiro visita hóspede a dêsse se da canícula, recebe
que não
se assusta e
vem confiantemente
partilhar seu asilo.
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B. F.
ESMERALDA
O. Smaralgdinus
Comprimento,
polegadas e
três
na base de tom vermelho
gem
superior,
mesmo
claro,
três
com extremidade
as cervicais
deprimido
linhas. Bico reto,
prêta.
Tôda
a pluma-
(que são imbricadas e arredondadas)
ostentam verde-ouro muito mais lustroso, às vêzes com reflexo de cobre vermelho, Penas do mento, da garganta e peitorais, imbricadas
muita regularidade, lido.
tintas
verde-alga, de
com
reflexos vivos de ouro po-
Penugem femoral
Barriga tôda ela de côr esmeraldino-dourada.
crurais alvas. Anais
em
com
e
verde-malaquita meio fôsco. Violeta-escuro nas
rêmiges; azul-índigo,’ nas retrizes curtas, largas e bifurcadas. Pés encarnados.
Esta espécie encantadora é vista unicamente
rias
caminho, e se expõe assim à mais viva ardência do quase constante, pousa e lança-se
não obstante a extraordinária
um
raio luminoso,
com
moitas à beira do
sol.
Em
movimento
uma bala; em face de
a rapidez e o ruído de
cintilação das penas
mal temos tempo de
do peito
percebê-la: passa, deslumbra e
desaparece.
Quando o Esmeralda
se empoleira
corpo fica imóvel, mas a cabeça
penas da cauda, abre-as
monótono, pio
Ao
especial,
em
na ponta de
mantém perene
um
galho sêco, o
agitação. Balança as
leque amplo e desfere sem pausa
um
canto
semelhante ao da carriça francesa.
contrário da generalidade dos pássaros, os sexos se assemelham,
salvo levíssimas diferenças de côr, mais apagada na fêmea, de maior
intensidade
no macho.
Este pássaro freqüenta exclusivamente a região de Bananal e aí se
deixa ver nas estradas, de agosto a janeiro.
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SAFIRA-ESMERALDA
B. F.
0. Coerulescens
Comprimento,
polegadas e meia. Bico largo na base, encar-
três
nado, de ponta preta. Cabeça, parte superior do pescoço, manto e zes coloridos de verde-azulado brilhante. Uropigiais roxas.
marrom
vivo. Penas
com
da garganta, azul-celeste
sando a verde-esmeraldino dourado, nas partes verde. Crurais brancas, anais
pouco em
rom
em
Mento em
reflexos metálicos, pas-
Barriga azul
laterais.
um
ruivo carregado. Retrizes largas,
superiores, roxas; cunha; duas as forma de as
escuro; todas dessa última côr,
§
tetri-
em
laterais,
mar-
um
pou-
baixo. Pés róseos.
— Variedade Mesma tonalidade na plumagem
superior;
reflexos verdeoferece muitos co de azul na garganta. Esta coloração
Anais enegrecidas.
alga.
Nenhuma
espécie
suscetível de variar
mos
plumagem gênero ortorrinco apresenta tão do
como
esta,
a ponto de só de raro
em
raro encontrar-
dois indivíduos perfeitamente semelhantes. Tais variações são pro-
mais tons azuis seriam tanto duzidas talvez pela idade, e nesse caso os intensos quanto mais adulto o pássaro.
aqui fosse imaginei espécie descrita a Durante muito tempo que a
exemplaidéia depois recolher de Safira; só abandonei esta
fêmea do res
a
dos dois sexos, de cada
plumagem
uma
que considerando-se delas. Entretanto,
raças impossível que as duas tende a variar muito, não é
relações todas as suas se cruzem às vêzes. Apesar de
com o
Safira,
brilhante das partes verde Safira-Esmeralda se distingue dêle pelo terais
la-
resvala a penugem que sôbre reflexo de alga garganta, pelo da e
cerúlea
do
peito.
Nos
dois sexos, as retrizes
de tôda a plumagem, esta
No
o
é,
oferecem as mesmas côres;
imutável. parte suponho, a única que ao
enconassemelham; espécies duas se mais, o voo e os costumes das
tramo-las
nos mesmos
lugares e na
mesma
estação.
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B. F.
O Comprimento, vermelho base,
acabando
com
azul-cerúleo brilhante,
tom
verde-azulíneo
Saphirinus
na muito largo polegadas e meia. Bico plano e
três
forte,
SAFIRA
bem
em
frontais escamosas, de Penas prêto.
tetrizes de Dorsais e lampejos dourados.
escuro,
com
bucais brancas, Penas breado, nas uropigais.
Azul puro
e lustroso,
magem da
garganta e do
Rêmiges
cinzentas.
com
metálicos.
reflexos
Verde-aco-
azuis. extremidades de
pluna ouro polidos, prata e de
cintilações
Anais verde-escuro. peito. Barriga e flanco,
de obtusas, roxas. Retrizes largas e
um
azul de aço
polido. Patinhas prêtas.
marginadas de verdes, Frontais § claro,
fino azul
nem
puros
do céu
e o abul mais intenso
uma
damente leira
dessas partes, seja
um
inseto,
Os
quando
raios
do
em
um
em
sol
mais não são
todo o alto da
estão sempre a
quando
êle se
empo-
caminho, galho sêoo, destacando-se no meio do
enfrentálo, ou inimigo, para silêncio, a passagem do
para comê-lo.
Este pássaro parece viver
em
sociedade mais ou menos numerosa,
na região que escolheu. Os exemplares que compõem o grupo se
cam
to-
ràpivôo, atravessa pássaro no o
tortuosos da mata, seja atalhos dos
na ponta de
a espreitar,
do
do
safira
brilham mais que os azuis espalhados
cabeça e na garganta desta espécie. car
mento
garganta. peito na branca, no e cercadura
com
O
cinza;
cinéreo-azulado. Azul
ata-
haver espécie pareça rancor nessa de ao se encontrarem, sem que
jogo, executado
Os
com extrema
rapidez.
que tabernemontanas, sarmentos das passifloras e as flores das
jasmim, longe evocam perfume do de o
bem como
a flor
da
asclépia
assim afeiçoado às apoalguns equites atraem Safira, o de Curaçau e de cíneas,
fortemente venenosas para homens
algum nocivas a
animais, e
porém de modo
êsses pássaros elegantes.
nos dezembro Embora raro, o Safira é encontrado de março a gares sêcos e arejados de Bananal,
lu-
facilmente descobrir deixa e se
agudas. queixosas e muito notas seqüência de pelo canto,
17
SciELO 18
DE PAPO BRANCO
B. F.
O. Torquatus
Três polegadas e nove linhas de comprimento. Metade superior
do
bico, preta; a inferior,
em
amarela
dois terços da extensão, e prêta
na extremidade. Cabeça, pescoço, manto e uropigiais, ouro.
no
Mento
peito.
verde-esmeraldino,
com
do
alto
na garganta e
em forma de peitilho ou de lua
ventre,
a parte côncava na direção da cabeça.
flancos, entre verde e branco; alvos.
orla branca; alvura
belo verde-
Larga cinta de penas imbricadas, verde-malaquita, com reflexos
de ouro, recobre o cente,
com
em
A
tonalidade varia nos,
o ventre médio, as femorais e as anais são
Rêmiges de tom prêto-violáceo, do mesmo comprimento das
zes; estas, regulares e curtas, as
fortemente prêtas,
Comum
com
cres-
duas
retri-
laterais superiores verde-bronze, as
reflexos de aço polido, e pontas brancas.
na região de Morro Queimado, e raro na de Bananal,
êste
pássaro se faz notar menos pela elegância de formas e brilho de côres
do que pela extrema confiança. não o assusta:
êle,
por assim
A
presença do
dizer,
que
absolutamente
pousa na espingarda do caçador.
Pacífico de natureza, acaricia as flores rivais
homem
sem
atacar os numerosos
elas lhe atraem, e que,
menos generosos, o expulsam impie-
com
os seus meios de defesa, resumidos
dosamente, sem se intimidar
no vôo rápido
e
na cantiga plangente.
Nos momentos Prêto; como êste, abre
tranqüilos, tem hábitos parecidos
com
os do
B. F.
alternadamente penas de cauda, acomfecha as e
panhando o movimento com
um
pio abafado.
nas campos malváceas, sobretudo Encontra-se a espécie nos de coiranas de grandes frutas azuis,
que enchem
que, por capoeiras as e
ramilhejuncados de ocasião da inflorescência, ostentam longos ramos consiste alimento tes de flores estelares, branco-amareladas. Seu
insetos colhidos de passagem. ta
de
um
galho
sêco,
vizado a êsse ponto de
Fica horas inteiras
em
empoleirado na pon-
dando mostra de paciência
e,
como que
escra-
instantes deescolha, poucos sua a êle regressa
pois de havê-lo deixado.
18
^SciELO
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22
23
24
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30
31
B. F.
AMETISTA
O. Amethystenus
Comprimento, quatro polegadas e inflado na ponta, agudo, prêto.
com
alto
Bico cilíndrico, reto,
da cabeça, da base do bico ao
de penas de aspecto escamoso e de côr verde-esme-
vértice, é coberto
ralda,
O
seis linhas.
reflexos de ouro polido, tendo nos lados e atrás outras me-
nos brilhantes, de tonalidades verde-alga e índigo; elas se tornam tanto mais longas quanto
poupa, ocultando
mais se afastam, do lugar de origem, e formam
uma pluma
reta,
estreita,
azul-escura, de dezoito
nhas de comprimento, e capaz de aprumar-se. Verde-bronze
com
li-
lu-
na parte superior do corpo e na cauda. Mento
cilações acizentadas,
de côr cinza e terminação
violeta, garganta,
peito e parte central do
ventre revestem-se de penas sedosas, do mais puro roxo de amor-perfeito,
com
reflexos azuis; hipocondriais esverdeadas. Anais cinzentas,
terminando
em
verde.
Retrizes
quadradas,
iguais,
em
verde-garrafa,
extremidades brancas. Cinzento-perola nos lados do pescoço, e pinta branca atrás do ôlho. Patas anegradas.
O
pintada de côres vivas, não se desprende
ta,
É
Ametista é o único dos beija-flores brasileiros de cuja gargan-
visto
na,
nenhum
reflexo metálico.
somente nos lugaxes onde cresce a espécie arbórea de belado-
que no Brasil chamam de marianeira, tão notável pela elegância
das flores
como pelo perfume suave que
elas
— exalam
explica e isso
a preferência por ele dispensada aos sítios à beira dágua e às capoeiras
próximas da mata virgem, únicos pontos onde pululam as
varie-
dades dessa planta.
Seu vôo é bastante rápido, porém muito irregular; acelera-o, na-o mais lento ou
como em plano estacionário
Não cervical,
com
mesmo o detém
a súbitas.
tor-
Muitas vêzes, desliza
inclinado, contraindo as asas; sustenta-se e
mantém-se
afastá-las e agitá-las violentamente!
pena raro o Ametista pousa à menor sensação de mêdo; sua ordinariamente deitada, ergue-se então,
com
reflexos de ouro
anterior quando prata cintilarem na base, para retomar a posição e a atira ap pássaro, seguro, se inseto o já
que lhe passe ao alcance.
Encontra-se nas cercanias de Cantagalo e de Bananal. que,
em
1
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3
4
5
6
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8
9
10
tão raro
exemplares. dois cinco anos de pesquisas, só consegui obter
19
cm
É
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SciELO 18
B. F.
MALAQUITA O. Serie eus
Comprimento, cinco polegadas e meia; metade corresponde às Bico subulado, preto e reto.
retrizes.
Uma
linha preta sai da comis-
em
sura das mandíbulas, alarga-se por baixo dos olhos, envolvendo-os parte, e acaba
reflexos
ao lado do pescoço. Frontais de côr verde-dourada, com
vermelho-cobre.
são compridas e sedosas)
(que
Dorso, coberturas alares e uropigiais
cobrem-se de bonito verde-dourado, emitin-
do lampejos alaranjados ou de amarelo puro, conforme a direção dos raios solares.
do nas
em
côr,
seis
Rêmiges anegradas. Retrizes bem escalonadas, dominanmedianas o prêto puro; bonita alvura nas
sua maior pureza, se derrama sobre tôda a
Esta
laterais.
plumagem
inferior.
Pés encarnados.
— Variedade Branco-pardacento. Verde-cinza, na plumagem § do mento e do
tral
As
peito.
bauínias de flores brancas e as espigas flamejantes das bana-
neirinhas-do-mato, flor,
cen-
ou
caetés,
atraem especialmente êste bonito
notável pela ondulação do vôo, que é
canto desagradável e agudo.
beija-
um
acompanhado por
Faz-se percebido de muito
longe,
seja
quando, de asas esticadas, parece deslizar no espaço, ou, juntando-as, se confia a seu próprio peso, seja ainda quando, suspenso diante
uma
flor, ostenta as
longas penas da cauda, cujo branco
de
visílustroso,
verdura sôbre fundo de o com o
vel apenas nesse instante, contrasta
qual se diria aplicado.
Embora
mo
as flores procuradas pelo Malaquita se
período, e as plantas que as
mostrem no mes-
produzem cubram grandes extensão
terreno, êle escolhe certas regiões,
e
'de
refugiar-se abandona para só as
outros mais perseguição de nas moitas espessas, onde espera escapar à pássaros mais corajosos, e
O
nem sempre tem
de
evitá-los.
em Bananal e Macaé, outubro; no em e córregos, setembro
longo das visto é ao
Malaquita, familiar
matas e à beira dos
sorte
ano, vive confinado na floresta virgem.
20
resto
do
B. F.
DE ORELHA
O. Auritus
Três polegadas e meia de comprimento. Bico prêto, subulado, mui-
pontudo.
to
verde-ouro, e
Verde-algo-dourado,
As
coberteiras.
tam quase
de
intensos
reflexos
as
de
vermelho-cobre,
retrizes
Rêmiges
esmeralda tirante a ouro.
frontais,
muito
uropigiais,
inteiramente
nas
compridas e
no
dorso,
e
sedosas,
pintam
se
de
Retrizes
violetas.
escamosa,
feição
manto ocul-
belo
verde-
iguais,
curtas,
de brancura marcante; nas quatro superiores, domina o prêto puro.
Olhos situados no centro de mancha prêta que desce para os lados
do pescoço, onde o azuhcerúleo colore penas largas e de aparência camosa.
Entre o prêto das auriculares e o branco nevoso de tôda a
parte inferior do corpo, há
na metade as quais
não raro
do comprimento
uma
faixa oblíqua, verde-ouro, que nasce
do bico e acaba ao nível das penas
inferior
se confunde.
— Variedade De
§
es-
total.
cerúleas,
com
Pés pretos.
Cauda Comprida. As
Manto completamente
retrizes
ocupam metade
verde-esmeralda,
com
re-
flexos alaranjados e dourados.
A
margem dos
rios
de parte da província de São Paulo é geral-
mente ornada com uma espécie de estramônio, de longas campânulas Durante o
pendentes, que ao cair da noite exalam cheiro delicioso.
miríades de insetozinhos enchem, o interior das corolas, e é para
dia,
apanhá-los que o B. F. de Orelha está sempre adejando diante delas. Este pássaro tem vôo ligeiro
mas
saltitante; estende e
cauda e pode
encolhe
al-
no espaço
ternadamente as
asas, abre a
ou
à vontade. Vítima da perseguição de outros beija-flô-
precipitar-se,
res e colibris,
para mais firme, foge dêles de vôo mais célere e
conder-se nas moitas mais espessas, grito
magoado.
para a
ficar estacionário
ou desaparecer no
Embora tenha corpo para
resistir,
ar,
soltando
falta-lhe
es-
um
coragem
luta.
Pássaro encantador, é muito visto nos meses de setembro e outubro; as regiões de
Macaé
Bananal contam o e
espécies ornitológicas mais interessantes.
21
suas entre igualmente
B. F.
DE LEQUE
O. Flabelliferus
Comprimento, duas polegadas e da
Penas
prêto.
em
escamiformes,
manto
coço,
e
nho-esverdeado,
nas
escuro
terminando
No
verde-puro
e
matizando-se
Nas
de
retrizes
em
com nas
roxo,
das
pes-
acobreados, Casta-
costas.
Violeta-
uropigiais.
escalonadas,
bico,
do
alto
reflexos
final
agudo,
do
volta
Cabeça,
ouro-polido.
no
Bico reto,
linhas.
da cabeça e
branco-enfumaçado
rêmiges.
em
alto
verde-brilhante,
tetrizes,
tom
de
faixa
e
do
fronte,
seis
castanho
purpúreo,
branco; verde-bronzeado uniforme, nas duas de cima.
mento e na garganta, penas compridas, com pêlos desunidos de tom
verdeceladônio e dourado fosco, erécteis. Auriculares escalonadas, gas,
em
lar-
verde-ouro puro, muito brilhante; lados do pescoço cobertos de
penas escalonadas, que oscilam entre duas linhas e
comprimento,
estreitas, espatuladas, extensíveis
uma
polegada de
reunidas e deitadas du-
rante o repouso, de côr verde-crê fosca, branca na extremidade. Gar-
ganta alva, tre,
em
em que
na parte
cada pena se matiza dê marrom, na origem. Ven-
central,
ruivo-enfumaçado,
com bordadura mais sombria
cada pena. Verde-crê nas hipocondriais, ruivo-acinzentado nas anais.
Linha de tom prêto veludoso, ao longo dos olhos.
Garganta peito: penas brancas, marginadas de castanho-escuro. e § Baixo ventre, ruivo. Retrizes bronzeadas, terminando em violeta e finalmente penas
O
em
branco fúlvido. Plumagem superior, verde-acobreada.
Sem
erécteis.
B. F. de
encontra-se
Leque é dos mais raros no
no cume das árvores mais
Brasil.
altas,
da
floresta para recaírem
virgens,
onde o atraem nume-
rosas eupatórias, cujos sarmentos flexíveis alcançam
lhos patriarcas
Nas matas
o cimo dêsses
sôbre o chão
em
ve-
longos e
floridos festões.
O bri-lo,
tamanho diminuto dêste pássaro
tornaria muito
difícil
desco-
denuncia não fôsse o sussurro que êle produz ao voar, e que o
de bem longe. Seu vôo é rápido e firme; sobe atê muito
quando de e
lá se
despenha produz
um
alto,
no
céu,
bala. semelhante ao da silvo
permaEnquanto executa essas evoluções, as penas de sua roupagem
necem
deitadas,
mas quando
leques largos dois a irritação o invade, os
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ouro. esmeralda lampejos de de e fulgem tons avançam, e abrem, se
A
penas longas fêmea, desprovida de
aspecto e o vôo de
um
cervicais,
de longe aparenta o
região Raríssimo na novo. Coleira, Beija-Flor de
dos para a orla Bananal. Desce mais visto na de de Macaé, torna-se bosques
em junho
e julho, e
em
capoeiras, pelas dispersa setembro se
de quantidade grande floresce onde então
hibiscos.
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DE
B. F.
SEIS-FILETES
O. Setiferus
Comprimento exteriores
cinco polegadas e oito linhas; as duas penas
total,
da cauda são as únicas a medir
três
polegadas e quatro
linhas; as duas seguintes, duas polegadas e cinco linhas. Estas quatro,
muito
estreitas,
pontudas,
em
cinzento-pardo,
com nervura média
bran-
co-prateada, são dominadas por duas outras mais largas, de treze linhas
de comprimento,
em
em
azul-negro, nervura branca; as outras,
de aço polido, são rudimentares. Bico prêto, subulado,
reto.
azul
Linha
branca por trás dos olhos. Frontais de aspecto escamoso, de côr verde-
esmeralda e ouro. Penas da cerviz e do pescoço, dorsais e
tetrizes, pin-
tadas de verde-crê rutilante; parte inferior das costas, atravessada por
uma banda
branca. Uropígio verde-dourado. Garganta, pescoço e peito
recobertos de penas à feição de escamas, de
um
verde muito brilhante
e dourado, passando por todos os matizes do verde-esmeraldino ao
verde-negro mais carregado. Estas penas se separam das abdominais
uma
de prêto puro por
cintura vermelho-cereja,
que
se
muda em
ala-
ranjado e limão. Lados brancos. Anais acinzentadas.
Cauda § co.
de aço polido, terminando
curta, bifurcada, côr
Garganta pouco brilhante;
em
em
bran-
prêto enfumaçado, a parte baixa do
corpo.
Notável pelos apêndices setáceos que a terminam, esta espécie da o é mais pela mobilidade de
côres.
O
Seis Filêtes ostenta
ain-
na gar-
ganta lampejos de esmeralda, ouro e jade, misturados, mas, conforme
menor
a posição do corpo, ganhando maior ou
intensidade; êste cede
àquele todo o espaço, para recuperá-lo por sua vez, ao mais leve mo-
vimento do pássaro.
Ao
levantam,
flor, se
um
voar, suas retrizes se aproximam,
rival
cume
o ataque, e
um
basta que a
elas se
ao formando afastam subitamente, da base
em
O
cume
se colocam
linha horizontal.
zumbido agudo ou,
chegada.
mão
uma
que apanhe, ou do caçador o
ângulo obtuso muito pronunciado, quando não
por assim dizer
O
mas
e,
ao adejar diante de
às vêzes,
a anunciam sonora lhe crepitação a
conizas, eupatórias das e florido das e
em
geral as
ocupadas espigas das mimosas e das marianeiras atraem legiões dêles,
24
durante o
quer
em
leirar-se
dia inteiro,
brigar
ou
quer
em
perseguir os insetos que aí enxameiam,
se divertir entre
na ponta de
um
si.
O
vencedor da luta vai empo-
raminho sêco ou à superfície de
um
corimbo
baixo penas cauda, que então se as da florido, sacudindo de alto a juntam.
Bananal Macaé, e o Habitante das regiões de primeira, na numeroso ano, seu abrigo está
Seis-Filêtes é
mais
sobretudo de agosto a outubro; no resto
na mata virgem.
25
do
B. F.
RUBI
O. Rubineus
Comprimento,
três polegadas.
do pescoço, manto,
com
Bico subulado, prêto. Cabeça, alto
coberteiras e uropigiais recobertos
reflexos de ouro.
Na
base da metade inferior do bico nascem pe-
nas longas, de aspecto escamoso, ou imbricadas, triângulo,
mim
de côr
de bonito verde
rosa-escura,
em
erécteis, dispostas
adquirindo tons mais intensos de car-
meio-colar peitoral cinpúrpura-arroxeada. Garganta branca e de
za-pérola.
Traço branco
Abdômen
lida.
e
Flancos de tonalidade verde-pá-
pós-ocular.
cinza-pardacentos.
anais
ostentando bifurcadas, zes vivamente
em
Rêmiges
violáceas,
retri-
em
baixo
cima verde-bronze,
roxo-pardacento. Pés pretos.
§
bem
Mesmas
tonalidades,
visível. Retrizes
O
sem o
rosa na garganta; traço pós-ocular
mais curtas.
principal característico
do Rubi
surgem da base do bico e que, avançando, formam com agudo, quando o pássaro é tomado de
O
ira
êle
um
jequitibá, a
ou de mêdo.
vê-lo.
Assim, quando zumbe no alto do couratari, ou
mais de cem pés de altura, e brinca entre os cachos odo-
dêsse gigante da floresta, cujos galhos pejados de flores pa-
recem recobertos de neve, o olhar tem grande dificuldade bri-lo,
um
mas ainda nessa elevação
faz
zangão volumoso a dois passos de
em
e se
distância.
acumulam no tôpo das montanhas, o Rubi
comum. Desce então para palham
dosséis
desco-
rumor tão agudo como o de
Quando, em dia quente e tempestuoso, espessos vapores
vam
ângulo
vôo, rápido e ruidoso, adverte-nos de sua presença muito antes
que possamos
ríferos
que
consiste nas penas róseas
as capoeiras e para as
se torna
se ele-
muito
campinas onde se
es-
de lantana rosa e de aurora, não os deixando nem mes-
mo
enquanto tiram vida tantos pássaros, sob torrentes de chuva que a a
êle,
apesar do seu tamanho diminuto, não é por elas afetado.
Esta
bonita
espécie
é
encontrada
desde
Buenos
Aires
o
até
Canadá, e some nesta última região ao se aproximar o inverno,
re-
gressando para anunciar as flores da primavera, logo que o sol recobra força para aquecer novamente a terra.
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DE COLEIRA
B. F.
O. Ornatus
Duas polegadas lado,
escarlate,
um
cando
Bico reto, subu-
linhas de comprimento.
e seis
terminando
em
preto.
verde-esmeralda cer-
Frontais
tufo de penas compridas, afiladas,
cor de
erécteis,
terra-
queimada. Cabeça, pescoço e manto, verde-enferrujado com reflexos branco puro. Uropígio roxo-avermeouro; parte baixa dorso, de do lhado; a parte inferior do pescoço e a garganta cobrem-se de penas verde-esmeraldina, tonalidade de
camiformes, polido.
Nas
partes laterais
do
em
lampejos de ouro
pescoço, penas escalonadas, cortadas
ângulo reto na extremidade, dispostas são brancas e terminam
com
em
tira verde-crê.
leque
Abdômen
em forma
em
laterais,
ze;
cinzento-pardo. Hi-
marrom
tôdas
em
ruivo.
Rêmiges de
verde-bronas superiores, duas de cunha;
terra-queimada puro,
brilhante,
em
penas
erécteis; estas e
pocondriais esverdeadas. Anais verdes, bordadas de côr violeta. Retrizes
es-
com
terminação negra
em
cima;
baixo. Pés róseos.
— Arruivado em Variedade §
frontais, borVerde-escuro nas baixo.
dadas de ruivo, sem tufo.
O
que penas dois leques de pelos B. F. de Coleira, assim chamado
lhe
ornam
sil.
A
as partes laterais
fêmea, especialmente,
mento, e se parece
com um
do
pescoço, é
menor o
máximo tem no
ortorrinco
Brado
comprilinhas de dezoito
grande zangão; como
pássaro não raro êste ruidoso, confunde-se muito
seu vôo é pesado e
com
quando
insetos,
altura. certa a
Tôdas
flores as
planta de pequenas
o atraem, mas
é visto principalmente sôbre
corolas verticiladas,
uma
que pela folhagem branca e
plantas lantanas Visita igualmente e verbáceas. tomentosa recorda as corimbíferas.
Sempre em
movimento, e vivendo geralmente em sociedade,
êstes
constantes; dois encantadores travam combates ou três se elepássaros
vam
perpendicularmente, muitas vêzes fora do alcance da
fadiga ou eriçando penas, até que a jando o bico e as o
vista,
mêdo
darde-
restaure
contendores. os a paz, separando
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ano inteiro, Coleira durante Encontra-se o B. F. de o Brasil.
maior, e também ímpeto Parece voar com
tempestade. anuncia intenso, quando o tempo ouvir permite tudo, que nos
uma
E
em
todo o
fazer barulho mais
nessa ocasião, sobre-
realmente extrasonora crepitação
pequenino. pássaro tão diria vir de não se ordinária, e que
-SISTEMÁTICO CRÍTICO ESTUDO TRATADOS DOS BEIJA -FLÔRES RT1LZ POR DESCOU POR Pinto de Olivério M. O.
O
nome do Dr. Théodore
Descourtilz é dos mais familiares aos
que entre nós se dedicam ao estudo das
como
aves,
uma
autor de
Ornitologie brêsilienne, obra notável antes de tudo pela magnificência
de suas estampas coloridas.
Não
obstante, impressiona
o
absoluto
si-
lêncio das fontes de consulta sôbre a personalidade dêsse distinto ob-
servador, que, segundo se infere das informações por êle próprio prestadas, antes
ma
de vir para o Brasil deve
ter sido
das Antilhas francesas, dedicando-se ao
médico
clínico
mesmo tempo
naturais e à pintura aplicada ao estudo dêsse
em
algu-
ciências às
ramo de conhecimentos.
Alfredo de Carvalho, a cuja opulenta brasiliana, conforme se conclui do consignado
em
sua inestimável "Biblioteca Exótico-Brasileira”, terão per-
tencido os manuscritos da obra que dá motivo a estas notas, diz-nos ter êle
chegado ao Rio de Janeiro em 1830,
não
ano
antes, portanto,
do
questão. Informação difícil de
ser acreditável
que no curto lapso de tempo
decorrido entre as duas datas pudesse o autor ter tido tempo para
var conhecimento
com
ocupar-se, e muito
in-
em
dicado na página de rosto da obra ser admitida, pôsto
um
tra-
tôdas as espécies ornitológicas de que vê-lo-emos
menos para
realizar as viagens
de que são prova as
muitas localidades de coleta de material por êle mencionadas no texto
de "Oiseaux-mouches orthorynques du Brésil”. Seja como
fôr,
parece
beija-flôres maior atração dúvida terem sido os a exercida sôbre fora de
Descourtilz pela nossa natureza, até aquêle
momento
circunscrita à então
apenas do extremo Rio exceção nordeste província do de Janeiro, com
da
Bananal referências a se rePaulo, suas freqüentes caso as de São
nome. lacionem com a atual cidade paulista dêsse
29
autor faz localidades a que Entre as demais o
menção ao
tratar
exemplares, procedência de seus da distribuição das suas espécies e da
onde particulariza na Serra dos Órgãos, as de maior altitude situam-se a fazenda do
em
Friburgo;
Morro
colônia de tarde da Queimado, sede mais
Nova
ocorre vale Paraíba, baixo, no do rio muito mais nível
demorando
Sul, Paraíba do mencionar Cantagalo e
norte de Cabo Macaé, ao marítima, como
Angra dos Reis), defronte da
as restantes
Frio, e Ilha
na orla
Grande
(atual
nome.
ilha dêsse
Planejando o seu trabalho, restringe-o Descourtilz aos beija-flôres
chamados Ortorrincos, com o que
por êle
exclui os
que possuem bico
bom número
longo e encurvado, deixando assim de parte
das espé-
inclusive mais nopercorrida, algumas das cies peculiares à área por êle
pela elegância das
táveis
zonas
nas
habitadas.
avantajado do porte e freqüência
formas,
Isso
pràticamente
são
pôsto,
contemplados
excenaquele quadro, sem incluídos da família todos os membros
região torprogressivo da desbravamento que o tuar algumas formas
Gouldomyia de como caso hoje, é o naram muito raras nos dias de nosso pertencera gabinete do (Temminck), cujo tipo ao langsdorffi
pri-
limites dentro dos talvez colecionado terá Rússia, que cônsul da o meiro
nosso que todavia o Lembre-se Rio Janeiro. cidade do de da própria autor não
em empenho, mesmo no
observações que fêz as suas já
na época ali
(1815)
e,
precedido haviam outros o
Delalande particularmente, (1816),
Wied Maximiliano de credidevemos quem a
uma
espécies, dúzia meia de
o
entre êles
príncipe
conhecidos de exemplares primeiros tar os
1818. 1816 e entre
Vieillot, por descritas tôdas quase
Sem
nenhuma
descobrir oportunidade de teve a
pois nova, espécie
muito tendo bibliográficos, e recursos parece, de que dispor, ao
é de não para comparação, museu material de alcance menos ao seu
Descourtilz haja admirar que
incorrido
em
ao enganos, seja alguns
de diverso (caso sexo indivíduos de diferentes espécies descrever como distinperfeitamente e-pécies confundindo glaucopis), seja Thalurania tas,
Anthracothorax e Melanotrochilus fuscus de caso como é o
M. nome "O. mesmo o
collis,
desenhos se respectivos sob cujos
como
do segundo, variedade do simples fôsse primeiro se o
lê
nigri-
noir
,
qual, aliás,
descrição. a encontramos não
No
nomenclatura, respeita à que
mesmo
haver o de hipótese na
trabalho, seu ao publicação pronta dar logrado nosso autor
estavam seus nomes antigos. mais tros
A
em
cair fadados a
propósito, êste
todos os
oupor suplantados sinonímia,
convém
conque ao observar ainda
30
^SciELO
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30
enfeixa lineanas suas espécies, que às ferir denominações
uma
gênero,
em
preocupara vez não só se
num
único
mencionar o nome genérico
Orntsabreviatura talvez de inicial O., limitando-se usar a adotado, a
em
myia, muito
tempo. autores de seu voga entre os
Tudo levado em
Descourtilz sôbre os beijaconta, o trabalho de
flôres vale sobretudo
direito troquílidas de bico iconografia dos
no Rio de
encontradiços
ao
modo de
como
relativas observações pelas e, depois, Janeiro;
freqüentam, que lugares fisionomia dos a
espécies, vida das
dessa naparticularidades mais visitam, e preferência que flores de as tureza, tudo
vasado
em
linguagem não
poesia, raro cheia de
onde o
a nota predosempre é belo paixão pelo Natureza a e sentimento da
minante.
Mais
ampliando o raio de
tarde,
Descourtilz escolhido ter rece
panaturalísticas, suas excursões
como campo
então trabalho a preferido de
quase tôda, até então, inintercoberta de província do Espírito Santo, faina, mataria. Foi nessa rupta e densa
motivo bastante para ver per-
surpreendeu nome, a morte que o petuado o seu
em
de janeiro de 13
Museu ao serviços prestados nosso muitos anos de cabo de ao 1855, Fred. pela mão de naturalista-viajante como Nacional, onde ingressara diretor Burlamaque, então da Leopoldo C.
instituição.
LISTA SISTEMÁTICA DAS ESPECIES Melanotrochilus (Vieillot, 1817)
O O.
adulto desta espécie é descrito in-extensu sob o
ater”.
A
A
êle corresponde
também
a Pl. 2, "O.
M.
nome de
Noir, varieté”.
descrição abreviada, atribuída por Descourtilz ao
corresponde, pelo contrário, ao jovem,
bem
— "O. M. Noir
d'
(macho) da
espécie,
caracterizado pela presença de fer-
rugem (“roux-acajou”) nos lados da garganta.
A
“varieté tout noir”, referida na descrição, corresponde ao indivíduo ple-
namente adulto desta espécie de sexos semelhantes. Nota.
A
“Planche première”, a despeito da legenda (“O.
M. Noir”), nada
tem que ver com a espécie em questão, pois representa inconfundivelmente o macho do
beija-flor
Aphantochroa
Os
de peito denegrido, Antbracothorax
cirrochloris (Vieillot, 1818)
adultos de
ambos os sexos
— “Planche ne umbrosus”. A O. responde ao
d'
nigricollis nigricollis.
se
acham
4”, que
(macho) adulto desta
descritos pelo autor
em "O.M.
nome mesmo como tem o
Ter-
legenda, cor-
espécie.
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Amazilia fimbriata tephrocephala (Vieillot, 1818)
O
d”
7” adulto desta espécie corresponde à "Planche e à des-
(macho)
crição in-extensu
— Cuivré
do “O.M.
O. Cupreus” de Descourtilz, nome sob
como “Var.
o qual aparece descrito também,
Lesson (
Amazilia versicolor brevirostris
à
Gorge Blanche”, o adulto de
à enquanto que, como “Var. 1829),
o jovem dêste último. Os desenhos destas duas supostas
Pailletes”, se encontra
variedades correspondem, respectivamente, às “Planches” 9 e 8,
como o indicam
as suas legendas.
Amazilia versicolor brevirostris (Lesson, 1829)
O
como acabamos de ver, se acha descrito em “O.M. Gorge Blanche”, ao passo que o jovem é tratado sob
adulto desta espécie,
como “Var. à o mesmo título, como “Var. Cuivré”,
Ambos
à Paillettes”.
9” desenhos, ao adulto correspondendo a “Planche
e
acham representados em
se
8”. a "Planche
ao jovem
Hylocharis cyanus cyanus (Vieillot, 1818)
Dêste
descrito e figurado
— Saphir O. P
buída à
descobrimento se
cujo
beija-flor,
(PI.
o
12)
Saphirinus”.
Em
d’’
em nada
Hylocharis sapphirina
Descrito
se
(macho) adulto,
inferiores
assemelham
bem com o nome de “O.M. Delalande,
às
A
as características atri-
branco-acinzentadas,
com
mistura
do sexo oposto.
com o nome de “O.M. Saphir-Emeraude
adulto da espécie.
acha-se
(Wied, 1832)
latirostris
figurado na “Planche 11”, tratando-se
não parece
a
compensação, são obscuras
(fêmea), cujas partes
irregular de verde,
deve
num
—
O. Coerulescens” e
e noutro caso de
um
d”
((macho)
suposta “Varieté” a que Descourtilz faz breve referência
ser outra coisa senão
o macho imaturo, pois à fêmea
que é brancacenta, como
indício de anil na garganta,
falta
qualquer
as restantes partes inferiores
do corpo.
Chlorostilbon aureoventris pucherani (Bourcier
O o
d*
(macho)
nome de “O. M.
dêste
beija-flor
— Emeraude
que o autor não reconheceu a diria
que “os dois sexos
se
vem
&
descrito
Mulsant, 1848)
e
figurado
(PI.
10)
com
O. Smaralgdinus”. “Pela descrição, verifica-se
P
(fêmea)
desta
espécie;
caso contrário não
assemelham, afora levíssimas diferenças”, pois a
verdade é que a fêmea difere gritantemente do sexo oposto, não só pela ausência
sem
completa de côres metálicas nas partes inferiores, que são cinzento-pardas, brilho,
como também
pelas rectrizes laterais, brancas na extremidade. Hell-
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Mus. Nat. (Field mayr
1929, p-
390),
de Rio designou fêmea), o rotulado como jovem Mus. (um macho
&
como
Janeiro
XII,
Ser.,
pucherani Trochilus restante do único cótipo Paris o de
no Museu examinar de Bourc
Hist.
Publ., Zool.
depois
subespécie. atual típica da localidade
(Gmelin) glauco pis Tbalurania
como
beija-flor, dêste sexos dois Descourtilz tratou dos
uma espécie "O.M. Hirondelle
assim é
particular;
Quanto à
— Gris
—
O.
descrita
descrito
foi
sob a
“O.M. de denominação
6”, igual sob “Planche na figurada Leucogaster” e O.
Anthracothorax
Não dá “Planche lère.
— O.M.
à Ventre
nome.
corresponde mas ela a descrição desta espécie,
Descourtilz a
5.
1817)
(Vieillot,
nigricollis
com o nome de
Planche na representado fielmente e
furcatus”
(fêmea), foi
iP
que o macho
fôsse qual se cada
Noir”, como
a
advertir, a proocasião de tivemos a já
(Vieillot). Melanotrocbilus juscus pósito de
Leucochloris albicollis
1818)
plumagem,
distinguir pela impossíveis de sexos beija-flor, de êste lindo
É
um
(Vieillot,
dos mais
perfeitamente descritos
M. denominação de “O. que lhe dá a
e figurados
(Pl.
13)
por
Descourtilz,
— Torquatus”. Hausse-col O.
Clytolaema rubricauda (Boddaert, 1783)
Em “O.M. de
um
Topaze
—
O. Granatinus” acham-se
na “Planche 3
e outro sexo; por sua vez,
presentado o
bem
—
descritos os adultos
O.M.
topaze” está re-
sexos dissemelhantes. adulto desta espécie, de (macho)
c?
Heliotbrix aurita auriculata (Nordmann, 1835)
Ao courtilz,
beija-flor
em
questão se referem nada menos de três desenhos de Des-
quais sejam os
16 e 17. 15,
das pranchas
Dêstes, o primeiro deve
desenvolvido, descreve incompletamente que autor corresponder ao macho o
como “O.M. fêmea sição
adulta,
Malachite descrita
—
-
O.
Sericeus”; o segundo,
como “O. M.
de ser simples variedade
Malachite, finalmente,
dêste;
—
como “O. M. à Oreilles características que com tôdas mente adulto, as aparece
(Boddaert, ametbystina Calliphlox
E m "O. M. dêste beija-flor,
— Rubis um
sem a menor dúvida, à
Varieté
o
Grivelé”,
terceiro,
O. Auritus”, ajusta-se ao
cuja
na supodescrição
macho
plena-
peculiares. são lhe
1783)
sexos dos adultos dois descrevem-se os rubineus” O.
trata de que entre os distribuição área de mais larga de
35
Descourtilz, visto que ocorre
dos Andes.
A
em
quase todo o continente sul-americano, a leste
22” “Planche representa o macho, com sofrível fidelidade;
porém, o desenho da fêmea, que
xiste,
aliás
difere
como
escudo purpurino na garganta, a cauda curta e antes truncada,
com
do sexo oposto muito mais
não só lhe
do que faz supor a brevíssima descrição, pois
ine-
falta
o refulgente
tem, afora diferença outras
de colorido,
marcadas de branco.
rectrizes pontas das as
Stephanoxis lalandi lalandi (Vieillot, 1818)
Ao macho
que o agudo topete nucal
adulto dêste magnífico beija-flor,
desenho correspondem descrição e torna inconfundível, a o
chamou
“O.M.
Descourtilz
— Améthyste
que do 14)
(Pl.
Améthystènus”. Faz como parte, O.
Delalande, por A. o descobertas no Rio de Janeiro tantas outras, das espécies
Auguste companheiro de conhecido
Lophornh magnificas
em
de Saint-Hilaire
sua viagem ao Brasil.
1817)
(Vieillot,
23”, “Planche com o nome de “O. M. Huppe-col”, Dá-nos a
do macho adulto dêste a
que
pertence.
de “O.
latino
A
beija-flor,
um
mais dos
omite qualquer
ferente, faltando-lhe de todo não só o
pescoço,
sem
falar
ornamentos da família
ricos
que ao supracitado acrescenta o nome
respectiva descrição,
ornatus”,
bom desenho
fêmea, que é muito
refrência à
topete
como
penachos
os
no colorido da plumagem, que de comum com
tem quase só oposto
laterais
a
di-
do
do sexo
garupa. faixa branca na verde das costas e a colorido o
mais curta, cauda muito Apresenta, além disso, a
com
ponta das
a
rectrizes
côr clara de ferrugem.
Lophornis chalybeus (Temminck, 1821)
“O.M.
Este é o creve
com
—
Flabellifère
O. Flabelliferus” de Descourtilz, que des-
satisfatória fidelidade tanto o
macho como
a
fêmea em estado adulto,
18” 19”. Embora representando o primeiro na “Planche e a segunda na "Pl. reproduzir brilhantes tonalidades de desenhos estejam muito longe de as êsses colorido que tornam esta beija-flôres, são êles
espécie minúscula
a
em
seu celebrado
Coloriées”.
(Temminck, 1821) langsdorffi langsdorffi
Dêste pequeno
bém
das mais belas entre os nossos
superiores aos estampados por Temminck
“Nouveau Recueil de Planches
Gouldomya
uma
colibri,
hoje extremamente raro nas coleções, dá-nos tam-
ambos os
Descourtilz a descrição e o desenho dos adultos de
denominação de “O. M. à
Six-Filets
— O.
Setiferus”.
O
sexos,
sob
desenho do macho,
20”, incontestàvelmente se vê na “Planche é muito superior ao de Temminck, que
que em
diz famosa obra não sua
21” che pelo nosso
ter
conhecido a fêmea, estampada na “Plan-
autor.
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LISTA DAS
1
.
2
.
(Vieillot), adulto (sexos semelhantes)
Apbantochroa
5.
Tbalurania glauco pis (Gmelin), macho
6
Tbalurania glauco pis (Gmelin), fêmea
.
cirrocbloris (Vieillot), adulto
(sexos semelhantes)
7.
Amazilia tephrocepbala (Vieillot), macho
8
Amazilia versicolor brevirostris (Lesson), fêmea
.
.
11
.
12
.
Idem, imatura Cborostilhon aureoventris pucberani (Bourc. Hylocbaris sappbirina
latir ostris
& Muls.),
macho adulto
(Wied), macho adulto
Hylocbaris cyatius cyanus (Vieillot), macho adulto Leucochloris albicollis
14.
Stepbanoxis lalandi lalandi (Vieillot),
15.
Heliotbrix aurita auriculata (Nordmann), jovem
16.
H.
aurita auriculata
(Vieillot), adulto
(sexos semelhantes)
13.
macho adulto
(Nordmann), fêmea adulta
Heliotbrix aurita auriculata
(Nordmann), macho adulto (Temminck), macho adulto
18.
Lopbornis cbalybeus chalybeus
19.
ldem, fêmea
20.
Gouldomyia langsdorffi langsdorffi (Temminck), macho adulto
21
Idem, fêmea
22 /
Melanotrocbilus juscus
macho adulto
4.
y i7.
.
(Vieillot),
nigricollis
Clytolaema rubricauda (Boddaert), macho adulto
10
/
Anthracothorax
3.
9.
/
PRANCHAS POR ORDEM DE SEQÜÊNCIA
.
.
23.
(Boddaert), macho Callipbox amethystina
Lopbornis magnificus (Vieillot), macho
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