Portfolio M. Arch

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portfolio architecture

Franรงois Angers-Routhier


FRANÇOIS ANGERS-ROUTHIER Étudiant à la maîtrise en Architecture

ÉDUCATION

2002-2007 : Diplôme d’études secondaires, Collège Regina Assumpta

2007-2011 : Diplôme d’études collégiales, Collège Montmorency

2012-2014 : Mineure en Urbanisme, Université Concordia

2014-2017 : Baccalauréat en architecture, Université de Montréal

2017-2018 : Maitrîse en architectuure, Université de Montréal

EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES

2007-2010

Commis aux comptes à payer, Vidéotron Ltée, Montréal

2010-2011

Répartiteur, Vidéotron Ltée, Montréal

2012-2017

SAQ Agences, Région des Hautes-Laurentides

2017

Jacques Parent, architecte paysagiste

MAÎTRISE DES LOGICIELS

Administration et rédaction : Suite Microsoft Office (Word, Powerpoint, Excel)

Dessin : AutoCAD

Modélisation 3D : Rhinoceros, SketchUp

Visualisation et rendus : V-Ray, Podium, Maxwell

Post-production: Adobe Photoshop, Illustrator et InDesign

Production vidéo: Adobe Premiere Pro et After Effects


Conception assistée par ordinateur 4 Maison du collectionneur 6 Logement collectif 8 Résille solaire 14 Pavillon de la paix 16 Maisons sur l’eau à Tsukudajima 22 Agrandissement de l’école Sophie-Barat 30


Immersion avec la nature hiver 2015 dirigé par Tom Balaban _sketchup_maxwell_photoshop Faire vivre l’architecture que l’on conçoit. L’objectif est de recréer une ambiance d’immersion de l’utilisateur avec la nature d’un point de vue intérieur du bâtiment. Volumétrie développée préalablement en atelier à laquelle des textures photo-réalistes sont appliquées dans un premier essai avec le logiciel de rendu Maxwell. Une post-production en Photoshop vient accentuer certains détails et finaliser l’effet d’immersion.

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Résille sur bâtiment générique hiver 2015 dirigé par Tom Balaban _rhino_grasshopper_photoshop

L’idée est de créer une protection solaire pour un bâtiment générique en verre qui est surexposé. Une volumétrie de base est conçue sur Rhinoceros 3D pour ensuite être acheminée vers le logiciel Grasshopper qui permet de mettre en place des contraintes spécifiques dans un algorithme qui génère des motifs répétitifs. D’abord, un module de montage en tubulure d’acier vient créer un effet de vague en façade. Ces tubulures sont ensuite régulièrement montées d’un motif conçu au préalable et permettant une filtration de la lumière de même que des jeux d’ombres intéressants.

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Maison du collectionneur

Conception d’une maison de ville contemporaine pour un couple de collectionneurs sur un site

automne 2015, 2 semaines

végétation environnante et surtout la ruelle verte qui sillonne les maisons et les connecte entres elles

dirigé par Sébastien St-Laurent

par l’arrière, accentuant ainsi l’esprit de communauté.

localisé en face du Centre Canadien d’Architecture. Celui-ci est choyé par son emplacement, la

L’exercice offrait la possibilité de choisir un parti architectural et d’élaborer un scénario de commande libre à l’imagination. Sous le thème des architectes constructivistes russes, le scénario se développe autour d’un chercheur de la National Geographic et d’une collectionneuse d’œuvres qui demandent chacun quelque chose de particulier à l’architecte. Ex-plongeur, l’homme a été victime d’un accident de décompression sous-marine et nécessite des traitements à l’oxygène en chambre hyperbare de manière chronique. La femme, détentrice d’une collection de dessins de Iakov Chernikhov désire un espace pour afficher sa collection personnelle qui pourrait être visitée par le public durant certains jours de l’année, de concert avec les expositions du CCA. La maison doit donc avoir un programme flexible et accommodant pour recevoir des visiteurs mais doit avant tout fournir un espace domestique adapté et accueillant. Elle agit donc comme un vecteur communiquant entre la maison, son environnement et le CCA.

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Logement collectif automne 2015, 10 semaines réalisé avec Philippe Drouin dirigé par Sébastien St-Laurent

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1:400

Un site de stationnement occupant deux lots privilégiés du Vieux-Port de Montréal doit être redéveloppé en projet de logement collectif. Un programme spécifique est émis et comprend principalement des espaces commerciaux, un amphithéâtre, un stationnement souterrain, des rangements pour vélos, des ateliers de conception et un minimum de 25 logements locatifs.

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exposition et amphithéâtre

basilaire commercial et utilitaire

logements et ateliers

circulation


La conception prend son origine principalement de l’idée d’un volume basilaire utilitaire en verre, où se trouvent commerces, accès au stationnement, salles mécaniques et cages d’escaliers, surmonté d’un aménagement ludique de logements, comme un casse-tête de blocs. Chaque logement est muni de deux terrasses

plan d’un logement typique 2e niveau

plan d’un atelier - 2e niveau

extérieures et l’emphase est mise sur la qualité de vie en communauté où les espaces résidentiels et publics sont étroitement connectés. La tectonique des bâtiments est principalement de béton, de verre clair et de verre givré à l’exception des terrasses résidentielles qui sont lattées de bois.

plan d’un logement typique 1er niveau

plan d’un studio

plan d’un atelier - 1er niveau

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2ème étage

3ème étage

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Niveau accès et stationnement

Délimitée par trois portes cochères aux extrémités, un axe visuel et piétonnier vient relier les des deux lots et créer une nouvelle allée commerciale à l’intérieur du complexe de logements. Celle-ci est bordée du côté sud par une agora extérieure où les passants peuvent se reposer, manger et se rencontrer. Un centre d’exposition sur deux étages relie cette agora à la rue Saint-Nicolas. Sous terre, un amphithéâtre de 90 places est disponible pour des événements communautaires et rejoint les aires de livraisons et le stationnement.

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Résille solaire hiver 2016, 2 semaines réalisé avec Philippe Drouin, Étienne Beaudoin-Mercier et Mariane Desjardins dirigé par Léa Zeppetelli

Une résille solaire permet de tempérer le microclimat du bâtiment en le maintenant à une température confortable. En limitant une entrée trop intense de lumière, la surexposition et l’éblouissement des usagers est atténuée tout en facilitant le maintien de la stabilité de température intérieure, ce qui permet d’éviter une surcharge des systèmes mécaniques. La résille est inspirée d’un projet de Kengo Kuma et utilise un principe d’assemblage de bois qui provient du jeu japonais Chidori. Une maquette prototype d’échelle 1:1 en bois de pin a été réalisée pour nous permettre de mieux apprivoiser la construction avec des matériaux véritables. Un intérêt particulier a été apporté au travail de la jonction, à l’assemblage et à la tectonique du bois.

principe du Chidori

45°

pivotement et diminution d’échelle

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54,7°

réduction 3:4


Afin d’augmenter la surface filtrante parallèle au mur rideau, des bandes de vinyle viennent renforcer le caractère tridimensionnel de la résille.

assemblage

solstice d’été

solstice d’hiver

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Pavillon de la paix hiver 2016, 9 semaines réalisé avec Mariane Desjardins dirigé par Léa Zeppetelli Le mandat du projet est de proposer une solution d’agrandissement du Musée des beaux-arts de Montréal. Le site à exploiter est dans une portion densément occupée du centre-ville, dans un quartier jeune et dynamique à proximité des universités Concordia et McGill. Nous recherchons une intégration respectueuse à l’historique du quartier en proposant une simplicité épurée des formes et de la tectonique du bâtiment. La volumétrie du pavillon résulte principalement d’un empilement de volumes accentué d’un effet de glissement optimisé pour s’aligner sur l’environnement bâti. Le parcours muséal s’entrecroise avec la vocation éducative du musée dans un mélange d’ateliers flottants et d’espaces d’expositions. Un jardin de sculptures est aménagé au toit du rez-de-chaussée et des ouvertures ponctuelles dans l’enveloppe permettent de cadrer des vues durant le parcours qui se termine aux étages supérieurs et ce, dans un espace ouvert et éclairé qui offre d’une part des observatoires sur la ville et d’autre part sur le Mont-Royal.

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N


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alignement avec maison victorienne voisine

augmentation de l’aire d’attente extérieure pour les groupes

un volume consacré aux salles d’exposition s’aligne au musée existant et crée une connexion a l’arrière

expositions ateliers atrium observatoire jardin de sculpture circulation vestiaires/espaces mécaniques vestiaires sortie de secours

rez-de-chaussée

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un dernier volume vient ouvrir le musée sur la ville, avec un point de vue sur le Mont-Royal et un sur le fleuve St-Laurent


1er

2e

3e

4e

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Maisons sur l’eau à Tsukudajima été 2016, 6 semaines réalisé avec Daniel Henao et Alexandre Harton dirigé par Jacques Lachapelle et Guillaume Pelletier Dans le cadre de l’atelier hors les murs 2016, un voyage de 5 semaines au Japon nous a sensibilisé à la culture du pays. Sous le thème des architectes métabolistes japonais, un projet d’atelier a été réalisé durant les trois dernières semaines à Tokyo avant de se terminer à Montréal. Le Japon offre une perspective unique qui amène sans contredis une réflexion sur l’espace que nous occupons et construisons en tant qu’individu. L’objectif de l’atelier est centré sur une intégration harmonieuse dans un environnement bâti logeant pas moins de 35 millions d’habitants.

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photographie et photocollages du cheminement conceptuel

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N

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Le site choisi est un village de pêcheurs relativement isolé et délimité par un canal, un pont et la rivière Sumida qui offre une voie maritime directe vers le Pacifique. Avec le réputé marché de poisson Tsukiji à proximité, la tradition du village repose presqu’essentiellement sur la pêche et ce, depuis plusieurs générations. Le canal existant permet de délimiter, circuler et stationner les bateaux des pêcheurs. L’idée de l’extension est de garder cet aspect utilitaire et le rendre encore plus accessible pour chacune des maisons. Un muret de béton brise-vague vient délimiter la nouvelle extension du village sur la rivière. Le site utilise donc l’espace résultant de la convergence des axes du canal et de la rivière. La proposition fait partie d’une intervention architecturale réalisée conjointement avec deux autres étudiants, qui ont respectivement développé un projet de rive et un projet de pont habité. Toutes les 29 maisons flottantes sont reliées par un système de quais ainsi qu’une promenade publique adjacente à la rive parsemée d’espaces d’eau et de végétation qui marque une limite entre le projet de rive et le projet sur l’eau.

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1 LDK @ 33m2

1 LDK @ 41m2

2 LDK @ 58m2

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Trois typologies différentes sont aménagées et réparties pour accommoder une variété de noyaux familiaux. La réflexion de la lumière sur l’eau vient ajouter une caractéristique importante aux unités d’habitation et exploite leurs fenestrations pleine hauteur en les baignant de lumière. Avec la densité urbaine énorme de Tokyo, la création de projets qui proposent l’addition de nouveaux terrains d’occupation et qui nécessitent peu de démolition ont été grandement appréciés des tuteurs japonais auxquels ils ont été présentés. La conception des maisons s’est faite de manière à représenter la maison du pêcheur moderne, modeste dans sa forme mais d’un design fonctionnel et efficace. La transition de public à privé se fait grâce à la progression des espaces dans la maison.

progression de la privauté dans la maison

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espaces traversants


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Agrandissement de l’école Sophie-Barat Automne 2017, 12 semaines dirigé par Geneviève Marsan Le projet prend place dans un contexte d’agrandissement de l’école secondaire Sophie-Barat à Montréal. Le site bicentenaire figure parmi les plus vieux de l’ancien Sault-aux-Récollets. L’école, agrandie plusieurs fois à travers les années, est aujourd’hui dans un processus de rénovation. Un ancien pavillon, la maison des jeunes, a brûlé dans les années 1990 et est maintenant en ruine. L’objectif est d’utiliser la ruine comme prémisse de départ pour le design d’un nouveau pavillon annexé à l’école. Fréquentée par les étudiants pendant la semaine et par la communauté lors des soirées et fins de semaines, le programme contient donc un mélange d’espaces éducatifs et communautaires. L’idée est que le nouveau pavillon soit imprégné d’une intention: celle d’amener un nouveau modèle éducatif par apprentissage pratique. La nouvelle construction abrite donc des ateliers manuels et numériques en plus d’une salle multifonctionnelle, une maison des jeunes ainsi que des espaces de formation. Implantation

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Elevation nord

Elevation stationnement

Elevation sud-

Elevation boul. Gouin


Coupe longitudinale avec site

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Plan niveau 3

Plan niveau 1

Plan niveau 2

Plan niveau 4

Implantation topographique Acces et circulation

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Coupe laterale


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A 01

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Détail en plan - jonction ferme structurale Échelle 1:50

A 02

Détail en coupe- jonction ferme structurale Échelle 1:50


B 01

Escalier de secours Échelle 1:100

B 04

Détail porte de secours Échelle 1:40

B 06

Détail jonction mur-escalier-palier Échelle 1:40

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Mur rideau de verre

Enveloppe

Poutrelles d’acier

Colonnes, poutres et ferme structurale d’acier

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Fondations et contreventement de beton


Programme Legende Salle multifonctionnelle

Atelier

Espace co-creation

Terrasse

Salles de formation

Philanthrope

Atrium

Parc exterieur

Administration

Service et issues

Depot

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