gaĂŠtan donnet architecte d.e # 2010 -14
gaĂŠtan donnet architecte d.e # 02 11 1990 5 rue Claudius Penet 69003 Lyon ga.donnet@gmail.com 0658825715
Contenu #
CV
p3
Travaux Académiques & Concours archétypes & temporalité ancrage & posture
p 4, 8
p 9, 12
l’hucherolle
p 13, 16
memory through time
p 17, 20
échelles & mixité
p 21, 25
construire le Vide
p 26, 30
suture
p 31, 35
prisme
p 36, 39
Curriculum Vitae Formation
Gaétan Donnet architecte d.e 02 / 11 / 1990 5 rue claudius Pennet 69003 Lyon
adresse
telephone
+33 658825715
ga.donnet@gmail.com
portfolio
http://issuu.com/gaetandonnet
2008-2009
baccalauréat ES - mention AB
2009-2012
Licence d’architecture dîplomé de l’ENSA Lyon
20012-2013
master I - échange universitaire Politecnico di Milano - Leonardo
20013-2014
master II - ENSA Lyon dem S.P.A.A - “Ici & Ailleurs”
juin 2014
Architecte diplômé d’état
Expériences Professionnelles Expériences Personnelles 2010
stage “Ouvrier” - Patrimoine Club du Vieux Manoir Gap
2011
stage de Licence II - 2 mois agence BBC architectes Lyon
- projet de réhabilitation de logements sociaux à l’isle d’Abeau - projet d’aménagement d’un erp
2013-2014
création du collectif “dom” - projet de réhabilitation de l’église Bon Pasteur -Lyon Ier ( en cours ) - projet de réaménagment de la terrasse de l’ENSAL ( en cours )
2013
- conception de la scénographie pour le lancement du Petit Paumé . collectif “Schnell Sagrada”
( bar à Villeurbanne ) 2014
stage de Master- 3 mois agence R architecture Paris
Langues
- projet d’aménagement d’un erp ( magasin à Flaine) - concours pour la construction de 110 logements à Paris
Compétences
anglais
bon niveau oral, courant
italien
bon niveau, oral courant
espagnol
basique
Intérêts
communication
évasions, voyages
suite adobe - illustrator - photoshop - indesign
Brésil, État-Unis, Japon, Grèce, Indonésie, Cuba, Inde ...
logiciel vidéo - final cut
culture, esprit
architecture
cinéma, photographie ...
archicad - autocad - vectorworks - revit
corps
3d : sketchup - Vray - Rhino
course à pied, ski, tennis, football ...
p3
Archétypes & Temporalité
# 0614
pfe studio S P A A Boris Bregman Christophe Widerski Christophe Boyadjian
Sur un site présentant toutes les caractéristiques d’une zone péri-urbaine, mais ayant aussi un fort encrage historique et culturel, le projet tente d’allier ces questions qui semblent au départ en contradiction. En s’attachant à la question de l’habitat collectif, il est possible d’agir à des échelles et densités nouvelles pour ces lieux. En réinterrogeant la morphologie des ouvrages à cour, cela nous permet aussi d’aborder les questions constructives ainsi que celles liées à la matérialité. Faire écho au patrimoine qui s’exprime encore aujourd’hui et lui redonner une place dans dans lieux où l’histoire est souvent oubliée permet de contextualiser le projet. Enfin sur la question de l’art de vivre, nous avons souhaité retrouver les qualités de l’habitat individuel dans des ouvrages collectifs. Il s’agit ainsi de travailler sur les changements d’échelles, de « paliers d’intimités » ainsi que sur les seuils pour permettre de confronter et lier la question individuelle et collective.
p4
# ancrage
p5
# morphologie . ambiances
p6
# l’habiter . questionner le logement
p7
# posture dans l’espace . atmosphères
p8
Ancrage & Posture
# 1213
phase analyse pfe studio S P A A Boris Bregman Christophe Widerski Christophe Boyadjian
Les premiers mois avant le début du PFE ont permis d’aborder les problématiques liées au “péri-urbain”. A travers la notion d’”Ici et ailleurs”, il a donc été question de s’interroger sur ces zones qui aujourd’hui ne font plus qu’un avec les villes. En réalisant une analyse croisée sur deux sites, l’un à la périphérie de Lyon le long de la Côtière, et le second aux portes de la ville de Bâle, nous avons pu relever des éléments très proches dans la formation et la morphologie de ces zones. En effet, l’étalement urbain est très souvent la norme, et les lotissements côtoient d’anciennes zones industrielles qui peu à peu viennent à être transformées. Face à la difficulté de trouver de véritables éléments structurants, nous sommes repartis de l’histoire et de la formation des premiers villages dans ces zones. A Lyon comme à Bâle, les fleuves et leur contrôle ont joué un rôle clé dans l’implantation des populations. Ainsi, c’est en s’attachant à des figures anciennes (ancien lit du Rhin, et première rue centrale de village) encore visibles sur les terres, que nous avons choisi de nous tourner. Les notions de temporalité, de ruralité, ou encore d’archétypes ont été les points de départ du développement du PFE.
p9
# le pĂŠri urbain en question
p 10
l’Angelus de Millet
# une ruralité fantasmée
p 11
# archĂŠtypes . repartir de la forme
p 12
la hucherolle
# 1214
Concours Loire & Loges
avec L.Bocquier E.Fressonnet
micro-architecture matières assemblages
Nous avons envisagé cette micro-architecture comme une halte, une respiration sur un parcours. L’horizontalité du paysage fluvial nous a poussé à travailler sur le signal et sur la verticalité de la proposition. Nous nous sommes posés la question de la vue à ménager lors de cette halte, et avons finalement pris le parti d’une installation qui laisse deviner le paysage sans offrir un cadrage donné. Nous avons fait le choix d’un traitement de façade poreux (ni tout à fait hors d’eau, ni hors d’air) afin de ne pas se couper de l’environnement propre aux berges, qui comprend non seulement la beauté du paysage fluvial, mais également l’environnement sonore ou olfactif. L’expérience sensorielle ne se cantonne pas à flatter le regard du touriste, il s’agit d’une immersion où tous les sens doivent être en éveil. Le choix des matériaux va dans ce sens ; le bois traité et débité sous forme de briques permet de jouer sur la perception des lieux. La simplicité formelle - évocation de l’image du moulin cavier traditionnel - permet une intégration en douceur, sans surenchère. Les hucherolles (cabanes situées au sommet des tours en pierres) ont disparu des moulins de Chouzé. La réinterprétation formelle de ces éléments permet de donner une seconde vie à ce patrimoine local en lui offrant un nouvel usage : le foyer dans sa plus simple expression.
p 13
# ancrage
p 14
# composition
p 15
# assemblages
p 16
# 0115
memory through time
Concours MatterBetter - Mh17
avec M.Dutilly E.Fressonnet
mémorial Amsterdam idée
Assurer symboliquement la pérennité de la mémoire contre les affres du temps. Dans l’idée que la mémoire, par définition, traverse les époques et les évolutions qui les accompagnent, le mémorial se veut à l’épreuve du temps et des catastrophes. La première qui vient à l’idée dans notre contexte d’intervention est, sans doute, la montée du niveau des océans. En réponse à cette problématique, notre proposition développe un système de constructions flottantes, plutôt que la construction de polders, qui, à terme, sont menacés d’immersion. Envisager la mémoire comme un processus dynamique. Peut-elle être appréhendée, non plus comme une fin, mais bien comme le point de départ d’un renouveau ? Le mémorial devient ainsi le motif d’une réflexion plus large sur l’évolution de la ville et notre rapport à la nature. Pratiquer l’espace en mouvement. La dynamique est directement induite par la forme, pure et close, celle du cercle, symbole d’unité et d’éternité. Deux anneaux sont imbriqués. L’un se soulève afin de nous mener jusqu’au mémorial, le long d’une promenade contemplative. C’est par le parcours et le mouvement qu’est justement révélé le sens du monument commémoratif au spectateur.
p 17
# point de dĂŠpart
p 18
# forme
p 19
# mouvement
p 20
Échelles & Mixité
# 0513
LAB. di Progetazione Archi . Urbana
Politecnico di Milano
Paolo Caputo Andrea degli Esposti
Réponse architecturale de la conception urbaine d’un quartier industriel de Milan, ce bâtiment marque la limite de notre forme urbaine. Son échelle, près de 300m de long, révèle son caractère et la diversité dans son fonctionnement. En partant d’une trame (6m), il a ensuite été possible de faire varier le bâtiment au gré des besoins et des différentes situations que présente le site. Le bâtiment se présente ainsi comme une grande barre mettant en lien le quartier avec son parc, où viennent se rattacher des éléments plus ponctuels proposant des programmes différents. En travaillant sur la mixité du programme ( logements sociaux + log. collectifs + commerces + ateliers + bureaux ), il s’agissait de répondre à la complexité de la zone. Allier et diversifier les programmes pour offrir un bâtiment changeant, modulable qui réponde le mieux à l’exigence de l’usager. La question des seuils, des ouvertures de l’intimité a été prégnante dans la conception de cet édifice pluriel. Tous les logements s’ouvrent côté sud et dispose “d’espaces +” conçus comme des jardins d’hiver, prolongeant de larges salons.
p 21
# voisinage
p 22
# diversitĂŠ programmatique
p 23
# collectivitĂŠ
p 24
# intimitĂŠ
p 25
construire le Vide
# 0512
LAB. de Projet
Projet de fin de licence
Benoît Crepet Emmanuel Manger Sidonie Joly
Le bâtiment devait apparaitre comme le nouveau pôle d’un quartier précédemment projeté. Son programme divers en faisait un centre culturel majeur dans cette zone de Lyon encore en marge : Comprenant à la fois un espace d’exposition, une bibliothèque, une école de musique, et des salles de conférence, l’objectif pour moi a été de concevoir un objet unique et non un assemblage de tous ces programmes. La difficulté majeure de ce dernier était alors de créer un ouvrage qui puisse mettre en lien tous ces programmes afin de concevoir un espace qui ne forme plus qu’un. La forme et la façon de déambuler dans le projet reflètent cette volonté d’avoir une unité et une cohérence globale pour ensuite mieux traiter chaque spécificité. C’est par le vide structurant qui conditionne à la fois l’organisation et les parcours que le lien se fait : le vide comme élément structurant. Cet espace central permet de créer une véritable intériorité au projet en se dégageant de la place qui fait face à ce dernier. Coeur du projet, ce vide s’ouvre sur l’ensemble des programmes et les circulations disposent d’espaces éclairés naturellement. Ces espaces ont été pensés comme des parties essentielles du projet, permettant le lien entre les différents départements.
p 26
# construire le vide
p 27
/200
# articulation . dĂŠambulation
p 28
# figures
p 29
+950
HSP: 505 HSFP: 425
HSFP: 375
+70
# espaces
p 30
Suture
# 0511
LAB. de Projet Jean-Yves Quay
Projet de fin de licence II Michelle Batton
L’immeuble prend place dans le quartier de la Croix-Rousse. Celui-ci dispose d’une très forte identité, de par son architecture atypique et l’histoire qu’il entretient avec le reste de la ville. La difficulté qu’impliquait le travail sur un tel site était tout d’abord de rentrer dans ce paysage tout en essayant d’apporter une touche nouvelle, en abordant les questions qui concernent l’habitat d’aujourd’hui. Le travail d’intégration étant la clé dans un lieu qui fait face à la ville, et où la pente est un élément déterminant. Le gabarit, les ouvertures, le travail du socle étaient autant de points d’entrées pour le projet, avec cette dimension patrimoniale toujours présente. Le bâtiment se décompose en trois parties distinctes, reprenant le gabarit des immeubles Croix-Roussiens. Les circulations verticales placées en retrait relient les 3 entités. Les appartements tous traversants font le lien entre la rue et le coeur de l’îlot planté.
p 31
# insertion
p 32
# figure
p 33
# collectif
p 34
# l’intime
p 35
prisme
# 0112
Concours Bénéteau maison flottante habiter sue l’eau
Point de départ de la réflexion pour le projet, le rapport entre l’ouvrage et l’eau a été l’élément clé dans le processus de conception. En effet, concevoir un habitat «sur l’eau» propose un défit aussi bien technique, esthétique que fonctionnel. L’idée a donc été de proposer un habitat qui ne ,soit pas seulement en lien avec cet élément mais qui fonctionne véritablement avec lui. Posée sur une plateforme flottante, la maison se présente comme une succession de portiques en bois qui forment la structure principale de l’ouvrage. Des éléments de remplissage (pré-fabriqués) viennent ensuite remplir cette ossature, et délimitent les espaces intérieurs des espaces extérieurs. En travaillant à partir d’une ossature, cela m’a permis de gagner en souplesse et liberté dans la conception des espaces intérieurs et l’organisation générale du logement. La recherche d’une identité pour l’ouvrage a été essentielle, et celle-ci s’exprime au travers de deux figures opposées : D’un côté la façade aveugle met à distance le logement du quai, qui aujourd’hui, est devenu un espace public prisé et très fréquenté. De l’autre, le logement s’ouvre sur l’eau pour profiter pleinement de cette position préférentielle sur l’eau. Cette volonté de se rapprocher au plus près de l’eau s’exprime aussi dans l’organisation, qui a été choisie pour le logement.
p 36
# imbrications
p 37
# atmosphère
p 38
# ambiance
p 39
documents & photographies personnels
gaĂŠtan donnet architecte d.e #