Dossier de presse Château Sainte Roseline 06 07 18 > 30 09 18 Vernissage vendredi 6 juillet 2018
VINCENT VINCENT DAVID BENJAMIN VLADIMIR
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BARRÉ MAUGER NASH SABATIER SKODA
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Communiqué de presse Château Sainte Roseline 06 07 18 > 30 09 18
Chaque été depuis dix-huit ans, le Château Sainte Roseline propose des expositions dans ses vignes et ses jardins, témoignant de l’intérêt profond que ce domaine viticole porte à l’art contemporain. Dans ce contexte et ce, pour la troisième fois, le Château Sainte Roseline invite la galerie Catherine Issert à construire une exposition sur ses terres à l’été 2018 : elle réunira les artistes Vincent Barré, Vincent Mauger, David Nash, Benjamin Sabatier et Vladimir Skoda. Ces cinq sculpteurs appartiennent à des générations différentes mais des liens formels unissent leurs pratiques : abstraction, géométrie, élégance et simplicité. Tous portent une attention particulière aux matériaux avec lesquels ils travaillent : « they look at me » (ils me regardent), résume David Nash pour parler de sa confrontation sans détour avec les composants — notamment le bois, qu’il sculpte en taille directe. Chez Benjamin Sabatier et Vincent Mauger, cette relation se traduit par une esthétique industrielle (plastique, ciment, métal) et un processus d’assemblage apparent, tandis que chez Vincent Barré et Vladimir Skoda, elle nous mène vers des formes géométriques manufacturées et plus symboliques (la sphère, la torse, la courbe). Leurs œuvres s’ancrent de manière forte dans le contexte d’exposition ici proposé : leur présence sculpturale épurée et dynamique est mise en exergue par la richesse du vaste domaine viticole, qui modifie le rapport d’échelle et transfigurent les formes. Tall Torso de David Nash, qui rejoue un tronc d’arbre en bronze, se fond dans le paysage tandis qu’a contrario, les sphères de Vladimir Skoda portent notre regard vers un horizon lointain. Les œuvres (Sans titre) de Vincent Mauger, schémas mathématiques et paysages mentaux traduits par des matériaux usinés, deviennent ici organiques, voire moléculaires. L’œuvre Grand Anneau de Vincent Barré et les sculptures (Sans titre) de Benjamin Sabatier, réalisées à partir de matériaux industriels (aluminium, métal et ciment), dégagent quant à elles une poésie substantielle. Cette oscillation entre l’infiniment petit et l’infiniment grand catalyse le regard du spectateur qui, déambulant entre les vignes, peut se laisser aller à la contemplation. Le Château Sainte-Roseline et la galerie Catherine Issert remercient les galeries Lelong, Bertrand Grimont et Bernard Jordan.
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Galerie Catherine Issert Château Sainte Roseline 06 07 18 > 30 09 18
Dès ses premières expositions, en 1975, Catherine Issert s’est attachée à développer une programmation artistique tournée vers la scène internationale et ses développements les plus proches. Son implantation dans le site magnifique qu’elle occupe depuis 1980 en face de la célèbre Colombe d’Or, où défilèrent tant d’artistes, a été un atout majeur pour tisser des liens d’affinité et d’amitié avec artistes et collectionneurs, mais aussi avec maintes personnalités du monde de l’art, conservateurs, commissaires ou critiques, comme en témoignent plusieurs projets dont certains firent date. Peu de courants majeurs apparus depuis les années 1960 auront échappé à son attention ; il n’est que de citer Fluxus, Supports/Surfaces, le Narrative Art, l’Arte Povera et l’art conceptuel, la figuration libre ou le retour des abstraits. Un travail en profondeur aussi, attesté par la présence récurrente au fil des ans de certains artistes. Des rencontres privilégiées ont également permis de développer un travail de commande publique et l’implantation de projets dans l’espace architectural, ainsi que des éditions originales : livres d’artistes, estampes et multiples. À cela s’ajoute ses collaborations avec des institutions – musées ou centres d’art, qui réguièrement lui ont fait confiance. Traversant plusieurs décennies, la galerie Catherine Issert n’aura cessé ainsi d’être entraînée dans son histoire par l’attention à son présent, par l’exigence de ses choix et par la vigilance de son regard. La galerie participe à des foires internationales, la Fiac, Art Genève, Art Monte Carlo ainsi que Drawing Now.
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Texte Château Sainte Roseline // Vincent BARRÉ 06 07 18 > 30 09 18
Sculpteur et réalisateur, Vincent Barré est né à Vierzon en 1948, il vit et travaille à Paris, en Normandie et dans le Loiret. Il est chef d’atelier aux Beaux-Arts de Paris de 1995 à 2011. Il est représenté par la galerie Bernard Jordan à Paris et Zürich. La sculpture de Vincent Barré s’exprime en un large champ de formes allant de l’abstrait au presque narratif. Dans des thèmes qui empruntent souvent aux mythes, à l’histoire de l’art occidental, ses formes sont porteuses d’images, de sens, de symboles qu’il s’applique à communiquer par des œuvres ayant une forte présence dans l’espace. Sa recherche s’est traduite, selon les circonstances, dans des matériaux et des techniques contrastées : bois, acier, verre, mais qui ont toutes en commun d’appartenir à la sculpture traduite ou assemblée. De 1967 à 1975, il étudie l’architecture en France puis aux États-Unis auprès de l’architecte Louis Kahn et de l’ingénieur Robert Le Ricolais. Durant ces années de formation, il dessine beaucoup et voyage en Europe, en Amérique, et en Asie où il découvre les œuvres d’art et d’architecture dans leur environnement. Il réalise au sein d’une équipe pluridisciplinaire avec le CNRS une étude urbaine sur la ville « royale » de Panauti, au Népal. Associé à Patrick Berger de 1975 à 1982, il exerce l’architecture et réalise des constructions de logements sociaux, des réhabilitations, et la reconversion du Théatre le Palace à Paris. À partir de 1982, il cesse cette activité et se consacre à la sculpture. – Dans une première période il réalise des assemblages de bois et de métal – En 1989 et dans la continuité de ses papiers découpés et monotypes, il réalise des sculptures en aciers découpés dans des plaques épaisses, allant jusqu’à l’échelle monumentale que requiert l’architecture – Vers 1999, il découvre la technique de fonte au sable pour des pièces en aluminium ou en fer à partir de modèles perdus en polystyrène. Cela confère à sa sculpture l’échelle monumentale qu’il cherchait, en même temps qu’elle le conduit à épurer ses formes. Il réalise ainsi des ensembles de sculptures, présentés dans des espaces extérieurs ou présentés dans des musées au côté de bronzes à la cire directe, de terres cuites, et de dessins. – A partir de 2014, la mise en œuvre de grandes sculptures et bronze, réalisées en bois et cire selon la technique du modèle perdu lui ouvre un nouveau registre de formes, et la possibilité de réaliser des œuvres monumentales en bronze.
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Visuels & Reproductions Château Sainte Roseline // Vincent BARRÉ 06 07 18 > 30 09 18
Vincent BARRÉ Grand anneau Mars 2011 Fonte d’aluminium (Fonderie Lafond International) six segments en fuseaux pentagonaux 237 x 222 x 60 cm Courtesy galerie Bernard Jordan
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Biographie Château Sainte Roseline // Vincent BARRÉ 06 07 18 > 30 09 18
Né en 1948 à Vierzon / Vit et travaille à Paris Représenté par la galerie Bernard Jordan, Paris et Zürich Expositions personnelles (sélection) 2016 • Géométrie bâ(s)tarde, Gerhard-Marcks-Haus, Brême • Sous les Grands Arbres, sculptures et dessin, Musée Matisse, Le Cateau-Cambrésis • Dans la Ville feumière, Ecole d’arts plastiques, Denain 2015 • Vincent Barré, Domaine de Kerguéhennec, Bignan • Mise en demeure, peinture et sculpture, Atelier Cantoisel, Joigny 2014 • Chaos, couronne, Domaine de Chaumont-sur-Loire, Chaumontsur-Loire 2013 • Fontes d’aluminium, bronzes, dessins, Galerie Bernard Jordan, Paris • La Qualité de l’ombre, Ludwigmuseum, Koblenz • Sculptures, dessins, Galerie Bernard Jordan, Zurich 2012 • Skulpturen, Galerie Bernard Jordan, Zurich 2011 • Re-poser, re-gadrer, Musée Malraux, Le Havre Expositions collectives (sélection) 2016 • Galeristes - Carreau du Temple - Paris • ST-ART 2016 - Parc des expositions - Strasbourg • Le Métier de vivre Vincent Barré et Pierre Creton - Musée de Louviers - Louviers Dossier de presse - Château Sainte Roseline - 06 07 18 > 30 09 18
• 25eme édition de L’art dans les chapelles - Galerie Jean Fournier - Paris 2015 • Une Partie de campagne - Saint-Briac-sur-mer • Circus - Galerie Bernard/Seydoux - Berlin • Expositions du printemps - Domaine de Kerguéhennec, centre d’art contemporain - Bignan • Kunst uit Huis: Collectie Wilploo - De Korenbeurs (bis Sept 05) - Schiedam 2014 • Le Mur, la collection Antoine de Galbert - La Maison Rouge Paris 2013 • La Qualité de l’Ombre - Ludwig Museum im Deutschherrenhaus - Koblenz 2012 • Sculpture en l’ile - Andresy • Le Temps des demeures, une maison pour la peinture - Atelier Cantoisel - Joigny 2011 • L’Inventaire, Vol. I, 1983.001.1/ 1984.079.4 - Musée de Louviers - Louviers • Inventer des mondes singuliers : 3ème Biennale de Yerres Propriété Caillebotte - Yerres • Sur mesure et trames - Musée Réattu - Arles • Le Corps dévoilé - MUba Eugène Leroy - Tourcoing • Les Murs d’une maison - Atelier Cantoisel - Joigny 2010 • Novs, Vincent Barré et Sylvain Dubuisson - Musée des BeauxArts de Rouen - Rouen • Circuit céramique, la scène française - Musée des Arts décoratifs - Paris • A pied d’œuvres - Musée Réattu - Arles • BIS (avec Julia Lohmann) - Galerie Viktor Grray - Dusseldorf
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Texte Château Sainte Roseline // Vincent MAUGER 06 07 18 > 30 09 18
Ma démarche s’articule autour d’une problématique centrée sur la recherche de matérialisation, de concrétisation de ce que serait un espace mental. J’entends par espace mental aussi bien la construction de pensées qui s’échafaudent face à un espace ou un lieu, que les univers virtuels et constructions mathématiques ou schématiques élaborées pour que chacun puisse se projeter dans un espace inexistant ou éloigné. Je confronte souvent un espace réel avec une représentation d’une perception mentale d’un autre espace. J’aime jouer sur ce paradoxe qui est de chercher à matérialiser ce que serait un espace mental. A partir de matériaux de construction ordinaires, je reconstruis des représentations de paysage, sorte de paysages mentaux, proches de l’imagerie de synthèse ou de constructions mathématiques et schématiques. Je mets en parallèle des techniques de construction réelles et concrètes avec des techniques d’imageries virtuelles ou scientifiques. Je cherche à rapprocher et à montrer les similitudes entre un système de construction concret et un raisonnement ou une construction d’ordre mental. Mes propositions interrogent l’idée d’architecture, d’urbanisme et d’organisme en utilisant des matériaux de construction pour formuler des fragments de paysage jouant sur le décalage des rapports d’échelle et invitant au déplacement aussi bien physique que mental. Il s’agit de mettre en place des processus, des systèmes de construction simples, et de donner à voir une proposition ouverte réalisée à partir de ces systèmes. Les principes d’assemblages, de montages des pièces restent visibles ; ainsi le spectateur peut s’en emparer mentalement et s’imaginer poursuivre la construction aussi bien qu’en modifier la configuration. Mes propositions sont fabriquées à partir de matériaux simples : métal, carrelage, bois, verre.... Ces matériaux restent identifiables mais la façon de les utiliser crée un décalage par rapport à leur aspect ordinaire. Mes installations constituent une sorte d’ébauche, de croquis se développant dans l’espace. Ainsi se superposant à l’espace réel, on découvrira des morceaux de paysages, en quelque sorte des prolongements de l’espace, concrétisant à la fois des images mentales et des lieux propices à la réflexion. Vincent Mauger
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Visuels & Reproductions Château Sainte Roseline // Vincent MAUGER 06 07 18 > 30 09 18
Vincent MAUGER Sans Titre 2015 Brique 80 x 150 x 150 cm Courtesy galerie Bertrand Grimont
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Château Sainte Roseline // Vincent MAUGER 06 07 18 > 30 09 18
Vincent MAUGER Sans Titre 2016 Tubes PVC découpés et assemblés 170 x 170 x 170 cm Courtesy galerie Bertrand Grimont
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Biographie Château Sainte Roseline // Vincent MAUGER 06 07 18 > 30 09 18
Né en 1977 à Rennes / Vit et travaille à Nantes Représenté par la galerie Bertrand Grimont, Paris Expositions personnelles (sélection) 2017 • Fragmentations, Les Glacières / Parisiens de Bordeaux, Bordeaux • Les Injonctions Paradoxales, Parcours d’art contemporain du Chateau Smith-haut Lafitte, Martillac • Le Coefficient d’Incertitude, Atelier d’Estienne, Centre d’art contemporain, Pont-Scorff 2016 • Les injonctions paradoxales, exposition personnelle, Galerie Bertrand Grimont, Paris • La Géométrie des Pierres, Musée Joseph-Denais, Beaufort en Vallée • Monument Synthéthique, Caves de la Maison Ackerman, Résidence Ackerman + Fontevraud la Scène, Saint Hilaire Saint Florent, 2015 • Nulle part, c’est déjà ailleurs, Le Point Commun, Annecy • Exposition du Prix de Sculpture de la Fondation de l’Olivier à la Fondation Bullukian, Lyon • Ni réponse, ni solution, Le Portique (espace d’art contemporain), Le Havre 2014 • Présence stratégique, installation in-situ, Les Champs libres, commissariat 40mcube, Rennes 2013 • Des abscisses désordonnées, Centre d’art contemporain Micro Onde [archive], Vélizy-Villacoublay • Système adéquat, La maison rouge - Fondation Antoine de Galbert, Paris
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2012 • Super Asymetry, Centre d’art contemporain de la Maréchalerie, Versailles • L’omniprésence des possibles, Musée de l’Hospice Saint Roch, Issoudun • L’absence de règles est-elle une règle en soi?, Centre d’art intercommunal, Istres • La chose et son objet, Galerie de la scène nationale de Bar-leDuc 2011 • Solutions techniques à des problèmes théoriques, Galerie Bertrand Grimont, Paris • La multiplication des contraintes, Centre d’art du Parc Saint Léger - Abbaye de Corbigny • Des illusions radicales, Centre d’art du Vallon du Villaret 2010 • Exposition du lauréat de la Fondation Zervos, Vézelay, • Anarchy in the Symmetry, Galerie Marcel Duchamp - École municipale des Beaux-Arts de Châteauroux • In Situ #4, Le Bol - Association Mixar, Orléans 2009 • Sans Titre, le Lieu Unique, Estuaire 2009, Nantes • Super loops, Galerie de l’École municipale d’art plastique, Cholet • Landscape expanding tools, Galerie l’H du siège, Valenciennes • The Undercroft, La Fabrica, Brighton, Grande-Bretagne 2008 • Figures spatiales non usuelles, Galerie LHK, Paris • Space tracking system, Espace Diderot - Tripode, Rezé • Pliage ultra-technique, Instantané, FRAC Pays de la Loire, Carquefou 2007 • Exposure area, Galerie Code/buro, Bruxelles • Sans titre, Maison de la culture de Nevers et de la Nièvre, Nevers • Espaces supposés, musée Denys-Puech, Rodez
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Texte Château Sainte Roseline // David NASH 06 07 18 > 30 09 18
Sculpteur et dessinateur britannique, David Nash vit depuis 1967 dans la petite ville de Blaenau Ffestiniog au nord du pays de Galles où il travaille, essentiellement le bois, en gardant un vif intérêt pour les paysages et la nature qui l’entourent. Membre de la Royal Academy depuis 1999, son œuvre est largement représentée dans les principaux musées d’Europe, d’Amérique, d’Australie et du Japon. La Galerie Lelong qui présente le travail de David Nash dans son espace parisien et dans diverses foires à travers le monde depuis plus de 15 ans, expose cette année un ensemble de nouvelles œuvres. Des pastels et des fusains côtoieront des sculptures de bois brut de diverses tailles et Tall Torso, un grand bronze fait à partir d’un bois brûlé. Chez Nash, c’est le bois (le tronc, la branche, la souche) qui guide l’artiste. Il lui suggère une sculpture qui évolue au cours du travail en taille directe. « They look at me » (ils me regardent) dit l’artiste en parlant des matériaux qu’il a à sa disposition et c’est de cette interpellation, confrontation, conversation que va naître l’œuvre. Le dessin vient après. On retrouvera dans les œuvres exposées des formes issues de notre environnement, à plat ou en volume, à peine modifiées, agrandies, épurées, détachées de leur usage et occupant l’espace pour elles- mêmes. Des colonnes, des pics et des montagnes, des torses ou des troncs... Simplement, sans ornement.
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Visuels & Reproductions Château Sainte Roseline // David NASH 06 07 18 > 30 09 18
David NASH Tall Torso 2016 Bronze, moule noir patiné du chêne calciné 255 x 117 x 100 cm Edition 1 sur 4 Courtesy galerie Lelong
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Biographie Château Sainte Roseline // David NASH 06 07 18 > 30 09 18
Né en 1945 à Escher (Angleterre) Vit et travaille à Blaenau Ffestiniog (Pays de Galles) Représenté par la galerie Lelong, Paris, Zürich, New-York
2008 • ALTANA Kulturstiftung, Bad Homburg, Allemagne 2006 • Konstruktiv Tendens, Stockholm, Suède
Expositions personnelles (sélection) 2018 • Museum Lothar Fischer, Neumarkt, Allemagne
2005 • Musée d’Angers, Angers, France • Kunsthalle Würth, Künzelsau, Allemagne
2017 • Krauthügel Art Project, Salzburg, Autriche • Plas Glyn-y-Weddw, Gwynedd, Pays de Galles, Royaume-Uni
2004 • Royal Academy of Arts, Londres, Royaume-Uni • Galerie Lelong, Paris, France • Tate St Ives, Cornwal, Royaume-Uni
2016 • Galerie Lelong, Paris, France • Gallerja Roma, Italie
2003 • Gerhard Marcks Haus, Bremen, Allemagne • New Art Centre Sculpture Park, Roche Court, Royaume-Uni
2014 • Galerie Lelong, Paris, France 2013 • Domaine de Chaumont-sur-Loire, France • Royal Botanic Garden, Kew, Royaume-Uni 2012 • Galerie Lelong, Paris, France • Galerie Lelong, Zürich, Suisse 2011 • Parc de sculptures du Yorkshire, Wakefield, Royaume-Uni 2010 • Royal Academy, Londres, Royaume-Uni
2002 • Galerie Lelong, New-York, Etats-Unis 2000 • Galerie Lelong Paris, France 1998 • Parc Régional Tournay-Solvay, Bruxelles, Belgique 1990 • Serpentine Gallery, London, Royaume-Uni 1985 • Rijksmuseum Kröller-Müller, Otterlo, Pays-Bas
2009 • Abbot hall art gallery, Cumbria, Royaume-Uni Dossier de presse - Château Sainte Roseline - 06 07 18 > 30 09 18
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Texte Château Sainte Roseline // Benjamin SABATIER 06 07 18 > 30 09 18
« Le vide rempli de son plein c’est le plein » Ghérasim Luca Les processus et systèmes sculpturaux mis en place par Benjamin Sabatier témoignent d’une littéralité assumée, où se dévoile d’emblée, sous couvert d’apparente simplicité, les ressorts formels de l’oeuvre. L’angoissante question du « comment ça marche, comment ça tient ? » se résout ici dans une formule tautologique plus ou moins réelle mais toujours crédible laissant les logiques de construction apparaître en tant que telles, à la fois cause et résultat. Cette extrême lisibilité des procédés de fabrication, ainsi que l’usage récurrent de matériaux bruts et facilement disponibles – brique, étai, pot de peinture, sac de ciment, carton, scotch, etc. –, tendent à se démarquer du geste héroïque du créateur inspiré au profit d’une esthétique du chantier qui semble rendre possible et accessible la repro- duction des oeuvres par tout à chacun. En suggérant de la sorte au spectateur de devenir à son tour producteur, la démarche de Benjamin Sabatier s’envisage à l’aune des théories alternatives et émancipatrices du do it yourself. Cette prégnance de la forme – sa « fulgurance » en quelque sorte – révèle en fin de compte le potentiel démocratique et politique d’un travail polysémique jouant des évidences et des paradoxes, agrégat de références à l’histoire de l’art moderne, aux utopies sociales, aux thèses de Walter Benjamin et aux techniques de marchandising contemporaines. Raphaël Brunel
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Visuels & Reproductions Château Sainte Roseline // Benjamin SABATIER 06 07 18 > 30 09 18
Benjamin SABATIER Sans Titre 2017 Bois brûlé béton et corde 170 x 240 x 100 cm Courtesy galerie Catherine Issert
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Château Sainte Roseline // Benjamin SABATIER 06 07 18 > 30 09 18
Benjamin SABATIER Sans titre (1S3B) 2014 Métal et ciment 203 x 210 x 140 cm Courtesy galerie Catherine Issert
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Biographie Château Sainte Roseline // Benjamin SABATIER 06 07 18 > 30 09 18
Né en 1977 à Le Mans / Vit et travaille à Paris Représenté par la galerie Catherine Issert, Saint Paul et la galerie Bertrand Grimont, Paris Expositions personnelles 2017 • Concrete utopia, Centre d’art CEVAD, Carpentras • The Grass Is Greener Gallery, Leipzig, Allemagne • Autoconstruction, Ecole Supérieure des beaux-Arts TALM, Angers 2016 • Mode d’emploi, Galerie Catherine Issert, Saint Paul de Vence • One Piece at a Time, Galerie Bertrand Grimont, Paris • That’s all Folks, Centre culturel d’Anglemont, Les Lilas (cat.) 2015 • FORMWORK, Snap projects, Lyon 2014 • Kit IBK, Le Mur Saint Martin, Paris • Storage, Galerie Jousse Entreprise, Paris
2010 • Platform (performance), Centre Pompidou, Paris 2009 • Manifeste, Point Ephémère, Paris • Chantier, Galerie Jérôme de Noirmont, Paris 2008 • Super Partycles, MAK, Depot of Contemporary Art, Vienne, Autriche • Fragile, Centre Culturel Nicolas Pomel, Issoire (cat.) 2007 • 2 Pack Age, Galerie Jérôme de Noirmont, Paris 2006 • Stand IBK, BHV Rivoli, Paris 2005 • S.A.V., Galerie Jérôme de Noirmont, Paris (cat.) • VPC, Axa art, Paris 2003 • Peinture en Kit, Noirmont Prospect, Paris (cat.)
2013 • Reinforced concrete, Bodson Gallery, Bruxelles • Art Brussels - Solo Show, Bodson Gallery, Bruxelles
2002 • 35h de travail, (performance/cur. L.Gauthier), Palais de Tokyo, Paris
2012 • Hard Work, Galerie Jérôme de Noirmont, Paris (cat.) • Conforaman, La gâterie, Espace de création contemporaine, La Roche sur Y
2001 • Agent de résurrection, Abbaye Saint Vincent, Le Mans
2011 • A bientôt j’espère, Le pavé dans la mare, centre d’art contemporain, Besançon (cat.) • Do It Yourself, Bodson-Emelinckx Gallery, Bruxelles
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Texte Château Sainte Roseline // Vladimir SKODA 06 07 18 > 30 09 18
Après l’apprentissage du travail du métal à l’École technique de Slaný, puis à Prague, sa ville natale, il découvre le dessin, suit des cours du soir et commence à peindre. Vladimir Skoda vient en France en 1968, où il se forme à la faculté des lettres à Grenoble, puis à l’École des Beaux-arts de Paris, dans l’atelier de Cesar. Pendant toute cette période de formation, il est aussi intéressé par la théorie que par la pratique, par les sciences et techniques. Pensionnaire à la Villa Médicis, à Rome, entre 1973 et 1975, il sculpte des formes géométriques, inspirées par les mathématiques. À partir de 1987, Vladimir Skoda travaille en particulier la sphère, sa géométrie parfaite ou contrariée, son polissage ou ses aspérités, son aspect réfléchissant ou mat. Les sphères sont souvent disposées dans l’espace, telles des constellations, signe de sa passion pour l’astronomie. Elles confirment toujours cette quête essentielle que Skoda entretient depuis de longues années entre Terre et Cosmos. Son intuition rejoint ses connaissances profondes d’un monde lointain qu’il veut désormais proche. Parallèlement à ce travail sculptural, ses activités de dessinateur et de graveur éclairent cette fascination pour l’espace, les phénomènes optiques et astronomiques. Chez Vladimir Skoda, la sphère n’est pas qu’une forme posée au sol ; elle est aussi sphère céleste et mouvement de rotation, comète ou gaz, c’est-à-dire un amalgame de temps et de matière qui rend possible l’intervention du dessin, en jouant sur ce qui se noue entre intérieur et extérieur, entre mouvement, vitesse et fixité, entre plans différents.
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Visuels & Reproductions Château Sainte Roseline // Vladimir SKODA 06 07 18 > 30 09 18
Vladimir SKODA Sphère de ciel – ciel de sphères 2005 Tôles perforées en acier au carbone, éclairage intérieur. Ø 180 cm © D.R © ADAGP Courtesy galerie Catherine Issert
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Biographie Château Sainte Roseline // Vladimir SKODA 06 07 18 > 30 09 18
Né en 1942 à Prague Vit et travaille à Paris et à Thiers Représenté par la galerie Catherine Issert, Saint Paul de Vence Expositions personnelles (sélection) 2018 • Galerie Catherine Issert, Saint Paul, France • Harmonices Mundi 1, Museum Kampa, Prague, République Tchèque • Harmonices Mundi 11, Galerie de la ville - Château de Troja, Prague, République Tchèque 2017 • Hôtel de Caumont, Aix-en-Provence (avec la galerie Catherine Issert) 2016 • Galerie Claire Gastaud (Galerie Underground), ClermontFerrand • Accélérateur d’espace, L’aspirateur - Lieu d’art contemporain, Narbonne 2014 • Pendule, Exposition de l’Arsenal et Réfectoire, Soisson 2012 • Parallèles dans l’espace-temps, Baudoin Lebon, Paris 2011 • Trou blanc, Carré Sainte Anne, Montpellier, 2010 • Cinq corps de Platon, Galerie Wittenbrink, Munich, Allemagne • Miroirs du temps, Casanova forever, Galerie AL/MA, Montpellier,
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2009 • Galileo-Galilei, Anno Galileiano, aéroport G. Galilei, Pise, Italie • L’Art dans les chapelles, Chapelle Saint-Gildas, Bieuzy-les-Eaux • Le monde entre l’amour et la folie, Musée Denys-Puech, Rodez • Vladimir Skoda & Hans Glattfelder, Galerie Artopoi, Fribourg, Allemagne 2008 • Galerie Eric Linard, La Garde Adhémar • Vision du monde, Musée du Temps, Musée des Beaux-Arts, Besançon 2007 • Entropia grande, Zamek Ujazdowski, Centre d’Art Contemporain, Varsovie, Pologne • Institut Français de Prague, Prague, République Tchèque • Vladimir Skoda, ARTE, Strasbourg 2006 • Specchio del tempo, Ponte delle Torri, Rocca Albornoziana, Casa Romana, Galleria civica d’arte moderna, Basilica di San Salvatore, Spoleto, Italie 2005 • Pluie sidérale, Centre d’Art Contemporain – le Creux de l’Enfer, Thiers • Autour du temps, Galerie municipale de Vitry-sur-Seine, Vitrysur-Seine • Galileo - Galilei, Galerie Wittenbrink, Open Art 2005, Munich, Allemagne 2004 • Riflessi celesti e meccaniche galileane, Abbazia San Zeno, Chiesa di Santa Maria della Spina, Teatro Verdi, Centro Ricerche Enel, Pise, Italie • Entropie, Art Image,Chapelle du Carmel, Chalon-sur-Rhône, • Cinq corps de Platon, Les Roches - Espace d’Art Contemporain, Le-Chambon-sur-Lignon • Sphères, Hôtel de Ville de Paris, Paris
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Contact Château Sainte Roseline 06 07 18 > 30 09 18
galEriE CathErinE issErt ouvert du mardi au samedi de 10:00 à 13:00 de 15:00 à 19:00 2, route des serres 06570 Saint-Paul de Vence - F contact : info@galerie-issert.com T : 33(0)4 93 32 96 92 www.galerie-issert.com communication : Galerie Catherine Issert Pauline THYSS +33(0)6 61 11 17 20 communication@galerie-issert.com Château Sainte Roseline OZCO - Agence de Communication et Relations Presse Chloé Perinet +33(0)6 37 05 47 66 chloe.perinet@ozco.eu
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