Portfolio Guillaume Baillard

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portfolio

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Guillaume Baillard 30 AVRIL 1989

EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE 2013 mars-avril-mai-juin : Participation aux Ateliers de Création Urbaine 2013 dans le cadre du P.F.E. -Rédaction d’un livret «le travail [in]visible» -Exposition au Pavillon de l’Arsenal «futurs immédiats»

2012

juillet-août-septembre :

Agence architecte-urbaniste TVK à Paris. - Dessins de plans et coupes - Confection de maquette - Participation à l’élaboration de projets

2011

juillet :

2009

septembre :

Agence de Denis Dodeman et Frédéric Ortiz à Villebois la Valette. - Dessins de plans et coupes - Constitution de devis - Visites et réunions de chantier - Etude de réhabilitation de bâtiments classés

Annette Ferrant, Paysagiste à La Rochelle. - Dessins de plans et coupes - Etude de la résistance des végétaux en milieu urbain. - Visites et réunions de chantier


FORMATION 2014 :

D.S.A d’architecte-urbaniste à l’école de Marne la vallée sous la direction de Frédéric Bonnet

2013 :

Obtention du Diplôme d’état en architecture à l’école de Marne la vallée sous la direction de David Mangin

45 RUE REBEVAL 75019 PARIS 06 15 05 62 49 guillaume.baillard @gmail.com

2011 :

Obtention du Diplôme d’architecture à l’Ecole de Bordeaux

2007 : Obtention du Baccalauréat Scientifique à Angoulême Logiciels : Maîtrise de la suite Adobe, Autocad, Sketchup et Archicad. Musique : Je pratique la flûte traversière dans un groupe de jazz-funk amateur.



Ce portfolio propose une sélection antéchronologique de projets effectués au sein des écoles d’architecture de Marne la Vallée et de Bordeaux

PROJETS 7 L’EMERGENCE DU CENTRE LE TRAVAIL [IN]VISIBLE ¡ NO RETALLEU LA CULTURA ! AU CŒUR DE LA MACHINE PISCINE VERTICALE

7 13 25 31 37

AUTRES EXPÉRIENCES 45



l’émergence du centre D.S.A architecte - urbaniste / Projet de groupe / 2014 / ENSAVT Frédéric Bonnet et Christophe Delmar

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l’émergence du centre Brétigny-sur-Orge, ville francilienne de 25 000 habitants, est aujourd’hui au cœur d’un moment crucial de son développement urbain. De grandes opérations y sont en effet projetées ou voient le jour : l’écoquartier Clauses Bois-Badeau, la reconversion de la Base aérienne 217, la densification des franges de la gare RER et l’installation d’un multiplexe dans sa zone d’activité. Pourtant le centre-ville peine à faire centralité. Il est constitué de polarités éparpillées qui s’insèrent dans un contexte d’urbanisation non maitrisée et affaiblit par l’hégémonie des grandes opérations commerciales en périphéries. Comment faire émerger le centre-ville de Brétigny-sur-Orge vis à vis des grandes dynamiques en cours ? Deux grandes entités pourraient permettre de fédérer les polarités dispersées du centre. Il s’agit de renforcer la relation du cœur de la ville avec son territoire : consolider un axe dynamique structurant et rétablir la relation perdue avec la vallée de l’Orge. Dans ce sens, l’étude explore l’outil du plan guide « détaillé », opposé à la logique de plan masse, en proposant plusieurs projets sans renoncer à une cohérence d’ensemble.

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Forts de cette stratégie, nous avons proposé cinq projets pour faire “émerger” le centre-ville : Un parc sur l’actuelle place du marché, révélant la topographie de la vallée et assurant la récupération des eaux pluviales du quartier (ci-contre). Une traversée multimodale sous la voie ferrée reliant le centre-ville au nouvel écoquartier (ci-dessus, dessin d’Alessandra Marcon) .


l’émergence du centre

Une nouvelle place publique au cœur du centre-ville, accueillant une halle de marché ouverte et à multiples usages (ci-dessous). Enfin nous avons complété ces derniers par la réhabilitation d’une école primaire ainsi que le remaillage et la densification d’un îlot en logements.

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le travail [in]visible P.F.E. / Projet de groupe et individuel / 2013 / ENSAVT David Mangin

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le travail [in]visible e / ha

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QCA

Dans le cadre de notre projet de fin d’étude en architecture, nous nous sommes saisis de l’intitulé proposé par les Ateliers de Création Urbaine : « les mutations économiques des territoires » pour traiter de l’économie dans les projets urbains. La région proposait d’explorer cette thématique sur le territoire du Grand Orly ; vaste périmètre composé des quatorze e / ha coefficient humain type d’éco.parisien.temporalités communes encerclant le deuxième aéroport Cette étude a été pour nous le moyen travailleur présentielle travailleur de développer, habitant en groupe, une analyse urbaine approfondie de ce territoire à travers le prisme informelle habitant de l’emploi, afin d’enrichir nos diplômes. Notre réflexion part du postulat que l’économie est présente dans tout territoire. Si les quartiers de bureaux et les zones d’activités ont effectivement pris une place importante dans le paysage économique de l’Île-de-France, il nous semble important de rappeler que ces deux types de formes urbaines ne sont pas des modèles exclusifs. Ils prennent place dans un système économique plus large, caractérisé par une diversité d’activités et une multiplicité de formes.

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0h

8h

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Pavillonnaire

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24h La Défense

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La Défense

24h Val de Fontenay Val de Fontenay

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Grand ensemble

Tout aménagement engendre des besoins spécifiques, favorisant l’implantation d’activités satellites : des employés mangent au restaurant, des jardiniers et personnels d’entretien vendent leurs services aux particuliers... Nous distinguons dès lors deux types d’économie : celle dite « non présentielle» , dont l’activité ne dépend pas de l’échelon local, et celle dite «présentielle» qui au contraire se lie au territoire environnant. 0h

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Grand

Centre ville

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La Défense

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Au “Nord”, un système d’enclaves, au “Sud” un maillage diffus.

GPE

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Cité de la Gastronomie

30 000 voyageurs / j.

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Gare GPE

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170ha d’espaces ouverts

Tram 7

1 000 000 visiteurs / j.

Plaine de Montjean

La Carelle Site pollué

Cœur d’Orly 600 000 m2 de bureaux

Zone de bruit 65dB

Zone de bruit 65dB

Les grands programmes ou les contraintes comme leviers pour le “Nord”


le travail [in]visible Nous avons ainsi souhaité mettre en évidence la présence de cette économie présentielle sur le territoire du Grand Orly. Malgré le zoning très marqué qui caractérise ce territoire, les formes urbaines se confrontent, s’interrompent, s’entrecroisent. Il en résulte de nombreux points de friction, au niveau desquels se développent de nouvelles activités économiques. En nous intéressant à ces situations —où les tissus urbains se rencontrent— nous avons repéré plusieurs modes d’assemblage. Ces recherches nous ont permis de dégager deux tendances sur le territoire du Grand Orly : un maillage diffus au Sud, où les activités économiques se développent spontanément, et un système d’enclaves au Nord (le M.I.N., la SOGARIS, la Sénia...) enserrées par de grandes infrastructures. Si le fonctionnement économique de ces zones est avéré, elles n’en demeurent pas moins des espaces fermés, qui développent peu de liens avec le territoire. Pour muter, ce deuxième système nécessite de grands “leviers” qui permettraient d’intervenir sur les franges des enclaves sans altérer leur fonctionnement interne.

Stratégie générale pour un développement économique du Grand Orly

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Suite à cette analyse commune, nous avons choisis cinq sites au Nord de l’aéroport, autour de ces fameuses “enclaves”, afin de proposer des projets “urbains et économiques” sur la base de notre stratégie globale. Cette maquette au 1/2000 nous a permis de présenter chaque projet dans le large et complexe système urbain dans lequel il s’installe. De ce maillage territorial sont nés des propositions aussi variées qu’une cité de la gastronomie, une nouvelle gare RER-TGV, des logements et des équipements sportifs et culturels, des serres agricoles maraîchères et un pôle d’éco-industries visant à la dépollution.


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le travail [in]visible Mon projet personnel s’appuie sur deux futurs événements potentiels : la volonté de la commune de Wissous d’agrandir son parc de logements (2500 logements neufs) et la possible extension du pôle tertiaire Orlytech sur les emprises nord-ouest de l’aéroport. Il s’agissait tout d’abord de montrer comment les activités et les logements pouvaient être implantés au coeur ou sur les franges de l’urbanisation actuelle de la commune de Wissous. Dans la zone de bruit, les activités pourraient s’inclure dans un tissus souvent trop peu dense et les logements, le long d’infrastructure, dans des entrepôts vacants... Ces dispositions permettraient de préserver la plaine et de renforcer le tissu urbain déjà présent, favorisant, entre autre, le développement de l’économie présentielle. Dans un second temps, il s’agissait de déterminer un «corridor actif», préservant la fonction «écologique» de la plaine et s’inspirant de la multiplicité de ses parcs. Ainsi, encadré par la densification de la commune et le futur pôle tertiaire, un ensemble de programmes non-bâtis et créateur d’emplois pourrait prendre forme : un centre aéré (moniteurs), un parc sportif (entraîneurs), des jardins ouvriers (jardiniers, maraîchers) et une place en lien avec le parc de Wissous (vendeurs, serveurs). A la convergence de ces nouveaux parcs, un équipement de «silo-salle de concert» permettrait de gérer le stationnement des véhicules et de profiter de la plaine pour accueillir des événements indifférents aux nuisances sonores de l’aéroport. Ces programmes viseraient à articuler les projets de logements et de bureaux, requalifier l’entrée de ville et mettre en valeur de nouveaux itinéraires piétons et routiers afin de créer du lien entre les grandes entités du territoire.

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Frange du corridor

Quatre « parcs »

Trame piétonne et routière

Programmes et nuisances


salle de concert + silo + restaurant + boutiques + 200 emplois

le travail [in]visible

1/ Silo, salle de concert, Bar, boutiques logements individuels et collectifs + jardins partagĂŠs +100 emplois

2/ Logements collectifs et individuels, Jardins partagĂŠs

4/ Logements collectifs, MarchĂŠ, commerces

3/ Centre de loisirs, peupleraie

5/ Terrains et salle de sport, piscine

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¡ No retalleu la cultura ! Master 1 / Projet individuel / 2012 / ENSAVT Pierre-Alain Trévelo

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¡ No retalleu la cultura ! Ce projet individuel de Master 1 s’inscrit au centre du Poblenou, ancien quartier industriel de Barcelone. Marqué par la grille de Cerdà, cet ancien village a pourtant conservé le tracé de son cœur historique : la rue Maria Aguilo. Longue de 2 km et reliant la rambla de Guipuscoa à la Mer, cette rue de seulement 7 mètres de large, bien desservie par les transports en commun, possède de nombreux commerces, restaurants et services. Un réseau d’équipements s’articule également autour de celle-ci (bibliothèque, hôtel, école) la rendant d’autant plus dynamique. Bien qu’ils soient peu adaptés, ceux-ci sont pourtant souvent investis lors de manifestations culturelles qui animent depuis toujours le quartier. Des associations telles que ¡ No retalleu la cultura ! (“N’enlevez pas la culture !”) défendent ardemment le patrimoine festif et son développement au sein du Poblenou. Il s’agissait donc de compléter ce réseau existant, 4 nouveaux équipements entièrement dédiés à la culture. Ainsi, le long de la rue Maria Aguilo, ma proposition était de profiter de 4 espaces disponibles afin d’insérer une école de théatre, une galerie d’art, un musée et une salle de concert. Pour rendre compte de ce réseau j’ai souhaité travailler sur la série, l’identique et le particulier. Chacun des bâtiments est semblable de l’extérieur : un parralépipède en port à faux qui créé un seuil pouvant être investit par les habitants du quartier ou les visiteurs attirés par une représentation extérieure ou simplement par une zone d’ombre. Néanmoins, une structure commune et légère permet à chaque édifice de développer une partition unique et rattachée au programme qu’il abrite. Les façades quant à elles, sont constituées de panneaux amovibles qui permettent aussi son adaptation en fonction des activités internes aux projets.

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ÉCOLE DE THÉÂTRE & FABRIQUE DE DÉCORS RÉSIDENCE D’ARTISTES & GALERIE D’EXPOSITION

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RAMBLA DE GUIPUSCOA


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MUSÉE DE POBLENOU

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parking

parking

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casino

collège

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¡ No retalleu la cultura !

SALLE DE CONCERT & STUDIOS D’ENREGISTREMENT

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Au cœur de la machine Master 1 / Projet de groupe / 2012 / ENSAVT Pierre-Alain Trévelo et Yannick Beltrando

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Au cœur de la machine Ce premier projet de groupe à l’école d’architecture de Marne la Vallée est une réflexion sur le site de Zollverein, situé dans la Ruhr en Allemagne. Cette région marquée par un lourd passé industriel est, depuis la fin des années 80, le terrain d’expérimentation de l’IBA Emsher Park qui vise à faire de ce territoire un ensemble à la fois paysagé et culturel. Nous l’avons interprété comme un système d’îles, connectées les unes aux autres et affichant différentes typologies. Celle de Zollverein nous est apparu comme un système homothètique : les “machines”, la zone industrielle, entourée par une ceinture verte... Le projet développé s’inscrit dans cette logique et tente de lier ces différentes échelles au sein d’un nouveau lieu de production (mentale et non plus physique). Notre projet d’université, accompagnée

de bureaux et de salles de sport, s’inscrit au cœur de l’ancienne zone industrielle, entouré de ses objets singuliers. Il prend ainsi place comme une nouvelle machine proposant une continuité entre l’espace public et l’intérieur du bâtiment. Les trois programmes sont organisés en spirale autour d’un patio central. L’ascension interne dans chacun de ceux-ci permet un panorama à 360° du site et les terrasses formées par la rotation de chaque trémis permettent leur cohabitation. Sur le toit, on peut observer et comprendre le site. Tel un immense rouage en perpétuel mouvement, mêlant intérieur et extérieur, notre machine symbolise le renouveau de la Ruhr, néanmoins attachée à son patrimoine exceptionnel.

Lecture de l’Emsher Park comme un emsemble d’îles

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EXTERIEUR

UNIVERSITE 10000 m²

1 ACCUEIL 2 AMPHHITHEATRE 3 SALLE DE CLASSE 4 LABORATOIRES 5 BIBLIOTHEQUE 6 RESTAURANT 7 LOCAUX TECHNIQUES 8 SANITAIRES 9 ADMINISTRATION

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Au cœur de la machine 0

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piscine verticale Licence / Projet individuel / 2011 / ENSAPBx Olivier Brochet

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LORMONT, est une commune située en périphérie de Bordeaux, marquée par la singularité de son vieux centre, enclavé entre la Garonne, les coteaux et le pont d’Aquitaine, traversé par une voie ferrée. Pour le projet de licence, une piscine et un restaurant sont proposés, dans le but de développer une stratégie urbaine. Sur le thème du parcours, j’ai essayé de mettre en relation les différents lieux symboliques de la ville ayant différents rapports avec l’eau. Le projet de piscine viendrait ainsi comme une étape entre le lac du parc, au sommet des coteaux et les quais du fleuve, récemment aménagés.


piscine verticale

Garonne Lavoir Lac

N

Garonne Piscine Lavoir Lac

parcours urbain & architectural

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Plan RDC 1 2 3 4 5 6 7 8 9

hall accueil vestiaires collectifs espace beautÊ vestiaires indiv. casiers cafèteria locaux sanitaires

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10 salle de restauration 11 cuisine

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piscine verticale Plan R+1 douches grand bassin bassin d’apprentissage espace dÊtente

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Plan Toit

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piscine verticale

Le choix de la parcelle d’implantation nous étant laissé, il s’agissait pour moi de choisir une position surélevée, en recul par rapport au fleuve afin de privilégier un contact visuel et non physique avec celui ci. J’ai ainsi choisi un petit parking, légèrement en hauteur, comme site pour la piscine et une dent creuse, en contrebas le long de la route menant aux quartiers plus récents, pour le restaurant. L’orientation des deux bâtiments créée ainsi une rue piétonne, inititée par un large escalier, connectant les quais et le parc. La zone d’implantation, trop exiguë pour une piscine municipale m’amena, en quelque sorte, à traiter le programme verticalement. La “marche en avant” qui le caractérise prenait ainsi un caractère ascensionnel et remarquable que je voulais mettre en avant. Sur la façade principale, presque entièrement vitrée, deux longues rampes, visibles depuis la rue, soulignent le parcours des baigneurs, des vestiaires jusqu’au bassin extérieur sur le toit.

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autres expĂŠriences

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Du 20 mars au 6 avril 2014, notre P.F.E. a été sélectionné avec 34 autres pour l’exposition “futurs immédiats” au Pavillon de l’Arsenal. A cette occasion, nous avons présenté notre maquette au 1/2000, complétée par une vidéo et notre livret “le travail [in]visible”.

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Cette petite bande dessinée a été réalisée à l’occasion d’une étude sociologique sur le quartier “Saint-Martial” à Bordeaux. Elle avait pour objectif d’introduire la mixité sociale présente au sein du quartier et ainsi les différentes perceptions de celuici que nous avions recueillis sur le terrain.

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Il m’arrive de dessiner pour des commandes en dehors du cadre de mes études. La couverture de ce Portfolio, à l’occasion d’une petite exposition “villes imaginaires” à Angoulême et ce dessin pour la pochette d’un album du groupe de musique “Moley & the Crooks”.

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