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L E M INISTRE d E L AGRI c ULTURE I a visité le Village Réunion

Qu’avez-vous pensé du Village réunion ?

J’en garde un très bon souvenir : de la convivialité, un accueil très chaleureux et surtout une très belle vitrine des savoir-faire réunionnais !

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parmi les 20 exposants représentant les saveurs de notre île, lesquels vous ont le plus intéressé ?

Difficile de répondre précisément à cette question. J'ai rencontré des acteurs dynamiques, motivés, à la fois conscients des réalités mais également tournés vers l'avenir et l'innovation. Tous les échanges m'ont intéressé et ce qui est certain, c’est que j’aurai plaisir à les prolonger quand je me rendrai à La Réunion cette année !

au ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, le réflexe Outre-mer est là. Les Outre-Mer font partie intégrante du territoire national. Les États-généraux de l'alimentation et les assises des Outre-mer nous offrent néanmoins un levier intéressant pour repenser collectivement l'agriculture et l'agro-alimentaire local dans les Outremer par le prisme du consommateur. Les contributions transmises par La Réunion à la suite des 4 ateliers régionaux sont en ce sens très intéressantes, notamment s'agissant des questions d'alimentation et de santé.

le savoir-faire culinaire réunionnais est-il une valeur ajoutée pour la gastronomie française ?

régions, La Réunion ne démérite pas ! vous connaissez mes origines : comment ne pas sublimer des noix de Saint-Jacques avec de la vanille de La Réunion ?

la canne à sucre réunionnaise peut-elle être définie comme une richesse insulaire à préserver ?

l’agriculture

en outre-mer revêt-elle une importance croissante pour le gouvernement ?

Dans toutes les politiques que je porte

Bien entendu ! La richesse de la gastronomie française tient à la richesse et à la diversité de ses territoires. Entre les spécialités locales telles que le rougail saucisse et les produits exotiques qui peuvent agrémenter des plats d'autres

La canne à sucre fait partie des richesses de La Réunion et la filière représente un pilier économique pour l'île, adapté au contexte climatique et notamment cyclonique. Au-delà des emplois qu'elle induit et de sa place de leader en matière d'exportation, cette filière constitue avant tout un moteur de création de valeur économique, sociale et environnementale notamment par le développement de la bio-économie. Les réflexions en cours sur la recherche de nouveaux débouchés, de nouvelles valorisations doivent pouvoir se poursuivre pour se moderniser, se transformer et répondre aux nouvelles attentes des consommateurs et des citoyens.

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