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B 3 e l b m e s n E JANVIER 2008
Les vœux du Président
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n novembre, dans le dernier n u m é r o d e notre journal de liaison, je vous ai parlé de l’année jubilaire 2008 que nous attendions.
Eh bien, nous y sommes ! Le temps passe de plus en plus vite. Hier, en 2007, nous fêtions nos 70ème et 30ème pèlerinages et nous voilà déjà lancés, depuis deux mois, dans la préparation du suivant qui sera le pèlerinage de l’année jubilaire. Le 150ème anniversaire des apparitions de la Vierge Marie, sera un événement que nous ne revivrons pas deux fois ! Ce jubilé a un retentissement mondial et les préparatifs des Sanctuaires en sont à la hauteur. Ce que certains d’entre-nous ont vécu le 8 décembre dernier pour l’ouverture de l’année, donne une idée de tous les développements auxquels nous serons associés et de toutes les richesses que nous pourrons retirer de cette grande fête mariale.
Nous devons tout faire pour être présents et, si possible, avec l’Hospitalité Landaise. Le programme de notre pèlerinage, pour les deux structures, a été conçu pour ‘’coller’’ aux célébrations prévues par l’évêque de Lourdes et ainsi, faire en sorte de mieux participer à la démarche jubilaire avec tous les pèlerins. Cela impliquera certainement beaucoup d’efforts, beaucoup de déplacements, des horaires tendus. Nous devrons redoubler d’attention pour que nos chers malades et handicapés puissent, sans plus de fatigue que d’habitude, être les acteurs heureux de cette manifestation. Aussi le vœu, le souhait de votre président pour cette nouvelle année, est que vous vous teniez prêts quand l’Hospitalité Landaise viendra frapper à votre porte. Contrairement à la parole de l’évangile de Matthieu au chapitre 24, vous en connaissez déjà le jour et l’heure ! Chers hospitaliers, bonne année jubilaire, dans le service de ceux, auprès de qui, nous sommes appelés ! François d’AVEZAC
Les vœux de l’Aumônier « AH ! LA SANTÉ… »
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tions. Déceptions et non difficultés, car le disciple rencontrera ces dernières comme son maître : celles de la croix : « Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il me choisisse et prenne sa croix, et qu’il me suive. » (Mt 16, 24).
Réveille les sources de l’eau vive ». Les mots de ce chant conviennent bien à la démarche que nous propose actuellement notre diocèse : vivre une année de l’appel, dans un cadre plus universel : le jubilé du cent cinquantième anniversaire des apparitions de Marie à Lourdes : «Je suis l’Immaculée Conception ».
Que 2008 nous donne alors la santé ! Mot (et vœu) presque banal s’il n’en cachait pas d’autres comme : Service : quoi de plus normal pour un hospitalier, une hospitalière que d’être en tenue de service, à la manière du Christ.
L’évangéliste Matthieu nous rapporte l’étonnement de Jean Baptiste d’entendre Jésus lui demander de recevoir le baptême avec ses coreligionnaires. « Pour le moment, laisse-moi faire ; c’est de cette façon que nous devons accomplir parfaitement ce qui est juste ». « Alors Jean le laisse faire » poursuit Matthieu. Que se passe-t-il ensuite ? « Des cieux, une voix disait : ‘Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; en lui, j’ai mis tout mon amour’ ». Parce que Jean a respecté la volonté de Jésus, Dieu n’a pas eu besoin de revoir sa manière de révéler Jésus comme son Fils bien-aimé.
Amour : servir, c’est bien ; avec et par amour, c’est mieux, dit l’apôtre saint Paul aux chrétiens de Corinthe (1 Co 12, 31 – 13, 8). Nourriture : si tout travailleur mérite un salaire, dit encore l’Ecriture, Jésus précise que l’homme ne se nourrit pas seulement de pain mais également de la Parole de Dieu. Cette année, nous sommes invités à redécouvrir les Actes des Apôtres. Travail : pour revenir aux sources de notre baptême et traduire effectivement les appels reçus, voire perçus.
Parce que Joseph a accompli ce que l’ange Gabriel lui avait dit, Marie a pu continuer à vivre auprès de celui qu’elle aimait. Et l’évangile ne nous raconte pas que Joseph s’en est mordu les doigts !
Émerveillement : car Dieu m’a créé, non pour râler, mais pour bénir et rendre grâce. Ne célèbre-t-on, le dimanche, Jour du Seigneur, l’eucharistie, mot qui signifie action de grâce ? Quel programme ! Servir, avec et par amour, à la lumière de la Parole de Dieu pour bâtir le Royaume de Dieu et rendre grâce de sa croissance, même invisible à l’œil nu. Il en faut de la santé !
Et nous ? Sommes-nous animés, en ce début d’année, par ces mêmes sentiments : « accomplir parfaitement ce qui est juste ». Certes, la barre peut paraître un peu haute. Aussi, Jésus invite celui qui veut le suivre à réfléchir comme le fait un chef d’armée avant de partir en guerre ou un architecte avant de débuter les travaux afin d’éviter quelques décep-
Alors, à tous et à toutes, très bonne année 2008. Père Olivier DOBERSECQ 2
1858 - 2008 La vocation de Bernadette, notre vocation ! Nous, les landais, nous sommes tellement près de Lourdes que nous pouvons y aller d’un coup de voiture, pour une journée. Nous allons tellement souvent à Lourdes que son message risque d’être banalisé, comme une prière que nous connaissons par cœur et que nous répétons tous les jours. Heureusement, les anniversaires sont là pour nous faire prendre conscience de l’importance des évènements qui ont marqué notre vie. Il en est ainsi du 150° anniversaire des apparitions à Lourdes. Il va nous permettre de vivre une étape toute de fraîcheur en plein juillet ensoleillé, pour re-découvrir le message de Lourdes et donc la vocation de Bernadette. Tout s’est passé entre le 11 février et le 16 juillet 1858, la période des dix-huit apparitions de Marie à Bernadette à la grotte de Massabielle. Marie a soufflé à Bernadette sa vocation à travers ces paroles qui résonnent dans nos cœurs de pèlerins : ‘’ Je ne vous promets pas d’être heureuse en ce monde mais dans l’autre.’’ ‘’Pénitence. Pénitence. Pénitence. Vous prierez Dieu pour les pécheurs. Allez baiser la terre pour la conversion des pécheurs.’’ ‘’Allez dire aux prêtres qu’on vienne ici en procession, qu’on y bâtisse une chapelle.’’ Le message de Lourdes nous parle parce qu’il a d’abord parlé à Bernadette et qu’elle a su nous le transmettre, simplement, humblement. C’est la force des saints : savoir faire passer le message en le vivant soi même.
Bernadette a eu du mal Elle a eu du mal d’abord à se faire entendre. Elle n’a pas été comprise, elle a été victime de pressions. Il a fallu qu’elle parte de Lourdes pour trouver la paix à Nevers, loin de cette grotte où elle avait pourtant vécu tant de bonheur dans ses échanges avec celle qui se 3
Notre vocation : évangéliser
déclara : ‘’Je suis l’Immaculée Conception.’’ Elle a eu du mal aussi dans sa chair, dans sa maladie et sur son lit de douleur. Elle a porté sa souffrance dans l’espérance toujours aussi vive de rencontrer son Seigneur au Ciel, comme elle aimait répéter. Sa vocation, ce n’était pas de souffrir, c’était de s’offrir.
En cette année de l’Appel pour notre Église diocésaine, il nous est bon de regarder la vocation de Bernadette, une vocation qui s’est affermie à la grotte, à l’écoute de Marie qui l’a conduite à son Fils Jésus, une vocation de jeunesse qui est le commencement d’une vie rayonnant l’évangile dans tous les milieux, bien au delà de la grotte et de la petite ville de Lourdes. Les chiffres parlent d’eux mêmes. La foule qui s’est retrouvée avec Bernadette à la grotte tout au long des apparitions n’a cessé d’augmenter : 30, 100, 150, 250, 330, 600, 800, 1150, 1450, 1650, 3500, et le jour de la quinzième apparition : 8000 personnes (alors que Lourdes ne comptait à l’époque que 3000 habitants). Et aujourd’hui, plus de six millions de visiteurs et de pèlerins se pressent chaque année à Lourdes. Et nous en faisons partie.
Bernadette a passé sa vie à prier pour les pécheurs Elle l’a montré dans la grotte en obéissant à ce que lui demandait la Dame. Les gestes qu’elle posait sans raison apparente, elle les faisait par honnêteté, par fidélité, par confiance. Toute sa vie fut ainsi marquée par cette obéissance, fruit de l’amour comme nous le lisons dans ces mots qu’elle écrivait à Nevers : ‘’Obéir, c’est aimer. Obéir, c’est plaire à Jésus, c’est aimer. Tout souffrir de la part des créatures pour plaire à Jésus, c’est aimer. Obéir, c’est aimer. Tout souffrir en silence pour plaire à Jésus, c’est aimer.’’ Sa vocation, ce n’était pas d’obéir, c’était d’aimer : aimer Jésus, aimer ses frères, aimer l’Église.
Nous y serons le mercredi 16 juillet, jour anniversaire de la dernière apparition. Ce sera la grande journée diocésaine, avec les malades et les hospitaliers, avec les pécheurs et les chercheurs de tout le diocèse, mêlés à l’immense foule au pied de la grotte, formant tous ensemble l’Église du Christ qui ne cesse de nous relancer : ‘’Confiance, lève-toi, il t’appelle !’’ (Marc 10,49)
Bernadette a aimé l’Église Elle savait que les prêtres en étaient les responsables. Elle n’a rien fait sans leur avis. Et quand la Dame lui a demandé de s’adresser à eux pour venir à la grotte en procession et y bâtir une chapelle, elle n’a pas hésité. Et ils sont venus enfin. Et ils ont favorisé la construction du sanctuaire. Et ils ont organisé les processions. Ainsi l’Église toute entière s’est mise en chemin pour aller à la grotte en action de grâce. La vocation de Bernadette, ce n’était pas pour rassembler pour elle même, c’était de rassembler pour faire Église.
Comme Bernadette il y a 150 ans, nous serons invités à affermir notre vocation de baptisés dans notre Église diocésaine pour écrire les actes des apôtres du XXI° siècle, pour continuer ce que d’autres ont commencé avant nous sur cette terre des Landes : évangéliser ! Bernard LABEYRIE Conseiller spirituel des pèlerinages 4
Année jubilaire et Porte sainte Lourdes, 8 décembre 2007. Il y a 153 ans, le pape Pie IX définissait : ‘’que la Bienheureuse Vierge a été préservée de toute tâche du péché originel … dès le premier instant de sa conception.’’ Il y a 74 ans, le pape Pie XI canonisait Bernadette Soubirous. Entre ces deux événements, Marie, l’Immaculée Conception, apparaissait à Bernadette, il va y avoir 150 ans. 1858 – 2008. Aujourd’hui, 8 décembre 2007, Lourdes au cœur de la morte saison, se remplit de nouveau. C’est le premier jour de l’année jubilaire avec l’ouverture de la porte sainte. Les grands jubilés se tenaient dans des villes saintes (Rome, Jérusalem, Saint Jacques de Compostelle, à l’époque médiévale) où, généralement, on se rendait en pèlerinage pour l’occasion. Pourquoi les chrétiens du Moyen-Âge ontils supplié le pape Boniface VIII, vers 1300, d’instituer le jubilé ? Pourquoi les pèlerins de l’époque se sont-ils jetés sur des routes sur lesquelles on marchait, on souffrait, on courait les plus grands dangers ? Ils voulaient être absous de leurs péchés, ils voulaient gagner des indulgences, pour échapper aux peines de l’au-delà, pour mieux entrer au ciel à l’issue
d’une vie beaucoup plus courte que celle de maintenant. Pour les hommes de ce temps là, il y avait deux perspectives : le ciel et l’enfer. C’est ce que répétaient les prédications et que montraient les sculptures des cathédrales ou les murs des monastères. Aujourd’hui, les motivations des pèlerinages et des jubilés sont bien différentes. Certains sont peut-être bien embarrassés pour les formuler clairement. Marie, dans son message à Bernadette, nous suggère la réponse. C’est d’abord, à la 3ème apparition, la promesse de rendre Bernadette heureuse, non pas dans ce monde plein de mensonges d’injustices et de violences, mais 5
(portail St Michel) tandis que retentit la fanfare du jubilé. Le cortège poursuit jusqu’aux arcades où sont vénérées les saintes icônes et arrive enfin à la grotte pour le chant de l’angélus.
dans un monde ‘’autre’’ et mystérieux. Dès cette vie, sans jouir d’aucune des conditions de bonheur terrestre, Bernadette a connu un peu de la lumière, de la joie et de la force de ce monde à venir. Elle en a trouvé la porte. Vivre le jubilé, c’est trouver la petite porte qui mène à la vie (Mt 7, 13). Lors des 8ème et 9ème apparitions c’est l’appel à la conversion. Une des motivations du jubilé est de quitter les puérilités, les mensonges et les illusions de ce monde. Telle est la condition pour entrer dans cet autre monde (Mt 18, 3). Le pape Jean-Paul II a dit que tout pèlerinage ‘’ramène à la condition de l’homme qui aime décrire sa propre existence comme un cheminement.’’ Précisément, au cours de la 13ème apparition, Marie demande (c’est presque un ordre dans sa forme) : ‘’Allez dire aux prêtres de bâtir ici une chapelle et qu’on y vienne en procession.’’ Cette marche nous mène à la chapelle, et donc à l’eucharistie. La chapelle n’a d’autre usage que de permettre à Dieu de réunir son peuple et de le nourrir par sa Parole et son Pain. Tous nos itinéraires, la prière, le chemin de croix, la réconciliation convergent vers ce moment tant attendu par Bernadette en 1858. La présence des malades, notre service auprès d’eux, la multiplicité des langues donnent aussi aux eucharisties de Lourdes leur poids d’humanité et leur dimension universelle.
L’ouverture de la porte sainte est un rite symbolique très fort. Passer la porte sainte pour entrer à l’intérieur d’une basilique (ou en ce qui concerne Lourdes, à l’intérieur des sanctuaires où se trouvent basiliques et églises), n’est pas un simple geste physique qui demande seulement quelques pas. N’en faisons pas non plus un geste magique rempli de superstition. Ce geste est lourd de sens spirituel. En passant la porte, nous manifestons le désir de passer par le Christ pour aller au Père. “Je suis la porte des brebis’’ dit Jésus, (Jean 10, 7) et encore :“Je suis la porte ; si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, il trouvera un pâturage.’’ (Jean 10, 9) “Je suis le chemin, la vérité et la vie.’’ (Jean 14, 6) Toute vie chrétienne, en raison du baptême, est une vie filiale, une vie en Christ ajoute St Paul. Nous sommes fils de Dieu par pur don et pure gratuité. Nous prions le Père par le Fils et dans l’Esprit. Mais tout cela, nous l’oublions ou nous le vivons mal. Chaque année le temps de Carême nous propose un temps de renouvellement. Dans son message, Marie nous demande de nous convertir. L’année sainte est l’occasion d’un retour vers le Seigneur : année de conversion, d’adoration, de prière, d’écoute plus attentive de la Parole de Dieu, année d’un service plus généreux auprès de nos frères malades. C’est dans cet esprit que nous vivrons cette démarche jubilaire le premier jour de notre pèlerinage.
Lourdes, 8 décembre 2007. Les 18000 pèlerins sont rassemblés dans la Basilique Pie X autour de trois cardinaux, dix évêques et plus de 200 prêtres. L’année jubilaire commence par la messe internationale. Après la bénédiction finale une immense procession se met en marche. Tous les pèlerins présents sont invités à accomplir leur démarche jubilaire. Les cardinaux et les évêques ouvrent la porte sainte
Le portier de service
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À pèlerinage exceptionnel … Préparation exceptionnelle . Nous ne manquerons pas de nous préparer chacun de notre côté, matériellement et spirituellement. Mais deux dates nous font signe pour accomplir une partie de cette démarche en groupe. Retrouvons-nous à Lourdes : d’abord le 11 février pour le 150ème anniversaire de la première apparition et journée mondiale des malades et puis lors de notre récollection les 25 et 26 mars. En voici le programme :
25 mars 9h00
Arrivée à Lourdes
9h30-11h00
Conférence par notre aumônier
11 h 30
Grotte : Catéchèse et prière de l’angélus Repas
14h00
Chemin du jubilé
17h00
Messe à l’ hôpital de Lourdes Repas
21h00
Procession mariale
26 mars 9h00
Messe internationale Prière de l’angélus Repas
14h00 -15h00
Temps libre
15h00
Chapelet à la grotte
17h00
Procession eucharistique
18h 0
Départ de Lourdes
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Pèlerinage à Lourdes 2008 Tous les âges me diront BIENHEUREUSE ! (Luc 1,48) ADULTES
JOURNÉE
JEUNES
elle NOUs sAlUe eT elle NOUs sOURIT ! (Bernadette 16-07-1858) MATINÉe : Installation
Mardi 15 juillet
14h00 (Prairie) Travail de groupe 14h00-15h00 (En salle) Temps de groupe Échange sur le thème (ou en salle par temps de pluie) 15h00 Démarche jubilaire 15h30 Démarche jubilaire Rencontre avec les Porte St Michel - Arcades - Grotte adultes Porte St Michel 16h Passage à la grotte 17h00 - 18h00 (Église Ste Bernadette côté grotte) Ouverture du pèlerinage. Célébration de la Parole. Accueil des nouveaux malades et hospitaliers. sOIRÉe 21h15 - 22h (Salle de transit 5e niveau) pour tous les hospitaliers (sauf ceux de la garde de nuit). Veillée échange par petits groupes. (Organisation : jeunes) Prière à la Grotte.
FAITes TOUT Ce QU’Il VOUs DIRA
Mercredi 16 juillet
(Jean 2,5) JOURNÉE DIOCÉSAINE MATINÉe 6h40 (5ème niveau Chapelle) Prière pour tous les hospitaliers libres 9h30 Messe internationale (Basilique St Pie X) 9h (Chapelle St Joseph) Prière du matin 10h (Prairie) Temps de groupe APRÈs-MIDI 15h (Église Ste Bernadette côté grotte) 14h (Prairie) Temps de groupe Célébration de la Parole 16h (Chapelle St Joseph) Célébration de la Parole. 17h Procession eucharistique sOIRÉe 21h00 Procession de la lumière
FIls, VOICI TA MÈRe !
Jeudi 17 juillet
(Jean 19,27) MATINÉe 6h40 (5ème niveau Chapelle) Prière pour tous les hospitaliers libres 8h30 Messe à la grotte 9h30 Piscines Confessions 9h30 (Prairie) Temps de groupe APRÈs-MIDI 15h30 (Grotte) Chapelet 14h00 (Prairie)Temps de groupe 16h30 (Église Ste Bernadette côté carmel) 16h (Chapelle St Joseph) Diaporama Le chemin du Jubilé Célébration de la Parole Soirée libre
20h30 (Transit) Jeu
elle esT GRAVÉe DANs MON CŒUR ! (Bernadette 16-07-1858)
Vendredi 18 juillet
MATINÉe 6h40 (5ème niveau Chapelle) Prière pour tous les hospitaliers libres 8h30 Temps de groupe (Transit ou extérieur) 8h30 (Chapelle St Joseph) Animation Célébration 10h00 (Église Ste Bernadette côté grotte) 10h Départ pour la Cité St Pierre Célébration eucharistique Temps de groupe 12h30 Pique nique APRÈs-MIDI 14h Départ pour la Cité St Pierre 15h Célébration de l’engagement des hospitaliers et envoi 16h00 Départ pour les Landes.
Bureau : Centre Jean-Paul II - 102, av. Francis Planté 40100 DAX - Tél. 05 58 58 31 10 Permanence : Les lundis et vendredi en après-midi de 14h30 à 17 h Imprimerie Guy Barrouillet - Dax