Espace Mise en Marché ANEV

À L’INTENTION DES ÉPICIERS, GÉRANTS ET SPÉCIALISTES

VINS DANS VOS ÉPICERIES des crus recherchés

LES

Des chiffres qui ne manquent pas de corps

36%‡ des vins vendus au Québec (SAQ comprise) sont embouteillés au Québec

+40% des acheteurs de vins en épicerie perçoivent positivement l’appellation « Embouteillé au Québec »

80%‡ des vins du monde sont embouteillés hors de leur lieu de production

42% considèrent les vins en épicerie de qualité équivalente à ceux de la SAQ

54% des consommateurs achètent du vin chez des détaillants alimentaires

42%

40%

le font de manière impulsive et trouvent pratique de tout acheter au même endroit

SOURCE : SONDAGE LÉGER 2022

Consommation annuelle moyenne de vin des Québécois*

1978 : 3,7 litres

2004 : 17 litres

2021 : 24 litres

* SOURCE : STATISTIQUE CANADA

nos vins embouteillés

au Québec !

Depuis plus de 40 ans, des vins embouteillés au Québec sont proposés sur vos rayons, chers détaillants alimentaires. Une longue histoire qui prouve que ces vins, introduits à la base pour constituer des canaux de distribution secondaires à celui de la SAQ, ont réussi à traverser le temps et à se démarquer. Ils rapportent d’ailleurs chaque année 240 millions de dollars à l’État québécois.

Nous en sommes conscients : les vins proposés chez les détaillants du Québec n’ont pas toujours eu bonne presse. Pourtant, les choses ont bien changé... les vins embouteillés au Québec, qui représentent 36 % de tous ceux vendus à travers la province, (SAQ comprise), ne doivent plus être considérés comme des produits bas de gamme, ou pire encore comme de la poudre diluée dans de l’eau. Ils sont sélectionnés par des experts sur tous les continents, en fonction des goûts des Québécois. Ils sont transportés ici dans le respect de normes de sécurité maximales. Ils sont rigoureusement testés et reçoivent tous le sceau de qualité de la SAQ avant d’être distribués. Alors, même si ce ne sont plus, depuis quelques années, les mêmes produits que l’on croise dans les SAQ et chez les détaillants, leur qualité est comparable.

Les embouteilleurs du Québec ont aussi évolué en même temps que les goûts des consommateurs. S’il y a 30 ans, il se buvait essentiellement des vins blancs sucrés dans les chaumières québécoises, ce n’est plus du tout le cas. Les vins que l’on trouve chez les

détaillants sont rouges, blancs, rosés, effervescents, liquoreux. Ils viennent des États-Unis, d’Europe, d’Amérique du Sud, d’Australie. Ils sont aussi, de plus en plus, biologiques et monocépages. Ce n’est donc pas pour rien que la sommelière Jessica Harnois (vins Bù) et le chef Stefano Faita (vins Stefano) font confiance aux embouteilleurs de vins du Québec et proposent leurs produits chez vous, détaillants du Québec.

Le temps est donc venu de démocratiser ces vins et de les mettre en valeur, d’autant plus que nos épiceries et nos artisans alimentaires disposent d’un atout unique : la nourriture ! Imaginez un instant tous les accords réalisables sous cet angle, et les achats que cette approche pourrait induire. Imaginez également ce qu’une meilleure connaissance et une meilleure visibilité pourraient apporter à cette catégorie. Ce ne sont pas des rêves éveillés, mais des stratégies tout à fait réalisables, comme vous le découvrirez dans ce guide.

Pour conclure ce petit éditorial, nous voulons réitérer que nous sommes vos partenaires d’affaires, et que nous avons un but commun : assurer la croissance, tout en valorisant la qualité et le développement durable. Alors, soyons fiers de nos vins embouteillés au Québec !

Association des négociants embouteilleurs de vins (ANEV) embouteilleici.com

Des vins

PARFAITS pour vos clients

« Dans la majeure partie du monde, les vins produits ailleurs et embouteillés dans le pays où ils sont consommés sont incontournables. Et c’est aussi le cas au Québec, même si les consommateurs n’en ont pas toujours conscience. »

Une qualité irréprochable

Les experts sont formels : le transport de vin en vrac est de qualité égale, voire supérieure à celui qui se fait en bouteilles.

Pourquoi?

Grâce à un processus rigoureux :

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Le vin sélectionné est conservé dans les cuves du producteur jusqu’au moment du transport.

Il est ensuite filtré et transféré dans des poches FlexiTank de 24 000 litres, dont le principe, comme pour les viniers, assure que le vin n’entre jamais en contact avec son pire ennemi : l’oxygène. Ce qui n’est pas assuré lors du transport de bouteilles.

Le vin en vrac est acheminé par voie terrestre ou maritime jusqu’au Québec, où il est immédiatement transféré dans des installations sécurisées.

Vins en épicerie : un avantage tout-en-un

Choix, praticité et proximité

Cette vision fonctionnelle de la catégorie pourrait facilement se transformer en choix logique si vous misiez sur un atout que vous, les détaillants, êtes les seuls à maîtriser : le contenu des assiettes !

Vous occupez une position idéale pour promouvoir l’achat de vin, et voici pourquoi concrètement :

• Le vin peut, en tout temps, accompagner une bonne partie des produits vendus en magasin.

• Le vin est propice à toutes les occasions : cuisine, repas de semaine, 5 à 7 gourmands, célébrations diverses, cadeaux, etc.

• Le vin peut permettre d’augmenter les ventes de produits saisonniers.

• Le vin peut intégrer des promotions croisées touchant des produits spécifiques dont on veut stimuler les ventes.

• Le vin peut être livré à domicile en même temps que la commande alimentaire des clients.

42% des achats de vin en épicerie se font pour en ajouter dans une recette

Crédit

photo : Adobe Stock

Nous n’en avons pas souvent conscience, mais les vins embouteillés au Québec, en plus de nourrir notre économie et d’être vecteurs de nombreux emplois, sont également un choix plus écoresponsable que ceux importés en bouteille.

En voici les raisons :

L’importation de vin en FlexiTank permet de contenir dans le même espace un volume 33 % supérieur à celui des bouteilles, ce qui réduit l’impact environnemental de son transport jusqu’à 20 %.

L’embouteillage au Québec est exécuté en grande partie avec du verre allégé, si bien qu’on utilise moins de matière ici qu’ailleurs pour fabriquer les bouteilles.

La commercialisation des bouteilles au Québec encourage la circularité, puisque les bouteilles vides peuvent être récupérées et recyclées localement.

Une sélection adaptée aux gens d’ici

Les embouteilleurs du Québec ne sont pas de simples marchands de vin.

Ils répondent aux goûts et aux besoins des consommateurs québécois, en plus d’avoir un impact positif sur l’économie de notre province.

Vous rappelez-vous de vins populaires comme L’Oiseau bleu, Baby Duck ou encore le Charlesbourg « type Bordeaux »? Au fur et à mesure de l’évolution de l’offre et des goûts des consommateurs, ils ont disparu et cédé leur place à des vins en accord avec ce qu’aiment les Québécois.

Un petit tour dans le rayon des vins des commerces montre incontestablement ce changement. Les vins blancs sucrés d’hier ont été remplacés par un florilège de vins rouges, blancs, rosés, effervescents et liquoreux venus des quatre coins du monde. Actuellement, les plus populaires sont originaires d’Europe (France, Italie, Espagne), des États-Unis, d’Amérique latine (Chili et Argentine), d’Australie et de Nouvelle-Zélande.

Mieux encore, ces vins sont de plus en plus biodynamiques ou biologiques, constitués de monocépages et d’Appellation d’origine protégée (AOP). Ces caractéristiques sont de plus en plus affichées sur les bouteilles et permettent aux consommateurs de s’y retrouver plus facilement.

La diversité et la qualité des vins que l’on trouve chez les détaillants du Québec sont donc similaires à celles des produits que l’on trouve à la SAQ sous la barre des 20 dollars. Et ce sont les mêmes experts qui sillonnent le monde chaque année pour trouver des vins qui nous plairont dans les deux filières.

Il serait donc grand temps de cesser de parler de vins d’épicerie, et de plutôt parler de vins en épicerie !

Une offre très diversifiée

Un vin pour chaque occasion

Un vin, ça se déguste ou se cuisine. Ça se boit seul ou à plusieurs. Ça se sert en apéro ou en accompagnement d’un plat. Ça meuble un repas ou une célébration. Ça permet aussi de se récompenser ou s’offre en cadeau. En résumé, les besoins et les occasions que le vin comble sont illimités !

Des partenaires à vos côtés

Augmenter ses ventes, non seulement de vins, mais aussi de tous les produits proposés en magasin, c’est tout à fait possible ! Et rassurez-vous : cela ne nécessite pas d’engager des spécialistes ni de la main-d’œuvre supplémentaire.

Conscients du manque de personnel dont peuvent souffrir les commerçants, les embouteilleurs de vins sont là pour vous aider à bâtir une offre de vins pertinente : vins sans prétention pour la semaine, vins pour cuisiner, vins élaborés pour des repas gourmets, vins festifs pour des célébrations, etc.

Ces mêmes embouteilleurs sont également présents, ainsi que plusieurs ambassadeurs de renom, pour démocratiser et promouvoir ces vins.

N’hésitez pas à faire appel à eux pour vous épauler et faire des vins embouteillés au Québec un succès dans vos magasins!

Vins embouteillés

au Québec

PRÊTS POUR LA MISE EN MARCHÉ ?

Positionner les vins en magasin

Sachant que 40 % des Québécois achètent du vin en épicerie parce que c’est pratique, il vaut la peine de repenser la mise en marché de cette offre. Voici quelques idées pour augmenter le taux de pénétration de votre section des vins :

• Disposer d’un choix plus vaste de produits, de manière à ce que les consommateurs sachent qu’ils trouveront de tout à cet endroit.

• Optimiser la signalétique sur place, avec un placement qui va au-delà du rouge et du blanc : répartition par origine, par cépage, par utilisation ou par type de mariages possibles avec des plats.

• Afficher des caractéristiques globales pour mieux guider les consommateurs, à l’image des pastilles de goût de la SAQ.

• Disposer d’un espace réservé aux nouveautés, qui peuvent ainsi varier d’une semaine à l’autre.

• Mettre en avant des promotions saisonnières, en regroupant des vins qui y correspondent.

• Inviter un expert à des moments clés de l’année (Noël, Saint-Valentin, arrivée des vacances, rentrée, etc.) pour qu’il guide les clients dans la section et leur fasse découvrir l’éventail de produits offerts. Cette stratégie a très bien fonctionné pour les bières de microbrasserie du Québec.

4 principaux incitatifs d’achat d’achat de vin en épicerie

Crédit photo : Depositphotos

Promouvoir les vins sur tous les supports

Le magasin n’est pas le seul espace où il est possible d’attirer l’attention des clients sur son offre de vins.

• La circulaire (papier ou en ligne) est un excellent médium pour annoncer l’arrivée de nouveautés, de rabais combinés mets et vins, ou bien pour suggérer des vins pouvant se marier aux produits en promotion.

• Sur le site Web et les réseaux sociaux du commerce, on peut refléter les mêmes éléments, mais aussi proposer des recettes qui intègrent du vin ou recommandent des accords, diffuser des capsules sur les mariages possibles d’une gamme de vins ou sur les régions où ils sont produits.

• Pourquoi ne pas aussi offrir des promotions combinées exclusivement en ligne ou sur l’application de sa bannière ?

• Comme le vin peut être, au même titre que les produits alimentaires, livré à la maison, il est tout à fait possible de suggérer quelques choix aux consommateurs qui commandent en ligne.

Bâtir une stratégie croisée

Pour motiver l’achat de vins dans d’autres départements :

• Présenter des vins, ou du moins les afficher, afin de montrer des mariages intéressants avec plusieurs catégories d’aliments : fromages, charcuteries, viandes, poissons, prêt-à-manger, desserts, etc.

• Proposer des vins en accord avec des aliments de niche ou transformés comme le canard, les gibiers et les poissons fumés.

• Intégrer des choix de vins lors de présentations saisonnières réalisées pour Halloween, les Fêtes, le temps des sucres, ou Pâques.

• Proposer des rabais combinés mets et vins.

• Offrir ponctuellement des dégustations et/ou créer des événements autour de thèmes mets et vins.

Communiquez avec nous 216, rue Denison Est Granby (Québec) J2H 2R6

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Éditeur Robert Dion rdion@detaillantalimentaire.com

Rédaction Sophie Ginoux sginoux@detaillantalimentaire.com

Experts

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Jean-Claude Dufour

Sébastien Nadeau

Conception graphique

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Impression

Solisco

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Imprimé au Canada

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Dépôt légal ISSN : 1206-4491

Bibliothèque nationale du Canada, Ottawa Bibliothèque nationale du Québec, Montréal

Collaboration de :

Le programme de développement des marchés bioalimentaires a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.

AVEC UNE TOUCHE D’ICI