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Edition franรงaise
I. 2013
Chers lecteurs, Dans ce numéro d’Incontroluce, un tour d’horizon des nouveaux projets. Les différentes rubriques s’articulent autour de l’approche méthodologique et de la présentation des résultats obtenus. Des stratégies précises en termes de développement de l’image nocturne des espaces se dessinent, mises en œuvre grâce à une utilisation judicieuse de la lumière artificielle. Toutes ces stratégies partent néanmoins du principe que la lumière artificielle est à même d’agrémenter l’architecture des espaces, en ouvrant l’horizon de ceux qui y évoluent durant la nuit ou en l’absence de lumière naturelle. De nouvelles impressions surgissent parfois d’un équilibre soigneusement étudié entre les volumes et la transparence, dans une volonté de légèreté, grâce justement à la lumière artificielle. Parmi les plus magnifiques réussites dans ce domaine, citons le bâtiment de la société Italcementi, celui de la société Thyssen Krupp, et la Heron Tower, à Londres. C’est peut-être la même recherche qui sous-tend la mise en scène de l’immense décor des écrasants volumes du « Duomo » avec son baptistère, à Florence ; conçu pour être contemplé à la lumière du soleil, on peut aujourd’hui l’admirer également de nuit. Les motifs créés sur l’architecture par la lumière évoluent au fil des différentes époques comme pour le viaduc de Chaumont, à l’échelle d’un paysage ou la célèbre gare de Paddington ou le plus récent Technogym Village. Ces motifs, seule la lumière qui les traverse les fait vivre. Adolfo Guzzini
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Incontroluce
Table des matières
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Éditorial
Étude 2 Entretien avec Satoshi Uchihara (Seconde partie) 6 10 14 16 18 20 22 24 26 28 30 32 34 36 38 40 44 46 48 50 52 54
Projets L’i.lab d’Italcementi L’éclairage de sites historiques à Formia La Fondation Abreu De Grancher Un trait de lumière colorée dans le paysage de Chaumont Le tribunal du travail et du commerce Un nouveau projet d’urbanisme pour la zone sud d’Alicante La réserve Florence Hummerston Le spa Holmes Place Le « Centro Ovale » de Chiasso La Heron Tower La gare de Paddington La galerie Linton and Kay Le complexe sportif YMCA à Montréal Les salles bleues consacrées aux peintres étrangers dans les locaux des Nuovi Uffizi Les boutiques de la marque Ravissant La Piazza del Duomo retrouve son animation nocturne Le siège social du groupe ThyssenKrupp Une nouvelle salle BioCity à Næstved Un nouvel éclairage public pour Leicester Square Braine-L’Alleud met en lumière deux de ses trésors architecturaux L’exposition « Luca Signorelli. De ingegno et spirto pelegrino » Le Technogym Village
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Culture d’entreprise Light & Building 2012
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iGuzzini, sponsor de « City of Light-Jyväskylä » édition 2012
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ET Acetech 2012 Un nouvel espace d’application de la lumière à New Delhi Passeur de lumière
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Stratégie de réseaux sociaux La marque iGuzzini lance officiellement ses pages Facebook et Twitter Neon - Who’s afraid of red, yellow and blue?
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Velonotte à Londres
I. 2013
Étude
Entretien avec Satoshi Uchihara (Seconde partie)
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Selon vous, quels sont les critères de réussite d’une conception d’éclairage ? Je pense que la lumière est fondamentale pour stimuler l’imagination. Prenez un faisceau lumineux. Plus la lumière faiblit, plus l’espace inconnu s’étend, laissant par conséquent le champ libre à l’imagination. Un même dîner peut avoir une atmosphère très différente, selon qu’il est donné sous une lumière uniforme ou avec un éclairage unique sur la table, ce dernier stimulant la conversation et rehaussant la saveur des mets, grâce encore une fois à la puissance de l’imagination. Bien entendu, celle-ci n’est pas toujours favorisée par l’obscurité, mais la limite entre ombre et lumière est un élément essentiel de la conception du projet. L’éclairage n’a pas pour unique but de révéler la réalité des choses. Il est également important de créer un équilibre en ce qui concerne la consommation d’énergie, en faisant appel à des technologies de pointe. Pour les concepteurs que nous sommes, l’évolution constante des technologies est extrêmement appréciable.
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Photos : Avec l’aimable autorisation de Satoshi Uchihara 1. Grand Central Tower, Tokyo 2. Nakano Central Park, Tokyo
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Pensez-vous que le développement de la technologie d’éclairage, et notamment de la technologie à LED, est en mesure de modifier l’approche actuelle de l’utilisation de la lumière en architecture ? Et si oui, de quelle façon, et jusqu’à quel point ? Je suis forcé de constater, et cela m’inquiète énormément, que sur le marché japonais l’éclairage à LED tend à remplacer l’éclairage fluorescent. Les LED sont l’éclairage de demain, mais il semblerait que les gens les utilisent uniquement pour remplacer l’éclairage fluorescent, en les fixant au plafond, comme avant, dans les mêmes proportions, sans leur permettre de donner libre cours à leur potentiel et de créer des sources de lumière évoluant avec le temps selon les attentes des consommateurs. C’est comme si on demandait à un acteur au faîte de sa célébrité de jouer exactement comme celui qui l’a précédé dans un rôle. J’ai bien peur que la technologie LED, tout en favorisant l’industrie de l’éclairage, n’amène pas de grandes innovations.
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Étude
Entretien avec Satoshi Uchihara (Seconde partie)
3. Grand Central Tower, Tokyo
Les ressources énergétiques se raréfient. Que doit faire le secteur de l’éclairage architectural dans le domaine de la protection de l’environnement ? Personne ne s’est soucié d’étudier l’importance d’un éclairage approprié à l’être humain dans la conception architecturale. Les points lumineux sont toujours placés au plafond, la puissance est toujours réglée au maximum, et les installations elles-mêmes sont depuis toujours considérées uniquement comme de simples objets fournissant de la lumière. Par conséquent, l’idée que nous nous faisons de la lumière idéale, et de sa relation avec les êtres, s’est depuis longtemps enlisée dans un schéma bien défini, jamais remis en question. Nous voulons changer cela radicalement. En premier lieu, il faut se préoccuper de la consommation d’énergie. Jusqu’à présent, notre conception du bonheur passait par la puissance, la taille et le prix. C’est pour les mêmes raisons que nous fabriquons des tonnes d’appareils et que nous émettons une énorme quantité de lumière qui est projetée dans l’espace. Mais à présent, nous atteignons la limite de ce que peut supporter notre planète. Nous devrions non seulement faire amende honorable, mais surtout nous efforcer d’inverser la tendance. La lumière devrait être utilisée en priorité pour susciter la créativité et la compréhension humaine. Le soleil, par exemple. Sa position dans l’espace induit des variations dans la température de couleur et du faisceau. C’est pourquoi à l’aube nous nous sentons pleins d’énergie lorsque nous commençons à percevoir la température de couleur. Quand le soleil monte au zénith, notre vitalité augmente. Et lorsqu’il se couche, nous repensons à ce que nous avons accompli, avant de nous endormir dans l’attente d’une nouvelle journée. Dans le passé, les êtres humains n’étaient pas soumis à des émissions lumineuses constantes. Mais nous avons produit un environnement où la lumière est trop brillante, où elle nous entoure en permanence, et nous pensons à tort que cette situation est créatrice de bien-être. En fonction de la rotation de la Terre, tout le monde est atteint par les rayons du soleil. Nous passons donc tous par des cycles durant lesquels nous recevons cette énergie, puis nous cessons de la recevoir. Nous devrions nous modeler sur ce cycle naturel, et repenser l’utilisation de nos énergies. Une solution serait de rapprocher de nous les sources de lumière. Les fixer au plafond requiert beaucoup d’énergie. Si la lumière se rapproche des gens, la consommation d’énergie diminue, et l’installation d’éclairage se démarque du bâtiment. La plupart des gens ne voient actuellement aucun inconvénient à disposer d’un éclairage au plafond, mais si la distance était réduite, ce serait tout à leur avantage. Je pense que les installations d’éclairage devraient désormais disposer d’une interface permettant leur contrôle à distance. Les gens pourraient ainsi choisir le niveau de luminosité qu’ils préfèrent, en fonction des circonstances, et feraient des économies d’énergie. Il faudrait en outre améliorer la qualité des installations d’éclairage et réduire les émissions de chaleur pour que leur proximité ne soit pas inconfortable. Un échange d’informations sera également nécessaire pour obtenir ce type de données sur l’éclairage. Cela ouvrirait un vaste horizon de nouvelles idées d’éclairage et d’amélioration de la qualité. Je pense que le marché de l’éclairage en sortirait gagnant, dans le domaine du matériel comme des logiciels. Je suis persuadé que nous tenons là une chance inouïe d’améliorer la valeur de la lumière.
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L’i.lab d’Italcementi
Projets
Client Italcementi Group Projet architectural Richard Meier & Partners Architects LLP
Stezzano, Bergame, Italie
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Projet d’éclairage Piero Castiglioni Guido Bianchi
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L’i.Lab, le nouveau Centre de Recherche et d’Innovation d’Italcementi, se trouve à l’extrémité est du Parc Scientifique et Technologique de Bergame, dénommé « Kilometro Rosso » (Kilomètre Rouge), en prolongement idéal du « mur » rouge qui longe l’autoroute Milan-Venise. L’i.Lab se conforme aux plus strictes exigences en matière d’économie d’énergie et de qualité de l’innovation dans sa conception. Il a obtenu le label LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) « Platine », la plus haute certification mondiale de performance énergétique et de respect de l’écologie dans le secteur du bâtiment. L’accès principal, situé à l’angle nordest, est souligné d’un auvent projeté sur environ 20 mètres, et d’une structure en béton qui contribue également à mettre en relief la stricte horizontalité de l’édifice. Cet auvent crée en outre une vaste place extérieure couverte, à double hauteur, qui se prolonge tout en douceur dans le hall d’entrée pourvu de baies vitrées lequel, à son tour, conduit aux deux ailes du bâtiment. Dans le hall, comme dans les espaces communs, on a utilisé des Lightshed à fluorescence et à iodures métalliques. Des appareils iGuzzini fournissent la lumière générale.
Meier a conçu une structure articulée sur le rez-de-chaussée et le premier étage, destinée à accueillir les laboratoires et les bureaux, flanquée de deux autres étages en sous-sol, le tout sur une surface totale de 11 000m², dont 7 500 réservés exclusivement aux laboratoires de recherche. L’espace accueillant les laboratoires est éclairé par des appareils spéciaux (iN70) créant des découpages de lumière au plafond, et dont la luminance est contrôlée par l’optique dark light. L’éclairage de cette zone a été mis au point en étroite collaboration avec l’entreprise chargée de réaliser les cloisons. Il fallait en effet que les plans de travail soient suffisamment éclairés, tout en libérant l’espace du plafond pour les dispositifs d’aspiration indispensables dans ce genre de locaux, où l’on manipule de nombreuses substances chimiques. Les laboratoires se trouvent dans la première aile, qui est parallèle à l’autoroute et abrite également les bureaux et une vaste bibliothèque de plus de 10 000 volumes, une référence pour les concepteurs et techniciens spécialisés dans le ciment et le béton. À l’extérieur, cette aile bénéficie d’encastrés Linealuce fluorescents pour la lumière rasante, complétés par des projecteurs Platea.
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Photos : Paolo Carlini 1.2.3. L’auvent vu de jour et de nuit
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Projets
L’i.lab d’Italcementi
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Dans la seconde aile, perpendiculaire à la première, le rez-de-chaussée accueille une cafétéria et une vaste salle de conférence, et le premier étage les bureaux de représentation. La salle de conférence, qui peut contenir jusqu’à 240 places assises, s’élève sur deux étages, avec baies vitrées sur la cour intérieure et galerie de passage à l’étage supérieur, et est coupée dans son volume par une seconde salle, plus petite, située au premier étage et affectée aux réunions et rencontres de travail.
Cette seconde salle de réunion est éclairée par des Light Air. La salle de conférence principale, quant à elle, bénéficie d’installations Hub placées dans des conduits au plafond et entrecoupées d’encastrés à LED. Le foyer est équipé de Deep Frame à LED. L’éclairage des bureaux est assuré par des Light Shed coulés dans le béton armé, et par des iRoll spéciaux « en saillie », c’est-à-dire équipés d’un bras. Tous les appareils sont compatibles avec le protocole DALI, et sont gérés par un système de
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4. Le grand hall 5. La salle de conférence et le cube contenant la salle de réunion 6. Les laboratoires de recherche
gestion non fourni par iGuzzini. Les architectes Piero Castiglioni et Guido Bianchi, qui ont conçu le projet d’éclairage, avaient pour consigne principale de veiller à ce que les installations se fondent parfaitement dans le décor. Tous les appareils devaient être intégrés à la structure architecturale, sans rien d’apparent, en laissant la vedette à la structure elle-même et aux matériaux utilisés.
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Projets
L’éclairage de sites historiques à Formia par Maurizio Ciavolella
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Maître d’ouvrage Ville de Formia Projet rédigé avec le concours de la Surintendance aux biens archéologiques du Latium - Nicoletta Cassieri Projet d’éclairage Maurizio Ciavolella
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En 2010, l’architecte Maurizio Ciavolella, de Studionit, remportait, en partenariat avec Studiocardillo, un appel d’offre pour la valorisation et la conception de l’éclairage de quatre sites faisant partie du patrimoine culturel italien, tous situés sur le territoire de l’antique cité de Formia. L’appel d’offre portait sur le remaniement de l’éclairage du site archéologique dénommé « Tombeau de Cicéron », de l’ancienne Fontaine romaine située sur la Via Appia, de la Tour médiévale de Castellone, et enfin du splendide site de la Citerne romaine, situé lui aussi dans le quartier du Castellone.
Tombeau de Cicéron Ce complexe architectural, datant de l’époque d’Auguste, dont on dit que c’est le tombeau de Cicéron, est situé le long de la Via Appia. Selon la tradition, c’est là qu’aurait été enseveli l’orateur Marco Tullio Cicerone (Cicéron), assassiné en 43 avant notre ère. L’endroit comporte trois éléments bien distincts : le sépulcre, le mur d’enceinte en opus reticulatum et le splendide parc planté d’innombrables cyprès. Le sépulcre est formé d’un soubassement carré de 18 mètres de côté, construit à l’aide de gros blocs de pierre calcaire. Sur cette base s’élève un tambour en forme de cône tronqué, haut de 15 mètres, terminé par une tour cylindrique qui comportait probablement un toit en pointe (cuspide). La hauteur totale du tombeau frise les 24 mètres. Le projet ne pouvait pas ignorer l’importance de l’élément architectural dans le vaste espace funéraire.
Le tombeau est censé relier le ciel à la terre, et c’est ce concept qui a guidé la mise en place de l’éclairage pour le projet. Les marches, le soubassement et la tour sont traversés par une lumière qui varie en température de couleur, de l’ambre évoquant la terre au blanc produit par un éclairage de 4 200 K, en passant par une température intermédiaire de 3 000 K. La lumière frappe la partie haute du cône sur ses quatre côtés, afin que le Mausolée soit visible sur tout le périmètre entourant l’espace funéraire, quel que soit l’endroit où l’on se place. La lumière froide ainsi obtenue fait se dresser la partie haute du cône sur les cimes des cyprès, elles-mêmes voilées dans les reflets qui les entourent. Ces effets lumineux sont réalisés grâce à un projecteur iPro de 70 W et à sa large gamme d’accessoires.
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Photos : Avec l’aimable autorisation de Maurizio Ciavolella
Coordination du projet Antonio Cardillo Alessandro Testa
1.2. Le tombeau de Cicéron 3.4. La Citerne romaine
Responsable de la sécurité Antonio Cardillo Installation électrique Alfredo Saponara
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On l’a remplie d’eau à titre de reconstitution historique, et agrémentée d’une passerelle flottante pour permettre l’accès des visiteurs à l’endroit. Le projet tient compte de l’analyse de la situation actuelle, et s’articule autour d’une spécificité de l’eau, la « réflexion spéculaire ». L’intégralité du projet se base sur la mise en œuvre de 58 projecteurs Miniwoody à LED de 3 W, avec un IP67 (version spéciale), pour une puissance absorbée totale de 174 W, auxquels viennent s’ajouter des projecteurs de circulation. On a choisi une tonalité de lumière presque ambrée, de 1 700 K, qui évolue pour atteindre les 2 700 K diffusés sur le site, grâce à des filtres chromatiques spéciaux. Cette lumière chaude permet de restituer les impressions créées par les techniques d’éclairage de l’antiquité. Les projecteurs Miniwoody, placés au bas des colonnes, éclairent la totalité du
pied-droit jusqu’à la voûte située au-dessus, qu’ils baignent d’une lumière voilée, la révélant ainsi pour la première fois. D’autres projecteurs sont installés en retrait des colonnes latérales, hors de la vue des visiteurs, afin que ceux-ci puissent admirer l’exquise texture des murs environnants qu’ils illuminent. L’eau, qui n’est pas directement touchée par la lumière, agit comme un miroir parfait, et triple en élévation les dimensions de l’édifice. L’impression qu’on a voulu créer est celle d’une passerelle flottant sur le vide, au-dessus d’un plan d’eau d’une profondeur perçue comme « abyssale ». Là où la surface de l’eau n’est jamais parfaitement lisse pour permettre la réflexion spéculaire, ses mouvements sont projetés, toujours à l’aide des projecteurs Miniwoody, à la surface des murs latéraux, ce qui amplifie la réverbération et semble élargir l’espace.
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Citerne romaine Au terme d’une promenade dans les ruelles de la vieille ville de Castellone, on arrive à la place Sant’Anna, qui domine l’un des fleurons du patrimoine monumental national, la Citerne romaine, datant du 2ème siècle avant J.C. D’une superficie de 1 200 m², et d’un volume de plus de 7 000 m3, elle alimentait en eau une grande partie de la zone ouest de la ville. Du temps des Bourbons, les canalisations furent déviées également sur la citerne se trouvant sous la place Santa Teresa, à l’intention de la population et de la cavalerie qui y tenait garnison. Au cours des siècles, le site devint encombré de déchets et purins de toutes sortes, et les bombardements de la seconde guerre mondiale achevèrent de l’enterrer sous les décombres. Les travaux de restauration débutèrent dans les années quatre-vingt-dix. À l’heure actuelle, la citerne n’est plus en service.
Projets
L’éclairage de sites historiques à Formia
Tour médiévale Formia compte deux vieilles villes, dans les quartiers de Mola et de Castellone, reliées entre elles par divers modes de communication urbains. Toutes deux possèdent encore leur antique tour de défense, l’une en hauteur, l’autre en bord de mer. La « Tour de Castellone », d’une hauteur de 24 mètres et d’une longueur de 12,30 mètres, érigée sur un soubassement datant de l’époque romaine, est couronnée de créneaux, huit d’entre eux étant à angle droit, positionnés dans le prolongement des arêtes, et deux fois plus grands que les autres, les huit autres se trouvant au milieu de chacun des côtés de la tour. Le projet prévoit deux types d’éclairage : l’un visant à mettre en relief la matérialité de la partie inférieure de la tour, l’autre à magnifier les caractéristiques géométriques et les dimensions particulières de sa partie supérieure. La solidité du soubassement est soulignée par un éclairage rasant produit par deux encastrés Light Up de type wall washer complétés par un autre Light Up avec optique spot placé quelques centimètres derrière eux. Huit faisceaux de lumière rasante obtenus par des optiques super-spot placées à la base de chacun des angles de la tour en rehaussent le dessin géométrique et la texture particulière de l’arrondi d’angle. Cette technique employée permet à ceux qui observent la tour depuis le bas d’en admirer la hauteur et la perspective. Les huit côtés, quant à eux, sont éclairés de façon plus sobre. Les créneaux sont mis en relief à l’aide de projecteurs Miniwoody à LED de 3 W, à la même température de couleur que ceux qui sont placés en bas, en point d’orgue du flux de lumière partant du bas de la tour.
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5.6. Image de la Tour médiévale éclairée et visuel 3D des fausses couleurs 7.8. Image de la Fontaine Romaine éclairée et visuel 3D des fausses couleurs
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anthropomorphe, aux grands yeux allongés, dans la bouche de laquelle se trouve un morceau de la fistule de bronze par où sortait l’eau. On a repensé l’éclairage en le basant sur deux projecteurs Woody à décharge et température de couleur chaude, lesquels, depuis le sol, apportent une dimension théâtrale et voilent de lumière le mur de fond. Ainsi baignée de lumière, la vasque de collecte de l’eau reprend toute sa dignité, d’autant plus qu’elle est mise en relief par deux projecteurs iPro à LED de 9 W à optique elliptique, et une température de couleur plus « froide » pour faire ressortir la matérialité de la pierre dont se compose l’objet. Dans le but d’évoquer l’usage passé de l’édifice, un encastré Linealuce, camouflé et positionné au centre de la vasque, diffuse une lumière rasante sur la partie centrale du mur de fond, simulant les reflets occasionnés par l’eau qui la remplissait à l’époque.
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La Fontaine Romaine Sur le trajet de la Via Appia en provenance de Rome, au lieu-dit San Remigio, au niveau de l’ancienne borne milliaire LXXXVIII, on peut observer des ruines remontant au 1er siècle de notre ère. Il s’agit d’une fontaine publique et d’un monumental abreuvoir de type pariétal. L’édifice s’appuie sur un mur de fond en pierre calcaire locale, d’environ 20 mètres de long et 3 mètres de haut, orné d’une élégante corniche courant le long de sa partie supérieure et inférieure. La vasque est formée de cinq plaques de pierre reposant sur un soubassement faisant également office de marche, et elle est fermée sur les côtés par des parois faites de blocs maintenus ensemble par des étriers métalliques. L’eau s’échappait de deux fistules en bronze situées au centre de deux bas-reliefs positionnés de chaque côté du réservoir. Celui de gauche, qui a pratiquement disparu, est difficile à localiser, l’autre présente une figure
La Fondation Abreu De Grancher
Projets
Maître d’ouvrage Cité Internationale Universitaire de Paris Projet architectural d’origine Albert Laprade
Paris, France
Projet architectural et restructuration Eddy Vahanian
La Fondation Rosa Abreu de Grancher, inaugurée en 1933, a été créée pour accueillir les étudiants cubains à Paris. Elle est dédiée à Rosa Abreu, qui était d’origine cubaine, et à son mari, le professeur Jacques-Joseph Grancher, qui collabora avec Louis Pasteur dans sa recherche du vaccin contre la rage. L’acte de donation de la famille Abreu fut signé en 1929, et complété ensuite par la participation de la Fondation Nationale, Cité Internationale Universitaire de Paris, qui rajouta des chambres supplémentaires. Le bâtiment fut conçu par l’architecte Albert Laprade, futur créateur du Musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie de Paris. Laprade s’inspira de la cathédrale de La Havane pour réaliser une construction d’un élégant style colonial espagnol.
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BET Scoping
Partenaire technique iGuzzini illuminazione France
Interventions artistiques (Plasticienne) E. Lukasiewicz Entreprise générale Bateg
En 2007, la Cité Internationale a signé un accord de partenariat avec l’Assistance Publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) mettant à la disposition de cette dernière 150 chambres ou appartements pour loger des praticiens étrangers en formation. L’entreprise iGuzzini a participé à cette première et profonde restructuration de l’édifice « rétrofuturiste » imaginé par Albert Laprade, aux objectifs ambitieux malgré un budget contraint : désamiantage de tout le bâtiment, mise en place d’un confort sanitaire de haut niveau, mise aux normes et préservation d’un cadre historique prégnant et de l’identité architecturale du lieu. La lumière naturelle et l’éclairage artificiel sont des éléments essentiels de la nouvelle identité
1. Vue extérieure de la Fondation Rosa Abreu 2. Le puits de lumière formé par les escaliers qui desservent les étages supérieurs 3. Un des espaces communs
du bâtiment. Les nouveaux appareils d’éclairage, aux formes contemporaines, participent à l’atmosphère de modernité que l’on y respire, comme ces Glim Cube placés dans l’emblématique puits de lumière entouré par les étages, ou ces suspensions Gem dans le hall et le grand salon. Même dans les espaces privés, on a accordé un soin particulier à la lumière, en s’efforçant de retrouver les matériaux et les teintes convenant à l’usage originel des locaux. À l’extérieur, la façade principale où se trouve l’entrée est discrètement soulignée par des éclairages qui font ressortir ses points forts, la colonnade et le fronton, des MiniWoody, des iPro LED et un Yota.
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Photos : Didier Boy de la Tour
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Projets
Un trait de lumière colorée dans le paysage de Chaumont Chaumont, France
Maître d’ouvrage Ville de Chaumont Plasticien lumière Jean-François Touchard Installation Agence Inéo Réseau Est (Vendeuvre-sur-Barse)
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Le viaduc de Chaumont, dans le département de la Haute-Marne, surplombe la vallée de la Suize. Ses dimensions (654 mètres de long et 50 arches, dont certaines culminant à 50 mètres) en font l’un des plus remarquables ouvrages d’architecture du milieu du dix-neuvième siècle en Europe. Il fallait donc à tout prix le doter d’un éclairage qui en magnifie le côté grandiose. Construit en quinze mois seulement, entre 1855 et 1856, le viaduc fut édifié pour permettre au chemin de fer d’atteindre la partie haute de la ville. Partiellement détruit durant la seconde guerre mondiale, il fut reconstruit en 1945. Depuis, il servait essentiellement au transport ferroviaire. Les habitants de la ville n’avaient pas l’habitude de s’y promener, d’autant plus qu’il était plongé dans l’obscurité dès la nuit tombée.
Il a fallu attendre le partenariat entre la ville de Chaumont et Inéo GDF Suez, à la demande du maire Luc Chatel, pour que le viaduc, à présent utilisé aussi à d’autres fins que la circulation des trains, se dote d’un éclairage à la mesure de sa grandeur. « De jour, le viaduc est éclairé uniformément. La nuit, à l’inverse du jour, la lumière vient du viaduc. Elle dessine le viaduc en négatif et met en valeur sa structure », explique le plasticien lumière Jean-François Touchard. Plus de 400 appareils à LED mettent désormais l’ouvrage en lumière. Les arches sont mises en valeur par des MaxyWoody LED. Au premier étage, la promenade pour les piétons est balisée par un scénario lumineux savamment orchestré à l’aide d’un système de gestion et de Linealuce
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Partenaire technique iGuzzini illuminazione France
Photos : Didier Boy De La Tour, Richard Pelletier - Mairie de Chaumont 1.2. Le viaduc et son insertion dans le paysage diurne et nocturne 3.4.5.6. Les divers effets de couleur obtenus
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LED. La lumière dynamique RGB rythme la semaine : à chaque jour sa couleur ! Toutes les quinze minutes, la couleur du lendemain se mêle à celle du jour. Durant le week-end, toutes les couleurs de la semaine s’unissent pour créer un tunnel de couleurs dynamiques. Le deuxième étage, affecté à la voie ferrée, est éclairé d’une seule couleur, le bleu, à l’aide de projecteurs iPro LED. Quant aux arches, elles bénéficient d’une lumière dirigée du bas vers le haut grâce à des Maxiwoody LED, chacune d’elle étant mise en valeur de façon unique. L’intensité de la lumière varie en fonction de l’endroit où l’on se trouve, ce qui produit un léger effet de mouvement, accentue la légèreté de l’ensemble et crée une perception du viaduc toujours renouvelée selon le point d’où on le regarde. Et pour finir, quelques Platea renforcent les structures du viaduc surplombant la route nationale. La technologie LED rend cette installation extrêmement économique, avec une consommation totale de 18 Kw/h seulement.
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Projets
Le tribunal du travail et du commerce
Client Régie des bâtiments Projet architectural DETP scprl J. Depelsenaire, Hernalsteens & Mousse architectes
Charleroi, Belgique
À la suite du regroupement et de l’extension de plusieurs juridictions, la zone occupée par le Palais de justice de Charleroi (qui comprend le Tribunal du travail et du commerce, le Tribunal de première instance et les bureaux du juge de paix) avait besoin de nouveaux espaces pour y installer des bureaux et salles d’audience supplémentaires. Afin d’accueillir les tribunaux du travail et du commerce, on a décidé de réhabiliter l’ancien Institut National du Verre adjacent au Palais de justice. Ces deux édifices avaient été réalisés dans les années soixante par l’architecte Jacques Depelsenaire, natif de Charleroi, et c’est d’ailleurs à cet architecte, décédé quelques semaines avant la fin du chantier, qu’on s’est adressé pour cette opération de restructuration. Le dialogue
entre l’intérieur et l’extérieur, symbolisé par la double peau vitrée des façades, est confirmé dès l’entrée du bâtiment par un long mur de jonction, éclairé par des Ledplus. Le visiteur arrive dans la salle des pas perdus, aménagée dans l’espace de l’ancien musée du verre, et inondée de lumière grâce aux immenses verrières ouvertes sur le parc communal. Les volumes très particuliers du lieu sont mis en relief par l’utilisation d’appliques iRoll au sommet des colonnes et entre les poutres du plafond. Les vastes salles d’audience, baignées de lumière zénithale naturelle provenant d’ouvertures latérales, sont empreintes d’une profonde sérénité, impression encore renforcée par l’éclairage artificiel procuré par des encastrés Sistema Easy et des appliques iRoll.
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Partenaire technique iGuzzini illuminazione Benelux
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Photos : Novilys - Philippe Piraux 1. Vue extérieure, avec le grand bassin 2. Un des couloirs qui donnent sur le parc 3. Une des salles d’audience
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Plusieurs chapelets d’appliques i24 assurent un éclairage indirect produisant une atmosphère apaisante dans l’auditorium de 135 places. À la demande des responsables locaux de la magistrature, qui désiraient transmettre l’idée d’une justice ouverte et en phase avec la société, l’édifice est entouré d’un jardin public, relié aux zones piétonnes de la ville, qui offre une visibilité maximale sur la cour intérieure de l’ancien Palais. Pour que sa présence ne gêne pas la vue, le parking a été construit en contrebas, sous l’entrée. La dénivellation de 3,60 m ainsi produite créant un risque de chute, il fallait concevoir une protection. Afin de ne pas interrompre la vue sur la cour intérieure par un simple parapet, on y a placé un grand bassin à débordement.
Ce plan d’eau, dont les deux côtés sont laissés libres, forme un miroir reflétant la façade de l’édifice principal. Il constitue également un élément apaisant à la sortie du Palais, complété par un très long chemin suspendu conduisant à l’entrée principale, ornée quant à elle d’un portail d’acier Corten reprenant la trame des poutres intérieures de la salle d’attente et le matériau utilisé pour les pignons. La structure est magnifiée par un éclairage provenant d’encastrés Light Up Professional LED et de Delphi LED. La saillie du toit, qui court tout autour de l’édifice, est allégée par des encastrés Linealuce dans le couloir extérieur. Elle a pour but de redéfinir et d’alléger le bâtiment et de lui donner de la profondeur.
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Un nouveau projet d’urbanisme pour la zone sud d’Alicante
Projets
Alicante, Espagne
L’accès sud à la ville d’Alicante a toujours été conditionné par ses diverses infrastructures routières et portuaires, et par plusieurs voies très encombrées, paralysant l’accès à la zone maritime, qui au fil du temps est devenue l’une des principales aires de loisir, sans toutefois bénéficier d’une urbanisation adéquate ni des services appropriés à ce genre d’espaces publics. Le projet a pu voir le jour grâce à l’engagement de divers organismes publics et privés, notamment de la Consellería de Infraestructuras, chargée du développement des infrastructures routières de la Comunità Valenciana, en
Promoteur Conselleria d’Infraestructuras i Transport Direcció General de Ports, Aeroports i Costes Projet architectural Emilio Vicedo Ortiz Manuel Lillo Navarro
partenariat avec la mairie, le port d’Alicante et l’ADIF. Il porte sur une superficie totale de 72 500 m². L’objectif principal consistait à réaliser de nouvelles routes et voies piétonnes, développer les espaces verts et équipements ludiques et améliorer l’image urbaine de l’accès sud de la ville. Un deuxième objectif prévoyait de réformer les services urbains, de drainer les eaux pluviales et d’équiper la ville d’un nouveau système d’éclairage et de mobilier urbain. Dans ses grandes lignes, le projet visait à élargir l’espace public et augmenter le nombre des voies piétonnes et des espaces verts en
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Ingénieurs du génie civil Mauricio Úbeda Müller José Carlos Sandoval Soriano Paysagiste José Luis Romeu Lamaignere
Photos : Zigzag Fotodisseny 1. Une des zones d’intervention 2. Visuel de jour 3.4. Atmosphère agréable et accueillante après le réaménagement urbain
Partenaire technique iGuzzini illuminazione Iberica
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déplaçant et redimensionnant le réseau routier. En second lieu, on a défini le tracé des pistes piétonnes et cyclables dans la continuité des voies préexistantes, et relié entre elles la majorité des routes et boulevards, créant ainsi une série de nouveaux parcours rattachés aux espaces de loisir et de repos, aux aires de jeux et aux surfaces boisées. On a installé des systèmes iRoad, Delo et Multiwoody, qui utilisent des ampoules à halogénures métalliques à température de couleur de 3 000 K, afin de fournir à la chaussée un éclairement moyen de 25-30 lux.
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Projets
La réserve Florence Hummerston
Client Ville de Perth Designer City Design Projet d’éclairage Wood & Grieve Engineers Pty Ltd
Perth, Australie
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La réserve Florence Hummerston, située à l’angle de St Georges Terrace et Mount Street, a fait l’objet d’un processus de restauration considérable, qui lui a insufflé un nouvel élan. Ce parc, petit mais très apprécié, situé à l’extrémité ouest de la ville, a été équipé de nouveautés intéressantes en termes de sièges, décors, plates-bandes, sentiers et éclairages. L’entreprise Wood & Grieve Engineers, en collaboration avec la marque Mondoluce, a présenté un projet d’éclairage s’insérant parfaitement dans le paysage naturel de la réserve.
Les encastrés Ledplus ont été placés sur les escaliers menant aux zones où se trouvent les sièges, celles-ci étant également éclairées par des produits iGuzzini Flaminia sur mâts. Les appareils d’éclairage extérieur Euclide créent une agréable source lumineuse à faible éblouissement le long des nouveaux sentiers et plates-bandes. Plusieurs encastrés Light Up Walk Professional, quant à eux, confèrent le relief idéal aux exquises fontaines et sculptures qui ornent la réserve. L’impression générale qui s’en dégage est celle d’un endroit spécial, particulièrement accueillant, assez vaste pour accueillir tous ceux désireux de vivre cette oasis urbaine.
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Partenaire technique Mondoluce WA
Photos : Ron Tan 1. Le parc dans son contexte urbain 2. L’une des zones du parc
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Projets
Le spa Holmes Place
Maître d’ouvrage Holmes Place Europe Projet architectural et d’éclairage Agence d’architecture Höger
Berlin, Allemagne
Projet architectural préliminaire ORMS Architects avec l’agence d’architecture Höger
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C’est une combinaison harmonieuse de wellness, spa et fitness traditionnels qui attend les hôtes du nouveau centre de remise en forme Holmes Place, situé à Berlin sur la Potsdamer Platz. L’esthétique de l’ensemble doit manifestement beaucoup à la conception architecturale et à la solution adoptée pour l’éclairage. Le centre, d’une superficie de 4 500 m², offre des activités de fitness traditionnelles, dans de vastes espaces consacrés à l’entraînement sportif.
Outre le programme des cours, très complet, le club propose une salle de thérapie holistique pour le yoga et la méditation, un luxueux espace abritant sauna et bain turc, une piscine et des cabines pour les soins de beauté. Le projet architectural avait pour consigne de respecter les différentes fonctions des locaux ainsi que les attentes des clients, tout en créant une atmosphère générale permettant d’harmoniser les divers espaces.
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Design intérieur Agence d’architecture Höger avec ORMS Architects et CREATIVS
Photos : Yashoda / Holmes Place 1.2. La zone spa avec éclairage très doux 3. Salle de spinning
Partenaire technique iGuzzini illuminazione Deuschtland
Une véritable gageure, étant donnée la diversité des activités proposées par le spa Holmes Place. Le fitness, par exemple, requiert un éclairage intense dans les salles de gym ou de spinning. Quant au spa, il doit être baigné d’une lumière très discrète pour favoriser la relaxation. Le problème a été réglé avec un éclairage extrêmement discret, qui fait ressortir l’architecture et l’atmosphère. Là où c’était possible, on a utilisé des encastrés, qui se fondent dans la ligne du plafond et produisent une impression d’ordre et de sobriété. La zone consacrée aux soins esthétiques, ainsi que celle des douches, sont éclairées par des Sistema Easy fluorescents. Là où le décor est constitué en majorité de surfaces sombres, notamment dans la zone de wellness, la lumière a été réduite au minimum afin d’obtenir une ambiance rassurante et favorable à la relaxation. Dans le vaste salon de l’étage supérieur, c’est un éclairage indirect qui favorise le bien-être, avec des périmètres lumineux réalisés à l’aide de conduits dans les faux plafonds contenant des réglettes fluorescentes. L’éclairage général de la salle de thérapie holistique est, quant à lui, fourni par des Reflex Professional Wall Washer associés à des Deep Laser Frame LED produisant différentes ambiances. La zone de spinning, par contre, bénéficie de la plus haute intensité lumineuse, avec des iN60 au plafond.
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Le « Centro Ovale » de Chiasso
Projets
Maître d’ouvrage Centro Ovale 2 Projet architectural Elio Ostinelli Conception Elettroconsulenze Solcà SA
Chiasso, Suisse
Le Centro Ovale est un centre commercial au design innovant situé à Chiasso. Il a ouvert ses portes en septembre 2011 et abrite 34 commerces (boutiques et points de restauration). L’éclairage intérieur et extérieur a été conçu par l’entreprise iGuzzini, conformément aux attentes du maître d’ouvrage, qui souhaitait traiter avec un fournisseur unique pour l’ensemble du projet. L’entreprise a été choisie entre autres pour ses compétences et son potentiel de fabrication de produits spéciaux, adaptés aux exigences particulières de l’édifice.
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Installation Alpiq InTec Ticino SA Partenaire technique iGuzzini illuminazione Schweiz
Photos : Paolo Carlini 1. Visuel de jour du Centro Ovale 2. Une vue de l’intérieur 3. Le Centro Ovale avec ses ouvertures éclairées par des iSign
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Dans ce cas précis, il s’agissait de « hublots » de différentes tailles servant à l’éclairage général de l’intérieur. Les 32 entrées sont équipées d’iSign RGB produisant des effets colorés suscitant l’intérêt des visiteurs. Dans les couloirs de service, au dernier étage et dans tous les cafés et restaurants, on a utilisé des encastrés Deep Laser LED dont la source de lumière en retrait procure un grand confort visuel. L’extérieur est équipé de Leplus LED en verre. Leur forme arrondie s’harmonise bien avec la ligne du Centro Ovale de Chiasso.
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Projets
La Heron Tower
Maître d’ouvrage Heron International Principale entreprise Skanska Projet architectural Kohn Pedersen Fox
Londres, Royaume-Uni
La Heron Tower, avec ses 230 mètres de hauteur, est à ce jour la troisième plus haute structure de Londres, après le Shard de Renzo Piano et le One Canada Square de Canary Wharf. Le gratte-ciel, qui appartient à la Heron Property Corporation, a été dessiné par le cabinet d’architectes Kohn Pedersen Fox. À cause de sa proximité avec la cathédrale Saint Paul, les promoteurs de la construction ont dû faire face au scepticisme des londoniens et à l’opposition énergique de l’English Heritage. À la différence des précédentes générations de gratte-ciels de la City, dont les formes monolithiques s’imposent brutalement dans le paysage urbain, la Heron Tower, à la structure transparente et articulée, constitue une réponse aux préoccupations croissantes de la ville en matière de construction, de gestion et d’entretien des édifices, et intègre des technologies innovantes respectueuses de l’environnement. Elle utilise en effet des panneaux photovoltaïques et a reçu la note « Excellent » de la certification BREEAM. Ce sont ces éléments qui ont finalement permis à la tour de remporter l’adhésion des Londoniens. Le sublime éclairage extérieur nocturne est obtenu grâce à des Glimcube bleus, des appareils à LED à consommation énergétique minimale : pour la totalité de la tour, elle n’est que d’environ 2 kW.
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Projet d’éclairage Illuminating Concept Ingénierie des structures Arup
Photos : James Newton Photographs 1.2. La tour dans son contexte urbain
Partenaire technique iGuzzini illuminazione UK
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Projets
La gare de Paddington
Client Network Rail Architecte Oxford Architects M&E Consultant WSP
Londres, Royaume-Uni
Dans le cadre de la requalification de la gare de Paddington, la quatrième arche a été le premier secteur de toute la structure à faire l’objet de rénovations de grande ampleur. La gare, construite en 1916 pour étendre la surface de l’édifice d’origine, conçu par Isambard Kingdom Brunel, est l’un des principaux terminaux de la capitale britannique.
Elle est chargée d’histoire : elle faisait partie de la Great Western Railway et tient le rang de gare centrale de Londres depuis 1838. De 1906 à 1915, la gare s’est considérablement agrandie, avec l’adjonction notamment de la quatrième arche. On a apporté un soin minutieux à sa restructuration, et on a entre autres réparé et restauré la coupole d’origine
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Entreprise exécutante Morgan Sindall Projet d’éclairage GIA Equation
Photos : James Newton Photographs 1. La vaste coupole vitrée 2. Détail des arches
Partenaire technique iGuzzini illuminazione UK
en verre, datant de l’époque édouardienne, de façon à ce que la zone comprise entre les quais 9 et 12 puisse continuer à bénéficier de la lumière naturelle. En collaboration avec les entreprises Oxford Architects, WSP, Morgan Sindall et GIA Equation, l’entreprise iGuzzini s’est chargée de définir la solution technique la plus fonctionnelle. Habituellement, pour éclairer des édifices de ce genre, on utilise des projecteurs avec des ampoules à décharge HID. Cette méthode traditionnelle entraîne une forte consommation énergétique et requiert un entretien régulier, avec toutes les difficultés que cela comporte, comme on peut l’imaginer, sur des surfaces aussi grandes. L’entreprise iGuzzini a donc proposé une solution basée sur des systèmes à LED ne nécessitant pas d’entretien constant et peu gourmands en électricité. On a utilisé des projecteurs Woody LED à lumière blanche chaude, pour accentuer la couleur des panneaux de plafond finis, améliorer l’éclairage général et mettre en relief les détails du plafond et de la structure édouardienne.
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Projets
La galerie Linton and Kay
Maître d’ouvrage Gary Kay & Linton Partington Constructeur Brookfield Multiplex
Perth, Australie
Projet architectural et d’éclairage MATA Design Studio
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La galerie Linton and Kay a déménagé. Son nouvel asile est l’un des bâtiments historiques les plus représentatifs de la ville de Perth du point de vue architectural : le Perth Technical College. Le choix de cet emplacement s’accompagnait de la nécessité de s’adapter aux caractéristiques externes d’un édifice qui appartient au patrimoine urbain. Toute galerie d’art prestigieuse possède en outre des spécificités fonctionnelles qui font l’objet d’études minutieuses. Dans ce domaine, l’éclairage est essentiel. Il doit satisfaire les moindres exigences du client en matière de rendu de la couleur, de flexibilité, de longévité, d’économie d’énergie et d’esthétique. C’est la raison pour laquelle on a choisi les projecteurs Primopiano, particulièrement adaptés à des locaux à vocation culturelle, où la lumière doit mettre en valeur la qualité des œuvres exposées.
C’était la première fois que des installations lumineuses et architecturales de ce type étaient utilisées en Australie. Les LED, compactes et nouvelle génération, combinent efficacité et faible consommation d’énergie. Les projecteurs Primopiano se sont révélés être la solution idéale pour le projet de la galerie Linton and Kay, gérée par Gary Kay et Linton Partington, qui ont fait ce commentaire : « Nous avons testé plusieurs solutions d’éclairage de musée à LED pour notre nouvelle galerie en ville, et nous nous sommes aperçus que le rendu des projecteurs Primopiano de iGuzzini était incontestablement le meilleur. L’équipe de Mondoluce nous a été d’un grand secours, collaborant étroitement non seulement avec nous mais également avec MATA Design pour mettre en place la solution d’éclairage idéale. »
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Ingénierie ATA Engineering Conception et installations électriques Everett Smith & Co Pty Ltd
Photos : Ron Tan 1.2. L’aménagement de la galerie
Partenaire technique Mondoluce WA
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Projets
Le complexe sportif YMCA à Montréal
Client YMCA Projet architectural Daoust Lestage Concepteur Lumière Eclairage Public - Gilles Arpin
Montréal, Canada
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Situé à l’angle d’un grand boulevard et d’une avenue résidentielle, au nord de Montréal, le centre Cartierville YMCA se profile tel un pavillon resplendissant, abrité derrière un écran de végétation. Le bâtiment est divisé en deux volumes, respectivement de deux et trois étages, qui prolongent les quartiers résidentiels environnants, au nord et au sud du site. La transparence accueillante des espaces, à l’intérieur comme à l’extérieur, vient confirmer la réelle volonté des concepteurs du Centre YMCA qui est de l’ouvrir à la communauté. C’est cette transparence qui a été le point de départ du projet d’éclairage élaboré par l’entreprise Éclairage Public.
Voilà ce que déclare Gilles Arpin : « Notre approche de l’éclairage général nous a amenés à utiliser des sources linéaires dans tous les espaces communs de l’édifice, afin de favoriser une perception maximale de ses volumes, et d’atteindre le niveau de luminosité désiré. Nous avons choisi les produits iSign pour leur émission de lumière très particulière, et pour leur forme, qui apporte une touche de gaieté à l’endroit. Dans les locaux communs et les bureaux, par contre, nous avons utilisé l’appareil Libra. À l’extérieur, des bollards iWay guident les visiteurs vers le entrée, mises en valeur par une fine lame de lumière. »
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Photos : Marc Cramer
Partenaire technique iGuzzini Lighting North America
1. Le bâtiment de nuit 2.3. L’intérieur, baigné de lumière naturelle
YMCA (Young Men’s Christian Association) Il s’agit d’une organisation chrétienne œcuménique visant à procurer aux jeunes soutien et activités. Chaque YMCA régionale gère son personnel et son budget de façon autonome. Actuellement, dans de nombreuses régions, les YMCA locales sont presque exclusivement une communauté de centres sportifs, dont les activités n’ont presque plus aucun lien avec leur origine religieuse.
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Projets
Les salles bleues consacrées aux peintres étrangers dans les locaux des Nuovi Uffizi Florence, Italie
Maître d’ouvrage Surintendance aux biens architecturaux, paysagistes, historiques, artistiques et ethno-anthropologiques pour les provinces de Florence (à l’exclusion de la ville, pour les domaines du patrimoine historique, artistique et ethno-anthropologique), de Pistoia et de Prato
Depuis décembre 2011, les salles consacrées aux peintres étrangers sont ouvertes au public dans les locaux des Nuovi Uffizi. Dans ces pièces de taille modeste - des « cabinets », comme on les appelait alors, conçus pour des œuvres de petit format - on peut admirer les productions de peintres étrangers du seizième au dix-huitième siècle, espagnols, français, flamands et hollandais. Le décor se veut en rupture avec la tradition du blanc et gris, des alternances de plâtre et de pierre de Florence chers au peintre et architecte Giorgio Vasari. Les murs sont donc bleus, d’une teinte « vibrante, même vive, la teinte apparemment la plus adaptée, pour des raisons culturelles et de bon goût, aux œuvres pour lesquelles les salles ont été conçues », affirme le responsable des travaux, Adolfo Natalini, se faisant le porte-parole du directeur de la Galerie des Uffizi, Antonio Natali. Durant cette première tranche des travaux pour les Nuovi Uffizi, on a achevé de mettre en place les installations de traitement de l’air, de climatisation, de protection contre les incendies et les intrusions, et d’éclairage. L’entreprise iGuzzini a collaboré, en tant que partenaire technique, à l’éclairage général des lieux, avec des appareils Action assortis de projecteurs Lumen permettant de créer des effets de lumière d’accentuation. Les salles sont desservies depuis la Galerie par les escaliers nommés « Scala di Ponente », un des ouvrages les plus compliqués à réaliser jusqu’ici, étant donné leur emplacement, à l’intérieur d’une petite cour de service grossièrement retouchée au cours du vingtième siècle, et le fait qu’ils constituent à présent la nouvelle sortie de secours, devenue indispensable en raison de l’afflux de visiteurs.
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Projet S.IN.TER. Spa - Alessandro Chimenti, Alessandro Moroni Projet de la « Scala di Ponente » Adolfo Natalini
Photos : Mario Ciampi 1.2. Les nouveaux locaux, où l’on a fait le choix audacieux de la couleur bleue
Partenaire technique iGuzzini illuminazione
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Les boutiques de la marque Ravissant
Projets
Bombay, Inde
Client Ravissant Projet architectural et design intérieur Joseph Fluck Partenaire technique LSI Systems (I) Pvt.. Ltd
La marque Ravissant détient à Bombay l’une des principales chaînes de magasins de vente au détail de bijoux et produits artisanaux indiens haut de gamme. Le groupe possède de nombreuses boutiques dans plusieurs villes indiennes. Quatre d’entre elles, situées à Bombay, ont récemment été restructurées. Le design intérieur a été conçu par l’architecte allemand Joseph Fluck, qui s’est servi, sur les conseils de l’entreprise LSI Systems (I) Pvt., d’appareils d’éclairage iGuzzini. Dans les boutiques situées à Bombay, Kemps Corner et New India Center, on a utilisé des encastrés dessinant comme des constellations au plafond, et les vitrines ont été équipées de projecteurs Trimmer montés sur rail.
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Photos : Archives iGuzzini 1.2. Kemps Corner 3. New India Center
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Projets
La Piazza del Duomo retrouve son animation nocturne Florence, Italie
Promoteur Chambre de Commerce de Florence Parrainage Surintendance de la ville de Florence, Opera del Duomo Projet d’éclairage Illum Srl
Les travaux de requalification de l’éclairage de la Piazza del Duomo et de la Piazza San Giovanni, à Florence, ont été menés à bien à l’initiative et grâce au soutien de la chambre de commerce de Florence, qui a lancé un projet pour améliorer la convivialité du centre historique et artistique de la ville. L’entreprise iGuzzini a apporté sa contribution sous la forme de solutions techniques permettant aux promoteurs et concepteurs d’atteindre les objectifs qu’ils s’étaient fixés. Le projet comportait plusieurs enjeux, que l’entreprise iGuzzini a dû prendre en compte, après une vérification comparative rigoureuse des performances de son matériel, de l’augmentation des niveaux d’éclairement lumineux à celle de l’homogénéité de l’éclairage dans les vastes espaces du Duomo, de l’amélioration du rendu des couleurs, à la dernière, mais non la moins contraignante, des exigences du client : ne pas créer de points d’installation supplémentaires, mais utiliser ceux qui existaient déjà en remplaçant simplement les appareils. Afin de mettre en valeur les splendides façades à l’architecture florentine du Duomo, du campanile et du baptistère, on a fait le choix de projecteurs Maxiwoody. Quant aux places et zones piétonnes, elles ont été équipées d’appliques Delphi avec des ampoules à économie d’énergie. Le projet a réuni la Surintendance, la chambre de commerce et la mairie de Florence, et les entreprises et organismes Silfi, Opera del Duomo, Illum Srl pour la conception de l’éclairage, et Tecnoengineering Srl pour la conception électrique.
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Projet électrique Tecnoengineering Srl Gestion des dispositifs Silfi
Photos : Gabriele Mannelli 1. La Piazza del Duomo, pleine d’animation 2. Le nouvel éclairage du Duomo 3. La situation par le passé
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Projets
La Piazza del Duomo retrouve son animation nocturne
4.5. Le nouvel ĂŠclairage est agrĂŠable et rassurant
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1. ??????????? 2. ????????????????????
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Projets
Le siège social du groupe ThyssenKrupp
Client ThyssenKrupp Real Estate GmbH Projet architectural ARGE Architetti TKQ Agence d’architecture JSWD Chaix & Morel et Associés
Essen, Allemagne
C’est près de la maison ancestrale de la dynastie Krupp, située dans son enceinte historique à Essen (la « ceinture Krupp ») que le groupe ThyssenKrupp a fait réaliser son nouveau siège social. Le but était de rassembler en un seul endroit, ce qui deviendra le centre névralgique du groupe, tous les bureaux administratifs auparavant éparpillés dans divers sites. La conception architecturale évoque un campus. Les structures aux lignes planes et souples, où rien ne fait saillie, ont été réalisées en fonction d’un projet commun des cabinets d’architectes ARGE Architetti TKQ, JSWD et Chaix & Morel et Associés. Les différents bâtiments s’insèrent dans des espaces verts plantés d’arbres et de pelouses. Reliés entre eux par de courts sentiers et de petites places, ils entourent un plan d’eau central. Tous les bâtiments du campus ont une caractéristique commune, basée sur le principe de la superposition de l’« écorce et du noyau ». En surface, les bâtiments se distinguent par des tissus métalliques, des tôles perforées, des lamelles pare-soleil et de grandes tôles laquées
colorées. À certains endroits, des façades de verre sont superposées. À la lumière changeante du jour, toutes ces couches transparentes, unies ou irrégulières produisent une grande variété d’effets. Une technique d’éclairage soigneusement élaborée par l’agence de conception lumière Licht Kunst Licht permet également à ce parti pris architectural d’être mis en valeur en soirée et durant la nuit. L’esthétique des lieux découle en grande partie de l’éclairage intérieur, dont la lumière se diffuse au-dehors, et de la mise en scène des extérieurs. Le plan d’eau central du siège social de l’entreprise ThyssenKrupp contribue à magnifier l’éclairage externe. La nuit, le bâtiment principal, Q1, se reflète dans ce petit lac, et l’eau à son tour envoie ses reflets sur la façade de l’édifice, créant de mouvantes images de volumes et de profondeurs. Grâce au choix minutieux des systèmes d’éclairage, la zone extérieure conserve une esthétique uniforme, non compromise par d’ennuyeux reflets ou des points lumineux importuns. Le long des deux sentiers principaux, la large piste piétonne sur le côté gauche du petit lac
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Projet d’éclairage Licht Kunst Licht Installation électrique August Neugebauer GmbH & Co.KG Partenaire technique iGuzzini illuminazione Deutschland
Photos : Christian Richters, Lukas Roth 1. Le bâtiment principal fait face aux grands bassins éclairés par des systèmes Delphi 2. Visuel de jour 3. L’« Allée der Welten »
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et l’« Allee der Welten » sur le côté droit, plantée de 15 espèces d’arbres provenant des cinq continents, on a installé des systèmes Delphi, à double groupe optique et offrant d’excellentes propriétés antiéblouissement. Grâce à une optique orientable élaborée pour les besoins du projet, les appareils peuvent être réglés librement vers l’une ou l’autre direction. Les concepteurs ont opté pour un éclairage théâtral, avec un contraste bien marqué entre la clarté et l’obscurité. Les voies empruntées par des véhicules sont éclairées, comme l’exigent les normes légales, par des systèmes Delphi à optique routière. Cette étude conceptuelle a reçu le prix 2012 du meilleur projet d’éclairage routier « Deutsche Licht Design ».
Projets
Une nouvelle salle BioCity à Næstved
Client Nordisk Bio Entrepreneur KPC Architecte d’intérieur Confect
Næstved, Danemark
Nordisk Film, une filiale du groupe Egmont, est la première entreprise nord-européenne de développement, de production et de distribution de contenus créatifs de films et de jeux électroniques. Elle détient les droits de distribution de la console Sony PlayStation pour l’Europe du nord, et possède des salles de cinéma au Danemark et en Norvège. Plus important encore, les établissements de production et post-production Nordisk Film sont utilisés par de nombreuses sociétés de production cinématographique de la même zone géographique. BioCity est le dernier
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complexe à avoir rejoint la chaîne des cinémas Biocity. Cette étincelante multisalle dispose d’un équipement audio numérique haut de gamme et offre des prestations visuelles de grande qualité. L’éclairage du cinéma, à haute efficacité énergétique, crée une ambiance palpitante, sans compromettre la reproduction des couleurs. Une solution ne nécessitant pratiquement aucun entretien. Cette ambiance très particulière se ressent avant même de pénétrer dans le cinéma. La façade en béton est constellée de points lumineux évoquant un ciel étoilé, obtenus grâce à une version spéciale de l’appareil Glim Cube.
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Installation Alpha Electric Partenaire technique iGuzzini illuminazione Danmark
Photos : Ole Ziegler 1.2. Les espaces extérieurs, pour lesquels on a créé des effets lumineux à l’aide de Glim Cube et de la lumière colorée des Woody 3. La salle proprement dite 4. Un des espaces d’attente
L’espace situé devant l’entrée de la salle est éclairé par des projecteurs Maxiwoody RGB sur mâts, qui créent des effets de lumière colorée et changeante. La façade en verre est illuminée par des suspensions Perroquet. À l’arrivée dans le hall, décoré d’un gigantesque logo Nordisk Film, le visiteur se trouve entouré d’innombrables images de films anciens, qui ornent également les murs des couloirs, éclairés par des Deep Laser et des Pixel Plus. À l’intérieur de la salle, on a veillé à créer une atmosphère accueillante, c’est pourquoi en optant pour des couleurs chaudes et des appareils fixés en applique au mur, qui produisent un éclairage diffus et enveloppant. Le grand écran bénéficie de la technique grazing (une lumière directionnelle à angle aigu, qui accentue la texture, les sources de lumière devant se trouver près de la surface à éclairer), toujours pour accentuer le côté chaleureux.
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Projets
Un nouvel éclairage public pour Leicester Square Londres, Royaume-Uni
Client Westminster Council Conception paysagiste Burns & Nice Projet d’éclairage Burns & Nice Arup Lighting Hyder Consulting
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Dans le cadre d’un projet global de revalorisation de la zone, on a conçu et réalisé un nouvel éclairage pour Leicester Square. L’objectif de base consistait à procurer aux usagers des jardins un sentiment de sécurité durant les heures nocturnes, en éclairant les espaces pavés des jardins et la statue de Shakespeare située au centre, et en mettant la lumière en scène sans qu’elle ne gêne les systèmes de vidéosurveillance de la police, qui contrôlent l’activité de la place.
Pendant la journée, l’impact visuel des appareils devait rester minimal. C’est pourquoi on s’est limité à trois mâts d’éclairage dans la zone de la rotonde centrale, et à quatre colonnes d’éclairage plus petites, une à chaque entrée des jardins. Il était nécessaire que les systèmes installés à ces emplacements éclairent aussi bien les zones pavées que la fontaine et la statue, pôles d’attraction des jardins. Le système de colonnes d’éclairage a été créé sur mesure
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Partenaire technique iGuzzini illuminazione UK
Photos : James Newton Photographs 1.2. La place à nouveau fréquentée grâce au nouvel éclairage
en utilisant une série de projecteurs à LED blancs neutres de 12 W, disposés en groupes dans le fût de la colonne. C’est là une solution élégante, qui conserve durant le jour son aspect minimaliste, et ne dépare pas le décor du jardin, tout en satisfaisant la nuit venue aux exigences fonctionnelles et esthétiques. Les groupes d’appareils sont disposés à des hauteurs diverses derrière des écrans en polycarbonate transparent, ce qui permet à la lumière de se diffuser et aux divers groupes optiques d’être réglés de façon indépendante. Chaque appareil dispose à la base de la colonne d’éclairage, derrière la trappe d’accès, d’unités de gestion des LED DALI dimmérables, commandées par un système de gestion à distance qui permet de tamiser ou d’intensifier la lumière en fonction des besoins du client final. Pour la nuit a été conçue une « avenue de lumière » sur la zone pavée, obtenue en dirigeant les appareils de chaque groupe vers un point bien précis au sol. Grâce aux caractéristiques optiques des projecteurs à LED, seules les surfaces choisies sont éclairées, ce qui élimine presque complètement la dispersion de la lumière sur les espaces verts environnants. La luminosité verticale renforce le sentiment de sécurité dans ce qu’on peut globalement définir comme un périmètre convenablement éclairé, sans que la statue ne perde son intérêt visuel ni que ses détails ne soient masqués. Les colonnes d’éclairage plus hautes, disposées autour de la sculpture centrale, sont dotées au total de 20 éléments optiques répartis en quatre groupes. Dans chacune d’elles, un groupe de lampes sont dirigées vers la fontaine et la statue de Shakespeare. À titre d’éclairage ponctuel supplémentaire, on a installé des lampes à LED enterrées pour illuminer les cimes des platanes, plantés sur tout le pourtour, et qui forment, la nuit venue, une toile de fond au jardin.
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Braine L’Alleud met en lumière deux de ses trésors architecturaux
Projets
Braine L’Alleud, Belgique
Client Ville de Braine L’Alleud Direction du projet Jean-Pierre Forget, urbaniste de la mairie de Braine-L’Alleud Projet d’éclairage Graine de Lumiere
Dès 2006, Vincent Scourneau, maire de la commune de Braine-L’Alleud, en Belgique, toujours désireux de mettre en valeur le patrimoine de sa ville, lorsqu’il entend parler des prestations des nouvelles sources de lumière à LED, décide de les utiliser au bénéfice des monuments de sa commune. L’église d’Ophain est le premier édifice à bénéficier d’un éclairage spécifique, qui lui donne la nuit venue un aspect tout à fait différent. L’éclairage artificiel révèle certains détails, et en dérobe d’autres, dans un jeu d’ombre et de lumière ludique et harmonieux. On a utilisé, outre les appareils Linealuce T16, Light Up et Miniwoody à décharge, dotés de sources lumineuses traditionnelles, des Miniwoody et Woody LED. Le concepteur du projet d’éclairage a également eu l’idée de souligner de bleu les deux campaniles d’ardoise, pour leur conférer un brin de magie, un effet tout particulièrement saisissant l’hiver, lorsque la neige recouvre le paysage.
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Partenaire technique iGuzzini illuminazione Benelux
Photos : Didier Boy De la Tour 1.2. L’église 3. La mairie 4. Détail de la façade
En 2011, c’est au tour de la mairie de BraineL’Alleud de s’illuminer et d’attirer tous les regards. Dans son cas, l’agence de conception Grain de Lumière® a su capter le moindre détail, et restituer l’aspect exact de l’édifice en trois nuances, du blanc froid au sol au blanc chaud des lucarnes, en passant par un blanc neutre au centre. Les appareils Linealuce LED éclairent les zones les plus vastes, tandis que le soin de mettre en valeur les détails les plus infimes de l’architecture est confié à la gamme Glim Cube. Le balcon de la mairie est nimbé du même bleu que la coupole de l’église, effet obtenu à l’aide de Light Up Light LED. Des projecteurs MiniWoody LED, émergeant des lucarnes, veillent sur la ville. Ces deux interventions marquent le départ d’un processus continu de rénovation de l’éclairage de la ville.
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Projets
L’exposition « Luca Signorelli. De ingegno et spirto pelegrino »
Commissaires d’exposition Fabio De Chirico, Vittoria Garibaldi, Tom Henry, Francesco Federico Mancini
Galerie Nationale de l’Ombrie Pérouse, 21/04 -26/08/2012
Organisation Civita
Projet d’installation Pro.Rest srl - Dino Sperandio
La dernière exposition consacrée à Luca Signorelli, un des artistes les plus importants de la Renaissance, dont la production fertile s’étale de 1472 à 1519 en Italie centrale, remonte à 1953. C’est pourquoi celle qui a eu lieu à Pérouse d’avril à août 2012 a fait sensation, au point d’attirer l’attention même du New York Times. Plus d’une centaine de tableaux étaient exposés, dont 66 du peintre natif de Cortone. L’exposition était organisée par Fabio De Chirico, Vittoria Garibaldi, Tom Henry et Francesco Federico Mancini, et subventionnée par le ministère de la culture italien (Direction régionale des biens culturels et Surintendance aux biens historiques, artistiques et ethno-anthropologiques de l’Ombrie), la région Ombrie, la province de Pérouse, celle de Terni, les communes de Pérouse, Città di Castello et Orvieto, les diocèses de Pérouse, Città di Castello et Orvieto, l’Opera del Duomo di Orvieto, les Fondations des caisses d’épargne de Pérouse, Città di Castello et Orvieto, les chambres de commerce de Pérouse et de Terni, et l’Université de Pérouse. Elle se partageait entre trois villes : Pérouse (Galerie Nationale de l’Ombrie), Orvieto (Duomo, Museo dell’Opera et église Santissimi Apostoli), et Città di Castello (pinacothèque communale). L’exposition organisée dans la Galerie Nationale de l’Ombrie à Pérouse présentait l’ensemble de la carrière artistique du peintre Luca Signorelli, à l’exception de certains tableaux de sa maturité, exposés à Città di Castello, où était proposée une réflexion sur son héritage artistique. Les organisateurs ont cherché à aménager les lieux dans le respect de l’écologie. Du minimalisme des solutions esthétiques au choix de matériaux recyclables, peintures biodégradables, toiles photovoltaïques, ampoules à LED et projecteurs Primopiano qui utilisent des LED à très haut rendu chromatique permettant, selon l’organisatrice Vittoria Garibaldi elle-même, une lecture exceptionnelle des œuvres. Ce résultat est obtenu moyennant une consommation de 700 W d’énergie électrique, fournie par deux toiles photovoltaïques.
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Photos : Luca Petrucci 1.2. L’aménagement à faible consommation d’énergie
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Projets
Le Technogym Village
Client Technogym S.p.A. Entrepreneur général Maire Tecnimont S.p.A.
Césène, Italie
Conception Antonio Citterio Patricia Viel and Partners
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La zone choisie pour l’implantation du Technogym Village possède l’avantage essentiel de se trouver à proximité de l’autoroute A14, sortie Césène. Les installations de production sont d’ailleurs en bordure de l’autoroute, sur un très long parcours, ce qui leur confère une grande visibilité et autorise une considérable mobilité aux véhicules de la société. Toute la zone de production est éclairée par des encastrés Light Up 35 W à iodures. Le Technogym Village, qui rassemble les bureaux, le centre wellness et les laboratoires du centre de Recherche et de Développement, donne sur le parc, dessiné par le cabinet beretta kastner, qui l’a doté de quelques aspects fonctionnels, comme des voies de circulation pour les véhicules et un parking pour les invités.
Dans ce contexte, il fallait que les appareils d’éclairage soient discrets. C’est la raison pour laquelle toute la partie carrossable est dotée d’un éclairage rasant obtenu grâce à des projecteurs iPro sur piquet, petit corps, dotés de casquettes anti-éblouissement. Les arbres disséminés dans le parc bénéficient, quant à eux, d’un éclairage d’accentuation produit par des Light Up. À l’extérieur toujours, sur la terrasse de la zone wellness et de la réception, on a utilisé des Ledstrip sur les vases, et des encastrés pour obtenir un éclairage scénographique. Le nouveau bâtiment de bureaux de quatre étages, qui s’étend sur 200 mètres, parallèlement aux installations industrielles, possède une superficie totale d’environ 10 700 m².
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Groupe de conception du projet Augusto Barichello, Fabrizio Ferranti, Elenora Grassi, Barbara Soro, Andrea Ravogli, Stefan Kastner Conseillers en structures Redesco Dispositifs studio R.B.
Paysagiste beretta kastner architetti Structures mises en œuvre Ing. Paolo Buratti
Photos : Studio Senape - Marco Onofri 1. Vue extérieure avec l’éclairage rasant de la route 2. La couverture en bois du bâtiment de bureaux
Charpentes en bois Finnforest Merk GmbH
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L’accès aux étages supérieurs est assuré par trois cages d’escalier, deux ascenseurs séparés et un escalier de secours. Il faut traverser le parc pour parvenir à l’entrée principale, située à proximité de la zone la plus représentative, celle des bureaux de la présidence et de l’auditorium. L’édifice, par ailleurs conçu très simplement d’un assemblage d’éléments préfabriqués en béton armé et acier, s’orne d’une imposante couverture bombée en bois lamellé et d’une façade lisse en bois et verre, tournée vers le parc. La couverture en bois est éclairée par des projecteurs Woody à décharge de 70 W, avec écran de type wall washer.
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Projets
Technogym Village
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À l’intérieur du bâtiment de bureaux, c’est l’entreprise iGuzzini qui a réalisé l’éclairage de tous les espaces, exception faite des bureaux d’exploitation proprement dits. L’étage immédiatement inférieur au centre wellness, au niveau zéro, abrite le restaurant d’entreprise, éclairé par des encastrés Pinhole à ampoules dichroïques de 20 W. Les comptoirs de présentation des plats bénéficient quant à eux de rails et projecteurs Tecnica à ampoules halogènes, complétés par des encastrés Pixel plus. Dans la zone de transit près des ascenseurs, dans les espaces de liaison et dans les toilettes, on a utilisé des Deep Minimal de 35 W.
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3. L’escalier, pierre angulaire du bâtiment de bureaux 4. Le restaurant d’entreprise
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L’escalier étant la pierre angulaire de l’édifice, on a élaboré à son intention une solution spectaculaire. C’est lui-même qui produit la lumière, grâce au Barrisol qui en recouvre la partie inférieure. À l’intérieur du Barrisol, quelques Ledstrip RGB créent une lumière fluctuante et colorée, en version jaune Technogym et blanc 3 000 K, la température de couleur utilisée pour l’éclairage de l’ensemble du complexe. Les Ledstrip sont disposées dans le sens des marches afin de produire un effet uniforme sur la surface. D’autres sont encastrés au sol, dans des dispositifs réalisés en partenariat avec l’entreprise qui s’est chargée des cloisons en verre.
Les installations intègrent également, au cœur du parc, un centre wellness conçu sous la forme d’une ellipse, d’une superficie d’environ 2 700 m², relié aux bureaux à proximité de l’entrée principale. Les deux étages, tout de bois lamellé et de verre transparent laissant la vue libre sur le parc, accueillent une salle de gym et une piscine. La zone wellness proprement dite, comprenant un premier niveau rassemblant la réception, éclairée par des Frame 70 W, un bar et de nombreux appareils de sport, fait office de showroom. Dans la salle de gym à la disposition des salariés, l’éclairage général est confié à des suspensions Composit et Central.
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Culture d’entreprise
Light & Building 2012 Francfort, Allemagne 15-20 Avril 2012 Pavillon 3.1 E31
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Pour sa participation à l’édition 2012 du salon Light & Building, l’entreprise iGuzzini a poursuivi sa collaboration avec le scénographe Giancarlo Basili, qui avait déjà apporté son concours à la réalisation du Pavillon Italien à Shanghai, et à l’exposition « Bob e Nico », qui présentait le parcours humain et artistique de Roberto Benigni et Nicoletta Braschi. L’entreprise a demandé à ce scénographe, l’un des plus talentueux du cinéma italien, d’une grande sensibilité et profondeur, de créer un espace symbolisant le « made in Italy », évoquant la convivialité, la diversité des cultures, mais aussi l’ouverture vers l’avenir, et même la capacité de l’anticiper. Laissons la parole à Giancarlo Basili pour nous décrire son projet : « Pour cet espace d’exposition, l’idée de base est le lien entre la créativité et la technologie qui caractérise le travail d’iGuzzini.
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Photos : Max Schulz, Archives iGuzzini 1.2. Le stand peuplé de nombreux visiteurs
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J’ai voulu, par l’usage d’images réelles et en trois dimensions, mettre en valeur l’énergie créative de l’entreprise. Tel un symbole de la technologie constamment innovante, un grand panneau vidéo de sol lumineux à LED, positionné au centre du stand, passe en boucle des images évocatrices du paysage italien, tandis qu’est suspendue au plafond, une reproduction hyperréaliste de la célèbre fresque peinte par Andrea Mantegna, la « Camera degli sposi », emblème de l’art et de la culture italienne. Le tableau, réalisé à l’aide d’une technique reproduisant fidèlement l’original, renvoie le visiteur au rapport entre la nature et les plus belles architectures du passé, rapport que la marque iGuzzini ne cesse d’explorer. Le mur du fond, entièrement recouvert d’un
écran plasma de 6 m sur 3, projette une série de vidéos permettant de découvrir l’univers de la marque, de la conception à la réalisation du projet, à travers les explications de ceux qui en sont chargés. Deux longues galeries latérales exposent les produits pour l’intérieur et l’extérieur, dans un décor de projections permettant de consulter le détail des caractéristiques techniques des appareils. Les prises de vue, réalisées pour l’occasion, décrivent l’objet en l’agrandissant, mais le visiteur peut également manipuler directement les appareils, qui sont disposés sur une table comme des ouvrages d’art. Il peut même effectuer son « baptême de la lumière » en expérimentant les divers effets lumineux proposés dans un tunnel réalisé spécialement à cette intention.
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Culture d’entreprise
iGuzzini sponsor de « City of Light- Jyväskylä » édition 2012
La seconde édition de “City under Microscope”, organisée par l’association LUCI, s’est déroulée à Jyväskylä, en Finlande, du 19 au 22 septembre 2012. Créé en 2002, LUCI (Lighting Urban Community International) est un réseau international, réunissant les villes et les professionnels du secteur de l’éclairage, pour qui la lumière est un des principaux éléments de développement urbain, social et économique, et qui s’intéressent plus particulièrement à l’environnement et à la durabilité. L’association compte aujourd’hui près de 100 membres, parmi lesquels des villes et professionnels de tous les continents. L’initiative des évènements de LUCI “City under Microscope” permet aux participants d’approfondir les stratégies mises en œuvre pour l’éclairage d’une des villes membres, pendant une durée de 2 jours, avec des visites sur le terrain et des conférences techniques sur les projets d’éclairage temporaires ou permanents. Jyväskylä est la ville la plus au nord parmi les membres de LUCI. Chaque automne, elle accueille “City of Light”, l’unique évènement en Finlande consacré à l’éclairage urbain. A cette occasion, la ville a proposé un séminaire dédié à l’éclairage des espaces verts, auquel a participé une centaine de paysagistes et de constructeurs. Depuis toujours attentive et sensible à ces thématiques, iGuzzini a sponsorisé l’évènement. Une des installations visitées par les participants était le nouvel éclairage réalisé avec des appareils d’éclairage urbain Wow dans le centre-ville.
Pour plus d’informations : www.luciassociation.org/luci-home-cum-jyvaskyla.html www.cityoflight.jyvaskyla.fi
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Culture d’entreprise
ET Acetech 2012 Bombay, Centre d’Exposition de Bombay 18 - 21 octobre 2012 Pavillon 3.1 E31
Un nouvel espace d’application de la lumière à New Delhi
Passeur de lumière Eric Michel au Couvent de la Tourette, Eveux 9 février - 31 mars 2013
iGuzzini illuminazione a participé, grâce à son distributeur indien L.S.I. System, à l’édition ET Acetech 2012, qui s’est déroulée à Bombay du 18 au 21 octobre au Centre d’Exposition de Bombay. Ce salon est le plus important, non seulement en Inde, mais dans tout le Sud-Est asiatique, consacré à l’ensemble des entreprises impliquées dans le processus de construction : des promoteurs immobiliers aux accessoires de bain, des systèmes de traitement des eaux à l’éclairage. Le 19 octobre a eu lieu un séminaire sur le thème de l’éclairage. LSI system y a participé. Le salon a accueilli plus d’un million de visiteurs et plus de 13 000 exposants. La participation de LSI System a rencontré un succès important. Les appareils d’éclairage qui ont suscité le plus d’enthousiasme ont été le Laser Blade, le Linealuce dans ses versions mini et compact, l’iWay et le Lun-Up.
LSI, le distributeur de la marque iGuzzini en Inde, a ouvert un nouveau concept store à New Delhi, où sont proposées les technologies les plus récentes en matière d’éclairage et de systèmes de gestion de celui-ci. À l’intérieur du magasin, on a aménagé plusieurs espaces présentant les diverses solutions d’éclairage pour chaque type d’intérieur (maisons, bureaux, commerces, musées, espaces commerciaux, extérieurs ou façades). Les applications d’éclairage présentées dans ce point de rencontre permettent de mieux comprendre le « langage » de la lumière.
La lumière est au cœur de l’architecture de Le Corbusier pour qui elle est un matériau, comme le béton, avec laquelle il construit ses bâtiments. À La Tourette, Le Corbusier et Xenakis mettent en scène la lumière. Aussi, c’est tout naturellement qu’est invité au couvent Éric Michel qui travaille depuis de nombreuses années ce matériau. C’est à faire une expérience, celle de la lumière, que l’artiste nous invite à travers ses œuvres et ses installations. L’artiste interroge notre rapport au réel, jouant sur la frontière du matériel et de l’immatériel, tel un intermédiaire, un « passeur ». iGuzzini France est le partenaire de cette exposition et a participé au colloque « La Lumière parle - Architecture, Art et Lumière », le 16 février dernier.
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Culture d’entreprise
Stratégie de réseaux sociaux. La marque iGuzzini lance officiellement ses pages Facebook et ses comptes Twitter. En 2012, l’entreprise iGuzzini a décidé de mettre en place une vitrine de la marque sur Facebook et d’ouvrir un compte Twitter. Cette décision a été prise dans le cadre d’une stratégie de communication suivie depuis 1982 et basée sur le concept de l’influence énorme d’une utilisation correcte de la lumière sur la qualité de vie. Cette stratégie peut se résumer dans le slogan adopté récemment : « Better Light for a Better Life », un slogan qui au fil du temps s’est concrétisé dans des annonces basées sur les valeurs sociétales et culturelles d’un projet d’éclairage de qualité. Pour que le projet soit viable, il lui faut être soutenu par un groupe partageant le même objectif, du maître d’ouvrage à l’architecte, du concepteur lumière à l’installateur. Il lui faut une équipe capable de réaliser des installations où la lumière artificielle joue un rôle important et d’assurer à ceux qui y évoluent une qualité impeccable. Les réseaux sociaux modernes sont pour l’entreprise iGuzzini le moyen de poursuivre
cette stratégie efficace. Les internautes, en effet, passent la majeure partie de leur temps en ligne sur Facebook et Twitter. Au printemps 2012, lorsque nous avons commencé à élaborer les pages pour les diverses filiales, Facebook comptait plus de 900 000 000 d’abonnés. Aujourd’hui, ils sont plus d’un milliard. Sur les réseaux sociaux, on rencontre aussi bien les professionnels du projet lumière que les utilisateurs finaux. Notre présence sur ces nouveaux supports nous permettra non seulement de continuer à véhiculer nos valeurs, mais également, contrairement à nos habitudes passées, de bâtir des relations directes avec tous. Actuellement, seuls les comptes Facebook et Twitter des filiales France, Royaume-Uni et Espagne sont actifs. Ceux de l’Italie seront ouverts dans peu de temps. Au niveau international, la marque iGuzzini est également présente sur YouTube, sa chaîne proposant environ 200 vidéos, qui ont été visionnées plus de 120 000 fois, et sur Twitter, avec environ 1 200 follower.
iGuzziniFrance iGuzziniIberica iGuzziniUK
@iGuzziniUK @iGuzziniFrance @iGuzziniIBERICA @iGuzzini iguzzinispa
Neon - Who’s afraid of red, yellow and blue? Maison Rouge, Paris 17 février - 20 mai 2012 Du 17 février au 20 mai 2012, la Maison Rouge, une des principales fondations d’art contemporain, a accueilli la première grande exposition internationale consacrée à l’utilisation du néon dans l’art des années ’40 à aujourd’hui, présentant plus de 100 œuvres d’art inédites. A cette occasion, iGuzzini France a développé une initiative liée à sa propre page Facebook, en organisant un jeu concours : les visiteurs de l’exposition pouvaient participer à un concours en répondant à trois questions sur le thème du néon et de l’exposition. En jeu : une PizzaKobra. Plus de 340 personnes ont participé au concours. Antoine de Galbert, Président Fondateur de la Maison Rouge, a tiré au sort le gagnant : Ludovic Wilhelm (Brive).
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Culture d’entreprise
London Velonotte 23 juin 2012, Londres
Durant l’été 2012, l’entreprise a organisé sa première manifestation ‘sociale’ en participant au « London Velonotte ». Sa filiale anglaise a sponsorisé l’édition londonienne de l’événement, qui a été plébiscité par la critique dans de nombreuses villes du monde. Velonotte, sur une idée de Sergey Nikitin, c’est un parcours de nuit de la ville où se tient la manifestation, donnant aux participants l’occasion d’apprécier son architecture, grâce à un moyen de transport inédit : la bicyclette. Pour seconder les guides de ces visites, des architectes reconnus donnent des explications sur les divers édifices. Plusieurs éditions de Velonotte ont déjà été organisées : à Moscou, à Rome et à Saint-Pétersbourg. La manifestation qui a eu lieu à Londres s’est concentrée sur l’East End, quartier en perpétuelle mutation, et le Parc olympique, la dernière nouveauté de la zone, pour quelques stations. Pendant le circuit, des architectes et historiens, comme Peter Ackroyd, Richard Rogers, Ricky Burdett, Peter Murray et David Adjaye, ont servi de guides par l’intermédiaire de la radio partenaire, Resonance FM.
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Incontroluce
I. 2013
Incontroluce Revue semestrielle internationale sur la culture de la lumière XVe année, 26 Rédaction Centre d’études et de recherche iGuzzini Fr.ne Sambucheto, 44/a 62019 Recanati MC +39.071.7588250 tel. +39.071.7588295 fax rc@iguzzini.it iGuzzini illuminazione spa 62019 Recanati, Italy via Mariano Guzzini, 37 +39.071.75881 tel. +39.071.7588295 fax iguzzini@iguzzini.it www.iguzzini.com 071-7588453 video Projet graphique Studio Cerri & Associati Éditeur iGuzzini illuminazione spa Ont collaboré à ce numéro : iGuzzini illuminazione Benelux Bvba/sprl iGuzzini illuminazione Danmark iGuzzini illuminazione Deutschland GmbH iGuzzini illuminazione España S.A. iGuzzini illuminazione France iGuzzini illuminazione Schweiz AG iGuzzini illuminazione UK iGuzzini Lighting North America Lighting System Italy (1982) Ltd Mondoluce, West Australia (W.A.) Photo de couverture Richard Pelletier - Mairie De Chaumont Achevé d’imprimer en : Mars 2013 Tecnostampa, Recanati
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